ET TOUJOURS EN ÉTÉ 07 NOUVEAU PLAISIR

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : ET TOUJOURS EN ÉTÉ 07 NOUVEAU PLAISIR Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 07 NOUVEAU PLAISIR
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 07NOUVEAU PLAISIR

Je prenais bien mon temps, Sekou avait fait la vaisselle, je le voyais de loin, il était entièrement nu, se retournait vers la rivière et un court instant je voyais sa queue se balancer. Il était bien monté, ça ne faisait plus aucun doute c'est bien le gars que nous avions vu l'autre soir. Il se dirigeait ver la rivière y entrait, je m'approchais mais pas trop, il me tournais le dos et ne pouvais pas me voir.

C'est vrai qu'il me fascinait, il était tellement beau, musclé, terriblement musclé mais élégant, il bougeait avec fluidité. Je bandais complètement, je ne pouvais pas empêcher ma bite de se relever pourtant je m'étais vidé les couilles une demie heure plus tôt.

Je ne réfléchissais plus, j'étais comme hypnotisé, j'allais jusqu'au bord de l'eau, je retirais mes vêtements avançais dans l'eau et plongeais. C'est à ce moment que Sekou m'a remarqué. Il avait l'air embarrassé, on ne se baigne pas avec le maître normalement !

Sekou : Excusez moi Monsieur Jonathan, je vais vous laisser.
Moi : Non Sekou, ne t'occupe pas de moi. Reste là et profite de la fraîcheur, il reste de la route à faire demain, repose toi.

Il n'était pas habitué à ce genre de réponse, en général quand un maître arrivait on lui disait de dégager. Dans notre famille on avait d'autres principes. Le repas par exemple, on l'avait pris en même temps, ensemble … Et là c'était pareil, ça ne veut pas dire qu'on se mélangeait …
J'avais de l'eau jusqu'à la ceinture et je bandais, je vous jure que pour ce qui est de se mélanger ce soir là, sous la lune je me serais bien laissé faire. Je le voyais autant que je le devinais, il bandais lui aussi, il avait les yeux baissé et une queue énorme. Je ne m'inquiétais pas il ne pouvais pas voir que je bandais, en tout cas c'est ce que je pensais jusqu'au moment ou j'ai moi aussi baissé les yeux.

Ma queue toute blanche à l'horizontale juste en dessous de la surface de l'eau contrastait bien sur l'eau noire. On ne voyait que ça. La sienne était plus grosse mais on voyait à peine, elle était de couleur sombre tout comme l'eau.

Là j'ai préféré plongé et nager un peu plus loin. Il voyait toujours mes fesses mais c'est pas pareil. Enfin là je ne suis pas sûr, je me rappelait ce qu'il avait fait subir au jeune homme avec qui il était l'autre nuit, un mois plus tôt. De nouveau je m'imaginais à la place du jeune homme, j'imaginais Sekou dans mon dos me défonçant la cul. Ça devait être bon, le jeune homme de l'autre jour ne cherchait pas à se sauver et en redemandait, au contraire. Mais ça devait faire mal. Je veux bien croire mon cousin quand il m'a dit que c'était bon. Je lui avait enfoncé un doigt, juste un doigt … Et encore juste une phalange !

Mais là c'était un truc plus long que mon bras et plus large que ma cuisse … Enfin peut être pas quand même mais, ça restait gros, très gros. Et là moi j'avais la trouille.

Plus loin je me retournais, je pouvais voir sa queue qui ressortait de l'eau, juste le bout. '' En érection sa queue lui arrive au dessus du nombril ou quoi ? '' il avait de l'eau jusqu'à la ceinture et elle ressortait de l'eau ! Ou alors j’hallucinais, il faisait nuit et même si la nuit était claire et la lune ronde je devais certainement plus imaginer ce que je voyais que le voir réellement.

Mon cœur battait fort, très fort, il n'osait pas regarder dans ma direction, moi je ne pouvais pas regarder ailleurs. Il s'asseyait dans l'eau, moi je nageais, c'est vrai qu'il ne doit pas savoir nager. Au bout d'un long moment il se relevait et se dirigeait vers la berge. Il ressortait de l'eau et avec la main il tentait de dissimuler sa queue qui restait toujours à sa taille maximum.

Je ne débandais pas non plus remarquez. Je le voyais de profil sortir de l'eau, et sa queue m'apparaissait vraiment visible au moment ou il se penchais pour ramasser ses vêtement. Il ne portait pas de sous vêtements, j'en était sûr . '' Mais comment il fait on ne voit rien se balancer, on ne voit rien qui dépasse ? '' . Je me disais que décidément il devait mieux se contrôler que moi.

Un peu plus tard, je me retrouvais seul, je ressortait de l'eau et m'installait face à la rivière.

Brusquement un hurlement dans mes oreilles, deux mains m'agrippaient les épaules ! Je hurlais, me débattait, tentais de me dégager … Je me retournais c'était Samuel, il était plié de rire, c'est vrai qu'un rien l'amuse lui !

Samuel : Tu verrais ta tête, et comment tu as crié. Mais tu faisais quoi ? Tu te branlais !

Il continuait à rigoler, il s'asseyait à côté de moi. Je continuais à me branler il en faisait de même. J'ai éjaculé en premier, il m'a suivi quelques instants plus tard et on est revenu au camp tranquillement en prenant bien notre temps. Sekou semblait dormir sous une couverture. On s'allongeait et on s'endormait. On n'était pas inquiet, c'était une région calme, il n'y avait pas de vol pas d'attaque. On dormait tranquillement et c'est le soleil qui nous réveillait.

Sekou était déjà réveillé et préparait le café, on l'invitait à le prendre avec nous.

A chaque fois qu'il se levait, et surtout quand je le voyais de face, j'observais son pantalon, son entre cuisse, on ne voyait rien ou à peine. J'étais un peu déçu. Sekou rangeait toute les affaires dans le chariot, on n'avait pas l'habitude de rester les bras ballants aussi par habitude on l'aidait. Ça semblait le surprendre un peu.

On roulait pendant encore toute la matinée avant d'arriver à la ville. J'étais bien content de pouvoir descendre du chariot et de me détendre. Samuel donnait un peu d'argent à Sekou pour qu'il puisse aller s'acheter à manger. Ne vous imaginez pas qu'il aurait été accepté avec nous au restaurant !

Ensuite on se retrouvait chez le quincaillier. On lui avait envoyé notre commande et normalement tout était prêt. Samuel se chargeait de vérifier et de surveiller le chargement du chariot. Sekou faisait ça bien, il s'assurait d'avoir une petite place à l'arrière et quand j'arrivais les bras chargés de quelques cadeaux pour les femmes de la maison ils étaient prêts pour repartir.

On décidait de repartir sans plus attendre. Comme on risquait de mettre plus de temps, on était plus lourd on préférait ne pas traîner.

Samuel : On dormira sur la route à quelques kilomètres puis on va rouler toute la journée demain et si tout se passe bien on devrait arriver après demain dans la matinée.
Moi : Ça marche. Mais j'aurais bien aimé rester un peu moi !

La ville était très différente de notre village que je connaissais bien. Il y avait des affranchis ici alors que dans notre village c'était pas concevable. S'il y avait un affranchis il était chassé, histoire de ne pas donner un mauvais exemple aux autres.

Il y avait des magasins, j'en ai visité plein mais c'était au pas de course, j'avais une liste …
C'est donc vers le milieu de l'après midi qu'on reprenait la route. Comme pour l'allée on prenait la route qui suivait la rivière. C'était d'une monotonie mortelle aussi j'espère que vous ne m'en voudrez pas si je résume le voyage de retour par ...

Tout se passait bien !

C'est donc en fin de matinée du surlendemain que nous arrivions à la maison. On remontait la longue allée qui conduit à la maison et tous les occupants arrivaient pour nous accueillir. J'en remarquais un, jeune qui semblait surtout préoccupé par notre compagnon Sekou.

C'était un peu comme à Noël, on distribuait les cadeaux, nos oncles arrivaient et s'occupaient de faire décharger toute la marchandise, il y avait des paquets dont on se savait pas ce qu'il y avait dedans. Les outils partaient vers les entrepôts ainsi que certains matériaux. Samuel et moi remontions dans notre chambre pour nous changer après avoir salué tout le monde.

On traînait dans la baignoire.

Moi : Tu as vu le petit jeune qui est venu accueillir Sekou ?
Samuel : Non, pas vu !
Moi : C'était le petit jeune avec qui il était !
Samuel : Tu es sûr ?
Moi : Hooo que oui !
Samuel : Et il est comment ?
Moi : Normal, il est normal … Samuel : C'est surtout le grand qui te fait bander ?

Je ne répondais pas, rien que de penser à lui me faisait bander. On finissait par sortir de la baignoire, Samuel rigolait de me voir comme ça. Mais j'avais un mal fou à reprendre mon self contrôle et c'est avec une grosse molle rebelle qui je descendais sur la terrasse. Remarquez, c'était pas la première fois que ça m'arrivait, et je savais gérer la situation. Tant que ma queue restait à ce niveau de révolte je savais qu'on ne remarquait rien.

On s'est reposé le reste de la journée. La soirée arrivait la chaleur était accablante et j'utilisais ce prétexte pour entraîner mon cousin pour prendre un bain dans la rivière juste après le repas. En sifflotant, l'air de rien, je descendais vers la berge, en regardant en l'air, à droite, à gauche, les mains dans les poches.

La nuit était claire et la lune presque ronde. Samuel me suivait, à un moment n'en pouvant plus je l'entendais éclater de rire. Je me retournais.

Moi : Tu as vu quelque chose ?
Samuel : Toi ! Mais c'est toi qui me fait rire ! Tu sais que tu es incroyable ! Bon on se met à poil et on remonte la rivière sur cinq cent mètres …
Je lui répondais par un sourire idiot, il lisait dans mes pensée ou bien. Sitôt dit sitôt fait, on nageait. Je tentais toujours de garder un air détaché et Samuel continuait à rigoler …
On arrivait à l'endroit ou un mois plus tôt on avait vu les deux mecs, le gros balaise qu'on connaissait maintenant et le petit qu'il avait enculé avec force. Je montais sur la berge, toujours en prenant cet air décontracter j'essayais même de mettre mes mains dans mes poches mais bon, là … Samuel pouffait de rire.

On s'asseyait et on regardait vers la rivière … Cette obscure clarté qui monte des étoiles … Mais qu'est ce que je raconte moi ? Vous voyez les conneries que ça me fait dire cette histoire. L'eau semblait noire mais sa surface reflétait la lune qui inondait le paysage d'une atmosphère d'outre tombe.

Samuel continuait à rigoler. Discrètement il glissait une main sur ma bite et me la masturbait doucement, lui ne bandait pas pratiquement pas, il rigolait !

Quand … Je lui faisait signe de se taire … On entendait du bruit. Des éclats de rire, deux silhouettes, deux hommes nus apparaissaient entre deux buissons, ils couraient en direction de la rivière. Je prenait position et ne loupaient rien de la scène. Samuel semblait avoir envie de rigoler, il s'allongeait sur le ventre certes mais sur mon dos et me faisait des câlins, me couvrait de baiser, me caressait partout sur le corps.

Nos deux lascars se baignaient comme la dernière fois, et tout comme la dernière fois le gros balaise finissait par enculer le plus petit avec sa queue énorme.

J'étais en transe, ma queue était plaquée contre mon ventre, écrasée par mon poids et surtout celui de Samuel qui ne se privait pas de peser de tout son poids sur moi. Quand il se relevait la berge derrière le buisson était vide, ils étaient repartis, et c'est sur mes fesses que Samuel se concentrait. Ce qu'il me faisait était très agréable aussi je le laissais faire. Il devenait plus précis, d'abord il passait un doigt puis le coupant de la main entre mes fesses. Puis il devenait plus envahissant. Par réflexe je tentais de me dégager.

Samuel : Tu ne bouges pas, tu me laisses faire, tu sais que tu me fatigues depuis un mois avec ton obsession … Je te fais mal là ?

Je faisais non de la tête, il continuait. Je ne sais pas ce qu'il me passait sur le cul mais je sentais à ce moment que ses doigts glissaient très facilement à cet endroit. Tout doucement il glissait un doigt dans mon cul. C'était une étrange sensation, ça ne faisait pas mal finalement. Je me détendais et le laissais faire, je restais très concentré sur mes sensation. Rapidement ça devenait même agréable.

Il faisait jouer son doigt, en le ressortant puis en l'enfonçant de nouveau, ça glissait de mieux en mieux. À plusieurs reprises il me déposait je ne sais pas quoi, c'était froid, gras, et après ça glissait. J'ai couiné quand il a glissé deux doigt dans mon cul. Il passait une main sur ma gorge puis retirait son doigt. Il s'allongeait alors de tout son poids sur mon dos, je retournais la tête et je l'embrassais.

Sans rien dire il préparais un mauvais coup. Je ne l'ai compris que trop tard, je sentais une forte pression contre mon anus et fermement il poussait, je résistait sans comprendre tout de suite mais quand mon anus lâchait, sa queue me pénétrait rapidement avec violence provocant une douleur intenable. J'allais hurler quand il me faisait taire avec la main qu'il avait posé sur ma gorge, il ne m'étranglait pas il la posait contre ma bouche, il me tordait un bras dans le dos. J'étais immobilisé, il m'avait eu par surprise et il continuait à pousser sa queue dans mon cul.

Je tentais de gigoter comme je pouvais, je manquais d'air, il écrasait son ventre sur mes fesses. Je me tordais sous la douleur, il se retirait pour mieux revenir bien à fond. Je gémissais et au moment ou je pouvais articuler un mot c'était pour l'implorer d'arrêter …
Il s'exécutait. Il se retirait et se retournant sur le dos il se masturbait. Je me retournais sur le côté, il me regardait.

Samuel : Tu as juté ?

J'étais essoufflé. J'avais mal au cul mais en effet j'avais joui. Déjà je ne bandais plus. Je le regardais se branler, je le regardais juter, il râlait de plaisir avant de se laisser tomber inerte sur le sol.

Je râlais.

Moi : Tu es vraiment un enfoiré, tu m'as fait mal …Samuel : Pas tant que ça ?
Moi : Je te jure ça fait un mal de chien, tu as une grosse bite aussi tu sais !
Samuel : Au moins tu ne fantasmeras plus sur la grosse bite du mec !
Moi : Et tu as mis quoi pour que ça glisse comme ça !

Il me montrait un tube argenté.

Samuel : J'ai demandé au magasin, le vendeur m'a dit qu'avec ça, ça rentrait tout seul, il avait raison. C'est un truc que les prostituées utilisent régulièrement.

Je le regardais, je faisais la gueule, lui il rigolait. Il était content de lui.



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