ET TOUJOURS EN ÉTÉ 09 LA ÇA FAIT MAL

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : ET TOUJOURS EN ÉTÉ 09 LA ÇA FAIT MAL Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 09 LA ÇA FAIT MAL
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 09LA ÇA FAIT MAL

Je regardais mon grand père, je ne savais pas comment réagir. J'avais vraiment le droit de refuser ?

Mon grand père : C'est toi et seulement toi qui décide Jonathan, ne te laisse pas intimider !

Le gars me regardait d'une manière inquiétante, il voulait me faire peur.

Lui : Écoutes mon garçon. Tu as un superbe 'combattant' et je le voulais, je ne le cacherais pas . Ce défi que je te propose est gagnant gagnant pour toi. Il y aura des paris et si tu veux je te propose de te le racheter plus chère que ce qu'il a coûté à ton grand père si tu perds.
Moi : Non ça ne m'intéresse pas !
Lui : Ne me réponds pas ça, tu sais qui je suis ?

Il haussait le ton et se rapprochait de moi en gonflant le torse.

Mon grand père : Mon petit fils ne sait pas qui tu es, il ne sais pas que tu es un filou et un tricheur mais TOI ! Ne cherche pas à l'intimider et surtout N'OUBLIES PAS QUI JE SUIS MOI !

Je le sentais vaciller à cette intervention de mon grand père, mais c'est vrai que notre famille était connue et respectée même si quelquefois on se moquait de nous, par rapport à la manière dont nous traitions nos esclaves. Il n'insistait pas.

Je ne souhaitais pas rester plus longtemps au village, on repartait mon nouvel esclave était assis à l'arrière, totalement imperturbable. J'évitais de me retourner toutes les dix secondes pour ne pas me faire remarquer par mon grand père mais c'était pas facile. On arrivait ainsi à la maison.

Le nouveau ne parvenait pas à cacher sa surprise quand on arrivait devant la maison. Il y avait tout un tas de personne pour nous recevoir, la famille bien sûr mais aussi tout un tas de serviteurs qui semblaient très détendus, décontractés, il n'avait sans doute pas connu cette ambiance. Comme je vous le disais, ici nos serviteurs sont très bien traités.

On présentait le nouveau à Mamata qui se chargerait de le présenter aux autres et de lui trouver une place dans le service de la maison. C'est elle qui supervisait le fonctionnement de la maison et il travaillerait au fonctionnement de la maison, donc sous ses ordres .

Depuis le balcon il y avait mon cousin qui regardait la scène en rigolant. Je montais le rejoindre.

Samuel : Et bien, tu t'es acheté un combattant ?
Moi : Il est bien ! Tu ne trouves pas ?
Samuel : Et qu'est ce que tu veux en faire ? Tu veux organiser des combats ?
Moi : Non mais c'est pas parce qu'il est balaise qu'il sait ou qu'il aime se battre.
Samuel : Il est bien monté au moins ?

L'enfoiré il avait visé juste, je devenais tout rouge, pas longtemps mais une court instant je devenais tout rouge. Il me laissait sur place et s'éloignait en rigolant.

Quelques jours plus tard, comme prévu j'étais officiellement fiancé à Sarah. Javais le droit de lui faire la cour, j'en avais pas seulement le droit, j'étais invité à le faire. Régulièrement le jeudi, je prenais une calèche et me rendais chez nos voisins. Mon nouvel esclave, Sunny, prenait les rênes. Comme son travail à la maison le mettrait en contact avec les visiteurs, on lui avait fait faire une tenue adaptée.

Je ne vous dit pas comment il était beau. Son allure carrée et massive n'était pas désagréable à voir. Quand il me suivait on me regardait avec respect, c'était un peu comme un garde du corps, il impressionnait. Un jour il m'a remercié d'avoir refusé le combat, ce fameux jour ou on l'avait acheté.

Le rituel était très codifié, j'arrivais chez Sarah, j'apportais des fleurs, un gros bouquet pour sa mère et un petit pour Sarah. La calèche s'arrêtait devant la porte je me faisais annoncé, j'étais reçu par la mère de Sarah avec qui je prenais le thé pendant que ma promise se préparait pour nous rejoindre. Ensuite j'avais l'autorisation d'emmener Sarah faire un tour, nous allions soit dans le jardin, soit en calèche. Nous avions droit à un tête à tête.

Seul Sunny ne me lâchait pas, il marchait à trois mètres juste derrière moi et Kissa, la nounou de Sarah. Elle devait avoir envers Sarah autant d'amour que Mamata en avait envers mon cousin ou moi. Kissa avait également une ombrelle et l'ordre, pas l'autorisation mais l'ordre, de me taper dessus avec si je devenait trop entreprenant …
Vous imaginez la honte si on avait vu ça. Me faire taper par une esclave sans pouvoir me défendre … J'aurais été la risée de la région jusqu'à la fin de ma vie ! Quand je me retournais pour m'assurer que je ne risquais rien je surprenais souvent le sourire amusé de Sunny. Sarah aussi s'amusait de cette situation.

Les semaines passaient lentement, nous prenions le temps de vivre, d'apprendre à nous connaître. Sarah me racontait que dans la familles on parlait souvent de sa sœur … et de mon cousin … On parlait d'un double mariage mais rien n'était décidé.

Un soir ou la chaleur était particulièrement accablante, je me promenais sur la berge. J'étais seul, un croissant de lune n'apportait que très peu de lumière mais les étoiles se reflétaient à la surface de l'eau. Je parvenais juste à me diriger.

Je connaissais bien l'endroit, je me décidais à prendre un bain. Je laissais mes vêtements sur la berge à un endroit sec et plongeait. Je nageais de long en large pendant un long moment, je me rafraîchissais enfin sans plus penser à rien. Je remontait sur la berge et m'allongeait sur le sol, un petit coin confortable recouvert d'une sorte de gazon. Je somnolais un moment puis j'entendais un bruit.

Je me relevais.

Moi : Qui est là ? Il y a quelqu'un ! Qui est là ?
Sunny : C'est moi Monsieur Jonathan. Excusez moi, je ne voulais pas vous faire peur. Je vais vous laisser.
Moi : Non, reste … Tu voulais te rafraîchir toi aussi ?

Je me relevais et me dirigeais vers sa voix. Il y avait peu de lumière et il était tout noir, je ne le voyais absolument pas. Moi, ma peau est claire et je devinais qu'il pouvait m'apercevoir. J'avançais la main en avant et c'est sur son torse qu'elle se posait. Sunny est beaucoup plus grand que moi, je ne lui arrive même pas à l'épaule.

Sa peau était douce, il n'avait pas un poil sur le corps. C'était donc naturel. Les muscles aussi c'était naturel, je sentais sa force. Combien de fois avais-je eu envie de le toucher quand je le voyais, quand de loin je le regardais soulever une charge lourde qui entre ses mains semblait plus légère, quand il travaillait à côté de moi, qu'il était torse nue et qu'il dégageait cette force tranquille qui me faisait …
Là je vous jure je bandais, j'étais nu et je bandais. En baissant les yeux je distinguais ma queue, ma peau est claire comme je vous dis et on pouvait deviner ma silhouette.

Lui restais invisible. Je ne pouvais pas décoller ma main de sa peau. Avec douceur je la promenais sur son épaule, la base de son cou, puis sur sa gorge. Je le sentais avaler sa salive.

Sunny : Monsieur Jonath …
Il n'avait plus de voix, était-il aussi ému que moi. Je sais j'aurais du avoir honte de la situation mais l'envie, l'envie de Sunny était la plus forte. Ma main descendait sur son ventre et mes doigts suivaient tous les reliefs de ses muscles. Ces muscles qui le dessinaient si bien. Sa main se posait sur mon avant bras et là j'étais bouleversé de sentir à la fois autant de force et de douceur. Je m'approchais de lui encore un peu.

Sunny : Mon... Jona...

Je devinais un trouble chez mon esclave. Sa main remontait vers mon bras et son autre main se posait sur mon autre bras, je posais mon autre main sur son bras tandis que la première main continuait à explorer le corps de Sunny et arrivait au bas de son ventre. Il bandait.

Sentant cela, par réflexe j'avais retenu ma main. Mon cœur battait fort, cet instant je l'avais rêvé au moment ou j'avais vu Sunny à la foire aux esclaves quelques semaines plus tôt pour la première fois. Ma main continuait à explorer. Je ne l'avais jamais vu en érection. Je ne l'avais vu qu'au repos et déjà il était impressionnant,là j'avais sa queue dans la main, il était circoncis, la peau de sa queue était douce mais sa queue était dure.

Il passait une main dans mon dos et me tirait vers lui. J'ai cru que mon cœur allait exploser, j'ai refermé mes bras dans son dos. Il m'enveloppait dans ses bras, dans la douceur de sa peau et la force de ces muscles. Il me serrait fort, il aurait facilement pu me casser en deux mais s'il me serrait trop fort, là c'était juste assez pour que je sente bien, que je sente que je lui appartenait. Il ne me faisait pas mal et à aucun moment je n'ai eu peur de cela.

Il penchait la tête en avant et m'embrassait sur l'épaule, je relevais la tête sur le côté, il m'embrassait alors dans le cou. Avec mes lèvres, j'embrassais tout ce que je pouvais embrasser. Je ne le voyais toujours pas, c'était comme une hombre, mais une hombre ferme, forte et douche pas un fantôme.

Quand je penchais la tête en arrière il m'embrassait sur la bouche, sa langue se glissait contre la mienne et c'était une caresse douce que nous partagions langue contre langue.

Je parvenais dans un léger rayon de lumière à deviner mon visage dans ses yeux. Ou alors je l'ai rêvé. Mais ses yeux je les voyais, il brillaient dans cette très faible lumière, juste deux petits points de lumière dans lesquels je me noyais.

Ses caresses devenaient plus intenses. Ses bras me caressaient le dos depuis mon cou jusqu'à mes fesses. Il glissait une puis les deux mains sous mes fesses et me soulevait. Mon visage se retrouvais soudainement juste en face du sien et je ne touchais plus terre. Je me retenais alors en lui passant les bras autour du cou et couvrait son visage de baisers.

Il m'allongeait sur le sol avec des mouvements lents, doux et parfaitement contrôlés. Je me sentais minuscule entre ses bras, il me soulevait avec tellement de facilité. Il s'allongeait sur moi en prenant soin de ne pas m'écraser, enfin pas trop. Je sentais le poids de son corps et je savais que s'il le voulait il pouvait m'écraser. C'était un tel plaisir que de me sentir ainsi vulnérable dans les bras d'un homme d'une telle force et de savoir qu'il ne me fera aucun mal.

Je m'abandonnais totalement à lui. Il voulait me retourner, je le laissais faire, je ne résistais pas. Son bras passait devant ma bouche et le je couvrais de baisers, son corps se retrouvait entre mes bras et je les refermais autour de lui, je le serrais contre moi.

Je refermais mes jambes autour de son dos. Nos deux queues se touchaient, glissaient l'une contre l'autre. Il écrasait ma queue contre sa cuisse et la sienne contre mon ventre avant de l'écraser contre mes fesses.

Il me retenais alors de toutes ses forces, il m'immobilisait complètement, je ne pouvais réellement plus bouger, j'essayais mais j'étais immobilisé, il me retenait, pourtant sans efforts apparent.

Il me glissait alors à l'oreille.

Sunny : Je veux te prendre !

Pour seule réponse je l'embrassais.

Sunny : Je ne plaisante pas, je veux te prendre si tu me dis oui …
Je l'embrassais de nouveau. J'étais dans un autre monde, j'étais allongé sur le sol, il était allongé sur moi, je ne pouvais pas bouger et il m'écrasait avec douceur de tout son poids. Mais pourtant je ne touchais plus le sol.

Sunny : Tu as l'air d'accord ?
Moi : Vas y mais vas y avec douceur, j'ai un peu peur …
Je ne sais pas ce qui s'est passé juste après, je tournais sur moi-même et me retrouvais sur le ventre. Il me soulevait, me retournait comme un jouet, comme une poupée entre ses bras.

Longuement il me lubrifiait le cul avec sa salive, ensuite il se lubrifiait la bite. Je tremblais déjà de peur autant que de désir. Il posait sa queue sur mon cul. Et commençait à pousser. Ça résistait. Il lubrifiait de nouveau, il prenait bien son temps, glissait un doigt. C'était un plaisir divin. Je sentais à cet instant que j'allais jouir comme jamais …
Il passait alors un bras sous mon ventre pour me soulever le bassin, il posait une main sur ma bouche. '' Si tu cris cris, je te bâillonne. '' . Il faisait une pose, comme pour attendre ma réponse. Je faisais oui de la tête.

Il poussait, doucement mais il poussait. Mon cul ne résistait pas et mon anus se dilatait. C'était l'horreur, je hurlais mais aucun son ne sortait de ma bouche. Sa main me faisait taire.

Son bassin s'écrasait sur mes fesses. Je sentais qu'il m'avais déchiré. La douleur était terrible. Je regrettais de l'avoir laissé faire. Je pleurais. Il se retirait mais il me faisait toujours aussi mal. Il retenait ses mouvements mais il était trop gros et je tentais de me dégager mais je ne pouvais vraiment pas bouger. Il m'immobilisait sans efforts, il était tellement fort.

Puis il revenait au plus profond de moi puis ressortait, ses mouvements restaient amples lents et contrôlés. A chaque fois c'était le cauchemars. La douleur ne passait pas. Je chialais, je n'essayais plus de me débattre, je ne pouvais pas bouger. Ma respiration était forte et irrégulière. Cent fois j'ai cru que mon cœur allait lâcher et je regrettais de l'avoir laissé faire.

Je ne sais pas combien de temps il m'a limé le cul, j'avais mal au cul mais pas seulement, j'avais aussi mal au ventre et tous mes muscles m'avaient abandonné. J'étais tous mou, je tremblais je gémissais, je pleurais. Ses mouvements devenait un peu plus vifs au moment ou il jouissait en moi et je sentais son étreinte devenir plus forte à ce moment précis. Puis il se relâchait, il s'écroulait de tout son poids sur moi. Ça par contre c'était agréable, je me retrouvais écrasé sur le sol, sa queue ressortait de moi mais la douleur ne passait pas totalement, loin de là. J'étais pas bien mais pas bien du tout. Je ne bougeais plus.

La douleur était telle ! Il m'avait déchiré, je regrettais vraiment ce que j'avais fait. Mes muscles tremblaient et refusaient de m'obéir.

Il restait à côté de moi, et me caressait le corps avec douceur. Au bout d'un long moment je me relevais, il me regardait, je suppose qu'il me regardait car moi je ne pouvais plus le voir. Je me dirigeais dans l'eau. J'y entrais avec appréhension. Je ne savais pas si je saignais beaucoup ou pas.

Je me caressais les fesses, je ne voyais rien d'anormal mais il faisait tellement nuit. Je ne disais plus rien, je tremblais, je commençais à me sentir mieux mais juste un peu. Je passais à côté de Sunny, je distinguais juste sa silhouette.

Sunny : Ça va Monsieur Jonathan ?

Je ne répondais rien, je ramassais mes vêtements et repartais vers la maison.

Pendant tout le retour, je passais ma main sur mes fesses, je restais inquiet. La douleur devenait moins forte mais je le sentais toujours. Je me glissais dans ma chambre puis dans ma salle de bain. J'allumais une lampe puis me lavais le cul. J'y allais tout doucement, c'était encore sensible, très sensible.

Je m'essuyais, mais finalement il n'y avait aucune marque suspecte, aucune trace de sang. Je me glissais un doigt dans le cul, il n'y avait pas de trace de sang mais à cet instant j'ai joui, j'ai joui comme jamais. C'était bon vraiment bon.

Je me séchais, tout semblait normal, mais j'avais encore mal. Je me couchais et je finissait pas m'endormir. J'avais un mal fou à m'endormir mais je ne pensais plus qu'à une chose.

Recommencer …


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