ET TOUJOURS EN ÉTÉ 10 SUNNY

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : ET TOUJOURS EN ÉTÉ 10 SUNNY Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 10 SUNNY
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 10SUNNY

Le lendemain je me réveillais tôt et j'avais toujours mal au cul. Samuel remarquait tout de suite quelque chose. Je ne parlais pas, et je faisais comme une grimace au moment ou la douleur me lançait.

Samuel : Tu as fait quoi hier soir. On t'a vu partir vers la rivière.
Moi : Qui ça on ?
Samuel : JE t'ai vu partir vers la rivière, et JE sais que quand JE me suis couché … TU n'étais pas encore revenu !
Moi : Ouai c'est bon . JE t'ai compris ! ( en râlant )Samuel : Mais qu'est ce qui ne va pas ?
Moi : Rien ! Tout va bien !

Il insistait, et finalement au bout d'un moment je lui racontais tout.

Samuel : La vache ! J'y crois pas !

On restait encore un long moment dans la salle de bain à discuter. J'avais mal au cul mais finalement tout allait bien, j'y étais simplement allé un peu fort. C'est vrai que je l'avais senti passer !

Ça m'avait fait du bien d'en parler à Samuel, on se connaît depuis toujours et on n'a aucun secret l'un pour l'autre. Je sais même quelle genre de grimace il fait quand il va jouir … C'est tout dire !

On descendait au petit déjeuner.

Sunny devait m'accompagner ce jour encore. Ça arrivait souvent depuis quelques temps, ma mission était de réparer des barrières et d'effectuer d'autres travaux de ce genre … Aussi pendant que Samuel jouait au cow-boy en courant dans tous les sens sur son cheval moi je partais avec un chariot bien chargé, parfois pour plusieurs jours, là je partais pour cinq jours.

Sunny m'attendait, il avait tout préparé, il avait les rênes en main et il m'attendait, imperturbable.

Je m'installait à côté de lui, il me saluait. Je le saluais également en le regardant un peu de travers mais je le saluais. Le chariot partait, je lui laissais les rênes. Un peu plus tard en sortant de la propriété, il me regardait …
Sunny : Vous allez bien Monsieur Jonathan ?
Moi : Oui ça va !

Je sentais qu'il voulait m'en demander plus mais il n'osait pas. Il faut dire aussi que la situation était cocasse. Vous imaginez l'esclave demandant à son maître … '' Je t'ai pas fait trop mal quand je t'ai enculé hier soir ? '' . En pensant à cette réplique je pouffais de rire.

Sunny ne savait pas quoi dire.

Sunny : Je peux vous demander quelque chose Monsieur Jonathan ?
Moi : Mais bien sûr, je t'écoute.
Sunny : C'est à propos de hier soir …Moi : Si c'est pour me demander si j'ai pas trop mal au cul, je te rassure. Oui j'ai encore mal au cul !
Sunny : Veillez m'excuser Monsieur Jonathan !
Moi : Si c'est pour savoir si on recommencera … Je te le dis on recommencera mais laisses moi récupérer !

Il accélérait, le chariot roulait maintenant à sa vitesse de croisière et je remarquais un sourire sur ses lèvres. On faisait une pause pour le repas du midi. On le préparait ensemble. Rapidement quand on se retrouvait comme ça à deux on partageait le travail, de loin rien ne permettait de deviner qu'il y avait là un maître et son esclave. Le lendemain, après une longue route on montait la tante.

On allait rester là pendant plusieurs nuit, il convenait de bien s'installer. Sunny était efficace au travail, il faut dire aussi que sa force était un atout. Le travail avançait plus vite que prévu. On en profitait pour faire des pause. Je lui apprenais les rudiments des armes à feu. Ça c'est absolument interdit. De peur d'être vu de loin, on ne le faisait que quand on était à couvert, sous un bois par exemple.

Sunny était doué, par la suite il tirait vraiment bien. Un jour me voyant lire il me disait que lui n'avait jamais appris … Ça aussi, c'était interdit, mais je lui donnais quand même des leçons et là aussi il était doué, il apprenait vite, vraiment vite et il finissait par lire couramment. Sunny était vraiment très intelligent.

On dormait sous la même tante, c'était plus simple et pour moi pas vraiment plus désagréable.

Les premières nuits on restait sage. Mais l'avant dernière nuit, je ne parvenait pas à m'endormir malgré la fatigue et je le regardais, il dormait déjà allongé sur le dos, la tête douillettement posée sur un tas de tissus qui lui servait d'oreiller. J'étais allongé sur le côté et mes yeux admirait son corps. Il était torse nue, je n'avais pas éteint la lampe à pétrole et ses muscles semblaient danser sous la faible lumière de cette petite flamme tremblotante.

Sunny : Quelque chose ne va pas Monsieur Jonathan ?
Moi : Pourquoi tu me dis ça Sunny ?
Sunny : Depuis un long moment maintenant vous me regardez Monsieur Jonathan.

Il tournait alors la tête vers moi, me faisait un large sourire, il n'osait pas faire le premier pas mais j'avais à peine esquissé un mouvement dans sa direction qu'il refermait ses bras autour de moi. Je refermais moi aussi les bras sur lui, je m'allongeais sur lui et l'embrassait sur le torse, le cou et finalement mes lèvres se posaient sur les siennes.

Je sentais sa queue se relever là juste sous la couverture, ma queue aussi se manifestait. Je repoussais la couverture et restais là quelques instants immobile à regarder sa bite. Je n'en revenais pas, c'est ça que je m'étais pris dans le cul. Je lui caressais les couilles et lui passais la langue sur le gland. Il avait l'air d'aimer, je recommençais, je passais mes lèvres tout autour de sa queue et appuyais la tête, sa queue entrait lentement dans ma bouche.

Un soupir de plaisir lui échappait puis il me caressait les cheveux. Il n'appuyait pas il me laissait faire et se contentait de m'encourager en manifestant son plaisir.

Il m'attrapait une cuisse et me tirait vers lui. On se retrouvait alors allongés l'un contre l'autre mais pas dans le même sens. J'étais le premier surpris, je parvenais à prendre sa queue presque en entier dans ma bouche. C'est vrai que j'avais de l'entraînement avec mon cousin. Mon cousin et moi étions très proches.

Sunny me caressait les couilles, il me masturbait doucement. Je le suçais avec passion. C'était une très grosse mais aussi une très belle queue. J'étais fasciné. Je finissais par la gober en entier, jusqu'au fond de la gorge. Il faut bien synchroniser sa respiration sinon ça coince. C'est là que j'avais le plus de mal.

Ça semblait l'amuser, il appuyait doucement sur ma tête, mon nez s'écrasait sur ses couilles. C'était dur à encaisser mais j'étais tellement fasciné que je me forçais, je ne voulais pas lâcher et quand je relevais la tête c'était pour reprendre mon souffle et avaler de nouveau sa queue bien à fond.

Il me caressait les fesses. Je frissonnais, là il faut bien dire que je savais ce qu'il pouvait en faire de mes fesses. Je n'avais plus mal au cul mais je ne me sentais pas encore capable de refaire mes exploits de l'autre jour. J'avais la trouille. C'est qu'il m'avait vraiment fait mal. J'avais aimé, je savais que je recommencerais mais là, c'était encore un peu trop tôt.

Il y allait doucement, un doigt se glissait entre mes deux fesses, il insistait doucement sur le petit trou qui s'y trouve sans forcer, sans tenter de s'y glisser. Il me caressait les fesses avec la plat de la main, la caresse était douce et réconfortante.

Je le masturbais tout en lui suçant la queue, je relevais la tête je la baissais de nouveau. Sa queue ressortait de ma bouche et y retournait. Je commençais à avoir mal à la mâchoire mais je ne voulais par renoncer. J'étais fasciné ! Je fermais les yeux et me concentrais sur mon plaisir et sur le sien.

Il me lubrifiait les fesses comme il l'avait fait l'autre jour, je contractais mes fesses par réflexe, je me souvenais de cette violence de l'autre jour au moment ou sa queue ouvrait mon petit cul et s'y enfonçait. Mon souffle devenait plus fort, mon cœur battait plus vite. Son doigt s'attardait plus longuement sur mon anus.

Il me massait l'ouverture de mon cul d'un mouvement circulaire en appuyant plus fort. Ce n'était pas douloureux, au contraire. Mais si d'un côté c'était une certaine douceur, juste un doigt. De l'autre c'était la violence, la violence qu'annonçait la taille démesurée de son membre, la terreur que cela m'inspirait, l'envie d'y goûter de nouveau, la peur de le faire. C'était la violence, oui, la violence de cette pénétration, la panique que j'avais éprouvé à ce moment, au moment ou la douleur m'envahissait.

J'avais envie de me la prendre dans le cul mais j'en avais terriblement peur !

Mon cœur paniquait, mon souffle s'affolait, je le masturbais, il respirait fort et sans prévenir me jutais à la figure … Je prenais une giclée sur le nez, une dans un œil, une sur la joue. Il enfonçait un doigt dans mon cul et instantanément je jutais, j'ouvrais la bouche pour gueuler de plaisir et je prenais une dernière giclée dans la bouche.

Finalement il n'y a pas que mon cousin qui aime bien éjaculer sur ma figure. C'est à se demander s'il ne le font pas exprès, s'ils ne se sont pas passé le mot …
On s'essuyait et c'est dans ses bras que je m'endormais. J'ai bien dormi cette nuit là !

On se réveillait en forme, le travail avait bien avancé et c'est vrai que la présence de Sunny n'y était pas pour rien. C'est une force de la nature et il sait être d'une grande douceur. On avait terminé le boulot tôt dans la matinée mais lui, comme moi n'étions pas pressés de rentrer. On rangeait les outils, on repliait la tante, on repartait mais sans nous presser.

Je connaissais un coin tranquille. Une des courbes de la rivière, qui traversait une forêt, une des nôtre, on était à couvert. L'après midi on s'est baigné, je lui ai donné sa première leçon de natation. Cet homme est vraiment une merveille, il est grand, d'une force herculéenne mais quand je lui tenais le menton pour qu'il ne boit pas la tasse alors qu'il tentait maladroitement de faire les mouvements, je sentais aussi ses faiblesses et je n'avais pas envie d'en profiter. Abuser de lui peut être mais pas profiter de lui … Non c'est pas pareil, ça veut pas forcément dire la même chose !

Plus tard on faisait un exercice de tir, dans le bois personne ne pouvait nous voir. Sunny est vraiment bon, il n'y a pas longtemps qu'il s'entraîne et déjà il est bien meilleur que moi.

On traînait longuement sur la berge, on profitait de la fraîcheur, on jouait comme des gamins. Dans ces moments de douceur que nous partagions, il ne m'appelait plus Monsieur mais juste Jonathan.

Quand il m'attrapait pour jouer je me débattait, pour jouer. Il bandait, c'était pas pour jouer, je me retournais dans ses bras, on ne jouait plus, je bandais. Je le serrais très fort contre moi et je l'embrassais avec passion. Je me sentais bien protégé dans ses bras qui m'enveloppaient, je sentais sa force mais je connaissais aussi ses fragilités.

Je le recouvrais de caresses, il me couvrait de baisers. J'avais une violente envie de sa queue. Je me laissais tomber sur le sol à genoux devant lui et prenait sa queue dans ma bouche. Il me prenait la tête entre ses deux mains et me guidait avec douceur.

Je commençais à avoir l'habitude de me prendre sa queue dans la bouche et j'aimais de plus en plus. Sa queue me fascinait. Ses proportions aussi étaient belles. Bien larges, bien longue, bien épaisse , sa queue était un rêve. Je rêvais de me la prendre dans le cul mais là ça risquait de devenir un cauchemar, j'avais la trouille, une peur terrible mais j'en avais de plus en plus envie et je savais que j'y reviendrais.

Sunny me retenais la tête et avançait et reculait son bassin, il surveillait avec attention la moindre de mes réactions. Je le laissais faire et je me masturbais. J'ouvrais la bouche et avalais, je sentais son gland s'écraser contre le fond de ma gorge, je me régalais, j'avais un peu mal à la mâchoire mais je me régalais. Je me masturbais d'une main et de l'autre je lui caressais les cuisses, je remontais vers ses fesses.

A chacun de ses mouvements je sentais ses muscles se contracter, ça me rappelait au cas ou j'aurais pu l'oublier qu'il avait des muscles partout. Puis brusquement ses mouvements devenaient plus rapides, il faisait un peu moins attention à moi et me jutais dans la gorge. En même temps je recevais un coup de bite violent, celui là j'avais du mal à l'encaisser mais il retrouvait aussitôt son contrôle et de nouveau devenait très doux. Je continuais à me masturber et rapidement je jutais.

Jusqu'au soir on ne bougeait plus. Sunny apercevait un lapin de loin, il prenait le fusil et on avait notre repas du soir. On passait la nuit à la belle étoile. J'aimais vraiment ces moment ou je partais travailler loin de la maison avec mon camarade, avec lui je me sentais vraiment bien.

Je me sentais bien aussi à la maison et plus on s'en rapprochait plus l'impatience montait. La journée suivante était longue à n'en plus finir, on roulait toute la journée, les pauses nécessaires pour les chevaux et le roulis monotone rendait le retour long, très long. Je prenais les rênes puis les passais à Sunny, il me les repassait. Le soir on n'était pas encore arrivé. On était dans les délais, une nouvelle nuit à la belle étoile et c'est le matin suivant qu'on franchissait l'entrée de la propriété.

Là Sunny redevenait mon esclave, il fallait faire attention aux gestes que nous aurions l'un envers l'autre. Il m'appellerait de nouveau Monsieur et même si nous traitons toujours très bien nos esclaves il y avait ici une frontière infranchissable qui nous séparait.

Nous voyant arriver mon cousin courait vers nous, j'avais à peine posé le pied à terre qu'il me sautait dessus, me prenait dans ses bras et me glissait à l'oreille …
Samuel : Je suis fiancé moi aussi, on a fait la demande officielle il y a deux jours, on va se marier en même temps !

On se cramponnait l'un à l'autre et on dansait pour manifester notre joie.



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