ET TOUJOURS EN ÉTÉ 12 UN BEAU MARIAGE

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : ET TOUJOURS EN ÉTÉ 12 UN BEAU MARIAGE Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 12 UN BEAU MARIAGE
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 12UN BEAU MARIAGE

C'était une grande fête. Ce jour là tous les commerçants du village nous ont béni. Nous avions organisé une fête un repas était offert au petit peuple sur la place du village et on avait prévu large pour le vin, les personnalités importantes étaient invitées à notre maison, quelques centaines d'invités. Dans le jardin on avait installé des tables, des tentes …
Même nos esclaves avait une journée de repos. On n'avait oublié personne.

Quand le révérant posait la question qui tue à mon cousin …
Le révérant : Acceptez vous de prendre pour légitime épouse …Samuel : Oulala que oui ! Il était temps même je dirais !

Tout le monde éclatait de rire. Et comme on était dans la bonne humeur sa fiancée elle répliquait. '' La franchement, là moi j'hésite, finalement ça m'a l'air d'être un petit rigolo ! ''. Vous auriez vu la tête qu'il a fait.

Sarah et moi étions plus sérieux, on se contentait de répondre ce qui était prévu … '' Oui je le veux !'' .

Il y avait ensuite le repas, on avait vu grand plusieurs plats par convive. Suivait un bal. Je ne vous dis pas comment les mariés étaient beaux, mais là c'est normal je parle aussi de moi. Les mariées par contre étaient sublimes, Samuel et Moi étions totalement amoureux. Sunny avait voulu assurer le service, il avait son costume de valet sur le dos et lui aussi il était beau. Quand il me regardait, je lisais comme de l'inquiétude dans son regard.

Avec un grand sourire il venait me servir un verre de très bon vin, il en profitait pour me glisser à l'oreille.

Sunny : Monsieur Jonathan, je peux toujours compter sur vous pour mon projet ?
Moi : Je ne te laisserai pas tomber, donne moi seulement une semaine. Juste une semaine et nous partirons en voyage comme promis.

Je savais que son inquiétude montait, maintenant il avait peur que je ne respecte pas ma promesse. Ce qui avait été un rêve, était devenu un projet, et maintenant c'était imminent et si je le laissais tomber il aurait été très malheureux. Peut être même aurait-il fait une bêtise.

Les mariés se retiraient tôt comme il convient pour consommer le mariage. On m'avait changé de chambre et pour ce qui est de Samuel sa chambre était dans sa nouvelle maison et c'est dans un carrosse grand luxe qu'il s'y rendait.

J'avais déjà une certaine expérience mais dans cette situation mon expérience était loin d'être certaine ... On avait dans la bibliothèque des livres très particuliers si j'ose dire. Dans notre société, le sexe n'était pas quelque chose d'interdit. Sauf en dehors du mariage, mais on nous apprenait très tôt comment on faisait les enfants et on nous apprenait aussi que le mariage servait à découvrir des plaisirs qu'entre époux nous pouvions partager, nous ne devions rien nous interdire …
Sarah avait reçu elle aussi une éducation sexuelle, certainement pas la même que celle que j'avais partagé avec mon cousin mais … peut être. Elle s'approchait de moi, certainement intimidée. Moi je l'étais en tout cas. Elle me tendait ses bras, je m'approchais et on se prenait dans les bras. Elle me donnait un baiser et je ne sais pas si on lui avait expliqué mais elle savait embrasser, elle embrassait très bien même.

Ensuite avec douceur elle ouvrait ma chemise en prenant bien son temps, bouton par bouton et elle glissait sa main contre ma poitrine. Ce contacte était doux et chaud et ma queue réagissait rapidement à ce contacte. Ma queue se redressait et la toile de mon pantalon ne la contenait pas vraiment.

Sarah baissait les yeux et semblait amusée.

Sarah : C'est donc de cela qu'il s'agit.

Elle y posait sa main sans montrer de gène. Elle était amusée, curieuse ou vicieuse ? Là je dois dire que je ne savais plus quoi penser. Elle n'insistait pas et continuait à me déshabiller. Je me retrouvais torse nue, vous savez moi aussi je suis beau et musclé. Elle se collait à moi et me donnait des baisers sur les épaules.

Ensuite elle ne bougeait plus, et me regardait avec un grand sourire. Je ne savais plus quoi faire …
Sarah : C'est à toi maintenant.

Je réagissais. Avec douceur autant qu'avec maladresse je lui retirait le voile qu'elle avait encore sur la tête et posait ensuite mes deux mains sur les côté de son torse, pas directement sur ses seins, mais je les sentais bien. Ils semblaient fermes, pas très gros, je pouvait les recouvrir de la main .

En riant elle redressait le tête et m'offrait sa gorge en relevant la tête, je m'approchais d'elle, je sentais sa poitrine, je lui donnais un baiser dans le cou et je finissait pas comprendre qu'il fallait que je lui ouvre son corsage. Je faisais comme elle, je faisais sauter les boutons un par un et en quelques instants je découvrais sa poitrine nue.

Je n'avais jamais imaginé qu'une femme pouvait être aussi belle. Elle était menue, sa poitrine était fine et ferme. Je la caressait avec le dos de mes doigts que je faisais glisser depuis son menton jusque sur son ventre, je m'attardais un petit moment sur ses seins. Elle me regardait avec un grand sourire et je sentais ses mains qui glissaient sur tout mon torse et s'arrêtaient sur le ceinture de mon pantalon.

Sarah : Voyons ce que les hommes ne veulent jamais montrer et qui semble être le centre de toute leur attention. Ma mère m'en a parlé, elle m'a dit tant de choses.

Elle avait été briefée, ça ne faisait plus aucun doute.

Elle ouvrait mon pantalon qui tombait sur mes chevilles. Ma queue se dressait fièrement devant moi. Elle regardait, doucement me la caressait et cette caresse me faisait bander encore plus fort.

Sarah : Ça marche comment ?
Moi : Euh je sais pas.
Sarah : ( en rigolant ) Tu ne ne sais pas ? Voilà qui devrait être embarrassant, si toi tu ne sais pas comment ça marche alors que tu en a une.

Je ne savais plus quoi dire, plus quoi faire.

Sarah : Ma mère m'a aussi dit que souvent les hommes pour leur nuit de noce ne sont pas toujours très dégourdis. Je me trouve encore très habillée.

Là j'avais compris le message, je cherchais des yeux comment on ouvrait la jupe. Elle se retournait et me montrait les lacets qui retenaient la jupe. En tremblant, je l'ouvrait et sa jupe tombait sur ses pieds. Elle était nue, ses fesses étaient fine et je ne résistait pas à l'envie de toucher. C'est vrai que j'avais le droit.

Jonathan : Tu n'as pas l'air d'être gênée par la situation. C'est …Sarah : C'est le jour de notre mariage et ma mère m'a expliqué que le mariage … C'est pour que nos corps se mélange, n'en forme plus qu'un, que nous ayons des enfants mais aussi du plaisir.

Elle me tournait le dos en disant cela, je l'approchais la prenait dans mes bras, la serrait contre moi, ma queue se glissait entre ses cuisses juste sous ses fesses et je caressais son corps.

Je m'attardais longuement sur son ventre, avec le plat de la main j'explorais son entre jambe, elle me guidait d'une main, avec mon autre main je lui caressais la poitrine. Je sentais ses téton se dresser sous ma main. Je pensais à Sunny qui était capable d'une immense douceur alors qu'il était une montagne de force et je m'en inspirait.

Elle penchait la tête en arrière puis sur mon épaule et je la couvrais de baisers dans le cou et sur l'épaule. Elle glissait ses deux mains dans son dos pour me caresser le corps ou juste pour me toucher.

Elle se retournait, je la laissais faire. Ma queue se redressait contre mon ventre. Nous étions là au milieu de notre chambre, nus, enlacés. Elle me guidait, je veux dire elle guidait ma queue, je suivais le mouvement et je sentais ma queue s'introduire en elle.

Sarah : Vas y pénètre moi.

Je poussais fort, lentement mais fort. Je ne savais pas si ça résisterait, si ça glisserait, si ça … Bein oui on ne m'avait pas tout dit, on avait un peu oublié les détails. Elle avait l'air d'apprécier, un moment elle faisait une grimace, c'était un peu de douleur ? Je ne savais pas, elle s'accrochait à mon cou, je passait mes deux mains sous ses fesses. Elle relevait les jambes et les refermait fermement dans mon dos. Ma queue était entrée totalement, c'était doux, c'était chaud, c'était bon .

Je la soulevais doucement et me dirigeait vers le lit. Avec une grande douceur je me penchais, la déposais sur le lit et m'allongeait sur elle. Je sentais son ventre se contracter autour de ma queue. Je l'embrassais et en même temps je me retirait et m'enfonçais de nouveau en elle.

Je recommençais, un peu plus vite, un peu plus lentement. Bien enfoncé en elle je poussais mon ventre contre le sien, elle semblait apprécier. Elle gémissait de plaisir et me caressait le dos. Ses mouvements devenaient plus fous, plus rapides, plus agités. Je sentais son corps se tordre entre mes bras, je sentais son corps se contracter autour de ma queue. Sa respiration devenait irrégulière, elle gémissait, se yeux se retournaient.

Je ne comprenait plus ce qui se passait, mon corps lui aussi réagissait d'une manière incontrôlable. Mon souffle s'accélérait également et se synchronisait sur le sien.

C'est dans un gémissement de plaisir que je jouissait, j'éjaculais. Je ne sais pas si elle l'a ressenti mais c'est en même temps que nos deux corps se contractaient avant de se relâcher totalement.

Je passais une bonne partie de la nuit à explorer comment son corps était fait, elle en faisait de même. Il y avait quelques petites traces de sang dans le lit. Je m'en inquiétait mais elle me rassurait en m'expliquant '' C'est normal mon amour, ça veut seulement dire que tu es le premier … C'est normal''...

On s'endormait, je me réveillais elle était dans mes bras. Un peu plus tard nous descendions à la salle à manger. On nous avait réservé un coin sur la terrasse.

On passait la journée à nous promener, à ne rien faire, on saluait les invités qui avaient passé la nuit à la maison. A midi nous allions dîner chez la famille de Sarah. J'y retrouvais Samuel qui, lui aussi, avait des étoiles dans les yeux.

On s'était réservé quelques jours de pur bonheur. Mais les nuages sombres arrivaient. On parlait de la guerre.

Les régions du nord nous avaient déclaré la guerre.

Un oncle : Mais ça n'a aucun sens, nous somme une même nation.
Mon père : Nous commerçons toujours, en ce moment encore, avec le nord !
Ma tante : En plus nous avons la même monnaie ! C'est incompréhensible !

Trois jours plus tard, j'étais avec Sarah dans ma chambre. Sunny frappait à la porte, il entrait.

Sunny : Monsieur Jonathan, il faut que je vous parle à propos de ce voyage que vous aviez planifié.

Sarah écoutait, je lui avais dit que j'aurais quelque chose de très important à faire. Je ne savais pas comment réagir. La présence de ma femme m'embarrassait.

Sunny : On dit que la frontière va bientôt être fermée, si nous ne partons pas tout de suite, nous ne pourrons pas passer.
Moi : Oui bien sûr, mais enfin Sunny ..
Sunny : Je t'en supplie Jonathan.

Sous l'effet de l'angoisse il avait oublié le protocole et je ne m'en offusquais pas. Sarah se relevait se dirigeait vers Sunny.

Sarah : Vous allez me dire ce que vous me cachez tous les deux !

Personne ne lui répondait.

Sarah : Jonathan, Sunny ……Sarah : Jonathan, je suis ta femme, tu ne doit rien me cacher. J'ai aussi le devoir de te soutenir dans tout ce que tu juges juste. J'exige de tout savoir !

Je jetais un œil en direction de Sunny et racontait tout à ma femme. Quand je terminais, Sunny était assis sur la chaise, on n'avait complètement oublié le protocole.

Sarah : J'ai appris que les esclaves n'ont plus le droit de se déplacer comme d'habitude. Des milices se sont formées et surveillent tous les mouvements. Si nous voulons avoir des chances, nous devons partir maintenant.

Sunny regardait longuement ma femme. Ce jour là elle m'a surpris, très agréablement surpris. Moins d'une heure plus tard nous étions prêts. Sarah était habillée et nous accompagnait.

Sarah : Avec une femme avec vous, nous passerons plus facilement. Aucun homme ne part en guerre avec son esclave trois jours après son mariage à moins d'y être obligé. Mais même dans ce cas il ne partira jamais avec sa femme !

Elle n'avait pas tort.



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