ET TOUJOURS EN ÉTÉ 13 TAXI

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : ET TOUJOURS EN ÉTÉ 13 TAXI Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 13 TAXI
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 13TAXI

Sarah avait demandé qu'on prépare un attelage immédiatement, avec insistance elle désirait qu'il soit prêt dans la minute, personne ne posait de questions. On venait de se marier et nous avions sans doute envie de passer quelques jours entre nous.

Pour ce qui est de tout ce dont aurait besoin Sunny, ça faisait un moment que tout était prêt et je le voyais arriver avec une malle sur l'épaule, il la portait à une main. Dedans il y avait des vêtements qui lui permettrait de passer inaperçu, j'y avait aussi glissé deux revolvers ainsi que plusieurs boites de cartouches. On ne sait jamais il aurait peut être à se défendre, en plus il tire aussi très bien au revolver.

Nous arrivions au village, un groupe d'hommes armés nous arrêtait. '' L'embarcadère est fermé ! '' nous lançait un des hommes.

Moi : Mais il y a un bateau et des gens y montent en ce moment même !

Ils avaient l'air embarrassés, ils nous reconnaissaient. Sarah apercevait un homme qu'elle connaissait. Sans rien me dire elle descendait de la calèche et se dirigeait rapidement vers lui. Je ne comprenait pas tout de suite ce qui arrivait mais quelques instants plus tard elle revenait, elle avait un air charmeuse que je ne lui connaissait pas. Il la suivait avec un air idiot en rigolant bêtement.

Sunny et moi échangions un regard aussi surpris qu'incrédule.

L'homme : C'est bon laisse les passer, il faut qu'il se rende rapidement avec son esclave à la chambre des échanges. On connaît bien cette famille.

On arrivait à prendre le bateau qui allait partir, de justesse mais on y arrivait. Il n'y avait plus de cabine mais on se trouvait une petite place sur le pond.

Sarah ne faisait pas partie du voyage et mon cœur se déchirait en voyant la silhouette de Sarah dans sa belle robe blanche s'éloigner sur le l'embarcadère. Je ne la lâchait pas du regard, je distinguais encore cette petite tache blanche, elle remontait dans la calèche et je la devinais repartant vers la maison. J'aurais tellement voulu repartir avec elle et je cachais une larme.

La traversée était longue, on cherchait à s'installer comme on pouvait. On ne lâchait pas la malle, son contenu était précieux pour nous. Sunny ne disait rien.

Moi : On peut encore faire demi tour !

Il faisait non de la tête.

Sunny : Tu sais Jonathan, ce que tu fais là pour moi je ne l'oublierai jamais.

Il était tard dans la nuit quand on arrivait au fleuve, jusque là on était sur un de ses affluant, ces petit bateaux nes ont pas rapides. La frontière était fermée. Sunny et moi recherchions un bateau pour faire la traversée. Quelques heures avant le lever du soleil on en trouvait un.

Le passeur : Alors comme ça mon petit bonhomme tu veux te rendre dans le nord avec ton esclave.
Moi : Ça n'a rien d'extraordinaire. Je me rends souvent dans cette région et je ne comprend pas pourquoi brusquement, depuis ce matin je ne peux pas !
Le passeur : Tu sais que ton esclave, ce ne sera plus ton esclave de l'autre côté du fleuve.
Moi : Ne t'inquiète pas de ça.
Le passeur : Bon c'est d'accord je te fais passer, il faut que tu sois prêt dans dix minutes, par contre il faut payer à l'avance.

Je lui donnais une pièce d'or, il rigolait, une seconde … '' Encore un effort mon petit monsieur ''
Moi : Trois je t'en donne trois, tu n'en auras pas plus.

Sunny avançait pour monter sur le pont du bateau.

Le passeur : Doucement mon gars, toi tu attends que je t'invite à monter.

On voyait un des marin qui commençait à larguer les amarres, Sunny sautait sur le bateau en me criant : '' Il va nous rouler !'' . Je le suivais. Le passeur hurlait plusieurs de ses hommes arrivaient, ils étaient armés.

Sunny ne lâchait pas la malle qu'il tenait toujours d'une seule main sur son épaule. Avec l'autre main il attrapait le passeur par la gorge et le soulevait à bout de bras. Je pointais ma carabine sur la tempe du gars.

Moi : Jetez vos armes à l'eau !

Voyant que je ne plaisantais pas il s'exécutaient. Sunny reposait le bonhomme qui nous regardait l'air méchant. Le bateau avait déjà quitté l’embarcadère.

Lui : Mais vous êtes qui vous, certainement pas de simples voyageurs ?
Moi : Par contre toi tu es un vrai escroc. Tu as été payé et tu voulais nous rouler. Nous voyagerons avec toi, derrière toi dans la passerelle et un de nous t'auras toujours à l’œil.

Déjà le bateau s'éloignait de la berge. C'est qu'ils nous auraient laissé sur place … Sunny changeait de vêtements, il enfilait ceux qui étaient dans la malle. Il cachait ses armes sur lui, sous ses vêtements.

C'est vers la fin de la matinée qu'on arrivait sur l'autre côté du fleuve.
L'ambiance y était totalement différente. Il y avait des militaires un peu partout. Sunny ne passait pas inaperçu, ses vêtements étaient neufs, et il avait belle allure. On ne se séparait pas tout de suite, il m'accompagnait pour trouver un bateau pour mon retour. Le fleuve était bloqué, la frontière totalement fermée.

Sunny : Tu sais Jonathan, là je regrette de t'avoir entraîné dans cette aventure. Qu'est-ce que tu vas faire ?
Moi : Ma famille à une propriété encore plus dans le nord, l'hiver il y neige mais j'espère bien que j'aurai trouvé une solution avant l'hiver. Ne t'inquiète pas pour moi.

A cet instant on entendant des cri. On courait voir, c'était un jeune homme noir qui se faisait brutalisé par un blanc. Sunny attrapait le blanc par l'épaule qui voyant le géant ne tentais pas vraiment de jouer les héros, il préférait ne pas résister.

Lui : Mais c'est vrai au prix que je l'ai payé il n'y a pas dix jours, il faudrait que j'accepte de le libérer !
Moi : Et c'est une raison pour le frapper ?
Lui : J'en fais ce que je veux je l'ai payé !
Moi : Et mon ami va te casser le bras avec une seule main si tu continues !

L'homme était blanc mais là il devenait tout pâle. Le noir était tout jeune, un peu plus jeune que moi, il ne savait pas quoi faire, il était désemparé.

Sunny : Dis moi mon frère sais-tu ou aller.

Il faisait non de la tête.

Sunny : Alors si tu veux bien tu peux suivre mon ami, il aura besoin de quelqu'un qui prenne soin de lui …
C'est là qu'on s'est séparé. Je lui donnais la carabine c'est avec celle là qu'il avait appris à tirer, la cartouchière, des munitions et une bourse bien remplie. On s'est fait l'accolade, on ne voulait pas se lâcher mais nos destins se séparaient ici.

Je me retrouvais avec ce jeune homme qui paraissait encore plus perdu que moi.
Pour commencer, il y avait urgence, il sentait terriblement mauvais.

Moi : Il y a combien de temps que tu n'as pas pris une douche toi ?

Bêtement il reniflait ses vêtements, enfin ses haillons. On trouvait un de ces bains-douche, c'était tenu par un asiatique qui nous recevait sans faire de manières.

Il se déshabillait devant moi, il était vraiment sale. Je le regardais retirer sa tunique, c'était une horreur elle aurait tenu debout toute seule. Mais elle cachait un torse mince, discrètement musclé et sous la crasse, on devinait que sa peau avait un grain très fin. J'en devinais la douceur. Déjà ma queue commençait à se manifester.
Suivait ensuite son pantalon, lui aussi il tenait debout tout seul.

Son corps était élégant, mince mais bien proportionné. Il ne ressemblait pas du tout à Sunny. Sa queue, c'est important ça la queue chez un homme, était agréable à regarder. Elle faisait moins peur, elle avait l'air toute petite. A poil il n'avait pas l'air dégourdi mais moi je me rinçais l’œil. Finalement il était mignon, évidemment il ne fallait pas regarder de trop prêt la touffe de poils emmêles qu'il avait sur la tête, il y avait des trucs qui bougeaient dedans aussi je décidais de procéder d'une manière radicale. Je lui rasais la tête.

Il ne protestais pas, il se laissait faire de bonne grâce. Le tenancier de ce bain douche arrivait et restait catastrophé en voyant la couleur de l'eau. Je rigolais, je jeune homme paraissait embarrassé, il était entièrement nu devant nous. Sa queue avait pris du volume et paraissait de bonne taille maintenant, enfin de taille normale si je m'en réfère à la mienne.

Le tenancier : Je crois qu'il va falloir un deuxième bain monsieur !
Moi : Tu pourrais lui trouver aussi des vêtements propres, tout ce qu'il lui faut ? Et prépare deux bains je vais en prendre un aussi.

Pendant que le personnel préparait les deux bains que j'avais demandé je regardais mon nouveau camarade. Il était nu, il commençait à se détendre, déjà avec les cheveux court et même s'il avait encore besoin d'un second bain il avait déjà bien meilleure allure.

Sa peau semblait douce, et j'avais bien envie de le vérifier de plus prêt. Il avait une bonne tête, il était jeune, il avait une musculature fine mais c'est vrai qu'il était maigre. Son ventre était plat et on voyait s'y dessiner une petite tablette de chocolat. Détendu et réconforté, sa queue pendait, finalement elle n'était pas si petite que ça, la chaleur du bain l'avait revigorée.

Je me déshabillais devant lui. Il me regardait fixement, je le voyais, ses yeux parcouraient mon corps en commençant par mon visage. Je vous l'ai dit il me semble, je suis plutôt mignon, très mignon même. Il s'arrêtait un instant sur ma poitrine, puis son regard continuait plus bas et marquait une longue pose quand il arrivait à ma bite. Il gardait toujours cet air farouche, méfiant et n'osais pas me regarder en face. Mais ses yeux,eux, allaient droit au but.

Je faisais la même chose que lui je l'observais et j'aimais ce que je voyais.
Finalement il me plaisait bien ce petit gars et à cet instant j'avais oublié tous mes soucis. Ma bite commençait à prendre du volume, il le remarquais et je voyais la sienne en faire autant.

On se glissait dans nos baquets respectifs, ils étaient côte à côte. J'en profitais pour faire plus ample connaissance. En voulant attraper le savon mon bras touchait le sien, il se rétractait rapidement.

Lui : Non il ne faut pas !
Moi : Qu'est-ce qui ne va pas !

Il avait l'air confus, je lui prenait le bras, sa peau était douce, je me retenais d'en toucher plus mais là j'avais du mal. Il voulait se dégager et se relevait, il bandait et il en avait une belle. Il se rasseyait dans le bain et se ratatinait sur lui même.

Je l'attrapais par les épaules.

Moi : Il y a quelque chose qui ne va pas, c'est moi qui te met dans cet état ?

Il n'osait plus me regarder, il cachait son sexe.

Moi : Bon tu me racontes ce qui t'arrive !

Ce n'était pas une question c'était un ordre. Je ne l'avais pas lâché et sans le faire exprès je lui caressait le haut du torse, en m'attardant sur ses tétons. Il y avait quelques muscles, ils était fin mais bien réel. Sa peau était douce, terriblement douce et j'avais eu une mauvaise journée et une mauvaise nuit, je ne sais pas mais … J'avais envie d'un câlin et il était là.

Je me penchais vers lui et l'embrassais sur la bouche, maintenant qu'il sentait bon il devenait vraiment attirant. Je glissait une main dans son baquet et lui caressait le ventre en descendant vers sa bite. Il ne semblait pas résister, il restait totalement passif. J'arrivais à sa queue, il bandait au moins autant que moi. Avec mon autre main je lui caressais l'épaule et le haut de son bras, c'est à ce moment que j'ai senti sa main sur ma queue. Il me masturbait avec une grande douceur. Il avait passé une main juste derrière ma tête et me rendait mon baiser. Quand il retirait sa tête en arrière il me regardait dans les yeux, j'étais bouleversé. Il avait des yeux noirs, dans lesquels je pouvais me voir.

Je lui caressais le visage et je le voyais alors d'une manière totalement différente. C'était un très beau jeune homme que j'avais dans mes bras, il était un peu maigre et je sentais comme un gargouillis dans son ventre ou alors c'était dans le mien, je ne pouvais pas vraiment le dire en sortant d'ici on irait manger !

Il se relevait devant moi, je lui caressais le corps, et au moment ou il se retrouvait debout je lui suçais la queue. Il était surpris, et voulait me retenir. Je levais les yeux vers lui et avait l'air surpris. Je me cramponnais à ses cuisses et il finissait par me laisser faire.

Au bout d'un long moment je me relevais à mon tour, il me rendais alors le plaisir que je lui avait donné. Il faisait ça très bien, mais vraiment très bien. Il se relevait au bout d'un long moment et me couvrait de baisers jusqu'à mon épaule, il me glissait alors à l'oreille.

Lui : Prend moi Monsieur !

Il se retournait et se penchait en avant.

Je ne sais pas si vous avez remarqué mais avec les hommes en général c'est moi qui me retrouve dans cette position. Mais ça me faisait plaisir de faire cette nouvelle expérience. Je lui lubrifiais alors longuement le cul, j'en faisait autant pour ma bite, je prenais position et enfonçait lentement ma queue dans son cul.

Il ne résistait pas, il relevait la tête et gémissait de plaisir. Je ressortais pour revenir bien à fond, il en redemandait encore. J'accélérais le mouvement, ses gémissements devenaient plus intenses. Je me lâchais et mon bassin claquait contre ses fesses. Il se masturbait. Je me penchais sur lui et passais mon bras autour de son cou, je le relevais il était debout devant moi, il se masturbait ma queue lui limais le cul avec une certaine violence.

On a joui en même temps. Il tournait la tête vers moi et on s'embrassait.
Rapidement on sortait de l'eau, la couleur de l'eau avait à peine changée, on était propre. On se séchait, il me regardait un peu plus directement maintenant. On s'habillait, les vêtements que notre hôte asiatique avait trouvé étaient propre, à peu prêt à sa taille et c'était satisfaisant, on lui trouvait aussi des chaussure, je payais et on sortait.

Un nouveau gargouillis dans son ventre, là je savais que c'était pas dans le mien, me rappelait qu'on avait faim. Je remarquais rapidement que seuls les restaurants tenus par asiatiques acceptait de servir mon camarade, je ne connaissait pas cette cuisine mais elle ne devait pas être plus mauvaise qu'une autre …


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