ET TOUJOURS EN ÉTÉ 16 LE BOUT DU TUNEL

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : ET TOUJOURS EN ÉTÉ 16 LE BOUT DU TUNEL Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 16 LE BOUT DU TUNEL
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 16LE BOUT DU TUNEL

Je suis resté des semaines dans mon lit sans être capable de me lever. Il était toujours là, dès que j'avais besoin de quelque chose.

Il passait à la banque, nous n'avions presque plus de liquidité. Bien sûr il se faisait jeter mais le lendemain le banquier venait en compagnie de deux policiers pour tirer cette histoire au clair.

J'étais levé, pour une fois, en robe de chambre dans mon salon, devant un feu qui réchauffait la pièce. Il faisait entrer le banquier qui vérifiais mes papiers, mon identité ainsi que celle de Taxi. L'officier que je connaissais au club de gentlemen lui avait régularisé sa situation.

Le banquier : Il n'est pas possible de donner à un employé, un pouvoir illimité sur un compte en banque. Je vous propose de lui donner la possibilité.

Puis se retournant vers Taxi.

Le banquier : Pourrais-je avoir un thé jeune homme.

Taxi se rendait à la cuisine et le banquier reprenait. Il ne voulait pas que Taxi entende la conversation, cela ne le regardait pas.

Le banquier : Votre fortune est grande, j'ai regardé ou nous en étions et je refuse de donner à une personne comme ça le pouvoir d'accéder à votre compte. Je vous propose de lui accorder juste le droit de retirer l'argent don vous pourriez avoir besoin au quotidien. Je resterais à votre disposition et me déplacerais si vous avez besoin de me consulter ou si je remarque quelque chose d'anormal …
C'était la méfiance du banquier qui ne lâche pas l'argent de ses clients sans s'assurer que tout se passe comme il convient.

Moi : Bien, ce que vous me proposez me parait sage. Il va falloir toutefois prendre des dispositions, ce garçon est mon employé et pour le moment je ne lui verse aucun salaire, comme vous pouvez le voir ma situation est un peu désorganisée, vous préparerez les papiers , pour qu'il reçoive cinquante dollars si je venais à disparaître.
Le banquier : Mais c'est une très grosse somme !
Moi : C'est l'argent que je lui dois !
Le banquier : Bien, dans ce cas, je le fais tout de suite.

Taxi revenait avec le thé, il nous en servait une tasse chacun. Il prenait ensuite l'initiative de faire entrer les deux policier pour leur offrir un café et pour qu'ils se réchauffent, il faisait de plus en plus froid. D'un geste le banquier leur faisait signe que tout allait bien et ces deux messieurs se détendaient. Ils discutaient avec Taxi dans la cuisine et nous étions amusés d'entendre des éclats de rire qui nous parvenaient.

La réunion se montrait fructueuse, le banquier me quittait en me souhaitant un prompt rétablissement. Les policier avaient le sourire en sortant et serraient même la main à Taxi.

Après cette visite la monotonie me retombait dessus. Madame Corona, c'était la dame que nous avions rencontré je jour de notre arrivée était entrée à mon service, mais la chose était claire. Elle ne serait en aucun cas sous les ordres de Taxi, elle s'occuperait de la maison, lui s'occuperait de moi. Son mari se chargerait de l'écurie et des extérieurs … Mais c'est elle qui commanderait, elle passerait tous les matins, préparerait les repas et superviserait le travail de Taxi pour ce qui est de la tenue de la maison.

Pendant des jours, Taxi veillait sur moi, il filtrait les journaux pour me protéger. A lui aussi je lui avait appris à lire et si nécessaire il se faisait aider par Mme Corona. Le médecin passait me voir régulièrement mais n'avait pas de médicament contre ce qu'il appelait … La mélancolie …
J'avais demandé à Taxi de prendre un bain régulièrement, il en prenait désormais un tous les jours, et c'est lui qui exigeait que j'en prenne un également. Il aimait bien me faire râler. Je pouvais lui gueuler dessus et lui dire de me laisser, il n'en faisait rien !

Un jour je l'engueulais particulièrement parce qu'il avait décidé de me faire prendre un bain. Je refusais de me lever. Il se relevait alors et avec force me lançait.

Taxi : Monsieur Jonathan vous ne me laissez pas d'autre choix !

Il jetais ma couverture sur le sol, se jetait sur moi et me saisissant avec force, me jetais sur son épaule. J'étais en chemise de nuit. Je hurlais …
Moi : Taxi je t'ordonne de me poser tout de suite. Taxi tu es viré, je te chasse. Taxi tu quitteras la maison aujourd'hui même.

Il a bien fini par me poser mais c'était dans la baignoire et elle était pleine d'eau. J'étais furieux.

Taxi : Vous me chasserez si vous le voulez Monsieur Jonathan mais tant que je serai là je veillerais sur vous. Et au moins quand vous me chasserez vous serez propre !

Je le regardais, il avait l'air content de lui.

Taxi : Ne seriez vous pas mieux dans votre bain sans votre chemise de nuit ?

Je pouffais de rire. Il se déshabillait !

Moi : Mais c'est moi qu'il faut déshabillé.
Taxie : Oui mais moi aussi je suis trempé maintenant.

Ça faisait quelques semaines que je ne l'avais pas vu nu. Lui me voyais nu à chaque fois que je me changeais ou que je prenais un bain. Je tendais la main vers lui.

Moi : Tu es de plus en plus beau, tu sais ?
Taxi : C'est pas votre cas Monsieur Jonathan, et j'aimerais tellement vous voir aller mieux.

Je retirait ma chemise de nuit. Il faisait couler un peu plus d'eau chaude, on avait arrosé le sol. Il se glissait dans mon dos.

Moi : Et tu fais quoi là mon garçon ?
Taxi : Il me semble que vous avez besoin qu'on vous frotte de dos.

Je tournais la tête vers lui, il en profitait pour me donner un baiser sur la bouche. J'étais pris par surprise, j'avais envie de le jeter à cet instant, de le virer de la maison, de le chasser mais j'avais aussi besoin de lui, j'avais envie de lui. Et je savais que je trouverais jamais un serviteur aussi peu respectueux du protocole, aussi peu discipliné mais aussi dévoué.

Il refermait ses bras sur moi. Et m'embrassait dans le cou. Il n'était pas seulement dévoué, il était câlin. Il prenait ensuite le savon et me savonnait joyeusement sur tout le torse, il chantait en même temps. D'abord je voulais me défendre mais j'étais obligé de le laisser faire, il me faisait rire et ma colère était passée.

En chantant il me levait le bras et me le savonnait, un petit guili-guili sous le bras, suivait l'autre bras, il me faisait rire et avait l'air très content de lui. Ses mains continuaient à me frictionner un peu partout et rapidement il les glissait vers mes parties les plus intimes … Ma bite et mes couille pour ceux qui n'auraient pas compris … Ça faisait longtemps, je me penchais contre lui et pendant qu'il me lavait la queue en me masturbant il me donnais des baisers dans le cou. Je tournais la tête vers lui et lui rendais ses baisers. Je me sentais bien dans ses bras.

Mais une voix se faisait entendre. C'était Mme Corona.

Taxi: Mon dieu, ça elle ne doit surtout pas savoir.

Il sortait de la baignoire et sans même prendre la peine de se sécher sautait dans ses vêtements. Il était débraillé et se précipitais vers la cuisine ou devait se trouver notre cuisinière.

Là je me suis un peu affolé, si elle apprenait ce qui se passait dans cette maison, ce serait le scandale, quelque chose de terrible. On aurait des ennuis, beaucoup d'ennuis et probablement on serait chassés, obligés de partir vivre ailleurs, loin.

Je ne faisais plus de bruit. J'écoutais.

Mme C : Mais qu'est ce qui se passe ici ? Mon dieu mais dans quel état tu es !
Taxi : Tout va bien Mme Corona, je fais seulement prendre son bain à Monsieur Jonathan.
Mme C : Mais c'est toi qui es trempé Taxi !
Taxi : Comment dire … Il n'était pas tout à fait d'accord. Mais il en avait besoin !
Mme C : Et tu as fait quoi ?
Taxi : C'est simple je l'ai attrapé et je l'ai jeté dans la baignoire, il a hurlé, s'est débattu. Ah ! Il m'a aussi largement engueulé.
Mme C : Et tu es content de toi.
Taxi : Oh que oui, je crois qu'il va mieux alors je suis très content !
Mme C : Tu es un sacré loustic toi !
Taxi : Bon j'y retourne, Monsieur Jonathan trempe et il ne faudrait pas qu'il se ratatine.

Elle devait écouter, et elle devait m'entendre rigoler. Un peu plus tard quand je descendais, elle me voyais arriver avec le sourire. Enfin je veux dire, elle souriait mais je souriais aussi.

Elle préparait le dîner et le souper, le soir Taxi n'aurait plus qu'à faire réchauffer comme tous les jours, c'était une très bonne cuisinière. Pour la première fois depuis des mois, je me sentais mieux !

Taxi arrivait quelques instants plus tard, il s'était changé.

Taxi : Mme Corona je vous confie Monsieur Jonathan si vous le permettez, je vais éponger la salle de bain.

Quand il redescendait plus tard, j'étais à table et pour la première fois depuis longtemps je faisais honneur à la cuisine de Mme Corona. Taxi ne cachait pas sa joie de me voir ainsi et il s'activait pour rendre la maison chaude et confortable, il faisait très froid dehors.

On se retrouvait à deux quand Mme Coron nous laissait. J'avais bien mangé, je me sentais bien. Taxi venait vers moi.

Taxi : Sortirons nous aujourd'hui Monsieur Jonathan ?
Moi : Un autre jour.

Il s’asseyait en tailleur juste à mes pieds et me regardait l'air bête, il prenait quelquefois cet air pour me faire rire. Ça marchait. Je finissait par rigoler.

Moi : Toi ! Tu as une idée dans la tête !

D'un mouvement rapide il s'approchait, pausait ses mains sur mes genoux.

Taxi : J'étais en train de vous frotter le dos et je n'ai pas pu vérifier si vous vous êtes lavé comme il fallait, on nous a dérangé.

Je lui répondais par un sourire. Il comprenait le signe. Ses mains remontaient le long de mes cuisses, il me chatouillait mais j'avais un peu l'impression qu'il avait envie de rigoler ce jour là. Je sentais ma queue manifester, elle était partante elle aussi.

Il m'ouvrait Mon pantalon, ma queue se manifestait mais timidement il faut dire. Je commençais à me sentir mieux et je n'avais eu aucun rapport, même pas de branlette depuis quelques temps et malgré ça ma queue restait timide au niveau de sa réaction.

Il y mettait de la bonne volonté et me la prenait en entier dans la bouche. J'avais presque oublié cette douceur. Ma queue reconnaissait cette douceur et rapidement lui remplissait la bouche, je bandais. J'avais presque oublié ce que ça faisait.

Il plongeait sa tête contre mon ventre ma queue s'écrasait contre le fond de sa gorge. Je restais passif, je le laissais faire mais ça veut pas dire que ne n'aimais pas, je gémissais de plaisir, j'avais l'impression de revenir à la vie.

Je finissais par intervenir, je lui caressait la tête il la tournait légèrement et me lançait un regard approbatif. D'un geste vif je retirais ma chemise, soulevais les fesses pour faire glisser mon pantalon, voyant cela il m'aidait et je me retrouvais à poil. Il avait toujours ma queue dans la bouche et ne voulait pas la lâcher.

Ensuite je glissait mes mains sous sa chemise, je passais par le haut. Je passais ma main sous son col, je sentais une épaule forte. Il ouvrait sa chemise et me donnait du lest, je pouvais passer mon autre main. Ses omoplates étaient plus musclées que la dernière fois que je l'avais touché mais sa peau était toujours aussi douce.

J'avais presque oublié à quel point ce contact était agréable. Il était toujours entre mes jambes et me suçait la queue, mes mains dans son dos descendaient vers ses reins et sa chemise se retrouvait sur le sol. Je lui caressait alors tout le dos, c'était comme un massage qui lui procurait beaucoup de plaisir. Mes mains se glissaient sur le côté de son corps, vers les cotes, le ventre, je le sentais vibrer.

Il se relevait, je ne sais pas ce qu'il voulait faire mais je ne lui en laissais pas le temps. J'étais à genoux devant lui et son pantalon était sur ses chevilles en quelques seconder. Sa queue était dans ma bouche, il bandait et je retrouvait le plaisir de la sentir s'écraser au fond de ma gorge. Je faisais durer le plaisir, les gémissements qu'il poussait me disaient qu'il aimait.

Je lui prenais la main et en m'allongeant sur le tapis, un tapis très épais, je l'entraînais avec moi, il s'allongeait sur moi. On s'embrassait, on se caressait, on se suçait l'un l'autre la queue en même temps dans cette si agréable position de tête à queue.

Je lui caressais les fesses et rapidement lui glissait un doigt dans le cul. J'étais un peu rapide, j'en conviens, mais j'avais perdu tellement de temps. Au bout d'un long moment je me retournais l'allongeait sur le ventre. Je plaçais mes genoux à l'extérieur de ses cuisses me lubrifiais la queue et fermement avec force et douceur je glissais ma bite entre ses fesses, elle se heurtait à son anus que je sentais résister. Je poussais et je le sentais s'ouvrir et envelopper mon gland, je m'enfonçais un peu plus profond, il gémissait avec force, se relevait légèrement en poussant sur ses bras. Ça me permettait de le prendre dans les miens et tout en m'installant confortablement dans son cul je le serrait fortement contre moi. Je déposais des baisers sur son dos, juste en haut de son dos, juste à la base du cou, entre ses omoplates.

Il frissonnait. Je ressortais ma queue et revenais. Je me lâchais sur lui, rapidement mon ventre claquait quand il s'écrasait sur ses fesses. Il râlait de plaisir de plus en plus fort. Je le sentais se tordre dans des mouvements désordonnés, il sanglotait à moitié. Je n'avais pas fait ça depuis un moment et quand je me lâchais, le plaisir était intense et m'inondait totalement.

Je me laissais alors retomber sur son le corps, il était chaud, doux et je continuait à lui donner des baisers sur l'épaule. On se relevait, il avait joui lui aussi. C'est vrai qu'il était plutôt passif. On ne prenait pas la peine de s'habiller, on restait là, par réflexe professionnel il essuyait le tapis. Madame Corona lui apprenait à garder une maison propre et il apprenait bien.

Ensuite, il rechargeait la cheminée et déposait devant une grosse couverture, puis une autre, puis quelques coussins puis enfin il s'installait et avec un sourire malicieux il m'invitait à le rejoindre.

On a passé le reste de la journée ainsi. Allongé sur le dos, je posais ma nuque sur son ventre, il me caressait le torse. Par moment on changeait de position et c'est lui qui posait sa nuque sur mon ventre. Je profitais alors de la douceur de sa peau.



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