ET TOUJOURS EN ÉTÉ 18 RETOUR VERS LE SUD
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 18 RETOUR VERS LE SUD
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 18RETOUR VERS LE SUD
Je me réveillais le lendemain, j'étais toujours dans ses bras. Taxi me faisait un gros câlin.
Taxi : Vous allez bien Monsieur Jonathan ?
Rapidement il se levait et s'habillait.
Taxi : Vous allez prendre un bain Monsieur Jonathan, ne m'obligez pas à utiliser la force.
Je me sentais mieux, j'avais besoin d'être secoué et il n'avait pas fait semblant le bougre. Je savais qu'il ferait tout, qu'il accepterait n'importe quel sacrifice pour moi. Bon là, cette nuit que nous avions passé, n'était pas vraiment un sacrifice pour lui.
On frappait à la porte.
Taxi allait ouvrir, c'était le concierge. Il remettait à Taxi plusieurs lettres.
Taxi arrivait, il ne cachait pas une certaine inquiétude. Il me tendait les lettres. Je les prenais. Ça faisait plus de cinq ans et demi que je n'avais aucune nouvelle de ma famille .
Je lisais la première lettre et je fondais en larmes.
J'apprenais la mort de mon père et de mes oncles. C'était un choc. Taxi me prenait dans ses bras et c'est sur son épaule que je pleurais pendant un long moment. La lettre se terminait par '' les enfants se portent tous très bien ''. la lettre était signée par ma femme.
Taxi lisait la seconde lettre, avant de me la donner il me rassurait me disant que là, les nouvelles étaient bonnes.
La maison des voisins, je voulais dire la maison de mon cousin avait brûlé. Il n'en restait rien mais il n'y avait pas de victimes, et mon cousin était venu s'installer dans notre maison, c'est lui qui dirigeait l'exploitation, il n'avait pas été mobilisé, il fallait quelqu'un pour faire fonctionner la propriété, il allait bien. Ils avaient réussi à préserver les enfants qui grandissaient et se portaient bien.
Mais de quels enfants parlait-il ? La lettre était signée par mon cousin, je reconnaissais son écriture. La lettre datait de plus de deux ans, j'espérais qu'il avait pu échapper à la mobilisation et qu'il allait toujours bien.
La dernière lettre datait de l'année précédente. Grand Père était décédé, ça n'avait rien à voir avec la guerre, Grand Mère l'avait suivi quelques semaines plus tard. Plusieurs cousines avaient quitté la propriété mais elles allaient bien. Encore une fois on me disait que les enfants allaient bien, qu'ils étaient de plus en plus beaux et que tous les efforts étaient faits pour les préserver. Cette lettre également était signée par mon cousin.
J'étais effondré. Taxi venait près de moi et me prenait dans ses bras, il ne cherchait qu'à me réconforter et me laissait pleurer dans ses bras. Il insistait malgré tout pour que je prenne un bain et je préférais ne pas résister.
Je passais le reste de la journée à regarder cette petite montagne au sud de la ville, de la maison on la voyait au nord. J'étais à moins de cent kilomètres de chez moi, des miens …
Grâce à Taxi je ne me laissais pas aller, ma femme, ma mère auraient besoin de moi et je devais rester debout. Je retrouvais l'officier dont j'avais fait la connaissance cinq ans plus tôt. Il me confirmait que le sud reculait et cette région vivait ses dernières semaines avant de tomber. C'est lui qui avait été nommé pour devenir gouverneur, c'était un ami, ça tombait bien !
Un jour je passais à la maison, je voyais Taxi.
Moi : Taxi, je te laisse de l'argent, je rentre à la maison.
Taxi : Vous m'abandonnez Monsieur Jonathan ?
Moi : Non tu gardes la maison, tu me rejoindras dès que la frontière sera ouverte, cette nuit je passe en fraude !
Taxi : Mais vous savez qu'ils vont vous tuer !
Je ne l'écoutait pas. Il sortait sans rien me dire. Je partais avant qu'il ne soit de retour. Je prenais le train pour aller au confluant, il était plein, surtout des militaires. Quand je descendais du train plusieurs militaires se plaçaient devant moi, un sous officier me saluait …
Le sous officier : Je vous demande de nous suivre sans résister, vous êtes en état d'arrestation !
Je me retrouvais menotté sans comprendre. Quelques heures plus tard on me mettait sous bonne garde dans le train qui repartait dans l'autre sens. Arrivé à la gare il y avait Taxi qui m’attendait. Il me sautait dessus et me prenait dans ses bras. On me conduisait ensuite au bureau de mon ami l'officier.
L'officier : Mais tu es fou, tu es condamné à mort là bas, si Taxi ne m'avait pas averti tu serait mort maintenant.
J'ai passé les trois semaines qui on suivi en prison. J'avais droit à un régime spécial. Taxi venait me voir tous les jours, il avait un accès libre et illimité, il ne s'en privait pas. D'abord je lui faisais la gueule, ensuite je finissais par comprendre qu'il n'agissait que dans mon intérêt. Il venait de me sauver la vie.
Puis on m'a libéré, on me conduisait à la maison, les valises étaient faites, la maison était rangée un fiacre attendait et Taxi chargeait déjà les malles. Il avait prévu tout ce qu'il fallait pour que je me change après un bon bain. Mon cœur battait fort.
Taxi : Je vais vous faire couler un bain Monsieur Jonathan !
Moi : On n'a pas le temps on va partir tout de suite …Taxi : Je vais vous faire couler un bain Monsieur Jonathan ! Et dites vous bien que nous n'irons pas plus vite que le train !
Je le regardais incrédule. Il me faisait un large sourire.
Taxi : Tout est prévu, vous allez commencer par prendre un bain ensuite nous irons à la gare, on a largement le temps … Demain vous serez chez vous Monsieur Jonathan !
Il ne me laissait pas vraiment le choix. Je le suivais je me retrouvais dans ma baignoire, il était à côté de moi dans son beau costume du dimanche, je trempais dans de l'eau doucement tiède. Je l’attrapais et le tirais vers moi avec force, il perdait l'équilibre et criait mon nom en tombant sur moi dans la baignoire.
Je riais de bon cœur, il se relevait l'air un peu vexé.
Taxi : Mais je n'ai pas d'autre costume sec à me mettre moi Monsieur Jonathan, tout est rangé dans les malles.
Moi : Vengeance, c'est pour les trois semaines de prison.
Taxi : Votre prison était dorée Monsieur Jonathan.
Il se déshabillait pour tenter de de sécher un peu. Je le regardais et quand il se retrouvait presque nu.
Moi : Tu pourrais me frotter le dos …
Il se retrouvait avec moi dans la baignoire dans mon dos.
Moi : Nous avons combien de temps avant de partir.
Taxi : Nous avons le temps !
Je me retournais, l'embrassais, et le caressait, j'avais brusquement envie de la douceur de sa peau. Ne me dites pas qu'il y en a un qui a vraiment cru je voulais seulement qu'il me frotte le dos.
On se prenait dans les bras, comme dans la baignoire ça risquait de devenir acrobatique on terminait sur le sol de la salle de bain. Il était allongé sur le dos, je lui soulevais les jambes, bien écartées et repliées sur lui. Je lui lubrifiais le cul et sans ménagement lui enfonçais ma queue dans le cul.
Il relevait la tête en arrière et gémissait : '' Oh ouiiiiiii !''. Ma queue presque introduite, je poussais bien à fond avec un mouvement rapide et un peu violent. Il ne s'en plaignait pas mais il gueulait tout de même.
Il tentait de me saisir pa nuque pour me tirer vers lui mais j'étais trop redressé pour qu'il y parvienne, il se contentait alors de me caresser les bras. Il me fixais dans les yeux, et je voyais dans son regard le plaisir, ce plaisir que je lui donnais.
Il avait terriblement changé depuis cinq ans pas loin qu'il vivait avec moi. Il avait mûri et son corps s'était formé, il était plus musclé, plus doux, un peu plus gros mais ça c'était nécessaire, toujours aussi ferme. C'était encore un gamin que j'avais ramassé cinq ans plus tôt, c'était un homme que je tenais dans mes bras maintenant.
Seule sa préférence sexuelle n'avait pas changé, il aimait ce rôle de passif à l'époque et maintenant rien n'avait changé. Je le limais de toutes mes forces. Il faisait des grimaces de plaisir. Je devais avoir un air d'un combattant, je sentais mon visage crispé, je n'étais pas en colère, j'étais seulement décidé.
C'est avec force que je rentrais ma queue bien à fond, chaque mouvement de mon bassin était un mouvement violent ferme et rapide. Mon ventre claquait fort contre ses fesses. Je faisais progressivement des mouvements plus amples.
Je ressortais complètement ma queue de son cul, je marquais une pause et je revenais à la charge et il gémissait, je sentais également tout son corps trembler, tous ses muscles se contractaient.
Je me penchais pour l'embrasser il se cramponnais à mon cou. Je me relevais alors sans le lâcher. Il se retrouvais accroché à moi, mes bras sous ses genoux, mes mains sur ses fesses et ma bite bien à fond dans le cul. J'étais debout au milieu de la salle de bain et je continuais à lui balancer des coup de bassin dans le cul.
Je sentais son cul se contracter et me masser la bite, c'était génial. Je le voyais éjaculer, moi je n'en étais pas encore là et je continuais avec toujours plus de violence, toujours plus de force.
Son visage n'était plus que grimace de plaisir, son corps une douceur ferme et son cul la source d'un plaisir pour moi au moment ou j'éjaculais enfin en lui. Je continuais encore un moment sans faiblir puis le déposais avec douceur sur le sol.
Rapidement, je me séchais et me changeais, j'enfilais les vêtements propre qu'il m'avait préparé.
Moi : Remarque tu peux mettre les vêtements que j'avais sur moi aujourd'hui.
Taxi : Ils étaient sur le sol à côté de la baignoire Monsieur Jonathan, ils sont trempés, encore plus que les miens.
Moi : Ici il fait chaud, il n'y a pas de neige, tu va sécher …
On se retrouvait habillé, mes vêtements humides dans un sac, mes vêtements tout propre sur moi, les vêtements humides de Taxi sur lui. Bon il faisait chaud, il ne risquait pas de prendre froid.
A partir de là je suivais Taxi. Le fiacre nous conduisait à la gare, on avait le temps en effet. Il avait loué un compartiment à cause des valises. Taxi surveillait tout et s'assurait que tout était là. Il faisait ça sérieusement le petit gars. Je le regardais avec … Amour peut être ? … Le '' petit gars '' ce qualificatif ne lui allait plus du tout, il fallait dire maintenant le '' jeune homme ''. Il était beau avec son costume. C'était un costume qu'il s'était payé avec son argent, je n'allais pas rester cinq ans sans le payer tout de même.
Le train partait presque à l'heure et une certaine impatience ainsi qu'une certaine crainte montaient en moi. Taxi qui gardait toujours un côté très pratique profitait que sa malle était sur le dessus pour attraper un vêtement sec, en changeait rapidement, j'avais à peine le temps de m'en rendre compte. Il s'installait en face de moi avec un sourire satisfait.
On arrivait dans la ville ou je l'avais ramassé cinq ans plus tôt, à l'époque j'étais avec Sunny, je reconnaissais les lieux. Dans le fiacre qui nous conduisait à l'embarcadère je remarquais un instant de folie dans les yeux de Taxi au moment ou on traversait le quartier ou on s'était rencontré.
Taxi : Vous n'avez jamais eu de nouvelles de votre ami Sunny ?
Je faisais non de la tête. On arrivait à l'embarcadère, les bagages étaient rapidement chargés, il n'y avait pas tellement de voyageurs, la frontière n'était ouverte que depuis deux jours, le Sud capitulait. Ce bateau devait nous conduire directement à mon point de départ. Le télégraphe ne marchait pas encore et personne ne m'attendrait.
La nuit a été longue, Taxi avait prévu un repas froid, un pique nique en quelque sorte.
Je regardais l'air hébété, je reconnaissais mon village et c'est Taxi qui me sortait de mes rêves en me disant que les bagages nous attendaient dans un fiacre.
Mon cœur battait de plus en plus fort. J'ai cru que j'allais avoir un malaise quand j'apercevais la maison de loin. Rien ne semblait avoir changé, le fiacre entrait dans la propriété, tout le monde nous regardait arriver en se demandant qui ça pouvait être.
Le fiacre s'arrêtait un homme noir en habit de contremaître s'approchait. Je le reconnaissais, j'avais souvent travaillé avec lui mais il n'était pas contremaître à l'époque. En me voyant son visage s'illuminait. '' Monsieur Jonathan !'' . Je lui faisais l'accolade . J'apercevais ma mère, elle courait vers moi, ma femme suivait je les appelais.
On criait mon nom, c'était mon cousin Samuel il venait lui aussi vers moi en courant.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Je me réveillais le lendemain, j'étais toujours dans ses bras. Taxi me faisait un gros câlin.
Taxi : Vous allez bien Monsieur Jonathan ?
Rapidement il se levait et s'habillait.
Taxi : Vous allez prendre un bain Monsieur Jonathan, ne m'obligez pas à utiliser la force.
Je me sentais mieux, j'avais besoin d'être secoué et il n'avait pas fait semblant le bougre. Je savais qu'il ferait tout, qu'il accepterait n'importe quel sacrifice pour moi. Bon là, cette nuit que nous avions passé, n'était pas vraiment un sacrifice pour lui.
On frappait à la porte.
Taxi allait ouvrir, c'était le concierge. Il remettait à Taxi plusieurs lettres.
Taxi arrivait, il ne cachait pas une certaine inquiétude. Il me tendait les lettres. Je les prenais. Ça faisait plus de cinq ans et demi que je n'avais aucune nouvelle de ma famille .
Je lisais la première lettre et je fondais en larmes.
J'apprenais la mort de mon père et de mes oncles. C'était un choc. Taxi me prenait dans ses bras et c'est sur son épaule que je pleurais pendant un long moment. La lettre se terminait par '' les enfants se portent tous très bien ''. la lettre était signée par ma femme.
Taxi lisait la seconde lettre, avant de me la donner il me rassurait me disant que là, les nouvelles étaient bonnes.
La maison des voisins, je voulais dire la maison de mon cousin avait brûlé. Il n'en restait rien mais il n'y avait pas de victimes, et mon cousin était venu s'installer dans notre maison, c'est lui qui dirigeait l'exploitation, il n'avait pas été mobilisé, il fallait quelqu'un pour faire fonctionner la propriété, il allait bien. Ils avaient réussi à préserver les enfants qui grandissaient et se portaient bien.
Mais de quels enfants parlait-il ? La lettre était signée par mon cousin, je reconnaissais son écriture. La lettre datait de plus de deux ans, j'espérais qu'il avait pu échapper à la mobilisation et qu'il allait toujours bien.
La dernière lettre datait de l'année précédente. Grand Père était décédé, ça n'avait rien à voir avec la guerre, Grand Mère l'avait suivi quelques semaines plus tard. Plusieurs cousines avaient quitté la propriété mais elles allaient bien. Encore une fois on me disait que les enfants allaient bien, qu'ils étaient de plus en plus beaux et que tous les efforts étaient faits pour les préserver. Cette lettre également était signée par mon cousin.
J'étais effondré. Taxi venait près de moi et me prenait dans ses bras, il ne cherchait qu'à me réconforter et me laissait pleurer dans ses bras. Il insistait malgré tout pour que je prenne un bain et je préférais ne pas résister.
Je passais le reste de la journée à regarder cette petite montagne au sud de la ville, de la maison on la voyait au nord. J'étais à moins de cent kilomètres de chez moi, des miens …
Grâce à Taxi je ne me laissais pas aller, ma femme, ma mère auraient besoin de moi et je devais rester debout. Je retrouvais l'officier dont j'avais fait la connaissance cinq ans plus tôt. Il me confirmait que le sud reculait et cette région vivait ses dernières semaines avant de tomber. C'est lui qui avait été nommé pour devenir gouverneur, c'était un ami, ça tombait bien !
Un jour je passais à la maison, je voyais Taxi.
Moi : Taxi, je te laisse de l'argent, je rentre à la maison.
Taxi : Vous m'abandonnez Monsieur Jonathan ?
Moi : Non tu gardes la maison, tu me rejoindras dès que la frontière sera ouverte, cette nuit je passe en fraude !
Taxi : Mais vous savez qu'ils vont vous tuer !
Je ne l'écoutait pas. Il sortait sans rien me dire. Je partais avant qu'il ne soit de retour. Je prenais le train pour aller au confluant, il était plein, surtout des militaires. Quand je descendais du train plusieurs militaires se plaçaient devant moi, un sous officier me saluait …
Le sous officier : Je vous demande de nous suivre sans résister, vous êtes en état d'arrestation !
Je me retrouvais menotté sans comprendre. Quelques heures plus tard on me mettait sous bonne garde dans le train qui repartait dans l'autre sens. Arrivé à la gare il y avait Taxi qui m’attendait. Il me sautait dessus et me prenait dans ses bras. On me conduisait ensuite au bureau de mon ami l'officier.
L'officier : Mais tu es fou, tu es condamné à mort là bas, si Taxi ne m'avait pas averti tu serait mort maintenant.
J'ai passé les trois semaines qui on suivi en prison. J'avais droit à un régime spécial. Taxi venait me voir tous les jours, il avait un accès libre et illimité, il ne s'en privait pas. D'abord je lui faisais la gueule, ensuite je finissais par comprendre qu'il n'agissait que dans mon intérêt. Il venait de me sauver la vie.
Puis on m'a libéré, on me conduisait à la maison, les valises étaient faites, la maison était rangée un fiacre attendait et Taxi chargeait déjà les malles. Il avait prévu tout ce qu'il fallait pour que je me change après un bon bain. Mon cœur battait fort.
Taxi : Je vais vous faire couler un bain Monsieur Jonathan !
Moi : On n'a pas le temps on va partir tout de suite …Taxi : Je vais vous faire couler un bain Monsieur Jonathan ! Et dites vous bien que nous n'irons pas plus vite que le train !
Je le regardais incrédule. Il me faisait un large sourire.
Taxi : Tout est prévu, vous allez commencer par prendre un bain ensuite nous irons à la gare, on a largement le temps … Demain vous serez chez vous Monsieur Jonathan !
Il ne me laissait pas vraiment le choix. Je le suivais je me retrouvais dans ma baignoire, il était à côté de moi dans son beau costume du dimanche, je trempais dans de l'eau doucement tiède. Je l’attrapais et le tirais vers moi avec force, il perdait l'équilibre et criait mon nom en tombant sur moi dans la baignoire.
Je riais de bon cœur, il se relevait l'air un peu vexé.
Taxi : Mais je n'ai pas d'autre costume sec à me mettre moi Monsieur Jonathan, tout est rangé dans les malles.
Moi : Vengeance, c'est pour les trois semaines de prison.
Taxi : Votre prison était dorée Monsieur Jonathan.
Il se déshabillait pour tenter de de sécher un peu. Je le regardais et quand il se retrouvait presque nu.
Moi : Tu pourrais me frotter le dos …
Il se retrouvait avec moi dans la baignoire dans mon dos.
Moi : Nous avons combien de temps avant de partir.
Taxi : Nous avons le temps !
Je me retournais, l'embrassais, et le caressait, j'avais brusquement envie de la douceur de sa peau. Ne me dites pas qu'il y en a un qui a vraiment cru je voulais seulement qu'il me frotte le dos.
On se prenait dans les bras, comme dans la baignoire ça risquait de devenir acrobatique on terminait sur le sol de la salle de bain. Il était allongé sur le dos, je lui soulevais les jambes, bien écartées et repliées sur lui. Je lui lubrifiais le cul et sans ménagement lui enfonçais ma queue dans le cul.
Il relevait la tête en arrière et gémissait : '' Oh ouiiiiiii !''. Ma queue presque introduite, je poussais bien à fond avec un mouvement rapide et un peu violent. Il ne s'en plaignait pas mais il gueulait tout de même.
Il tentait de me saisir pa nuque pour me tirer vers lui mais j'étais trop redressé pour qu'il y parvienne, il se contentait alors de me caresser les bras. Il me fixais dans les yeux, et je voyais dans son regard le plaisir, ce plaisir que je lui donnais.
Il avait terriblement changé depuis cinq ans pas loin qu'il vivait avec moi. Il avait mûri et son corps s'était formé, il était plus musclé, plus doux, un peu plus gros mais ça c'était nécessaire, toujours aussi ferme. C'était encore un gamin que j'avais ramassé cinq ans plus tôt, c'était un homme que je tenais dans mes bras maintenant.
Seule sa préférence sexuelle n'avait pas changé, il aimait ce rôle de passif à l'époque et maintenant rien n'avait changé. Je le limais de toutes mes forces. Il faisait des grimaces de plaisir. Je devais avoir un air d'un combattant, je sentais mon visage crispé, je n'étais pas en colère, j'étais seulement décidé.
C'est avec force que je rentrais ma queue bien à fond, chaque mouvement de mon bassin était un mouvement violent ferme et rapide. Mon ventre claquait fort contre ses fesses. Je faisais progressivement des mouvements plus amples.
Je ressortais complètement ma queue de son cul, je marquais une pause et je revenais à la charge et il gémissait, je sentais également tout son corps trembler, tous ses muscles se contractaient.
Je me penchais pour l'embrasser il se cramponnais à mon cou. Je me relevais alors sans le lâcher. Il se retrouvais accroché à moi, mes bras sous ses genoux, mes mains sur ses fesses et ma bite bien à fond dans le cul. J'étais debout au milieu de la salle de bain et je continuais à lui balancer des coup de bassin dans le cul.
Je sentais son cul se contracter et me masser la bite, c'était génial. Je le voyais éjaculer, moi je n'en étais pas encore là et je continuais avec toujours plus de violence, toujours plus de force.
Son visage n'était plus que grimace de plaisir, son corps une douceur ferme et son cul la source d'un plaisir pour moi au moment ou j'éjaculais enfin en lui. Je continuais encore un moment sans faiblir puis le déposais avec douceur sur le sol.
Rapidement, je me séchais et me changeais, j'enfilais les vêtements propre qu'il m'avait préparé.
Moi : Remarque tu peux mettre les vêtements que j'avais sur moi aujourd'hui.
Taxi : Ils étaient sur le sol à côté de la baignoire Monsieur Jonathan, ils sont trempés, encore plus que les miens.
Moi : Ici il fait chaud, il n'y a pas de neige, tu va sécher …
On se retrouvait habillé, mes vêtements humides dans un sac, mes vêtements tout propre sur moi, les vêtements humides de Taxi sur lui. Bon il faisait chaud, il ne risquait pas de prendre froid.
A partir de là je suivais Taxi. Le fiacre nous conduisait à la gare, on avait le temps en effet. Il avait loué un compartiment à cause des valises. Taxi surveillait tout et s'assurait que tout était là. Il faisait ça sérieusement le petit gars. Je le regardais avec … Amour peut être ? … Le '' petit gars '' ce qualificatif ne lui allait plus du tout, il fallait dire maintenant le '' jeune homme ''. Il était beau avec son costume. C'était un costume qu'il s'était payé avec son argent, je n'allais pas rester cinq ans sans le payer tout de même.
Le train partait presque à l'heure et une certaine impatience ainsi qu'une certaine crainte montaient en moi. Taxi qui gardait toujours un côté très pratique profitait que sa malle était sur le dessus pour attraper un vêtement sec, en changeait rapidement, j'avais à peine le temps de m'en rendre compte. Il s'installait en face de moi avec un sourire satisfait.
On arrivait dans la ville ou je l'avais ramassé cinq ans plus tôt, à l'époque j'étais avec Sunny, je reconnaissais les lieux. Dans le fiacre qui nous conduisait à l'embarcadère je remarquais un instant de folie dans les yeux de Taxi au moment ou on traversait le quartier ou on s'était rencontré.
Taxi : Vous n'avez jamais eu de nouvelles de votre ami Sunny ?
Je faisais non de la tête. On arrivait à l'embarcadère, les bagages étaient rapidement chargés, il n'y avait pas tellement de voyageurs, la frontière n'était ouverte que depuis deux jours, le Sud capitulait. Ce bateau devait nous conduire directement à mon point de départ. Le télégraphe ne marchait pas encore et personne ne m'attendrait.
La nuit a été longue, Taxi avait prévu un repas froid, un pique nique en quelque sorte.
Je regardais l'air hébété, je reconnaissais mon village et c'est Taxi qui me sortait de mes rêves en me disant que les bagages nous attendaient dans un fiacre.
Mon cœur battait de plus en plus fort. J'ai cru que j'allais avoir un malaise quand j'apercevais la maison de loin. Rien ne semblait avoir changé, le fiacre entrait dans la propriété, tout le monde nous regardait arriver en se demandant qui ça pouvait être.
Le fiacre s'arrêtait un homme noir en habit de contremaître s'approchait. Je le reconnaissais, j'avais souvent travaillé avec lui mais il n'était pas contremaître à l'époque. En me voyant son visage s'illuminait. '' Monsieur Jonathan !'' . Je lui faisais l'accolade . J'apercevais ma mère, elle courait vers moi, ma femme suivait je les appelais.
On criait mon nom, c'était mon cousin Samuel il venait lui aussi vers moi en courant.
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