ET TOUJOURS EN ÉTÉ 19 RETOUR A LA MAISON

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : ET TOUJOURS EN ÉTÉ 19 RETOUR A LA MAISON Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 19 RETOUR A LA MAISON
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 19RETOUR A LA MAISON

C'était un moment intense, plein d'émotions. Le cocher voulait repartir et avant que je m'en rende compte, les malles étaient déchargées, Taxi trouvait facilement un coup de main, il payait et le fiacre repartait.

En avançant vers la maison je tenais ma femme d'un bras et de l'autre ma mère. On me donnait des nouvelles de la famille.

Sarah : Il faut que je te présente quelqu'un qui a très envie de te connaître.

Arrivé sur la terrasse trois gamins pleins de vie passaient devant moi en courant. Ils étaient nus et leur nounou, je reconnaissais Kissa, leur courrait après en les appelant.

Kissa : Monsieur Jonathan Junior, s'il vous plaît. Monsieur Ariel je vous en prie, Monsieur Anaël soyez gentil …
Le troisième était tout noir, ils étaient tous les trois plus mignons les uns que les autres.

Sarah : Ma pauvre Kissa. Les enfants venez ici tout de suite s'il vous plaît il faut que je vous présente quelqu'un de très important.

Arrivait Mamata, qui appelait les enfants également. En me voyant elle restait tétanisée. Fondait en larme et me prenait dans ses bras. Ils m'avaient tous tellement manqué et je leur avait manqué aussi.

On finissait par réunir les trois gamins, les nounous les enveloppaient dans un linge sec, ils sortaient de leur bain et couraient dans tous les sens comme nous le faisions mon cousin et moi quand on avait leur âge.

Sarah : Je te présente, là le plus énervé Jonathan Junior.
Moi : C'est ?
Samuel : Mon fils, j'ai voulu lui donner ton nom !
Sarah : Juste à côté Anaël, lui c'est le fils de ton oncle, enfin l'oncle de Samuel et d'une jeune esclave qu'il voulait épouser avant d'être mobilisé. Il ne pourra pas le faire mais la jeune femme et son fils font désormais partie de notre famille.
Moi : Et le petit dernier ?

Lui il ne bougeait plus et me regardait d'un air farouche.

Sarah : Lui c'est Ariel … Ariel je te présente ton papa !

A cet instant j'avais oublié tous mes ennuis et je restais émerveillé devant mon gamin. Il était né très exactement neuf mois après mon départ. D'un geste incroyablement vif il se dégageait, la serviette restait entre les mains de Kissa mais le gamin lui disparaissait dans les escaliers aussitôt suivi par les deux autres.

Sarah : Je vais le rattraper.
Moi : Laisse les, nous avons tout le temps de faire connaissance.

A mon tour je présentais Taxi, je vantais ses qualités et racontait notre rencontre. Par la suite il trouvait facilement ses marques, on le logeait dans le bâtiment réservée aux employés de maison et déjà je devinais que les jeunes femmes n'étaient pas insensibles à ses charmes. La réciproque était moins sûre !

J'étais sollicité par tout le monde le reste de la journée, on voulait que je raconte et je racontais. Nous étions installés sur la terrasse, les trois gamins étaient habillés et dans un coin ne loupaient rien de ce que je racontais.

On venait bien sûr à parler de Sunny.

Sarah : Je crois mon chéri qu'il t'a sauvé la vie ou celle de Samuel.

Je la regardais étonné.

On m'expliquait alors que l'armée du Sud avais mobilisé presque tous les hommes. Si j'étais resté soit j'aurais été mobilisé soit Samuel l'aurait été. Elle rajoutait que, aucun des hommes mobilisés dans cette famille n'était revenu.

Suivait un long moment de silence.

Il y avait moins de personnes à travailler dans la plantation. Deux fois moins, par la suite, accompagné de mon cousin je faisais un tour rapide de la propriété. Il voulait transformer la plantation installer une filature et produire les fils ainsi que les tissus sur place. Il avait des idées pour faire survivre la propriété familiale, très peu fonctionnaient encore, c'était un atout pour nous.

La propriété de sa femme avait été détruite totalement lors d'un combat, la maison avait brûlée,il n'y avait personne pour éteindre il n'en restait rien. Toute la famille s'était alors réfugiée dans notre maison qui par on ne sait quel miracle a échappé à tout. Il n'y avait eu aucun combat dans la propriété.

On m'avait cru mort à un moment. C'est ce que l'état major du Sud faisait croire. On m'avait arrêté, j'avais armé un esclave, je l'avais aidé à passer au Nord. J'avais été jugé pour haute trahison et exécuté comme il se devait.

Ce n'est que plus tard, pendant la déroute du Sud qu'ils avaient appris que j'étais toujours en vie mais ils n'en savaient pas plus.

J'avais retrouvé l'amour des miens, l'affection et la douceur de ma femme. J'avais si souvent pensé à elle. Nour reprenions là ou on s'était arrêté. Sur la terrasse la soirée allait durer et je prétextais la fatigue pour entraîner Sarah dans notre chambre. Depuis que je l'avais retrouvé je ne pensais plus qu'à cet instant ou je pourrais la serrer dans mes bras.

Cet instant ou je pourrais la couvrir de baiser, glisser mes lèvres sur son cou, sur son épaule puis revenir sur l'oreille et tout doucement la faire frissonner et rire peut être au moment ou je lui chatouillerais le lobe de l'oreille avec le bout de ma langue.

Je la sentais frissonner dans mes bras, et je sentais se lèvres sur les miennes. Je sentais son front sur mon épaule, son souffle et ses baisers sur mon torse et ses bras et ses mains qui se glissaient sous ma chemise. Elles glissaient avec légèreté sur les muscles de mes épaules, de mes bras, de mon torse . Elle ne bougeait plus et déposait un baiser, avec douceur puis avec les dents, elle me mordillait le téton droit. Là ça me faisait réagir, je bandais plus fort soudainement.

Et je sentais sa cuisse résister contre ma queue qui se réveillait avec vigueur.

Sarah : Tu n'as pas changé, tu es toujours aussi beau. C'est bien d'avoir pris soin de toi pour que je puisse te retrouver.
Moi : En fait c'est surtout Taxi qui prenait soin de moi !
Sarah : Alors il faudra que je le remercie … Un autre jour !

Elle avait posé ses mains sur mon corps, s'était allongée sur moi, et relevait son torse en appuyant ses mains sur mes épaules. Elle me regardait dans les yeux, me souriait. Je glissais à mon tour mes mains sous son corsage. J'avais oublié la douceur de sa peau. Mes caresses descendaient jusqu'au milieu de son ventre. Nous nous retrouvions tous les deux torse nue.

Sa poitrine avait pris un peu de volume depuis ces quelques jours qui suivaient notre mariages, pendant lesquels nous avions partagé cette intimité. Pendant quelques secondes je me contentais de la contempler. Puis avec toute ma douceur, je lui caressait le corps. Je m'attardais avec lenteur sur sa poitrine puis me relevant sur ses reins. Elle passait ses jambes dans mon dos et glissait ses mains sur le haut de mes fesses.

Le haut de mes fesses bien sûr mais sous mon pantalon. Elle passait ses deux mains autour de ma ceinture, mais toujours sous mon pantalon et quand elle arrivait devant elle ouvrait enfin mon pantalon. Moi j'avais trouvé le lacet qui ouvrait sa jupe longue. Elle se relevait et sa robe volait jusqu'à l'autre bout de la chambre, je soulevais le bassin et mon pantalon glissait et allait rejoindre sa jupe.

Ma queue se relevait, Sarah glissait sa main dessus, elle tremblait. Je veux dire ma queue tremblait pas Sarah …
Elle me donnait d'abord un baiser sur la bouche set descendait vers le bas de mon corps en faisant un pause tous les centimètres. Elle prenait son temps, et je frissonnait de plus en plus. Ma respiration devenait rapidement forte et irrégulière.

Arrivée à mon nombril ses mains me caressaient les cuisses, ses pouces se glissait à la base de mon sexes et ses doigts se refermaient autour de ma queue au moment ou ses lèvres se posaient sur mon gland.

Je me souvenais qu'en matière se sexe, elle n'était pas timide. On lui avait appris que le sexe c'était aussi pour le plaisir et qu'on ne devait rien se refuser. Ça changeait, parait-il, de ces bourgeoises puritaines du Nord mais c'est vrai que je n'en avait pas fréquenté.

Je sentais ses lèvre m'envelopper le gland, ensuite c'était la langue qui me caressait et ma queue s'enfonçait doucement dans sa bouche. Elle ne la prenait pas aussi facilement que Taxi ou que mon cousin … Je ne suis décidément pas sérieux de penser à eux dans un tel moment … C'est vrai qu'elle n'avait pas autant d'expérience que ces deux lascars.

Elle me donnait tout de même quelques sensations, elle relevait la tête et ses lèvres remontaient vers mon visage toujours en faisant une pause tous les centimètres. Elle prenait soin de me chatouiller avec le bout de ses seins qui glissaient sur ma peau, dans un grand baiser elle s'allongeait sur moi et c'est avec sa peau qu'elle caressait la mienne.

Avec force je la prenais dans mes bras, je roulais sur elle en l'entraînant avec douceur, elle se retrouvait allongée sur le dos et je répétais ses gestes. Un baiser tous les centimètre, c'est avec le bout de mon nez que je la chatouillais, et je mordillais avec une extrême douceur son sein puis l'autre avant de continuer à descendre vers son nombril.

Là je relevais la tête comme pour m'assure que j'avais compris ce qu'il fallait faire. Plus bas rien ne se relevait ( et je sais que certains d'entre vous seraient embarrassés de ne rien trouver à sucer ) moi, je glissais seulement ma langue et déposais un baiser sur son sexe.

Je continuais avec ma langue, mes lèvres, mes doigts et toute ma douceur. Elle me guidait de ses deux mains et je l'entendais gémir, elle se tortillait, refermait les cuisses, les ouvrant de nouveau. Je faisais durer le plaisir, le sien surtout, le mien c'était de l'entendre et de la sentir vibrer sous mes caresses et sous mes baisers.

Je remontais mon visage vers le sien, toujours une pause à chaque centimètre, toujours le bout de mon nez pour la chatouiller. Son souffle était court, sa peau frissonnait contre la mienne. Je l'embrassais, et tout en m'allongeant sur elle en prenant le plus grand soin de ne pas l'écraser, je la pénétrais. Elle écartait ses cuisses avant de les refermer sur mes reins.

Je me retirais, elle serrait ses jambes autour de moi. Je revenait, elle écartait ses jambes. Mon ventre s'écrasait contre le sien et je la sentais s'abandonner entre mes bras.

Je me relevais, me retirais, elle relâchais la pression de ses jambes. Et quand je revenais elle les refermait avec forces. Je me glissais profondément en elle avec douceur, avec force, avec fermeté et par moment, un peu, juste un peu de violence.

Elle gémissait alors avec force.

Nos mouvements devenaient désordonnés, nos caresses plus rapides, plus vives, c'était la fièvre qui montait en nous. Ce corps que j'avais juste eu le temps de découvrir m'avait tellement manqué, et elle devait ressentir la même chose et me tirait vers elle, me tirait en elle.

Je l'ai senti frémir, j'ai senti son plaisir et j'ai fini par prendre le mien. J'ai joui en elle. Notre fièvre se calmait peu à peu, nos deux souffles se synchronisaient, nos deux cœurs battaient ensemble.

Nous roulions encore l'un sur l'autre, mais plus calmement. Sarah m'enveloppait toujours, je bandais moins ferme mais je bandais encore en elle. Elle s'abandonnait sur moi, je sentais ses muscles se détendre et je la sentais s'endormir lentement. Je n'avais pas envie de la réveiller, je m'endormais moi aussi.

Personne n'est venu nous déranger cette nuit là. Personne n'est venu nous réveiller le lendemain matin. Nous étions toujours dans la même position, je n'étais plus en elle, ma queue se réveillait en même temps que nous. C'est comme ça tous les matins. On s'est fait un câlin et la matinée était déjà bien avancée quand on s'est levé.

Peu à peu je retrouvais ma place, la vie reprenait. Je passais le plus de temps possible avec mon fils et mes neveux ( les trois gamins ). Ils étaient comme des frères, ils grandissaient ensemble. Mon fils logeait dans mon ancienne chambre, celui de Samuel dans celle de son père et le troisième dans la chambre en face de l'autre côté du couloir. Quand on les cherchait on ne savait jamais lequel on allait trouver dans la chambre.

Avec Samuel nous reprenions la direction de la propriété, les ateliers étaient construits. La propriété de la famille de ma femme était partagée en parcelles qui étaient vendues. On ne pouvait plus garder une telle surface de terre et ça aurait été dommage de la laisser en friche. Là, au moins elle nourrissait des gens. C'est la famille de ma femme qui avait pris cette décision !

Les récoltes se suivaient, neuf mois après mon arrivée Sarah mettait au monde une fille, et de nouvelles récoltes suivaient …
La vie redevenait lente, je voyais grandir nos enfants, ils étaient de plus en plus beaux tous les trois. Mes deux filles, la cadette avait suivi deux ans plus tard, grandissaient et l’aînée devenait une belle jeune fille qui serait bientôt une belle jeune femme. On aimerait les voir grandir moins vite et quand elles se retrouvaient avec ma nièce , la fille de Samuel , à l'office dominicale, tous les garçons du village ne regardaient qu'elles.

Remarquez ce sont nos garçons que les filles du village regardaient.

Plus de quinze années avaient passé. Nous préparions un triple mariage, C'était plus simple de marier les trois garçons en même temps, pas ensemble je vous rassure, mais en même temps surtout qu'ils étaient nés à moins d'un an d'écart …
Les préparatifs avançaient, j'étais sur la terrasse quand j'entendais Taxi qui arrivait vers moi en hurlant mon nom, il avait l'air totalement paniqué le pauvre …


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