ET TOUJOURS EN ÉTÉ 20 ÉPILOGUE

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : ET TOUJOURS EN ÉTÉ 20 ÉPILOGUE Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 20 ÉPILOGUE
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 20ÉPILOGUE

Il n'arrivait même plus à parler le pauvre Taxi, je ne l'avais jamais vu dans cet état. Il faisait de grand gestes et me montrait l'avant de la maison, l'entrée.

J'allais vers l'extrémité de la terrasse et là je pouvais le voir. Je l'ai reconnu tout de suite, il avait un peu vieilli, je ne pensais plus le revoir, ça faisait vingt ans. Taxi ne l'avait vu que très peu de temps mais l'avais reconnu tout de suite.

Il était toujours aussi grand, toujours aussi large, toujours aussi beau. C'était Sunny, il me regardait et me souriait. Il avait un beau cheval, et était bien habillé, à côté de lui il y avait un autre cavalier Qui avait la même taille, la même carrure, mais qui était bien plus jeune, environ l'âge de mon fils.

Je courais vers lui, on se prenait dans les bras et on se faisait l'accolade.

Sunny : Je voulait te ramener quelque chose qui t'appartient.

Il me donnait ma carabine.

Sunny : Tu peux me recevoir chez toi, je te jure que je n'ai jamais dirigé une arme en direction d'un de tes proches.

Plusieurs employés voyant cela venaient pour s'occuper des chevaux.

Sunny : ( se tournant vers le jeune homme qui l'accompagnait ) Je te présente mon fils, je lui ai donné ton nom, j'espère que ça ne te dérange pas … Jonathan mais on l'appelle John !

Je les invitais à entrer. On s'installait sur la terrasse. Sarah venait saluer Sunny.

Sarah : Je suis très heureuse de te revoir Sunny.

Sunny se levait pour saluer Sarah.

Sunny : Très heureux de vous revoir Madame Sarah.
Sarah : Sarah, juste Sarah s'il te plaît Sunny, tu es ici un ami de la famille, s'il te plaît plus de '' vous '' et plus de '' Madame ''.

Dans mon dos, juste derrière moi je sentais Taxi qui trépignait.

Moi : Qu'est-ce qui ne va pas Taxi ? Je t'écoute.
Taxi : C'est pour monsieur Sunny, voulez que j'apporte un rafraîchissement à Monsieur Sunny.
Sunny : Mais c'est qui celui-là . Il a l'air enthousiaste de me voir … Moi : Tu ne te …Taxi : ( me coupant la parole ) Vous ne vous souvenez pas de moi, vous m'avez demandé de prendre soin de Monsieur Jonathan, et bien c'est ce que je fais depuis.
Sunny : C'est pas vrai, tu l'a gardé à ton service tout ce temps celui-là ! C'est vrai qu'il a meilleure allure.

On passait le reste de l'après midi à discuter et à se raconter nos vies. La mère de John était morte alors qu'il était enfant. Il avait été élevé dans une caserne, Sunny avait atteint de grade de Capitaine et venait de quitter l'armée.

On l'appelait le diable noir. Il collectionnait les médailles et les décorations.

Samuel : J'ai entendu parler ce ça, alors c'était pas une légende, c'était toi ?

John nous avais discrètement quitté et on le voyait revenir avec mon aînée qui semblait avoir brusquement embellie, elle venait d'avoir quinze ans il allait en avoir dix sept …
Moi : ( à l'intention de Sunny ) Je crois qu'il va falloir les surveiller ces deux là ! Sinon on va être grands-pères avant de comprendre ce qui s'est passé.

Taxi trouvait rapidement une chambre pour Sunny et une pour son fils. John n'en revenait pas, c'était la première fois qu'il était reçu dans une maison de maître et il était reçu comme un maître. Notre couturière maison confectionnait rapidement un costume pour Sunny et pour son fils, on se préparait à un grand mariage, on n'avait pas de mal pour leur trouver une petite place.

Le soir tombait, je retrouvait Sunny dans le jardin, je me glissait dans la cave et en ressortais avec deux verres et une bouteille de vin. On parlait, on se racontait tout. J'étais très heureux de le revoir. On s'installait sous le kiosque, et on dégustait longuement cet excellent vin.

Des bruits nous parvenaient, juste des murmures. Sunny posait sa main sur mon bras et me glissait à l'oreille '' C'est mon fils et ta fille, il va m'entendre … ''. Il se levait et se glissait dans un buisson, je le suivais. À un moment il se retournait en rigolant, il essayait de ne pas faire de bruit … '' C'est ton cousin et ton valet de chambre !''.

Je n'étais pas vraiment surpris, je me glissais moi aussi sous le buisson, Sunny allongé juste à côté de moi. Je sentais sa chaleur. On regardait la scène, il faut dire qu'on était aux première loges.

Après avoir regardé autour d'eux pour s'assurer qu'il n'y avait personne.

Samuel attrapait Taxi par le bras, le tirait vers lui et l'embrassait avec fougue. Taxi glissait les mains sur le corps de Samuel et sans traîner une seconde lui ouvrait la chemise et le couvrait de baiser, il devait le mordiller aussi à en croire la réaction de Samuel.

Mon cousin posait ses mains sur son cou et l'embrassait avec tendresse pendant que Taxi retirait sa chemise et la posais sur un buisson, ensuite tout en continuant à embrasser Samuel il lui ouvrait son pantalon. On pouvait clairement voir une belle bite claire se dessiner sur un font sombre.

Taxi voulait se pencher mon cousin le retenait, il se laissait alors tomber à genoux devant mon cousin et sans attendre plus il avalait sa queue jusqu'à la garde.

Sunny : Il sait y faire le petit, c'est toi qui lui a appris ?
Moi : Il savait déjà faire … Mais c'est vrai qu'on s'est entraîné.

Samuel ne résistait pas, au contraire. Il appuyait sur la tête de Taxi et donnait des coups de bassin. Taxi encaissait, passait ses mains derrière les cuisses de mon cousin et le tirait vers lui. Il faisait des bruits étranges, Samuel gémissait en relevant la tête en arrière en le tirant vers lui.

Taxi encaissait bien, son visage s'écrasait sur le ventre de mon cousin et y restait pendant de longues minutes. Je me réinstallait, ma queue protestait et la position devenait désagréable.

Sunny : Là ça décoiffe, il était pareil avec toi ?
Moi : Il est !
Sunny : Ah ouai ?
Moi : Bein oui de temps en temps !

Avec force Samuel relevait Taxi, l'embrassait et lui murmurait quelque chose à l'oreille.

Taxi se retournait en ouvrant son pantalon qu'il laissait tomber, se penchait en avant en s'appuyant ses mains sur ses genoux. Samuel prenait alors position et rapidement presque sans préliminaire enfonçait sa queue dans le cul de Taxi. Je me disais en voyant ça que je n'avais jamais vu mon cousin se faire enculer.

La scène durait encore un long moment, on entendait le ventre de mon cousin frapper fortement contre les fesses de Taxi.

Taxi : Oh oui Monsieur Samuel, encore, encore …Sunny : ( il tournait la tête dans ma direction ) Monsieur Samuel !!! Même dans cette situation ? Dis donc il est révérencieux !
Moi : Oh pour ça oui, il ne fait pas toujours ce qu'on lui demande mais pour ça oui !

Les mouvements de Samuel devenaient plus rapides, et quand il jouissait dans le cul de Taxi, on l'entendait. Il restait alors là bien planté pendant que Taxi se masturbait et ne se retirait que quand Taxi jouissait à son tour. Ils repartaient en discutant, on ne pouvait pas entendre ce qu'ils se disaient.

Sunny : Taxi est toujours passif ?
Moi : En général oui mais il faut dire qu'il tire moins bien que toi !
Sunny : Message reçu !

Il se retournait sur le côté me regardait et me tirait vers lui. C'était pas la peine de résister ses bras sont aussi larges que mes cuisses.

Je passais mes bras autour de son cou. Ma queue se révoltait maintenant. Je me souvenais des ses étreintes, c'était il y a des années mais je m'en souvenais. Il y avait sa force herculéenne, ses muscles auxquels personne ne pouvait résister, en tout cas pas moi. Je l'embrassais avec passion en glissant mes mains sur ses muscles. Je les descendais rapidement vers son pantalon. Lui aussi bandait, et sa queue était toujours aussi grosse que dans mon souvenir.

Je le repoussais sur le dos, j'ouvrais son pantalon et me jetais sur sa queue que je prenais dans ma bouche. Je me souvenais de cette époque ou je frémissais dans les bras de Sunny. De toutes ces journées que nous avions passée ensemble, quand nus dans la rivière je lui apprenais à nager. Et là, je frémissais de nouveau.

Il appuyait sur ma tête avec douceur mais j'en demandais plus. Je voulais tout. Je me forçais à avaler sa queue sur toute sa longueur, j'étais pris par une véritable crise d’hystérie et avec voracité je lui suçais la bite, les couilles. Je l'embrassais partout ou je pouvais. Je lui mordillait les tétons avec douceur, mais une douceur qui le faisait frissonner.

Je retirais mon pantalon, il me tripotait les couilles. Je le lubrifiais longuement la queue et je m'empalait dessus. Il était surpris, il me laissais faire, je poussais un long gémissement sourd pendant que sa queue me déchirait le cul. Je me sentais terriblement dilaté, mais ça passait, ça passait bien et un légère douleur passée c'était un plaisir intense qui m'envahissait.

Mes genoux reposait de chaque côté de ses hanches. Il relevait le torse et doucement me tirait les chevilles dans son dos. J'étais empalé sur son énorme queue. Il soulevait le bassin et se laissait retomber. Je m'accrochais à son cou. Il repliait ses jambes en tailleur. Je la connais bien cette position, je la pratique avec ma femme mais là je tenais la place de ma femme et la queue était bien plus grosse que la mienne. Là j'ai dégusté.

Je l'ai senti passer. Ensuite il se balançait sur ses fesses et sa queue me massait mes entrailles, j'avais envie de crier, de hurler tellement c'était bon mais je ne parvenais pas à émettre le moindre bruit. C'était préférable remarquez !

Je respirait de plus en plus fort, je tremblais c'était pareil pour lui. Je sentais tous son corps trembler, il se retenait. Je jouissais, il s'en rendait compte et se retenait toujours, il continuait à se balancer, je jouissais et ça se terminait par un frisson qui se transformait en convulsion. Il jutais en moi.

Je n'ai juté qu'au moment ou je me relevais, qu'au moment ou sa queue sortait de mon cul. Je m'allongeait sur lui et continuais à l'embrasser.

Moi : Tu pratiques toujours avec les hommes ?
Sunny : Les hommes, les femmes, l'important c'est de se faire plaisir.

Il me faisait rire. On était nu on prenait nos vêtements et on se sauvait entre les buissons en direction de la rivière. On s'est baigné, on s'est un peu nettoyé aussi …
Moi : Mais c'est que tu nage bien dis donc !
Sunny : C'est toi qui m'appris, tu te souviens tu m'a aussi appris à lire et à tirer. C'est grâce à toi si je suis devenu capitaine.

Je le regardais sans comprendre.

Sunny : Ils avait besoin d'un noir pour commander, il y avait des soldats noirs et il leur a sembler que ce serait un bon exemple. Je tirais bien, je savais lire, pour le reste, j'impressionne le monde. J'ai été choisi. Surtout que je faisais mes preuves …
On remontait de la rivière, et on croisait john qui revenait de la partie de la maison ou était la chambre de ma fille. C'est d'un air décontracté qu'il nous lançait.

John : Je te jure papa que j'ai été sage. Bonsoir Msieu John, c'est une belle nuit pour se baigner, je serais bien resté mais il est tard …
Je regardait Sunny.

Moi : Tu crois vraiment qu'il a été sage ?
Sunny : Il n'aurait pas réagi comme ça autrement, tu peux me croire, je le connais !

On remontait dans nos chambre, je me montrais très tendre avec ma femme, il ne me semblait pas nécessaire de lui raconter les détails de ce qui venait de se passer.

Quelques jours plus tard nous avons marié les trois garçons comme prévu. Ils étaient vraiment très proches et parfois je me demandais si … Sunny s'est installé à la maison, il cherchait un travail. Il est devenu contremaître et était assisté de son fils.

Son fils, celui là aussi on l'a marié. Trois ans plus tard avec ma fille … Il fallait s'y attendre. Sunny a épousé une jeune femme adorable, elle était née esclave et se retrouvait dans une grande famille de maître.

On n'a jamais raconté à nos femmes les câlins qu'on se faisait tous entre nous quelquefois. Et quelquefois on se retrouvait à … un peu plus de deux … Samuel, Taxi, Sunny, John ( il était comme son père celui-là ) ou moi préférions garder cette partie de notre vie comme un jardin secret …
Ah, j'allais oublier … Jonathan Junior, Anaël ( le petit métis beau comme un dieu ) et mon fils également beau comme un dieu ( bein c'est mon fils quoi ! ) étaient très proches également. C'est John qui me l'a confirmé mais en me faisant jurer de ne pas en parler.

La vie était redevenue douce un peu comme je l'avais connue pendant mon enfance. Et les enfants, d'autres enfants arrivaient au rythme des naissance, la famille grandissait et notre fortune prospérait …
Et là il n'y a plus grand chose à raconter … C'est donc là que je mettrai fin à mon histoire !



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