Et vive le camping, suite
Récit érotique écrit par PLUME77 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2021 dans la catégorie Plus on est
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Et vive le camping, suite
Nos vacances se déroulaient à la perfection, j’avais plus de liberté depuis ma majorité. Même si elle était récente et que pour payer moins de séjour, maman avait déclaré que je n’avais que17 ans, ce que croyait l’ensemble des gens du camping. Mais Sylvain, le gérant, n’était pas dupe et me l’avait fait avoir.
Tous les ans à la mi-août, il y avait une soirée organisée par les collaborateurs du camping. Comme c’était la première année que nous venions à cet endroit, nous n’avions rien préparé en vue de et événement. Il y avait entre autres, un prix du plus beau déguisement avec comme thème la pêche et l’élection de la miss camping de l’année. Je participais au déguisement avec les moyens du bord.
Le soir un repas était organisé où tous les campeurs et campeuses étaient conviés, moyennant finance bien sûr. Sylvain ne lassait pas passer une opportunité de faire de l’argent. Nous prenions l’apéro devant la tente en compagnie d’Aike, de sa femme Marja et de leur jeune fille. J’avais l’habitude de rester en slip, les seins à l’air après la douche en rentrant de la mer. Quelquefois à poil, quand l’apéritif se prolongeait et mon père me chatouillait devant les Néerlandais et je finissais par ôter mon tee shirt sous lequel j’étais nue.
Maman et Marja s’occupaient de trouver des vêtements pour le meilleur costume. C’était un petit événement et papa voulait absolument que tout le monde participe à l’élaboration de ma tenue. Je me débarrassais de mes vêtements, de tous mes vêtements avait dit mon père après le second Ricard, alors que j’étais sur ses genoux. J’étais donc à poil au centre du cercle formé par les chaises de camping.
Les oripeaux m’étaient essayés, voire testés et retenue ou pas pour le thème de la pêche. Je devais en essayer une quinzaine, à chaque fois je me retrouvais nue. Des campeurs qui passaient dans l’allée me regardaient. Ils s’arrêtaient et donnaient leurs avis. C’était ça aussi la vie au camping.
Après quatre apéritifs, c’est vrai que mon père, Aike et Marja picolaient bien, j’avais un pantacourt trop grand pour moi, qui tenait grâce à des grosses bretelles, sur une paire de bottes en caoutchouc vert. Pour le haut, c’était mieux, un chandail rayé bleu marine et blanc, des hameçons piqués à l’emplacement de ma poitrine, pour faire pêcheur. Un chapeau de paille, une canne à pêche et un panier à poissons terminaient mon accoutrement. J’avais en dernier recours un poisson mort ficelé sur ma taille. Je regrettais qu’il n’y ait rien de sexy dans tout ça.
Pour l’élection de miss camping, j’avais prévu juste mon maillot de bain blanc et je prévoyais de le mouiller juste avant. Le tissu révélait bien mes formes une fois mouillé et la taille trop juste depuis que je le portais, laissait à mes lèvres la possibilité de s’échapper pour s’offrir à la vue des spectateurs. Je comptais là-dessus pour m’aider à être élue. Papa se réjouissait de me voir sur la scène en petite tenue, ce n’était pas le cas de maman.
Tout le petit monde se rendait prés de l’épicerie, où étaient dressées les tables pour manger une moule frites géante. J’avais l’air un peu idiote dans mon déguisement et surtout avec le poisson qui commençait à sentir la marée, mais avec les moules ça ne dénaturait rien. On se régalait, il y avait une cinquantaine de personnes et une estrade de monter devant les tables, encadrée de rideaux de chaque côté. Aike ajoutait des coquilles de moules qu’il coinçait avec le ruban du chapeau, sur ma tête.
Avant le dessert, une grosse gaufre avec une boule de glace à la fraise, le coup d’envoi du meilleur déguisement était donné. Les spots allumés, la scène était illuminée de mille feux, surtout que la nuit était tombée.
Chaque personne défilait devant un jury composé de Sylvain, de la vendeuse de l’épicerie et bien sûr du public qui votait à main levée. Des campeurs avaient des tenues superbes et je n’arrivais pas à tirer mon épingle du jeu. Du coup je terminais quatrième sur douze participants. Mon père était encore plus déçu que moi.
Nous avions le feu vert pour manger notre dessert avant le clou du spectacle, l’élection de miss camping. J’avais un peu peur de monter sur la scène dans ma tenue, autant déguisé en pêcheur avait été plutôt rigolo, autant en maillot de bain, j’avais de l’appréhension. La musique douce se terminait et Sylvain montait sur scène avec le micro pour annoncer le début de l’élection.
Les filles se rangeaient au bas de l’escalier sur le côté de l’estrade, cachées derrière les rideaux. Nous étions huit à concourir, certaines étaient habillées et d’autres, dont moi en maillot de bain. J’avais pris soin discrètement avec ma main sous la table, d’humidifier avec l’eau de la carafe mes bonnets du haut et mon entre jambes.
Les filles en robe défilaient les premières et nous restions trois en maillot. Une des filles était en maillot noir une pièce, pour moi une vieille, elle devait bien avoir 25 ans.
Je passais l’avant-dernière, c’est Sylvain qui nous donnait le top pour entrer sur la scène. Il m’était sa main derrière notre dos et nous poussait. Sauf que pour moi, au moment où il me poussait, ses doigts avaient attrapé le lacet du haut de mon maillot. Ce qui devait arriver, arriva, j’entrais seins nus sur la scène devant tout le monde. Je ne cherchais pas à me cacher tellement le mouvement avait été soudain.
Je faisais la chorégraphie que j’avais prévue, maman semblait outrée, alors que papa rigolait. Tout le monde applaudissait et Sylvain était mort de rire. Je redescendais et attendais le dernier passage ? La pauvre n’avait aucun succès.
Je n’étais pas étonnée que Sylvain m’appelle après le vote ou j’avais pulvérisé toutes les prétendantes. En passant devant Sylvain je lui disais qu’il exagérait. Je sautais de joie sur place à ses côtés, ce qui faisait sautiller mes seins pour le plus grand plaisir des hommes de l’assemblée.
Je recevais un bouquet de fleurs, une médaille gravée miss camping et Sylvain annonçait que ma pension était intégralement prise en charge par le camping. Je voyais maman qui se réjouissait. Je restais un moment sur la scène pendant que Sylvain donnait des explications. J’apprenais que je devais garder la médaille sur moi tout le temps que j’étais dans le camp. Il m’avait pris par l’épaule et sa main pendait sur le haut de mon buste, presque à toucher mon sein. Je voyais les yeux des spectateurs aller de mon slip ou mes lèvres étaient très visibles, à mes seins nus dont les pointes étaient dardées.
Notre retour à la tente était triomphant, j’étais très heureuse et papa voulait arroser ça. Sa fille chérie qui gagnait un prix avec une médaille, c’était l’événement de l’année.
Maman comptait et recomptait en disant qu’elle aurait dû dire que j’étais majeure, elle aurait gagné plus. Papa avait beau lui expliquer que ça revenait au même, elle ne voulait pas l’admettre.
Marja avait amené une bouteille de vin rosé Hollandais qu’Aike débouchait, j’avais ma place sur les genoux de mon père qui râlait car mon maillot était mouillé.
Aussitôt j’ôtais mon bas de maillot et reprenais place sur ses genoux.
J’aimais allumer Aike et sa femme, je me tournais dans leur direction et tout en parlant j’écartais toutes grandes mes cuisses. Ils ne pouvaient ignorer mes lèvres roses ouvertes sur mon petit nuit chaud et humide. Bien sûr la partie de pêche avec Aike et Sylvain avait révélé les penchants sexuels du Néerlandais et sa femme devait les ignorer.
Je faisais balancer ma médaille entre mes seins quand Sylvain fidèle à son petit tour du camp, s’arrêtait pour discuter avec nous. Il buvait un verre et la seconde bouteille était débouchée. Il commentait ma victoire et disait regretté le malheureux incident qui m’avait fait perdre mon haut de maillot. Je lui faisais un clin d’œil discrètement. Je ne sais pas si les gens qui avaient assisté à la soirée avaient été dupe de la raison pour laquelle j’avais perdu mon maillot.
Sylvain nous proposait de faire une partie de pêche en mer pour être raccord avec le déguisement de la soirée. Mes parents avaient déjà réservé leurs visites du lendemain et le couple de Hollandais devait faire un choix pour garder la petite. C’était le tour de Marja de profiter des joies de la mer. J’étais déçue, je me voyais déjà entrain de faire une fellation à Sylvain en même temps qu’Aike et ça c’était un fantasme puissant.
Nous prenions rendez-vous pour le matin, maillot de bain et crème solaire obligatoire, car il y avait du bateau à faire.
La nuit était agitée et je masturbais à deux reprises en imaginant que je me faisais prendre à quatre pattes sur la scène devant tout le monde. Le lendemain était difficile également pour Marja à cause de l’alcool. Mes parents dormaient encore quand j’allais prendre ma douche. Je choisissais comme toujours celle qui ne fermait pas. Sylvain passait me voir et m’embrassait en me pelotant la fente et les seins.
« Tu le fais donc exprès cucul de choisir la seule porte qui ne ferme pas. »
C’était le surnom qu’il m’avait donné dès le premier jour, il trouvait que Satine -Rose était trop compliqué pour lui. Il n’avait pas le temps de faire plus et me laissait sur ma faim.
Il partait sur un camion, camion, « pouêt-pouêt » en écrasant mes seins entre ses doigts boudinés.
Je filais après mon petit déjeuner en même temps que Marja, mes parents dormaient toujours.
Le bateau avait tendance à m’endormir et le temps monotone pour arriver sur l’endroit de pêche. Sylvain stoppait dans une crypte et nous proposait une baignade pour finir de nous réveiller. L’endroit n’était accessible que de la mer, la plage était immaculée car la falaise au -dessus n’avait aucune possibilité de descendre. On voyait le fond tellement l’eau était claire.
« Allez cucul, à poil. »
J’ôtais le gilet de sauvetage et mon maillot avec plaisir, je gardais ma médaille autour du cou, le soleil déjà haut tapait fort.
« Et vous aussi. »
Il s’adressait à Marja . Je n’hésitai pas une seconde et attrapais le slip de bain de Sylvain par-derrière et le baissais d’un coup sec.
Il était tellement surpris qu’il restait les bras pendant la bite à l’air. Marja le regardait sans comprendre.
« Aike nous a dit que vous étiez naturistes. »
Marja haussait les épaules pendant que Sylvain finissait d’ôter son maillot. Sylvain à poil et nous sautions tous les deux dans l’eau.
Je crois que Marja ne voulait pas être en reste quand nous avons plongé, elle a retiré son maillot et nous a rejoints dans l’eau. On s’amusait à s’éclabousser et je plongeais pour tirer la bite de Sylvain.
« Ho la vilaine sirène qui m’a attrapé la bite, viens là que je t’arrange cucul. »
Sylvain me poursuivait et je me réfugiais près de Marja et je me pendais à son cou, en lui faisant un bisou sur la bouche. Elle était un peu désappointée, mais me le rendait. Ses lèvres avaient le goût de la fraise. J’en profitais pour me coller complètement contre son corps, enlaçais ses jambes avec les miennes.
Sylvain ne voulant pas être en reste, m’imitait. On bougeait ensemble dans l’eau qui nous portait. Je sentais des mains qui s’insinuaient entre mes cuisses, sans savoir à qui elles étaient.
« Hum, qui est-ce qui me tripote ? »
Je détachais une de mes mains de Marja et plongeais mon bras pour attraper le sexe charnu de Marja.
« J’ai attrapé une jolie paire de lèvres, à qui sont-elles ?»
Marja rigolait et m’embrassait en glissant sa langue entre mes dents.
Je sentais une langue qui s’infiltrait dans ma fente et comme je ne voyais plus la tête de Sylvain, j’en déduisais qu’il s’agissait de lui.
« Tu peux la manger si tu veux. »
Marja rentrait dans notre jeu, je plongeais sous l’eau et enfournais dans ma bouche la bite bandée de Sylvain, j’avais une main sur la chatte de Marja et Sylvain s’occupait de la mienne.
Sylvain proposait que l’on monte à bord pour plus de confort. Sur le bateau Sylvain me voulait à genoux pour que je le suce, mais il voulait également Marja. Ma médaille suivait mes mouvements et cognait contre ses couilles. Pour la décider, il disait :
« La dernière fois c’est Aike qui m’a sucé et que tu l’as partagé avec cucul. »
Marja nous regardait, je lui faisais signe de la main et elle venait près de nous. Sylvain me retirait sa bite pour la mettre dans celle de Marja. Il me faisait passer sous ses fesses pour lui gober les couilles. Je me faisais la réflexion que nous étions deux pour s’occuper de son service trois-pièces et je m’étouffais à moitié.
« Qu’est-ce qui te fait rire cucul, c’est de me bouffer les burnes, tu vas voir quand je vais t’emboîter le cul ? »
Sylvain me faisait m’allonger entre les cuisses de Marja et les siennes. Je devais faire une langue à Marja. Elle avait des lèvres longues qui remplissaient ma bouche, c’était curieux, maman et moi n’avons pour ainsi dire pas d’excroissance des lèvres. Marja avait la valeur d’un petit steak et je me régalais à les mâchouiller et les mordre, j’en avais plein la bouche et je la sentais partir dans des cris qui me faisaient penser à ceux de sa fille. Elle me jouissait littéralement dans la bouche. Elle lâchait autant de jus qu’un homme qui éjacule. C’était salé et chaud.
Sylvain a écouté mes commentaires sur les lèvres de Marja voulait en profiter aussi. Il les attrapait à pleine main et l’expression de Trump « attraper une fille par la chatte » prenait tout son sens.
Il la malaxait debout et Marja pliait les genoux. Elle était une boule de plaisir, elle si effacée d’ordinaire se révélait être un volcan dans le sexe. Pendant ce temps, je masturbais la bite large et puissante du gérant du camping. Sylvain promenait Marja sur le bateau en la tenant par les lèvres, c’était hallucinant, ses limbes se distendaient, l’allongement pouvait atteindre au moins 15 centimètres, presque aussi long que la bite de Sylvain. Je regardais ce cortège étonnant.
Nous passions plus d’heure à des jeux sexuels que je connaissais à peine et certains pas du tout. Mon éducation sexuelle qui se limitait au pelotage devant l’usine ou travaillait mon père, se transformait en mille plaisirs.
Nous voguions encore une dizaine de minutes pour rejoindre un spot ou nous ferions une pêche miraculeuse disait Sylvain. Il était le seul à avoir remis son slip de bain et nous demandait de rester nues toutes deux. Je n’avais sur moi que ma grosse médaille de miss camping.
Nous étions côte à côte avec la femme d’Aike. Elle voulait savoir s’il avait réellement sucé Sylvain. Je lui expliquais ce que nous avions fait ensemble, tout en jouant avec ses lèvres. Je ne me lassais pas de tester ses morceaux de chair qui semblaient sortir de son vagin. Ses seins lourds pendaient un peu sur son buste, mais c’est vrai qu’elle avait eu un enfant. Je lui demandais de me donner la tétée.
Ma tête posée sur ses mains, je suçais ses tétines en aspirant comme pour avoir ma ration de lait. Elle fermait les yeux, entre ma bouche et une de mes mains toujours à caresser ses limbes, elle était en état permanent de jouissance. Je mâchouillais ses seins comme j’avais fait avec ses lèvres de chatte. C’était ma première fois avec une femme et j’adorais ça.
Sylvain nous distribuait des canettes de coca après avoir stoppé le moteur du bateau. Nous nous enduisions mutuellement de crème solaire avec Marja. Le capitaine avait jeté l’ancre à quelques encablures de la côte. La cabine faisait de l’ombre et une petite table avec des tabourets nous servaient d’endroit pour manger. Sylvain avait jeté trois lignes à l’eau et nous découvrions ce que notre hôte nous avait préparé pour déjeuner. Il était 13 heures passées et nous avions une faim de loup, augmenté par nos exercices sexuels.
Nous n’avions pas terminé notre salade de fruits, quand un zodiac à moteur se dirigeant vers nous, accostait le bateau de pêche. Je retenais Marja contre moi, elle voulait entrer dans la cabine. J’étais paralysé juste à voir la tête des hommes dans leur bateau. Ils montaient bord.
« Brigade de la pêche et protection du littoral. »
Sylvain expliquait que nous étions juste venue pour pêcher. Les mecs avaient une tête de plus que Sylvain. Ils voulaient voir nos papiers et leurs regards se perdaient dans la contemplation de nous deux. Nous nous étions levées et le plus âgé des deux s’avançait vers moi, ses yeux allaient de ma chatte à mes seins. J’étais en train de reluquer ses cuisses musclées sous le short bleu marine, assorti a sa chemise bleue, j’avais des papillons dans le ventre.
« Fais voir tes papiers, petite. »
J’étais mal parti, car je n’avais pas de document sur moi. Je faisais un geste d’impossibilité en lui montrant ma tenue.
L’autre vérifiait Marja et Sylvain, ainsi que les documents de bateau. Marja avait passé un paréo, ses tétons tendaient le tissu et j’adorais ça malgré la situation compliquée. Sylvain qui bandait depuis le matin, avait la bite en berne qui ne faisait plus de bosse entre ses jambes.
« Il y a un problème avec la gamine, tu es majeure ? »
Marja qui pensait que je n’avais que 17 ans, disait que je ne l’étais pas et qu’il fallait me préserver. Merci maman avec ta manie de vouloir faire s économies sur tout, voilà ce que ça donnait.
Sylvain expliquait qui il était et certifiait que j’avais plus de 18 ans, que Marja se trompait, qu’il y avait un quiproquo. L’un d’eux vérifiait le registre du camping sur le site internet et demandait à Sylvain s’il se moquait d’eux. Sylvain avait renseigné le fichier sur les déclarations de maman.
Les deux hommes ne voulaient rien savoir. D’une part je n’avais pas de papier et de plus j’étais mineure. Ils devaient m’emmener auprès de la gendarmerie maritime à la capitainerie du port pour éclaircir tout ça et idem pour Sylvain et peut-être pour Marja.
Nous étions mal partis, tout ça à cause de ma mère, je la maudissais à cet instant.
L’homme prenait ma médaille entre mes seins en les effleurait et lisait à haute voix ce qui était gravé dessus.
« Tu es donc miss camping. »
Je jouais mon va-tout et me précipitais au cou de l’homme en serrant mon torse nu contre ses tablettes de chocolat. Je simulais un gros chagrin. Il ne pouvait faire autrement que de passer ses bras autour de mes épaules. Je sentais illico son sexe grossir au travers de la fermeture de son short.
Il m’entraînait vers la proue du bateau pour me parler. Je lui confirmais que j’étais majeure. Il me questionnait sur ma nudité et m’éloignait de lui pour mieux me détailler. Je ne lui cachais pas notre trio sexuel pour qu’il comprenne que j’étais épanouie, ce qui devait lui faire comprendre que j’étais majeure et que je n’étais pas farouche. Je lui montrais ma médaille qui était une preuve, on ne peut pas faire faire un concours de miss à une mineure. Mon argument semblait le persuader.
Je ne m’attendais pas vraiment que ça pouvait marcher aussi bien.
Il passait sa main sur mes seins et sur ma fente. J’écartais automatiquement mes cuisses pour qu’il progresse. Il appelait son binôme à la proue du bateau. D’où nous étions, je ne voyais pas Sylvain et Marja. Le deuxième homme arrivait, j’étais déjà bien émoustillé et ma cyprine était présente à l’entrée de ma grotte comme l’avait constaté le grand gars qui m’interrogeait. Il lui expliquait tout en lui montrant que je le laissais mettre ses doigts dans ma chatte et sur mes seins qu’il pressait bien correctement. Il n’attendait que ça lui aussi et ses mains prenaient la place de celles de celui qui me questionnait.
« Et pour les autres, on fait quoi ? »
Il me regardait et répondait à son binôme.
« T’inquiète, ce sont des partouzeurs et celle-là est majeure, tu as vu la médaille. »
Il lui répondait qu’il l’avait bien vu, mais qu’il voulait voir ce qu’ils pouvaient faire.
Pendant que le second me tripotait et m’embrassait, mon enquêteur allait prévenir Sylvain et Marja, qu’il savait ce qu’ils faisaient et que j’avais passé un accord avec eux. Ils devaient rester tranquilles et il confisquait leurs téléphones.
Sûrement pour éviter les photos compromettantes.
Quand l’homme arrivait, j’étais à quatre pattes en train de me faire prendre en levrette, mon amant me donnait la fessée en même temps, une grande première pour moi.
« Une levrette sans fessée, c’est comme apéro sans cacahuètes. »
Effectivement, le niveau n’était pas très haut, mais je riais de bon cœur avec mes deux coquins. Je prenais une seconde bite, mais dans la bouche celle-là. À chaque coup de reins, j’avalais un peu plus le sexe épais qui me faisait face. C’est le fond de ma gorge qui recevait la bite et mes mains tripotaient les couilles chaudes que j’avais devant mon nez. J’avais un vertige quand de ma chatte l’homme passait dans mon cul.
« Elle est étroite la petite, un vrai régal, tu veux ma place ? »
Je n’avais pas le loisir de bouger, les hommes avaient échangé leur place et la nouvelle bite que j’avais dans la bouche était moins épaisse que la première. Par contre mon anus était écarquillé et je devais pousser pour faire pénétrer sans dommage le large sexe qui m’enculait.
Ma médaille accompagnait fidèlement mes mouvements, de même que mes seins qui se balançaient sous moi. J’en étais là de mes réflexions quand un orgasme m’irradiait tout le corps. L’homme que je suçais m’avait choppé les seins et en me les tordait, ça avait déclenché un raz-de-marée dans mon corps et mes râles brutaux de plaisir entraînaient mon enculeur à éjaculer dans mon cul. Je serrais les dents et l’homme se retirait de ma bouche pour se masturber devant mes yeux.
J’adorais voir les hommes qui se masturbent. J’avais déjà surpris mon père en train de le faire. La première fois j’étais resté cachée et me caressais en même temps que lui. Mais la seconde fois, il était sur le canapé du salon et il regardait un film porno. Je l’avais espionné jusqu’à un moment oùil respirait de plus en plus vite. Je me suis planté devant lui et j’ai reçu ses jets de sperme sur moi.
J’avais un nouvel orgasme en même temps que je recevais des giclées de sperme sur la figure. Je ne sais pas si c’était le fait d’évoquer mon père, mais c’était fort aussi. Comme Sylvain me l’avait pari, j’ouvrais grande ma bouche pour récupérer le bon jus d’homme. Je suçais mes deux tourmenteurs pour nettoyer leur sexe encore ferment.
« Tu es un amour, maintenant à la baille. »
Ils m’attrapaient et me jetaient par-dessus bord.
« Frotte-toi bien la chatte et le trou du cul petite cochonne. »
Le temps qu’effectivement je me frotte à l’eau de mer et que je remonte sur le bateau, les hommes avaient disparu et je retrouvais Marja et Sylvain avec leur téléphone.
Ils me questionnaient et je les rassurais sur la façon dont ça c’était passé.
Marja était très excitée, mais je les laissais tous les deux faire l’amour, j’étais comblée et fatiguée de ma prestation avec mes deux amants.
Ils me rejoignaient et nous prenions plusieurs beaux spécimens de poissons que nous ramenions au camping. Je passais mon maillot de bain pour rejoindre la tente de mes parents et celle de Aike. Sylvain décidait que nous dînerions tous ensemble autour du barbecue pour faire griller le poisson.
Je passais à la douche et je ne le faisais pas exprès, mais j’entrais dans la cabine sans verrou et bien sur comme à chaque fois, un homme poussait la porte. Je suspendais mon geste et l’homme restait à me regarder et me reconnaissant, commençait à engager la conversation sur ma victoire à l’élection de miss camping. Je lui faisais voir ma médaille et le repoussais gentiment quand il voulait aller plus loin que de caresser ma poitrine.
Nous faisions tous ensemble un bon repas de poissons grillés, ou je restais entièrement à poil, suivi par Marja, qui se déshabillait aussi, pour le plaisir de l’assemblée. Je m’écriais à la fin du repas :
« Et vive le camping. »
Tous les ans à la mi-août, il y avait une soirée organisée par les collaborateurs du camping. Comme c’était la première année que nous venions à cet endroit, nous n’avions rien préparé en vue de et événement. Il y avait entre autres, un prix du plus beau déguisement avec comme thème la pêche et l’élection de la miss camping de l’année. Je participais au déguisement avec les moyens du bord.
Le soir un repas était organisé où tous les campeurs et campeuses étaient conviés, moyennant finance bien sûr. Sylvain ne lassait pas passer une opportunité de faire de l’argent. Nous prenions l’apéro devant la tente en compagnie d’Aike, de sa femme Marja et de leur jeune fille. J’avais l’habitude de rester en slip, les seins à l’air après la douche en rentrant de la mer. Quelquefois à poil, quand l’apéritif se prolongeait et mon père me chatouillait devant les Néerlandais et je finissais par ôter mon tee shirt sous lequel j’étais nue.
Maman et Marja s’occupaient de trouver des vêtements pour le meilleur costume. C’était un petit événement et papa voulait absolument que tout le monde participe à l’élaboration de ma tenue. Je me débarrassais de mes vêtements, de tous mes vêtements avait dit mon père après le second Ricard, alors que j’étais sur ses genoux. J’étais donc à poil au centre du cercle formé par les chaises de camping.
Les oripeaux m’étaient essayés, voire testés et retenue ou pas pour le thème de la pêche. Je devais en essayer une quinzaine, à chaque fois je me retrouvais nue. Des campeurs qui passaient dans l’allée me regardaient. Ils s’arrêtaient et donnaient leurs avis. C’était ça aussi la vie au camping.
Après quatre apéritifs, c’est vrai que mon père, Aike et Marja picolaient bien, j’avais un pantacourt trop grand pour moi, qui tenait grâce à des grosses bretelles, sur une paire de bottes en caoutchouc vert. Pour le haut, c’était mieux, un chandail rayé bleu marine et blanc, des hameçons piqués à l’emplacement de ma poitrine, pour faire pêcheur. Un chapeau de paille, une canne à pêche et un panier à poissons terminaient mon accoutrement. J’avais en dernier recours un poisson mort ficelé sur ma taille. Je regrettais qu’il n’y ait rien de sexy dans tout ça.
Pour l’élection de miss camping, j’avais prévu juste mon maillot de bain blanc et je prévoyais de le mouiller juste avant. Le tissu révélait bien mes formes une fois mouillé et la taille trop juste depuis que je le portais, laissait à mes lèvres la possibilité de s’échapper pour s’offrir à la vue des spectateurs. Je comptais là-dessus pour m’aider à être élue. Papa se réjouissait de me voir sur la scène en petite tenue, ce n’était pas le cas de maman.
Tout le petit monde se rendait prés de l’épicerie, où étaient dressées les tables pour manger une moule frites géante. J’avais l’air un peu idiote dans mon déguisement et surtout avec le poisson qui commençait à sentir la marée, mais avec les moules ça ne dénaturait rien. On se régalait, il y avait une cinquantaine de personnes et une estrade de monter devant les tables, encadrée de rideaux de chaque côté. Aike ajoutait des coquilles de moules qu’il coinçait avec le ruban du chapeau, sur ma tête.
Avant le dessert, une grosse gaufre avec une boule de glace à la fraise, le coup d’envoi du meilleur déguisement était donné. Les spots allumés, la scène était illuminée de mille feux, surtout que la nuit était tombée.
Chaque personne défilait devant un jury composé de Sylvain, de la vendeuse de l’épicerie et bien sûr du public qui votait à main levée. Des campeurs avaient des tenues superbes et je n’arrivais pas à tirer mon épingle du jeu. Du coup je terminais quatrième sur douze participants. Mon père était encore plus déçu que moi.
Nous avions le feu vert pour manger notre dessert avant le clou du spectacle, l’élection de miss camping. J’avais un peu peur de monter sur la scène dans ma tenue, autant déguisé en pêcheur avait été plutôt rigolo, autant en maillot de bain, j’avais de l’appréhension. La musique douce se terminait et Sylvain montait sur scène avec le micro pour annoncer le début de l’élection.
Les filles se rangeaient au bas de l’escalier sur le côté de l’estrade, cachées derrière les rideaux. Nous étions huit à concourir, certaines étaient habillées et d’autres, dont moi en maillot de bain. J’avais pris soin discrètement avec ma main sous la table, d’humidifier avec l’eau de la carafe mes bonnets du haut et mon entre jambes.
Les filles en robe défilaient les premières et nous restions trois en maillot. Une des filles était en maillot noir une pièce, pour moi une vieille, elle devait bien avoir 25 ans.
Je passais l’avant-dernière, c’est Sylvain qui nous donnait le top pour entrer sur la scène. Il m’était sa main derrière notre dos et nous poussait. Sauf que pour moi, au moment où il me poussait, ses doigts avaient attrapé le lacet du haut de mon maillot. Ce qui devait arriver, arriva, j’entrais seins nus sur la scène devant tout le monde. Je ne cherchais pas à me cacher tellement le mouvement avait été soudain.
Je faisais la chorégraphie que j’avais prévue, maman semblait outrée, alors que papa rigolait. Tout le monde applaudissait et Sylvain était mort de rire. Je redescendais et attendais le dernier passage ? La pauvre n’avait aucun succès.
Je n’étais pas étonnée que Sylvain m’appelle après le vote ou j’avais pulvérisé toutes les prétendantes. En passant devant Sylvain je lui disais qu’il exagérait. Je sautais de joie sur place à ses côtés, ce qui faisait sautiller mes seins pour le plus grand plaisir des hommes de l’assemblée.
Je recevais un bouquet de fleurs, une médaille gravée miss camping et Sylvain annonçait que ma pension était intégralement prise en charge par le camping. Je voyais maman qui se réjouissait. Je restais un moment sur la scène pendant que Sylvain donnait des explications. J’apprenais que je devais garder la médaille sur moi tout le temps que j’étais dans le camp. Il m’avait pris par l’épaule et sa main pendait sur le haut de mon buste, presque à toucher mon sein. Je voyais les yeux des spectateurs aller de mon slip ou mes lèvres étaient très visibles, à mes seins nus dont les pointes étaient dardées.
Notre retour à la tente était triomphant, j’étais très heureuse et papa voulait arroser ça. Sa fille chérie qui gagnait un prix avec une médaille, c’était l’événement de l’année.
Maman comptait et recomptait en disant qu’elle aurait dû dire que j’étais majeure, elle aurait gagné plus. Papa avait beau lui expliquer que ça revenait au même, elle ne voulait pas l’admettre.
Marja avait amené une bouteille de vin rosé Hollandais qu’Aike débouchait, j’avais ma place sur les genoux de mon père qui râlait car mon maillot était mouillé.
Aussitôt j’ôtais mon bas de maillot et reprenais place sur ses genoux.
J’aimais allumer Aike et sa femme, je me tournais dans leur direction et tout en parlant j’écartais toutes grandes mes cuisses. Ils ne pouvaient ignorer mes lèvres roses ouvertes sur mon petit nuit chaud et humide. Bien sûr la partie de pêche avec Aike et Sylvain avait révélé les penchants sexuels du Néerlandais et sa femme devait les ignorer.
Je faisais balancer ma médaille entre mes seins quand Sylvain fidèle à son petit tour du camp, s’arrêtait pour discuter avec nous. Il buvait un verre et la seconde bouteille était débouchée. Il commentait ma victoire et disait regretté le malheureux incident qui m’avait fait perdre mon haut de maillot. Je lui faisais un clin d’œil discrètement. Je ne sais pas si les gens qui avaient assisté à la soirée avaient été dupe de la raison pour laquelle j’avais perdu mon maillot.
Sylvain nous proposait de faire une partie de pêche en mer pour être raccord avec le déguisement de la soirée. Mes parents avaient déjà réservé leurs visites du lendemain et le couple de Hollandais devait faire un choix pour garder la petite. C’était le tour de Marja de profiter des joies de la mer. J’étais déçue, je me voyais déjà entrain de faire une fellation à Sylvain en même temps qu’Aike et ça c’était un fantasme puissant.
Nous prenions rendez-vous pour le matin, maillot de bain et crème solaire obligatoire, car il y avait du bateau à faire.
La nuit était agitée et je masturbais à deux reprises en imaginant que je me faisais prendre à quatre pattes sur la scène devant tout le monde. Le lendemain était difficile également pour Marja à cause de l’alcool. Mes parents dormaient encore quand j’allais prendre ma douche. Je choisissais comme toujours celle qui ne fermait pas. Sylvain passait me voir et m’embrassait en me pelotant la fente et les seins.
« Tu le fais donc exprès cucul de choisir la seule porte qui ne ferme pas. »
C’était le surnom qu’il m’avait donné dès le premier jour, il trouvait que Satine -Rose était trop compliqué pour lui. Il n’avait pas le temps de faire plus et me laissait sur ma faim.
Il partait sur un camion, camion, « pouêt-pouêt » en écrasant mes seins entre ses doigts boudinés.
Je filais après mon petit déjeuner en même temps que Marja, mes parents dormaient toujours.
Le bateau avait tendance à m’endormir et le temps monotone pour arriver sur l’endroit de pêche. Sylvain stoppait dans une crypte et nous proposait une baignade pour finir de nous réveiller. L’endroit n’était accessible que de la mer, la plage était immaculée car la falaise au -dessus n’avait aucune possibilité de descendre. On voyait le fond tellement l’eau était claire.
« Allez cucul, à poil. »
J’ôtais le gilet de sauvetage et mon maillot avec plaisir, je gardais ma médaille autour du cou, le soleil déjà haut tapait fort.
« Et vous aussi. »
Il s’adressait à Marja . Je n’hésitai pas une seconde et attrapais le slip de bain de Sylvain par-derrière et le baissais d’un coup sec.
Il était tellement surpris qu’il restait les bras pendant la bite à l’air. Marja le regardait sans comprendre.
« Aike nous a dit que vous étiez naturistes. »
Marja haussait les épaules pendant que Sylvain finissait d’ôter son maillot. Sylvain à poil et nous sautions tous les deux dans l’eau.
Je crois que Marja ne voulait pas être en reste quand nous avons plongé, elle a retiré son maillot et nous a rejoints dans l’eau. On s’amusait à s’éclabousser et je plongeais pour tirer la bite de Sylvain.
« Ho la vilaine sirène qui m’a attrapé la bite, viens là que je t’arrange cucul. »
Sylvain me poursuivait et je me réfugiais près de Marja et je me pendais à son cou, en lui faisant un bisou sur la bouche. Elle était un peu désappointée, mais me le rendait. Ses lèvres avaient le goût de la fraise. J’en profitais pour me coller complètement contre son corps, enlaçais ses jambes avec les miennes.
Sylvain ne voulant pas être en reste, m’imitait. On bougeait ensemble dans l’eau qui nous portait. Je sentais des mains qui s’insinuaient entre mes cuisses, sans savoir à qui elles étaient.
« Hum, qui est-ce qui me tripote ? »
Je détachais une de mes mains de Marja et plongeais mon bras pour attraper le sexe charnu de Marja.
« J’ai attrapé une jolie paire de lèvres, à qui sont-elles ?»
Marja rigolait et m’embrassait en glissant sa langue entre mes dents.
Je sentais une langue qui s’infiltrait dans ma fente et comme je ne voyais plus la tête de Sylvain, j’en déduisais qu’il s’agissait de lui.
« Tu peux la manger si tu veux. »
Marja rentrait dans notre jeu, je plongeais sous l’eau et enfournais dans ma bouche la bite bandée de Sylvain, j’avais une main sur la chatte de Marja et Sylvain s’occupait de la mienne.
Sylvain proposait que l’on monte à bord pour plus de confort. Sur le bateau Sylvain me voulait à genoux pour que je le suce, mais il voulait également Marja. Ma médaille suivait mes mouvements et cognait contre ses couilles. Pour la décider, il disait :
« La dernière fois c’est Aike qui m’a sucé et que tu l’as partagé avec cucul. »
Marja nous regardait, je lui faisais signe de la main et elle venait près de nous. Sylvain me retirait sa bite pour la mettre dans celle de Marja. Il me faisait passer sous ses fesses pour lui gober les couilles. Je me faisais la réflexion que nous étions deux pour s’occuper de son service trois-pièces et je m’étouffais à moitié.
« Qu’est-ce qui te fait rire cucul, c’est de me bouffer les burnes, tu vas voir quand je vais t’emboîter le cul ? »
Sylvain me faisait m’allonger entre les cuisses de Marja et les siennes. Je devais faire une langue à Marja. Elle avait des lèvres longues qui remplissaient ma bouche, c’était curieux, maman et moi n’avons pour ainsi dire pas d’excroissance des lèvres. Marja avait la valeur d’un petit steak et je me régalais à les mâchouiller et les mordre, j’en avais plein la bouche et je la sentais partir dans des cris qui me faisaient penser à ceux de sa fille. Elle me jouissait littéralement dans la bouche. Elle lâchait autant de jus qu’un homme qui éjacule. C’était salé et chaud.
Sylvain a écouté mes commentaires sur les lèvres de Marja voulait en profiter aussi. Il les attrapait à pleine main et l’expression de Trump « attraper une fille par la chatte » prenait tout son sens.
Il la malaxait debout et Marja pliait les genoux. Elle était une boule de plaisir, elle si effacée d’ordinaire se révélait être un volcan dans le sexe. Pendant ce temps, je masturbais la bite large et puissante du gérant du camping. Sylvain promenait Marja sur le bateau en la tenant par les lèvres, c’était hallucinant, ses limbes se distendaient, l’allongement pouvait atteindre au moins 15 centimètres, presque aussi long que la bite de Sylvain. Je regardais ce cortège étonnant.
Nous passions plus d’heure à des jeux sexuels que je connaissais à peine et certains pas du tout. Mon éducation sexuelle qui se limitait au pelotage devant l’usine ou travaillait mon père, se transformait en mille plaisirs.
Nous voguions encore une dizaine de minutes pour rejoindre un spot ou nous ferions une pêche miraculeuse disait Sylvain. Il était le seul à avoir remis son slip de bain et nous demandait de rester nues toutes deux. Je n’avais sur moi que ma grosse médaille de miss camping.
Nous étions côte à côte avec la femme d’Aike. Elle voulait savoir s’il avait réellement sucé Sylvain. Je lui expliquais ce que nous avions fait ensemble, tout en jouant avec ses lèvres. Je ne me lassais pas de tester ses morceaux de chair qui semblaient sortir de son vagin. Ses seins lourds pendaient un peu sur son buste, mais c’est vrai qu’elle avait eu un enfant. Je lui demandais de me donner la tétée.
Ma tête posée sur ses mains, je suçais ses tétines en aspirant comme pour avoir ma ration de lait. Elle fermait les yeux, entre ma bouche et une de mes mains toujours à caresser ses limbes, elle était en état permanent de jouissance. Je mâchouillais ses seins comme j’avais fait avec ses lèvres de chatte. C’était ma première fois avec une femme et j’adorais ça.
Sylvain nous distribuait des canettes de coca après avoir stoppé le moteur du bateau. Nous nous enduisions mutuellement de crème solaire avec Marja. Le capitaine avait jeté l’ancre à quelques encablures de la côte. La cabine faisait de l’ombre et une petite table avec des tabourets nous servaient d’endroit pour manger. Sylvain avait jeté trois lignes à l’eau et nous découvrions ce que notre hôte nous avait préparé pour déjeuner. Il était 13 heures passées et nous avions une faim de loup, augmenté par nos exercices sexuels.
Nous n’avions pas terminé notre salade de fruits, quand un zodiac à moteur se dirigeant vers nous, accostait le bateau de pêche. Je retenais Marja contre moi, elle voulait entrer dans la cabine. J’étais paralysé juste à voir la tête des hommes dans leur bateau. Ils montaient bord.
« Brigade de la pêche et protection du littoral. »
Sylvain expliquait que nous étions juste venue pour pêcher. Les mecs avaient une tête de plus que Sylvain. Ils voulaient voir nos papiers et leurs regards se perdaient dans la contemplation de nous deux. Nous nous étions levées et le plus âgé des deux s’avançait vers moi, ses yeux allaient de ma chatte à mes seins. J’étais en train de reluquer ses cuisses musclées sous le short bleu marine, assorti a sa chemise bleue, j’avais des papillons dans le ventre.
« Fais voir tes papiers, petite. »
J’étais mal parti, car je n’avais pas de document sur moi. Je faisais un geste d’impossibilité en lui montrant ma tenue.
L’autre vérifiait Marja et Sylvain, ainsi que les documents de bateau. Marja avait passé un paréo, ses tétons tendaient le tissu et j’adorais ça malgré la situation compliquée. Sylvain qui bandait depuis le matin, avait la bite en berne qui ne faisait plus de bosse entre ses jambes.
« Il y a un problème avec la gamine, tu es majeure ? »
Marja qui pensait que je n’avais que 17 ans, disait que je ne l’étais pas et qu’il fallait me préserver. Merci maman avec ta manie de vouloir faire s économies sur tout, voilà ce que ça donnait.
Sylvain expliquait qui il était et certifiait que j’avais plus de 18 ans, que Marja se trompait, qu’il y avait un quiproquo. L’un d’eux vérifiait le registre du camping sur le site internet et demandait à Sylvain s’il se moquait d’eux. Sylvain avait renseigné le fichier sur les déclarations de maman.
Les deux hommes ne voulaient rien savoir. D’une part je n’avais pas de papier et de plus j’étais mineure. Ils devaient m’emmener auprès de la gendarmerie maritime à la capitainerie du port pour éclaircir tout ça et idem pour Sylvain et peut-être pour Marja.
Nous étions mal partis, tout ça à cause de ma mère, je la maudissais à cet instant.
L’homme prenait ma médaille entre mes seins en les effleurait et lisait à haute voix ce qui était gravé dessus.
« Tu es donc miss camping. »
Je jouais mon va-tout et me précipitais au cou de l’homme en serrant mon torse nu contre ses tablettes de chocolat. Je simulais un gros chagrin. Il ne pouvait faire autrement que de passer ses bras autour de mes épaules. Je sentais illico son sexe grossir au travers de la fermeture de son short.
Il m’entraînait vers la proue du bateau pour me parler. Je lui confirmais que j’étais majeure. Il me questionnait sur ma nudité et m’éloignait de lui pour mieux me détailler. Je ne lui cachais pas notre trio sexuel pour qu’il comprenne que j’étais épanouie, ce qui devait lui faire comprendre que j’étais majeure et que je n’étais pas farouche. Je lui montrais ma médaille qui était une preuve, on ne peut pas faire faire un concours de miss à une mineure. Mon argument semblait le persuader.
Je ne m’attendais pas vraiment que ça pouvait marcher aussi bien.
Il passait sa main sur mes seins et sur ma fente. J’écartais automatiquement mes cuisses pour qu’il progresse. Il appelait son binôme à la proue du bateau. D’où nous étions, je ne voyais pas Sylvain et Marja. Le deuxième homme arrivait, j’étais déjà bien émoustillé et ma cyprine était présente à l’entrée de ma grotte comme l’avait constaté le grand gars qui m’interrogeait. Il lui expliquait tout en lui montrant que je le laissais mettre ses doigts dans ma chatte et sur mes seins qu’il pressait bien correctement. Il n’attendait que ça lui aussi et ses mains prenaient la place de celles de celui qui me questionnait.
« Et pour les autres, on fait quoi ? »
Il me regardait et répondait à son binôme.
« T’inquiète, ce sont des partouzeurs et celle-là est majeure, tu as vu la médaille. »
Il lui répondait qu’il l’avait bien vu, mais qu’il voulait voir ce qu’ils pouvaient faire.
Pendant que le second me tripotait et m’embrassait, mon enquêteur allait prévenir Sylvain et Marja, qu’il savait ce qu’ils faisaient et que j’avais passé un accord avec eux. Ils devaient rester tranquilles et il confisquait leurs téléphones.
Sûrement pour éviter les photos compromettantes.
Quand l’homme arrivait, j’étais à quatre pattes en train de me faire prendre en levrette, mon amant me donnait la fessée en même temps, une grande première pour moi.
« Une levrette sans fessée, c’est comme apéro sans cacahuètes. »
Effectivement, le niveau n’était pas très haut, mais je riais de bon cœur avec mes deux coquins. Je prenais une seconde bite, mais dans la bouche celle-là. À chaque coup de reins, j’avalais un peu plus le sexe épais qui me faisait face. C’est le fond de ma gorge qui recevait la bite et mes mains tripotaient les couilles chaudes que j’avais devant mon nez. J’avais un vertige quand de ma chatte l’homme passait dans mon cul.
« Elle est étroite la petite, un vrai régal, tu veux ma place ? »
Je n’avais pas le loisir de bouger, les hommes avaient échangé leur place et la nouvelle bite que j’avais dans la bouche était moins épaisse que la première. Par contre mon anus était écarquillé et je devais pousser pour faire pénétrer sans dommage le large sexe qui m’enculait.
Ma médaille accompagnait fidèlement mes mouvements, de même que mes seins qui se balançaient sous moi. J’en étais là de mes réflexions quand un orgasme m’irradiait tout le corps. L’homme que je suçais m’avait choppé les seins et en me les tordait, ça avait déclenché un raz-de-marée dans mon corps et mes râles brutaux de plaisir entraînaient mon enculeur à éjaculer dans mon cul. Je serrais les dents et l’homme se retirait de ma bouche pour se masturber devant mes yeux.
J’adorais voir les hommes qui se masturbent. J’avais déjà surpris mon père en train de le faire. La première fois j’étais resté cachée et me caressais en même temps que lui. Mais la seconde fois, il était sur le canapé du salon et il regardait un film porno. Je l’avais espionné jusqu’à un moment oùil respirait de plus en plus vite. Je me suis planté devant lui et j’ai reçu ses jets de sperme sur moi.
J’avais un nouvel orgasme en même temps que je recevais des giclées de sperme sur la figure. Je ne sais pas si c’était le fait d’évoquer mon père, mais c’était fort aussi. Comme Sylvain me l’avait pari, j’ouvrais grande ma bouche pour récupérer le bon jus d’homme. Je suçais mes deux tourmenteurs pour nettoyer leur sexe encore ferment.
« Tu es un amour, maintenant à la baille. »
Ils m’attrapaient et me jetaient par-dessus bord.
« Frotte-toi bien la chatte et le trou du cul petite cochonne. »
Le temps qu’effectivement je me frotte à l’eau de mer et que je remonte sur le bateau, les hommes avaient disparu et je retrouvais Marja et Sylvain avec leur téléphone.
Ils me questionnaient et je les rassurais sur la façon dont ça c’était passé.
Marja était très excitée, mais je les laissais tous les deux faire l’amour, j’étais comblée et fatiguée de ma prestation avec mes deux amants.
Ils me rejoignaient et nous prenions plusieurs beaux spécimens de poissons que nous ramenions au camping. Je passais mon maillot de bain pour rejoindre la tente de mes parents et celle de Aike. Sylvain décidait que nous dînerions tous ensemble autour du barbecue pour faire griller le poisson.
Je passais à la douche et je ne le faisais pas exprès, mais j’entrais dans la cabine sans verrou et bien sur comme à chaque fois, un homme poussait la porte. Je suspendais mon geste et l’homme restait à me regarder et me reconnaissant, commençait à engager la conversation sur ma victoire à l’élection de miss camping. Je lui faisais voir ma médaille et le repoussais gentiment quand il voulait aller plus loin que de caresser ma poitrine.
Nous faisions tous ensemble un bon repas de poissons grillés, ou je restais entièrement à poil, suivi par Marja, qui se déshabillait aussi, pour le plaisir de l’assemblée. Je m’écriais à la fin du repas :
« Et vive le camping. »
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