Eté indien trés chaud (2)
Récit érotique écrit par Fontaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 10 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Fontaine ont reçu un total de 102 184 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 7 459 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Eté indien trés chaud (2)
Samedi, grand soleil et chaleur, j’hésitais à aller sur la même plage que la veille. Qui allais-je trouver ? est-ce que j’avais envie de subir encore les assauts de tous ces mâles en rut ? Avais-je envie de revoir celui qui voulait continuer mon dressage de chienne ?
L’envie a été la plus forte, et c’est le ventre noué que je reprenais la même route. J’ai posé ma serviette à peu prés au même endroit. Il y avait beaucoup plus de monde que la veille…… j’appréhendais…..
Peut-être y’avait il quelques participants ou voyeurs de la veille ? Je n’osais regardais trop autour de moi.
Allongée sur ma serviette je repensais aux événements du jour précédent. Comment avais-je pu obéir à ce parfait inconnu, qui avait fait de moi ce qu’il voulait, m’avait réduit à un objet sexuel, à sa chienne ? Toutes ces pensées ont ravivés en moi le désir, je sentais ma chatte mouillée, mes tétons pointer. Fallait que je fasse quelque chose !! A plat ventre, je glissais discrètement une main sur mon sexe, et commençais à me caresser le clito, essayant de ne pas attirer l’attention. Le plaisir montait et je jouis très rapidement inondant par jets saccadés ma serviette de cyprine. J’avais à peine terminé qu’une claque violente s’abattit sur mes fesses.
- alors ma salope tu ne m’attends pas, tu te donnes du plaisir toute seule, tu vas le regretter
Je frémis de peur ou de plaisir. Mais rien ne se passa. Il me posa juste quelques questions sur moi et lui ayant dit que j’étais seule en vacances, il m’appris que lui-même était en grand we chez son ami que j’avais vu hier et repartait lundi matin sur Paris, et qu’il comptait bien ne pas me lâcher jusque là. Joignant le geste à la parole il posa sa main sur ma chatte.
- ne bouges pas nous allons rester discrets
Allongés cote à cote il massa ma chatte, insistant sur le clito, glissant un doigt dans mon vagin, jusqu’à ce que ma fontaine jaillisse sur sa main, qu il me fit lécher en glissant à mon oreille
- allez salope régale toi de ton jus après tu prendras le mien
iIl se mit a genou devant ma tête, sa queue tendue je n’eu aucun mal à la prendre en bouche et commencer une fellation, aspirant ce sexe énorme jusqu’au fond de ma gorge. Il jouit rapidement au fond de ma gorge pour que je n’en laisse échapper aucune goutte. Je me délectais de son jus. Juste quelques voyeurs nous regardaient de loin. Il décida que j’avais besoin d’avoir le dos huilé, ce qu’il fit, en insistant sur mes fesses et travaillant mon anus. Quand il jugea que celui était prêt il m’entraîna dans la dune et m’encula avec force, les grains de sable m’irritant légérement. Je le sentis jouir jusqu au fond de mes entrailles avec joie. Je commençais à prendre du plaisir sans honte malgré les voyeurs. L’après midi se déroula ainsi entre baignade, caresses, jouissance furtive et discussion.
Nous avons quittés la plage juste avant le coucher du soleil. Je me disais que je m’en tirais bien mais…….
Sur le parking il m’annonça que nous rentrions avec ma voiture chez moi, et que nous récupérerions la sienne le lendemain. J’ai du le regarder avec un air ahuri
- eh oui ma petite chienne, ton dressage est à terminer et tu n’as pas eu ta punition pour t avoir donner du plaisir seule sur la plage
Je n’arrivais pas à refuser, sachant que j’allais certainement avoir une nuit agitée. Il m’intima de prendre le volant et de ne garder que mon paréo sur moi. Il n’attendit pas longtemps pour l’entrouvrir et agacer mes seins, le plaisir monta vite, ma chatte suintait, je me concentrais sur la route. Sa main descendit sur ma chatte écartant mes cuisses pour me titiller le clito. Il me fit tourner dans un chemin et me tira de la voiture par ma queue de cheval et me coucha à plat ventre sur le capot de la voiture, jambes écartées.
- on va commencer par ta punition ma salope, et tu comptes les coups à haute voix, un par minute où a durer ta masturbation
Je compris alors qu’il devait observer depuis un moment. Au premier coup de ceinture je sursautais de douleur et en oubliais de compter
- comptes salope, tant pis pour toi çà rajoutera des coups
Les coups s’abattirent sur mes fesses plus ou moins fort, je sentais la peau me cuire, je comptais jusqu’à 20coups, les derniers en criant, j’avais mal, des larmes coulaient, et pourtant je sentais ma chatte trempée qui n’attendait qu’une queue pour la défoncer
- mais fermes la salope, en plus çà t’excites, grosse cochonne
Et sur ces mots il s’enfonça dans mon fondement d’un coup sec, et me ramona avec force tout en claquant encore mes fesses,
- hum salope t’aimes çà te faire enculer
Ne pouvant pas dire le contraire dans un cri je lui lachais OUIIIIIIIII ENCULES MOI BAISES MOI JE SUIS UNE GROSSE COCHONNE UNE CHIENNE J’AIME TA QUEUE
Je le sentis au même moment se vider dans mon cul.
- Allez on repart
J’allais m’asseoir au volant, quand il me dit
- non installes toi sur le siège passager, et tu passes en enjambant le levier de vitesse
Ayant passé une jambe côté passager, il m’ordonna de m’empaler sur le levier de vitesse. Hésitante, il appuya sur mes épaules, le levier est entré sans problème dans ma chatte, lubrifiée par toute ma cyprine. Je m’en suis servi comme d’un sexe montant et descendant sur ce manche, ma masturbant le clito, prenant mon pied, n’ayant plus honte de rien, il se régalait du spectacle, me traitant de salope, de chienne, et qu’il allait me dépraver comme il le souhaitait. A ces mots je jouis m’abattant sur le tableau de bord.
- très bien ma chienne, allez nettoie ce manche avec ta bouche
Je m’excécutais goûtant avec délice mon jus.
Nous repartîmes, lui au volant, la nuit était tombée. Nous devions prendre une route à quatre voies.
- penches ton siège, sors ton paréo, mets tes jambes sur le tableau de bord, et caresses toi. Allez salope, et je t’interdis de jouir
Je me caressais les seins tirant sur mes tétons, descendant sur mon clito, le plaisir montait. Il doubla des camions, ralentissant au niveau de la cabine du chauffeur, ils klaxonnérent tous, contents du spectacle. Il s’arrêta à la première aire de repos. Certains camions s’y arrêtérent aussi et je compris ce qui allait se passer. Il me sortit nue de la voiture, m’exposant dans les phares des camions. Il alla parlementer avec les chauffeurs et revint avec eux. Instinctivement je cachais mon intimité d’une main, mes seins de l’autre. Parmi les camions, il y en avait un de déménagement (vide). Je fus emmener là dedans, les bras et jambes attachés avec des lanières à chaque paroi, comme écartelées.
- messieurs amusez vous c’est une bonne chienne, elle est prête à jouir , à vous inonder
J’ai senti des mains calleuses sur mon corps, des odeurs de sueurs émanaient d’eux, ils me tripotèrent, me fouillérent ma chatte, mon petit trou. Livrée à ses hommes je gémissais de plaisir, jouissant plusieurs fois dans un seau placé sous ma chatte. Après s’être amusés ainsi avec moi, ils me penchèrent en avant, et ils se relayèrent tous les uns après les autres pour me défoncer la chatte, le cul, la bouche, m’aspergeant de sperm, me faisant nettoyer leur queue de ma langue. Tout cela sous les yeux de mon Maître.
- rinces toi la bouche avec ta cyprine dans le seau, et avales tout, chienne
Je fus impressionnée de tout ce que j avais pu éjecter de ma chatte. J’avalais tout sous son regard amusé, et compris que ce n’était pas fini.
Arrivés chez moi, je lui proposais un verre, et me servi un verre d’eau. Il le jeta et me servi de l’eau dans une bassine
- une chienne boit à 4 pattes et avec sa langue
J’avais trop soif, je m’excécutais, les fesses en l’air. Il me caressa la croupe, insinuant un doigt dans mes trous. Puis il appuya son gland à l’entrée de mon anus, appuyant légèrement, puis força de tout son poids pour me pénétrer. La tête toujours dans la bassine il me pilonna sans ménagement, se retirant entièrement, pour s’enfoncer de nouveau violemment. Je mouillais encore beaucoup et aurais voulu sentir sa queue dans ma chatte. Je pensais devenir folle de toute cette excitation. Il me laissa aller me doucher, me proposa de m’allonger sur le lit, juste vêtue d’un string, que j’avais mérité un peu de douceur.
Comment allait se passer cette nuit ? Calme ?
L’envie a été la plus forte, et c’est le ventre noué que je reprenais la même route. J’ai posé ma serviette à peu prés au même endroit. Il y avait beaucoup plus de monde que la veille…… j’appréhendais…..
Peut-être y’avait il quelques participants ou voyeurs de la veille ? Je n’osais regardais trop autour de moi.
Allongée sur ma serviette je repensais aux événements du jour précédent. Comment avais-je pu obéir à ce parfait inconnu, qui avait fait de moi ce qu’il voulait, m’avait réduit à un objet sexuel, à sa chienne ? Toutes ces pensées ont ravivés en moi le désir, je sentais ma chatte mouillée, mes tétons pointer. Fallait que je fasse quelque chose !! A plat ventre, je glissais discrètement une main sur mon sexe, et commençais à me caresser le clito, essayant de ne pas attirer l’attention. Le plaisir montait et je jouis très rapidement inondant par jets saccadés ma serviette de cyprine. J’avais à peine terminé qu’une claque violente s’abattit sur mes fesses.
- alors ma salope tu ne m’attends pas, tu te donnes du plaisir toute seule, tu vas le regretter
Je frémis de peur ou de plaisir. Mais rien ne se passa. Il me posa juste quelques questions sur moi et lui ayant dit que j’étais seule en vacances, il m’appris que lui-même était en grand we chez son ami que j’avais vu hier et repartait lundi matin sur Paris, et qu’il comptait bien ne pas me lâcher jusque là. Joignant le geste à la parole il posa sa main sur ma chatte.
- ne bouges pas nous allons rester discrets
Allongés cote à cote il massa ma chatte, insistant sur le clito, glissant un doigt dans mon vagin, jusqu’à ce que ma fontaine jaillisse sur sa main, qu il me fit lécher en glissant à mon oreille
- allez salope régale toi de ton jus après tu prendras le mien
iIl se mit a genou devant ma tête, sa queue tendue je n’eu aucun mal à la prendre en bouche et commencer une fellation, aspirant ce sexe énorme jusqu’au fond de ma gorge. Il jouit rapidement au fond de ma gorge pour que je n’en laisse échapper aucune goutte. Je me délectais de son jus. Juste quelques voyeurs nous regardaient de loin. Il décida que j’avais besoin d’avoir le dos huilé, ce qu’il fit, en insistant sur mes fesses et travaillant mon anus. Quand il jugea que celui était prêt il m’entraîna dans la dune et m’encula avec force, les grains de sable m’irritant légérement. Je le sentis jouir jusqu au fond de mes entrailles avec joie. Je commençais à prendre du plaisir sans honte malgré les voyeurs. L’après midi se déroula ainsi entre baignade, caresses, jouissance furtive et discussion.
Nous avons quittés la plage juste avant le coucher du soleil. Je me disais que je m’en tirais bien mais…….
Sur le parking il m’annonça que nous rentrions avec ma voiture chez moi, et que nous récupérerions la sienne le lendemain. J’ai du le regarder avec un air ahuri
- eh oui ma petite chienne, ton dressage est à terminer et tu n’as pas eu ta punition pour t avoir donner du plaisir seule sur la plage
Je n’arrivais pas à refuser, sachant que j’allais certainement avoir une nuit agitée. Il m’intima de prendre le volant et de ne garder que mon paréo sur moi. Il n’attendit pas longtemps pour l’entrouvrir et agacer mes seins, le plaisir monta vite, ma chatte suintait, je me concentrais sur la route. Sa main descendit sur ma chatte écartant mes cuisses pour me titiller le clito. Il me fit tourner dans un chemin et me tira de la voiture par ma queue de cheval et me coucha à plat ventre sur le capot de la voiture, jambes écartées.
- on va commencer par ta punition ma salope, et tu comptes les coups à haute voix, un par minute où a durer ta masturbation
Je compris alors qu’il devait observer depuis un moment. Au premier coup de ceinture je sursautais de douleur et en oubliais de compter
- comptes salope, tant pis pour toi çà rajoutera des coups
Les coups s’abattirent sur mes fesses plus ou moins fort, je sentais la peau me cuire, je comptais jusqu’à 20coups, les derniers en criant, j’avais mal, des larmes coulaient, et pourtant je sentais ma chatte trempée qui n’attendait qu’une queue pour la défoncer
- mais fermes la salope, en plus çà t’excites, grosse cochonne
Et sur ces mots il s’enfonça dans mon fondement d’un coup sec, et me ramona avec force tout en claquant encore mes fesses,
- hum salope t’aimes çà te faire enculer
Ne pouvant pas dire le contraire dans un cri je lui lachais OUIIIIIIIII ENCULES MOI BAISES MOI JE SUIS UNE GROSSE COCHONNE UNE CHIENNE J’AIME TA QUEUE
Je le sentis au même moment se vider dans mon cul.
- Allez on repart
J’allais m’asseoir au volant, quand il me dit
- non installes toi sur le siège passager, et tu passes en enjambant le levier de vitesse
Ayant passé une jambe côté passager, il m’ordonna de m’empaler sur le levier de vitesse. Hésitante, il appuya sur mes épaules, le levier est entré sans problème dans ma chatte, lubrifiée par toute ma cyprine. Je m’en suis servi comme d’un sexe montant et descendant sur ce manche, ma masturbant le clito, prenant mon pied, n’ayant plus honte de rien, il se régalait du spectacle, me traitant de salope, de chienne, et qu’il allait me dépraver comme il le souhaitait. A ces mots je jouis m’abattant sur le tableau de bord.
- très bien ma chienne, allez nettoie ce manche avec ta bouche
Je m’excécutais goûtant avec délice mon jus.
Nous repartîmes, lui au volant, la nuit était tombée. Nous devions prendre une route à quatre voies.
- penches ton siège, sors ton paréo, mets tes jambes sur le tableau de bord, et caresses toi. Allez salope, et je t’interdis de jouir
Je me caressais les seins tirant sur mes tétons, descendant sur mon clito, le plaisir montait. Il doubla des camions, ralentissant au niveau de la cabine du chauffeur, ils klaxonnérent tous, contents du spectacle. Il s’arrêta à la première aire de repos. Certains camions s’y arrêtérent aussi et je compris ce qui allait se passer. Il me sortit nue de la voiture, m’exposant dans les phares des camions. Il alla parlementer avec les chauffeurs et revint avec eux. Instinctivement je cachais mon intimité d’une main, mes seins de l’autre. Parmi les camions, il y en avait un de déménagement (vide). Je fus emmener là dedans, les bras et jambes attachés avec des lanières à chaque paroi, comme écartelées.
- messieurs amusez vous c’est une bonne chienne, elle est prête à jouir , à vous inonder
J’ai senti des mains calleuses sur mon corps, des odeurs de sueurs émanaient d’eux, ils me tripotèrent, me fouillérent ma chatte, mon petit trou. Livrée à ses hommes je gémissais de plaisir, jouissant plusieurs fois dans un seau placé sous ma chatte. Après s’être amusés ainsi avec moi, ils me penchèrent en avant, et ils se relayèrent tous les uns après les autres pour me défoncer la chatte, le cul, la bouche, m’aspergeant de sperm, me faisant nettoyer leur queue de ma langue. Tout cela sous les yeux de mon Maître.
- rinces toi la bouche avec ta cyprine dans le seau, et avales tout, chienne
Je fus impressionnée de tout ce que j avais pu éjecter de ma chatte. J’avalais tout sous son regard amusé, et compris que ce n’était pas fini.
Arrivés chez moi, je lui proposais un verre, et me servi un verre d’eau. Il le jeta et me servi de l’eau dans une bassine
- une chienne boit à 4 pattes et avec sa langue
J’avais trop soif, je m’excécutais, les fesses en l’air. Il me caressa la croupe, insinuant un doigt dans mes trous. Puis il appuya son gland à l’entrée de mon anus, appuyant légèrement, puis força de tout son poids pour me pénétrer. La tête toujours dans la bassine il me pilonna sans ménagement, se retirant entièrement, pour s’enfoncer de nouveau violemment. Je mouillais encore beaucoup et aurais voulu sentir sa queue dans ma chatte. Je pensais devenir folle de toute cette excitation. Il me laissa aller me doucher, me proposa de m’allonger sur le lit, juste vêtue d’un string, que j’avais mérité un peu de douceur.
Comment allait se passer cette nuit ? Calme ?
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Fontaine
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...