Etonnante rencontre ! 2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Etonnante rencontre ! 2
On a laissé Antoine, seul avec sa jalousie !
Georges arbore un visage comblé, il me demande:
"C'est vrai que si j'avais insisté, t'aurais baisé avec moi ?".
"Je pense ! Bon, il aurait fallu être plus tranquille que dans les vestiaires ! Mais j'avais déjà des fantasmes avec des hommes comme toi, à l'époque ! Et j'avoue que tu me troublais beaucoup ! Sans pour autant savoir, que c'était parce que j'avais envie que tu m'encules ! Je te l'ai dis, j'étais vierge ! Même avec les filles ! C'est à l'armée qu'on m'a dépucelé !".
"Comme quoi ! Ca sert l'armée !".
"Oh, oui, j'ai tout appris là-bas !".
"Tout ?".
"Oui ! Le gradé qui me baisait m'a initié à tout ! Avec deux, trois, puis sept autres militaires, jusqu'à 15 ! Il avait rassemblé un groupe d'engagés vicelards qui aimaient les jeunes bidasses comme moi ! J'étais devenu la salope du camp d'entrainement ! Ils savaient ou me trouver, j'étais seul dans mon atelier !".
"Ils te baisaient aussi quand ils étaient seuls ?".
"Oui ! Ca fait que du coup, De rien, en tant que puceau, je suis passé à plusieurs sodomies et pipes par jour ! Ya que pendant les perms que je baisais pas ! J'avais pas encore ma copine !".
"Hummm ! C'est excitant tout ça ! Putain, je repense à tout à l'heure ! Je me suis régalé, tu sais !".
"Moi aussi ! C'était puissant, comme plaisir !".
"On arrive, j'habite là ! C'est ma villa !".
"T'es pas marié ?".
"Divorcé ! Mais crois moi, je suis mieux tout seul !".
A l'intérieur, il lance aussitôt:
"Bon, on se remet à poil ? qu'est-ce que t'en penses ?".
"Je suis pas contre !".
On se dénude face à face, je remarque sa grosse verge, déjà en semi érection, je m'en sens honoré.
Il tend son bras, pendant que je m'approche entièrement nu.
Il m'imprime une légère poussée, pour me guider vers sa verge, avec ma bouche.
Au gré de mes amples allers retours, je lui salive la bite abondamment.
Il est tellement épais et dur dans ma gorge.
Il s'éloigne pour s'assoir sur son canapé d'angle, puis me tend ses bras.
"Viens là, mon chéri ! j'te veux encore sur ma queue !".
Je lui fais face en montant sur le canapé, mes jambes pliées et écartées au dessus de lui.
Mes fesses charnues doivent paraitres petites, au dessus de sa grosse verge.
Il m'écarte les lobes fessiers, pendant que je descend lentement vers son gros gland.
La présence de leurs restes de récentes éjaculations en moi, me facilite la pénétration.
C'est du traite que je m'empale sur lui, je colle ma bouche à la sienne en m'enfonçant jusqu'à lui toucher le ventre.
Mon gémissement révèle mon plaisir, je vis un orgasme quasi instantanée, du à la récente double sodomie que j'ai vécu, mes parois anales sont encore hyper sensibles !
Je quitte sa bouche pour râler mon plaisir:
"Arghhhhhhhhhh ! C'est trop fort ! Désolé, je joui déjà ! Arghhhhhhhh !".
"Putain ! J'adore ! T'es fait pour ça ! Ma parole !".
Je m'écroule sur son torse, déjà vidé par la puissance de cet orgasme.
Il me caresse longuement sans bouger.
Ce moment me fait du bien, j'ai l'anus rempli de sa verge et ses mains me remplissent de frissons tendres également, en me caressant.
"Hummm ! C'est bon, Georges ! Je suis bien comme ça !".
"Tu aimes ? Je peux continuer ? J'en ai envie ! J'aime ton p'tit corps !".
"Oui, continues ! Même si tu devrais pas ! Je suis une salope, ne l'oublies pas !".
"Je t'ai connu avant ! Ne l'oublies pas, toi non plus, je sais que tu es quelqu'un de bien ! T'aimes la bite, mais t'es pas que ça !".
"Merci, c'est gentil ! Tu vas pas t'attacher, j'espère ?".
"Pourquoi pas ?".
"Parce ce que je pourrai pas te rendre tes sentiments ! Je suis pas prêt à aimer un homme ! Je vois ma vie avec une femme, c'est comme ça !".
"L'un n'empêche pas l'autre ! On peut vivre une histoire cachée !".
"Si c'est comme ça, d'accord !".
Dès ce moment, on échange de nombreux baisers, il commence à bouger sa grosse verge en moi.
Mais toujours sans s'affoler, tout en puissance ! Et j'aime ça !
Il me rappelle Gaétan dans sa manière de me posséder !
Il nous fait pivoter, d'abord sur le coté, pendant quelques minutes délicieuses.
Puis, il me couvre de son large corps lourd, que j'entoure de mes cuisses.
Il est encore plus endurant que la première fois, je vis une multitude de montées de plaisir anal.
Ensuite, il se retire et me relève.
Il passe ses bras sous mon corps, et me soulève, je suis dans ses bras !
"Georges ! T'es fou !".
Il me dépose un baiser sur la bouche et répond:
"Je t'emmène dans ma chambre ! C'est pas fini ! Mon p'tit amour !".
Il me pose sur le lit, sur le ventre, m'embrasse les fesses, les mord, puis monte sur moi.
Sa grosse verge m'écartèle de nouveau, je me sers de son coussin pour supporter ce plaisir extrême.
il me possède encore et encore, sans s'affoler, s'amusant de me voir jouir avec sa bite profondément enfoncée en moi.
Il s'éloigne de ma chatte, béante à souhait, me fait pivoter de nouveau, et plonge entre mes cuisses ouvertes.
Ses glissements incessants me provoquent une sensation incroyable.
Au plaisir anal, s'ajoute celui de ma prostate, qu'il sollicite inlassablement.
Il fixe ma petite verge en érection depuis quelques minutes.
Il amplifie son rythme et sa profondeur de possession, je crie encore davantage.
Je ne tarde pas à éjaculer dans une série de râles bruyants, pendant qu'il m'encule avec puissance, il aime ça, lui aussi, et admire mon foutre qui macule mon ventre !
Il pense alors à son propre plaisir, et me transperce encore, sans discontinuer, jusqu'à exploser dans mon cul, en criant qu'il aime m'enculer.
Un long silence lourd emplit la chambre.
Je le brise, en disant:
"Je dois rentrer ! Putain ! J'ai pas envie ! Je suis mort !".
"Ben dors ici ! Je bosse demain, mais tu peux rester ! Je rentre vers 12h30 !".
"Ok ! (je regarde mon ventre) Putain ! J'en ai partout ! Je dois me lever ! J'suis en train de m'endormir ! J'ai trop joui !".
"On s'en fout ! Dors ! Mon bébé !".
Je me tourne pour me glisser contre lui, qui s'insère encore en moi.
"Orhhh ! Je...merci...mmmm... Désolé, je ... suis trop... fatigué...".
Il me regarde sombrer, en me caressant les cheveux, et les fesses de son autre main.
Je ne sens pas qu'il me dépose un dernier baiser sur l'épaule.
Lors de mon réveil, il est déjà parti travailler ! Il est 11 h !
Je me lave en pratiquant un lavement anal, puis je scrute son frigo et lui prépare un repas pour 12h30.
Lors de son retour, il me dit :
"Oh, en plus, tu sais cuisiner ! T'es l'épouse parfaite ! Merci chéri !".
En mangeant, il me dit qu'il a parlé de moi, au travail, sans préciser qu'il m'avait baisé, bien sur !
"Oh, quand je suis parti ce matin, j'étais encore étonné que tu sois dans mon lit ! C'était trop bon, hier !".
"C'est vrai ! Moi aussi, j'ai aimé !".
"Au fait ! Quand je t'ai aidé à te relever, à moitié à poil, dans le vestiaire ! T'avais remarqué que je bandais ?".
"Euh, non ! Désolé ! J'avais le dos tourné ! Je me souviens de tes mains qui ont glissé sur mon cul, par contre !".
"Putain, j'en pouvais plus ! Dommage que c'était pas le bon endroit pour baiser, sinon, tu y passais !".
"Bon, tu t'es bien rattrapé hier ! Non ?".
"Oui, mais on a perdu un an et demi, aussi !".
"Je sais pas, si j'aurai pu t'encaisser à l'époque ! T'as une grosse bite quand même !".
"C'est vrai ! T'aurais peut-être eu mal, ça demande de l'entrainement ces choses là ! Ton militaire était normal ?".
"Elle était grosse, mais pas autant que la tienne ! Et puis, il faut préciser que je me baisai déjà, avec des objets de plus en plus larges !".
"Ah Bon ? C'est pour ça que t'es aussi chaud, alors ! Au fait ! Il y a François qui m'a dit qu'il pensait que t'était pédé, à l'époque ou tu bossais avec nous ! Mais je comprend pourquoi ! Il l'est lui aussi ! Il t'aurai bien baisé, je pense ! Trop tard, c'est moi qui le fait maintenant ! S'il savait ?".
"Tu lui dis rien ! S'il te plait !".
"Pourquoi ? Je peux lui dire à lui ! Il est de la partie !".
"Non ! Ce sont ceux qui parlent le plus ! Comme ils aiment pas trop les bi, ils aiment les dénoncer ! Il sait pour toi ?".
"Euh... Oui ! Je lui avoué que ça m'arrivait de baiser des mecs, de temps en temps au cinéma porno !".
"Putain ! Je compte sur toi pour tenir ta langue !".
Il se rapproche de moi, en m'enlaçant.
"T'inquiètes pas chéri, je suis trop content de notre nouvelle relation ! J'y crois pas encore !".
"Il faut pas, on aurait fini par se rencontrer, si tu vas au cinéma porno, j'y vais moi aussi !".
"Oui, mais c'est beaucoup mieux chez moi, non ?".
Ses mains puissantes englobent mes fesses cambrées, pendant qu'il fourre sa langue dans ma bouche.
Je sens sa grosse verge en érection, très raide contre moi.
Il s'écarte pour me défaire mon pantalon, puis me soulève par les fesses.
"Georges ! On a pas le temps ! Tu dois bientôt partir !".
"Je vais me dépêcher ! Je peux pas partir, sans t'enculer encore !".
Mon corps bascule sur la table, je regarde mes jambes entravées au dessus de mon torse, pendant qu'il me lubrifie l'anus en crachant plusieurs fois dessus.
La poussée de sa grosse verge m'écartèle déjà l'œillet.
Je tire sur mes fesses, avec mes mains, pour aider sa pénétration.
A chaque retour contre mon anus, il gagne en profondeur et largeur, puis son gros gland passe enfin ma collerette.
Je pousse un râle, suivi d'un long gémissement, quand sa verge glisse au plus profond de moi.
"Orghhhhhhh ! Georges ! Encules-moi ! Elle est trop bonne !".
"Tu sais que je vais te défoncer la chatte, mon chéri ! Je suis obligé, je peux pas prendre mon temps ! Tu le sais ?".
"Arhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Tu peux ! Vas-y ! Défonces-moi !".
Il se lâche entièrement, il m'arrache des cris rauques, la table crisse sur le sol.
Je retiens des couverts en jouissant du cul, afin qu'il ne tombent pas au sol.
Mes orgasmes s'enchainent à un rythme effréné, notre baise n'a rien à voir avec la veille !
C'est bestial, il ajoute des mots vulgaires à ses assauts, je joue son jeu en disant oui, à tout ce qu'il me demande ou dit.
Il explose enfin, dans une série de râles et grognements bruyants.
Je vis mon dernier orgasme anal, en ressentant ses spasmes éjaculatoires, dans son canal urinaire, à travers mon cul.
Je passe ma main dans ses cheveux, pendant qu'il termine de m'inséminer, j'aime le regarder jouir en moi.
Il entre et sort de mon trou béant, de nombreuses fois, comme s'il ne voulait plus s'en séparer.
Puis, il s'assoit sur la chaise la plus proche, et fixe mon anus dégoulinant de sperme.
"Putain, c'était trop bon encore ! Tu reviens ce soir ! Je rentre à 18h30 ! OK ? Bon, je me bouge je vais être en retard !".
Il me dépose un baiser sur les lèvres, et ajoute:
"J'y vais ! A ce soir, ma p'tite chatte !".
Je reste ébahi, et vidé par le plaisir, je n'ose pas bouger.
Je glisse ma main sous mes vêtements, qui entravent mes cuisses, et vient toucher mon anus poisseux et plein de foutre gluant.
Il est complètement endolori par sa fougueuse saillie.
Je parle seul en lâchant:
"Ourhh ! Putain ! J'ai pris cher ! Orhh, là ! Là ! Je sens plus mon p'tit cul !".
Je me laisse le temps nécessaire à une petite récupération, puis parvient à me poser sur mes pieds.
Je vais me vider l'anus aux toilettes, en matant vicieusement la dose que j'ai sur le papier, entre mes fesses, avant de m'essuyer !
Hummmm ! J'adore qu'on m'insémine comme ça !
Je rentre chez moi pour l'après-midi, et préviens mes parents de ma future absence.
Ma petite amie étant encore en cours, on ne se voit que les mercredi et le week-end !
Je suis donc libre de mes actes et vais donc directement chez lui, à 18h30 !
Georges arbore un visage comblé, il me demande:
"C'est vrai que si j'avais insisté, t'aurais baisé avec moi ?".
"Je pense ! Bon, il aurait fallu être plus tranquille que dans les vestiaires ! Mais j'avais déjà des fantasmes avec des hommes comme toi, à l'époque ! Et j'avoue que tu me troublais beaucoup ! Sans pour autant savoir, que c'était parce que j'avais envie que tu m'encules ! Je te l'ai dis, j'étais vierge ! Même avec les filles ! C'est à l'armée qu'on m'a dépucelé !".
"Comme quoi ! Ca sert l'armée !".
"Oh, oui, j'ai tout appris là-bas !".
"Tout ?".
"Oui ! Le gradé qui me baisait m'a initié à tout ! Avec deux, trois, puis sept autres militaires, jusqu'à 15 ! Il avait rassemblé un groupe d'engagés vicelards qui aimaient les jeunes bidasses comme moi ! J'étais devenu la salope du camp d'entrainement ! Ils savaient ou me trouver, j'étais seul dans mon atelier !".
"Ils te baisaient aussi quand ils étaient seuls ?".
"Oui ! Ca fait que du coup, De rien, en tant que puceau, je suis passé à plusieurs sodomies et pipes par jour ! Ya que pendant les perms que je baisais pas ! J'avais pas encore ma copine !".
"Hummm ! C'est excitant tout ça ! Putain, je repense à tout à l'heure ! Je me suis régalé, tu sais !".
"Moi aussi ! C'était puissant, comme plaisir !".
"On arrive, j'habite là ! C'est ma villa !".
"T'es pas marié ?".
"Divorcé ! Mais crois moi, je suis mieux tout seul !".
A l'intérieur, il lance aussitôt:
"Bon, on se remet à poil ? qu'est-ce que t'en penses ?".
"Je suis pas contre !".
On se dénude face à face, je remarque sa grosse verge, déjà en semi érection, je m'en sens honoré.
Il tend son bras, pendant que je m'approche entièrement nu.
Il m'imprime une légère poussée, pour me guider vers sa verge, avec ma bouche.
Au gré de mes amples allers retours, je lui salive la bite abondamment.
Il est tellement épais et dur dans ma gorge.
Il s'éloigne pour s'assoir sur son canapé d'angle, puis me tend ses bras.
"Viens là, mon chéri ! j'te veux encore sur ma queue !".
Je lui fais face en montant sur le canapé, mes jambes pliées et écartées au dessus de lui.
Mes fesses charnues doivent paraitres petites, au dessus de sa grosse verge.
Il m'écarte les lobes fessiers, pendant que je descend lentement vers son gros gland.
La présence de leurs restes de récentes éjaculations en moi, me facilite la pénétration.
C'est du traite que je m'empale sur lui, je colle ma bouche à la sienne en m'enfonçant jusqu'à lui toucher le ventre.
Mon gémissement révèle mon plaisir, je vis un orgasme quasi instantanée, du à la récente double sodomie que j'ai vécu, mes parois anales sont encore hyper sensibles !
Je quitte sa bouche pour râler mon plaisir:
"Arghhhhhhhhhh ! C'est trop fort ! Désolé, je joui déjà ! Arghhhhhhhh !".
"Putain ! J'adore ! T'es fait pour ça ! Ma parole !".
Je m'écroule sur son torse, déjà vidé par la puissance de cet orgasme.
Il me caresse longuement sans bouger.
Ce moment me fait du bien, j'ai l'anus rempli de sa verge et ses mains me remplissent de frissons tendres également, en me caressant.
"Hummm ! C'est bon, Georges ! Je suis bien comme ça !".
"Tu aimes ? Je peux continuer ? J'en ai envie ! J'aime ton p'tit corps !".
"Oui, continues ! Même si tu devrais pas ! Je suis une salope, ne l'oublies pas !".
"Je t'ai connu avant ! Ne l'oublies pas, toi non plus, je sais que tu es quelqu'un de bien ! T'aimes la bite, mais t'es pas que ça !".
"Merci, c'est gentil ! Tu vas pas t'attacher, j'espère ?".
"Pourquoi pas ?".
"Parce ce que je pourrai pas te rendre tes sentiments ! Je suis pas prêt à aimer un homme ! Je vois ma vie avec une femme, c'est comme ça !".
"L'un n'empêche pas l'autre ! On peut vivre une histoire cachée !".
"Si c'est comme ça, d'accord !".
Dès ce moment, on échange de nombreux baisers, il commence à bouger sa grosse verge en moi.
Mais toujours sans s'affoler, tout en puissance ! Et j'aime ça !
Il me rappelle Gaétan dans sa manière de me posséder !
Il nous fait pivoter, d'abord sur le coté, pendant quelques minutes délicieuses.
Puis, il me couvre de son large corps lourd, que j'entoure de mes cuisses.
Il est encore plus endurant que la première fois, je vis une multitude de montées de plaisir anal.
Ensuite, il se retire et me relève.
Il passe ses bras sous mon corps, et me soulève, je suis dans ses bras !
"Georges ! T'es fou !".
Il me dépose un baiser sur la bouche et répond:
"Je t'emmène dans ma chambre ! C'est pas fini ! Mon p'tit amour !".
Il me pose sur le lit, sur le ventre, m'embrasse les fesses, les mord, puis monte sur moi.
Sa grosse verge m'écartèle de nouveau, je me sers de son coussin pour supporter ce plaisir extrême.
il me possède encore et encore, sans s'affoler, s'amusant de me voir jouir avec sa bite profondément enfoncée en moi.
Il s'éloigne de ma chatte, béante à souhait, me fait pivoter de nouveau, et plonge entre mes cuisses ouvertes.
Ses glissements incessants me provoquent une sensation incroyable.
Au plaisir anal, s'ajoute celui de ma prostate, qu'il sollicite inlassablement.
Il fixe ma petite verge en érection depuis quelques minutes.
Il amplifie son rythme et sa profondeur de possession, je crie encore davantage.
Je ne tarde pas à éjaculer dans une série de râles bruyants, pendant qu'il m'encule avec puissance, il aime ça, lui aussi, et admire mon foutre qui macule mon ventre !
Il pense alors à son propre plaisir, et me transperce encore, sans discontinuer, jusqu'à exploser dans mon cul, en criant qu'il aime m'enculer.
Un long silence lourd emplit la chambre.
Je le brise, en disant:
"Je dois rentrer ! Putain ! J'ai pas envie ! Je suis mort !".
"Ben dors ici ! Je bosse demain, mais tu peux rester ! Je rentre vers 12h30 !".
"Ok ! (je regarde mon ventre) Putain ! J'en ai partout ! Je dois me lever ! J'suis en train de m'endormir ! J'ai trop joui !".
"On s'en fout ! Dors ! Mon bébé !".
Je me tourne pour me glisser contre lui, qui s'insère encore en moi.
"Orhhh ! Je...merci...mmmm... Désolé, je ... suis trop... fatigué...".
Il me regarde sombrer, en me caressant les cheveux, et les fesses de son autre main.
Je ne sens pas qu'il me dépose un dernier baiser sur l'épaule.
Lors de mon réveil, il est déjà parti travailler ! Il est 11 h !
Je me lave en pratiquant un lavement anal, puis je scrute son frigo et lui prépare un repas pour 12h30.
Lors de son retour, il me dit :
"Oh, en plus, tu sais cuisiner ! T'es l'épouse parfaite ! Merci chéri !".
En mangeant, il me dit qu'il a parlé de moi, au travail, sans préciser qu'il m'avait baisé, bien sur !
"Oh, quand je suis parti ce matin, j'étais encore étonné que tu sois dans mon lit ! C'était trop bon, hier !".
"C'est vrai ! Moi aussi, j'ai aimé !".
"Au fait ! Quand je t'ai aidé à te relever, à moitié à poil, dans le vestiaire ! T'avais remarqué que je bandais ?".
"Euh, non ! Désolé ! J'avais le dos tourné ! Je me souviens de tes mains qui ont glissé sur mon cul, par contre !".
"Putain, j'en pouvais plus ! Dommage que c'était pas le bon endroit pour baiser, sinon, tu y passais !".
"Bon, tu t'es bien rattrapé hier ! Non ?".
"Oui, mais on a perdu un an et demi, aussi !".
"Je sais pas, si j'aurai pu t'encaisser à l'époque ! T'as une grosse bite quand même !".
"C'est vrai ! T'aurais peut-être eu mal, ça demande de l'entrainement ces choses là ! Ton militaire était normal ?".
"Elle était grosse, mais pas autant que la tienne ! Et puis, il faut préciser que je me baisai déjà, avec des objets de plus en plus larges !".
"Ah Bon ? C'est pour ça que t'es aussi chaud, alors ! Au fait ! Il y a François qui m'a dit qu'il pensait que t'était pédé, à l'époque ou tu bossais avec nous ! Mais je comprend pourquoi ! Il l'est lui aussi ! Il t'aurai bien baisé, je pense ! Trop tard, c'est moi qui le fait maintenant ! S'il savait ?".
"Tu lui dis rien ! S'il te plait !".
"Pourquoi ? Je peux lui dire à lui ! Il est de la partie !".
"Non ! Ce sont ceux qui parlent le plus ! Comme ils aiment pas trop les bi, ils aiment les dénoncer ! Il sait pour toi ?".
"Euh... Oui ! Je lui avoué que ça m'arrivait de baiser des mecs, de temps en temps au cinéma porno !".
"Putain ! Je compte sur toi pour tenir ta langue !".
Il se rapproche de moi, en m'enlaçant.
"T'inquiètes pas chéri, je suis trop content de notre nouvelle relation ! J'y crois pas encore !".
"Il faut pas, on aurait fini par se rencontrer, si tu vas au cinéma porno, j'y vais moi aussi !".
"Oui, mais c'est beaucoup mieux chez moi, non ?".
Ses mains puissantes englobent mes fesses cambrées, pendant qu'il fourre sa langue dans ma bouche.
Je sens sa grosse verge en érection, très raide contre moi.
Il s'écarte pour me défaire mon pantalon, puis me soulève par les fesses.
"Georges ! On a pas le temps ! Tu dois bientôt partir !".
"Je vais me dépêcher ! Je peux pas partir, sans t'enculer encore !".
Mon corps bascule sur la table, je regarde mes jambes entravées au dessus de mon torse, pendant qu'il me lubrifie l'anus en crachant plusieurs fois dessus.
La poussée de sa grosse verge m'écartèle déjà l'œillet.
Je tire sur mes fesses, avec mes mains, pour aider sa pénétration.
A chaque retour contre mon anus, il gagne en profondeur et largeur, puis son gros gland passe enfin ma collerette.
Je pousse un râle, suivi d'un long gémissement, quand sa verge glisse au plus profond de moi.
"Orghhhhhhh ! Georges ! Encules-moi ! Elle est trop bonne !".
"Tu sais que je vais te défoncer la chatte, mon chéri ! Je suis obligé, je peux pas prendre mon temps ! Tu le sais ?".
"Arhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Tu peux ! Vas-y ! Défonces-moi !".
Il se lâche entièrement, il m'arrache des cris rauques, la table crisse sur le sol.
Je retiens des couverts en jouissant du cul, afin qu'il ne tombent pas au sol.
Mes orgasmes s'enchainent à un rythme effréné, notre baise n'a rien à voir avec la veille !
C'est bestial, il ajoute des mots vulgaires à ses assauts, je joue son jeu en disant oui, à tout ce qu'il me demande ou dit.
Il explose enfin, dans une série de râles et grognements bruyants.
Je vis mon dernier orgasme anal, en ressentant ses spasmes éjaculatoires, dans son canal urinaire, à travers mon cul.
Je passe ma main dans ses cheveux, pendant qu'il termine de m'inséminer, j'aime le regarder jouir en moi.
Il entre et sort de mon trou béant, de nombreuses fois, comme s'il ne voulait plus s'en séparer.
Puis, il s'assoit sur la chaise la plus proche, et fixe mon anus dégoulinant de sperme.
"Putain, c'était trop bon encore ! Tu reviens ce soir ! Je rentre à 18h30 ! OK ? Bon, je me bouge je vais être en retard !".
Il me dépose un baiser sur les lèvres, et ajoute:
"J'y vais ! A ce soir, ma p'tite chatte !".
Je reste ébahi, et vidé par le plaisir, je n'ose pas bouger.
Je glisse ma main sous mes vêtements, qui entravent mes cuisses, et vient toucher mon anus poisseux et plein de foutre gluant.
Il est complètement endolori par sa fougueuse saillie.
Je parle seul en lâchant:
"Ourhh ! Putain ! J'ai pris cher ! Orhh, là ! Là ! Je sens plus mon p'tit cul !".
Je me laisse le temps nécessaire à une petite récupération, puis parvient à me poser sur mes pieds.
Je vais me vider l'anus aux toilettes, en matant vicieusement la dose que j'ai sur le papier, entre mes fesses, avant de m'essuyer !
Hummmm ! J'adore qu'on m'insémine comme ça !
Je rentre chez moi pour l'après-midi, et préviens mes parents de ma future absence.
Ma petite amie étant encore en cours, on ne se voit que les mercredi et le week-end !
Je suis donc libre de mes actes et vais donc directement chez lui, à 18h30 !
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