Etonnantes rencontres au cinéma (Finale)
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Etonnantes rencontres au cinéma (Finale)
Il est 19 h 30 et je suis devant la salle de sport, il y a de la lumière dans une pièce à l’intérieur. La salle me paraît fermée et en travaux. Je frappe et c’est Michel qui m’ouvre. Tiens, mais c’est le petit chat et en plus, à l’heure. Rentre, Julien est arrivé. Il ferme la lumière et la porte à clé. Il m’emmène dans cette pièce ou il est impossible de voir son contenu de l’extérieur.
Je vois Julien qui installe des matelas très épais d'un mètre de large qui servent à amortir les chutes avec un énorme cylindre de largeur identique en mousse dessus. Les matelas ainsi que le cylindre avaient des poignées dans chaque angle pour faciliter leur transport.
Julien me voit et arrive. Bonsoir, tu es prêt. Me demande-t-il ?
Euh, cela dépend, mais à quoi ?
Il s’approche de mon oreille et me susurre, nous allons continuer à jouer ensemble, mais en allant plus profondément dans le sujet.
Je reste pantois.
Assez de parlote, mets toi à poil et viens avec nous sous la douche.
Ils se déshabillent, moi aussi, j’ai la gorge serrée, et là, je vois deux corps musclés, mais surtout deux sexes au repos de taille déjà très importante.
Nous sommes tous les trois sous les douches, ils viennent sur moi et me savonnent tout le corps, des doigts me décalottent pendant que d’autres rentrent dans ma raie pour me nettoyer. Je commence à sentir ma verge se gonfler. Le sexe des deux hommes était en forte érection. Julien nous quitte et revient rapidement avec une poire avec une canule au bout. Il rentre à nouveau sous la douche, il me dit, penche toi et ne bouge pas. Michel m’écarte les fesses, la canule rentre et je sens un liquide tiède dans mes intestins. Crédule, je comprends la suite et je sors de ma torpeur.
Arrêtez tout de suite, je ne veux pas de sodomie, je ne suis pas d’accord. J’essaie de bouger, mais Michel me maintient avec force. Tais toi et laisse toi faire comme hier.
J’entends Julien dire à Michel que c’est fini, il a tout pris, la poire est vide. On va attendre qu’il se libère, cela ne devrait pas être très long.
En effet, au bout d’un quart d’heure, complètement vaincu et frustré, je demande les toilettes.
Je me vide complètement sans bruit disgracieux, ils ne me regardent pas.
Je reviens sous la douche avec eux et ils me savonnent les fesses comme un bébé. Je me laisse faire, honteux.
Michel me rince, Julien ferme le robinet, l’eau s’arrête.
Julien prend la parole.
Voilà la suite, mon petit chat. Hier, nous t’avons donné du plaisir. Nous, en échange, nous n’avons rien eu.
Aujourd’hui, c’est toi qui donnes.
Pour commencer, tu vas nous sucer tous les deux et tu avaleras sans résister.
Ensuite, chacun de nous va t’enculer très lentement et profondément et je suis sûr que tu miauleras comme hier, mais en plus fort, ici, personne ne peut t’entendre.
Michel sera le premier, sa bite est moins grosse que la mienne. Allez au boulot.
Il me frappe le cul d’une claque sèche et m’ordonne de me mettre à genoux pour le sucé.
C’est encore une première pour moi. À genoux, j’approche mon visage de sa tige. Elle sent bon le gel douche. J’ouvre ma bouche et j’avale son gland, il est gros, c’est doux. Je tourne ma langue autour et comme lui, hier, j’aspire. Un liquide clair sort de son trou, je le suce, il se mélange à ma salive et je l’avale.
Il me prend la tête avec ses deux mains et lui imprime un mouvement de va-et-vient. Il grogne.
La pointe s’enfonce au fond de ma gorge et me fait tiré au cœur. Il comprend, réduit le rythme et me pénètre de la moitié de sa longueur. Cela va mieux.
Son corps se crispe, il me traite de petite salope. Je sens les saccades de son sexe dans la bouche et je reçois de longues giclées de sa liqueur tiède. Au vu de la quantité, j’avale en plusieurs fois avec un certain dégoût.
Ce n’est pas spécialement mauvais, mais l’idée d’avaler du sperme d’un homme, me surprend.
Il se retire, et sans me laisser reprendre mes esprits, c’est au tour de Michel.
Son sexe est plus fin, mais malgré tout, beaucoup plus gros que le mien. Michel coulisse maintenant dans la cavité, c’est moins bestial que Julien, plus doux aussi.
Je lui titille le bout de la verge et il en sort le même liquide clair que Julien.
Après un plusieurs longues minutes, j’obtiens le même scénario que son copain.
Il me prévient, attention petit chat, je capitule. Avec des râles assez fort, je reçois dans ma bouche des salves de sperme. Là, encore, j’avale tout, mais plus vite. Le goût n’est pas le même. Peut-être plus léger.
Je suis très surpris, j’apprécie de donner autant de plaisir. Cela me donne un certain pouvoir.
Michel me relève et me donne un énorme baiser profond avec sa langue. Mon sexe réagit et commence à bien se redresser.
Julien prend la parole et me dit que ce n’est pas mal pour un début.
Il me prend la main et m’installe sur le matelas, le ventre reposant sur le gros cylindre en mousse.
Dans cette position, j’ai les fesses en l’air à un mètre environ du tapis.
C’est assez confortable.
Julien, toujours lui, m’attache les mains et pieds de chaque côté sur les lanières de transport.
J’avais les bras et jambes écartés en v.
À ce moment, j’avais le cœur qui bâtait à cent à l’heure.
Julien vient prés de moi, me caresse les fesses avec grande douceur, les ouvrent. Il approche son visage de mon cul et lèche mon anus avec sa langue, mon petit trou s’ouvre sous la poussée. Que c’est doux et agréable, puis à l’aide d’une grosse seringue en plastique, il m’injecte dans mon trou un liquide lubrifiant.
Voilà qui est fait, décontracte toi, ouvre ton cul, laisse passer mon doigt. Je le sens coulisser dans mon fourreau, la sensation est délicieuse. Mon sexe rentre en demi-érection.
Un deuxième doigt rejoint le premier, il me pilonne doucement. Les doigts glissent facilement. Ma bouche s’ouvre pour emmètre des sons sourds.
Soudain, les doigts s’arrêtent à l’intérieur, forment un crochet puis massent en appuyant un point précis de mon intestin coté nombril. Je ressens aussitôt un bien-être, puis des petites décharges électriques. Mon sexe est redevenu à moitié mou, je ne contrôle plus rien, je geins, je miaule à nouveau, il sort de ma bite une quantité de sperme en filet continu, sans éjaculation. C’est très bizarre, j’ai un orgasme sans contraction. C’est profond et bon.
Les doigts se retirent doucement, mon cul reste un peu ouvert et j’entends Julien dire à Michel, il est à toi.
Michel se positionne derrière, il me dit, aller mon petit chat, c’est le moment, il m’écarte mes fesses avec ses mains puis son gland rentre dans mon trou avec précaution. Je respire de plus en plus fort.
Il se retire et plonge plus profondément jusqu’à venir buter son ventre contre mon postérieur.
Il commence alors un long va et vient dans mon cul tout en douceur en me caressant le dos en même temps.
Alors, c’est ça d’être enculé. Je suis bien, mon anneau sert très fort la tige qui coulisse en moi. Je n’ai pas mal, au contraire. C’est bon.
Au bout d’un moment, j’entends Michel derrière moi gémir, il ne va pas tarder à jouir, soudain, je sens sa bite éjaculée dans mon cul et son liquide chaud me remplir. Cela, facilite encore plus le glissement de sa tige.
Il reste encore un peu à l’intérieur, sa verge se dégonfle et sort d’elle-même.
Moi, je n’ai pas joui, mais je suis très satisfait.
Et bien, ça a l’air de te plaire, me dit Julien. Je ne réponds pas, toujours honteux et tête basse.
Il me détache, m’assoit sur le tapis. Repose toi un peu, récupère avant que je te prenne à mon tour.
Un petit quart d’heure après, Julien m’emmène devant une sorte d’échelle en bois fixé sur le mur.
Il m’attache les poignets en v, et me demande de bien me cambrer en écartant mes jambes pour facilité la pénétration.
À nouveau, il m’injecte une dose de gel avec la seringue.
Michel arrive à mes côtés et me prend ma tige dans sa main.
IL me décalotte doucement, frotte mon gland avec son pouce, me branle. Cela me fait du bien.
Là, je bande fort.
Julien, derrière commence à me masser l’anus avec ses doigts.
Il en rentre un, puis deux et trois. Il me dit, demande moi ce que tu veux vraiment Patrick.
Ose, je veux t’entendre, dit le nous de vive voix. Allez, vas-y.
Complètement, dans un état second, je m’entends prononcer sans retenue, encule moi maintenant, j’en ai envie.
Tu sais, je ne suis pas aussi doux que Michel. Je m’en fou, dis je, perfore moi, fait moi mal.
À ces mots, Julien me prend par la taille et d’une seule poussée, la bite rentra dans mon cul sur toute sa longueur, surpris, j’ouvre la bouche en grand pour respirer.
Il commence à me besogner de toutes ses forces, son ventre cogne sur mes fesses en faisant des grands clacs. Mon cul me chauffe terriblement.
Ses mains ont quitté mes hanches et viennent me caresser mon torse, ses doigts me pincent mes tétons. Je crie, des larmes coulent de mes yeux. Je sanglote. Après de longues minutes de ce traitement, sa bite se cabre et tressaute par saccades, lui aussi crie très fort de plaisir. Il se déverse en moi à gros bouillon. Il vient de jouir comme un malade.
À ce moment, je pense à tort que mon supplice est fini.
Sa verge diminue un peu de taille, mais reste à l’intérieur.
Julien me demande, contracte ton cul régulièrement, petit chat. Je m'exécute. C’est bien me dit il.
Sa verge reprend de la vigueur, elle gonfle à nouveau dans ma rondelle. Elle coulisse de nouveaux, mais lentement et avec douceur. Sa liqueur aide à la pénétration, L’excès de sperme sort de mon trou et tombe par terre.
Julien demande à Michel de me sucer en même temps. Michel s’accroupit devant moi et embouche ma brindille. J’adore ça. À chaque poussée de Julien, ma verge rentre dans la bouche de Michel. Elle glisse dans un étui soyeux et chaud, la langue de Michel tourne autour et m’aspire avec force.
Je ne contrôle plus rien, j’ai la bouche grande ouverte, l’air me manque. Je miaule, je suis leur poupée désarticulée.
Dans mon état second, je sens un doigt de Julien me pénétrer en plus de sa bite, mon cul se dilate et s’ouvre.
C’en est trop, mon corps capitule et s’abandonne. Je suis secoué de spasmes, de tremblements. Ma rondelle se resserre par des contractions involontaires en même temps que ma verge éjacule dans la bouche de Michel, mes jambes ne me portent plus, je suis un pantin. C’est Julien qui me soutient.
Il me détache et je m’effondre sur le sol.
Et bien, me dit Julien, tu as un sacré potentiel, une vrai petite pute à jouir et à faire jouir. Maintenant, tu sais réellement qui tu es.
Je vois Julien qui installe des matelas très épais d'un mètre de large qui servent à amortir les chutes avec un énorme cylindre de largeur identique en mousse dessus. Les matelas ainsi que le cylindre avaient des poignées dans chaque angle pour faciliter leur transport.
Julien me voit et arrive. Bonsoir, tu es prêt. Me demande-t-il ?
Euh, cela dépend, mais à quoi ?
Il s’approche de mon oreille et me susurre, nous allons continuer à jouer ensemble, mais en allant plus profondément dans le sujet.
Je reste pantois.
Assez de parlote, mets toi à poil et viens avec nous sous la douche.
Ils se déshabillent, moi aussi, j’ai la gorge serrée, et là, je vois deux corps musclés, mais surtout deux sexes au repos de taille déjà très importante.
Nous sommes tous les trois sous les douches, ils viennent sur moi et me savonnent tout le corps, des doigts me décalottent pendant que d’autres rentrent dans ma raie pour me nettoyer. Je commence à sentir ma verge se gonfler. Le sexe des deux hommes était en forte érection. Julien nous quitte et revient rapidement avec une poire avec une canule au bout. Il rentre à nouveau sous la douche, il me dit, penche toi et ne bouge pas. Michel m’écarte les fesses, la canule rentre et je sens un liquide tiède dans mes intestins. Crédule, je comprends la suite et je sors de ma torpeur.
Arrêtez tout de suite, je ne veux pas de sodomie, je ne suis pas d’accord. J’essaie de bouger, mais Michel me maintient avec force. Tais toi et laisse toi faire comme hier.
J’entends Julien dire à Michel que c’est fini, il a tout pris, la poire est vide. On va attendre qu’il se libère, cela ne devrait pas être très long.
En effet, au bout d’un quart d’heure, complètement vaincu et frustré, je demande les toilettes.
Je me vide complètement sans bruit disgracieux, ils ne me regardent pas.
Je reviens sous la douche avec eux et ils me savonnent les fesses comme un bébé. Je me laisse faire, honteux.
Michel me rince, Julien ferme le robinet, l’eau s’arrête.
Julien prend la parole.
Voilà la suite, mon petit chat. Hier, nous t’avons donné du plaisir. Nous, en échange, nous n’avons rien eu.
Aujourd’hui, c’est toi qui donnes.
Pour commencer, tu vas nous sucer tous les deux et tu avaleras sans résister.
Ensuite, chacun de nous va t’enculer très lentement et profondément et je suis sûr que tu miauleras comme hier, mais en plus fort, ici, personne ne peut t’entendre.
Michel sera le premier, sa bite est moins grosse que la mienne. Allez au boulot.
Il me frappe le cul d’une claque sèche et m’ordonne de me mettre à genoux pour le sucé.
C’est encore une première pour moi. À genoux, j’approche mon visage de sa tige. Elle sent bon le gel douche. J’ouvre ma bouche et j’avale son gland, il est gros, c’est doux. Je tourne ma langue autour et comme lui, hier, j’aspire. Un liquide clair sort de son trou, je le suce, il se mélange à ma salive et je l’avale.
Il me prend la tête avec ses deux mains et lui imprime un mouvement de va-et-vient. Il grogne.
La pointe s’enfonce au fond de ma gorge et me fait tiré au cœur. Il comprend, réduit le rythme et me pénètre de la moitié de sa longueur. Cela va mieux.
Son corps se crispe, il me traite de petite salope. Je sens les saccades de son sexe dans la bouche et je reçois de longues giclées de sa liqueur tiède. Au vu de la quantité, j’avale en plusieurs fois avec un certain dégoût.
Ce n’est pas spécialement mauvais, mais l’idée d’avaler du sperme d’un homme, me surprend.
Il se retire, et sans me laisser reprendre mes esprits, c’est au tour de Michel.
Son sexe est plus fin, mais malgré tout, beaucoup plus gros que le mien. Michel coulisse maintenant dans la cavité, c’est moins bestial que Julien, plus doux aussi.
Je lui titille le bout de la verge et il en sort le même liquide clair que Julien.
Après un plusieurs longues minutes, j’obtiens le même scénario que son copain.
Il me prévient, attention petit chat, je capitule. Avec des râles assez fort, je reçois dans ma bouche des salves de sperme. Là, encore, j’avale tout, mais plus vite. Le goût n’est pas le même. Peut-être plus léger.
Je suis très surpris, j’apprécie de donner autant de plaisir. Cela me donne un certain pouvoir.
Michel me relève et me donne un énorme baiser profond avec sa langue. Mon sexe réagit et commence à bien se redresser.
Julien prend la parole et me dit que ce n’est pas mal pour un début.
Il me prend la main et m’installe sur le matelas, le ventre reposant sur le gros cylindre en mousse.
Dans cette position, j’ai les fesses en l’air à un mètre environ du tapis.
C’est assez confortable.
Julien, toujours lui, m’attache les mains et pieds de chaque côté sur les lanières de transport.
J’avais les bras et jambes écartés en v.
À ce moment, j’avais le cœur qui bâtait à cent à l’heure.
Julien vient prés de moi, me caresse les fesses avec grande douceur, les ouvrent. Il approche son visage de mon cul et lèche mon anus avec sa langue, mon petit trou s’ouvre sous la poussée. Que c’est doux et agréable, puis à l’aide d’une grosse seringue en plastique, il m’injecte dans mon trou un liquide lubrifiant.
Voilà qui est fait, décontracte toi, ouvre ton cul, laisse passer mon doigt. Je le sens coulisser dans mon fourreau, la sensation est délicieuse. Mon sexe rentre en demi-érection.
Un deuxième doigt rejoint le premier, il me pilonne doucement. Les doigts glissent facilement. Ma bouche s’ouvre pour emmètre des sons sourds.
Soudain, les doigts s’arrêtent à l’intérieur, forment un crochet puis massent en appuyant un point précis de mon intestin coté nombril. Je ressens aussitôt un bien-être, puis des petites décharges électriques. Mon sexe est redevenu à moitié mou, je ne contrôle plus rien, je geins, je miaule à nouveau, il sort de ma bite une quantité de sperme en filet continu, sans éjaculation. C’est très bizarre, j’ai un orgasme sans contraction. C’est profond et bon.
Les doigts se retirent doucement, mon cul reste un peu ouvert et j’entends Julien dire à Michel, il est à toi.
Michel se positionne derrière, il me dit, aller mon petit chat, c’est le moment, il m’écarte mes fesses avec ses mains puis son gland rentre dans mon trou avec précaution. Je respire de plus en plus fort.
Il se retire et plonge plus profondément jusqu’à venir buter son ventre contre mon postérieur.
Il commence alors un long va et vient dans mon cul tout en douceur en me caressant le dos en même temps.
Alors, c’est ça d’être enculé. Je suis bien, mon anneau sert très fort la tige qui coulisse en moi. Je n’ai pas mal, au contraire. C’est bon.
Au bout d’un moment, j’entends Michel derrière moi gémir, il ne va pas tarder à jouir, soudain, je sens sa bite éjaculée dans mon cul et son liquide chaud me remplir. Cela, facilite encore plus le glissement de sa tige.
Il reste encore un peu à l’intérieur, sa verge se dégonfle et sort d’elle-même.
Moi, je n’ai pas joui, mais je suis très satisfait.
Et bien, ça a l’air de te plaire, me dit Julien. Je ne réponds pas, toujours honteux et tête basse.
Il me détache, m’assoit sur le tapis. Repose toi un peu, récupère avant que je te prenne à mon tour.
Un petit quart d’heure après, Julien m’emmène devant une sorte d’échelle en bois fixé sur le mur.
Il m’attache les poignets en v, et me demande de bien me cambrer en écartant mes jambes pour facilité la pénétration.
À nouveau, il m’injecte une dose de gel avec la seringue.
Michel arrive à mes côtés et me prend ma tige dans sa main.
IL me décalotte doucement, frotte mon gland avec son pouce, me branle. Cela me fait du bien.
Là, je bande fort.
Julien, derrière commence à me masser l’anus avec ses doigts.
Il en rentre un, puis deux et trois. Il me dit, demande moi ce que tu veux vraiment Patrick.
Ose, je veux t’entendre, dit le nous de vive voix. Allez, vas-y.
Complètement, dans un état second, je m’entends prononcer sans retenue, encule moi maintenant, j’en ai envie.
Tu sais, je ne suis pas aussi doux que Michel. Je m’en fou, dis je, perfore moi, fait moi mal.
À ces mots, Julien me prend par la taille et d’une seule poussée, la bite rentra dans mon cul sur toute sa longueur, surpris, j’ouvre la bouche en grand pour respirer.
Il commence à me besogner de toutes ses forces, son ventre cogne sur mes fesses en faisant des grands clacs. Mon cul me chauffe terriblement.
Ses mains ont quitté mes hanches et viennent me caresser mon torse, ses doigts me pincent mes tétons. Je crie, des larmes coulent de mes yeux. Je sanglote. Après de longues minutes de ce traitement, sa bite se cabre et tressaute par saccades, lui aussi crie très fort de plaisir. Il se déverse en moi à gros bouillon. Il vient de jouir comme un malade.
À ce moment, je pense à tort que mon supplice est fini.
Sa verge diminue un peu de taille, mais reste à l’intérieur.
Julien me demande, contracte ton cul régulièrement, petit chat. Je m'exécute. C’est bien me dit il.
Sa verge reprend de la vigueur, elle gonfle à nouveau dans ma rondelle. Elle coulisse de nouveaux, mais lentement et avec douceur. Sa liqueur aide à la pénétration, L’excès de sperme sort de mon trou et tombe par terre.
Julien demande à Michel de me sucer en même temps. Michel s’accroupit devant moi et embouche ma brindille. J’adore ça. À chaque poussée de Julien, ma verge rentre dans la bouche de Michel. Elle glisse dans un étui soyeux et chaud, la langue de Michel tourne autour et m’aspire avec force.
Je ne contrôle plus rien, j’ai la bouche grande ouverte, l’air me manque. Je miaule, je suis leur poupée désarticulée.
Dans mon état second, je sens un doigt de Julien me pénétrer en plus de sa bite, mon cul se dilate et s’ouvre.
C’en est trop, mon corps capitule et s’abandonne. Je suis secoué de spasmes, de tremblements. Ma rondelle se resserre par des contractions involontaires en même temps que ma verge éjacule dans la bouche de Michel, mes jambes ne me portent plus, je suis un pantin. C’est Julien qui me soutient.
Il me détache et je m’effondre sur le sol.
Et bien, me dit Julien, tu as un sacré potentiel, une vrai petite pute à jouir et à faire jouir. Maintenant, tu sais réellement qui tu es.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sublime, j'aimerai franchement prendre la place de Patrick.
Bravo.
Bravo.