Étonnantes rencontres au cinéma.
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Étonnantes rencontres au cinéma.
Bonjour, je m'appelle Patrick, j'ai 24 ans. j'adore le sport et aussi le cinéma. Je travaille dans un grand magasin de loisirs bien connu, ce qui me permet d’avoir un petit appartement pour moi tout seul.
Un jour, après une séance de sport et une bonne douche, je me suis rendu au cinéma voir un film dont la projection se termine aujourd’hui
J'arrive dans la petite salle et surprise, personne.
Par habitude, je me mets toujours sur les gradins les plus hauts. Là, je choisis l'avant-dernier, juste en dessous de la petite fenêtre de projection.
Au bout de quelques minutes, je vois deux hommes qui rentrent. Au moins, je ne suis pas tout seul.
Ils regardent la salle vide et viennent vers moi, me disent bonjour, pas grand monde pour ce film me disent ils.
Je réponds que non.
Ils se séparent et l'un vient juste à côté de moi, sur ma droite. L'autre, juste derrière sur le dernier rang.
Franchement, la salle est vide et ils viennent se placer au plus près. C'est complètement dingue.
Ils ont une quarantaine d'années, très musclées, stylent un peu bobo, genre commercial.
Enfin, la lumière s'éteint et après toutes les publicités, le film commence.
Au bout de 10 minutes, je sens la cuisse de mon voisin contre la mienne. Je m'écarte un peu et là, il me pose directement sa main sur mon genou pour me retenir.
Aussitôt, je lui dis de ne pas continuer et commence à me lever pour aller sur un autre rang plus bas.
Mais voilà, impossible de me lever, les mains de celui qui est derrière se posent sur mes épaules avec force et m'empêchent de le faire. Il se penche sur mon oreille et m’ordonne de ne surtout pas bouger. Regarde l’écran et laisse faire mon ami.
Je ne suis surtout pas homosexuel et en plus, je ne suis pas attiré par le sexe, même avec les filles. Ce n’est pas mon truc. Je me masturbe de temps en temps, mais très rarement.
Je commence à sentir sa main qui monte doucement vers le haut de mes cuisses. Elle me frôle, me caresse et me pince doucement.
Comme je viens de faire du sport, j’ai un pantalon de jogging assez ample sans ceinture, recouvert par mon T-Shirt.
Sa main contourne mon sexe et passe au-dessus, sur ma poitrine et sur mon ventre et en dessous du tissu. Elle est chaude et douce, me masse doucement avec la paume où me pincent délicatement mes tétons.
Malgré ce traitement, je reste de marbre, toujours prêt à me sauver à la première occasion.
Lentement, sa main se dirige plus bas, passe sous l’élastique du jogging et englobe entièrement mon sexe sur mon caleçon.
Mon corps se raidit et j’essaie d’éviter ce contact. Arrête de bouger, me dit la voix autoritaire de derrière, c’est la dernière fois que je te le dis et il ajoute, écarte tes jambes et tes cuisses.
Il prend son portable, le positionne au-dessus et clic clac, je suis pris en photo de profil avec la main d’un inconnu dans mon pantalon.
Toujours à travers le tissu de mon caleçon, je sens le pouce et l’index glissé sur toute la longueur de ma tige.
Malgré moi, je commence à sentir mon corps m’abandonner, il se détend, je m’enfonce un peu plus dans le fauteuil.
Ma verge commence à durcir. Celui qui me caresse comprend et m’encourage à me laisser aller. Tourne la tête vers moi et viens me chercher un baiser. Hésitant, c’est lui qui s’approche et me pénètre de sa langue pointue. Elle tourne autour de la mienne. C’est bien, tu fais des progrès.
Maintenant, lève ton bassin et abaisse sur tes genoux ce vilain caleçon et jogging.
Toujours très hésitant, il m’aide. Ma verge sort de ce rempart de tissus. J’ai vraiment honte de la situation. Sa main en prend possession et il commence à me branler doucement, il me dit, regarde moi dans les yeux que je puisse voir ton plaisir qui monte. Je le regarde, complètement soumit à cette voix. Je bande fort, mon sexe est dur et me fait mal.
Il accélère le mouvement, des gémissements involontaires sortent de ma bouche. Mon sexe mouille. Mon gland brille par mes sécrétions.
Son copain de derrière, n’en perd pas une miette et sourit. Il me met sa main sur ma bouche pour éviter que je ne sois trop bruyant.
Allez, dit il à son copain, termine le maintenant.
La main de mon branleur, accélère et me serre encore plus, je gémis et miaule comme un petit animal dans la main qui me bâillonne. Ma respiration s’accélère, j’halète.
Mon corps se tend et soudain, ma verge crache par saccades une grosse quantité de liquide visqueux. Pas mal, mon petit chat, me dit-il.
La main ralentit doucement le rythme, puis s’arrête. Mon branleur recueille sur deux de ses doigts une partie ma liqueur sur mon ventre.
Il me dit, ouvre ta bouche. Ses doigts rentrent dedans. Maintenant, suce-les. Je découvre le goût de mon propre sperme. Je trouve ça, plutôt fade, sans saveur ni bonne, ni mauvaise.
Ma pauvre bite redevient mole et diminue de taille à vue d’œil.
Elle n’est pas très grosse et longue, disons 13 cm en érection.
Il reste environ 30 minutes avant la fin du film.
L’homme qui est derrière moi, redescend et vient à côté de moi sur ma gauche.
Mon garçon, me dit-il, c’est à mon tour de jouer avec toi.
Sans me laisser le temps de réagir, il se penche, soulève ma bite molle avec ses doigts et me la rentre dans sa bouche.
C'est la première fois que cela m’arrive. Je sens sa langue tourner autour de mon gland, le mouiller de sa salive, l’aspirer. Mon sexe retrouve sa raideur. Les sensations sont encore plus fortes qu’avec la main. Mon branleur, sur ma droite, oriente à nouveau ma bouche vers la sienne et nos langues s’enroulent à nouveau ensemble pendant de longues minutes.
Il reste maintenant quinze minutes avant la fin de la séance.
Pendant qu’il me suce et m’aspire, il me branle rapidement la base de ma tige.
Je recommence à émettre des couinements ainsi que des petits cris étouffés par la bouche de son copain.
Ma verge se contracte à nouveau et je me vide dans sa bouche qui m’aspire violemment. Avec stupeur, il avale tout mon sperme en ayant l’air de se délecter.
Sa bouche s’ouvre et abandonne sa prise qui redevient toute petite.
Je n’en reviens pas. Je me masturbe une fois par mois en moyenne, et là, je viens de jouir par des inconnus deux fois en une demi-heure et en plus, j’ai apprécié malgré ma peur.
Je me rhabille et nous sortons tous les trois sur le parking. Je suis complètement abasourdi, dans un état second et fatigué.
Tu es libre demain vers 19 h, je réponds que oui. Les deux hommes me donnent rendez-vous demain à 19 h 30 dans une salle de sport. Si tu ne viens pas, on balance sur Internet ta photo et crois moi, on te reconnaît bien.
Je n’ai pas le choix. Je vais venir.
Au fait, quel est ton prénom, je m'appelle Patrick. Nous, c’est Julien et Michel.
Ils partent, me laisse seul et je rentre dans ma voiture en appréhendant la suite des événements.
La suite est prévue.
Un jour, après une séance de sport et une bonne douche, je me suis rendu au cinéma voir un film dont la projection se termine aujourd’hui
J'arrive dans la petite salle et surprise, personne.
Par habitude, je me mets toujours sur les gradins les plus hauts. Là, je choisis l'avant-dernier, juste en dessous de la petite fenêtre de projection.
Au bout de quelques minutes, je vois deux hommes qui rentrent. Au moins, je ne suis pas tout seul.
Ils regardent la salle vide et viennent vers moi, me disent bonjour, pas grand monde pour ce film me disent ils.
Je réponds que non.
Ils se séparent et l'un vient juste à côté de moi, sur ma droite. L'autre, juste derrière sur le dernier rang.
Franchement, la salle est vide et ils viennent se placer au plus près. C'est complètement dingue.
Ils ont une quarantaine d'années, très musclées, stylent un peu bobo, genre commercial.
Enfin, la lumière s'éteint et après toutes les publicités, le film commence.
Au bout de 10 minutes, je sens la cuisse de mon voisin contre la mienne. Je m'écarte un peu et là, il me pose directement sa main sur mon genou pour me retenir.
Aussitôt, je lui dis de ne pas continuer et commence à me lever pour aller sur un autre rang plus bas.
Mais voilà, impossible de me lever, les mains de celui qui est derrière se posent sur mes épaules avec force et m'empêchent de le faire. Il se penche sur mon oreille et m’ordonne de ne surtout pas bouger. Regarde l’écran et laisse faire mon ami.
Je ne suis surtout pas homosexuel et en plus, je ne suis pas attiré par le sexe, même avec les filles. Ce n’est pas mon truc. Je me masturbe de temps en temps, mais très rarement.
Je commence à sentir sa main qui monte doucement vers le haut de mes cuisses. Elle me frôle, me caresse et me pince doucement.
Comme je viens de faire du sport, j’ai un pantalon de jogging assez ample sans ceinture, recouvert par mon T-Shirt.
Sa main contourne mon sexe et passe au-dessus, sur ma poitrine et sur mon ventre et en dessous du tissu. Elle est chaude et douce, me masse doucement avec la paume où me pincent délicatement mes tétons.
Malgré ce traitement, je reste de marbre, toujours prêt à me sauver à la première occasion.
Lentement, sa main se dirige plus bas, passe sous l’élastique du jogging et englobe entièrement mon sexe sur mon caleçon.
Mon corps se raidit et j’essaie d’éviter ce contact. Arrête de bouger, me dit la voix autoritaire de derrière, c’est la dernière fois que je te le dis et il ajoute, écarte tes jambes et tes cuisses.
Il prend son portable, le positionne au-dessus et clic clac, je suis pris en photo de profil avec la main d’un inconnu dans mon pantalon.
Toujours à travers le tissu de mon caleçon, je sens le pouce et l’index glissé sur toute la longueur de ma tige.
Malgré moi, je commence à sentir mon corps m’abandonner, il se détend, je m’enfonce un peu plus dans le fauteuil.
Ma verge commence à durcir. Celui qui me caresse comprend et m’encourage à me laisser aller. Tourne la tête vers moi et viens me chercher un baiser. Hésitant, c’est lui qui s’approche et me pénètre de sa langue pointue. Elle tourne autour de la mienne. C’est bien, tu fais des progrès.
Maintenant, lève ton bassin et abaisse sur tes genoux ce vilain caleçon et jogging.
Toujours très hésitant, il m’aide. Ma verge sort de ce rempart de tissus. J’ai vraiment honte de la situation. Sa main en prend possession et il commence à me branler doucement, il me dit, regarde moi dans les yeux que je puisse voir ton plaisir qui monte. Je le regarde, complètement soumit à cette voix. Je bande fort, mon sexe est dur et me fait mal.
Il accélère le mouvement, des gémissements involontaires sortent de ma bouche. Mon sexe mouille. Mon gland brille par mes sécrétions.
Son copain de derrière, n’en perd pas une miette et sourit. Il me met sa main sur ma bouche pour éviter que je ne sois trop bruyant.
Allez, dit il à son copain, termine le maintenant.
La main de mon branleur, accélère et me serre encore plus, je gémis et miaule comme un petit animal dans la main qui me bâillonne. Ma respiration s’accélère, j’halète.
Mon corps se tend et soudain, ma verge crache par saccades une grosse quantité de liquide visqueux. Pas mal, mon petit chat, me dit-il.
La main ralentit doucement le rythme, puis s’arrête. Mon branleur recueille sur deux de ses doigts une partie ma liqueur sur mon ventre.
Il me dit, ouvre ta bouche. Ses doigts rentrent dedans. Maintenant, suce-les. Je découvre le goût de mon propre sperme. Je trouve ça, plutôt fade, sans saveur ni bonne, ni mauvaise.
Ma pauvre bite redevient mole et diminue de taille à vue d’œil.
Elle n’est pas très grosse et longue, disons 13 cm en érection.
Il reste environ 30 minutes avant la fin du film.
L’homme qui est derrière moi, redescend et vient à côté de moi sur ma gauche.
Mon garçon, me dit-il, c’est à mon tour de jouer avec toi.
Sans me laisser le temps de réagir, il se penche, soulève ma bite molle avec ses doigts et me la rentre dans sa bouche.
C'est la première fois que cela m’arrive. Je sens sa langue tourner autour de mon gland, le mouiller de sa salive, l’aspirer. Mon sexe retrouve sa raideur. Les sensations sont encore plus fortes qu’avec la main. Mon branleur, sur ma droite, oriente à nouveau ma bouche vers la sienne et nos langues s’enroulent à nouveau ensemble pendant de longues minutes.
Il reste maintenant quinze minutes avant la fin de la séance.
Pendant qu’il me suce et m’aspire, il me branle rapidement la base de ma tige.
Je recommence à émettre des couinements ainsi que des petits cris étouffés par la bouche de son copain.
Ma verge se contracte à nouveau et je me vide dans sa bouche qui m’aspire violemment. Avec stupeur, il avale tout mon sperme en ayant l’air de se délecter.
Sa bouche s’ouvre et abandonne sa prise qui redevient toute petite.
Je n’en reviens pas. Je me masturbe une fois par mois en moyenne, et là, je viens de jouir par des inconnus deux fois en une demi-heure et en plus, j’ai apprécié malgré ma peur.
Je me rhabille et nous sortons tous les trois sur le parking. Je suis complètement abasourdi, dans un état second et fatigué.
Tu es libre demain vers 19 h, je réponds que oui. Les deux hommes me donnent rendez-vous demain à 19 h 30 dans une salle de sport. Si tu ne viens pas, on balance sur Internet ta photo et crois moi, on te reconnaît bien.
Je n’ai pas le choix. Je vais venir.
Au fait, quel est ton prénom, je m'appelle Patrick. Nous, c’est Julien et Michel.
Ils partent, me laisse seul et je rentre dans ma voiture en appréhendant la suite des événements.
La suite est prévue.
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