Être garçon et fille Chapitre 1 - Du train de banlieue au cinéma
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Être garçon et fille Chapitre 1 - Du train de banlieue au cinéma
Je m'appelle John mais je suis aussi Jane ("Djène" à l'anglaise, comme Jane Birkin) et suis étudiant.
Après avoir été dépucelé par mon cousin, ma tante m'a éduqué à l'amour puis j'ai rencontré Valérie, une jeune femme née garçon. Ma sexualité s'est construite avec ces trois personnes. Amant de ma tante, j'aime faire l'amour aux femmes. Chéri de mon cousin, j'aime qu'on me prenne comme une femme. Sœur de cœur de Valérie, j'aime paraître féminine et m'habiller pour tromper mon monde.
Ma silhouette androgyne, mon habitude à m'épiler, ma coiffure mi-longue avec une mèche sur le front créent la confusion de genre. Par ailleurs à l'aide des plugs et godes offerts pour mes 19 ans, je cultive mon jardin secret... Je suis un vrai cul mouillé.
Après les vacances, de retour à Paris chez mes parents, je bataillais pour avoir "mon chez moi", avoir mon indépendance et vivre librement, être John ou Jane, me donner comme une femme ou faire l'amour comme un homme. Ils prétextaient que j'étais bien jeune pour vivre seul, sans parler des dangers que cela présentait et du surcoût occasionné. En attendant ce "chez moi" j'allais tous les jours en train de banlieue à l'Université
Mes parents parlant du danger de vivre éloigné de la maison, n'imaginaient pas que le train de banlieue constituait un risque important de mauvaises rencontres. Il y a des années, comme collégien j'avais déjà subi des attouchements et aujourd'hui je retrouvais ces contacts. La régularité des horaires faisait qu'on retrouvaient les mêmes voyageurs, dans le même train, le même wagon, à la même porte. Le signal de départ entraînait toujours une bousculade au dernier moment.
Un soir j'étais debout dans un coin près de la porte et un monsieur, un gentil papa d'une soixantaine d'années se trouvait perpendiculairement à moi les bras ballants, dans la bousculade du départ sa main me toucha accidentellement l'entrejambe. Tout un chacun retrouvait son équilibre mais le dos de la main continuait à frôler naturellement ce qui était à sa hauteur, mon pantalon, tout d'abord superficiellement puis de manière appuyée, le voyageur arrivé à destination descendit sans me regarder et moi à la station suivante.
Je retrouvai le lendemain le monsieur. Toujours prudent il reprit le frôlement du dos de la main et sans réaction de ma part, il s'enhardit en plaquant sa paume sur mon sexe. Mon laisser faire était une invitation, c'est bien connu, "Qui ne dit mot consent". Les doigts se mirent tout de suite en action pour me peloter franchement dans un premier temps et ouvrir ma braguette dans un second.
Dès la semaine suivante, nos habitudes étaient prises, je l'attendais debout dans mon coin et lui facilitais le travail en ouvrant anorak et braguette. Placé de côté, incognito, dès que les portes se fermaient, il s'attaquait à mon affaire, baissait le slip, trouvait mon sexe en érection, il me pelotait les couilles avant d'astiquer le manche. On ne se parlait pas, on se regardait à peine.
Chaque soir j'attendais ce moment. Sa main plongeait directement dans mon pantalon, comme dans sa poche, me caressait par dessus le slip, j'aimais comme il me massait la queue puis me mettait à nu.
Le monsieur s'occupait de moi de plus en plus librement, sans se soucier du monde. Un soir qu'il me caressait à son habitude, il prit ma main pour la poser sur son sexe sorti de son pantalon, un gros sexe flasque, un gland décalotté tout mollasson, des couilles poilues dans un sac deux fois trop grand qui débordaient largement sur le pantalon, beaucoup moins en forme que les sexes de 50 ans et plus que j'avais pu rencontrer. J'étais timide mais expérimenté. Je jouai avec ses noix comme aux osselets et le manipulai tant et si bien qu'il prit un peu de vigueur et que je pus discrètement le branler. Le voyage paru plus rapide que d'habitude, le monsieur oublia le temps et dut me quitter précipitamment pour descendre me laissant le sexe à l'air. Un homme beaucoup plus jeune nous ayant probablement observés, eut le réflexe de me cacher de l'environnement en se plaquant à moi et pour le service rendu me mit la main au panier. Ceci étant je fermai la boutique, arrivé à destination.
Le lendemain, je retrouvai les deux messieurs. A son habitude le papa se mit de côté et plongea la main dans mon pantalon alors que le plus jeune connaissant ma timidité me prit la main droite pour la mettre dans son pantalon sous lequel il est nu.
Il bandait comme un âne, il était gros et long, il me faisait penser à mon cousin Alain mis à part qu'il était tout poilu. Ses couilles étaient soyeuses et bien pleines, son ventre couvert d'un poil doux et bouclé. Je lui sortis le sexe et il se tourna un peu pour me laisser faire et se cacher des regards indiscrets. Je retrouvai avec plaisir la vigueur du sexe masculin, l'épaisseur de l'urètre, le frein encore bien attaché au gland qui donnait à la pointe cette forme de cœur particulier et bien gros, bien dur, à la peau si lisse.
Le papa un peu oublié me caressa l'autre main du bout de sa queue ramollie, je lui fis tant bien que mal une branlette en fixant mon attention sur l'autre sexe... Le premier voyageur quitta le train, je fis face à l'autre homme pour me cacher du public. Il me regarda, me sourit, me murmura au creux de l'oreille :
— Tu es mignon ainsi, j'aime beaucoup comme tu es épilé... On se retrouve demain, samedi, pour aller au cinéma !
Le ton était autoritaire, je réfléchis un instant et sans savoir pourquoi je répondis machinalement :
— Où ? À quelle heure ?
— 15 heures sur le quai de ta gare pour Paris !
— OK ! À demain.
Et je descendis du train, je rentrai à la maison tout bouleversé par ce rendez-vous. Au fur et à mesure de la soirée je passais de l'inquiétude à l'excitation sans savoir ce que j'allais faire, y aller ou lui poser un lapin. Qu'allait-t-il se passer ? Et s'il m'enlevait ! On en parlait tellement, mais j'étais un grand garçon maintenant. Ma nuit fut agitée.
A leur habitude le samedi matin mes parents allèrent au marché et j'eus toute liberté pour me préparer. Je voulais me présenter à lui en "ladyboy".
Je commençai par m'épiler, continuai avec un bain et un lavement minutieux, terminai avec une vaporisation de mon parfum fétiche "Terre d'Hermès". Ensuite habillage avec serre taille, bas, shorty en dentelle et un mini débardeur arrivant juste au nombril, tout en blanc. J'aimais être ainsi sexy, avec les tétons arrogants, les hanches mises en valeur par le corselet, les jambes habillées de bas blancs, j'étais Jane. Alors John s'habilla, d'un jean, d'un pull trop ample et d'un manteau indispensable en ce début février. Enfin je retrouvai mon inconnu à l'heure prévue. Il m'accueillit en souriant :
— Salut ! Moi c'est Marco.
— Salut Marco, moi c'est... Je réfléchis une fraction de seconde avant de cracher : Jane.
— Sympa !, Jane... comme Birkin ?, et il chantonne « Je vais et je viens, entre tes reins »... Tu caches bien ton personnage.
Dans le train contrairement à la semaine il n'y a pas foule et on peut s'asseoir l'un à côté de l'autre. On fait connaissance, j'apprends qu'il a 40 ans, marié et père d'un gamin, qu'il travaille dans un club de sport, qu'il adore les jeunes personnes libérées comme moi. Arrivés à Paris, à la sortie de la gare il m'annonce qu'on va voir un porno à Pigalle! Bien sûr je ne m'attendais pas à ce que ce soit un western aux Champs Élysées mais tout de même. Je réagis à peine et me laisse guider.
Arrivés sur place, visiblement il a ses habitudes et nous entrons à l'Atlas, cinéma mythique du X. Je le suis, c'est la première fois que je vais voir un film de ce genre. Il y a deux salles pour le prix d'une. Il me dit que le film n'a pas d'importance, l'essentiel se passe dans la salle et nous allons dans celle du haut.
L'escalier débouche au milieu de la salle. A l'écran un gros plan sur un couple en train de faire l'amour. Il y a peu de monde dans la partie basse de la salle et je vois Marco se diriger vers la partie supérieure. Il monte jusqu'au dernier rang, là le passage est beaucoup plus large et on peut passer facilement devant les spectateurs sans les gêner.
Je me suis habitué à la pénombre et je discerne quelques personnes. Je ne vois que des hommes, peut-être une vingtaine, certains seuls d'autre en duo, on passe devant un couple qui n'est visiblement pas intéressé par le film, les pantalons baissés sur les chaussures, l'un est penché sur le ventre de l'autre, la tête en arrière les yeux fermés. Marco s'installe trois fauteuils plus loin, il se débarrasse de son anorak se met en chemise, de même j'abandonne le manteau pour regarder le film : une dame se fait prendre en levrette tout en suçant un autre type. Marco se signale en me pressant le genoux :
— Enlève ton pull, tu vas avoir trop chaud.
— Je n'ai qu'un débardeur.
— Ouais c'est bien, t'inquiète ici on est libre.
Au dernier rang je ne gêne personne, debout j'enlève le pull en le passant par dessus la tête. Probablement que l'extension de mes bras a mis à nu mon estomac et le nombril et a fait ressortir mes tétons sous le tissu :
— Ben dis donc Jane, t'es bien foutue ! Tu bandes des seins et tu as un ventre de gonzesse.
Sans réplique de ma part, après avoir ouvert son pantalon sous lequel il est nu, il m'enlace les épaules de son bras, veut m'embrasser mais je tourne la tête vers lui en susurrant "Non ! Je n'embrasse pas". Alors son autre main s'empare d'un téton et me fait tout de suite mal. Il s'amuse de mon sifflement de douleur et murmure "Le principal est que tu suces" et il me prend la main et la pose sur son sexe endormi. Je l'ai connu en meilleur forme dans le train.
A côté de moi, je découvre un couple beaucoup plus avancé, l'un debout a perdu son pantalon et se fait tailler une pipe par celui qui est assis...
Marco est déjà à l'action en s'attaquant à ma ceinture qu'il défait avec beaucoup d'habileté, avant de me toucher les fesses sous le pantalon, peut-être le film, plus sûrement mes caresses, lui redonnent toute sa virilité, le résultat est énorme c'est une bite de cheval qui se dresse.
— Dis donc ma salope tu portes des bas !!! Allez, fais-moi voir tout ça, enlève ton pantalon.
— Mais…
— J't'ai dit, y'a pas de problème ici, regarde à droite et à gauche, l'un se fait sucer et l'autre baiser, et à haute voix il m'ordonne : Allez désape-toi !
En effet le couple de mon côté est passé à l'étape suivante, l'un assis sur l'autre dans son fauteuil joue au bilboquet.. Ça fait quatre mois que je n'ai pas baisé alors, lui ou un autre, sans pantalon je vais pour me rasseoir
— Et ta culotte ? ça sera plus pratique sans.
Debout à son côté tout en regardant le film je me débarrasse du shorty que j'ai enfilé après le serre-taille avec un léger balancement des hanches comme pour un strip-tease. C'est vrai que je suis salope ainsi en Sissy. Je m'assois juste avec mes bas, le débardeur et le corselet blancs. Lui a baissé son falzar au niveau des chevilles, je le branle un peu, sa verge est énorme et bien dure. Je ne résiste pas, je me penche et l'avale, le poil noir du pubis me surprend toujours, il sent fort, le fauve peut-être l'urine, c'est dégueu et excitant à la fois. Il m'amène à mieux le prendre en bouche, en glissant son bassin jusqu'au bord du fauteuil mais surtout en me prenant par une fesse et en me basculant sur lui en appuie sur l'accoudoir qui nous sépare. Il me touche la rondelle d'un doigt et sent la souplesse de l'anneau que j'entretiens régulièrement.
— Dis-moi ma salope, t'es une sacrée chaudasse !
Mon va-et-vient au-dessus de son ventre exprime mon approbation. Lui se focalise sur mon anus et il sait y faire. Il me masse concentriquement la pastille d'un, puis de deux doigts, titille le petit trou et m'enfonce un doigt en murmurant
— Mets-toi debout en levrette devant moi que je te suce le cul.
J'obéis sans difficulté, j'en ai tellement envie. Debout, jambes écartées et appuyé sur le fauteuil de devant je m'offre à lui en creusant les reins et relevant les talons. Certainement que depuis un moment nos activités ne passent pas inaperçues dans la salle. Il m'interpelle à voix basse mais tout de même audible pour le voisinage :
— T'es superbe, j'adore les filles totalement épilées !
Ce qu'il dit, notre position au dernier rang, mon attitude attirent tous les regards, le film n'intéresse plus personne. Quelques déplacements rapides s'opèrent, deux, trois hommes se placent au rang en dessous du nôtre, d'autres viennent de chaque côté. Au moins six mecs nous entourent. Marco me fait une savante feuille de rose avant de m'amener à califourchon sur sa colonne en béton. Je m'y empale doucement, cuisses ouvertes, en me retenant aux accoudoirs.
Tout de suite un homme de côté s'intéresse à ma bite de jeune homme, lisse, pas très épaisse mais bien dure, un autre s'en prend à un téton qui pointe sous mon débardeur. Les hommes face à nous exhibent leurs sexes plus ou moins éveillés. Marco dirige ma descente en ayant ses deux mains sur mes hanches. Il est gros, il est long, il me rappelle les moments passés à Montpellier. J'y suis ! Assis sur son pubis, mon ampoule rectale est pleine. Je bouge de droite, de gauche pour bien la prendre. Marco me caresse le haut des cuisses nues et s'attarde aux jarretelles, je l'entends murmurer
— Oh putain que t'es bonne, tu es douce de partout, j'adore... Ouais masse-moi bien avec ton cul... Ouais pends-la bien.
Au rang du devant deux hommes tournés vers nous, sont debout et se branlent. L'ambiance est excitante au possible et je commence à monter et descendre, lentement en appréciant chaque centimètre de chair qui me pénètre. Lui ses mains sur mon serre-taille accompagne ma danse. Trois spectateurs à présent face à moi me tendent leurs sexes. Ma danse s'accélère je suis bien ouvert, Marco me sent bien. Au rythme de mon balancement, mon voisin me masturbe en tirant le prépuce bien en arrière à chaque fois.
— Viens ma salope, grogne mon amant entre ses dents, Viens que je te baise en levrette !
Il se lève, me pousse en avant, je retrouve mon équilibre en m'appuyant des deux mains sur le fauteuil devant moi et lui bien en place me besogne direct. Les deux visiteurs de côté me claquent les fesses avant de les écarter pour bien dégager et voir le membre qui me pistonne, je sens un souffle sur la droite qui laisse penser que l'admirateur est tout proche de l'action, même plus près puisque je sens sa langue sur le haut de ma fesse. L'homme face à moi me présente sa queue toute poilue que je gobe. Fellation et sodomie simultanées je retrouve l'ambiance des orgies de l'été dernier. Je suis une femelle gourmande, je sais faire, rapidement il y a changement de partenaire en bouche, je suce, je lèche, j'aspire, je mordille, je n'ai que ma bouche pour les satisfaire.
Marco me passe le débardeur par dessus la tête, je suis quasiment nu. Il s'en prend à présent à mes tétons mais une troisième main prend ma queue. Outre les deux qui maintiennent mes fesses écartées, un autre spectateur s'est invité sur mon côté, assis sur ses talons à mes pieds, il s'intéresse à mon ventre glabre :
— Putain la salope est épilée, elle est toute jeune. Qu'est-ce qu'elle est belle !...
Notre groupe se compose d'au moins huit personnes. Mon branleur s'assied sous mon ventre pour me sucer. Il y a toujours les deux gars qui m'écartent les fesses et observent mon cul plein de mouille qui se fait limer, les trois mecs du rang de dessous qui se font sucer à tour de rôle et Marco qui continue tranquillement son labour. J'ai l 'impression que c'est un besogneux et un résistant, c'est du régulier, comme les pompes de pétrole au Texas. Plouff !...Plouff !... C'est un bon et j'aime comme il le fait sur toute la longueur du manche, mon ventre est liquéfié, un léger chuintement peut s'entendre, en plus lui ou d'autres me foutent le feu aux tétons, me tripote les couilles grosses comme des olives.
Je suce depuis un moment une queue épaisse comme mon poignet. Il me prend la tête à deux mains et m'impose son rythme. Un résistant aussi mais il accélère, il m'enfonce son membre et me bloque la tête « Grrrrrrrrrrrr ! » il se vide.J'avale un maximum de sperme mais le trop plein tombe sur le dossier du fauteuil.
Marco le besogneux à son tour accélère, s'immobilise et je sens qu'il m'arrose abondamment. A peine la pine sortie que les deux voyeurs me doigtent le cul Au moins quatre peut-être six doigts me fouillent. Enfin j'offre mon nectar à celui qui me traie … Je me vide longuement et il s'en régale. Une grande claque sur mes fesses... Game over !
— Allez Jane on y va, habille-toi, on dégage !.
Après avoir été dépucelé par mon cousin, ma tante m'a éduqué à l'amour puis j'ai rencontré Valérie, une jeune femme née garçon. Ma sexualité s'est construite avec ces trois personnes. Amant de ma tante, j'aime faire l'amour aux femmes. Chéri de mon cousin, j'aime qu'on me prenne comme une femme. Sœur de cœur de Valérie, j'aime paraître féminine et m'habiller pour tromper mon monde.
Ma silhouette androgyne, mon habitude à m'épiler, ma coiffure mi-longue avec une mèche sur le front créent la confusion de genre. Par ailleurs à l'aide des plugs et godes offerts pour mes 19 ans, je cultive mon jardin secret... Je suis un vrai cul mouillé.
Après les vacances, de retour à Paris chez mes parents, je bataillais pour avoir "mon chez moi", avoir mon indépendance et vivre librement, être John ou Jane, me donner comme une femme ou faire l'amour comme un homme. Ils prétextaient que j'étais bien jeune pour vivre seul, sans parler des dangers que cela présentait et du surcoût occasionné. En attendant ce "chez moi" j'allais tous les jours en train de banlieue à l'Université
Mes parents parlant du danger de vivre éloigné de la maison, n'imaginaient pas que le train de banlieue constituait un risque important de mauvaises rencontres. Il y a des années, comme collégien j'avais déjà subi des attouchements et aujourd'hui je retrouvais ces contacts. La régularité des horaires faisait qu'on retrouvaient les mêmes voyageurs, dans le même train, le même wagon, à la même porte. Le signal de départ entraînait toujours une bousculade au dernier moment.
Un soir j'étais debout dans un coin près de la porte et un monsieur, un gentil papa d'une soixantaine d'années se trouvait perpendiculairement à moi les bras ballants, dans la bousculade du départ sa main me toucha accidentellement l'entrejambe. Tout un chacun retrouvait son équilibre mais le dos de la main continuait à frôler naturellement ce qui était à sa hauteur, mon pantalon, tout d'abord superficiellement puis de manière appuyée, le voyageur arrivé à destination descendit sans me regarder et moi à la station suivante.
Je retrouvai le lendemain le monsieur. Toujours prudent il reprit le frôlement du dos de la main et sans réaction de ma part, il s'enhardit en plaquant sa paume sur mon sexe. Mon laisser faire était une invitation, c'est bien connu, "Qui ne dit mot consent". Les doigts se mirent tout de suite en action pour me peloter franchement dans un premier temps et ouvrir ma braguette dans un second.
Dès la semaine suivante, nos habitudes étaient prises, je l'attendais debout dans mon coin et lui facilitais le travail en ouvrant anorak et braguette. Placé de côté, incognito, dès que les portes se fermaient, il s'attaquait à mon affaire, baissait le slip, trouvait mon sexe en érection, il me pelotait les couilles avant d'astiquer le manche. On ne se parlait pas, on se regardait à peine.
Chaque soir j'attendais ce moment. Sa main plongeait directement dans mon pantalon, comme dans sa poche, me caressait par dessus le slip, j'aimais comme il me massait la queue puis me mettait à nu.
Le monsieur s'occupait de moi de plus en plus librement, sans se soucier du monde. Un soir qu'il me caressait à son habitude, il prit ma main pour la poser sur son sexe sorti de son pantalon, un gros sexe flasque, un gland décalotté tout mollasson, des couilles poilues dans un sac deux fois trop grand qui débordaient largement sur le pantalon, beaucoup moins en forme que les sexes de 50 ans et plus que j'avais pu rencontrer. J'étais timide mais expérimenté. Je jouai avec ses noix comme aux osselets et le manipulai tant et si bien qu'il prit un peu de vigueur et que je pus discrètement le branler. Le voyage paru plus rapide que d'habitude, le monsieur oublia le temps et dut me quitter précipitamment pour descendre me laissant le sexe à l'air. Un homme beaucoup plus jeune nous ayant probablement observés, eut le réflexe de me cacher de l'environnement en se plaquant à moi et pour le service rendu me mit la main au panier. Ceci étant je fermai la boutique, arrivé à destination.
Le lendemain, je retrouvai les deux messieurs. A son habitude le papa se mit de côté et plongea la main dans mon pantalon alors que le plus jeune connaissant ma timidité me prit la main droite pour la mettre dans son pantalon sous lequel il est nu.
Il bandait comme un âne, il était gros et long, il me faisait penser à mon cousin Alain mis à part qu'il était tout poilu. Ses couilles étaient soyeuses et bien pleines, son ventre couvert d'un poil doux et bouclé. Je lui sortis le sexe et il se tourna un peu pour me laisser faire et se cacher des regards indiscrets. Je retrouvai avec plaisir la vigueur du sexe masculin, l'épaisseur de l'urètre, le frein encore bien attaché au gland qui donnait à la pointe cette forme de cœur particulier et bien gros, bien dur, à la peau si lisse.
Le papa un peu oublié me caressa l'autre main du bout de sa queue ramollie, je lui fis tant bien que mal une branlette en fixant mon attention sur l'autre sexe... Le premier voyageur quitta le train, je fis face à l'autre homme pour me cacher du public. Il me regarda, me sourit, me murmura au creux de l'oreille :
— Tu es mignon ainsi, j'aime beaucoup comme tu es épilé... On se retrouve demain, samedi, pour aller au cinéma !
Le ton était autoritaire, je réfléchis un instant et sans savoir pourquoi je répondis machinalement :
— Où ? À quelle heure ?
— 15 heures sur le quai de ta gare pour Paris !
— OK ! À demain.
Et je descendis du train, je rentrai à la maison tout bouleversé par ce rendez-vous. Au fur et à mesure de la soirée je passais de l'inquiétude à l'excitation sans savoir ce que j'allais faire, y aller ou lui poser un lapin. Qu'allait-t-il se passer ? Et s'il m'enlevait ! On en parlait tellement, mais j'étais un grand garçon maintenant. Ma nuit fut agitée.
A leur habitude le samedi matin mes parents allèrent au marché et j'eus toute liberté pour me préparer. Je voulais me présenter à lui en "ladyboy".
Je commençai par m'épiler, continuai avec un bain et un lavement minutieux, terminai avec une vaporisation de mon parfum fétiche "Terre d'Hermès". Ensuite habillage avec serre taille, bas, shorty en dentelle et un mini débardeur arrivant juste au nombril, tout en blanc. J'aimais être ainsi sexy, avec les tétons arrogants, les hanches mises en valeur par le corselet, les jambes habillées de bas blancs, j'étais Jane. Alors John s'habilla, d'un jean, d'un pull trop ample et d'un manteau indispensable en ce début février. Enfin je retrouvai mon inconnu à l'heure prévue. Il m'accueillit en souriant :
— Salut ! Moi c'est Marco.
— Salut Marco, moi c'est... Je réfléchis une fraction de seconde avant de cracher : Jane.
— Sympa !, Jane... comme Birkin ?, et il chantonne « Je vais et je viens, entre tes reins »... Tu caches bien ton personnage.
Dans le train contrairement à la semaine il n'y a pas foule et on peut s'asseoir l'un à côté de l'autre. On fait connaissance, j'apprends qu'il a 40 ans, marié et père d'un gamin, qu'il travaille dans un club de sport, qu'il adore les jeunes personnes libérées comme moi. Arrivés à Paris, à la sortie de la gare il m'annonce qu'on va voir un porno à Pigalle! Bien sûr je ne m'attendais pas à ce que ce soit un western aux Champs Élysées mais tout de même. Je réagis à peine et me laisse guider.
Arrivés sur place, visiblement il a ses habitudes et nous entrons à l'Atlas, cinéma mythique du X. Je le suis, c'est la première fois que je vais voir un film de ce genre. Il y a deux salles pour le prix d'une. Il me dit que le film n'a pas d'importance, l'essentiel se passe dans la salle et nous allons dans celle du haut.
L'escalier débouche au milieu de la salle. A l'écran un gros plan sur un couple en train de faire l'amour. Il y a peu de monde dans la partie basse de la salle et je vois Marco se diriger vers la partie supérieure. Il monte jusqu'au dernier rang, là le passage est beaucoup plus large et on peut passer facilement devant les spectateurs sans les gêner.
Je me suis habitué à la pénombre et je discerne quelques personnes. Je ne vois que des hommes, peut-être une vingtaine, certains seuls d'autre en duo, on passe devant un couple qui n'est visiblement pas intéressé par le film, les pantalons baissés sur les chaussures, l'un est penché sur le ventre de l'autre, la tête en arrière les yeux fermés. Marco s'installe trois fauteuils plus loin, il se débarrasse de son anorak se met en chemise, de même j'abandonne le manteau pour regarder le film : une dame se fait prendre en levrette tout en suçant un autre type. Marco se signale en me pressant le genoux :
— Enlève ton pull, tu vas avoir trop chaud.
— Je n'ai qu'un débardeur.
— Ouais c'est bien, t'inquiète ici on est libre.
Au dernier rang je ne gêne personne, debout j'enlève le pull en le passant par dessus la tête. Probablement que l'extension de mes bras a mis à nu mon estomac et le nombril et a fait ressortir mes tétons sous le tissu :
— Ben dis donc Jane, t'es bien foutue ! Tu bandes des seins et tu as un ventre de gonzesse.
Sans réplique de ma part, après avoir ouvert son pantalon sous lequel il est nu, il m'enlace les épaules de son bras, veut m'embrasser mais je tourne la tête vers lui en susurrant "Non ! Je n'embrasse pas". Alors son autre main s'empare d'un téton et me fait tout de suite mal. Il s'amuse de mon sifflement de douleur et murmure "Le principal est que tu suces" et il me prend la main et la pose sur son sexe endormi. Je l'ai connu en meilleur forme dans le train.
A côté de moi, je découvre un couple beaucoup plus avancé, l'un debout a perdu son pantalon et se fait tailler une pipe par celui qui est assis...
Marco est déjà à l'action en s'attaquant à ma ceinture qu'il défait avec beaucoup d'habileté, avant de me toucher les fesses sous le pantalon, peut-être le film, plus sûrement mes caresses, lui redonnent toute sa virilité, le résultat est énorme c'est une bite de cheval qui se dresse.
— Dis donc ma salope tu portes des bas !!! Allez, fais-moi voir tout ça, enlève ton pantalon.
— Mais…
— J't'ai dit, y'a pas de problème ici, regarde à droite et à gauche, l'un se fait sucer et l'autre baiser, et à haute voix il m'ordonne : Allez désape-toi !
En effet le couple de mon côté est passé à l'étape suivante, l'un assis sur l'autre dans son fauteuil joue au bilboquet.. Ça fait quatre mois que je n'ai pas baisé alors, lui ou un autre, sans pantalon je vais pour me rasseoir
— Et ta culotte ? ça sera plus pratique sans.
Debout à son côté tout en regardant le film je me débarrasse du shorty que j'ai enfilé après le serre-taille avec un léger balancement des hanches comme pour un strip-tease. C'est vrai que je suis salope ainsi en Sissy. Je m'assois juste avec mes bas, le débardeur et le corselet blancs. Lui a baissé son falzar au niveau des chevilles, je le branle un peu, sa verge est énorme et bien dure. Je ne résiste pas, je me penche et l'avale, le poil noir du pubis me surprend toujours, il sent fort, le fauve peut-être l'urine, c'est dégueu et excitant à la fois. Il m'amène à mieux le prendre en bouche, en glissant son bassin jusqu'au bord du fauteuil mais surtout en me prenant par une fesse et en me basculant sur lui en appuie sur l'accoudoir qui nous sépare. Il me touche la rondelle d'un doigt et sent la souplesse de l'anneau que j'entretiens régulièrement.
— Dis-moi ma salope, t'es une sacrée chaudasse !
Mon va-et-vient au-dessus de son ventre exprime mon approbation. Lui se focalise sur mon anus et il sait y faire. Il me masse concentriquement la pastille d'un, puis de deux doigts, titille le petit trou et m'enfonce un doigt en murmurant
— Mets-toi debout en levrette devant moi que je te suce le cul.
J'obéis sans difficulté, j'en ai tellement envie. Debout, jambes écartées et appuyé sur le fauteuil de devant je m'offre à lui en creusant les reins et relevant les talons. Certainement que depuis un moment nos activités ne passent pas inaperçues dans la salle. Il m'interpelle à voix basse mais tout de même audible pour le voisinage :
— T'es superbe, j'adore les filles totalement épilées !
Ce qu'il dit, notre position au dernier rang, mon attitude attirent tous les regards, le film n'intéresse plus personne. Quelques déplacements rapides s'opèrent, deux, trois hommes se placent au rang en dessous du nôtre, d'autres viennent de chaque côté. Au moins six mecs nous entourent. Marco me fait une savante feuille de rose avant de m'amener à califourchon sur sa colonne en béton. Je m'y empale doucement, cuisses ouvertes, en me retenant aux accoudoirs.
Tout de suite un homme de côté s'intéresse à ma bite de jeune homme, lisse, pas très épaisse mais bien dure, un autre s'en prend à un téton qui pointe sous mon débardeur. Les hommes face à nous exhibent leurs sexes plus ou moins éveillés. Marco dirige ma descente en ayant ses deux mains sur mes hanches. Il est gros, il est long, il me rappelle les moments passés à Montpellier. J'y suis ! Assis sur son pubis, mon ampoule rectale est pleine. Je bouge de droite, de gauche pour bien la prendre. Marco me caresse le haut des cuisses nues et s'attarde aux jarretelles, je l'entends murmurer
— Oh putain que t'es bonne, tu es douce de partout, j'adore... Ouais masse-moi bien avec ton cul... Ouais pends-la bien.
Au rang du devant deux hommes tournés vers nous, sont debout et se branlent. L'ambiance est excitante au possible et je commence à monter et descendre, lentement en appréciant chaque centimètre de chair qui me pénètre. Lui ses mains sur mon serre-taille accompagne ma danse. Trois spectateurs à présent face à moi me tendent leurs sexes. Ma danse s'accélère je suis bien ouvert, Marco me sent bien. Au rythme de mon balancement, mon voisin me masturbe en tirant le prépuce bien en arrière à chaque fois.
— Viens ma salope, grogne mon amant entre ses dents, Viens que je te baise en levrette !
Il se lève, me pousse en avant, je retrouve mon équilibre en m'appuyant des deux mains sur le fauteuil devant moi et lui bien en place me besogne direct. Les deux visiteurs de côté me claquent les fesses avant de les écarter pour bien dégager et voir le membre qui me pistonne, je sens un souffle sur la droite qui laisse penser que l'admirateur est tout proche de l'action, même plus près puisque je sens sa langue sur le haut de ma fesse. L'homme face à moi me présente sa queue toute poilue que je gobe. Fellation et sodomie simultanées je retrouve l'ambiance des orgies de l'été dernier. Je suis une femelle gourmande, je sais faire, rapidement il y a changement de partenaire en bouche, je suce, je lèche, j'aspire, je mordille, je n'ai que ma bouche pour les satisfaire.
Marco me passe le débardeur par dessus la tête, je suis quasiment nu. Il s'en prend à présent à mes tétons mais une troisième main prend ma queue. Outre les deux qui maintiennent mes fesses écartées, un autre spectateur s'est invité sur mon côté, assis sur ses talons à mes pieds, il s'intéresse à mon ventre glabre :
— Putain la salope est épilée, elle est toute jeune. Qu'est-ce qu'elle est belle !...
Notre groupe se compose d'au moins huit personnes. Mon branleur s'assied sous mon ventre pour me sucer. Il y a toujours les deux gars qui m'écartent les fesses et observent mon cul plein de mouille qui se fait limer, les trois mecs du rang de dessous qui se font sucer à tour de rôle et Marco qui continue tranquillement son labour. J'ai l 'impression que c'est un besogneux et un résistant, c'est du régulier, comme les pompes de pétrole au Texas. Plouff !...Plouff !... C'est un bon et j'aime comme il le fait sur toute la longueur du manche, mon ventre est liquéfié, un léger chuintement peut s'entendre, en plus lui ou d'autres me foutent le feu aux tétons, me tripote les couilles grosses comme des olives.
Je suce depuis un moment une queue épaisse comme mon poignet. Il me prend la tête à deux mains et m'impose son rythme. Un résistant aussi mais il accélère, il m'enfonce son membre et me bloque la tête « Grrrrrrrrrrrr ! » il se vide.J'avale un maximum de sperme mais le trop plein tombe sur le dossier du fauteuil.
Marco le besogneux à son tour accélère, s'immobilise et je sens qu'il m'arrose abondamment. A peine la pine sortie que les deux voyeurs me doigtent le cul Au moins quatre peut-être six doigts me fouillent. Enfin j'offre mon nectar à celui qui me traie … Je me vide longuement et il s'en régale. Une grande claque sur mes fesses... Game over !
— Allez Jane on y va, habille-toi, on dégage !.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cinema tres crade mais tres animé .ca devrait etre ferme pour insalubrité
Cinema tres crade mais tres animé .ca devrait etre ferme pour insalubrité
Moi aussi j'ai été dé pucelée dans un cinéma porno, j'ai pris quatre bites entre les reins avant de déclarer forfait. Sans compter les rasades de sperme que j'ai avalé...
Tout çà sans capote, j'étais inconsciente à cette époque
Tout çà sans capote, j'étais inconsciente à cette époque
L'alerte 3117 agression sexuelle n'existait pas à l'époque.
L'aurai-je utilisée ?
L'aurai-je utilisée ?
Bravo cher John pour ces récits autobiographiques!