Etre John et Jane 10 - Au service de Madame.

Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 36 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de John62 ont reçu un total de 127 079 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 1 335 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Etre John et Jane 10 - Au service de Madame.
Voici venue ma première soirée au service de Madame, Germaine ma logeuse.
Après une matinée passée entre la coiffeuse qui ordonne ma chevelure sauvage en une belle coupe féminine. avec une raie sur le côté et une frange sur le front et l'esthéticienne qui me redonne une peau de bébé, me papouille de crèmes et de lotions avant d'être artiste équipée de crayons, de palettes de couleurs de brosses et de pinceaux, je suis transformée.
Il est déjà midi passé quand j'arrive chez moi et Madame m'attend à 15 heures. Avec soin je me prépare, tout d'abord me parfumer et mettre mon gros rat en cage puis agrafer mon corset, enfiler soigneusement les bas couture, maquiller la poitrine pour ajuster sa couleur à celle de mes prothèses placées dans la brassière
La soirée est "Cul nu", donc pas de culotte. Il ne me reste qu'à enfiler blouse de coton blanc, jupe plissée noire et escarpins, ajuster mon tablier et je suis au service de Madame. Je descends les trois étages jusqu'à son appartement.
Ding-dong ! De l'intérieur de l'appartement on peut entendre Germaine « Oui, oui, j'arrive... » la porte s'ouvre, elle est en peignoir et sans me prêter attention s'en retourne en me demandant de la suivre « Jane, viens m'aider à me préparer »
Le plus naturellement du monde avec sa femme de chambre, elle abandonne son peignoir dans le couloir et entre nue dans sa chambre. Elle me demande de m'occuper d'abord de sa toison pubienne puis de l'aider à mettre son corset, ses bas et sa robe de Haute couture, une jolie robe mi-longue grenat, avec un profond décolleté, tenue par quelques gros boutons et une ceinture nouée à la taille. Elle enfile des escarpins rouge à talons aiguilles qui d'un coup la font paraître plus grande que moi.
— C'est bien Jane, tu est parfaite.
— Merci madame, trop heureuse de vous servir.
— Tu vas m'aider à préparer la table. Ce soir tu retrouveras Emma et son compagnon Eric nous avons invité également un autre couple, tu verras ils sont charmants. Dépêchons-nous, le traiteur arrive dans moins d'une heure.
Très occupée, le temps passe vite.
Il est 19 heures lorsque j'accueille les premiers invités. Lui un méditerranéen baraqué max 50 ans, costume bleu cravate, elle rousse flamboyante, tout juste 40 ans aux yeux verts, élancée, habillée d'une cape de velours noir :
— Bonsoir madame, bonsoir monsieur,
— Bonsoir... (dit-elle d'une voix trainante) Nous ne nous connaissons pas !
— Non madame, je suis Jane, pour vous servir. Puis-je vous débarrasser.
— Merci ! Nous c'est Christine, Cricri et Carlos... Elle m'observe en me tendant sa cape sous laquelle elle est en robe longue plissée noire, avec de fines bretelles et un profond décolleté fermé à la taille par un anneau métallique. Époustouflée, j'ai un moment d'absence avant de proposer.
— Si vous voulez vous donner la peine d'entrer. C'est à ce moment qu'arrive Madame dans le hall prenant ses invités par le bras.
Je n'ai pas beaucoup à attendre avant que la sonnette résonne à nouveau. Ce sont Emma et Eric, même cérémonial, « Bonsoir madame, bonsoir monsieur. » Elle joue parfaitement le jeu et fait celle qui ne me connaît pas. D'ailleurs me reconnaît-elle vraiment ? Elle est très classe dans sa robe bleu nuit raz du cou et très sexy avec le dos nu jusqu'à la naissance des fesses, Mireille Darc en pâlirait. Lui est un géant, blond platine aux yeux bleus la quarantaine, également en costume cravate.
Tout le monde se retrouve, s'embrasse, exprime sa joie, s'installe et je commence mon service, champagne, petits fours et sandwichs. Les conversations sont d'abord très mondaines, on parle exposition, cinéma, sorties... Tout en vouvoyant, en donnant du monsieur, madame à tous, je constate dans un miroir qu'en me baissant pour servir je montre le haut de mes cuisses nues,
Les effets de l'alcool, peut être ma tenue frivole, font que les discussions sont plus libres, on parle de mon entrée au service de madame « Elle est mignonne... Elle est très serviable... » et des espoirs de la soirée « Crois-tu qu'elle... ? Ne t'inquiète pas... », les sous-entendus sont explicites, L'ambiance s'échauffe, les couples deviennent câlins, les mains entreprenantes. Germaine ouvre furtivement un bouton de ma blouse de coton et ajuste le décolleté à celui de ma brassière, C'est Eric le premier qui me caresse le mollet en remontant jusqu'à la limite de mon bas. J'en frissonne et serre les cuisses. Tout va trop vite à mon goût.
A ce moment madame invite ses hôtes à passer à table. Le temps de répit est de courte durée. Déjà en présentant les assiettes de poisson mayonnaise, la main d'Eric retrouve le chemin de mes fesses puis en servant le vin, d'autres mains s'égarent sur mes mollets ou au creux de mes genoux. Tout se complique avec le service du filet Rossini à la place, qui laisse largement le temps aux convives de découvrir que je ne porte pas de culotte, Carlos me soulève la jupe par l'arrière et Emma s'autorise à me peloter ouvertement le derrière. Les mains prises par le plat, les couverts ou les bouteilles je n'ai pas la possibilité de les repousser, juste de serrer mes cuisses. Les verres se remplissent, les rires s'amplifient et deviennent grosses rigolades.
En débarrassant les assiettes, Madame me demande discrètement de me mettre en "petite tenue" pour servir le dessert. Ainsi en cuisine j'abandonne blouse et jupe pour ne garder que mon tablier et mes dessous quand à côté j'entends des exclamations, des cris « A poil ! », des applaudissements. En revenant en salle avec la bombe glacée et son coulis de framboise ce sont des tonnerres d'applaudissements. Je vois Germaine en corset avec ses nichons dénudés, la poitrine laiteuse de Christine à l'air et Emma debout enjambant sa robe bleue étalée en corole à ses pieds.
Je dépose la glace au centre de la table, présente les assiettes. Je sers le coulis de framboise à chaque convive. Arrivée aux côtés de la flamboyante Christine, Eric me bouscule et me fait renverser la petite louche de soupe de fruit sur la poitrine de la jeune femme. Le salaud éclate de rire dans mon dos et me redonne un coup de coude, Le liquide épais s'étale sur la poitrine, coule entre les seins puis sur le ventre et se concentre au creux du pubis sous les rires de tous et les cris de la jeune femme
— Oh Jane ! Regarde petite sotte ce que tu fabriques ! Heureusement que je n'ai plus ma robe !
— Quelle gourde, s'écrie Carlos face à moi en rigolant... Tu n'as plus qu'à nettoyer !
— Excusez-moi madame, je vais chercher de quoi essuyer. Tremblante je tourne les talons pour filer à l'office quand une main me retient.
— NON ! NON ! Jane. Ne gâche pas la marchandise, cette sauce me paraît si bonne. Lèche-moi !
La dame recule son siège pour se rendre plus disponible aux yeux de tous. Confuse, les larmes aux yeux, je m'agenouille à ses pieds, elle ouvre ses cuisses, le sirop continue de s'écouler, inonde sa toison de feu et s'étale sur la chaise design en plastique transparent. Par petits coups de langue je lape la plus grande partie du coulis au creux de son sexe, bien involontairement j'excite le clito, la femme glisse sur sa chaise pour mieux s'offrir sous les quolibets de tous. Je suce la toison pubienne le coulis rouge a pénétré les poils roux puis par de longs coups de langue, je nettoie le ventre et les seins. Les tétons rosés sont couverts de sauce rouge, je les lèche, les suce, ils durcissent, la coquine me presse la tête contre elle, je les pince entre mes dents, les mordille
Assis sur mes talons, je lisse son pelage, le couche sur les côtés, découvre son coquillage rosé, lui suce le bouton, lèche sa vulve, en même temps on me flatte le postérieur et on m'oblige à me mettre en levrette, des doigts mouillés me trifouillent l'oignon avant que l'un d'eux me transperce.
Autour de moi ce ne sont que soupirs. Un rapide coup d'œil de droite à gauche me fait découvrir, Bernard sucé par Emma et Germaine à califourchon sur Carlos.
C'est Eric qui est derrière moi. Assuré de mes dispositions, il me prend par les hanches et se positionne. Ma rondelle ne résiste pas à sa fine lame, il me pénètre d'un coup jusqu'à la garde et tout de suite me chevauche à la hussarde.
La tête sur le ventre de Cricri, je la branle doucement d'un doigt, puis avec deux. J'entends un léger clapotis, ma branlette s'accélère, sa mouille déborde, éclabousse de partout. Elle m'encourage de ses mouvements de bassin et ses plaintes. « Oh oui Jane, oui, oui... Plus fort, plus profond... ». Au chuintement de mes doigts dans son vagin, s'ajoutent les grognements de l'homme qui me sodomise brutalement « On m'avait bien dit que t'aimais ça. Tiens salope ! ». D'un furieux coup de reins il me fait bondir sur la poitrine de la jeune femme et s'immobilise, je sens son membre palpiter puis... Tout se calme et en se dégageant, sa semence déborde, coule sur le périnée et les cuisses. Déjà un autre convive me caresse la fesse avant de la claquer et de me reprendre d'un coup sec. C'est Bernard, mon proprio qui me ramone en me félicitant « Je suis très content Jane que tu sois au service de Madame... On va bien s'amuser ensemble ». Il est beaucoup plus gros qu'Eric mais la voie est préparée. Immédiatement le choc de son ventre mou contre mes fesses et le battement de ses couilles, couvrent tous les gémissements et râles des autres convives.
Je suis quasiment couchée sur Christine et c'est avec quatre doigts à présent que je fouille son puits d'amour sous ses soupirs de contentement « Oh ! Ui, ui, continue, c'est bon comme ça » Bernard me laboure tantôt par petits coups saccadés ou par de puissantes bourrades. A son tour l'homme me donne la dernière salve dans un rugissement de vieux lion. C'est alors que Christine me tire à elle et m'embrasse du bout des lèvres « Oh ma chérie que c'est bon l'amour au féminin. »
Je ne veux plus mentir, je veux être John. Je me lève face à elle et soulève mon tablier découvrant la vérité. Son cri « JANE ! » est aussi strident que l'est sa surprise. On se regarde, colère et regret se font face... La contrariété s'estompe, les traits se relâchent, une complicité se développe, le sourire se dessine sur ses lèvres. En lui tendant la clé je lui murmure suppliant « Tu me libères ? » Elle semble réfléchir, douter, puis déboucle la cage, embrasse mon gros rat amorphe et marqué profondément par les barreaux de la cage, elle le masse, le fait revivre. Il ne tarde pas à se gonfler, se dresser, prendre vigueur. En deux, trois manipulations l'animal triple de volume.
— Waouh, quel engin ! S'exclame-t-elle... Dire qu'il tenait dans cette petite boîte. C'est à ce moment que surgit la blonde,
— Ouais mais cet engin m'est réservé ! Gueule Emma en me saisissant la queue.
— Comment ça ??? La blonde lui sourit d'un air moqueur en hochant la tête dans l'affirmative... Ainsi tu savais tout ! rugit la rousse, puis se tournant vers moi... Mais tes nichons ?... Alors avec une mine confuse, je fais sauter brassière et prothèses sous les yeux amusés de ma patronne.
— Allons tous au pieu !!! Annonce-t-elle. Vous serez beaucoup mieux pour vous expliquer avec ce coquin.
La maîtresse de maison ouvre le chemin en compagnie de Carlos, je les suis, encadré par la blonde et la rouquine. Dans la chambre, Germaine s'allonge avec son amant sur le canapé et nous trois, nous nous vautrons sur le lit immense, de deux mètres de côté, bientôt Bernard et Eric qui semblent avoir trouvé l'accord parfait, nous rejoignent.
Entre les deux filles je ne sais où donner de la tête. J'embrasse l'une, j'embrasse l'autre, elles s'embrassent mutuellement, je ne sais qui, quoi caresser, mes mains courent d'un corps à l'autre, de la toison pubienne douce et épaisse au gazon coupé raz, du sein maternel au néné de jeune fille. On se caresse, on se taquine, les corps se tendent, se mélangent. On se touche, on se tripote, on se masturbe. Emma fait un tête à queue et tout de suite prend mon sexe en bouche, d'autres mains me caressent les jambes, une deuxième bouche m'embrasse le haut des cuisses.
Avec Cricri c'est intense, on s'embrasse à pleine bouche, je n'ai pas assez de mes deux mains pour la peloter, de mes dix doigts pour la fouiller, ses seins se gonflent, ses tétons durcissent, son ventre se liquéfie. D'autres mains la caressent, une tête s'impose entre ses cuisses, une bouche lui lèche le clito, une langue accompagne mon doigt dans son vagin. "Nous nous faisons du bien" tous les cinq ensemble.
Christine se tourne vers Eric venu à notre côté, roule avec lui. Emma telle une chatte vient sur moi, grognant entre ses dents « Tu es enfin à moi ! ». A quatre pattes, la coquine se balance de droite à gauche, fait courir ses tétons turgescents sur ma poitrine, caresse mon pubis glabre de son pelage soyeux, elle est tout contre moi, sa vulve sur mon sexe, elle se déplace, se positionne mieux et dans un soupir d'aise s'enfile sur mon dard.
Sans vraiment bouger elle me fait l'amour, on s'embrasse tendrement. Je l'enlace de mes jambes et de mes bras, l'accompagne dans sa danse qui s'accélère.
Je vois Bernard me sourire au travers de la chevelure blonde. Je sens ses genoux entre mes jambes, Emma ralentit sa cavalcade, s'immobilise, s'offre à lui. Je le sens tout contre moi, son gland contre ma verge, en un instant il est en elle, il pèse de tout son poids, la pénètre, j'ai ses couilles sur les miennes et nous voilà tous les trois pris dans la même chevauchée. Ce ne sont que ahanements et gémissements. Plaqué au lit je supporte les soubresauts de l'une, les coups de reins de l'autre.
Tout à côté de moi, il y a l'autre couple. Je sens la respiration de Christine, ses lèvres sur mon épaule, les yeux fermés, son visage est contracté tout en dégageant un immense sentiment de jouissance. Je lui prends la main, nos doigts s'entrecroisent, se serrent, fort, fort. On se regarde, elle me sourit, m'envoie un bisou. Je fais l'amour avec elle, mais c'est la blonde qui m'écrase, je vois ses seins épanouis mais ce sont ceux de la jeune femme qui pointent sur ma poitrine.
Un cri « On change ! » et d'un coup, Bernard roule sur le côté avec Emma et Eric libère Cricri pour les rejoindre. Je reste avec la jolie rouquine. Elle m'entoure de son bras et m'amène sur elle. Ce sont de tendres bisous, mes mains caressent ses formes pleines, son corps grassouillet. Je l'embrasse dans le cou, au creux de la gorge, fais jaillir ses tétons granuleux, lèche le filet de sueur sous les seins. Tel un saurien je me déplace sur elle et fini en levrette entre ses jambes. J'embrasse son bidon replet, fouille à nouveau sa toison cuivrée, retrouve le goût de sa cyprine.
Tout à côté j'entends Germaine qui avec Carlos quitte le canapé et se couche au milieu entre nous et l'autre trio, lui s'assied au bord du lit à mon côté. Il me caresse les épaules descend sur les reins, et termine d'une petite tape sur les fesses me faisant sursauter. Il se lève debout la bite à la main, cambre exagérément les reins et sur le ventre de la femme pousse sa queue jusqu'à la commissure de mes lèvres. Ma langue passe de la vulve baveuse au gland luisant de mouille, revient. Finalement j'avale la moitié du mandrin plus épais que long. L'homme, content, me flatte le postérieur, suit le vallon de mes fesses jusqu'à me peloter les couilles. Il me branle en arrière comme on trait une chèvre tandis que je le suce à grand bruit, la bave débordant de mes lèvres. Il change de position, me lèche le cul avant d'y planter deux doigts. Le coquin me taquine tout de suite la prostate et au point où j'en suis il va me faire jouir.
Au dessus de moi, ma patronne et Christine nous observent, chuchotent. Cricri me regarde, me fais une petite moue, je la comprends, je la rejoins. Même grand, le lit devient petit pour nous sept... On s'embrasse tous les trois, les langues se rejoignent, vibrent ensemble. En même temps entre mes jambes Carlos trouve sa place. Je sens son braquemart circuler au creux de mes fesses, aller, venir, pointer le petit trou et... Dans le même temps que je me fais défoncer, j'enfile Christine. Pris en sandwich je retrouve les sensations connues l'année passée, avec mon cousin et son épouse.
Dans le miroir de côté, je vois à la fois la blonde Emma prise par son mari et le maître de maison et nous trois, Carlos le cul en l'air, nous chevauchant en adoptant la marche du chameau. Ma patronne a disparu au milieu de l'amas de chair en mouvement, je ne sens que sa main sous mon ventre, ses doigts dans le vagin que je pilonne.
Les coups de reins de Carlos sont puissants, saccadés, accompagnés de geignements. Il fixe le rythme de ma copulation, je suis comme un sac de son, bousculé sur Cricri. Je ne contrôle plus rien, mon ventre bouillonne, sans un bruit je jouis quand l'homme qui me possède se redresse sur ses genoux et dans un ultime effort donne un violent coup de reins avec un grognement d'outre tombe. Il reste un instant en équilibre avant de s'écrouler sur moi. Repus, je me dégage en le faisant rouler au centre du lit sur Germaine et me libérant de Cricri. Je me lève pour me laver quand j'entends ma patronne .
— Jade tu nous prépares un plateau avec un encas et du café !
— Oui Madame, tout de suite !
Après une matinée passée entre la coiffeuse qui ordonne ma chevelure sauvage en une belle coupe féminine. avec une raie sur le côté et une frange sur le front et l'esthéticienne qui me redonne une peau de bébé, me papouille de crèmes et de lotions avant d'être artiste équipée de crayons, de palettes de couleurs de brosses et de pinceaux, je suis transformée.
Il est déjà midi passé quand j'arrive chez moi et Madame m'attend à 15 heures. Avec soin je me prépare, tout d'abord me parfumer et mettre mon gros rat en cage puis agrafer mon corset, enfiler soigneusement les bas couture, maquiller la poitrine pour ajuster sa couleur à celle de mes prothèses placées dans la brassière
La soirée est "Cul nu", donc pas de culotte. Il ne me reste qu'à enfiler blouse de coton blanc, jupe plissée noire et escarpins, ajuster mon tablier et je suis au service de Madame. Je descends les trois étages jusqu'à son appartement.
Ding-dong ! De l'intérieur de l'appartement on peut entendre Germaine « Oui, oui, j'arrive... » la porte s'ouvre, elle est en peignoir et sans me prêter attention s'en retourne en me demandant de la suivre « Jane, viens m'aider à me préparer »
Le plus naturellement du monde avec sa femme de chambre, elle abandonne son peignoir dans le couloir et entre nue dans sa chambre. Elle me demande de m'occuper d'abord de sa toison pubienne puis de l'aider à mettre son corset, ses bas et sa robe de Haute couture, une jolie robe mi-longue grenat, avec un profond décolleté, tenue par quelques gros boutons et une ceinture nouée à la taille. Elle enfile des escarpins rouge à talons aiguilles qui d'un coup la font paraître plus grande que moi.
— C'est bien Jane, tu est parfaite.
— Merci madame, trop heureuse de vous servir.
— Tu vas m'aider à préparer la table. Ce soir tu retrouveras Emma et son compagnon Eric nous avons invité également un autre couple, tu verras ils sont charmants. Dépêchons-nous, le traiteur arrive dans moins d'une heure.
Très occupée, le temps passe vite.
Il est 19 heures lorsque j'accueille les premiers invités. Lui un méditerranéen baraqué max 50 ans, costume bleu cravate, elle rousse flamboyante, tout juste 40 ans aux yeux verts, élancée, habillée d'une cape de velours noir :
— Bonsoir madame, bonsoir monsieur,
— Bonsoir... (dit-elle d'une voix trainante) Nous ne nous connaissons pas !
— Non madame, je suis Jane, pour vous servir. Puis-je vous débarrasser.
— Merci ! Nous c'est Christine, Cricri et Carlos... Elle m'observe en me tendant sa cape sous laquelle elle est en robe longue plissée noire, avec de fines bretelles et un profond décolleté fermé à la taille par un anneau métallique. Époustouflée, j'ai un moment d'absence avant de proposer.
— Si vous voulez vous donner la peine d'entrer. C'est à ce moment qu'arrive Madame dans le hall prenant ses invités par le bras.
Je n'ai pas beaucoup à attendre avant que la sonnette résonne à nouveau. Ce sont Emma et Eric, même cérémonial, « Bonsoir madame, bonsoir monsieur. » Elle joue parfaitement le jeu et fait celle qui ne me connaît pas. D'ailleurs me reconnaît-elle vraiment ? Elle est très classe dans sa robe bleu nuit raz du cou et très sexy avec le dos nu jusqu'à la naissance des fesses, Mireille Darc en pâlirait. Lui est un géant, blond platine aux yeux bleus la quarantaine, également en costume cravate.
Tout le monde se retrouve, s'embrasse, exprime sa joie, s'installe et je commence mon service, champagne, petits fours et sandwichs. Les conversations sont d'abord très mondaines, on parle exposition, cinéma, sorties... Tout en vouvoyant, en donnant du monsieur, madame à tous, je constate dans un miroir qu'en me baissant pour servir je montre le haut de mes cuisses nues,
Les effets de l'alcool, peut être ma tenue frivole, font que les discussions sont plus libres, on parle de mon entrée au service de madame « Elle est mignonne... Elle est très serviable... » et des espoirs de la soirée « Crois-tu qu'elle... ? Ne t'inquiète pas... », les sous-entendus sont explicites, L'ambiance s'échauffe, les couples deviennent câlins, les mains entreprenantes. Germaine ouvre furtivement un bouton de ma blouse de coton et ajuste le décolleté à celui de ma brassière, C'est Eric le premier qui me caresse le mollet en remontant jusqu'à la limite de mon bas. J'en frissonne et serre les cuisses. Tout va trop vite à mon goût.
A ce moment madame invite ses hôtes à passer à table. Le temps de répit est de courte durée. Déjà en présentant les assiettes de poisson mayonnaise, la main d'Eric retrouve le chemin de mes fesses puis en servant le vin, d'autres mains s'égarent sur mes mollets ou au creux de mes genoux. Tout se complique avec le service du filet Rossini à la place, qui laisse largement le temps aux convives de découvrir que je ne porte pas de culotte, Carlos me soulève la jupe par l'arrière et Emma s'autorise à me peloter ouvertement le derrière. Les mains prises par le plat, les couverts ou les bouteilles je n'ai pas la possibilité de les repousser, juste de serrer mes cuisses. Les verres se remplissent, les rires s'amplifient et deviennent grosses rigolades.
En débarrassant les assiettes, Madame me demande discrètement de me mettre en "petite tenue" pour servir le dessert. Ainsi en cuisine j'abandonne blouse et jupe pour ne garder que mon tablier et mes dessous quand à côté j'entends des exclamations, des cris « A poil ! », des applaudissements. En revenant en salle avec la bombe glacée et son coulis de framboise ce sont des tonnerres d'applaudissements. Je vois Germaine en corset avec ses nichons dénudés, la poitrine laiteuse de Christine à l'air et Emma debout enjambant sa robe bleue étalée en corole à ses pieds.
Je dépose la glace au centre de la table, présente les assiettes. Je sers le coulis de framboise à chaque convive. Arrivée aux côtés de la flamboyante Christine, Eric me bouscule et me fait renverser la petite louche de soupe de fruit sur la poitrine de la jeune femme. Le salaud éclate de rire dans mon dos et me redonne un coup de coude, Le liquide épais s'étale sur la poitrine, coule entre les seins puis sur le ventre et se concentre au creux du pubis sous les rires de tous et les cris de la jeune femme
— Oh Jane ! Regarde petite sotte ce que tu fabriques ! Heureusement que je n'ai plus ma robe !
— Quelle gourde, s'écrie Carlos face à moi en rigolant... Tu n'as plus qu'à nettoyer !
— Excusez-moi madame, je vais chercher de quoi essuyer. Tremblante je tourne les talons pour filer à l'office quand une main me retient.
— NON ! NON ! Jane. Ne gâche pas la marchandise, cette sauce me paraît si bonne. Lèche-moi !
La dame recule son siège pour se rendre plus disponible aux yeux de tous. Confuse, les larmes aux yeux, je m'agenouille à ses pieds, elle ouvre ses cuisses, le sirop continue de s'écouler, inonde sa toison de feu et s'étale sur la chaise design en plastique transparent. Par petits coups de langue je lape la plus grande partie du coulis au creux de son sexe, bien involontairement j'excite le clito, la femme glisse sur sa chaise pour mieux s'offrir sous les quolibets de tous. Je suce la toison pubienne le coulis rouge a pénétré les poils roux puis par de longs coups de langue, je nettoie le ventre et les seins. Les tétons rosés sont couverts de sauce rouge, je les lèche, les suce, ils durcissent, la coquine me presse la tête contre elle, je les pince entre mes dents, les mordille
Assis sur mes talons, je lisse son pelage, le couche sur les côtés, découvre son coquillage rosé, lui suce le bouton, lèche sa vulve, en même temps on me flatte le postérieur et on m'oblige à me mettre en levrette, des doigts mouillés me trifouillent l'oignon avant que l'un d'eux me transperce.
Autour de moi ce ne sont que soupirs. Un rapide coup d'œil de droite à gauche me fait découvrir, Bernard sucé par Emma et Germaine à califourchon sur Carlos.
C'est Eric qui est derrière moi. Assuré de mes dispositions, il me prend par les hanches et se positionne. Ma rondelle ne résiste pas à sa fine lame, il me pénètre d'un coup jusqu'à la garde et tout de suite me chevauche à la hussarde.
La tête sur le ventre de Cricri, je la branle doucement d'un doigt, puis avec deux. J'entends un léger clapotis, ma branlette s'accélère, sa mouille déborde, éclabousse de partout. Elle m'encourage de ses mouvements de bassin et ses plaintes. « Oh oui Jane, oui, oui... Plus fort, plus profond... ». Au chuintement de mes doigts dans son vagin, s'ajoutent les grognements de l'homme qui me sodomise brutalement « On m'avait bien dit que t'aimais ça. Tiens salope ! ». D'un furieux coup de reins il me fait bondir sur la poitrine de la jeune femme et s'immobilise, je sens son membre palpiter puis... Tout se calme et en se dégageant, sa semence déborde, coule sur le périnée et les cuisses. Déjà un autre convive me caresse la fesse avant de la claquer et de me reprendre d'un coup sec. C'est Bernard, mon proprio qui me ramone en me félicitant « Je suis très content Jane que tu sois au service de Madame... On va bien s'amuser ensemble ». Il est beaucoup plus gros qu'Eric mais la voie est préparée. Immédiatement le choc de son ventre mou contre mes fesses et le battement de ses couilles, couvrent tous les gémissements et râles des autres convives.
Je suis quasiment couchée sur Christine et c'est avec quatre doigts à présent que je fouille son puits d'amour sous ses soupirs de contentement « Oh ! Ui, ui, continue, c'est bon comme ça » Bernard me laboure tantôt par petits coups saccadés ou par de puissantes bourrades. A son tour l'homme me donne la dernière salve dans un rugissement de vieux lion. C'est alors que Christine me tire à elle et m'embrasse du bout des lèvres « Oh ma chérie que c'est bon l'amour au féminin. »
Je ne veux plus mentir, je veux être John. Je me lève face à elle et soulève mon tablier découvrant la vérité. Son cri « JANE ! » est aussi strident que l'est sa surprise. On se regarde, colère et regret se font face... La contrariété s'estompe, les traits se relâchent, une complicité se développe, le sourire se dessine sur ses lèvres. En lui tendant la clé je lui murmure suppliant « Tu me libères ? » Elle semble réfléchir, douter, puis déboucle la cage, embrasse mon gros rat amorphe et marqué profondément par les barreaux de la cage, elle le masse, le fait revivre. Il ne tarde pas à se gonfler, se dresser, prendre vigueur. En deux, trois manipulations l'animal triple de volume.
— Waouh, quel engin ! S'exclame-t-elle... Dire qu'il tenait dans cette petite boîte. C'est à ce moment que surgit la blonde,
— Ouais mais cet engin m'est réservé ! Gueule Emma en me saisissant la queue.
— Comment ça ??? La blonde lui sourit d'un air moqueur en hochant la tête dans l'affirmative... Ainsi tu savais tout ! rugit la rousse, puis se tournant vers moi... Mais tes nichons ?... Alors avec une mine confuse, je fais sauter brassière et prothèses sous les yeux amusés de ma patronne.
— Allons tous au pieu !!! Annonce-t-elle. Vous serez beaucoup mieux pour vous expliquer avec ce coquin.
La maîtresse de maison ouvre le chemin en compagnie de Carlos, je les suis, encadré par la blonde et la rouquine. Dans la chambre, Germaine s'allonge avec son amant sur le canapé et nous trois, nous nous vautrons sur le lit immense, de deux mètres de côté, bientôt Bernard et Eric qui semblent avoir trouvé l'accord parfait, nous rejoignent.
Entre les deux filles je ne sais où donner de la tête. J'embrasse l'une, j'embrasse l'autre, elles s'embrassent mutuellement, je ne sais qui, quoi caresser, mes mains courent d'un corps à l'autre, de la toison pubienne douce et épaisse au gazon coupé raz, du sein maternel au néné de jeune fille. On se caresse, on se taquine, les corps se tendent, se mélangent. On se touche, on se tripote, on se masturbe. Emma fait un tête à queue et tout de suite prend mon sexe en bouche, d'autres mains me caressent les jambes, une deuxième bouche m'embrasse le haut des cuisses.
Avec Cricri c'est intense, on s'embrasse à pleine bouche, je n'ai pas assez de mes deux mains pour la peloter, de mes dix doigts pour la fouiller, ses seins se gonflent, ses tétons durcissent, son ventre se liquéfie. D'autres mains la caressent, une tête s'impose entre ses cuisses, une bouche lui lèche le clito, une langue accompagne mon doigt dans son vagin. "Nous nous faisons du bien" tous les cinq ensemble.
Christine se tourne vers Eric venu à notre côté, roule avec lui. Emma telle une chatte vient sur moi, grognant entre ses dents « Tu es enfin à moi ! ». A quatre pattes, la coquine se balance de droite à gauche, fait courir ses tétons turgescents sur ma poitrine, caresse mon pubis glabre de son pelage soyeux, elle est tout contre moi, sa vulve sur mon sexe, elle se déplace, se positionne mieux et dans un soupir d'aise s'enfile sur mon dard.
Sans vraiment bouger elle me fait l'amour, on s'embrasse tendrement. Je l'enlace de mes jambes et de mes bras, l'accompagne dans sa danse qui s'accélère.
Je vois Bernard me sourire au travers de la chevelure blonde. Je sens ses genoux entre mes jambes, Emma ralentit sa cavalcade, s'immobilise, s'offre à lui. Je le sens tout contre moi, son gland contre ma verge, en un instant il est en elle, il pèse de tout son poids, la pénètre, j'ai ses couilles sur les miennes et nous voilà tous les trois pris dans la même chevauchée. Ce ne sont que ahanements et gémissements. Plaqué au lit je supporte les soubresauts de l'une, les coups de reins de l'autre.
Tout à côté de moi, il y a l'autre couple. Je sens la respiration de Christine, ses lèvres sur mon épaule, les yeux fermés, son visage est contracté tout en dégageant un immense sentiment de jouissance. Je lui prends la main, nos doigts s'entrecroisent, se serrent, fort, fort. On se regarde, elle me sourit, m'envoie un bisou. Je fais l'amour avec elle, mais c'est la blonde qui m'écrase, je vois ses seins épanouis mais ce sont ceux de la jeune femme qui pointent sur ma poitrine.
Un cri « On change ! » et d'un coup, Bernard roule sur le côté avec Emma et Eric libère Cricri pour les rejoindre. Je reste avec la jolie rouquine. Elle m'entoure de son bras et m'amène sur elle. Ce sont de tendres bisous, mes mains caressent ses formes pleines, son corps grassouillet. Je l'embrasse dans le cou, au creux de la gorge, fais jaillir ses tétons granuleux, lèche le filet de sueur sous les seins. Tel un saurien je me déplace sur elle et fini en levrette entre ses jambes. J'embrasse son bidon replet, fouille à nouveau sa toison cuivrée, retrouve le goût de sa cyprine.
Tout à côté j'entends Germaine qui avec Carlos quitte le canapé et se couche au milieu entre nous et l'autre trio, lui s'assied au bord du lit à mon côté. Il me caresse les épaules descend sur les reins, et termine d'une petite tape sur les fesses me faisant sursauter. Il se lève debout la bite à la main, cambre exagérément les reins et sur le ventre de la femme pousse sa queue jusqu'à la commissure de mes lèvres. Ma langue passe de la vulve baveuse au gland luisant de mouille, revient. Finalement j'avale la moitié du mandrin plus épais que long. L'homme, content, me flatte le postérieur, suit le vallon de mes fesses jusqu'à me peloter les couilles. Il me branle en arrière comme on trait une chèvre tandis que je le suce à grand bruit, la bave débordant de mes lèvres. Il change de position, me lèche le cul avant d'y planter deux doigts. Le coquin me taquine tout de suite la prostate et au point où j'en suis il va me faire jouir.
Au dessus de moi, ma patronne et Christine nous observent, chuchotent. Cricri me regarde, me fais une petite moue, je la comprends, je la rejoins. Même grand, le lit devient petit pour nous sept... On s'embrasse tous les trois, les langues se rejoignent, vibrent ensemble. En même temps entre mes jambes Carlos trouve sa place. Je sens son braquemart circuler au creux de mes fesses, aller, venir, pointer le petit trou et... Dans le même temps que je me fais défoncer, j'enfile Christine. Pris en sandwich je retrouve les sensations connues l'année passée, avec mon cousin et son épouse.
Dans le miroir de côté, je vois à la fois la blonde Emma prise par son mari et le maître de maison et nous trois, Carlos le cul en l'air, nous chevauchant en adoptant la marche du chameau. Ma patronne a disparu au milieu de l'amas de chair en mouvement, je ne sens que sa main sous mon ventre, ses doigts dans le vagin que je pilonne.
Les coups de reins de Carlos sont puissants, saccadés, accompagnés de geignements. Il fixe le rythme de ma copulation, je suis comme un sac de son, bousculé sur Cricri. Je ne contrôle plus rien, mon ventre bouillonne, sans un bruit je jouis quand l'homme qui me possède se redresse sur ses genoux et dans un ultime effort donne un violent coup de reins avec un grognement d'outre tombe. Il reste un instant en équilibre avant de s'écrouler sur moi. Repus, je me dégage en le faisant rouler au centre du lit sur Germaine et me libérant de Cricri. Je me lève pour me laver quand j'entends ma patronne .
— Jade tu nous prépares un plateau avec un encas et du café !
— Oui Madame, tout de suite !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par John62
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est bien vrai cher lecteur
Tout le monde se lâche sans tabous , dans une bisexualite totalement assumée pour de puissants orgasmes
John et Jane se confondent et aiment autant servir que séduire
Très belle orgie john/jade se donne 8fo d les invités aussi
Daniel
Daniel

