Etre John et Jane 11 - Déflorer ma soeur

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Etre John et Jane 11 - Déflorer ma soeur Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Etre John et Jane 11 - Déflorer ma soeur
A la fin de mon année universitaire, avant de prendre un petit boulot, je m'accorde dix jours de vacances auprès de ma tante et ma sœur de cœur à Montpellier. A mon habitude, en dehors de la fac, je suis Jane, légèrement maquillée et bien coiffée, aujourd'hui habillée d'une petite robe de coton sagement boutonnée. Le voyage en train est long (bien avant l'arrivée du TGV) et me permet de me remémorer mes souvenirs d'enfance et de l'année passée quand j'ai découvert mes tendances à la bisexualité et au travestissement. Enfin j'arrive à la gare Saint Roch.

Ma tante Jade et Valérie m'attendent à la sortie des quais. Deux jolies blondes, Jade est plus grande, Valérie plus fluette, moins de dix ans semblent les séparer, en réalité c'est le double. Valérie avec sa jolie coupe de cheveux sur ses épaules a perdu ses airs à la garçonne de l'année dernière. Comme deux sœurs, les deux portent les mêmes jeans et maillots près du corps.

Leurs visages s'illuminent en me voyant, tout sourire nous courons les unes vers les autres, nos yeux se remplissent de larmes. On s'embrasse tendrement réfrénant notre passion en public. Sans perdre de temps, les deux femmes me prennent par le bras et nous rejoignons la voiture. Les deux femmes montent à l'avant. Dès que nous sommes sorties des embouteillages de la ville nous bavardons

— John, JANE ! se reprend ma tante en élevant le ton, tu es devenue une jolie fille, ta coiffure est superbe... Mais tu as minci ?
— Un peu, c'est surtout ma taille s'est affinée, entre le club de gym et le corset !
— Un corset !!! Tu portes un corset ?
— NON, pas maintenant! Mais ma proprio me l'impose en service... Je lui rends de temps en temps des services comme soubrette, en contre-partie je suis logée gratis !
— Et maman que dit-elle ?
— Elle ne sait rien de cette situation. Elle critique mes cheveux longs mais sans brushing elle n'y prête pas attention.
— Mais la proprio est son amie, elles doivent en parler ensemble ?
— La proprio ? Je suis surtout sa soubrette et... son amant !
— Waouh, une cougar! Et maman te croit toujours puceau ?
— J'en sais rien, seules mes études intéressent mes parents et sur ce point je suis au top, j'ai fait une excellente année.
— Bravo, bravo, félicitations !... Après un long silence, après que Valérie lui ait attiré l'attention, elle ajoute un peu gênée : Ah oui !... Nous avons une nouvelle importante à te donner... Valérie a rompu avec René et habite chez nous... Elle t'expliquera.


Arrivé à la maison ma "sœur" m'apprend qu'elle a pris ma chambre et m'aide à m'installer dans la celle des invités. En ouvrant la valise elle découvre stupéfaite shortys, brassières, jupes, pantalons et petits hauts unisexe.Je lui explique que j'investis en vêtements l'économie du loyer.

— Fais voir comment tu es dans ce pantalon. Elle me tend un pantalon corsaire.
— Ok ! Parce que c'est toi mais il faut que je mette cette culotte qui plaque Popol
— Et ça s'il te plaît, elle me tend les prothèses mammaires achetées ensemble l'année passée.
— Ah mais c'est la totale... Tu m'aides s'il te plaît.
— Oui, mais faisons vite, Théo (mon oncle) va bientôt arriver. J'enlève ma robe et me présente nue avec mon gros rat en cage, elle me regarde surprise. Incroyable comme tu as changé, ta taille, tes seins !
— Mes seins ? N'exagérons pas, mes tétons, tu veux dire... Résultat ma chère, de la maltraitance quotidienne que je leur fais subir avec tes pinces et tes pompes, la taille, comme je l'ai dit grâce aux séances de gym et au port du corset.

En trois minutes j'enfile gaine et pantalon à plastron, taille haute qui me font paraître si féminine, puis brassière et prothèses avec un joli maillot ras du cou qui me donne l'allure d'une sage jeune fille. J'ai juste le temps de passer à la salle de bain pour me donner un coup de brosse et reprendre le blush beige de mes lèvres.

— Jane ! Dépêche-toi, j'entends Théo arriver.

Nous arrivons ensemble sur la terrasse en se tenant par la main. Je n'ai pas vu mon oncle depuis l'année dernière, depuis ma soirée d'anniversaire, je suis si différente ce soir avec ma coiffure mi-longue à la Claude François et si féminine dans ce pantalon et ce haut sans manche.

— Jane !!! Il reste bouche bée, les yeux exorbités
— Bonsoir Théo ! Je l'embrasse affectueusement, lui me prenant par les épaules, à distance il me regarde avec admiration.
— Jane !... Tu es magnifique, ton visage, ta chevelure et... Tellement sexy ! Permets-tu ? il m'enserre dans ses bras, m'embrasse à nouveau sur les joues trois fois, me regarde fixement puis me fait un autre bisou sur les lèvres

La surprise passée, autour de l'apéritif, l'ambiance se détend, l'image de la jeune fille rangée devient celle du travesti bisexuel de l'an passé, les baisers sont moins timides, les caresses plus sensuelles. Jade nous invite à passer à table, je m'assieds avec Valérie face à mes oncle et tante. On parle beaucoup, on rit encore plus, Jade a préparé une délicieuse soupe de poissons et une gigantesque salade niçoise, le rosé est frais et délicieux, le crépuscule tombe, les cigales se taisent.
Probablement qu'entre les deux femmes il y a un modus vivendi. Ma tante entraîne son mari sur la balancelle quand Valie me prend par la taille et m'emmène dans sa chambre :

— Bonsoir à vous deux, Jane me dit être fatiguée.
— Bonne nuit mes chéries, répond Jade.

Ma sœur a réaménagé la chambre face à celle de Jade et Théo, en plaçant une psyché au pied du lit, très pratique pour se voir et se préparer et en affichant une grande photo d'une jeune fille dénudée sur une plage signée David Hamilton, enfin je suis sidérée en voyant un énorme gode noir si bien façonné, si proche de la réalité du sexe, posé sur la table de chevet telle une sculpture érotique.

Elle me regarde interrogative, attend une approbation « C'est bien... » que je murmure. Elle s'accroche à mon cou, saute en mettant ses jambes à ma taille, je la soutiens par les fesses. Au diable la bienséance, on s'embrasse avec passion, sa langue envahit ma bouche, se fait inquisitrice.

— Waouh... Ta langue est si longue !
— C'est pour mieux t'embrasser mon enfant !... Puis ajoute avec un petit sourire coquin, résultat d'un petit coup de bistouri sur le frein.

Je la renverse au travers du lit en me couchant, mes genoux entre les siens. Tout en s'embrassant, fébrile je lui arrache son tee-shirt, elle m'offre ses seins d'adolescente aux tétons de femme. Tel un enfant, je la tète avec gourmandise, les pointes s'allongent et grossissent comme mon doigt. J'ai toujours été fascinée par ses petits seins, issus d'hormones. Elle me repousse gentiment en gémissant « Doucement, doucement ».
Commence un nouveau corps à corps, je jette par dessus tête mes vêtements, roule sur le dos et elle monte sur moi. Elle me chevauche le bassin telle une grenouille. La coquine se trémousse et me fout le feu au ventre. Je bande comme un âne. Elle le sent et s'en amuse :

— Waouh... Ton clito est si gros !
— C'est pour mieux te baiser mon enfant ! Que je réplique du même ton que le sien.

Elle se relève, me regarde, le plastron de mon pantalon est à peine déformé, tant mon panty en lycra comprime mon érection.

— On ne voit pas grand chose mais on sent... Et tout en ouvrant la fermeture éclair latérale, elle bougonne. Je te veux maintenant !

D'un coup de reins je me débarrasse du pantalon et m'extirpe de ma gaine. Valérie me débarrasse de mes vêtements en glissant à genoux au pied du lit. Je redeviens John fier, les deux pieds montés au bord du lit, exhibant un membre bien viril.
Elle me prend à deux mains, tire le prépuce au max de la rupture du frein et glisse entre ses lèvres une bonne partie de ma queue. Elle revient en arrière en suçant la tige, elle lâche le tronc pour s'intéresser aux deux boules. Elle sait tout de la fellation, ses lèvres collées au prépuce montent et descendent, sa langue lèche, titille le frein, pointe le méat, ses dents raclent la hampe... Elle accélère le mouvement sans chercher à faire durer le plaisir, d'une main elle broie les couilles, de l'autre elle astique le manche. A ce jeu, je ne résiste pas et lui crache la sauce, en quatre jets puissants.

— Waouh John, tu m'as donné ma dose !... Avec Théo je ne suis plus habituée à une telle générosité.
— Théo ???
— Ben oui c'est le seul mec disponible à la maison, alors avec Jade on se le partage.
— Jade et toi !
— Bien sûr John, tu as oublié la liberté de la maison...

Je me pousse au bord du mur pour la laisser s'asseoir au bord du lit, se déshabiller. Une fois nue, elle bascule en arrière et se love dans mes bras le dos contre mon ventre.
Comme d'habitude les portes restent ouvertes pour donner de l'air, notre chambre est dans la pénombre alors que celle de ma tante de l'autre côté du couloir est encore éclairée. On entend des murmures, des rires étouffés, des bisous... Je retrouve la folle ambiance de luxure de la maison.
Valérie bouge imperceptiblement mais suffisamment pour m'éveiller et me faire bander au creux de ses fesses.

— On est bien tous les deux, me dit-elle en se pressant contre moi, j'y réponds en la serrant d'autant plus. Alors qu'elle cambre les fesses, sa main entre ses cuisses me guide vers son petit trou. J'y réponds d'un brusque coup de reins, je suis en elle. Sa tête repose sur mon bras, ma main lui caresse le sein et l'autre cherche son sexe mais trouve la sienne en rempart.

Je la bouscule doucement, je veux faire durer le plaisir, je la serre contre moi, palpe son sein, le pétris, roule son téton entre le pouce et l'indexe. Dans mes bras, elle se fait toute câline en se caressant imperceptiblement, je veux l'accompagner mais sa main m'en empêche.

— John ! Murmure-t-elle. J'ai un truc à te dire... Je suis... Voilà, je n'ai plus de zizi !.
— ...Valie ! Dis-je d'une voix étouffée, tu es devenue...
— Oui, une jeune fille avec un vagin... Ma réassignation sexuelle est la cause de ma séparation avec René, il voulait me garder comme tu m'as connue... Il me faut tout de même un moment pour digérer l'information, sa main ne protège plus son ventre mais je n'ose le toucher. C'est elle qui me prend la mienne et la pose sur son pubis. Je couvre le creux de ses cuisses, mon majeur se pose délicatement sur une cicatrice, sur une fente.
— Valérie... Quelle décision ! Je n'en reviens pas... Mais l'essentiel est que TOI, tu te sentes bien dans ton corps. Et moi, je t'aime, comme tu es ! Tu es plus que tout, ma sœur.
— Je suis contente que tu me comprennes. Tu sais, ça a été une décision difficile. René n'a rien compris, tout le contraire de ta tante qui m'a beaucoup aidée. Elle m'a accueillie, m'a accompagnée tout au long du chemin. Il y a six mois, les médecins ont fait de ma verge un vagin, ce fût une opération délicate...
— Et... je n'ose parler, je suis abasourdi par ce qu'elle vient de m'annoncer. Et... Comment ça s'est passé ?
— Ils ont retiré les testicules puis ont disséqué le pénis en protégeant, l'urètre, les vaisseaux sanguins et les terminaisons nerveuses et ils ont créé une cavité vaginale sous le méat en protégeant la prostate. La peau du pénis et une greffe prise au bas de mes reins ont tapissé l'intérieur du vagin. Voilà le résultat, la cicatrisation est terminée, les trois premiers mois ce n'était pas chouette, tu as de la chance de me voir ainsi... Hier l'urologue était très satisfait du résultat et m'a annoncé que je pouvais commencer à avoir des rapports.
— ...
— John... Je suis vierge... Je sais que tu es sensible, attentionné... Avec Jade nous en avons beaucoup parlé.
— ...
— John, je voudrais que tu sois le premier ! Elle s'allonge sur le dos les jambes jointes, elle me regarde intensément, avec sérieux. Viens, embrasse-moi, fais de moi une femme !

Je suis bouleversé, je me couche de côté contre elle, je l'embrasse timidement comme une première fois. Elle appuie ses lèvres, son baiser devient amoureux, avec la langue, d'une main j'effleure sa poitrine, descends sur son ventre et rencontre sa main. C'est elle qui à nouveau me conduit à son pubis, ses cuisses s'ouvrent, son doigt appuie sur le mien qui s'incruste dans la fente sans la pénétrer :

— Fais-moi l'amour !

J'embrasse du bout des lèvres sa poitrine, la pointe de ses seins, son sternum, son nombril, mes mains suivent ma progression, en la frôlant, en la faisant frissonner, mes baisers se multiplient avant d'arriver sur son pubis. Les cuisses pivotent sur l'extérieur,s'écartent et libèrent le fruit du jardin d'Éden... Je l'embrasse du bout des lèvres avant que ma langue ne le touche. Mes mains sur ses hanches, mes pouces ouvrent l'abricot fendu et dégagent le clito si particulier, semblable à un doigt :

— C'est impressionnant de réalisme, une vraie vulve avec un bourgeon... très gros.
— Oui le clitoris a été construit à partir du gland et je l'ai voulu particulièrement développé... en opposition à ma p'tite bite !... (ensemble nous rigolons)

La plaisanterie me donne confiance, je pointe de langue sur le bouton, avant de l'envelopper de mes lèvres toute humides et d'avaler la tige

— Oooooh ! John, c'est la première fois, c'est hyper-sensible, doucement.

Je suce lentement, à peine, puis ma langue couvre les lèvres, glisse entre les deux petites joues de son sexe, trouve une incision toute fine, je lèche le puits d'amour. J'écarte encore le fruit et trouve l'hymen, une fine peau que j'inonde de salive qui s'écoule par une fente de 2, 3 centimètres, les lèvres sont à peine ourlées et se regroupent en formant l'enveloppe de la tige semblable à mon auriculaire, ma langue vibre entre le clito et l'hymen, je suçote le bouton rosé si sensible, Valérie est prise de spasme, lance son ventre à ma bouche... Mon petit doigt glisse tout juste dans le vagin tout étroit, tout humide, je suis impressionné par la similitude à une vulve et découvre en même temps ce que doit être une vierge mis à part le clito si particulier, si sensibilité. La jeune fille m'accompagne d'un mouvement de bassin rythmé :

— Viens John ! Prends-moi

Elle relève ses genoux, ouvre ses cuisses, le fruit m'est offert, il est de la même carnation que la coupe dans lequel il est posé, sa couleur s'assombrira avec le temps. Appuyé sur un coude, allongé sur elle entre ses cuisses, je tiens ma verge d'une main, elle me soutient au niveau du bassin.

— Fais doucement... Je balade mon gland entre les deux joues de sa vulve, je creuse la fente en surveillant ses réactions, pousse à peine, j'écoute. Oui... Comme ça... C'est bien.

La pointe se bloque sur la fente, je n'ose forcer, c'est elle qui d'un saut se déflore, tout le gland est pris dans une gaine de chair. C'est elle qui de la pression de ses mains sur mes fesses me guide « Oh oui, comme ça ! Je te sens bien. » Le membre pénètre le fourreau étroit, lentement, presque millimètre par millimètre, régulièrement. Le conduit de chair semble se dérouler sous ma poussée, sans résistance jusqu'à ce que nos pubis se soudent. Je pèse sur elle... avec précaution.

— Ça va ?
— Oui... C'est étrange cette déchirure, cette sensation, cette pénétration, me murmure-t-elle... C'est si différemment par derrière.
— Valie, c'est merveilleux, c'est la première fois avec une jeune fille.
— Et je suis heureuse que ce soit toi..

Je suis immobile, couché sur elle, appuyé sur mes coudes et mes genoux, je la regarde. Les yeux fermés, elle apprécie ce moment de plénitude. J'amorce un lent va-et-vient, j'observe ses rictus, j'accentue mon balancement, mon coït devient plus saccadé. Elle m'enserre de ses jambes, m'accompagne de son bassin, nos ventres se détachent et se retrouvent, s'éloignent et se rejoignent. Elle me plaque contre elle, ses doigts se crispent, s'enfoncent dans mes chairs.
Ses soupirs deviennent miaulements puis suppliques « Plus forts... Oh oui ». La jeune vierge est devenue femme, l’œuvre chirurgicale devenue vagin. L'indolence fait place à l'ardeur, la douceur à la sauvagerie.

Sans retenue je réponds à ses attentes « Oui, ui, ui... C'est bon », les respirations sont plus courtes, deviennent essoufflements, sans retenue je la baise, essaye de retarder l'orgasme, ses contractions sont plus marquées, l'orgasme l'emporte, j'éjacule trois, quatre fois, et m'effondre sur elle. Son corps se détend, ses doigts, ses jambes se relâchent. On reste un moment inertes, à reprendre notre souffle, ma tête plongée dans ses cheveux qui sentent le propre, au creux de son épaule. Elle m'embrasse en murmurant à l'oreille « Tu es lourd ! » et en me poussant sur le côté.

Nous virons sur le côté, heureux on se fait de tendres bisous. « Jane, c'est une renaissance que je connais, je découvre une nouvelle jouissance, tant clitoridienne que vaginale le toubib m'avait avertie que ça pouvait être le cas par l'excitation de la prostate ». Mes doigts filent sur son ventre, frôlent le clito, touchent la fente toute poisseuse. Je rampe vers le pied du lit jusqu'à être au niveau de son ventre, je le couvre de bisous avant d'atteindre la vulve. Le fruit est éclaté, gorgée de sperme, la fente béante. Le clitoris se relève presque, bien raide, je le suce et m'applique à faire un nettoyage complet de la vulve, ma langue glisse entre les lèvres . La chair est sensible, légèrement enflammée « Doucement, Doucement » dit-elle d'un ton plaintif. Elle freine mon ardeur en serrant les cuisses et relevant ma tête d'une main.
Je reviens près d'elle, par mon baiser je partage la liqueur de son puits d'amour. « Je suis heureuse, John que tu m'aie faite femme. » On reste enlacée, sans parler, la chambre d’à côté est dans le noir, un filet d'air nous caresse, on entend les grenouilles dans le bassin voisin. Morphée ne tarde pas à nous emmener.

Les avis des lecteurs

Effectivement un sujet peu connu
Un sujet qu'on doit aborder avec beaucoup de douceur

Histoire Erotique
Là j’ai le souffle coupé j’étais ignorant sue ce style d’opération et la seul chose que je puisse dire c’est que v’est formidable ensuite la défloration de Valérie par John c’est doux et super. Daniel

Histoire Erotique
Magnifique histoire, parfaitement écrite, sur un sujet très rarement conté.
Beaucoup d'érotisme, de douceur, de respect...

1000 bravos !



Texte coquin : Etre John et Jane 11 - Déflorer ma soeur
Histoire sexe : Une rose rouge
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