Etre John et Jane 12 - Retrouver ma tante

- Par l'auteur HDS John62 -
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 37 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de John62 ont reçu un total de 132 410 visites.
Récit libertin : Etre John et Jane 12 - Retrouver ma tante Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 804 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Etre John et Jane 12 - Retrouver ma tante
Depuis cinq jours, après avoir dépucelé ma sœur, je ne vis qu'avec elle. Ce soir est un autre soir, elle semble aller voir si l'herbe est plus verte ailleurs et semble particulièrement câline avec Théo, mon oncle.
Ma tante, Jade, en profite pour se rapprocher de moi. Depuis l'année passée, nos sentiments sont très particuliers, mêlant tendresse familiale et relation amoureuse après qu'elle m'ait initié, qu'elle m'ait appris à aimer une femme. Pour elle je suis et reste John "L'amant qui lui correspond".

On s'aime tel qu'on est, libertins. Elle s'amuse de mon goût pour le travestissement, de ma relation avec ma "sœur de cœur". Mais ce soir on a envie d'être seuls.

On papote de ma vie à Paris, de mon travail, de ma relation avec ma propriétaire, de mes nuits, de mes rencontres. En même temps on s'amuse à voir ensemble Théo et Valérie, à voir le vieux coq charmer la jeune poulette. Les deux se lèvent, nous font un signe, Valérie nous lance « Bonne nuit les amoureux ! ». Je pense que c'est le pauvre qui se moque de la charité.

Nous restons encore tous les deux à profiter de la fraîcheur du soir sur la terrasse. Éclairés de bougies et de la lune, seul le chant des grillons perturbe le silence. Après un moment Jade au creux de mon épaule me raconte à voix basse :

— Tu te rappelles, l'année dernière, dès le premier jour je me suis prise d'affection pour Valie.
— Oui, bien sûr !
— C'est vraiment une superbe fille... Tu sais, peu après la visite qu'elle t'a rendue à Paris en automne, un soir, elle est arrivée à la maison en pleurs avec sa valise. Son compagnon l'avait mise à la porte parce qu'elle voulait faire une vaginoplastie. Nous l'avons accueillie à bras ouverts. J'ai été une mère pour elle.
« Je l'ai accompagnée chez les médecins et les psychologues. J'étais sa confidente et son soutien, son amie, nous avons beaucoup partagé. Après deux mois de réflexion, avant Noël, elle s'est faite opérée. Ça a été difficile, tous les jours j'étais près d'elle.
« Après l'opération, la cicatrisation a été longue, quatre mois d'abstinence pour elle et bien sûr de la retenue pour nous. La semaine avant ton arrivée elle a obtenu l'accord du chirurgien pour avoir des relations sexuelles.
« Comment la trouves-tu ?
— Merveilleuse, une vraie femme ! Une clitoridienne !
— Oui bien sûr, elle est très sensible, son clito a été construit à partir de son gland mais les médecins disent que le vagin construit avec le pénis et une petite greffe de peau deviendra sensible.
— J't'assure qu'elle est aussi vaginale, elle dit qu'en la pénétrant, on excite la prostate
— La chanceuse... Souvent nous sommes l'une OU l'autre, moi plutôt clitoridienne.

Depuis le début de la soirée, Jade a sa tête au creux de mon épaule, nos cheveux mêlés. On écoute les grillons, elle m'embrasse dans le cou, me mordille le lobe de l'oreille. Sa main glisse de mon genou vers ma cuisse et se faufile dans la jambe de mon short, la mienne depuis longtemps est dans son chemisier à caresser tendrement son sein sur la soie de son soutien-gorge, j'accompagne son audace et me faufile sous la soie pour avoir son sein nu. Elle murmure :

— Viens, mon chéri !.

C'est elle qui me prend par la main, on range verres et bouteille, on entend quelques murmures dans la chambre du fond et Jade entre à l'opposé directement dans la mienne sans bruit, sans allumer la lumière.

— Je préfère ici, c'est plus intime.

C'est la première fois de ces vacances que nous nous retrouvons seuls dans une chambre. Toute retenue disparaît, comme tous les amants, nous déchirons plus qu'ouvrons blouse et chemise, défaisons jupe et short, à savoir qui ira le plus vite, chacun abandonne vêtements et sous-vêtements. En peu de temps nous sommes nus, debout face à face. Nos nerfs sont à vifs, notre excitation au paroxysme, ses mamelons pointent, ma verge se dresse au ciel. Elle m'enlace d'un bras, fléchit les jambes, nos lèvres se joignent, sa main dirige mon sexe en elle.
D'un coup de reins je la pénètre. Dans un gémissement de plaisir, nos ventres se collent, s'imbriquent, nos bras s'étreignent, nos corps se tendent, nos baisers s'enflamment... Les yeux clos, je perçois les battements de son cœur, ressens les contractions de son ventre... « Oh mon amour ! » Qui l'a susurré, l'ai-je dit ? L'ai-je entendu ? Peut-être seulement imaginé ?

Debout, enlacés, on bouge à peine, nos sexes se fondent, notre danse amoureuse est imperceptible mais réelle, mon membre bouge très lentement. Je la presse contre moi par les fesses, notre coït s'amplifie. Elle jette une jambe jusqu'à ma taille et reste en équilibre sur la pointe du pied. Nos ventres se séparent pour mieux se percuter. Les chocs s'accélèrent. Ses cuisses grandes ouvertes intensifient le clapotis de notre copulation, sa poitrine s'écrase sur mon torse, elle danse sur un pied, accrochée à mon cou, monte et descend, sa tête sur mon épaule, nos respirations s'accélèrent, il fait chaud, la sueur perle de partout, couvre nos poitrines... La jouissance monte, fulgurante, incontrôlable comme pour une première fois:

— Ja.. Ja... Jadeeee !!! Je viens, je viens, j'peux plus.
— Oui, Oui mon Chéri !...donne-moi tout.

Elle perd l'équilibre, part en arrière et tombe en travers du lit en m'entraînant. Dans le mouvement, nous perdons le contact, ma jouissance s'étale sur son ventre et ses cuisses. Couché sur elle, mon sexe perd sa vigueur, je reprends mon souffle au milieu des rires étouffés.

En rampant et poussée par ses pieds, elle remonte au centre du lit et nous terminons allongés sur le flanc ; « Oh, mon chéri c'est tellement fort avec toi, ça fait si longtemps, ta jeunesse, ta fougue...me manquent »
Elle me sourit, me butine les lèvres, ses yeux scintillent de bonheur. Quand mon bras droit l'enveloppe ma main gauche caresse ses formes pleines, un sein un peu lourd au téton granuleux au centre d'une large aréole brune. Depuis que je fais l'amour à Germaine et Emma deux femmes de 40/50ans j'ai un peu perdu le souvenir de Jade, de ses seins un peu plus gros, un peu plus lourds, de ses formes un peu plus rondes, d'une peau un peu plus de velours.

C'est elle qui m'a tout appris, qui m'a appris à me contrôler, même mon attirance pour les seins et je me rappelle ses premières recommandations : "Caresse-les en dessous, réveille-les en les massant doucement, en les redressant sans prendre la pointe, seulement lorsqu'ils bandent, lorsque l'aréole se contracte, saisis-la et fais ce que tu veux". C'est le cas à présent, j'embrasse le téton, juste d'un bisou, le titille de la langue avant de le lécher par petites touches, puis le glisse entre mes lèvres et l'aspire. La chair s'allonge entre mes dents, je le suce fort, l'allonge autant que possible alors que ma main s'occupe de l'autre.
Mais Jade veut autre chose, elle s'active sur ma queue, qui a repris toute sa vigueur.

— Viens, John j'ai trop envie.

Déjà elle s'offre, sur le dos, cuisses ouvertes. J'en ai tellement envie sans attendre je mets ses jambes sur mes épaules. C'est elle-même qui pointe à nouveau le gland sur ses lèvres couvertes du sperme d'avant, c'est elle aussi qui en m'appuyant au creux des reins m'invite à la pénétrer. Je suis en elle sans vraiment m'en rendre compte, je suis sur elle, appuyé sur mes coudes et mes genoux, mes mains sur ses seins. C'est elle qui me conduit, m'encercle la taille de ses jambes et commence à monter et descendre. Le vagin déborde de sperme, je la sens à peine et décide rapidement de changer d'orifice, je me retire, pointe l'anus et ma bite pleine de mouille pénètre la rosace étoilée sans grande résistance, l'anneau se resserre sur le tronc et le laisse filer jusqu'à la rencontre de mon pubis, elle murmure :

— Ooooooh ! Oui John comme ça, fais-moi l'amour.

Elle est pliée en deux, le bassin relevé, les cuisses à ma taille et les pieds en haut de mon dos. D'un léger balancement des reins elle m'invite à danser. C'est avec beaucoup de lenteur que je vais et viens, comme pour mieux la sentir, comme pour une première fois. C'est juste par le mouvement de mes reins que tout au fond d'elle, je bouge sur cinq, six centimètres. Elle ronronne, en la sodomisant nous faisons tendrement l'amour.
Progressivement mes va-et-vient s'allongent, c'est alors tout le bassin qui bouge, toute la hampe qui glisse sur l'anneau. Ses mains sur mes fesses me conduisent, elles dynamisent le rythme. Sa respiration s'accélère, s'essouffle, son ronronnement devient gémissement puis râles. A haute voix, comme une supplication :

— OUI, OUI ! John, encule-moi plus fort.

Le bourrin donne tout ce qu'il a. Dans sa course le membre sort du trou pour y replonger immédiatement. Les sabots de la jument s'incrustent dans son arrière train... Le chevauchée dure, dure longtemps, s'accélère et... un assaut plus puissant, libère la semence avec au moins trois longues saccades avant que tout le jus coule au fond de la grotte. Je m'affale sur elle, ses jambes tombent sur le lit. Au point de perdre haleine nous nous faisons du bouche à bouche... Elle me pousse sur le côté tout en m'embrassant :

— John ! Quel bonheur ... Ça fait longtemps que je n'ai pas baiser comme ça !

On reste côte-côte un moment. Les yeux fermés je me repose, Jade que j'entoure de mon bras se pelotonne contre moi, elle roucoule dans mon cou, ses ongles se promènent comme des griffes sur ma poitrine, mon ventre :

— Tu sais John, depuis que Valie est à la maison, nous partageons tout avec elle. Au début pour la consoler, la tranquilliser nous dormions ensemble puis nous avons pris l'habitude de partager notre lit et notre intimité.
— Rapidement nous avons pris nos habitudes à trois. Le matin toutes les deux nous parlions de sa transformation et souvent ça se terminait en gougnottage, elle avait beaucoup à apprendre... et elle a vite appris.
« Elle est devenue experte en caresses profondes et elle disait que ma salive favorisait la cicatrisation. Nos relations à trois sont devenues torrides, dans la mesure du possible et je me suis habituée à être prise en double avec Théo et même parfois les deux dans ma chatte.

Avec l'évocation de ces souvenirs, les envies reviennent, sa main caresse ma verge assoupie sur mon ventre, la fait grossir une troisième fois, lui fait reprendre vie. Elle s'en empare pour la masturber doucement. Face à elle, je lui caresse les fesses, ses yeux brillent de concupiscence. Je me redresse sur un coude, l'observe, elle vire sur le dos, relève ses genoux, me relève la tête. Je réponds à son attente. La chevauche en 69, passe ses jambes sous mes aisselles et lui fais un nettoyage de son entrecuisse, comme le ferait une chatte à ses petits.
Elle me fait une turlutte à son habitude, et que j'te suce, que j'te masse, que j'te branle.
Les relations qu'elle a entretenues avec Valie depuis un an, ont modifié le sexe que j'avais en mémoire. Ses lèvres se sont allongées, le capuchon du clito s'est comme découvert et surtout le vagin s'est élargi. Je suce le bouton et le mordille à la base :

— Oooh, vuiiii ! Mords-le !... J'obéis en pinçant la tige et titillant le bouton... Caresse-moi !... Avec trois doigts je prépare la vulve.

Ma langue glisse de la tige aux lèvres largement étalées sur les cuisses, les petites lèvres largement ouvertes laissent apparaître les premiers replis du vagin, j'y déverse toute la salive que je peux et directement quatre doigts glissent dans les chairs jusqu'à la jonction du pouce.

— C'est bon, caresse-moi bien !... Je la branle avec quatre doigts, elle gémit, elle râle. Ouais, bourre-moi bien !

Je reste un peu, la cyprine abonde, le pouce se place au creux de la paume et le poing s'enfonce sans grande résistance dans le puits d'amour.
Doucement poing fermé je la bourre. Jade adopte mon rythme pour sa fellation. Son vagin se comporte comme une ventouse et retient ma main que je n'ai aucune envie de sortir. En même temps, je lui suce le bouton et continue à baver dans son puits. Elle abandonne ma verge et commence à râler à chaque coup... de plus en plus fort, je tire sur le clito et allonge ses lèvres...

— Arrête, John ! ARRÊTE !

C'est impératif, je sors ma main couverte de jouissance que j'étale sur son pubis, j'embrasse la vulve sur toute sa surface,une mousse blanchâtre la couvre, je la lèche longuement m'abreuve de sa jouissance acide.
Elle est anéantie, les yeux clos, les bras le long du corps. Sur un genou je fais volte face pour me mettre à califourchon sur sa poitrine sans l'écraser. J'ai une érection d'enfer, je me branle à toute vitesse, mes couilles se baladent entre les seins. Je ne tarde pas à éjaculer, je sens que ça vient et plante ma queue entre ses lèvres qui s'ouvrent machinalement. A quatre pattes au dessus d'elle je lui baise la bouche et pour la troisième fois l'inonde. Habituée, elle avale tout.

— Oh que c'est bon ...

couverts de foutre l'un et l'autre nous nous enlaçons. Les grillons se sont tus, tout est calme, nous nous endormons épuisés.

Les avis des lecteurs

Très heureux Daniel de te compter parmi mes fidèles lecteurs

Merci @Olga
John a découvert l’amour dans les bras de sa tante même si c'est un amour incestueux. La retrouver le comble de bonheur

Histoire Erotique
Bravo encore un John et sa tante en très grande forme une super histoire de sexe très chaude. Daniel

Un récit torride. John est toujours disponible pour dispenser du plaisir.



Texte coquin : Etre John et Jane 12 - Retrouver ma tante
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par John62

Etre John et Jane 12 - Retrouver ma tante - Récit érotique publié le 10-04-2025
Etre John et Jane 11 - Déflorer ma soeur - Récit érotique publié le 30-03-2025
Etre John et Jane 10 - Au service de Madame. - Récit érotique publié le 13-03-2025
Etre John et Jane Chapitre 9 - Devenir femme de chambre - Récit érotique publié le 12-03-2025
Etre John et Jane Chapitre 8 - La véritée toute nue. - Récit érotique publié le 01-03-2025
Etre John et Jane Chapitre 7 - Avec mon coach de gym. - Récit érotique publié le 16-02-2025
Etre John et Jane Chapitre 6 - Avec ma proprio - Récit érotique publié le 09-02-2025
Etre John et Jane Chapitre 5 - Week-end avec ma soeur 2/2 - Récit érotique publié le 30-01-2025
Etre John et Jane Chapitre 4 - Week-end avec ma soeur 1/2 - Récit érotique publié le 28-01-2025
Etre John et Jane Chapitre 3 - Une visite imprévue - Récit érotique publié le 19-01-2025