Etre John et Jane 13 - Partie carrée avec ma soeur

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Etre John et Jane 13 - Partie carrée avec ma soeur Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2025 dans la catégorie Plus on est
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Etre John et Jane 13 - Partie carrée avec ma soeur
Ce sont les cigales qui me réveillent ou peut-être un cri ? « ...Doucement, doucement... ». Il fait jour mais pas encore chaud, au dessus du drap l'air frais qui court sur mon corps nu me fait frissonner. Tout à côté de moi, ma tante se repose allongée sur le côté, elle respire calmement, machinalement je pose mon bras sur elle, ma main emprisonne son sein presque froid, je me colle à son dos appréciant la fraîcheur de son corps et en recevant un petit couinement. Emboîtés l'un dans l'autre nous sommes bien, Jade bouge à peine, juste pour chercher à placer ma queue en érection au creux de ses fesses. J'ai ma tête plongée dans sa chevelure blonde, je m'enivre de son parfum tout en palpant sa poitrine.

— Mmmm, bonjour Jade ! Bien dormi ?
— Bonjour mon chéri ! Oui très bien dormi... Quant à toi inutile de te demander si tu as bien dormi.
— Mmmmm... Tu me mets le feu au ventre.
— Mais à entendre il y en a d'autres qui l'ont !... Valérie a des effets inconnus sur Théo ! On entend distinctement les miaulements d'une femme qui fait l'amour. Le salaud n'est pas comme ça de bon matin avec moi... Viens, on va les voir !

Aussitôt elle se lève et m'entraîne pieds nus dans le couloir où nous déambulons, un coup d’œil dans la chambre de Valérie, personne, ça se passe de l'autre côté.
Le spectacle qu'on découvre, est surprenant, un dos basané et deux jambes dépassant des épaules. En travers du lit Valérie est sur le dos, pliée en deux et Théo la chevauche, les genoux écartés, on voit ses couilles se balancer et son trou du cul à peine creusé au centre d'une vallée à la carnation plus claire. Jade me pousse en avant en murmurant «  Vas-y ! »

Leur coït est lent et décomposé. En un saut je suis sur le lit, la jeune femme en extase, yeux fermés, bouche ouverte, reçoit les assauts d'un petit cri, je caresse le dos de l'homme qui la possède avec autant de douceur que si c'était celui de la fille, je remonte jusqu'à la nuque avant de redescendre jusqu'aux baloches que je prends à pleine main pour les broyer. C'est seulement à ce moment que Théo relève la tête et nous voit dans l'armoire à glace. «  Valie, nous avons de la visite.»

Elle ouvre les yeux, je suis tout près d'elle. Jade est passée de l'autre côté du lit, allongée à son côté, appuyée sur un coude, le bras encadrant le visage de la jeune femme. C'est la première fois qu'elle la voit faire l'amour comme une femme après son opération. Les deux s'observent, se sourient, un quelque chose se passe entre elles. Après un long moment c'est Valérie qui rompt le silence

— Bonjour les amoureux, dit-elle d'une voix guillerette. Vous n'êtes pas très discrets... Et en prenant la voix étouffée de Jade elle répète : OUI, OUI ! John, encule-moi plus fort... Est-il toujours aussi charmant ton amant ?
— Toujours... ma Chérie, tout en lui faisant un bisou. Il m'a tellement manqué ! Depuis son arrivée j'avais l'impression de ne plus compter... Et toi !... Tu passes du bon temps avec mon mari ?

Dans un grand éclat de rire le couple se sépare. Jade prend dans ses bras la fille quant à l'homme qui suivait l'échange sans rien dire, il se tourne vers moi et me couche sur le dos. C'est également la première fois de ces vacances que nous nous retrouvons ensemble. Il me regarde avec douceur, me redécouvre, remonte délicatement une mèche de cheveux sur mon front, passe ses doigts dans ma tignasse, pour la peigner, me caresse la joue. Ses yeux brillent de mille étoiles. L'homme de cinquante ans au regard d'acier, au crâne rasé, est bronzé et musclé, il est séduisant. Sûr de son charme, sa main descend sur mon cou, le serre légèrement, troublé je déglutis, ma pomme d'Adam à peine visible glisse sous ses doigts « Tu es mignon, tout doux ». Il arrive sur ma poitrine, mes tétons pointent, ils sont plus gros qu'il ne les connaissait, il paraît surpris, il les roule doucement entre ses doigts puis plus fort jusqu'à me faire gémir « Tu as beaucoup changé en un an... Tu es beaucoup plus sensible » Et je pense, lui plus doux ! Sa main court sur mon abdomen, survole le nombril, atteint mon pubis et entoure mon sexe à la base, en saisissant mes testicules « J'aime ta peau toute douce... Ta p'tite queue bien dure ».

Il me masturbe lentement en étirant le prépuce, me presse le jonc comme le pis d'une vache, puis commence à me sucer. Progressivement il me fait une fellation très gourmande, très baveuse, m'avale tout entier puis me rejette, passe de la pointe à la base, de la lèche à la morsure. Il me pelote les couilles, joue avec comme avec deux dés. Subitement, sans préparation il me met un doigt dans le cul puis deux et tout de suite me masse la prostate, je ne peux m'empêcher de me cambrer en appui sur mes pieds, de mieux m'offrir « T'aime ça t'faire doigter, p'tite salope... ».

Pendant ce temps les deux filles ne cessent de se câliner, de s'embrasser amoureusement, allongées l'une contre l'autre. Leur relation est fusionnelle. Valérie entraîne Jade dans une roulade et passe sur elle. Les jambes et les bras s'enlacent, les corps ondulent, se frottent.

On se retrouve dans le ciseau de leurs jambes, j'ai un pied de Jade sur ma hanche. Je ne vois que le gras de leurs cuisses et leurs pubis qui s'agitent. Valérie écrase à peine son amante, C'est la première fois que je vois ainsi leurs chattes réunies, au dessus de la fleur épanouie de Jade, l'abricot fendu de ma sœur. Les sexes se cherchent, les clitos se trouvent, se touchent. Le bouton de Valie me fait penser au bec d'un oiseau qui picore une terre gorgée d'eau. Les deux filles dansent l'une sur l'autre dans une chorégraphie bien réglée
Dans un gémissement, Jade se cabre, bloque sa partenaire de ses deux mains, je la vois jouir, son vagin palpite et laisse filer un fluide visqueux qui couvrent ses lèvres béantes. Peu après le calme revenu, elle lui caresse le postérieur gentiment. La jeune fille toujours excité ne cesse de se dandiner, Jade lui écarte les deux globes, lui taquine le petit trou d'un doigt et brutalement y plonge une phalange. Valérie lance ses fesses en arrière et avale l'intrus, simultanément une main surgit d'entre les cuisses et deux doigts se plantent dans la vulve de Jade gorgée de cyprine, la main se déchaîne. Et à nouveau, les deux femmes se branlent mutuellement le cul ou la chatte et se lancent à nouveau dans une course effrénée.

Masturbé et doigté par Théo, je suis pris de spasmes, au bord de la jouissance quand sous un coup de pied d'une fille et il relève la tête et s'écrie « Putain les salopes... Viens, qu'on s'occupe d'elles. » Il bondit, s'allonge à côté du couple quand je reste entre leurs jambes. Je caresse les mollets, remonte lentement jusqu'aux cuisses, je m'amuse à voir la main de Jade s'activer frénétiquement, mes bisous lui font me céder la place.

A genoux dans le compas de leurs jambes, j'embrasse le derrière de ma sœur, mon nez s'inscrit dans la raie de ses fesses, j'écarte au maximum les deux globes, la rosace encore dilatée se contracte sous ma langue, j'y trouve une mouille au goût un peu amer, je continue sur le périnée jusqu'à la base de la vulve.

Valérie, passe ses jambes à l'extérieur de celles de Jade, creuse les reins dans une position indécente. Dans cette position sa jeune vulve s'ouvre, mais je veux la protéger et je la prends par une voie beaucoup plus habituée à l'accouplement. J'attrape un sein d'une main et les cheveux de l'autre, m'agrippe à elle comme à une monture, son anus n'oppose aucune résistance, son sphincter m'enveloppe comme une gaine de soie. Bien en place, j'impose ma cadence, je vais et je viens, je la pistonne quand Jade nous repousse en se plaignant « Vous m'écrasez ! » on est renversés sur le côté et dans l'action séparés. Ma sœur se tourne vers moi et ma tante vers mon oncle.

Valie est en sueur, le visage rougeaud, la chevelure ébouriffée, elle cherche son souffle. Après un moment couchée l'un à côté de l'autre, les yeux tournés au plafond, le calme revenu, elle se tourne vers moi, une jambe sur mon ventre, elle minaude me fait une petite moue, sa jambe passe de l'autre côté, elle me chevauche, ses cuisses largement ouvertes sa main glisse entre nos ventres, elle oriente mon pénis vers elle, elle veut s'emmancher sur mon sexe, je ne veux pas lui faire mal, je suis inquiet « Crois-tu ? N'es-tu pas encore trop fragile ? »
— C'est moi qui décide !

Depuis l'avoir dépucelée je lui ai toujours fait l'amour prudemment en missionnaire ou tranquillement en cuiller dans des positions moins profondes. A présent je la laisse faire. A califourchon sur mon ventre, je suis impressionné par son clito à la tête rouge complètement décapuchonné qui jaillit de son pubis tel un pénis. Elle s'empale lentement sur mon tronc, par petit coup s'enfonce, en appui sur ses mains elle s'immobilise avec un petit rictus, puis se laisse aller jusqu'à s'asseoir sur mon pubis. Toute ma verge est en elle... Elle se couche sur moi, m'embrasse sur les lèvres « Oh John !... Je te sens bien tout au fond de mon ventre. ».

C'est impressionnant, sentir ses petites fesses englober mes couilles, son clito se dresser à la base de ma queue. Elle bouge à peine de droite à gauche pour mieux se positionner, elle bombe le torse, rejette les épaules en arrière, les mains sur mes cuisses , sa tête à la renverse, ses petits seins disparaissent, plaqués au torse et ses tétons gros comme de mon auriculaire, ressortent d'autant plus provocants. Lentement elle commence à monter et descendre, à façonner son vagin sur mon pieu, sur deux, trois centimètres seulement, avec un temps d'arrêt à chaque fois, la contraction de ses fesses la fait rebondir sur cinq, six centimètres. Ses gémissements suivent la cadence de sa chevauchée qui s'accélère jusqu'à nouveau perdre haleine. D'un coup elle s'arrête, sa tête bascule en avant, elle se couche sur moi, sa chevelure entraînée sur mon visage, elle souffle fort au creux de mon épaule, la tête dans l'oreiller.

Je ne sais ce qui se passe ou plutôt n'ose l'imaginer. Jane s'est allongée à côté de nous. Elle découvre mon visage des cheveux de Valérie, me sourit, m'embrasse du bout des lèvres. Entre mes jambes il y a Théo, il me caresse le mollet, l'intérieur de la cuisse, ouvre l'angle de mes jambes puis plus rien. Valérie creuse les reins, décolle son ventre, l'homme s'occupe d'elle, la fille lui tend les fesses.

Incroyable ce qui se passe ! Ma sœur, pucelle la semaine passée, s'offre et va se faire prendre en double aujourd'hui ! Une vie sexuelle en accélérée, tout va très vite. Il est vrai qu'il ne doit pas y avoir de contre-indication, habituée à la sodomie... Alors, je sens Théo s'appuyer sur nous, écarter un peu plus mes jambes, probablement lui faire une léchouille, je sens ses genoux contre mes cuisses, Valérie relève encore un peu ses fesses, je sens la verge, elle la pénètre lentement, me comprime dans le vagin. La fille, toujours la tête dans l'oreiller, soupire, gémit au creux de mon oreille, elle me tient fermement aux épaules, se crispe, sa respiration s'accélère, je vis avec la même intensité ce moment. D'un petit coup sec l'homme la prend à fond, s'immobilise, ses lourdes couilles reposent sur les miennes. Le poids des corps m'étouffe, puis s'allège, lentement commence un va-et-vient, Valérie est bousculée, c'est tout son corps qui est secoué, moins son ventre fixé au mien. La fornication devient saccadée, puissante, je sens parfaitement le membre coulisser, les burnes se balancer et me frapper à chaque coup. La jeune femme repose sur moi sans être lourde, ses soupirs marquent les coups de boutoirs.

Jade tout contre moi, suit l'évolution de notre union. Théo prend de l'assurance, accélère ses coups de reins, Valérie, sort de mon épaule, se soulève sur ses bras, se met en mouvement. Théo la besogne maintenant sans précaution, la prend par la poitrine et la redresse contre lui

Jade profite de la situation pour mieux se placer, m'encercler le visage de ses bras, un sein sur ma poitrine et m'embrasser à pleine bouche. Mon bras passe sous elle, ma main sous son ventre, mon doigts sous son clito. Son regard est étrange, son sourire malicieux. Elle se redresse, m'enjambe, s'assied sur ma poitrine, creuse le ventre, la main sur son pubis, le doigt sur son clito, elle se branle un peu et avance jusqu'à mettre sa vulve sur mes lèvres tout en continuant à s'astiquer le bouton, Je suçote la tige, titille le méat, aspire les lèvres telle une langue. Penchée sur moi je la soutiens au niveau de la poitrine avant qu'elle ne se mette à quatre pattes, son ventre sur mon front, sa vulve sur ma bouche. Elle danse, je lui bouche la chatte, goûte sa cyprine légèrement acre.

Tous les quatre unis dans la même copulation nous voguons sur la même vague diabolique, les deux femmes entrent en frénésie, Jade miaule « Oh, oui comme ça, suce-moi le bouton » Valérie hurle « Oh putain ! Putain !... Arrête ! Arrête ! »

Je crois que nous perdons tous le contrôle, Les coups de reins qui nous bousculent tous, sont plus puissants, plus rapides, la sueur perle sur les corps, mon sexe est sans cesse massé par la bite de mon oncle, je suis bâillonné par la vulve de ma tante, je respire mal, mon sperme jaillit par saccade dans le vagin de ma sœur... Jade me déverse un flot de cyprine.. Je ne vois que son ventre lisse. Je sens Théo s'immobiliser, ses couilles posées sur les miennes, je sens parfaitement ses spasmes au moins trois fois. Puis tout se fond.
Un moment après Valérie vire sur le côté. Je suis en nage, la verge flasque sur mon ventre dans une mare de sperme, la bouche du nez au menton couverte de mouille. Jade se dégage et s'allonge sur l'autre côté. On reprend notre souffle. Le soleil inonde la chambre, il fait chaud. Théo met en marche le ventilateur et nous propose de préparer le petit-déjeuner.

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Texte coquin : Etre John et Jane 13 - Partie carrée avec ma soeur
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