Etre John et Jane Chapitre 2 - L'émancipation
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Etre John et Jane Chapitre 2 - L'émancipation
A la sortie du cinéma où pendant presque deux heures j'ai été au centre de l'attention de sept mecs, il fait nuit. Je découvre émerveillé la place Pigalle et ses néons. Marco, mon amant aîné de 15 ans, s'en étonne :
— Tu ne connais pas ?
— Non, pas la nuit. J'habite en banlieue et mes études ne me laissent pas le temps.
— Viens, on va prendre un pot avant de rentrer.
En jean et manteau j'ai retrouvé ma physionomie de jeune homme et notre comportement ne laisse rien imaginer ce qui vient de se passer. On s'assoit à une terrasse de café, chacun avec une bière, on discute mais par pudeur on ne parle pas de la séance de cinéma puis il m'emmène faire un tour sur le boulevard de Clichy avant de redescendre vers la gare. Les 300 premiers mètres de la rue Pigalle sont bordés de putes et de bars de nuit et d'un coup les lumières, le bruit, le monde font place au silence, la solitude et la pénombre. A peine sorti du brouhaha, Marco me prend par le bras, ralentit le pas et m'embrasse dans le cou.
— T'as été superbe !... T'as aimé ?... Il se satisfait de mon silence comme approbation. Des trois types que t'as sucés, l'un était particulièrement bien monté et les deux papis qui te caressaient, s'en sont foutu plein les mirettes.
Sa main gauche me bloque contre lui, la droite s'est glissée sous mon pull, il me parle d'une voix rauque à l'oreille :
— Jane ! T'es une sacrée chaudasse et moi, je vais t'en fournir de la bite à sucer, du sperme à avaler.
Brusquement il me pousse dans l'encoignure d'une porte cochère. En une fraction de seconde, il a ouvert son imper et m'a plaqué contre le mur... Putain qu'est-ce qu'il bande ! Dans la même seconde, il me prend aux fesses, m'embrasse à pleine bouche sans me laisser le temps de réagir. Sa barbe me pique, sa langue s'impose, elle est épaisse, longue, je n'aime pas comme il me possède, il me donne des grands coups de bassin dans le ventre. Puis à deux mains il m'oblige à me mettre à genoux entre les pans de son imper qui me mettent à l'abri des regards. Sans une parole, il sort son sexe de sa braguette, le tire et dégage complètement les couilles du pantalon. Il est massif, tout poilu, je l'ai eu en main, dans les fesses mais jamais face à moi, il a une forte odeur de foutre, il est dur, les veines saillantes, l'urètre gonflée, j'ai l'impression de le découvrir, mes doigts n'en font pas le tour, avec précaution je le décalotte, le prépuce libère un peu de sperme, il ne me laisse pas le temps, j'ai déjà le gland sur les lèvres.
— SUCE ! Grogne-t-il d'une voix à peine étouffée dans la nuit et tellement sonore dans la rue déserte.
La queue s'impose, glisse entre mes lèvres, elle s'enfonce jusqu'au fond de la gorge, me donne un haut le cœur. Par réflexe je le repousse des deux mains pour enfin le sucer correctement, il est gros et circule sur quelques centimètres, à écouter ses gémissement je le fais bien... Quand j'entends des pas, des talons, au moins deux personnes descendent la rue. Je m'arrête, m'apprête à me relever, ses mains sur mes épaules me bloquent et son bassin prend le relais de ma bouche. Contraint je continue à le sucer, je ne vois rien, les pas s'approchent, sont juste à côté, ralentissent, passent lentement , j'entends des murmures suivis d'un rire puis les pas s'éloignent rapidement. Marco continue à me baiser la bouche puis me laisse faire. Je lèche la colonne de chair, la mordille doucement. Après avoir titillé longuement le frein, je suçote le gland et engloutis la queue. Je me mets à la sucer telle une vorace tout en massant les couilles bien lourdes. Je goûte quelques gouttes fluides qui m'annoncent l’imminence de son orgasme. Il recommence à me baiser la bouche avec force sous un flot de bave et des "Beurgh, Beuaaargh" répétés. Il s'immobilise au fond de ma gorge et jouit dans un râle sourd. Après la séance au cinoche, son éjaculation n'est pas très abondante, j'avale tout et il attend que je le lèche bien, le nettoie. Satisfait de ma prestation il me relève :
— Toi ! T'es une bonne bouffeuse de bites !
Il se rhabille prestement et nous reprenons le chemin de la gare. Dans le train, personne, le salaud me pousse dans un coin et recommence à me peloter sauvagement le sexe et les tétons, jamais le parcours ne m'a semblé aussi court. Arrivé à ma gare, on se quitte d'un simple sourire et je descends du train tout débraillé, le manteau ouvert, à refermer la braguette. Les rues sont désertes, je marche vite et en cinq minutes je suis à la maison.
J'ai revu Marco tous les soirs, avec le gentil papa c'était séance de tripotage. A la fin de la semaine il m'a proposé de nous retrouver le samedi.
— Non, Marco je ne peux pas ! Ma tante arrive ce soir.
................
Il y a quelques jours, sitôt connue la visite de Jade, ma tante, mon amante, j'ai commencé un décompte des jours, puis des heures, enfin le moment est venu. A son arrivée, mon cœur s'est mis à battre plus vite, plus fort. La rencontre des deux sœurs après plusieurs années a été émouvante. Quand elle posa son regard sur moi, un tsunami m'emporta, j'allai me jeter à son cou, l'embrasser amoureusement quand la fougue de ma jeunesse se brisa sur la sagesse de sa maturité, ses mains me tinrent séparé d'elle, mes lèvres rencontrèrent l'angle de sa bouche.
— Bonjour John mon chéri... Tu es de plus en plus charmant ! Ce n'était pas la voix cajoleuse dont j'avais l'habitude d'entendre et elle continua. Dis-moi,...il y a quelque chose de changé dans ton physique ?.... Oui tes cheveux !
— Ne m'en parle pas Jade, s'écria ma mère, il veut être comme Claude François !
— Ben c'est très bien ! Ça lui adoucit le visage.
— Tu parles, ça lui donne une allure de fille, déjà qu'il n'est pas bien gros.
Les retrouvailles furent chaleureuses sauf que Jade resta distante de moi, tout le contraire d'avec sa sœur. Entre elles ça s'embrassait, ça murmurait, ça se tenait côte-côte. Je me sentais rejeté, j'étais jaloux. Mon père servait le champagne et je m'occupais des salés, mes attentions vis à vis de Jade étaient sans effet. La soirée était gaie sauf pour moi, tous parlaient joyeusement, riaient à gorge déployée, pour moi elle était gâchée jusqu'au moment où ma mère m'a pris dans ses bras, m'a serré contre son cœur en me regardant intensément.
— John ! J'ai une bonne nouvelle, face à tes demandes répétées et grâce à ta tante qui a travaillé dans l'ombre, avec papa nous avons décidé de te louer une chambre, chez une ancienne amie, rue Galande, près de ton université !
— … Silence, j'en reste bouche-bée. Depuis mon retour de vacances, j'attendais cette décision, je voulais d'échapper à l'étouffement de mes parents, gentils mais surprotecteurs.
— Une chambre sous les toits en plein Paris, plaisante Jade, comme celle de Mimi dans la Bohême, et elle continue en entonnant l'air de l'opéra : « Mi chiamano Mimi, ma il mio nome è Lucia »
— Oui, nous pensons que c'est plus simple pour t'organiser même si nous savons que nous perdons notre enfant.
— (enfin je réagis) OH ! Merciiiiiiiiiiii Pa', merci Man' !
— John, demain tu m'emmèneras demain voir ton quartier, (tout sourire, j'approuve de la tête) il faut que tu me fasses visiter la capitale....
La soirée se termine dans la joie partagée avec tous avec l'idée de mon indépendance de vie et celle d'être seul demain avec Jade, Jade mon amante qui dès le dîner terminé s'excuse et nous quitte :
— P'tite sœur, ma chérie, il se fait tard, le voyage a été fatiguant je vais partir pour rejoindre mon hôtel, pour me reposer.
— D'accord Jade, on se retrouve demain matin pour le p'tit dèj ?
— Oui avec plaisir... Et avec toi John, en me regardant intensément et me serrant les deux mains, pour visiter la ville ! Bonne nuit à tous.
On s'embrasse tendrement sans laisser paraître plus notre impatience. Je me couche, en pensant aux temps passé à Montpellier et à la journée du lendemain, dans un état d'excitation tel qu'il m'est difficile de trouver le sommeil.
Le lendemain, ma tante arrive tôt, la matinée se déroule normalement bien que je sente un nouvel empressement et dès le déjeuner terminé elle précipite le départ :
— Monique, ton bœuf marengo était délicieux !... Il fait si beau, je crois John qu'on va y aller.
— Déjà, ma Chérie !!!
— Oui p'tite sœur, je suis impatiente de retrouver Paris, l'île Saint Louis, le Quartier Latin et que John me fasse découvrir sa fac.
— OK ! Répond ma mère un peu déçue de l'empressement. Allez-y ! Mais... Ne rentrez pas trop tard !
— T'inquiète pas sœurette ! Je veille sur ton garçon. Allez John ! On y va.
— Ar'voir Man ! Ar'voir Pa ! … On revient vers 20 heures.
— O Kayyyy ! Répond ma mère en abdiquant. Mais pas plus tard ! S'écrie-t-elle.
On quitte la maison pour filer à la gare. Sitôt le coin de la rue passé, Jade me prend par le bras et me presse contre elle, elle me regarde amoureusement, nos lèvres se joignent en un bisou furtif.
— Mon chéri, qu'il m'a été difficile de résister à ton impatience, heureusement j'ai la tempérance de l'âge même si le feu me dévore...
Dans le train, en ce début d'après-midi il y a du monde, nous restons debout l'un en face de l'autre, les yeux dans les yeux, la main dans la main, à se faire des mimiques, à s'envoyer des bisous. On nous observe... Prudemment elle me caresse les cheveux et murmure:
— J'aime ta coupe de cheveux, ça te va bien.
— Toi aussi tu as changé, avec tes cheveux à la garçonne.
— Oui, je l'ai fait à la demande de Valérie. Ta "sœur de cœur", ajoute-t-elle d'un ton espiègle. Tu sais, nous avons sympathisé, nous partageons beaucoup de choses ensemble... (le sous-entendu ne laisse aucun doute). Elle dit que ça me rajeunit et c'est vrai, les gens nous prennent pour deux sœurs.
En se rapprochant de Paris, il y a de plus en plus de monde dans le train, je profite d'une bousculade pour plaquer jade à la cloison du wagon, son ventre contre le mien, en réponse défiant nos voisins, elle m'embrasse du bout des lèvres et me chuchote à l'oreille :
— John ! J'ai envie de toi...
— Moi aussi, que je réponds tout bas en m'appuyant contre elle.
Dès la sortie du train avec la même complicité nous recherchons un hôtel. Dans une petite rue, un panneau discret signale "Hôtel des Voyageurs", c'est un établissement un peu vieillot. En entrant, derrière le comptoir un vieux bonhomme nous accueille, la demande d'une chambre par ma tante, l'absence de bagage et notre différence d'âges le font sourire. Il encaisse les 50 francs et nous tend une clé « Chambre 17 au 3ème » en ajoutant avec malice « Bonne après-midi messieurs-dames ! » .
Nous montons quatre à quatre l'escalier de bois en se tirant par la main, traversons le couloir jauni, entrons dans la chambre désuète. Dès la porte fermée, sans tenir compte de l'environnement, nous abandonnons toute retenue. Le sevrage est tel que mon côté bestial emporte tout sur son passage, ce sont des baisers fougueux, des mains fébriles, des vêtements arrachés. Je pousse la femme sur le lit, elle me reçoit cuisses ouvertes, me guide, je la pénètre d'un coup. Nos sexes assoiffés se retrouvent et s'unissent immédiatement le plus naturellement du monde. A peine transpercé son vagin libère un flot de cyprine. Nous faisons l'amour sauvagement. Ses jambes, ses bras m'enlacent, m'enserrent comme des tentacules.
On ne retient plus nos corps en manque, on veut tout, tout de suite, plus fort, plus profond. Je suis sur elle, elle me renverse, inverse les rôles. Nos sexes ne cessent de copuler, nos bouches ne cessent de s'embrasser, nos langues de tournoyer, nos mains de s'étreindre, nos ventres de se rencontrer. Nos gémissements montent en gamme, deviennent bruyants, nous nous abandonnons jusqu'à ce que l'orgasme nous foudroie... Je l'inonde, son corps se tend, ses doigts se crispent, son étreinte m'étouffe et d'un coup tout se relâche.
Elle reste allongée sur moi, inerte. Je la caresse doucement, la frôle, l'embrasse dans le cou... Progressivement on retrouve notre souffle, puis on vire sur le côté sans se séparer.
C'est alors qu'on prend conscience de l'environnement, des pas dans le couloir, de l'eau qui coule, des ressorts qui grincent... On pouffe de rire dans l'épaule de l'autre en pensant au spectacle qu'on a dû offrir. On bavarde tout bas de la nature de l'hôtel, un hôtel de rendez-vous, peut-être un hôtel de passe, normal auprès d'une gare et c'est ce que nous cherchions. Elle me parle de ses relations avec Valérie. Je lui raconte mon histoire avec Marco, de ma sortie au cinéma. Elle me réponds dans un soupir « T'es un gros cochon... »
Mes mains retrouvent ses seins un peu lourds, sa peau glabre, légèrement adipeuse, ses fesses bien pleines. Ses cheveux courts dégagent entièrement son cou, j'y promène mes lèvres, j'y retrouve son parfum sucré, mes sens se réveillent, ma bouche couvre ses épaules de suçons, passe au creux de son aisselle, y trouve le goût salé de sa sueur. On s'amuse à entendre nos voisins faire l'amour, et lentement caresses, baisers, lichettes réveillent nos envies...
La bestialité fait place à la délicatesse, couchée en cuiller au creux de mon ventre, elle lève la cuisse et dirige ma queue dans son vagin, sa jambe passe par derrière les miennes, elle est quasiment couchée sur moi, son corps bandé comme un arc. Je lui fais l'amour doucement, ses mains plaquent les miennes sur sa poitrine et son ventre, elle se laisse balancer, son corps pèse peu à peu. Elle se dandine, remue, tourne sur le côté jusqu'à se dégager et se mettre en levrette la tête dans l'oreiller. Elle me tire à elle.
Je me redresse, lui caresse les fesses, les couvre de bisous, lui lèche l’œillet tout en lui doigtant le sexe débordant de mouille. Pour répondre à son impatience je me place derrière elle et c'est elle qui vient à moi, qui s'empale par les fesses. Alors, je la saisis par les seins et reprends ma branlette qu'elle accompagne d'une main. Son se contracte au rythme de ma sodo... Je la besogne, j'accélère, j'allonge le pas... Je deviens grossier, « Salope, t'aime ça te faire défoncer le cul » elle répond de même « Ouais, encule-moi... plus profond.... Oh ouais, comme ça... Oui, ouiiiiiiiii ! »
Nos jouissances n'en font qu'une, je me déverse dans ses intestins. Elle s'écroule et nous roulons sur le côté en restant unis.
Je la câline, l'embrasse dans le cou, lui suce le lobe de l'oreille, elle ronronne. On reste longtemps ainsi même peut-être qu'on somnole un peu. Le temps a passée, on est dans la pénombre, il faut partir. Dans le cabinet de toilette il y a juste un lavabo et un bidet, on découvre dans le miroir nos corps marqués de nos étreintes, on se sourit et là je pense... aux putes qui viennent ici, je suis pris d'une envie irrésistible de baiser. Je colle ma tante au mur, la tiens fermement par les mains levées au dessus se sa tête, nos langues bataillent, je la lâche, elle devient nerveuse. Sa main gauche me tient au cou, la droite me prend le sexe, il est de béton, Elle bombe le torse, bredouille « Prends-moi ! ». Elle se met sur la pointe des pieds, relève un genou à sa poitrine, oriente ma verge sur sa vulve,
Debout sur un pied, l'autre jambe à ma taille, elle se cramponne à mon cou, je la soutiens par les fesses. Nos corps ondulent au pas du chameau, lentement d'abord, sa lourde poitrine se balance sur mon torse, on se regarde, se sourit, notre accouplement s'accélère, ses gémissement deviennent plus sonores. Elle est animée de sauts de carpes et je la reçois bien ancré au sol, sa respiration devient ahanement, le chuintement de notre union est parfaitement audible. Je ne me retiens plus, en deux coups de reins je jouis, si peu mais tellement fort. Elle se remet sur ses deux pieds, semble pleurer sur mon épaule et me dit « C'était si bon mon chéri ! »
La fête est finie, elle fait sa toilette au bidet et moi au lavabo. Vite il faut filer. On quitte l'hôtel précipitamment avec le sourire et le souhait de nous revoir de l'hôtelier... Il fait nuit, la rue est beaucoup plus animée qu'en début d'après-midi, des professionnelles attendent le client.
Sur le chemin du retour à la maison je me confie à Jade et lui fais part de mon idée de me féminiser. « Te féminiser ou te travestir ? ». Après une demi-heure de discussion elle me dit qu'elle en parlera avec ma ''sœur de cœur'' qui connaît bien les contraintes de cette idée.
De retour à la maison, comme si rien ne s'était passé, la sagesse de Jane prend le dessus et le week-end se termine dans la plus naturelle relation entre un neveu et sa tante.
...................
Quelques jours plus tard, rue Galande, je pousse la porte d'un immeuble ancien comme tous ceux du quartier, je monte au 4ème étage où on m'attend. Une dame aux cheveux blancs bien de sa personne me reçoit et me conduit deux étages plus haut. Dans un long couloir délavé s'alignent une dizaine de chambres, elle me mène jusqu'à l'une d'elles marquée J. LENORD.
— Voilà jeune homme votre paradis, me dit-elle en ouvrant la porte,. J'y ai indiqué votre nom, comme sur la boîte aux lettres en bas, vous avez les toilettes au fond du couloir. Malgré son âge, sa voix est sensuelle, son regard coquin, son sourire malicieux. D'une main elle me pousse à entrer.
Sur la droite il y a une armoire et un buffet sur lequel est posée une plaque chauffante, dans le coin un lavabo et un seau hygiénique, pratique vu les toilettes à l'étage. En face de l'entrée, une fenêtre chien assis, offre une superbe vue sur les toits de Paris et les tours de Notre Dame. Derrière la porte, dans le coin un lit pour deux personnes, à coté une grande table avec deux chaises et au mur un grand miroir.
— Vous avez une jolie vue et le miroir a été installé pour un petit rat de l'Opéra, je trouve qu'il agrandit la pièce, je suis émerveillé par mon domaine qui d'un coup double de volume... Bien ! Si vous voulez descendons à l'appartement que nous fassions connaissance !
En revenant chez madame Girard, nous prenons le thé et après m'être présenté, elle me confirme qu'elle connaît ma mère pour avoir travaillé ensemble, j'apprends que son mari voyage beaucoup et qu'elle aime entretenir des relations amicales avec ses locataires
— Si tu veux John... tu veux bien que je te tutoie ? D'un grand sourire et d'un signe de tête je lui fais part de mon accord. Et dans ces conditions, moi c'est Germaine. John je te ferai découvrir le quartier et te présenterai à quelques commerçants pour qu'ils te soignent bien. Mais pour l'instant je vais te laisser t'installer et si tu as besoin de quoi que ce soit, viens me voir. Bernard passera te dire bonsoir tout à l'heure. Au moment de se quitter elle me fait deux tendres bisous à la commissure des lèvres.
— Merci Germaine, je ne manquerai de vous faire signe. En même temps, en moi-même, j'espère qu'elle ne s'imposera pas trop, je ne voudrais pas fuir l’œil de ma mère pour me placer sous celui de la copine
Je remonte rapidement les deux étages. Quel plaisir d'être chez soi !. En chantonnant, je défais mes valises, range les vêtements de Jane à côté de ceux de John. Dans le tiroir près de mon lit, je place mes jouets, plugs, gode, lubrifiant et les pinces à téton. Au mur, j'affiche la photo de groupe prise le soir de mon anniversaire sur laquelle je suis en peignoir et un portait de ma tante avec Valérie. Sur la table je place bien visible mon vide poche en bronze avec l'empreinte en relief du sexe de ma tante, cadeau de mes 19 ans. Alors que je termine de faire mon lit, on frappe à la porte, j'ouvre, un monsieur entre :
— Bonsoir John, je suis Bernard, le propriétaire, je viens voir si tout va bien …
C'est un bonhomme svelte, aux cheveux gris ondulés, dans la soixantaine, en costume cravate. D'un coup d'œil il fait le tour de la pièce, voit les photos, s'en approche tout en prenant en main mon vide poche. Je deviens rouge comme une pivoine quand il caresse l'empreinte du sexe qui s'y trouve, il observe avec attention les portraits
— C'est celui de l'aînée ?... Ce sont deux sœurs ? Elle sont jolies !... Je me sens très mal quand il me regarde en souriant. Chuuut ! Je te taquine ! Comme t'a dit Germaine descends quand tu veux, il n'y a pas de douche à l'étage, tu viendras la prendre dans notre salle-de-bain, on sera en famille.
On sera en famille... Tout le contraire de ce que je cherche mais aussi tout un programme.
— Tu ne connais pas ?
— Non, pas la nuit. J'habite en banlieue et mes études ne me laissent pas le temps.
— Viens, on va prendre un pot avant de rentrer.
En jean et manteau j'ai retrouvé ma physionomie de jeune homme et notre comportement ne laisse rien imaginer ce qui vient de se passer. On s'assoit à une terrasse de café, chacun avec une bière, on discute mais par pudeur on ne parle pas de la séance de cinéma puis il m'emmène faire un tour sur le boulevard de Clichy avant de redescendre vers la gare. Les 300 premiers mètres de la rue Pigalle sont bordés de putes et de bars de nuit et d'un coup les lumières, le bruit, le monde font place au silence, la solitude et la pénombre. A peine sorti du brouhaha, Marco me prend par le bras, ralentit le pas et m'embrasse dans le cou.
— T'as été superbe !... T'as aimé ?... Il se satisfait de mon silence comme approbation. Des trois types que t'as sucés, l'un était particulièrement bien monté et les deux papis qui te caressaient, s'en sont foutu plein les mirettes.
Sa main gauche me bloque contre lui, la droite s'est glissée sous mon pull, il me parle d'une voix rauque à l'oreille :
— Jane ! T'es une sacrée chaudasse et moi, je vais t'en fournir de la bite à sucer, du sperme à avaler.
Brusquement il me pousse dans l'encoignure d'une porte cochère. En une fraction de seconde, il a ouvert son imper et m'a plaqué contre le mur... Putain qu'est-ce qu'il bande ! Dans la même seconde, il me prend aux fesses, m'embrasse à pleine bouche sans me laisser le temps de réagir. Sa barbe me pique, sa langue s'impose, elle est épaisse, longue, je n'aime pas comme il me possède, il me donne des grands coups de bassin dans le ventre. Puis à deux mains il m'oblige à me mettre à genoux entre les pans de son imper qui me mettent à l'abri des regards. Sans une parole, il sort son sexe de sa braguette, le tire et dégage complètement les couilles du pantalon. Il est massif, tout poilu, je l'ai eu en main, dans les fesses mais jamais face à moi, il a une forte odeur de foutre, il est dur, les veines saillantes, l'urètre gonflée, j'ai l'impression de le découvrir, mes doigts n'en font pas le tour, avec précaution je le décalotte, le prépuce libère un peu de sperme, il ne me laisse pas le temps, j'ai déjà le gland sur les lèvres.
— SUCE ! Grogne-t-il d'une voix à peine étouffée dans la nuit et tellement sonore dans la rue déserte.
La queue s'impose, glisse entre mes lèvres, elle s'enfonce jusqu'au fond de la gorge, me donne un haut le cœur. Par réflexe je le repousse des deux mains pour enfin le sucer correctement, il est gros et circule sur quelques centimètres, à écouter ses gémissement je le fais bien... Quand j'entends des pas, des talons, au moins deux personnes descendent la rue. Je m'arrête, m'apprête à me relever, ses mains sur mes épaules me bloquent et son bassin prend le relais de ma bouche. Contraint je continue à le sucer, je ne vois rien, les pas s'approchent, sont juste à côté, ralentissent, passent lentement , j'entends des murmures suivis d'un rire puis les pas s'éloignent rapidement. Marco continue à me baiser la bouche puis me laisse faire. Je lèche la colonne de chair, la mordille doucement. Après avoir titillé longuement le frein, je suçote le gland et engloutis la queue. Je me mets à la sucer telle une vorace tout en massant les couilles bien lourdes. Je goûte quelques gouttes fluides qui m'annoncent l’imminence de son orgasme. Il recommence à me baiser la bouche avec force sous un flot de bave et des "Beurgh, Beuaaargh" répétés. Il s'immobilise au fond de ma gorge et jouit dans un râle sourd. Après la séance au cinoche, son éjaculation n'est pas très abondante, j'avale tout et il attend que je le lèche bien, le nettoie. Satisfait de ma prestation il me relève :
— Toi ! T'es une bonne bouffeuse de bites !
Il se rhabille prestement et nous reprenons le chemin de la gare. Dans le train, personne, le salaud me pousse dans un coin et recommence à me peloter sauvagement le sexe et les tétons, jamais le parcours ne m'a semblé aussi court. Arrivé à ma gare, on se quitte d'un simple sourire et je descends du train tout débraillé, le manteau ouvert, à refermer la braguette. Les rues sont désertes, je marche vite et en cinq minutes je suis à la maison.
J'ai revu Marco tous les soirs, avec le gentil papa c'était séance de tripotage. A la fin de la semaine il m'a proposé de nous retrouver le samedi.
— Non, Marco je ne peux pas ! Ma tante arrive ce soir.
................
Il y a quelques jours, sitôt connue la visite de Jade, ma tante, mon amante, j'ai commencé un décompte des jours, puis des heures, enfin le moment est venu. A son arrivée, mon cœur s'est mis à battre plus vite, plus fort. La rencontre des deux sœurs après plusieurs années a été émouvante. Quand elle posa son regard sur moi, un tsunami m'emporta, j'allai me jeter à son cou, l'embrasser amoureusement quand la fougue de ma jeunesse se brisa sur la sagesse de sa maturité, ses mains me tinrent séparé d'elle, mes lèvres rencontrèrent l'angle de sa bouche.
— Bonjour John mon chéri... Tu es de plus en plus charmant ! Ce n'était pas la voix cajoleuse dont j'avais l'habitude d'entendre et elle continua. Dis-moi,...il y a quelque chose de changé dans ton physique ?.... Oui tes cheveux !
— Ne m'en parle pas Jade, s'écria ma mère, il veut être comme Claude François !
— Ben c'est très bien ! Ça lui adoucit le visage.
— Tu parles, ça lui donne une allure de fille, déjà qu'il n'est pas bien gros.
Les retrouvailles furent chaleureuses sauf que Jade resta distante de moi, tout le contraire d'avec sa sœur. Entre elles ça s'embrassait, ça murmurait, ça se tenait côte-côte. Je me sentais rejeté, j'étais jaloux. Mon père servait le champagne et je m'occupais des salés, mes attentions vis à vis de Jade étaient sans effet. La soirée était gaie sauf pour moi, tous parlaient joyeusement, riaient à gorge déployée, pour moi elle était gâchée jusqu'au moment où ma mère m'a pris dans ses bras, m'a serré contre son cœur en me regardant intensément.
— John ! J'ai une bonne nouvelle, face à tes demandes répétées et grâce à ta tante qui a travaillé dans l'ombre, avec papa nous avons décidé de te louer une chambre, chez une ancienne amie, rue Galande, près de ton université !
— … Silence, j'en reste bouche-bée. Depuis mon retour de vacances, j'attendais cette décision, je voulais d'échapper à l'étouffement de mes parents, gentils mais surprotecteurs.
— Une chambre sous les toits en plein Paris, plaisante Jade, comme celle de Mimi dans la Bohême, et elle continue en entonnant l'air de l'opéra : « Mi chiamano Mimi, ma il mio nome è Lucia »
— Oui, nous pensons que c'est plus simple pour t'organiser même si nous savons que nous perdons notre enfant.
— (enfin je réagis) OH ! Merciiiiiiiiiiii Pa', merci Man' !
— John, demain tu m'emmèneras demain voir ton quartier, (tout sourire, j'approuve de la tête) il faut que tu me fasses visiter la capitale....
La soirée se termine dans la joie partagée avec tous avec l'idée de mon indépendance de vie et celle d'être seul demain avec Jade, Jade mon amante qui dès le dîner terminé s'excuse et nous quitte :
— P'tite sœur, ma chérie, il se fait tard, le voyage a été fatiguant je vais partir pour rejoindre mon hôtel, pour me reposer.
— D'accord Jade, on se retrouve demain matin pour le p'tit dèj ?
— Oui avec plaisir... Et avec toi John, en me regardant intensément et me serrant les deux mains, pour visiter la ville ! Bonne nuit à tous.
On s'embrasse tendrement sans laisser paraître plus notre impatience. Je me couche, en pensant aux temps passé à Montpellier et à la journée du lendemain, dans un état d'excitation tel qu'il m'est difficile de trouver le sommeil.
Le lendemain, ma tante arrive tôt, la matinée se déroule normalement bien que je sente un nouvel empressement et dès le déjeuner terminé elle précipite le départ :
— Monique, ton bœuf marengo était délicieux !... Il fait si beau, je crois John qu'on va y aller.
— Déjà, ma Chérie !!!
— Oui p'tite sœur, je suis impatiente de retrouver Paris, l'île Saint Louis, le Quartier Latin et que John me fasse découvrir sa fac.
— OK ! Répond ma mère un peu déçue de l'empressement. Allez-y ! Mais... Ne rentrez pas trop tard !
— T'inquiète pas sœurette ! Je veille sur ton garçon. Allez John ! On y va.
— Ar'voir Man ! Ar'voir Pa ! … On revient vers 20 heures.
— O Kayyyy ! Répond ma mère en abdiquant. Mais pas plus tard ! S'écrie-t-elle.
On quitte la maison pour filer à la gare. Sitôt le coin de la rue passé, Jade me prend par le bras et me presse contre elle, elle me regarde amoureusement, nos lèvres se joignent en un bisou furtif.
— Mon chéri, qu'il m'a été difficile de résister à ton impatience, heureusement j'ai la tempérance de l'âge même si le feu me dévore...
Dans le train, en ce début d'après-midi il y a du monde, nous restons debout l'un en face de l'autre, les yeux dans les yeux, la main dans la main, à se faire des mimiques, à s'envoyer des bisous. On nous observe... Prudemment elle me caresse les cheveux et murmure:
— J'aime ta coupe de cheveux, ça te va bien.
— Toi aussi tu as changé, avec tes cheveux à la garçonne.
— Oui, je l'ai fait à la demande de Valérie. Ta "sœur de cœur", ajoute-t-elle d'un ton espiègle. Tu sais, nous avons sympathisé, nous partageons beaucoup de choses ensemble... (le sous-entendu ne laisse aucun doute). Elle dit que ça me rajeunit et c'est vrai, les gens nous prennent pour deux sœurs.
En se rapprochant de Paris, il y a de plus en plus de monde dans le train, je profite d'une bousculade pour plaquer jade à la cloison du wagon, son ventre contre le mien, en réponse défiant nos voisins, elle m'embrasse du bout des lèvres et me chuchote à l'oreille :
— John ! J'ai envie de toi...
— Moi aussi, que je réponds tout bas en m'appuyant contre elle.
Dès la sortie du train avec la même complicité nous recherchons un hôtel. Dans une petite rue, un panneau discret signale "Hôtel des Voyageurs", c'est un établissement un peu vieillot. En entrant, derrière le comptoir un vieux bonhomme nous accueille, la demande d'une chambre par ma tante, l'absence de bagage et notre différence d'âges le font sourire. Il encaisse les 50 francs et nous tend une clé « Chambre 17 au 3ème » en ajoutant avec malice « Bonne après-midi messieurs-dames ! » .
Nous montons quatre à quatre l'escalier de bois en se tirant par la main, traversons le couloir jauni, entrons dans la chambre désuète. Dès la porte fermée, sans tenir compte de l'environnement, nous abandonnons toute retenue. Le sevrage est tel que mon côté bestial emporte tout sur son passage, ce sont des baisers fougueux, des mains fébriles, des vêtements arrachés. Je pousse la femme sur le lit, elle me reçoit cuisses ouvertes, me guide, je la pénètre d'un coup. Nos sexes assoiffés se retrouvent et s'unissent immédiatement le plus naturellement du monde. A peine transpercé son vagin libère un flot de cyprine. Nous faisons l'amour sauvagement. Ses jambes, ses bras m'enlacent, m'enserrent comme des tentacules.
On ne retient plus nos corps en manque, on veut tout, tout de suite, plus fort, plus profond. Je suis sur elle, elle me renverse, inverse les rôles. Nos sexes ne cessent de copuler, nos bouches ne cessent de s'embrasser, nos langues de tournoyer, nos mains de s'étreindre, nos ventres de se rencontrer. Nos gémissements montent en gamme, deviennent bruyants, nous nous abandonnons jusqu'à ce que l'orgasme nous foudroie... Je l'inonde, son corps se tend, ses doigts se crispent, son étreinte m'étouffe et d'un coup tout se relâche.
Elle reste allongée sur moi, inerte. Je la caresse doucement, la frôle, l'embrasse dans le cou... Progressivement on retrouve notre souffle, puis on vire sur le côté sans se séparer.
C'est alors qu'on prend conscience de l'environnement, des pas dans le couloir, de l'eau qui coule, des ressorts qui grincent... On pouffe de rire dans l'épaule de l'autre en pensant au spectacle qu'on a dû offrir. On bavarde tout bas de la nature de l'hôtel, un hôtel de rendez-vous, peut-être un hôtel de passe, normal auprès d'une gare et c'est ce que nous cherchions. Elle me parle de ses relations avec Valérie. Je lui raconte mon histoire avec Marco, de ma sortie au cinéma. Elle me réponds dans un soupir « T'es un gros cochon... »
Mes mains retrouvent ses seins un peu lourds, sa peau glabre, légèrement adipeuse, ses fesses bien pleines. Ses cheveux courts dégagent entièrement son cou, j'y promène mes lèvres, j'y retrouve son parfum sucré, mes sens se réveillent, ma bouche couvre ses épaules de suçons, passe au creux de son aisselle, y trouve le goût salé de sa sueur. On s'amuse à entendre nos voisins faire l'amour, et lentement caresses, baisers, lichettes réveillent nos envies...
La bestialité fait place à la délicatesse, couchée en cuiller au creux de mon ventre, elle lève la cuisse et dirige ma queue dans son vagin, sa jambe passe par derrière les miennes, elle est quasiment couchée sur moi, son corps bandé comme un arc. Je lui fais l'amour doucement, ses mains plaquent les miennes sur sa poitrine et son ventre, elle se laisse balancer, son corps pèse peu à peu. Elle se dandine, remue, tourne sur le côté jusqu'à se dégager et se mettre en levrette la tête dans l'oreiller. Elle me tire à elle.
Je me redresse, lui caresse les fesses, les couvre de bisous, lui lèche l’œillet tout en lui doigtant le sexe débordant de mouille. Pour répondre à son impatience je me place derrière elle et c'est elle qui vient à moi, qui s'empale par les fesses. Alors, je la saisis par les seins et reprends ma branlette qu'elle accompagne d'une main. Son se contracte au rythme de ma sodo... Je la besogne, j'accélère, j'allonge le pas... Je deviens grossier, « Salope, t'aime ça te faire défoncer le cul » elle répond de même « Ouais, encule-moi... plus profond.... Oh ouais, comme ça... Oui, ouiiiiiiiii ! »
Nos jouissances n'en font qu'une, je me déverse dans ses intestins. Elle s'écroule et nous roulons sur le côté en restant unis.
Je la câline, l'embrasse dans le cou, lui suce le lobe de l'oreille, elle ronronne. On reste longtemps ainsi même peut-être qu'on somnole un peu. Le temps a passée, on est dans la pénombre, il faut partir. Dans le cabinet de toilette il y a juste un lavabo et un bidet, on découvre dans le miroir nos corps marqués de nos étreintes, on se sourit et là je pense... aux putes qui viennent ici, je suis pris d'une envie irrésistible de baiser. Je colle ma tante au mur, la tiens fermement par les mains levées au dessus se sa tête, nos langues bataillent, je la lâche, elle devient nerveuse. Sa main gauche me tient au cou, la droite me prend le sexe, il est de béton, Elle bombe le torse, bredouille « Prends-moi ! ». Elle se met sur la pointe des pieds, relève un genou à sa poitrine, oriente ma verge sur sa vulve,
Debout sur un pied, l'autre jambe à ma taille, elle se cramponne à mon cou, je la soutiens par les fesses. Nos corps ondulent au pas du chameau, lentement d'abord, sa lourde poitrine se balance sur mon torse, on se regarde, se sourit, notre accouplement s'accélère, ses gémissement deviennent plus sonores. Elle est animée de sauts de carpes et je la reçois bien ancré au sol, sa respiration devient ahanement, le chuintement de notre union est parfaitement audible. Je ne me retiens plus, en deux coups de reins je jouis, si peu mais tellement fort. Elle se remet sur ses deux pieds, semble pleurer sur mon épaule et me dit « C'était si bon mon chéri ! »
La fête est finie, elle fait sa toilette au bidet et moi au lavabo. Vite il faut filer. On quitte l'hôtel précipitamment avec le sourire et le souhait de nous revoir de l'hôtelier... Il fait nuit, la rue est beaucoup plus animée qu'en début d'après-midi, des professionnelles attendent le client.
Sur le chemin du retour à la maison je me confie à Jade et lui fais part de mon idée de me féminiser. « Te féminiser ou te travestir ? ». Après une demi-heure de discussion elle me dit qu'elle en parlera avec ma ''sœur de cœur'' qui connaît bien les contraintes de cette idée.
De retour à la maison, comme si rien ne s'était passé, la sagesse de Jane prend le dessus et le week-end se termine dans la plus naturelle relation entre un neveu et sa tante.
...................
Quelques jours plus tard, rue Galande, je pousse la porte d'un immeuble ancien comme tous ceux du quartier, je monte au 4ème étage où on m'attend. Une dame aux cheveux blancs bien de sa personne me reçoit et me conduit deux étages plus haut. Dans un long couloir délavé s'alignent une dizaine de chambres, elle me mène jusqu'à l'une d'elles marquée J. LENORD.
— Voilà jeune homme votre paradis, me dit-elle en ouvrant la porte,. J'y ai indiqué votre nom, comme sur la boîte aux lettres en bas, vous avez les toilettes au fond du couloir. Malgré son âge, sa voix est sensuelle, son regard coquin, son sourire malicieux. D'une main elle me pousse à entrer.
Sur la droite il y a une armoire et un buffet sur lequel est posée une plaque chauffante, dans le coin un lavabo et un seau hygiénique, pratique vu les toilettes à l'étage. En face de l'entrée, une fenêtre chien assis, offre une superbe vue sur les toits de Paris et les tours de Notre Dame. Derrière la porte, dans le coin un lit pour deux personnes, à coté une grande table avec deux chaises et au mur un grand miroir.
— Vous avez une jolie vue et le miroir a été installé pour un petit rat de l'Opéra, je trouve qu'il agrandit la pièce, je suis émerveillé par mon domaine qui d'un coup double de volume... Bien ! Si vous voulez descendons à l'appartement que nous fassions connaissance !
En revenant chez madame Girard, nous prenons le thé et après m'être présenté, elle me confirme qu'elle connaît ma mère pour avoir travaillé ensemble, j'apprends que son mari voyage beaucoup et qu'elle aime entretenir des relations amicales avec ses locataires
— Si tu veux John... tu veux bien que je te tutoie ? D'un grand sourire et d'un signe de tête je lui fais part de mon accord. Et dans ces conditions, moi c'est Germaine. John je te ferai découvrir le quartier et te présenterai à quelques commerçants pour qu'ils te soignent bien. Mais pour l'instant je vais te laisser t'installer et si tu as besoin de quoi que ce soit, viens me voir. Bernard passera te dire bonsoir tout à l'heure. Au moment de se quitter elle me fait deux tendres bisous à la commissure des lèvres.
— Merci Germaine, je ne manquerai de vous faire signe. En même temps, en moi-même, j'espère qu'elle ne s'imposera pas trop, je ne voudrais pas fuir l’œil de ma mère pour me placer sous celui de la copine
Je remonte rapidement les deux étages. Quel plaisir d'être chez soi !. En chantonnant, je défais mes valises, range les vêtements de Jane à côté de ceux de John. Dans le tiroir près de mon lit, je place mes jouets, plugs, gode, lubrifiant et les pinces à téton. Au mur, j'affiche la photo de groupe prise le soir de mon anniversaire sur laquelle je suis en peignoir et un portait de ma tante avec Valérie. Sur la table je place bien visible mon vide poche en bronze avec l'empreinte en relief du sexe de ma tante, cadeau de mes 19 ans. Alors que je termine de faire mon lit, on frappe à la porte, j'ouvre, un monsieur entre :
— Bonsoir John, je suis Bernard, le propriétaire, je viens voir si tout va bien …
C'est un bonhomme svelte, aux cheveux gris ondulés, dans la soixantaine, en costume cravate. D'un coup d'œil il fait le tour de la pièce, voit les photos, s'en approche tout en prenant en main mon vide poche. Je deviens rouge comme une pivoine quand il caresse l'empreinte du sexe qui s'y trouve, il observe avec attention les portraits
— C'est celui de l'aînée ?... Ce sont deux sœurs ? Elle sont jolies !... Je me sens très mal quand il me regarde en souriant. Chuuut ! Je te taquine ! Comme t'a dit Germaine descends quand tu veux, il n'y a pas de douche à l'étage, tu viendras la prendre dans notre salle-de-bain, on sera en famille.
On sera en famille... Tout le contraire de ce que je cherche mais aussi tout un programme.
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