Etre John et Jane Chapitre 3 - Une visite imprévue

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Etre John et Jane Chapitre 3 - Une visite imprévue Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Etre John et Jane Chapitre 3 - Une visite imprévue
Depuis quelques jours je vivais ''chez moi'', dans une petite chambre de bonne près de ma fac et loin de mes parents, libre d'être tantôt John, tantôt Jane, lorsque j'ai reçu cette lettre :

« Coucou ma petite sœur chérie,
« A son retour de Paris, Jade m'a donné de tes nouvelles. Elle m'a parlé de ton installation et de ta sortie au ciné porno... T'es une grosse cochonne ! Elle m'a parlé aussi de ton désir de te féminiser.
« C'est une question importante, autant physique que mentale, il faut bien y réfléchir et être bien conseillé. Le choix de l'endocrinologue est fondamental. J'en ai parlé avec la mienne et elle recommande une confrère, madame Juste, tu trouveras son téléphone, appelle-la.
« Je viendrai te voir dans deux semaines pour en parler.
« A très bientôt ma chérie, je t'embrasse, ta grande sœur qui t'aime, Valie.

Sur ces conseils, j'ai rencontré la doctoresse Juste. On parla longuement, elle me fit comprendre que paraître n'était pas être. Si ma silhouette, la douceur de mon visage, ma coiffure, mon travestissement, me faisaient paraître femme, mon état d'esprit était fondamentalement masculin.
La prise d'hormones pour modifier son genre était un engagement à priori sans retour et aux résultats progressifs, il fallait au moins un an pour obtenir un début de transformation qui restait fragile. Rien de miraculeux, rien de définitif. Par contre les soins d'un institut de beauté et d'une salle de gym me permettraient de renforcer mon apparence. Je la quittai convaincu, en ayant deux priorités, trouver une esthéticienne et un coach de gym.

Rapidement je trouvai l'institut ''Beauté d'Ange''. La patronne, une jeune femme d'une trentaine d'années, me reçut dans un petit salon où je lui expliquai mon attente, elle m'écouta avec beaucoup d'attention et comprit mes besoins. Un bon feeling s'installa entre nous, du monsieur, madame du début de l'entretien nous arrivâmes à Jane et Claudine au moment de prendre rendez-vous pour la semaine suivante. J'étais définitivement Jane pour l'Institut.

Restait à trouver un coach de gym.

... Une semaine plus tard, à la veille de la visite de ma sœur ...

En sortant de l'institut de beauté avec une peau de bébé, il est déjà midi. Je me dépêche de monter dans ma chambre, j'ai beaucoup à faire, l'indépendance a ses contraintes de bouffe, de linge, de rangement. En arrivant je trouve, glissé sous ma porte, un papier griffonné :

« Salut Jane, je repasserai en soirée, je compte sur toi, Marco .

Le mec du cinoche veut me revoir !... Ça fait plus de 15 jours qu'on ne s'est vu mais son invitation tombe mal, avec l'arrivée de Valérie demain, de toute manière je n'ai pas de choix.

Après avoir fait mes tâches ménagères, j'ai juste le temps de m'habiller, bas, serre-taille, culotte de satin et mini débardeur pour retrouver Marco. J'applique le fond de teint et le blush offert par l'esthéticienne, j'ajoute une vaporisation de «Terre d'Hermès» et je termine avec un jean et un pull au moment où on toque à ma porte. C'est lui :

— Salut Jane ! S'exclame-t-il. T'es toute belle ainsi à peine maquillée, une vraie gonzesse. Allez, j't'emmène dîner au resto... Mais tu vas encore avoir trop chaud !
— Chuuut ! On entend tout à côté, parle moins fort.
— D'accord ma chérie, me dit-il en parlant tout bas, mais enlève-moi ce pull !

Comme l'autre jour au cinéma en le faisant passer par dessus la tête mon débardeur découvre la moitié du torse. Marco excité comme une puce, me pelote le jean et me martyrise un téton entre son pouce et l'index.

— Toujours aussi bandante !... Sous ton imper t'as pas besoin de jean, une dame va en bas.
— Oui mais en jupe, que je réponds froidement, et ça je n'en ai pas !
— OK !... Je t'en offre une ! Allez, désape-toi et emmène-moi dans une boutique du coin.

Il a réponse à tout, ainsi je pars juste en imper et sous-vêtements, avec mes chaussures à petit talon... Mes premiers pas dehors me terrifient, j'ai l'impression d'être nue et montée sur des échasse, je sens le vent s'engouffrer de toute part. Je sers les cuisses et marche comme on me l'a appris, pied l'un devant l'autre ce qui me fait tortiller du cul. On marche un moment avant d'arriver sur le boulevard et de trouver une boutique de mode. Maintenant c'est l'épreuve de vérité, protégée de mon simple imper, coiffée à la Cloclo et à peine maquillée... Dès notre entée le doute est levé :

— Bonsoir messieurs-dames que puis-je faire pour vous ?
— Nous voudrions pour madame une jupe à volants et une blouse dans les tons pastels.
— Oui bien sûr suivez-moi... Préférez-vous dans les bleus, ou les roses, peut-être ce jaune paille ?

Plusieurs articles nous sont proposés, Marco choisit, on file tous les deux en cabine, je quitte mon vêtement et reste juste en sous-vêtements sous son regard malicieux. Après quelques essais, je sors avec une jupe bleue pervenche qui se relève dès que je virevolte et un chemisier gris perle transparent. Je garde les habits sur moi ce qui ne surprend pas particulièrement la vendeuse.

— Je t'emmène dîner et après nous verrons...

Pour la première fois je sors travesti dans les rues de Paris. Marco est galant, il me donne le bras me traite en dame. Au restaurant, à sa demande le maître d'hôtel nous place dans un coin de la salle à une jolie table fleurie, il veille sur moi et me présente la chaise à côté de celle de mon compagnon. Une fois seuls, Marco exige que je relève ma jupe pour être nue sur le velours du siège la chaise. J'aime ce double personnage autoritaire comme l'autre jour rue de Pigalle, et coquin comme il pose sa main à la lisière de mon bas. On parle beaucoup, le vin me désinhibe. J'apprends qu'il est coach sportif et qu'il possède un club de gym (comme par hasard). Je lui fais part de ma recherche et me répond tout guilleret :

— Jane, je suis ton homme ! A double titre, dit-il en éclatant de rire. Viens me voir, mon club est à 10 minutes de chez toi, de l'autre côté de la Seine. Je te mettrai entre les mains de Lyne, une nana sympa qui anime un groupe de quatre, cinq filles, elle te fera travailler fessiers, abdos, souplesse, tout pour sculpter ta féminité. Tu viendras en débardeur, leggins et chaussons, t'inquiète, c'est vachement relaxe. Viens vendredi prochain à 18 heures !

Le repas se termine, tout est encore plus délicieux, l'ambiance joyeuse, je suis tellement contente d'avoir trouvé mon coache et lui heureux de ma compagnie. A la fin du dîner il m'invite :

— Bien Jane, je t'emmène en boîte, on va fêter nos retrouvailles et ta prochaine venue au club de gym.
— Non Marco pas ce soir ! Je suis fatiguée et demain je reçois mes parents.
— T'es une salope ! Crie-t-il. D'un coup son visage se crispe, il fulmine, il va me foutre une baffe puis maugrée entre ses dents. T'aurais pu le dire dès mon arrivée... Il m'empoigne par le bras et continue J'te ramène chez toi !.
— Excuse-moi Marco, je te promets la prochaine fois...

Tout le long du chemin, il manifeste sa mauvaise humeur. Arrivés rue Galande je vais pour lui dire au revoir quand furieux il me dit :

— Entrons, tu dois passer à la caisse d'abord !

Il me pousse dans l'immeuble, au fond du hall sous l'escalier il y a un espace caché. Le galant devient ignoble, il me pousse dans le coin, se plaque à moi. D'une main il ouvre mon imper, déchire presque ma blouse, s'en prend violemment à mon téton très vite endolori, de l'autre il soulève l'arrière de ma jupe et se crispe sur ma fesse, un doigt au plus profond d'elle. Je sens son sexe contre mon ventre et dans sa furie je ne peux éviter qu'il m'embrasse à pleine bouche, sa langue épaisse m'envahit, tournoie autour de la mienne toute fine.

— Hein, p'tite pute tu pensais te faire régaler gratuitement. Il me maltraite un moment. La minuterie s'est éteinte, nous sommes dans le noir total. Il murmure : Donne-moi ton cul... Je ne réagis pas assez vite, il m'ordonne à haute voix : Donne-moi ton cul salope !

Dans le silence de la nuit sa voix résonne. Le con, on va l'entendre dans toute la cage d'escalier, sans résistance dans le noir sous sa conduite je me tourne dans le coin, m'appuie au mur et debout m'offre en levrette, jambes largement écartées. Il relève ma jupe, la pose sur le dos, trouve ma culotte, en bougonnant des deux mains il me l'abaisse d'un coup sec à mi-cuisses. Il me flatte le postérieur, me prend au sexe entre les cuisses, grogne de satisfaction entre ses dents « T'es toute douce ! » Avec deux doigts il mouille à plusieurs reprise mon petit trou, le masse en rond avant de le pénétrer. Putain c'est fou comme il m'excite d'autant plus là debout dans le noir. Il va et vient plusieurs fois et enfin il pointe son sexe. D'un coup son gland s'enfonce brusquement, d'un deuxième son ventre est contre mes fesses. Sans autre précaution, à moitié couchée sur mon dos, je sens sa respiration dans mon cou, ses mains sous mon maillot s'en prennent aux tétons, les pince, les roule, les tire. Il a rien à faire de mes gémissements, il me besogne sauvagement, me traite de pute, ses coups violents me bousculent, me font aller d'avant en arrière...

Tout à coup la porte du hall s'ouvre, la lumière s'allume, nous éblouit, quelqu'un entre dans l'immeuble. Mon cœur bat la chamade, l'homme s'immobilise au fond de mes fesses, je retiens ma respiration. Deux personnes parlent dans le hall à moins de deux mètres de nous, enfin elles montent lentement l'escalier. Les marches en bois grincent, les pas s'éloignent.... A ce moment Marco recommence à me forniquer lentement, à me tripoter le sexe tout flasque, finalement on entend une porte claquer, la lumière s'éteint, le silence revient. Il ne cesse de me peloter les couilles, malgré tout mon sexe pend lamentablement entre les jambes, il se moque me traitant de lopette. Alors il me prend les seins à pleine main, me relève à 45° et me sodomise avec force. Ça dure un moment, son souffle est puissant, je suis comme balloter. Un coup plus violent que les autres me soulève presque puis il s'immobilise dans un grognement rauque, quelques soubresauts, il m'inonde les fesses. Il n'attend pas longtemps et sort de mes entrailles, une coulée de sperme s'étale sur mes cuisses. Je ne vois rien, ne sens plus rien, il doit remettre son froc, j'entends le zip de la fermeture éclair, la boucle de son ceinturon, il me donne une grande claque sur les fesses qui résonne dans l'escalier et sans attendre il me quitte :

— Bonne nuit Jane ! Et j't'attends vendredi au club.

Sans allumer, il est déjà sorti. Un peu abasourdi, j'enlève ma culotte restée sur mes cuisses, je rabaisse ma jupe sur mon postérieur, croise mon imper et monte sans bruit les six étages pour arriver à ma chambre.
J'abandonne imper et jupe en entrant et quand j'allume me trouve face au miroir en bas, ventre nu sous mon chemisier largement ouvert. Je sens mon entrejambe poisseux, je me touche les fesses, elles sont trempées, je fléchis légèrement les genoux, mon anus se relâche et ma main se couvre de jute, je lèche mes doigts et retrouve le goût du sperme, alors je suis pris de démence.

Je me débarrasse du chemisier et du mini débardeur, mes quatre doigts replongent dans mon fondement, pas autant que je le voudrais. Je me précipite sur ma table de chevet, prends le gode aux quatre œufs superposés et face au miroir, à genoux au sol je m'empale sur le sextoy.

Mouillé comme je suis je m'enfonce sans difficulté les trois premières boules avec la plus grosse de 6cm, ce sont plus de 15 cm que j'ai dans mon sphincter. Cuisses ouvertes, je me regarde monter et descendre sur l'olisbos planté au sol. Je me vois nymphomane, le maquillage défait, la chevelure ébouriffée, en bas et serre taille, mon clito mollasson. Je me masse les seins, les pétris à pleine main, entre mes doigts mes tétons s'allongent, je danse de plus en plus vite. Je veux m'exploser le cul, avaler le dernier œuf, celui de 7 cm, je ne l'ai jamais fait, je le tiens, le masse, il est recouvert du sperme qui coule de mon ventre.

Lentement je me laisse aller, mon anus se dilate au maximum, mon sphincter se remplit, je ne peux aller plus loin mais reste assis sur le gode. Je bouge de droite, de gauche, je me détends comme endormi. Sous la pression le fond de mes entrailles se déchire, la pointe de l’œuf se perd dans mes tripes, mon cul se dilate et d'un coup je suis assis sur le parquet. C'est énorme, ce sont presque 25 centimètres que j'ai dans le ventre, je n'ai plus la force de bouger. Je me contemple assis, genoux et cuisses largement ouverts, je sens ce monstre en moi, mes muscles se contractent et se relâchent sur lui. Je perds le souffle, j'ai l'impression de me liquéfier Alors je danse deux, trois fois sur le pieu fiché au sol, la boule dans le ventre me gêne un peu, je me relève et mon bide dégueule l'intrus ruisselant de traces nacrées et jaunâtres.

Après mettre lavé, démaquillé, brossé dents et cheveux, je me glisse entre les draps dans un grand soupir. Je ressens un grand vide en moi, la poitrine me brûle, je masse lentement mes tétons turgescents.
Je me repose à la recherche du sommeil dans le silence de la nuit quand on prêtant l'oreille j'entends des sons à travers la cloison contre laquelle je suis allongé, de l'agitation, des paroles inaudibles, des gémissements, pas de doute on fait l'amour à côté de moi. Ce que j'entends me sort de mon demi sommeil, me redonne la trique. Je me mets à genoux, l'oreille collée au mur, tout en me caressant lentement. Ils sont deux, je les entends distinctement, leur lit doit être comme le mien accolé à la cloison tout au moins j'entends des bribes de parole « Oui comme ça... la main... C'est bon » Les voix se mélangent « Le cul... Oh oui... Plus fort » qui sont-ils ? Hommes, femmes, jeunes, vieux ? Là pas de doute, ils baisent. Je les imagine... Il y a la mère Girard, ma proprio, avec un jeune locataire, elle en levrette avec les mamelles qui se balancent, lui debout en flexion la sodomise à la verticale, et moi je me branle à leur rythme. Je les entends, elle miaule et lui râle, je respire en cadence avec eux, nous sommes tous les trois ensemble, je gémis, il grogne « Oh oui ! Attends... Arrête ! » Au contraire, ma main accélère... Une giclée m'échappe avant que je retienne mon flot de jouissance dans le prépuce qui rapidement gonfle, je laisse alors le sperme aller au creux de ma main avant de la porter à mes lèvres, je lèche, je récupère encore ce que je peux et m'en délecte.

Putain j'en ai partout ! A nouveau, je me lève et file au lavabo, je constate que mes fesses sont à nouveau mouillées, je me recouche et me fous le petit plug en caoutchouc pour fermer mon petit trou comme le faisait mon cousin quand on était ensemble. De nouveau au lit, je prête attention à ce qui se passe à côté, je les entends parler, l'eau coule, il y a des rires puis ils se couchent, parle encore et plus rien. Je m'endors la main entre mes cuisses.

Les avis des lecteurs

Merci Nico
Si tu ne les connais pas, aussi les précédents... d'avance merci pour tes commentaires

Histoire Erotique
C'est bien coquín et donne envie de lire très vite le chapître suivant
Nico



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Histoire sexe : Une rose rouge
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