Etre John et Jane Chapitre 4 - Week-end avec ma soeur 1/2
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Etre John et Jane Chapitre 4 - Week-end avec ma soeur 1/2
Je file à la gare chercher Valérie, ma "sœur de cœur". Je me suis mise au féminin, au dessus de la blouse et de la jupe offertes par Marco j'enfile l'imper de John totalement incongru en cette soirée printanière. Heureusement, en passant devant une vitrine je me laisse séduire par une jolie petite veste orangée. L'impulsion féminine me pousse à entrer, je m'amuse à tromper mon monde une nouvelle fois et ressors plus féminine que jamais avec la veste sur le dos et l'imper dans le sac.
Quand je vois au loin sur le quai ma sœur, mon cœur se met à battre. Elle s'approche, ne me remarque pas ! En six mois ai-je tellement changée ? Je l'appelle tout bas :
— Valie !... Enfin elle me regarde, j'ajoute pour la convaincre. Bonsoir ma chérie.
Stupéfaite, sans dire un mot elle lâche sa valise et se jette à mon cou, la chanson de Piaf me revient en tête : "Emportés par la foule qui nous traîne, nous entraîne, écrasés l'un contre l'autre, nous ne formons qu'un seul corps". Nos lèvres s'unissent en un tendre baiser, la tête me tourne, les bruits de la gare deviennent un brouhaha sourd, puis elle murmure :
— Jane, petite sœur, que tu es belle ! Ton visage, ta coiffure, tu es méconnaissable ! Elle m'embrasse à nouveau puis après un bref silence ajoute... Alors c'est vrai, tu es installée, tu es chez toi ! Tu es devenue une grande fille émancipée, me dit-elle dans un grand éclat de rire.
— Oui ma chérie, émancipée et avec toi. Viens, allons à la maison.
Nous rejoignons la rue Galande et discrètement nous montons jusqu'à ma chambre. Travestie, j'ai peur de rencontrer mes propriétaires dans l'escalier.
Arrivées dans ma chambre nous laissons libre-cours à nos sentiments. Les bisous deviennent baisers ardents, les jupes, blouses, robes volent. Elle en slip brésilien rouge et moi en sous-vêtements blancs, nous nous jetons sur le lit.
Sevrées les mains effleurent, caressent, palpent ; assoiffées les bouches embrassent, lèchent, sucent. Valérie brûle les étapes, abandonne son dernier vêtement et s'offre indécente sur le dos, genoux repliés sur la poitrine en grognant « C'est toi John que je veux ce soir. »
Je suce longuement sa bistouquette, lèche son petit trou et la pénètre d'un coup. On fait l'amour avec passion, avec rage, ses bras m'étreignent, ses jambes m'enserrent. Ses gémissements sourds deviennent vibrants. On baise sans retenue pour faire exploser cette boule au fond de soi, rapidement je l'arrose, elle hurle son plaisir :
— OUIiii, un cri que j'étouffe de la main... Oh ! comme c'est bon ! qu'elle ajoute dans un souffle
Sans l'écraser, en lui laissant le temps de reprendre son souffle, je lui raconte comme c'est sonore, comme la nuit précédente j'ai entendu nos voisins faire l'amour. On éclate de rire quand les cloches voisinent sonnent 10 heures.
— Valie, tu n'as pas faim ? J'ai préparé une salade avec du pâté en croûte.
— C'est top ! En se levant pour aller se laver, elle pouffe de rire en me voyant, John, t'es super sexy en bas et débardeur.
Alors que je prépare la table, elle découvre ma chambre, trouve les photos au mur et mon vide poche avec l'empreinte du sexe de ma tante. Tout en mangeant on évoque nos souvenirs de l'été dernier, notre rencontre sur la plage, puis celle avec ma tante, mes premiers pas de fille à Montpellier et enfin la folle orgie de mes 19 ans. On rit beaucoup. A 20 ans ou un peu plus, la soif de sexe est intarissable. Ses nénés d'ado me donne la trique et quand elle regarde le lit, je l'entraîne d'un « Viens ! »!
Elle plonge sous les couvertures, en deux mouvements je me débarrasse de mes derniers habits. Dès que je suis près d'elle, elle rabat les draps et éteint la lumière. On s'embrasse, on se caresse, dans la pénombre on n'entend que le froissement des draps, ses ongles me labourent le dos. Résolument elle se tourne, colle son dos à mon ventre, relève une cuisse, oriente ma verge sur son puits d'amour, d'un coup de reins je la pénètre. Nous restons immobiles, on n'entend alors que la respiration de l'autre, je sens son cœur battre sous ma main.
On fait l'amour lentement, à l'écoute de chaque soupir, jusqu'à ce qu'elle passe son pied au dessus de moi, s'arc-boute sur moi, cuisses largement ouvertes, buste offert telle une sphinge. Elle se laisse porter par mes coups de reins, je l'entends gémir, se masser la poitrine. Je la tiens au sexe, sous mes doigts sa quéquette prend vigueur, puis son bassin s'anime, elle bande vraiment, mes doigts s'activent sur son membre, ses gémissements deviennent râles et d'un coup, elle s'effondre sur moi.
— Ooooh Oui, ui, ui, ui !..... Je la laisse exulter, peu m'importe le voisinage, sa jouissance fuse entre mes doigts.
Alors tel un phallo, je la bouscule, la met sur le ventre et l'encule avec force, en une dizaine de coups, dans un long rugissement l'orgasme me submerge et je m'écroule sur elle... On reste ainsi l'un sur l'autre, l'un dans l'autre. Peu à peu, je fonds en elle, le calme revient, je vire sur le côté en l'entraînant avec moi et pour nous retrouver emboîtés l'un dans l'autre.
— Alors t'as vu le docteur Juste ? Me demande-t-elle d'une voix pâteuse, mi endormie.
— Oui, elle m'a fait comprendre que mon envie de féminisation était contraire à mon état d'esprit.
— A qui le dis-tu ! Sale macho !... S'exclame-t-elle à mi-voix T'as vu comme tu m'as niquée !
— T'as pas aimé ?... Dans le silence, au milieu des bâillements, je continue de plus en plus en sourdine. Ainsi Paraître n'est pas Être, comme l'habit ne fait pas le moine. Donc inutile de penser hormones et chirurgie mais plutôt esthéticienne et coach de gym.
— Ça me paraît bien réfléchi... Elle semble dormir, puis dans un soubresaut ajoute : Paraître femme ? Ouais, demain nous ferons quelques pas... en escarpin. Sa voix s'éteint, elle dort dans mes bras.
........................
La lumière du jour et les cloches du dimanche me réveillent. Dans mes bras, Valérie dort, la faim me tenaille alors sans bruit je me lève et descends chercher pain et croissants . Un quart d'heure après, je retrouve ma "sœur de cœur" dans ses ablutions, chantonnant. Il fait un grand soleil, par la fenêtre on voit les toits de zinc et les tours de la cathédrale, c'est le bonheur. Le temps de déjeuner, il est midi passé.
— Jane ! Prépare-toi, me dit-elle aussi gentiment qu'avec autorité. Nous allons faire un peu de shopping, emmène-moi dans les magasins.
Je me maquille légèrement, fond de teint et rouge à lèvres, on s'habille comme la veille, moi avec ma veste orangée, nous partons toutes joyeuses, bras dessus, bras dessous pour remonter le boulevard Saint Michel :
— Tu es toute mignonne dans ton ensemble, j'aime beaucoup ta jupe qui souligne ta taille.
— Oui, un cadeau de Gaby, je l'ai remercié d'une levrette dans le hall de l'immeuble !
— OH !!! En bas de chez toi ?
— Ouais avant-hier soir, après le resto il voulait m'emmener en boîte, je n'ai pas voulu et... il s'est servi.
— Comme d'une pute ! Je vois... Par contre ma chérie, tes chaussures ne sont plus de saison. Je vais m'occuper de toi
Sur le boulevard il y a l'embarras du choix de magasins de chaussures. Rapidement on trouve de beaux escarpins beiges à lanière cheville et talon de 6 centimètres, un peu plus haut que mes actuelles. Je m'amuse beaucoup avec la vendeuse à croiser et décroiser mes jambes en faisant crisser le nylon de mes bas
— Tu es parfaite, quel chemin parcouru en six mois ! Tu te rappelles de tes premiers pas à Montpellier, qu'est-ce qu'on a rigolé.
Notre balade se poursuit, on flâne, une pause à une terrasse de café. On se fait draguer, on s'amuse. S'ils savaient, une bonne partie baisserait pavillon.
— Bon ma Chérie, passons aux choses sérieuses. Emmène-moi à Pigalle... Je la regarde paniquée... Allez ouais emmène-moi au cinoche, FAIRE LA PUTE ! Dit-elle sérieuse tout en élevant la voix, puis elle me regarde, sourit et ajoute d'un ton moqueur. Maiiiis noooon ma chérie ! Pour faire quelques achats, te rendre plus féminine.
On traverse Paris en métro, le boulevard de Clichy en fin d'après-midi semble se réveiller, les néons font encore pâle figure au soleil couchant, les filles sont en place, les bars ouvrent leurs portes. Les passants s'intéressent aux boîtes de strip-tease et aux sex-shops. Nous entrons dans l'un d'eux... Pourquoi celui-là ? Peut-être la devanture plus classe avec sa lingerie, ses bijoux, ses bracelets de cuir, peut-être sa position plus discrète.
Valérie décidée ouvre le chemin, écarte le rideau de la boutique, immédiatement une odeur étrange me prend à la gorge, un géant barbu installé derrière la caisse nous souhaite la bienvenue. Il y a peu de monde, un couple regarde les vidéos, deux hommes feuillettent les magazines et un troisième nous dévisage. On circule entre les différents rayons de vidéos, de revues et de sextoys, après un rapide tour, Valie demande au géant où sont les cages de chasteté. Avec un grand sourire ils nous indique le sous-sol où se situe le rayon SM.
Nous descendons prudemment l'escalier et trouvons une toute autre ambiance, des habits, de la lingerie, des chaînes, des fouets, des vitrines avec toutes sortes d'articles, des colliers, des pinces, des rose-buds. Là, un grand black vient vers nous :
— Bonsoir mesdemoiselles, puis-je vous aider ?
— Oui, répond-t-elle. Nous cherchons une cage... pour mademoiselle.
— Oui bien sûr, reprend le vendeur amusé, je comprends, votre amie n'a pas été sage !... Il ouvre une vitrine dans laquelle sont présentés une multitude de ceintures de chasteté et des trucs pour enfermer les pénis. Voici, nous avons plusieurs types de cage mais il faudrait que je voie l'animal à enfermer !
Et là, stupéfaction, Valie soulève ma jupe à hauteur de la poitrine. Bas, jarretelles, shorty de dentelle, tout est découvert et dans la foulée le vendeur s'empare de ma queue
— Humm ! C'est un gros rat des villes, il vous faut une grande cage en métal. Je vais vous faire voir ce que nous avons.
Devant la vitrine il nous présente trois modèles avec cadenas ou serrure intégrée, avec tube ou sans. Valérie se rapproche du vendeur et appuyée sur son épaule lui murmure « Croyez-vous qu'il est si gros ? Je préfère le plus discret avec la serrure intégrée » et à ce moment, tout contre elle, il lui passe la main sous la robe :
— Dis donc t'es une sacrée coquine et j'aime beaucoup votre genre à toutes les deux, autant le rat doit être mis en cage que le vermisseau peut rester dans sa cachette...
Alors qu'il s'active autant sous la jupe que sur ma queue, il poursuit :
— Souhaitez-vous qu'on enferme l'animal tout de suite ?... Elle approuve de la tête. Bien, on va aller derrière mesdemoiselles, il faut que je fasse dégorger la sale bête, elle n'entrera jamais dans son habitat telle qu'elle est.
Il nous amène toutes les deux dans une cabine d'essayage sans vraiment fermer le rideau. Face au miroir je me vois, jupe relevée et le black à genoux, il y a aussi derrièe le type qui en arrivant s'intéressait à nous, il nous regarde sans détour. Je murmure « Y'a quelqu'un » mais le vendeur n'en a rien à faire, d'une main sous la jupe il me tient fermement la fesse nue, de l'autre le manche. C'est un pro de la fellation, il sait y faire, lèvres, langue, dents, toutes se mettent à l'ouvrage. Il passe de la léchouille à la gorge profonde. Mon cul guidé par sa main accompagne le mouvement de la bouche. Valie est tout à côté de nous, elle caresse la tête du black qui lâche ma queue pour passer la main sous sa jupe. La coquine fléchit les genoux, écarte les cuisses. J'imagine qu'il s'intéresse plus à sa rondelle qu'à son vermisseau... S'il doigte aussi bien qu'il suce elle va partir. Moi, je ne me retiens pas et lui envoie la sauce qu'il avale goulument.
— Et bien voilà, maintenant qu'il a dégorgé on va pouvoir l'enfermer.
Il fixe la cage en métal chromée en étranglant la base de mon sexe, amène le gland décalotté contre les bourses et clac referme la boîte. Dans mon état ça ne présente aucune gêne avec le paquet tenu au bas du pubis.
— Voilà, avec cette cage fini de batifoler et tu pisses, tu te laves comme une fille. Attention ! Tu replaces bien ton clito sous tes burnes que ça reste propre.
— Et tu vas les fesses à l'air ! m'ordonne Valérie. Donne-moi ta culotte ! puis s'adressant au vendeur : C'est parfait, on va y aller.
— Tu ne veux pas la clé, chérie ? Surprise, elle a un regard interrogatif... Alors il faut me la demander gentiment !
L'autre visiteur est maintenant tout à côté nous, ce qui ne gêne en rien le black qui dans la cabine, pousse ma sœur à se tourner vers le mur. Elle a compris, debout en levrette, appuyée contre le miroir, elle relève sa jupe ; de concert l'homme baisse son froc sur ses genoux et présente un sexe qui fait honneur à sa race, sans précaution il mouille sa queue, la point et la défonce en deux temps avec un grand ''HAN''. Tout de suite, il la lime à la hussarde. En même temps le visiteur s'est approché de moi, je ne le regarde pas mais je nous vois dans le miroir, je sens sa respiration à l'oreille et me fout sa bite en main.
— Dis donc mignonne, elle te plaît pas celle-là ?
Le tableau offert est incroyable, ma sœur se faisant enculer par un black et moi masturbant un maghrébin. Une petite mou de ce dernier et je m'agenouille devant lui... C'est vrai qu'il est bien doté, le gland circoncis, un gros champignon noir que je suce et le tronc légèrement arqué, aux veines saillantes que je lèche tout du long de l’urètre tout en lui pelotant les couilles velues d'un poil frisé et dru. Le type apprécie mon travail, ça commence à souffler, à râler devant et à côté. Avec ma copine en cinq minutes on règle leurs affaires, l'un dans ma bouche, l'autre dans son fion.
Valie passe aux toilettes et sans s'attarder on va à la caisse, elle demande un jeu de pompes à téton qu'on lui offre. Sur le trottoir je lui fais un gros bisou.
— Merci grande sœur.
— Alors comment te sens-tu ? Mes yeux expriment ma satisfaction. Tu me fais voir le cinéma où tu t'es faite sauter et on rentre tranquillement à la maison
— Euh.... oui, ça fait un bout de chemin.
— On n'est pas pressé et c'est à pied qu'on visite le mieux une ville ! Habitue-toi à ta féminité.
Quand je vois au loin sur le quai ma sœur, mon cœur se met à battre. Elle s'approche, ne me remarque pas ! En six mois ai-je tellement changée ? Je l'appelle tout bas :
— Valie !... Enfin elle me regarde, j'ajoute pour la convaincre. Bonsoir ma chérie.
Stupéfaite, sans dire un mot elle lâche sa valise et se jette à mon cou, la chanson de Piaf me revient en tête : "Emportés par la foule qui nous traîne, nous entraîne, écrasés l'un contre l'autre, nous ne formons qu'un seul corps". Nos lèvres s'unissent en un tendre baiser, la tête me tourne, les bruits de la gare deviennent un brouhaha sourd, puis elle murmure :
— Jane, petite sœur, que tu es belle ! Ton visage, ta coiffure, tu es méconnaissable ! Elle m'embrasse à nouveau puis après un bref silence ajoute... Alors c'est vrai, tu es installée, tu es chez toi ! Tu es devenue une grande fille émancipée, me dit-elle dans un grand éclat de rire.
— Oui ma chérie, émancipée et avec toi. Viens, allons à la maison.
Nous rejoignons la rue Galande et discrètement nous montons jusqu'à ma chambre. Travestie, j'ai peur de rencontrer mes propriétaires dans l'escalier.
Arrivées dans ma chambre nous laissons libre-cours à nos sentiments. Les bisous deviennent baisers ardents, les jupes, blouses, robes volent. Elle en slip brésilien rouge et moi en sous-vêtements blancs, nous nous jetons sur le lit.
Sevrées les mains effleurent, caressent, palpent ; assoiffées les bouches embrassent, lèchent, sucent. Valérie brûle les étapes, abandonne son dernier vêtement et s'offre indécente sur le dos, genoux repliés sur la poitrine en grognant « C'est toi John que je veux ce soir. »
Je suce longuement sa bistouquette, lèche son petit trou et la pénètre d'un coup. On fait l'amour avec passion, avec rage, ses bras m'étreignent, ses jambes m'enserrent. Ses gémissements sourds deviennent vibrants. On baise sans retenue pour faire exploser cette boule au fond de soi, rapidement je l'arrose, elle hurle son plaisir :
— OUIiii, un cri que j'étouffe de la main... Oh ! comme c'est bon ! qu'elle ajoute dans un souffle
Sans l'écraser, en lui laissant le temps de reprendre son souffle, je lui raconte comme c'est sonore, comme la nuit précédente j'ai entendu nos voisins faire l'amour. On éclate de rire quand les cloches voisinent sonnent 10 heures.
— Valie, tu n'as pas faim ? J'ai préparé une salade avec du pâté en croûte.
— C'est top ! En se levant pour aller se laver, elle pouffe de rire en me voyant, John, t'es super sexy en bas et débardeur.
Alors que je prépare la table, elle découvre ma chambre, trouve les photos au mur et mon vide poche avec l'empreinte du sexe de ma tante. Tout en mangeant on évoque nos souvenirs de l'été dernier, notre rencontre sur la plage, puis celle avec ma tante, mes premiers pas de fille à Montpellier et enfin la folle orgie de mes 19 ans. On rit beaucoup. A 20 ans ou un peu plus, la soif de sexe est intarissable. Ses nénés d'ado me donne la trique et quand elle regarde le lit, je l'entraîne d'un « Viens ! »!
Elle plonge sous les couvertures, en deux mouvements je me débarrasse de mes derniers habits. Dès que je suis près d'elle, elle rabat les draps et éteint la lumière. On s'embrasse, on se caresse, dans la pénombre on n'entend que le froissement des draps, ses ongles me labourent le dos. Résolument elle se tourne, colle son dos à mon ventre, relève une cuisse, oriente ma verge sur son puits d'amour, d'un coup de reins je la pénètre. Nous restons immobiles, on n'entend alors que la respiration de l'autre, je sens son cœur battre sous ma main.
On fait l'amour lentement, à l'écoute de chaque soupir, jusqu'à ce qu'elle passe son pied au dessus de moi, s'arc-boute sur moi, cuisses largement ouvertes, buste offert telle une sphinge. Elle se laisse porter par mes coups de reins, je l'entends gémir, se masser la poitrine. Je la tiens au sexe, sous mes doigts sa quéquette prend vigueur, puis son bassin s'anime, elle bande vraiment, mes doigts s'activent sur son membre, ses gémissements deviennent râles et d'un coup, elle s'effondre sur moi.
— Ooooh Oui, ui, ui, ui !..... Je la laisse exulter, peu m'importe le voisinage, sa jouissance fuse entre mes doigts.
Alors tel un phallo, je la bouscule, la met sur le ventre et l'encule avec force, en une dizaine de coups, dans un long rugissement l'orgasme me submerge et je m'écroule sur elle... On reste ainsi l'un sur l'autre, l'un dans l'autre. Peu à peu, je fonds en elle, le calme revient, je vire sur le côté en l'entraînant avec moi et pour nous retrouver emboîtés l'un dans l'autre.
— Alors t'as vu le docteur Juste ? Me demande-t-elle d'une voix pâteuse, mi endormie.
— Oui, elle m'a fait comprendre que mon envie de féminisation était contraire à mon état d'esprit.
— A qui le dis-tu ! Sale macho !... S'exclame-t-elle à mi-voix T'as vu comme tu m'as niquée !
— T'as pas aimé ?... Dans le silence, au milieu des bâillements, je continue de plus en plus en sourdine. Ainsi Paraître n'est pas Être, comme l'habit ne fait pas le moine. Donc inutile de penser hormones et chirurgie mais plutôt esthéticienne et coach de gym.
— Ça me paraît bien réfléchi... Elle semble dormir, puis dans un soubresaut ajoute : Paraître femme ? Ouais, demain nous ferons quelques pas... en escarpin. Sa voix s'éteint, elle dort dans mes bras.
........................
La lumière du jour et les cloches du dimanche me réveillent. Dans mes bras, Valérie dort, la faim me tenaille alors sans bruit je me lève et descends chercher pain et croissants . Un quart d'heure après, je retrouve ma "sœur de cœur" dans ses ablutions, chantonnant. Il fait un grand soleil, par la fenêtre on voit les toits de zinc et les tours de la cathédrale, c'est le bonheur. Le temps de déjeuner, il est midi passé.
— Jane ! Prépare-toi, me dit-elle aussi gentiment qu'avec autorité. Nous allons faire un peu de shopping, emmène-moi dans les magasins.
Je me maquille légèrement, fond de teint et rouge à lèvres, on s'habille comme la veille, moi avec ma veste orangée, nous partons toutes joyeuses, bras dessus, bras dessous pour remonter le boulevard Saint Michel :
— Tu es toute mignonne dans ton ensemble, j'aime beaucoup ta jupe qui souligne ta taille.
— Oui, un cadeau de Gaby, je l'ai remercié d'une levrette dans le hall de l'immeuble !
— OH !!! En bas de chez toi ?
— Ouais avant-hier soir, après le resto il voulait m'emmener en boîte, je n'ai pas voulu et... il s'est servi.
— Comme d'une pute ! Je vois... Par contre ma chérie, tes chaussures ne sont plus de saison. Je vais m'occuper de toi
Sur le boulevard il y a l'embarras du choix de magasins de chaussures. Rapidement on trouve de beaux escarpins beiges à lanière cheville et talon de 6 centimètres, un peu plus haut que mes actuelles. Je m'amuse beaucoup avec la vendeuse à croiser et décroiser mes jambes en faisant crisser le nylon de mes bas
— Tu es parfaite, quel chemin parcouru en six mois ! Tu te rappelles de tes premiers pas à Montpellier, qu'est-ce qu'on a rigolé.
Notre balade se poursuit, on flâne, une pause à une terrasse de café. On se fait draguer, on s'amuse. S'ils savaient, une bonne partie baisserait pavillon.
— Bon ma Chérie, passons aux choses sérieuses. Emmène-moi à Pigalle... Je la regarde paniquée... Allez ouais emmène-moi au cinoche, FAIRE LA PUTE ! Dit-elle sérieuse tout en élevant la voix, puis elle me regarde, sourit et ajoute d'un ton moqueur. Maiiiis noooon ma chérie ! Pour faire quelques achats, te rendre plus féminine.
On traverse Paris en métro, le boulevard de Clichy en fin d'après-midi semble se réveiller, les néons font encore pâle figure au soleil couchant, les filles sont en place, les bars ouvrent leurs portes. Les passants s'intéressent aux boîtes de strip-tease et aux sex-shops. Nous entrons dans l'un d'eux... Pourquoi celui-là ? Peut-être la devanture plus classe avec sa lingerie, ses bijoux, ses bracelets de cuir, peut-être sa position plus discrète.
Valérie décidée ouvre le chemin, écarte le rideau de la boutique, immédiatement une odeur étrange me prend à la gorge, un géant barbu installé derrière la caisse nous souhaite la bienvenue. Il y a peu de monde, un couple regarde les vidéos, deux hommes feuillettent les magazines et un troisième nous dévisage. On circule entre les différents rayons de vidéos, de revues et de sextoys, après un rapide tour, Valie demande au géant où sont les cages de chasteté. Avec un grand sourire ils nous indique le sous-sol où se situe le rayon SM.
Nous descendons prudemment l'escalier et trouvons une toute autre ambiance, des habits, de la lingerie, des chaînes, des fouets, des vitrines avec toutes sortes d'articles, des colliers, des pinces, des rose-buds. Là, un grand black vient vers nous :
— Bonsoir mesdemoiselles, puis-je vous aider ?
— Oui, répond-t-elle. Nous cherchons une cage... pour mademoiselle.
— Oui bien sûr, reprend le vendeur amusé, je comprends, votre amie n'a pas été sage !... Il ouvre une vitrine dans laquelle sont présentés une multitude de ceintures de chasteté et des trucs pour enfermer les pénis. Voici, nous avons plusieurs types de cage mais il faudrait que je voie l'animal à enfermer !
Et là, stupéfaction, Valie soulève ma jupe à hauteur de la poitrine. Bas, jarretelles, shorty de dentelle, tout est découvert et dans la foulée le vendeur s'empare de ma queue
— Humm ! C'est un gros rat des villes, il vous faut une grande cage en métal. Je vais vous faire voir ce que nous avons.
Devant la vitrine il nous présente trois modèles avec cadenas ou serrure intégrée, avec tube ou sans. Valérie se rapproche du vendeur et appuyée sur son épaule lui murmure « Croyez-vous qu'il est si gros ? Je préfère le plus discret avec la serrure intégrée » et à ce moment, tout contre elle, il lui passe la main sous la robe :
— Dis donc t'es une sacrée coquine et j'aime beaucoup votre genre à toutes les deux, autant le rat doit être mis en cage que le vermisseau peut rester dans sa cachette...
Alors qu'il s'active autant sous la jupe que sur ma queue, il poursuit :
— Souhaitez-vous qu'on enferme l'animal tout de suite ?... Elle approuve de la tête. Bien, on va aller derrière mesdemoiselles, il faut que je fasse dégorger la sale bête, elle n'entrera jamais dans son habitat telle qu'elle est.
Il nous amène toutes les deux dans une cabine d'essayage sans vraiment fermer le rideau. Face au miroir je me vois, jupe relevée et le black à genoux, il y a aussi derrièe le type qui en arrivant s'intéressait à nous, il nous regarde sans détour. Je murmure « Y'a quelqu'un » mais le vendeur n'en a rien à faire, d'une main sous la jupe il me tient fermement la fesse nue, de l'autre le manche. C'est un pro de la fellation, il sait y faire, lèvres, langue, dents, toutes se mettent à l'ouvrage. Il passe de la léchouille à la gorge profonde. Mon cul guidé par sa main accompagne le mouvement de la bouche. Valie est tout à côté de nous, elle caresse la tête du black qui lâche ma queue pour passer la main sous sa jupe. La coquine fléchit les genoux, écarte les cuisses. J'imagine qu'il s'intéresse plus à sa rondelle qu'à son vermisseau... S'il doigte aussi bien qu'il suce elle va partir. Moi, je ne me retiens pas et lui envoie la sauce qu'il avale goulument.
— Et bien voilà, maintenant qu'il a dégorgé on va pouvoir l'enfermer.
Il fixe la cage en métal chromée en étranglant la base de mon sexe, amène le gland décalotté contre les bourses et clac referme la boîte. Dans mon état ça ne présente aucune gêne avec le paquet tenu au bas du pubis.
— Voilà, avec cette cage fini de batifoler et tu pisses, tu te laves comme une fille. Attention ! Tu replaces bien ton clito sous tes burnes que ça reste propre.
— Et tu vas les fesses à l'air ! m'ordonne Valérie. Donne-moi ta culotte ! puis s'adressant au vendeur : C'est parfait, on va y aller.
— Tu ne veux pas la clé, chérie ? Surprise, elle a un regard interrogatif... Alors il faut me la demander gentiment !
L'autre visiteur est maintenant tout à côté nous, ce qui ne gêne en rien le black qui dans la cabine, pousse ma sœur à se tourner vers le mur. Elle a compris, debout en levrette, appuyée contre le miroir, elle relève sa jupe ; de concert l'homme baisse son froc sur ses genoux et présente un sexe qui fait honneur à sa race, sans précaution il mouille sa queue, la point et la défonce en deux temps avec un grand ''HAN''. Tout de suite, il la lime à la hussarde. En même temps le visiteur s'est approché de moi, je ne le regarde pas mais je nous vois dans le miroir, je sens sa respiration à l'oreille et me fout sa bite en main.
— Dis donc mignonne, elle te plaît pas celle-là ?
Le tableau offert est incroyable, ma sœur se faisant enculer par un black et moi masturbant un maghrébin. Une petite mou de ce dernier et je m'agenouille devant lui... C'est vrai qu'il est bien doté, le gland circoncis, un gros champignon noir que je suce et le tronc légèrement arqué, aux veines saillantes que je lèche tout du long de l’urètre tout en lui pelotant les couilles velues d'un poil frisé et dru. Le type apprécie mon travail, ça commence à souffler, à râler devant et à côté. Avec ma copine en cinq minutes on règle leurs affaires, l'un dans ma bouche, l'autre dans son fion.
Valie passe aux toilettes et sans s'attarder on va à la caisse, elle demande un jeu de pompes à téton qu'on lui offre. Sur le trottoir je lui fais un gros bisou.
— Merci grande sœur.
— Alors comment te sens-tu ? Mes yeux expriment ma satisfaction. Tu me fais voir le cinéma où tu t'es faite sauter et on rentre tranquillement à la maison
— Euh.... oui, ça fait un bout de chemin.
— On n'est pas pressé et c'est à pied qu'on visite le mieux une ville ! Habitue-toi à ta féminité.
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Toujours aussi chaud, cher John! La suite s'annonce prometteuse;