Etre John et Jane Chapitre 5 - Week-end avec ma soeur 2/2

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Etre John et Jane Chapitre 5 - Week-end avec ma soeur 2/2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Etre John et Jane Chapitre 5 - Week-end avec ma soeur 2/2
Je marche sur le boulevard Rochechouart au bras de Valérie, juchée sur mes talons de six centimètres et nue sous ma jupe avec mon service trois pièces en cage. L'air frais circule entre mes cuisses, me caresse les fesses, c'est à la fois excitant et délicieux. Ah messieurs ! engoncés dans vos pantalons si vous connaissiez le plaisir de la jupe ou... du kilt. Sur le chemin ce n'est que rigolade, on parle beaucoup du passage au sexshop, de marcher cul nu . C'est finalement toutes guillerettes que nous arrivons rue Galande à la nuit tombante.

Nous montons les escaliers en parlant fort et en riant à tue-tête, nos talons claquent en cadence sur les marches de bois. Notre retour est pour le moins bruyant. Nous avons déjà gravi la moitié des marches quand je lève les yeux et vois Madame Girard à l'entrée de son appartement.

Pendant un dixième de seconde, une éternité, nos regards se croisent, elle me reconnaît c'est sûr. Je baisse la tête, fais silence et serre la main de Valie qui continue de parler jusqu'à ce qu'elle voie également sur le palier la dame aux cheveux blancs, souriante. Arrivées à sa hauteur elle clame haut et fort « Bonsoir Madame » que je répète à voix basse et la dame répond ravie, le plus naturellement du monde « Bonsoir mesdemoiselles ». Après un moment de silence, tout en continuant la montée ma sœur reprend la conversation comme si de rien n'était.

Nous arrivons dans ma chambre, sans attendre elle m’étreint et m'embrasse à pleine bouche, j'y réponds sans enthousiasme.

— Qu'y a-t-il p'tite sœur ?
— On vient de croiser ma proprio !
— Et alors ?... De toute manière ma chérie il fallait que ça arrive.
— Elle connaît ma mère.
— Oui... Et alors ! Tu penses qu'elle va lui en parler ?
— J'en sais rien !
— Elle me semble assez large d'esprit, elle m'a souri en me regardant et semblait amusée en nous disant mesdemoiselles, sinon elle t'aurait interpellée. Son regard me semble coquin, à la voir, je pense que c'est une chaudasse, en plus son parfum capiteux ne laisse pas de doute quant à sa sensualité. A mon avis elle viendra te voir dès qu'elle pourra et une amitié particulière pourrait se nouer entre vous. Ne t'inquiète pas !.

On passe par les toilettes pour se rafraîchir et fatiguées de la journée on s'allonge toutes deux habillées, moi sur le dos, penseuse, inquiète, elle recroquevillée de côté dans mes bras, balbutiant « Je suis vannée »... On ne dit plus rien, je ferme les yeux, j'apprécie ce moment de détente,libérée de mes chaussures. Je me sens bien, heureuse avec Valérie contre moi, notre relation s'affirme, j'ai à présent un vrai sentiment fraternel pour elle. Elle est de bonne compagnie, enjouée, avec un ascendant évident sur moi, elle est réfléchie, de bon conseil, comme à l'instant avec son analyse du comportement de la proprio. Je me perds dans mes réflexions.

Germaine ? Et si c'était vrai, si c'était une libertine ? Comme je l'imaginai l'autre nuit à côté avec un jeune locataire ? C'est vrai qu'elle est accueillante, voire caressante dans sa manière de me toucher quand elle m'a invitée à entrer dans la chambre, comme elle m'a embrassée à la commissure des lèvres en me quittant... Et son explication un peu gênée du miroir comme pour en cacher une autre. Toujours bien habillée, bien maquillée, toujours parfumée comme ce soir de cette fragrance orientale et voluptueuse. Je repense à la remarque de Valie lors de mon travestissement, même nue ton parfum ne te quitte jamais, il définit ta personnalité, signe tes habits. Depuis cette remarque, pour moi parfum et sexualité sont liés... Je m'assoupis

Valérie en bougeant me sort de mes pensées. J'ouvre un œil, elle me sourit, m'embrasse du bout des lèvres. A moitié couchée sur moi, elle me passe une main dans les cheveux et l'autre directement sous la jupe. La coquine s'empare de la cage que j'avais oubliée, tire le paquet, réveille le rat sans patte qui du coup se trouve à l'étroit, ça devient gênant .

— Ça va ? Tu t'habitues à mon cadeau ? Me dit-elle d'un air coquin sachant très bien l'effet produit. Tu le porteras nue sous ta robe ou dans ton pantalon et tu penseras à moi quand tu banderas ou plus exactement quand je t'empêcherai de bander. A présent laisse-moi t'aimer.

Elle abandonne ma jupe relevée et ouvre avec beaucoup de douceur mon chemisier, découvre ma poitrine, me caresse tendrement. Je frissonne sous ses lèvres, mais l'empressement l'emporte, alors ses doigts se font violents, sa bouche vorace. Mes seins se tendent, mes tétons me brûlent.

— Jane, à défaut de poitrine, je te veux avec des vrais tétons de fille. Elle sort de son sac les deux pompes offertes au sexshop, les pose sur mes mamelons gorgés de salive. Les pointes sont immédiatement aspirées, s'allongent de plus d'un centimètre, elle pompe encore, bientôt deux sont avalés par le tube et ma peau s'étire encore. Visiblement satisfaite, elle ajoute, voilà ma Chérie ! Tous les jours tu les poseras un quart d'heure avant de pincer les bouts, tu les verra se développer peu à peu pour devenir gros comme les miens. En appui sur une main elle se redresse fièrement et me donne sa poitrine à téter. Avec un grand sourire moqueur, son autre main revient sur mon ventre dénudé. Ici je te sens dépourvu ! Un escargot dans sa coquille, puis elle passe entre mes cuisses, pousse un doigt sur mon anus. Mais là... C'est chaud bouillant, tu sens comme tu mouilles ?

C'est fou comme je me sens à sa merci, comme je la voudrais en moi. Elle défait ma jupe, me roule une pelle, sa langue me fouille, ma bouche se couvre de sa bave. Submergée par le désir, je bombe le torse. Alors elle m'arrache les pompes de la poitrine, tire brutalement un téton et suce l'autre à grand bruit. Sa bouche passe de l'un à l'autre, adoucit la brûlure de l'un quand elle triture l'autre jusqu'à me faire siffler de douleur.

— Tu sens comme ils sont gros, laisse-toi faire, je vais te faire l'amour comme à une fille, susurre-t-elle tout en rampant sur mon ventre jusqu'à être entre mes cuisses.

Toujours ses mains sur mes seins, elle tente de prendre en bouche ma cage. Entre deux barreaux, sa langue va et vient sur toute la longueur du gland, avant de pointer le méat. Sous l'excitation et l'échauffement je suis prise de spasmes, ce qui l'a fait rire « T'aime comme j'te suce le clito, allez donne-moi ta chatte »
Avant que je n'ai le temps de réagir elle m'a pris les deux jambes et relevé mes genoux sur la poitrine. Elle commence à me lécher la raie La langue circule sur une bonne partie du vallon et se fixe sur la rosace. Sans honte, sans fausse pudeur, elle m'embrasse comme sur la bouche, la langue titille le petit trou, elle lèche, suce, aspire. Je m'offre à elle, assurée de ma propreté, je pousse, mes chairs se développent, forment un bouton, je sens ses dents puis à nouveau sa langue au centre. Elle me suce comme jamais on ne me l'a fait.

A deux mains elle m'écarte les fesses, ses doigts jouent avec sa langue, traversent mes chairs, taquinent mon point G, elle me doigte, si bien, si vite que je vais jouir, mais... Non ! Elle arrête.
En un saut elle est à genoux à mes fesses, sa queue bien virile à la main, un pénis d'une dizaine de centimètres, semblable à celui d'un jeune ado. Je le veux bien profond et bascule en arrière avec les genoux à mes épaules. Je le sens glisser en moi, pas bien gros, pas bien long et agir comme le doigt, être le doigt qui touche, qui excite la prostate... Oh putain c'est incroyable, je vais jouir. Je regarde Valérie sérieuse, droite, fixant mon ventre, la main tirant mon sexe pour mieux voir notre accouplement, je la soutiens par la poitrine. Waouh, je n'ai jamais été baisée ainsi, je ferme les yeux pour mieux la sentir, pour mieux l'accompagner dans son coït. Tout se mélange, ces seins de gamine, cette bite d'ado et moi fille et garçon. Mon sphincter se contracte sur ce sexe qui grossit, qui s'allonge, mes mains pelotent ces seins qui gonflent.
Je ne peux plus rien retenir, ma respiration s'accélère, ses coups de reins sont plus puissants, je suis prise de contractions, mon jus comme par incontinence m'échappe, coule, remplit le creux du sternum, et lui/elle continue à me buriner, il/elle respire fort, est prise de soubresauts. Elle bombe le torse sous mes doigts, plante ses ongles dans le gras de mon bide. C'est un orgasme fulgurant où tout se mélange. C'est seulement quand elle se couche sur moi que tout se remet en place

On reste ainsi un long moment à se bisouter, dans le silence à reprendre notre souffle, à apprécier notre bonheur, puis on parle tout bas en se caressant :

— Valie, je n'ai jamais été sucée comme tu l'as fait, je n'ai jamais baisée comme ça...
— Baisée comme une femme ! M'interrompt-elle en m'écrasant en me faisant sentir impuissante, son ventre contre le mien, sensible, ses mains sur mes seins.
— Oui, que je soupire... Je n'avais jamais joui comme une femme.

On se caresse encore un peu en dissertant du plaisir au masculin et au féminin de la jouissance pénienne et anale. Depuis un moment elle me trifouille les fesses

— Ta chatte est habituée aux gros machos, mais tu vas voir qu'entre filles on sait s'en passer.

Elle se décolle de moi, fait volte-face et passe mes cuisses sous ses aisselles. Je ne vois que son ventre glabre maculé de jute et sa bistouquette pendue aux coucougnettes. La coquine écarte les genoux jusqu'à ce que son vermisseau soit sur mes lèvres. Je lèche la pointe rosée qui se balance sur ma langue avant de l'aspirer. J'y retrouve le goût acre du sperme, je le suçote comme un bonbon avant de l'avaler tout entier. Curieux cet appendice agile comme une langue, curieux ces deux mirabelles solidement attachées. Je la suce avec gourmandise sans vraiment lui redonner vie, je lui caresse le popotin, un gros bébé joufflu et m'amuse à tester l'élasticité de son petit trou.

Valérie est beaucoup plus entreprenante. Elle embrasse à pleine bouche mon puits d'amour. Sa langue y fait des cercles concentriques, l'inonde de salive puis un, deux, trois doigts le pénètrent au gré de ses vas et vient, mécaniquement mon bassin répond à son massage.
Quand sa langue vient taquiner mon clito, une nouvelle boule enfle entre mes reins. Je suis tellement trempée que le moindre mouvement de ses doigts produit un clapotis auquel elle ajoute un filet de salive. Je vais sans cesse à la rencontre de sa main en miaulant « Arrête, arrête ! », elle répond entre ses dents « Reste tranquille, je n'ai pas fini. »

Ma crainte, mon désir tout à la fois se précise quand Valérie joint son auriculaire et entraîne ses acolytes au fond de mon puits. Ses mouvements méthodiques assouplissent mes chairs, mon ventre accompagne ses efforts et invite le pouce à cette danse. D'un « Oh ouiii, pousse plus fort » je donne confiance à mon amante.

Mon anus offre une résistance quand les dernières phalanges se présentent. Les doigts forment un cône qui en tournoyant sur eux-mêmes, se font leur place. Dans un dernier effort mon fondement cède sous la pression de cette main et l'aspire entièrement.

Elle reste un moment immobile pour que je m'habitue à cette intrusion. Elle observe sa main engloutie dans mon ventre et le bracelet que forme mon anus à son poignet. Mes gémissement sont incompréhensibles, la douleur ressentie au moment où elle a forcé le passage fait place à un plaisir indescriptible, une satisfaction, un doux bien être « Oh, oui Valie... Bouge un peu »

Elle s'amuse à déplier ses doigts, les écarter « Comme ça ma chérie ?.... » avant de refermer le poing « Ou plutôt comme ça ? » Aucun son ne sort de ma bouche quand elle se met à aller et venir tel un piston bien huilé, d'abord lentement puis de plus en plus vite. Projetée dans un état second par ce poing qui me défonce les intestins, je perds toute retenue jusqu'à ce que son pubis se colle à ma bouche et m'étouffe. Son poing s'affine, se retire lentement en laissant un grand vide.

On reste un moment dans la pénombre, on apprécie le calme, Notre Dame sonne 11 coups, je susurre « N'aurais-tu pas faim ? »

Elle jaillit du lit, allume la lumière. Ce sont des bruits d'assiettes, de couverts, portes de placard, emballages qu'on déchire, la table est mise, je vais pour m'asseoir :

— Jane ! T'as les pinces que je t'ai offertes pour ton anniversaire ? » Je sors de mon tiroir la chaîne garnies des deux pinces crocodiles. « Ben voilà de quoi transformer tes tétons ma chérie ». Avec malice elle me tire à elle par les nénés jusqu'à pouvoir m'embrasser, en même temps elle les tourne entre ses doigts, ils me font légèrement mal. « Ils sont encore bien gros mais on va les allonger ». Elle me prend la chaîne, me pince le mamelon, je ferme les yeux en attente du supplice, elle me tète encore, une douceur qui devient une douleur instantanée... puis un autre bisou et une autre douleur. « Voilà ma chérie. A table ! »

Je me vois dans le miroir, la cage de chasteté brillante sur mon pubis, la chaîne d'acier chromée pendue à ma poitrine. Délicatement je relève les pinces, la douleur s'anesthésie lentement, je souris à ma sœur aînée, l'embrasse du bout des lèvres « Bientôt je les aurais comme toi ! »

— Oui ma chérie, de vrais tétons de fille.

Le repas s'avale plus que ne s'apprécie, on se regarde, se sourit, sans se parler, nous n'avons qu'une envie se recoucher.
On se retrouve sous les draps, lovées l'une contre l'autre, probablement comme pour elle l'angoisse de la séparation m'envahit, demain matin c'est le départ. Valérie tente de me remonter le moral « On se retrouvera cet été à Montpellier », c'est si loin mes yeux s'emplissent de larmes.

Les avis des lecteurs

Entre Nul et Bravo je couvre la palette des lecteurs
Il faut accepter que certains hommes soient soumis et accepte d'être humilié comme un lecteur écrit
John se sent bien en étant Jane
Être tantôt garçon tantôt fille à donner et recevoir du plaisir

Histoire Erotique
Bravo c’c'est une belle suite logique

La critique permet le progrès
Merci

Histoire Erotique
Null le gars est trop humiliés aucun interet



Texte coquin : Etre John et Jane Chapitre 5 - Week-end avec ma soeur 2/2
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