Etre John et Jane Chapitre 6 - Avec ma proprio
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Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Etre John et Jane Chapitre 6 - Avec ma proprio
J'ai le cœur gros en sortant de la gare après avoir raccompagner ma "grande sœur" à son train pour Montpellier. La mélodie de Bécaud "Et maintenant que vais-je faire ?" me trotte dans la tête.
Pour tuer le temps je décide de rentrer chez moi à pied. Après avoir quitté le tumulte de la gare et des boulevards, je retrouve le calme sur les bords de Seine. Je repense à ces deux jours partagés avec Valérie, notre baiser sur le quai, notre première nuit d'amour, la balade dans Paris, le passage au sexshop, comment elle m'a asexué, comment elle m'a aimé. En marchant, je sens ma cage de chasteté passer d'une jambe à l'autre et je tripote dans ma poche la clé qu'elle m'a donnée sur le quai de la gare « Voilà ! Mais tu me raconteras tout ! » un dernier baiser souda notre accord
J'avance au bord du fleuve, regarde le miroitement de l'eau, sa couleur gris-noir. En cette belle matinée de printemps il fait bon flâner et je profite d'un banc pour m'asseoir, pour penser à tout, à rien, au passé, au futur, les yeux dans le vague, je regarde les promeneurs, sans les voir,... Instinctivement je prends à pleine main la balle que j'ai entre les jambes et me triture la nouille sans me préoccuper du voisinage.
Mon horizon se limite à mes tennis, à cette flaque d'eau, au lieu de mon reflet j'y vois Valérie me dire « John, ça va aller ! »... Oui ça va aller. Je me secoue de cette torpeur et reprends d'un pas décidé ma promenade. J'arrive rue Galande lorsque les douze coups de midi sonnent à Notre Dame. Dès la porte de mon immeuble franchie, je retrouve le calme et une certaine fraîcheur. Songeur, je monte lentement mes sept étages... Lorsque arrivé au 4ème madame Girard, ma propriétaire, m'interpelle :
— Bonjour John ! Comment vas-tu ?... Depuis hier soir !.
— Bonjour madame !... Hier soir ?..., en faisant celui qui ne comprend pas
— Ben oui ! La jeune fille à la veste orange...
— ...
— Tu es seul ? Ton amie est partie ?... Entre ! Bernard est à la chasse, déjeunons ensemble, nous pourrons papoter et mieux nous connaître.
— Je ne voudrais pas vous déranger.
— Mais non ! Pas du tout, affirme-t-elle. Entre ! Nous avons toute l'après-midi pour discuter.
Je suis pris de panique quand elle me pousse dans son appartement et en même temps je ressens ce fluide étrange qui me fait frissonner comme au premier jour quand elle me fit entrer dans ma chambre. Avec un certain malaise et beaucoup d'inquiétude, je passe la porte, va-t- elle se fâcher et tout raconter à ma mère ? Va-t-elle me taquiner et jouer au chat et à la souris ?
Madame Girard est une femme d'une cinquantaine d'années, plutôt bien foutue, aux cheveux blancs coupés courts, avec un joli visage ovale bien maquillé, aux yeux verts et aux lèvres pulpeuses. Une femme toujours élégante, aujourd'hui en tailleur prince de galle, bas gris et escarpins à petits talons, sa blouse sous la veste laisse apparaître la naissance des seins.
On s'installe dans un salon cossu et en prenant l'apéritif, elle me demande des nouvelles de ma mère, j'apprends alors qu'elle était sa chef de services et qu'elles sont restées en relation, c'est ainsi qu'elle lui a offert sa chambre de bonne en location.
Assise dans un fauteuil face à moi sur le canapé, elle croise et décroise ses jambes. Le bruissement régulier de ses bas et le profond décolleté de sa blouse éveillent ma libido. C'est à ce moment que je constate son regard fixé sur mon entrejambe et le renflement de ma cage bien visible. Elle s'amuse en me voyant resserrer prestement les genoux :
— John, veux-tu que nous passions à table ? J'ai préparé un petit rôti de veau aux morilles... Tiens, joue le maître de maison et ouvre-nous cette bouteille de Brouilly s'il te plaît !
A table nous continuons à parler de ma vie d'étudiant, de mon installation. Peu à peu je me détends, abandonne le madame pour revenir au Germaine demandé. La salade de fraises avalée, elle m'invite à retourner au salon pour le café, à ce moment la conversation glisse sur notre rencontre d'hier :
— Alors John, avec qui étais-tu hier soir ? Tu étais toute mignonne en fille et ta compagne était ravissante. Je vous ai entendu monter les escaliers, elle t'appelait Jane... J'adore ce prénom anglais.
— ... Je deviens rouge comme une pivoine
— Préfèrerais-tu que je t'appelle Jane, entre nous ?.... Allons, ne sois pas timide.
— ... Heu ! ... Comme vous vou vou voulez ! Dis-je en bégayant de quoi elle s'amuse.
— Ne t'inquiète pas... Elle me prend la main, la serre doucement. Ce sera notre secret. Elle me sourit et murmure. Je sais être une tombe quand il le faut !
— S'il vous plait... Je la regarde pour m'assurer de sa sincérité, elle me sourit et hoche la tête. Alors je prends une grande inspiration et lance d'un coup : Voilà, je vais tout vous dire. Je suis bisexuel! Valérie est une trans et j'aime me travestir, m'amuser avec elle.
Je croyais la surprendre, la fâcher qu'elle me jette dehors. Au contraire, son visage est radieux, elle me prend les deux mains, se rapproche de moi, me regarde affectueusement et me dit à voix basse :
— Mais c'est merveilleux !... Tu aimes les hommes et les femmes ?
— Oui !.... Je la fixe du regard, rassuré de sa bienveillance, j'ajoute tout bas : Il y a longtemps j'ai été dépucelé par mon cousin et l'année dernière ma tante m'a fait découvrir l'amour au féminin !
— Ta tante !... La sœur de ta mère ? » S'écrie-t-elle surprise. J'approuve d'un signe de tête « ... Ben dis donc ! Deux sœurs aux sexualités opposées, ta mère est plutôt grenouille de bénitier... Et moi, je suis plutôt... du genre de ta tante !... J'espère que toi aussi tu sais être une tombe quand il le faut !
D'un coup, la chape de plomb qui pesait sur mes épaules s'évapore et dans un grand soupir je retrouve un certain calme. Elle se lève, me sourit sans me quitter des yeux puis elle passe derrière le canapé, ses deux bras plongent par dessus mes épaules jusqu'à mon ventre, trouvent mon sexe en cage. Elle me mordille le lobe de l'oreille, sa langue glisse dans le pavillon, elle murmure « J'aime beaucoup les jeunes gens de ton genre... N'est-ce pas que tu sais garder un secret ? »!
En m'abandonnant la tête appuyée au dossier du canapé, entre ses seins je soupire « Ouiiiii madame » elle réplique en chuchotant, ses lèvres sur mon cou « N'avions-nous pas convenu de nous tutoyer et moi, c'est Germaine ». Vaincu, sous la pression de ses mains j'écarte mes genoux et lui laisse prendre le paquet qu'elle manipule outrancièrement jusqu'à entreprendre d'ouvrir la braguette. D'un coup revirement de situation, elle me pousse par les épaules et élève la voix crescendo jusqu'à crier
— Montre-toi !... Déshabille-toi ! T'AS PAS COMPRIS ?
Stupéfait, je me lève et face à elle, j'obéis sans un mot, retirant jean et chemise pour rester en jarretelles, bas et petite culotte.
— T'es affriolante comme ça ma chérie... Mais j'ai dit A POIL ! » Je baisse mon shorty de dentelle blanche et le quitte en le piétinant. Son regard s'adoucit, un vague sourire se dessine sur ses lèvres, elle me tire à elle par ma cage d'acier chromé en glissant son majeur dans le creux de mes fesses. « Oh, la cochonne !... Elle est tout mouillée. » Elle tente d'atteindre mon petit trou et me demande d'une voix doucereuse « ... Tu'm fais voir ta chatte !... » Faute de réaction de ma part, elle me donne une grande claque sur le côté de la fesse et crie « MONTRE TON CUL, SALOPE ! »
Debout je me penche sur le canapé. Pour mieux me voir elle me prend une jambe et pose le genou sur le divan. Elle écarte mes fesses, j'imagine l'indécence de ma position, malgré tout je creuse les reins :
— Humm ! T'es bien ouverte. » Elle me plante un doigt dans les fesses et d'un grognement de satisfaction ajoute « Tu mouilles sacrément, Ne bouge pas ! Je reviens. »
Paralysé, je n'ai aucune force pour bouger. Je n'ai pas à attendre longtemps qu'elle revient en kimono de soie noire sans cacher sa nudité, un gode ceinture à la main. Elle avance en enjambant le sex-toy couleur chair qu'elle s'empresse d'ajuster. J'ai à peine le temps de la voir, juste de constater qu'elle est un peu enveloppée et déjà elle est sur moi. Sans gêne, elle me caresse la poitrine et les fesses, je sens le gode contre ma hanche. Elle est tout contre moi, me roule les tétons et me titille la pastille. Si je joue double jeu, elle passe facilement de l'honorable bourgeoise à la fieffée ribaude ! Valérie avait vu juste en la croisant "une salope".
— C'est vrai que t'es mignonne, toute lisse, avec tes tétons bien sensibles et ton cul d'enfer.
Un doigt suit le sillon fessier et plonge dans l'anus, un autre ne tarde pas à l'y rejoindre, la coquine connaît tout de la jouissance anale. Entre tripotage des tétons et touché de la prostate, la contrainte de la cage devient insupportable
— Non... Arrêtez... Arrêtez... S'il te plaît Germaine.
— Mais bien sûr qu'il me plaît Jane... Elle est derrière moi, un pied au sol, un genou sur le canapé. Et çaaaaaaaaaa, (tout en me plantant brutalement le gode.)... Ça aussi me plaît !
J'étouffe un gémissement quand la dame m'enfonce le gourdin tout entier. Je ressens une brûlure au bord des fesses et un déchirement dans tout le ventre, ses deux mains se crispent sur mes hanches et me plaquent contre son pubis. Le temps de retrouver ma respiration, elle me laboure lentement puis me prend sous les aisselles et me redresse contre sa poitrine, je sens ses tétons pointer au travers de la soie. Alors qu'elle me caresse les pectoraux, je me cambre contre elle en la prenant en arrière par les hanches. Elle me sens vaciller et me soutient par la poitrine et le ventre :
— Waouh Jane, t'es une sacrée chaudasse ! » Ses coups de reins se font plus violents, me soulèvent presque du sol. Elle me tient à la fois par les couilles et me pétrit la poitrine. D'un coup elle me repousse, .. « Mais moi c'est John que je veux ! Allez, donne-moi la clé que je libère l'animal. » Je suis désarçonné, instinctivement je serre les fesses quand je sens de chaudes coulures entre les cuisses.
Mal à l'aise avec les fesses à l'air qui perdent les eaux, je prends la clé dans mon pantalon et lui tends. Elle s'affaire immédiatement à la chose et la cage à peine ouverte mon sexe se déploie, les fers sont imprimés profondément dans mes chairs, je la portais depuis presque deux jours et ressens un immense soulagement. Elle est tellement étroite qu'avec difficulté elle la retire de mon pubis.
— Waouh John ! Comment ton engin tient dans un truc pas plus gros que tes couilles ?
Elle tombe à genoux, me prend par les fesses et avale ma queue. Quel double plaisir d'être libéré des fers et sucé comme elle le fait. Je sens mon gland glisser au fond de la gorge au milieu d'un flot de salive et des « Burp... Beuargh...! » Ses yeux se remplissent de larmes avant de me lâcher en souriant
— Viens dans ma chambre !
Elle passe devant moi laissant son kimono flotter sur ses épaules. En entrant dans la chambre elle s'en débarrasse et avance nue en me tendant la main. Ses formes sont généreuses, la taille bien marquée, sa marche chaloupée. Arrivée au pied du lit de la pièce elle me fait face. Je ne vois que ses seins pointer vers le haut, son ventre à peine marqué par la maternité et une petite toison pubienne bien soignée.
Elle me pousse à la renverse sur le lit et vient à quatre pattes, elle s'appuie légèrement sur moi, m'embrasse à pleine bouche, ses seins caressent ma poitrine, son ventre se frotte au mien. On fait connaissance, on se dit mots tendres, ce ne sont que bisous et roucoulements.
Elle se redresse et me chevauche tête-bêche au milieu du lit. Pris entre ses cuisses je suis plongée dans une pénombre chaude et humide, aucun ventre glabre ne m'a offert de telles effluves. Mon nez fouille le buisson, s'enivre du parfum capiteux, une épaisse balafre brune entaille le fourré. J'embrasse le ventre barbu, lèche la crête de chair, sépare deux petites langues et découvre la fente rouge vif, je goûte le jus acide qui suinte, suçote le bouton qui pointe. Le bassin de la dame se met en branle et m'encourage à être plus glouton. Elle, tout en grognant de plaisir, me pompe le nœud entre délicatesse et gourmandise. Elle astique, suce, avale le manche, tripote, masse, bouffe les couilles.
Telle une furie elle revient vers moi. Elle est rayonnante avec ses cheveux ébouriffés, son rouge à lèvres étalé sur sa bouche, elle sourit en me voyant le museau couvert de cyprine et me donne une lichette sur le bout du nez. Elle se couche sur moi, cette fois ses genoux entre les miens, elle pèse de tout son poids sur ma poitrine, son ventre reste décollé et en deux ou trois déhanchements elle s'emmanche sur mon pieu. J'entoure ses épaules, mes jambes enlacent les siennes, nos corps se fondent l'un à l'autre.
Elle me fait tendrement l'amour, lentement, précautionneusement, son bassin va de droite à gauche, tout son corps ondule, bouge, se frotte au mien. Son vagin m'enserre la queue, agit comme une pompe. Je cours sur le chemin de l'extase. Sa tête lovée au creux de mon épaule, je sens sa respiration dans mon cou, j'entends à peine ses gémissements. Je la caresse du bout des doigts en suivant sa colonne vertébrale de la nuque à la naissance des fesses, dans un ''Mmmmm'' elle trésaille et se cambre.
Sans me quitter, elle passe ses genoux à l'extérieur des miens, se relève et la voilà telle une Walkyrie sur son coursier. Alors je n'ai d'yeux que pour sa poitrine un peu lourde qui tressaute, je la prends à la base des mamelles, je les relève, les palpe, les presse en faisant jaillir les tétons. Elle bombe fièrement le torse, les épaules en arrière, en s'appuyant sur mes cuisses. Elle continue sa chevauchée les cuisses largement ouvertes, elle passe du trot au galop. Mon sexe nage dans la moiteur du vagin distendu. Je regarde son ventre, sa toison bien taillée au bas de laquelle pointe son clito et s'étalent ses larges nymphes sur mon pénis. Sa danse ralentit, s'arrête, à bout de souffle elle s'écrase sur moi.
En pouffant de rire je l'entraîne dans un roulé-boulé et me retrouve sur elle à lui faire l'amour en missionnaire... Pas longtemps, la dame s'agite, son visage se crispe, d'une voix rauque elle maugrée :
— John ! Encule-moi !
Chauffé à blanc, sans ménagement je relève ses jambes jusqu'à la plier en deux. Entre ses cuisses ouvertes son gazon est maculé de mouille, sa vulve gorgées de sang baille entre les nymphes froissées. Ses seins s'étalent légèrement sur les côtés et tremblent comme des 'jellys' quand je la pénètre d'un coup. Son visage se crispe à peine avant de se détendre.... Je deviens violent, elle aime.
— Tiens salope ! T'en veux la bite ?
— Ah ouais John... Vas-y, cogne fort, défonce-moi !
Tout son corps tremblotte sous mes assauts, je lui prends les deux masses laiteuses, les comprime, fais se dresser les pointes. Je me plie pour lui bouffer les tétine, elle me prend la tête à deux mains et me fait passer d'un nichon à l'autre
— Oh oui mon bébé, t'as faim... Tète bien maman... Oh pas si fort ! Méchant garçon ne mord pas.
Tout en la suçant, en appui sur mes genoux je continue à la sodomiser... Mais pas très pratique, je me relève, son bassin bascule, elle amène ses pieds dans mon dos et ses mains sous sa tête en creusant le ventre. Je retrouve toute ma liberté d'action. Elle est magnifique ainsi offerte, les yeux fermés, la bouche entrouverte, je m'amuse à voir ses mamelles balloter par ma danse et l'empreinte de mes dents sur ses mamelons. Au creux de son ventre sa vulve est béante. Je pars légèrement en arrière pour mieux la découvrir et la prendre au sexe. Elle est tellement trempée que le moindre de mes mouvements crée un clapotis qui ajoute une touche de lubricité à notre relation. Elle respire fort, par à coups, ses yeux se crispent, ses mains bloquent mon poignet contre son ventre. Elle est sublime comme elle se tend. Je la laisse souffler avant de revenir sur elle.
Ses pieds en l'air, je tiens ses mains au dessus de sa tête. Je la besogne ainsi en extension encore un bon moment, couché sur sa poitrine, les yeux dans les yeux, les lèvres sur les lèvres
— Oh John, viens, viens... Oh !... Je jouis encore !
Je voudrais retarder encore un peu le moment mais je la rejoins dans un long râle « AH ! Ouiiiiiiii ».
Épuisés l'un comme l'autre, elle desserre l'étau de ses jambes, tout son corps se relâche, je vire sur le côté, allongé à son côté la tenant juste du bout des doigts. Après un long moment :
— Humm ! John c'était merveilleux… On a beaucoup de choses à découvrir ensemble à deux, à trois et à plus, avec Bernard on reçoit quelques fois… Pour l'instant prenons une douche.
— Oui et je vais devoir te quitter je dois préparer mon contrôle de demain.
— Dommage ! Je suis sûre que Bernard aurait été heureux de rencontrer Jane mais ce n'est que partie remise.
De retour dans ma chambre je retrouve l'odeur de Valérie... Je m'installe à la table et commence à lui écrire ma rencontre avec la propriétaire.
Pour tuer le temps je décide de rentrer chez moi à pied. Après avoir quitté le tumulte de la gare et des boulevards, je retrouve le calme sur les bords de Seine. Je repense à ces deux jours partagés avec Valérie, notre baiser sur le quai, notre première nuit d'amour, la balade dans Paris, le passage au sexshop, comment elle m'a asexué, comment elle m'a aimé. En marchant, je sens ma cage de chasteté passer d'une jambe à l'autre et je tripote dans ma poche la clé qu'elle m'a donnée sur le quai de la gare « Voilà ! Mais tu me raconteras tout ! » un dernier baiser souda notre accord
J'avance au bord du fleuve, regarde le miroitement de l'eau, sa couleur gris-noir. En cette belle matinée de printemps il fait bon flâner et je profite d'un banc pour m'asseoir, pour penser à tout, à rien, au passé, au futur, les yeux dans le vague, je regarde les promeneurs, sans les voir,... Instinctivement je prends à pleine main la balle que j'ai entre les jambes et me triture la nouille sans me préoccuper du voisinage.
Mon horizon se limite à mes tennis, à cette flaque d'eau, au lieu de mon reflet j'y vois Valérie me dire « John, ça va aller ! »... Oui ça va aller. Je me secoue de cette torpeur et reprends d'un pas décidé ma promenade. J'arrive rue Galande lorsque les douze coups de midi sonnent à Notre Dame. Dès la porte de mon immeuble franchie, je retrouve le calme et une certaine fraîcheur. Songeur, je monte lentement mes sept étages... Lorsque arrivé au 4ème madame Girard, ma propriétaire, m'interpelle :
— Bonjour John ! Comment vas-tu ?... Depuis hier soir !.
— Bonjour madame !... Hier soir ?..., en faisant celui qui ne comprend pas
— Ben oui ! La jeune fille à la veste orange...
— ...
— Tu es seul ? Ton amie est partie ?... Entre ! Bernard est à la chasse, déjeunons ensemble, nous pourrons papoter et mieux nous connaître.
— Je ne voudrais pas vous déranger.
— Mais non ! Pas du tout, affirme-t-elle. Entre ! Nous avons toute l'après-midi pour discuter.
Je suis pris de panique quand elle me pousse dans son appartement et en même temps je ressens ce fluide étrange qui me fait frissonner comme au premier jour quand elle me fit entrer dans ma chambre. Avec un certain malaise et beaucoup d'inquiétude, je passe la porte, va-t- elle se fâcher et tout raconter à ma mère ? Va-t-elle me taquiner et jouer au chat et à la souris ?
Madame Girard est une femme d'une cinquantaine d'années, plutôt bien foutue, aux cheveux blancs coupés courts, avec un joli visage ovale bien maquillé, aux yeux verts et aux lèvres pulpeuses. Une femme toujours élégante, aujourd'hui en tailleur prince de galle, bas gris et escarpins à petits talons, sa blouse sous la veste laisse apparaître la naissance des seins.
On s'installe dans un salon cossu et en prenant l'apéritif, elle me demande des nouvelles de ma mère, j'apprends alors qu'elle était sa chef de services et qu'elles sont restées en relation, c'est ainsi qu'elle lui a offert sa chambre de bonne en location.
Assise dans un fauteuil face à moi sur le canapé, elle croise et décroise ses jambes. Le bruissement régulier de ses bas et le profond décolleté de sa blouse éveillent ma libido. C'est à ce moment que je constate son regard fixé sur mon entrejambe et le renflement de ma cage bien visible. Elle s'amuse en me voyant resserrer prestement les genoux :
— John, veux-tu que nous passions à table ? J'ai préparé un petit rôti de veau aux morilles... Tiens, joue le maître de maison et ouvre-nous cette bouteille de Brouilly s'il te plaît !
A table nous continuons à parler de ma vie d'étudiant, de mon installation. Peu à peu je me détends, abandonne le madame pour revenir au Germaine demandé. La salade de fraises avalée, elle m'invite à retourner au salon pour le café, à ce moment la conversation glisse sur notre rencontre d'hier :
— Alors John, avec qui étais-tu hier soir ? Tu étais toute mignonne en fille et ta compagne était ravissante. Je vous ai entendu monter les escaliers, elle t'appelait Jane... J'adore ce prénom anglais.
— ... Je deviens rouge comme une pivoine
— Préfèrerais-tu que je t'appelle Jane, entre nous ?.... Allons, ne sois pas timide.
— ... Heu ! ... Comme vous vou vou voulez ! Dis-je en bégayant de quoi elle s'amuse.
— Ne t'inquiète pas... Elle me prend la main, la serre doucement. Ce sera notre secret. Elle me sourit et murmure. Je sais être une tombe quand il le faut !
— S'il vous plait... Je la regarde pour m'assurer de sa sincérité, elle me sourit et hoche la tête. Alors je prends une grande inspiration et lance d'un coup : Voilà, je vais tout vous dire. Je suis bisexuel! Valérie est une trans et j'aime me travestir, m'amuser avec elle.
Je croyais la surprendre, la fâcher qu'elle me jette dehors. Au contraire, son visage est radieux, elle me prend les deux mains, se rapproche de moi, me regarde affectueusement et me dit à voix basse :
— Mais c'est merveilleux !... Tu aimes les hommes et les femmes ?
— Oui !.... Je la fixe du regard, rassuré de sa bienveillance, j'ajoute tout bas : Il y a longtemps j'ai été dépucelé par mon cousin et l'année dernière ma tante m'a fait découvrir l'amour au féminin !
— Ta tante !... La sœur de ta mère ? » S'écrie-t-elle surprise. J'approuve d'un signe de tête « ... Ben dis donc ! Deux sœurs aux sexualités opposées, ta mère est plutôt grenouille de bénitier... Et moi, je suis plutôt... du genre de ta tante !... J'espère que toi aussi tu sais être une tombe quand il le faut !
D'un coup, la chape de plomb qui pesait sur mes épaules s'évapore et dans un grand soupir je retrouve un certain calme. Elle se lève, me sourit sans me quitter des yeux puis elle passe derrière le canapé, ses deux bras plongent par dessus mes épaules jusqu'à mon ventre, trouvent mon sexe en cage. Elle me mordille le lobe de l'oreille, sa langue glisse dans le pavillon, elle murmure « J'aime beaucoup les jeunes gens de ton genre... N'est-ce pas que tu sais garder un secret ? »!
En m'abandonnant la tête appuyée au dossier du canapé, entre ses seins je soupire « Ouiiiii madame » elle réplique en chuchotant, ses lèvres sur mon cou « N'avions-nous pas convenu de nous tutoyer et moi, c'est Germaine ». Vaincu, sous la pression de ses mains j'écarte mes genoux et lui laisse prendre le paquet qu'elle manipule outrancièrement jusqu'à entreprendre d'ouvrir la braguette. D'un coup revirement de situation, elle me pousse par les épaules et élève la voix crescendo jusqu'à crier
— Montre-toi !... Déshabille-toi ! T'AS PAS COMPRIS ?
Stupéfait, je me lève et face à elle, j'obéis sans un mot, retirant jean et chemise pour rester en jarretelles, bas et petite culotte.
— T'es affriolante comme ça ma chérie... Mais j'ai dit A POIL ! » Je baisse mon shorty de dentelle blanche et le quitte en le piétinant. Son regard s'adoucit, un vague sourire se dessine sur ses lèvres, elle me tire à elle par ma cage d'acier chromé en glissant son majeur dans le creux de mes fesses. « Oh, la cochonne !... Elle est tout mouillée. » Elle tente d'atteindre mon petit trou et me demande d'une voix doucereuse « ... Tu'm fais voir ta chatte !... » Faute de réaction de ma part, elle me donne une grande claque sur le côté de la fesse et crie « MONTRE TON CUL, SALOPE ! »
Debout je me penche sur le canapé. Pour mieux me voir elle me prend une jambe et pose le genou sur le divan. Elle écarte mes fesses, j'imagine l'indécence de ma position, malgré tout je creuse les reins :
— Humm ! T'es bien ouverte. » Elle me plante un doigt dans les fesses et d'un grognement de satisfaction ajoute « Tu mouilles sacrément, Ne bouge pas ! Je reviens. »
Paralysé, je n'ai aucune force pour bouger. Je n'ai pas à attendre longtemps qu'elle revient en kimono de soie noire sans cacher sa nudité, un gode ceinture à la main. Elle avance en enjambant le sex-toy couleur chair qu'elle s'empresse d'ajuster. J'ai à peine le temps de la voir, juste de constater qu'elle est un peu enveloppée et déjà elle est sur moi. Sans gêne, elle me caresse la poitrine et les fesses, je sens le gode contre ma hanche. Elle est tout contre moi, me roule les tétons et me titille la pastille. Si je joue double jeu, elle passe facilement de l'honorable bourgeoise à la fieffée ribaude ! Valérie avait vu juste en la croisant "une salope".
— C'est vrai que t'es mignonne, toute lisse, avec tes tétons bien sensibles et ton cul d'enfer.
Un doigt suit le sillon fessier et plonge dans l'anus, un autre ne tarde pas à l'y rejoindre, la coquine connaît tout de la jouissance anale. Entre tripotage des tétons et touché de la prostate, la contrainte de la cage devient insupportable
— Non... Arrêtez... Arrêtez... S'il te plaît Germaine.
— Mais bien sûr qu'il me plaît Jane... Elle est derrière moi, un pied au sol, un genou sur le canapé. Et çaaaaaaaaaa, (tout en me plantant brutalement le gode.)... Ça aussi me plaît !
J'étouffe un gémissement quand la dame m'enfonce le gourdin tout entier. Je ressens une brûlure au bord des fesses et un déchirement dans tout le ventre, ses deux mains se crispent sur mes hanches et me plaquent contre son pubis. Le temps de retrouver ma respiration, elle me laboure lentement puis me prend sous les aisselles et me redresse contre sa poitrine, je sens ses tétons pointer au travers de la soie. Alors qu'elle me caresse les pectoraux, je me cambre contre elle en la prenant en arrière par les hanches. Elle me sens vaciller et me soutient par la poitrine et le ventre :
— Waouh Jane, t'es une sacrée chaudasse ! » Ses coups de reins se font plus violents, me soulèvent presque du sol. Elle me tient à la fois par les couilles et me pétrit la poitrine. D'un coup elle me repousse, .. « Mais moi c'est John que je veux ! Allez, donne-moi la clé que je libère l'animal. » Je suis désarçonné, instinctivement je serre les fesses quand je sens de chaudes coulures entre les cuisses.
Mal à l'aise avec les fesses à l'air qui perdent les eaux, je prends la clé dans mon pantalon et lui tends. Elle s'affaire immédiatement à la chose et la cage à peine ouverte mon sexe se déploie, les fers sont imprimés profondément dans mes chairs, je la portais depuis presque deux jours et ressens un immense soulagement. Elle est tellement étroite qu'avec difficulté elle la retire de mon pubis.
— Waouh John ! Comment ton engin tient dans un truc pas plus gros que tes couilles ?
Elle tombe à genoux, me prend par les fesses et avale ma queue. Quel double plaisir d'être libéré des fers et sucé comme elle le fait. Je sens mon gland glisser au fond de la gorge au milieu d'un flot de salive et des « Burp... Beuargh...! » Ses yeux se remplissent de larmes avant de me lâcher en souriant
— Viens dans ma chambre !
Elle passe devant moi laissant son kimono flotter sur ses épaules. En entrant dans la chambre elle s'en débarrasse et avance nue en me tendant la main. Ses formes sont généreuses, la taille bien marquée, sa marche chaloupée. Arrivée au pied du lit de la pièce elle me fait face. Je ne vois que ses seins pointer vers le haut, son ventre à peine marqué par la maternité et une petite toison pubienne bien soignée.
Elle me pousse à la renverse sur le lit et vient à quatre pattes, elle s'appuie légèrement sur moi, m'embrasse à pleine bouche, ses seins caressent ma poitrine, son ventre se frotte au mien. On fait connaissance, on se dit mots tendres, ce ne sont que bisous et roucoulements.
Elle se redresse et me chevauche tête-bêche au milieu du lit. Pris entre ses cuisses je suis plongée dans une pénombre chaude et humide, aucun ventre glabre ne m'a offert de telles effluves. Mon nez fouille le buisson, s'enivre du parfum capiteux, une épaisse balafre brune entaille le fourré. J'embrasse le ventre barbu, lèche la crête de chair, sépare deux petites langues et découvre la fente rouge vif, je goûte le jus acide qui suinte, suçote le bouton qui pointe. Le bassin de la dame se met en branle et m'encourage à être plus glouton. Elle, tout en grognant de plaisir, me pompe le nœud entre délicatesse et gourmandise. Elle astique, suce, avale le manche, tripote, masse, bouffe les couilles.
Telle une furie elle revient vers moi. Elle est rayonnante avec ses cheveux ébouriffés, son rouge à lèvres étalé sur sa bouche, elle sourit en me voyant le museau couvert de cyprine et me donne une lichette sur le bout du nez. Elle se couche sur moi, cette fois ses genoux entre les miens, elle pèse de tout son poids sur ma poitrine, son ventre reste décollé et en deux ou trois déhanchements elle s'emmanche sur mon pieu. J'entoure ses épaules, mes jambes enlacent les siennes, nos corps se fondent l'un à l'autre.
Elle me fait tendrement l'amour, lentement, précautionneusement, son bassin va de droite à gauche, tout son corps ondule, bouge, se frotte au mien. Son vagin m'enserre la queue, agit comme une pompe. Je cours sur le chemin de l'extase. Sa tête lovée au creux de mon épaule, je sens sa respiration dans mon cou, j'entends à peine ses gémissements. Je la caresse du bout des doigts en suivant sa colonne vertébrale de la nuque à la naissance des fesses, dans un ''Mmmmm'' elle trésaille et se cambre.
Sans me quitter, elle passe ses genoux à l'extérieur des miens, se relève et la voilà telle une Walkyrie sur son coursier. Alors je n'ai d'yeux que pour sa poitrine un peu lourde qui tressaute, je la prends à la base des mamelles, je les relève, les palpe, les presse en faisant jaillir les tétons. Elle bombe fièrement le torse, les épaules en arrière, en s'appuyant sur mes cuisses. Elle continue sa chevauchée les cuisses largement ouvertes, elle passe du trot au galop. Mon sexe nage dans la moiteur du vagin distendu. Je regarde son ventre, sa toison bien taillée au bas de laquelle pointe son clito et s'étalent ses larges nymphes sur mon pénis. Sa danse ralentit, s'arrête, à bout de souffle elle s'écrase sur moi.
En pouffant de rire je l'entraîne dans un roulé-boulé et me retrouve sur elle à lui faire l'amour en missionnaire... Pas longtemps, la dame s'agite, son visage se crispe, d'une voix rauque elle maugrée :
— John ! Encule-moi !
Chauffé à blanc, sans ménagement je relève ses jambes jusqu'à la plier en deux. Entre ses cuisses ouvertes son gazon est maculé de mouille, sa vulve gorgées de sang baille entre les nymphes froissées. Ses seins s'étalent légèrement sur les côtés et tremblent comme des 'jellys' quand je la pénètre d'un coup. Son visage se crispe à peine avant de se détendre.... Je deviens violent, elle aime.
— Tiens salope ! T'en veux la bite ?
— Ah ouais John... Vas-y, cogne fort, défonce-moi !
Tout son corps tremblotte sous mes assauts, je lui prends les deux masses laiteuses, les comprime, fais se dresser les pointes. Je me plie pour lui bouffer les tétine, elle me prend la tête à deux mains et me fait passer d'un nichon à l'autre
— Oh oui mon bébé, t'as faim... Tète bien maman... Oh pas si fort ! Méchant garçon ne mord pas.
Tout en la suçant, en appui sur mes genoux je continue à la sodomiser... Mais pas très pratique, je me relève, son bassin bascule, elle amène ses pieds dans mon dos et ses mains sous sa tête en creusant le ventre. Je retrouve toute ma liberté d'action. Elle est magnifique ainsi offerte, les yeux fermés, la bouche entrouverte, je m'amuse à voir ses mamelles balloter par ma danse et l'empreinte de mes dents sur ses mamelons. Au creux de son ventre sa vulve est béante. Je pars légèrement en arrière pour mieux la découvrir et la prendre au sexe. Elle est tellement trempée que le moindre de mes mouvements crée un clapotis qui ajoute une touche de lubricité à notre relation. Elle respire fort, par à coups, ses yeux se crispent, ses mains bloquent mon poignet contre son ventre. Elle est sublime comme elle se tend. Je la laisse souffler avant de revenir sur elle.
Ses pieds en l'air, je tiens ses mains au dessus de sa tête. Je la besogne ainsi en extension encore un bon moment, couché sur sa poitrine, les yeux dans les yeux, les lèvres sur les lèvres
— Oh John, viens, viens... Oh !... Je jouis encore !
Je voudrais retarder encore un peu le moment mais je la rejoins dans un long râle « AH ! Ouiiiiiiii ».
Épuisés l'un comme l'autre, elle desserre l'étau de ses jambes, tout son corps se relâche, je vire sur le côté, allongé à son côté la tenant juste du bout des doigts. Après un long moment :
— Humm ! John c'était merveilleux… On a beaucoup de choses à découvrir ensemble à deux, à trois et à plus, avec Bernard on reçoit quelques fois… Pour l'instant prenons une douche.
— Oui et je vais devoir te quitter je dois préparer mon contrôle de demain.
— Dommage ! Je suis sûre que Bernard aurait été heureux de rencontrer Jane mais ce n'est que partie remise.
De retour dans ma chambre je retrouve l'odeur de Valérie... Je m'installe à la table et commence à lui écrire ma rencontre avec la propriétaire.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Daniel pour ta fidélité
Tu as raison, le couple de propriétaire peut avoir un rôle déterminant mais n’anticipons pas
Tu as raison, le couple de propriétaire peut avoir un rôle déterminant mais n’anticipons pas
Merci Daniel pour ta fidélité
Tu as raison, le couple de propriétaires peuvent avoir un rôle déterminant mais n’anticipons pas
Tu as raison, le couple de propriétaires peuvent avoir un rôle déterminant mais n’anticipons pas
Je continue de dire BRAVO encore un texte sublime ou JOHN/JANE nous fait bien comprendre sa bixesualite acceptée il devra toutefois se méfier du couple propriétaire et garder la mainmise sur sa cage de chasteté. J’attends ses prochaines aventures. Daniel
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