Etre John et Jane Chapitre 7 - Avec mon coach de gym. - histoire érotique

Une consultation chez le docteur Juste m'avais permis de comprendre que mon désir était de paraître femme. Ainsi il m'avait recommandé les soins d'une esthéticienne et d'un coach de gym, l'esthéticienne étant connue, restait à trouver un coach..

La semaine dernière j'appris que mon mec, Marco, bossait dans une salle de sport. Nous avons convenu de nous y retrouver pour un programme orienté sur la silhouette, avec un travail particulier des fessiers et des abdominaux.

Voilà le moment venu. Il est à peine 17 heures et j'ai au moins une demi-heure d'avance avec mon premier rendez-vous. En ce début de printemps, il fait beau et bon, j'en profite pour me promener et m'asseoir dans un square près de Notre Dame. Les arbres se couvrent de feuilles et de fleurs. Dans ce havre de paix, au milieu de la ville, les oiseaux chantent, les enfants à la sortie de l'école jouent, les amoureux sur les bancs s'embrassent et se content fleurette. Je me sens heureux et libre.

Marco... Comment pouvais-je imaginer que ce cochon était coach de gym ? Je repense aux moments passés, quand je l'ai connu dans le train de banlieue et qu'il m'a emmené au cinéma où il m'a pris avec six autres types, quand je l'ai sucé dans la rue.... et une autre fois dans le hall de mon immeuble ! Chaque fois à l'abri du regard des passants et chaque fois en situations extrêmes me provoquant de violentes décharges d'adrénaline. C'est un petit salaud mais j'aime bien sa force et sa douceur, son autorité et sa galanterie, sa brutalité et sa délicatesse.

Les cloches de la cathédrale me rappellent qu'il est temps d'y aller. Ce soir je suis plutôt John, habillé de baskets, jean et anorak, le sac de sport à l'épaule, seuls mon visage d'ange et ma coiffure hirsute peuvent laisser penser à Jane. En un quart d'heure j'arrive à l'adresse donnée, une plaque discrète à l'entrée de l'immeuble m'informe que je suis au bon endroit. Je pousse la porte cochère, au fond de la cour il y a une façade en verre dépoli, gravé d'un soleil stylisé et d'une silhouette féminine soulignés de « HÉLIOS club privé de gymnastique ». Ça laisse penser plus à un club de détente naturiste qu'à une salle de sport. J'entre, et me trouve dans une ambiance moderne et feutrée baignée de lumière bleue avec en sourdine une musique polynésienne. Une jeune femme, de type méditerranéenne, aux cheveux noirs coiffés en chignon, en tablier blanc semblable à une infirmière, m'accueille derrière un comptoir :

— Bonsoir !
— Bonsoir, j'ai rendez-vous avec Marco.
— Euh… Oui ! Jane ?
— ... Euh... uuii.
— Enchanté Jane ! Marco m'a informé de votre venue, vous venez pour la séance fessiers, abdos, n'est-ce pas ?
— C'est ça.
— Je suis Paloma la quo-gérante de la salle, Marco est en muscu, il nous retrouvera en fin de cours. Je suis votre coach. Je vous propose de passer au vestiaire et on se retrouve en tenue dans la salle d'à côté, il y a quatre autres participantes.

Pour la première fois je mets mon collant et mon débardeur noirs qui s'ajustent comme une seconde peau, je me sens plus nu qu'habillé même si une sorte de coquille me protège . En entrant dans la salle c'est le choc, au milieu d'une grande pièce, entre une baie vitrée ouverte sur une pelouse et un miroir qui couvre tout un mur, se tiennent cinq Vénus de marbre de carrare ! Paloma et les quatre participantes sont en combinaisons de lycra blanche qui moulent divinement leurs formes. La plus jeune n'a pas 30 ans et les autres la quarantaine, toutes plus belles les unes que les autres.
Ma surprise est partagée par les autres participantes, je me sens être le cygne noir du fameux ballet de Tchaïkovski, par contre ma gêne n'est que plaisir pour elles vu leurs sourires et leur « Bonsoir » chaleureux.
Immédiatement Paloma me présente et met tout le monde à l'aise par le tutoiement. Ce sont tout de suite échanges de bienvenues et embrassades amicales, jusqu'à ce que la coach reprenne les affaires en mains.

— Allons mesdemoiselles un peu de sérieux. Je m'amuse à être considéré comme les autres et m'aligne à celles-ci.

Paloma met une musique rythmique et commence à donner ses instructions tout en présentant l'exercice. A l'exemple de la coach, les quatre filles se mettent en position, debout, jambes légèrement écartées, bras le long du corps, sans vraiment s'occuper de moi, mis à part de petits sourires entendus visibles dans le miroir face à nous.

— Bien... Jane s'il te plaît, on se détend, on ferme les yeux, on se concentre et on respire lentement et profondément, une respiration abdominale bien à fond...
— Voilà, c'est mieux ainsi. On commence avec quelques échauffements, debout jambes écartées, par séries de 20. Flexions maxima des genoux, dos bien droit et 1 et 2 et 3 … Bien, on continue, lever de jambe droite sur le côté ... plus haut... OK, jambe gauche... en avant... en arrière et 1 et 2 et 3…
— Allez, bien en rythme on continue....Prenez les hula-hoop et on assouplit la taille, on va jusqu'à 100 rotations» L'exercice est une catastrophe et me vaut la remontrance de Paloma « Jade ça ne va pas du tout, déhanche-toi, sors tes fesses, arrondis le mouvement... » Alors que toutes les quatre font tourner le cercle comme un gyroscope, j'enchaîne péniblement trois, quatre tours « C'est top les filles mais toi Jade on reverra ça après le cours !

— On va travailler les cuisses, allongez-vous sur le côté appuyée sur un coude, on élève latéralement la jambe droite et 1 et 2 et 3 … allons, mieux que ça, plus haut et 1 et 2 et 3... on se tourne, on change de côté, la jambe gauche et 1 et 2...

La musique accompagne, Paloma présente l'exercice devant le miroir puis circule entre nous cinq pour nous corriger

— On continue avec les fessiers toujours par série de vingt, à quatre pattes, on élève la jambe droite en arrière, bien haute et 1 et 2 et 3.... et la gauche... plus haute ! Allez les filles, on contracte fort les fessiers et on relâche... Une autre série de vingt, jambe droite haute en arrière et 1 et 2...

Concentré, les yeux fermés, j'oublie l'environnement jusqu'au moment où une main appuie sur mes fesses et une autre à l'intérieur de la cuisse relève très haut la jambe pour ouvrir le compas à plus de 120 degrés. Le coton du legging paraît inexistant tant la main devient caressante sur la cuisse ou pressante sur la fesse. Elle me murmure : «T'as un p'tit cul, tu vas voir comme on va le raffermir» avant d'aller vers une autre pour accentuer la cambrure du corps, toutes bénéficient de ses attentions et corrections.

— C'est bien les filles... Allez, mettez-vous par deux pour quelques abdos pour terminer. » Tout naturellement ma voisine, la petite jeune, Sylvie, qui ne cesse de me regarder depuis le début me rejoint « L'une tient les pieds, l'autre les mains derrière la tête, soulève les épaules et enroule la colonne » On fait l'exercice mais ce ne sont que sourires et œillades…. « C'est très bien les filles on continue avec 3 séries de ciseaux »… et les exercices s'enchaînent. Après plus de trois-quarts d'heure d'efforts

— Parfait les filles, vous avez bien travaillé. On termine comme d'habitude avec cinq, dix minutes de relaxation. On s'allonge sur le dos, bras le long du corps, on s'étire, on respire lentement, on ferme les yeux...

Paloma change de musique puis vient vers moi, corrige ma position, allonge mes bras le long du corps, plaque mes mollets au sol, me caresse les pectoraux avant de descendre négligemment sur le pubis « Jane, à la fin du cours nous ferons le point avec Marco. » Elle me quitte, probablement accorde à chacune des filles une attention particulière jusqu'à ce que :

— Allez les filles ! toutes à la douche !...

Le plus naturellement du monde les quatre femmes quittent leur seconde peau de lycra et passent dans la salle de douche prévue pour presque 10 personnes. Timide je reste à la porte quand toutes me crient :

— Allez Jane, viens avec nous, tu fais partie de la bande ! » Avec un temps de retard très gêné je les rejoins, une main cachant mon sexe en érection. Deux des quatre filles qui se lavent mutuellement, sont visiblement en couple, tandis que les deux autres viennent à moi. « T'es magnifique toute épilée et t'as un beau cul ! » L'une me caresse le dos, l'autre le torse en me disant « Fais voir le reste... » Elle me tient la main « WAOUH ! Les filles, regardez ! »

Alors que les deux copines s'affairent entre elles, Monique debout me couvre de bisous en me prenant la queue et Sylvie à genoux me pompe de suite le nœud. Notre trio vire rapidement à l'orgie, je pelote les deux ensemble, compare les nichons, la fermeté des fesses, elles se partagent mes faveurs, Sylvie me "branche" à sa copine qui m'offre son croupion, avant d'intervertir les rôles. Debout, je baise l'une et pelote l'autre, tandis que les deux gouines se gougnottent à même le sol. Finalement je régale les deux coquines quand Paloma intervient en éteignant la lumière sous nos cris de contestations.
Dans le vestiaire, les rigolades continuent tout en s'habillant. On se quitte et on s'embrasse toutes les cinq :

— A mardi les filles... Bon week-end, à toutes ! Jane tu viendras ?
— Non pas mardi, j'ai des partielles mais on se voit vendredi.
— OK ! Bon week-end les filles ! Crie Paloma tout en me retenant par la main.

Nous restons toutes les deux dans le hall d'accueil et le calme revenu, Marco nous rejoint. C'est la première fois que je le vois en short et marcel, il est sacrément bien foutu, un véritable athlète, des biscoteaux comme mes cuisses, des pectoraux très développés, il me domine d'une demi-tête. Tout sourire il me rejoint et avec beaucoup de gentillesse, d'une main sur mes fesses il me serre contre lui et m'embrasse du bout des lèvres.

— Salut Jane je suis content de te recevoir dans mon club. Assieds-toi qu'on parle un peu. Alors qu'on s'installe dans les fauteuils du hall il tire sa copine à lui en la prenant par la taille... Alors Paloma que penses-tu de la petite ?
— Elle a du potentiel mais elle doit travailler.
— Peux-tu préciser
— Écoute je vais être franche. Elle est mignonne mais a des fesses en goutte d'eau, des abdos mollassons, une taille souple comme un verre de lampe, elle fait tout juste 15 ciseaux, n'enchaîne même pas trois rotations de hula-hoop. C'est vrai qu'elle a un beau p'tit corps, un joli minois, des tétons très sensibles et putain... un PAF qui les met toutes à genoux !
— Ah ouais je vois ! Tandis qu'il pelote sans vergogne les fesses de Paloma debout à son côté, il continue grognon : T'as entendu Jane il faut travailler, tu prendras un cerceau et je veux te voir enchaîner vingt rotations vendredi prochain et tu me feras par série de dix les exercices que je note sur ce papier. Bon, passons à autre chose, viens ici !

Alors que je suis près de lui, il baisse son short sous ses couilles et d'un doigt m'indique son sexe au repos. Il n'a rien d'autre à dire, il sait que je vais le satisfaire. Sous les yeux éberlués de Paloma, telle une bonne soumise, je me mets à genoux, mes mains sur ses cuisses velues. Malgré l'odeur de mâle qui me rebute un peu, j'incline la tête sur son ventre sur lequel repose au milieu des poils son sexe gros comme une courgette. D'abord simplement de la langue puis de la bouche, je le lèche, le décalotte et le suce. Il m'encourage d'une main sur ma tête. Sa queue se redresse, d'une main je lui pelote les couilles soyeuses, de l'autre je caresse le pubis à la toison frisée avant de presser le membre à sa base.

Le braquemart se dresse, grossit, les veines se gonflent, l'urètre se dilate, le gland tressaute sur ma langue. L'homme conduit ma tête, il sait que je ne lui avalerai pas le morceau mais il cogne régulièrement la luette et me fait régurgiter des flots de bave. Trop occupé à ma fellation je ne me rends compte de rien quand les fesses olivâtres de Paloma s'intercalent entre moi et le ventre de Marco. Alors qu'elle se cambre et écarte les fesses, le gars m'ordonne « Bouffe-lui l'oignon ! »

Qu'en terme galant cela est demandé, et pourtant ! L'anus bien visible au centre du vallon, sous la poussée, grossit à l'image d'un oignon rouge violacé. Je lèche les petites joues, titille le centre creusé avant d'embrasser le cul en lui faisant un suçon tout en pointant le petit trou de la langue.

— Oh la cochonne elle me suce le fion comme c'est pas possible
— J't'ai dit, c'est une vraie salope, tu vas voir comme elle tète bien aussi. Enfile-toi sur mon jonc et donne-lui ton clito.

Sous mes yeux elle s'empale avec précaution, je vois ses chairs s'enfoncer sous la poussée du mandrin. La femme, à califourchon, bien en place, se redresse à peine et d'un doigt tire sur le capuchon pour décalotter le bouton. Une petite fraise se détache au milieu de la toison noire. Son clito est long et dur comme mon petit doigt, je le suce sur toute la longueur avec gourmandise.

— Jane, t'es une vorace... Punaise les deux ensemble vous allez me faire crever le plafond.

Je varie mes gâteries, maintenant c'est toute la vulve que je lèche, ma salive inonde les poils qui se collent sur les côtés, un peu plus bas, je lèche la bite qui coulisse en produisant une mousse onctueuse, enfin je trouve les soies qui couvrent les roustons du bonhomme.

— Putain la salope me bouffe les couilles... Waouh ! Waouh ! Attends que j'te fasse ta fête !

Le gars se dresse brusquement en soulevant sa nana et en me poussant sur le cul. Sans me laisser le temps de réagir, il me prend comme un sac de blé, me baisse le froc et ma petite culotte de satin. Je me retrouve à genoux sur le fauteuil, appuyé au dossier. Il m'appuie sur les reins pour me relever les fesses, déjà je sens son chibre plein de mouille circuler dans ma raie. Il grogne de satisfaction, échange avec sa copine. « Regarde Pal, ce p'tit cul... Ah ouais, elle n'est pas vierge... Attends j'te l'ai sautée avec six autres mecs et j'peux t'assurer qu'elle aime la bite...  » D'un coup puissant il me défonce, sous un petit cri de douleur.

A la brutalité de Marco, la douceur de la main de Paloma sur mon dos est incomparable, elle vient de côté, debout sur un pied elle passe l'autre au dessus de l'accoudoir de mon fauteuil et se positionne au mieux pour se faire bouffer la moule. Un joli coquillage rose encadré d'épaisses lèvres brunes au milieu d'une végétation noire. Comme avant elle tire sur son zigouigoui pour le décalotter et allonger sa vulve. Je retrouve son jus légèrement salé, elle s'offre mieux rapproche son ventre, écarte ses nymphes
Marco me bouscule sérieusement en me tripotant et se moquant de ma quéquette ramollo. Paloma lui raconte que je viens de niquer les deux nanas Sylvie et Monique.

Tandis que l'homme se crispe à mes hanches, la femme plaque ma face à son minou. Malmené par l'un, maintenu par l'autre, mon cul dilaté émet un clapotis tout comme ma bouche s'écrase sur le ventre au rythme des coups de reins, le tout au milieu des ahanements et des gémissements

— Jane ! Arrête, arrête, j'ai envie de faire pipi... Bien au contraire ma langue vibre plus rapidement sur son clito, glisse dans sa vulve, je me régale de sa liqueur... Oh oui je jouis. Et là je goûte sa jouissance salée et abondante. Putain je pisse !!! Elle se lève précipitamment une main au creux de son ventre et file aux toilettes sans avoir le temps de refermer la porte d'où on entend une miction impressionnante.

— Oh la pute ! Elle me pompe le dard avec son cul... Tiens prends ça... Un coup de reins me propulse sur le dossier du canapé. Ah oui !!!. Je sens son engin se contracter une, deux fois l'homme se vide dans mes intestins... Le calme revient. Marco me lâche en me donnant une petite tape, Paloma sort des wawa

— Excuse-moi Jane, je t'ai baptisée... Pas trop ragoutant ma pluie dorée
— Surprenant !
— Coquine, tu y prendras goût !

On se retrouve tous les trois debout se tenant par les épaules comme les trois grâces. On se bisouille, un dernier câlin.

— Bon, je ferme et on rentre !
— Jane file à la douche, me dit Paloma, et dorénavant tu viendras au club avec ta cage. Je préfères que tu sois asexuée durant les séances.