Etre John et Jane Chapitre 8 - La véritée toute nue.

- Par l'auteur HDS John62 -
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 36 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de John62 ont reçu un total de 127 452 visites.
Récit libertin : Etre John et Jane Chapitre 8 - La véritée toute nue. Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 506 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Etre John et Jane Chapitre 8 - La véritée toute nue.
Ce soir-là il est presque 20 heures quand je rentre de la salle de sport. En arrivant à la maison je me retrouve nez à nez avec monsieur Girard le propriétaire de ma chambre d'étudiant:

— Bonsoir John, comment vas-tu ? Tu rentres tard.
— Oui j'arrive de la gym.
— Ah Ouais ! Je comprends ta tenue. Ton survêt est vachement chouette.

Tout en montant les escaliers nous discutons de mon activité, où je vais, ce que je fais et ainsi nous arrivons au 4ème quand il ne me pousse chez lui sans me laisser le choix :

— Entre prendre un verre... Bonsoir Germaine ! Crie-t-il dans l'appartement. Je suis avec John, on va prendre un apéritif. On entend de loin des pas précipités qui arrivent jusqu'à nous.
— Oh quelle bonne idée !... Bonsoir John quel plaisir de te voir. Elle me serre contre elle un peu fort et me fait deux bisous appuyés à la commissure des lèvres. Je te sens tout chose... Tu viens de faire du sport
— Oui madame. Le toubib m'a recommandé de faire de la gym pour "sculpter mon corps" comme il dit.
— Mais c'est effectivement une très bonne chose. Tu es tout mignon, viens t'assoir

A son habitude Germaine est élégante, ce soir en robe mi-longue mauve à gros motifs psychédéliques, très près du corps avec un joli décolleté ; lui en costume-cravate conforme à sa fonction de directeur.

Elle s'assied à mon côté sur le canapé alors que Bernard, après nous avoir servi un porto et un gin-tonic, s'installe avec un whisky face à nous confortablement dans une bergère. La conversation se poursuit autour de mes activités, de la fac, du quartier, du voisinage.

Je reste strictement assis au bord du coussin, sachant que mon survêt m'assure la bienséance, contrairement à Germaine qui s'affale au fond du canapé, sa robe relevée sur ses bas à mi-cuisses et ne cessant de jouer à croiser et décroiser les jambes au grand bonheur de Bernard et à mon exaspération. Elle passe d'une fesse à l'autre tout en se déplaçant jusqu'à être contre moi. La situation très bourgeoise s'enflamme quand elle passe son bras dans mon dos et glisse sa main dans l'élastique de mon pantalon. Je sens son sein sur mon bras, sa respiration dans mon cou. Je deviens rouge pivoine quand elle se penche sur moi, je déglutis à grand bruit quand elle me lèche le pavillon de l'oreille en me répétant que je suis très mignon, qu'elle aime ma peau de bébé. Les deux s'amusent de mon état de stress, je bafouille, transpire, Bernard me sourit jusqu'au moment où il m'interpelle:

— John ça va ? T'as chaud ? Veux-tu que j'ouvre la fenêtre ? Préfères-tu que je t'appelle... JANE ? Scande-t-il avec force.

Mon sang se glace. A ce moment Germaine me renverse et m'embrasse sur la bouche.

— Oui Bernard, ça serait plus simple pour nous trois.
— Germaine m'a dit combien tu étais douce et agréable.... Tu me fais voir ?
— Euuuuuuuh ????
— Ben oui Jane, montre-toi !... Ne réagissant pas, elle crie : DÉSHABILLE-TOI !

Comme l'autre jour lorsqu'elle m'a demandé de prendre une posture indécente, la douce et gentille bourgeoise devient maîtresse acariâtre et autoritaire. Sans fantaisie le plus simplement possible, j'enlève les deux pièces de mon survêtement et reste en mini combinaison de satin et dentelle et en shorty assorti. L'effet sur les deux est impressionnant, même Germaine me découvre en fille, le temps de se remettre de leur surprise, elle reprend gentiment « Tu nous fais voir ? »

A mon tour je m'amuse en jouant l'aguicheuse, me déhanchant, de dos je quitte mes sous-vêtements, passe d'une fesse à l'autre, me retourne et comme la Vénus de Botticelli, je m'offre nue avec le bras sur ma poitrine et la main sur mon sexe. Bernard entre dans le jeu :

— Tourne-toi !... Encore. Approche !... Plus près s'il te plaît ! …

Arrivée à sa portée il me prend les deux mains et découvre mon sexe pris entre les barreaux chromés et mes tétons qui pointent, (ils sont naturellement érectiles mais ont grossi depuis mes traitements entre les pompes et les pinces)

— Tu es très belle, un joli fessier et... Ton clito, c'est bien ça, dit-il d'un air interrogateur en me regardant... Bien protégé !. Il me prend le sexe, le tire, le tourne comme pour l'arracher et ajoute avec un sourire sarcastique. Mais ce soir Jane, ce n'est pas lui qui m'intéresse.

Le monsieur en costume-cravate, sort du fond de son fauteuil, se met au bord toujours assis, il ouvre son pantalon le rabat sur les chevilles et dégage son sexe de son caleçon. Un beau morceau velu de partout, avec deux belles noix dans un scrotum un peu large, tout comme le prépuce qui découvre la pointe du gland gorgé de sang, le tout fixé sur un tronc bien raide au réseau veineux bien visible. Si je n'avais pas compris, l'ordre éclate, insolite dans ce salon bourgeois :

— SUCE !

Je tombe à genoux, la tête sur son ventre, les coudes sur ses cuisses et commence à lécher l'os avant de le prendre en bouche. Naturellement dans cette position je cambre les reins, probablement de manière indécente puisque la dame en me caressant l'arrière train, me fait une feuille de rose bien baveuse. La coquine y ajoute les doigts :

— Bernard tu vas te régaler, c'est souple, c'est ferme, c'est tout jeune, de la belle génisse j'te dis...
— Allez salope ! demi-tour que j'te saute !
— Laisse-toi faire ma chérie et viens faire lichette à Germaine.

Elle s'est remise sur le canapé, la jupe relevée à la taille, le ventre nu, les fesses tout au bord du coussin, le compas des cuisses grand ouvert. Elle met de l'ordre dans sa toison et dégage son sexe. J'avance à quatre pattes, suivi du monsieur. Arrivée à sa portée, elle me tire par les cheveux jusqu'à elle. Je ne retrouve pas son parfum capiteux habituel, sa fragrance est naturelle, une forte odeur animale. Je ferme les yeux comme pour exacerber mon sens olfactif, mon nez et mes lèvres effleurent cette broussaille. La femme en a tout de suite assez de mes enfantillages, elle plaque mon nez sur son pubis, ma bouche sur sa vulve.
L'homme reste debout derrière moi, genoux fléchis, sa verge me balaie la raie du cul, ses doigts me couvrent de salive, me massent l'anus. Je ne peux m'empêcher de miauler, je lui réponds en creusant les reins. Sa bite contre mes fesses, j'ajuste ma position, il me prend par les hanches et me tire à lui et je pousse pour mieux m'offrir, son pieu est puissant, il force mes chairs, dans un grand soupir il est en moi

— Ah !... Tu l'as dit Germaine elle est souple du cul...Han ! En deux coups je te l'ai défoncée jusqu'à la garde.

Bernard s'affaire dans mon fondement et moi sur le ventre de sa femme. Je la lèche, la fouille, l'aspire. Je m'affale entre ses jambes, les bras sur ses cuisses, j'écarte les poils, les lèvres, je la fouille, décalotte le bouton, la couvre de salive. Trois doigts la pénètrent, se portent sur le point G. La dame mouille comme une vrai salope, son bassin simule le coït. Rapidement la cyprine déborde blanchâtre, mousseuse, une véritable ribaude :

— Plus... Oui c'est mieux, plus fort ! Plus profond...

En même temps un quatrième doigt la pénètre, puis toute la main est absorbée, son vagin m'avale le poignet et forme ventouse autour. De son côté l'homme prend son temps, il est impressionnant, infatigable. Il m'encule de telle manière que son chibre passe chaque fois sur la prostate... C'est comme l'autre fois avec Valérie, je sens l'orgasme monter, m'envahir sans aucune érection,.
Je me laisse guider par leurs mains, sur mes hanches, dans mes cheveux. Je ressors la main couverte de jouissance et reprend à deux doigt la branlette tout en lui suçant le bouton. La drôlesse gémit, puis râle en s'époumonant :

— Oui, ui, ui, ui, ui. Encore Oui, ui, ui, ui !

Putain je continue à jouir tout en lui léchant la moule, je sens mon sperme m'échapper, couler sur le parquet. L'homme me donne un coup de reins si puissant que je bondis entre les nichons de sa bonne femme.
Bernard beugle comme un taureau, mes contractions accompagnent ses éjaculations. Il souffle comme un bœuf, il me ceint la poitrine, roule mes tétons et se vide en moi. Je sens ses lèvres s'étaler sur mon dos, sa langue, sa bave. Je suis prise en sandwich, presque allongée sur Germaine, ma tête entre ses seins. Notre trio reste un moment ainsi. Le temps de reprendre sa respiration Bernard se relève :

— Ouffff ! Putain que c'était bon.
— J' t'avais dit Bernard que c'était un bon coup et en plus tu la verrais bien habillée c'est une vraie jeune fille !

La situation est incroyable dans ce salon bourgeois, ce couple de la soixantaine, la chemise ouverte, la robe défaite, baisant avec un jeune homme de moins de 20 ans. Au sol, je baigne dans le sperme qui s'écoule de mes fesses et entre mes pieds une trainée de gouttelettes provenant de ma jouissance, Assis entre les genoux de la dame, la tête au creux de son ventre nu, elle me flatte de sa main comme elle le ferait avec un animal de compagnie.
La conversation se poursuit entre eux deux vantant mes qualités, tout y passe de ma coiffure à mon épilation, de mon joli minois, à mon sexe, de ma bouche à mon petit trou.

— C'est vrai que c'est un bon coup, qu'en dis-tu Germaine si on l'invitait pour notre soirée ?
— Euh ?... Oui bien sûr, pourquoi pas ?

Après un temps de réflexion je suis prise enfin en considération :

— Comment vas-tu Jane ?
— Mmmmm ! tout en soupirant est ma seule réponse.
— C'était très bien aussi pour nous, tu es magnifique et je suis heureuse que nous nous connaissions sans faux-semblant tous les trois. Je sais que tu es une tombe, alors oui c'est vrai nous aimons le sexe et le partageons facilement avec des amis... Tu connais le sexe en groupe n'est-ce pas ?
— Oui madame, comme je vous l'ai dit ma tante m'a fait découvrir ce plaisir.
— Alors voilà ce que je te propose Jane : t'inviter à certaines de nos soirées.
— ...
— Tu serais notre soubrette pour nos amis. Le travail est assez simple, c'est recevoir les préparations des traiteurs, servir nos amis pour l'apéritif puis être au buffet pour les boissons, lorsque l'atmosphère devient libertine tu participes à nos ébats ! Qu'en dis-tu ?
— Oui, bien sûr, pourquoi pas ?
— Notre prochaine soirée est prévue le 30 avril. D'ici là il faudrait qu'on pense à t'habiller et te préparer. Pour t'habiller on s'en occupera toutes les deux, pour te préparer il faudra prévoir coiffeur et institut de beauté.
— J'ai déjà un institut si vous voulez je prendrai rendez-vous le 30 matin pour un maquillage.
— C'est parfait, je prendrai aussi rendez-vous chez mon coiffeur et nous irons faire nos emplettes samedi.
— Voulez-vous que je porte des prothèses ? Aux dires elles sont très naturelles et de bonnet A, moi je les aime bien.
— Je te fais confiance... A la maison l'élégance est importante, maintenant il est tard, tu vas prendre une douche et manger un bout avec nous.

Les avis des lecteurs

Prochains chapitres chauds ?oui sans aucun doute

Prochains chauds ? Oui sans aucun doute

Histoire Erotique
Très beau chapitre dans la continuité tes descriptions sont terribles et john/jane toujours bandant apparemment les prochains chapitres seront très chauds. Daniel



Texte coquin : Etre John et Jane Chapitre 8 - La véritée toute nue.
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par John62

Etre John et Jane 11 - Déflorer ma soeur - Récit érotique publié le 30-03-2025
Etre John et Jane 10 - Au service de Madame. - Récit érotique publié le 13-03-2025
Etre John et Jane Chapitre 9 - Devenir femme de chambre - Récit érotique publié le 12-03-2025
Etre John et Jane Chapitre 8 - La véritée toute nue. - Récit érotique publié le 01-03-2025
Etre John et Jane Chapitre 7 - Avec mon coach de gym. - Récit érotique publié le 16-02-2025
Etre John et Jane Chapitre 6 - Avec ma proprio - Récit érotique publié le 09-02-2025
Etre John et Jane Chapitre 5 - Week-end avec ma soeur 2/2 - Récit érotique publié le 30-01-2025
Etre John et Jane Chapitre 4 - Week-end avec ma soeur 1/2 - Récit érotique publié le 28-01-2025
Etre John et Jane Chapitre 3 - Une visite imprévue - Récit érotique publié le 19-01-2025
Etre John et Jane Chapitre 2 - L'émancipation - Récit érotique publié le 12-01-2025