Etre John et Jane Chapitre 9 - Devenir femme de chambre

Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Etre John et Jane Chapitre 9 - Devenir femme de chambre
Germaine m'a proposé de me loger en échange de quelques menus services.
Aujourd'hui c'est shopping avec elle pour m'habiller de pied en cape. Pour l'occasion je me suis mise sur mon "31". Parfumée, maquillée, vernis à ongles, j'enfile bas et brassière blanche et après hésitation j'opte pour le ventre nu avec ma cage de chasteté puis blouse écrue, jupe bleu ciel avec ma veste orangée, l'ensemble préféré par qui est "ma Maîtresse" dorénavant.
Mes hauts talons frappent fort en descendant l'escalier de bois jusqu'à chez elle.
— Bonjour Madame, me voici ! Elle m'accueille avec admiration :
— Waouh !, Tourne un peu. Ouvre ta veste. Ouvre un bouton de ton chemisier, oui voilà comme ça, c'est plus sexy... Fais voir, approche, superbe ta brassière, incroyable tes prothèses, au toucher, à la vue, très réalistes, et le petit volume est parfait.... Bien ! Entre nous je reste Germaine, Mina si tu veux mais face aux autres, oui je suis Madame. Allons, on y va, on a beaucoup à faire.
Sur le pas de la porte de l'immeuble elle me prend par le bras, me parle à l'oreille :
— Viens Jane, nous allons d'abord acheter ta tenue de femme de chambre, je te veux très distinguée puis nous passerons chez ma corsetière où on trouvera ce dont tu as besoin en sous-vêtements. Enfin nous déjeunerons avec une amie que tu retrouveras lors de notre prochaine soirée.
Rapidement nous arrivons au Bon Marché, le grand magasin de luxe de Paris. Elle connait les lieux comme sa poche, Sans nous attarder nous montons à l'étage, allons au rayon du personnel de maison. Nous faisons les essayages jupe noire plissée, blouse de coton blanc décolletée et un tablier à bavette enveloppant les hanches au cas où je doive faire le service sans jupe m'explique-t-elle. Pour les chaussures, une paire d'escarpins noirs élégants et confortables font l'affaire.
Après ces premiers achats, nous filons rue du Four à côté de Saint Sulpice. Au bas de l'immeuble une plaque en laiton indique « Élisabeth, Corseterie anglaise, 3ème étage.». La maison est cossue, escalier de chêne et passage en moquette rouge. Arrivées à l'étage une dame distinguée, nous accueille :
— Oh Mina ! Quel plaisir de te revoir ma chérie, entre. Tu es en charmante compagnie.
— Oui Lison, je te présente Jane, ma jeune femme de chambre et je voudrais pour elle un serre-taille à lacets, une brassière et des bas couture noirs.
— Oui bien sûr... Elle me regarde, me fait tourner, m'observe encore, puis se tourne vers ma patronne... Le serre-taille ? Je suppose, pour affiner la silhouette de mademoiselle... Jane, déshabille-toi ! Quand j'enlève ma jupe et découvre mon sexe en cage, elle s'exclame en traînant la voix : OH ! La coooo-quine... J'adooore les demoiselles de ton genre. Puis en s'adressant de nouveau à Germaine : Pour la brassière, le même genre que celle-ci, en dentelle noire ?
— Oui Lison et tu lui fais une taille de guêpe, tu sais, elle travaille à sculpter son corps, alors, sculpte-la !.
Elle nous laisse toutes les deux dans son salon style Louis XV, moi nue debout devant un grand miroir, elle confortablement assise dans un fauteuil, les jambes croisées, dévoilant le liseré des bas. Peu après Élisabeth revient chargée de boîtes :
— Bien Jane, commençons par le serre taille, voyons voir.
En fait c'est un corset rigide qui monte sur l'estomac, lacé dans le dos et agrafé sur le devant avec trois larges jarretelles de chaque côté. Elle l'ajuste à la taille et le serre juste assez pour ne pas m'étouffer.
— Ça me semble bien ! Voyons les bas. Assieds-toi sur le pouffe que je t'aide à les enfiler. La position assise me coupe le souffle, elle me regarde compatissante et me fait un bisous sur la joue. Tu t'y habitueras... Bien ! Regarde, tu commences à bien positionner le talon et ensuite c'est tout simple… Fais attention à la couture sur ton mollet , bien droit jusqu'en haut de la cuisse, voilà. A toi pour l'autre... Parfait. Terminons avec la brassière, tes prothèses sont magnifiques, un petit bonnet A, c'est parfait ! Je n'aime pas les Sissies qui se baladent avec des pastèques ... Voilà, mets-les bien en place, je vois que tu as l'habitude ! ... Regarde ma chérie, en s'adressant à ma patronne, comme elle est belle ta soubrette, ça lui donne un petit cul bien arrondi et lui relève la poitrine. Je ne l'ai pas trop serré pour qu'elle s'y habitue mais il faudra accentuer les courbes, je trouve qu'avec les bas et la brassière noire, c'est une diablesse !!! Voulez-vous un shorty ou un string assorti à la brassière ?
— Non, non ! Je la préfère cul nu.
— T'as raison Mina, ça sera beaucoup plus pratique pour la fesser !
Le commentaire me fait froid dans le dos, d'autant plus quand Madame m'ordonne de garder le tout pour m'habituer. Je me regarde dans le miroir. Le corset me transforme vraiment, la jupe serrée au maximum semble flotter et la veste s'ajuste bien mieux. Déjà Germaine se lève pour partir
— Mina ! Ne restez-vous pas un moment ?.
— Non, non Lison, excuse-nous, nous sommes attendues.
— Dommage !... Alors on se revoit bientôt, j'espère.
En me quittant, Élisabeth, m'embrasse du bout des lèvres, en me donnant discrètement un papier et en me susurrant : « Reviens vite ». Sitôt sorties, Germaine me prend par le bras :
— J'ai l'impression que tu as beaucoup plu à Lison. Fais attention elle est très entreprenante et dominatrice. Alors... Comment te sens-tu corsetée ?
— Ça va, Madame ! Elle me pince vivement le bras... Pardon Mina ! que j'ajoute avec un sourire qu'elle partage d'un bisou sur mes lèvres... Un peu étranglée mais je m'habitue.
— Ça te donne une silhouette callipyge.
— Un gros cul ?
— Un joli cul ! Allons dépêchons-nous Emma nous attend.
Je jette un coup d'œil sur le papier, un mot griffonné « Je t'attends ! » avec un numéro de téléphone. Sur le chemin elle me parle d'Emma, de la prochaine soirée et de ce qu'elle attend de moi. Être fesses nues, avoir le ventre comprimé, le sexe en cage, sentir la pression du bras de mon amante et ma patronne, me mettent en émoi. Nous arrivons au Jardin du Luxembourg où Germaine repère de loin son amie, une jolie blonde d'une quarantaine d'années :
— Bonjour Emma ! Excuse-nous pour notre retard, nous sortons de chez la corsetière. Je te présente Jane, ma nouvelle femme de chambre...
— Bonjour Mina, dit-elle en l'embrassant tout en me regardant du coin de l’œil. Enchantée Jane !... Tu es ravissante !
— Bonjour madame ! Merci pour le compliment. Elle passe sa main dans mon dos et s'approche pour m'embrasser sur les joues.
— Je constate effectivement que tu sors de chez la corsetière et... J'ai réservé un restaurant à côté, allons-y, nous aurons le temps de faire connaissance.
De l'autre côté des grilles du jardin nous arrivons au restaurant. On nous installe dans un coin sur une petite table. Il fait chaud, nous abandonnons nos vestes pour rester en tee-shirt ou en blouse. Emma me prie de m'asseoir sur la banquette dans le coin et invite Germaine à se mettre sur la chaise face à nous. L'espace est tellement réduit que les genoux se touchent et que la hanche de Emma me coince contre le mur. Le corset m'oblige à cambrer le dos et bomber le torse. Au contraire, elle s'assoit tranquillement, la jupe relevée sur ses jambes nues. Elle pose sa main sur mon genou et me jette un regard concupiscent :
— Jane tu es très sexy ! Ta blouse laisse plus voir qu'elle ne cache. D'un doigt elle me tourne le menton et m'embrasse du bout des lèvres en murmurant : Tu me plais !.
Même fréquentant le milieu libertin depuis quelques mois, je reste surprise des approches si directes. Sa main sur mon genou glisse entre mes cuisses, remonte sur la soie du bas jusqu'à trouver ma peau nue. Mais l'arrivée du soufflet aux champignons met fin à son exploration.
Le repas se passe sans autres "attaques" et sans dévoiler ma vraie nature. Les deux amies parlent de leurs souvenirs, Germaine se félicite de mon entrée à son service. Le dessert terminé Emma nous invite à prendre le café chez elle :
— Mes chéries, je suis curieuse de voir vos achats et plus encore de faire connaissance de Jane.
— La curiosité est un vilain défaut qui peut réserver des surprises, murmure Germaine d'un air moqueur tout en se levant.
Notre trio va bras dessus, bras dessous jusqu'à l'appartement tout proche. A peine entrée, notre hôte abandonne sa veste dans le hall, se précipite à ouvrir une fenêtre et se laisse choir sur un canapé :
— Oh quelle chaleur ! » Sans la moindre gêne elle passe son tee-shirt par dessus la tête, nous montrant sa petite poitrine nue aux tétons rosés et agite sa jupe comme au cancan en découvrant son string blanc. « Mes chéries, faites comme moi, mettez-vous à l'aise ! Je vais nous chercher quelques rafraîchissements.
Sur ces conseils, Germaine sans se lever, défait sa robe et la rejette de ses épaules, laissant voir un joli sein-nu de soie blanche plissée. Me voyant médusée, elle m'invite à en faire autant, j'ai juste le temps de quitter ma blouse et faire tomber ma jupe que la maîtresse de maison revient chargée d'un plateau avec trois verres et des bouteilles d'eau et de jus de fruit.
Elle me voit en sous-vêtements noirs, avec ma cage d'acier chromée qui brille au creux de mon ventre et de mes cuisses. Surprise, les yeux exorbités, elle pose le plateau, s'approche rapidement de moi, me saisit par la taille et au sexe, tout en me fixant droit dans les yeux :
— Jaaane !... Tu es un garçon !.
— Je t'avais dit que la curiosité est un vilain défaut... Mais crois-moi, elle sait être TRÈS féminine !
Elle me serre contre elle et comme pour vérifier les dires de ma patronne, elle m'embrasse sur la bouche. Je m'abandonne. Sa langue glisse entre mes lèvres, je la laisse me pénétrer, la suçote en douceur, les deux appendices se trouvent dans ma bouche, tournoient, virevoltent. Peu à peu, je montre plus d'assurance, à mon tour j'effleure ses lèvres, passe sur ses dents, elle m'aspire, étire le frein, jusqu'à avoir la langue au maximum. Notre baiser devient fougueux, nos têtes, nos corps se dandinent.
Germaine nous rejoint, nous embrasse l'une et l'autre dans le cou, Emma lui offre ses lèvres. Je ne sais plus qui j'embrasse, qui je caresse, je ne sais pas qui me détache la brassière, qui m'enlève les prothèses, qui pince mes tétons, qui prend mon sexe. Mes lèvres passent d'une bouche à l'autre. Tout s'enflamme, Emma murmure « Vous êtes des coquines toutes les deux... Allons dans la chambre ! » quand je leur annonce que je n'ai pas la clé de ma cage elle ajoute « Nous jouerons aux dames ! »
Elle nous entraîne par la main jusqu'à son grand lit laqué noir encadré d'armoires à glace et d'estampes japonaises très explicites.
Elle nous invite à passer par la salle de bains et après cette étape de propreté, je retrouve les deux amies allongées sur le dos à se bisouter. En bonne servante, je me dois de les satisfaire. Je me couche sur leurs jambes entrecroisées, à la portée de leurs minous. Un blond au pelage soigné et un brun presque glabre chapeauté d'un ticket de métro de poils bruns. Je lisse le pelage, brosse le gazon, les caresse du nez ou d'une phalange, passe de l'un à l'autre, puis m'enhardis en les embrassant.
De la langue ou d'un doigt, j'ouvre les calices, lèche les clitos. La plus jeune a les nymphes plus fines, l'autre le bouton plus gros et décalotté. Durant deux, trois minutes, je ne fais que taquiner puis je tripote, je fouille. L'ambiance s'échauffe, on entend des froissements de drap, des clapotis humides, des gémissements. Leurs puits d'amour regorgent de nectars si différents, celui d'Emma doux presque sucré, celui de ma maîtresse acide et plus fort. Tout en les léchant je les branle toutes les deux jusqu'à les faire tressaillir. Leurs jambes extérieures viennent l'une après l'autre me ceinturer. Mes mains remontent sur leur ventre, sur leurs seins où elles en rencontrent d'autres.
Emma s'agite, son bassin s'anime comme lors d'un coït. Ses gazouillis deviennent grognements sonores « Arrête ! Arrête !... Putain Jane arrête ! Tu me fais pisser »
Brutalement elle me repousse d'une main et se dégage ayant l'autre main au creux de son ventre, elle court vers les toilettes. Je remonte alors au niveau de Germaine qui pouffe de rire en entendant sa copine soupirer d'aise et sa pisse éclabousser dans la cuvette. Un moment de silence, la chasse d'eau, elle revient vers nous, toute fringante. Elle éclate de rire en nous voyant.
— Regarde Mina ma chérie, son museau !. On croirait un clown barbouillé de rouge à lèvre... » Elle saute sur le lit, se colle à mon dos et m'embrasse dans le cou en murmurant « Jane, quand on est maquillée, on se retient. » Elle commence à dénouer mon corset et le défait pour mon plus grand soulagement. Ses doigts frôlent mes côtes, mon dos. « Hummm... Ta peau marque bien, on voit l'empreinte des baleines et même le laçage dans le dos. Je vais te masser un peu, ça va te faire du bien. »
Elle sort de sa table de nuit un flacon et me verse quelques gouttes d'huile avant de me masser le ventre et les côtes, Germaine en ajoute d'autres et commence un massage très sensuel, sur moi d'abord, puis entre elles. Ce sont des caresses voluptueuses entre nous trois. Les mains glissent sur les corps huileux, les peaux deviennent satinées, les effleurements deviennent plus osés, je n'ai malheureusement que deux mains. Les tétons filent entre mes doigts, l'un pointe fièrement, l'autre plus gros et granuleux s'écrase sur le nichon. Ma main caresse un ventre ferme, à peine rebondi ou un autre épanoui et mollasson, rencontre d'autres mains sur la toison de l'une ou la vulve lisse de l'autre.
Emma fait un tête à queue et nous nous retrouvons toutes les trois entre les jambes d'une autre. Ainsi je suis entre les cuisses d'Emma qui gougnotte ma patronne qui me bouffe les fesses.
Je retrouve la toison blond cendré, humide, la fine crête de chair rosée. Une forte odeur d'urine me saisit à la gorge, la coquine s'en amuse, elle me pousse d'une main sur son ventre où je découvre le goût salé de sa miction. Le dégoût devient douceur, gourmandise. Je lèche la vulve, le périnée, le bassin bascule et me met l'anus sous la langue.
En même temps Germaine me doigte et me lèche les couilles au travers des barreaux métalliques. A nouveau il y a le feu au lac. De toutes parts, ça respire fort, ça miaule, ça s'agite, ça grogne.
D'un coup Emma s'écarte de nous en s'exclamant « Attendez les filles, j'ai de quoi calmer nos tensions ! ». Elle s'étire jusqu'à sa table de chevet et sort du tiroir un double dong noir gros comme mon poignet et un très joli gode violet doublé d'un ergot. On n'a pas le temps de réagir qu'elle tend le vibro à Germaine et me demande de me laisser faire.
Elle m'écarte un genou, découvre mon entrejambe trempé de salive et mon petit trou en feu. « C'est bien ce que je pensais ! T'es une vraie cochonne... » Sans fausse pudeur je maintiens mon genou ouvert, mes fesses écartées, elle tire jusqu'à nous le boudin de caoutchouc d'au moins 50 centimètres, suce avec peine la tête grosse comme une balle, la positionne correctement entre mes fesses et la pousse sans brutalité mais fermement. Le gode, me pénètre, glisse lentement dans mes chairs, elle l'enfonce de plus de dix centimètres.
A ce moment, elle se couche entre mes jambes, elle se plante l'autre extrémité dans le cul, visiblement elle est habituée à l'exercice. Une fois bien emmanchée, elle prend la partie libre entre nous deux et commence à la faire aller et venir en me l'enfonçant de plus en plus. J'ai avalé une bonne partie de l'engin, j'en ai plein le cul c'est le cas de le dire, mais elle continue à manipuler le manche avec force. Je sens qu'il cogne au fond de mon ventre et d'un coup le gode s'enfonce. Le souffle coupé, à deux mains elle me tire à elle jusqu'à ce que nos fesses se touchent.
Emboîtées l'une dans l'autre, j'ai entre mes cuisses le modelé de ses fesses, le soyeux de sa toison pubienne et sa vulve sous mon sexe en cage. Bloquée contre elle je ne cherche pas à bouger, les yeux fermés, je vis intensément le moment, ce gode dans mes entrailles, son ventre contre le mien. Mon sphincter palpite, se contracte, se relâche. Elle bouge à peine, j'aime la caresse de ses fesses, la pression de ses jambes.
Trop concentrée sur notre union j'en oublie Germaine jusqu'à ce qu'elle vienne se mélanger à nous. Alors elle nous enjambe, les corps se trémoussent, ses cuisses m'encadrent la tête, son ventre est sur mon menton, je ne vois que ses fesses dodues, j'ai son sexe sur la bouche, je lèche ses nymphes semblables à des larges langues, épaisses, baveuses de mouille. Je les aspire, les suce, les allonge.
Entre temps Emma s'est détachée de mon ventre, tout en restant entre mes cuisses. Je perds tout contrôle quand une main trouve la place entre nous et met le dong en mouvement sur plus de dix centimètres. Mon bassin adopte la marche du chameau et cherche la meilleure position. ça y est le sextoy coulisse merveilleusement bien, m'excite, rapidement ma respiration s'accélère. C'est comme dans le boléro de Ravel, cette musique qui monte en puissance au fur et à mesure que les instruments s'associent en reprenant avec force les trois notes caractéristiques de l’œuvre. Je suis toujours entre les jambes d'Emma, je la sens trembloter, tout comme moi, je suis prise de spasmes. Oh ça y est je jouis, putain ça coule sur ma cuisse, j'en fous plein partout. Une main se porte à mon secours pour endiguer le flot, se crispe sur la cage. J'entends la jeune femme geindre « Oh, ouais, branle-moi plus fort... Oh oui comme ça c'est bon ».
Germaine se déchaîne, son bassin au dessus de moi, son coude dans mes côtes, elle branle l'une et jouis dans ma bouche, son jus m'inonde.. Épuisées, mes deux amantes s'écroulent. Les jambes d'Emmé se détendent, Germaine s'affale sur nous deux. Il faut encore un moment pour reprendre vie.
— Oh Mina que c'était bon entre ta main et le dong, et toi Jane, prise entre tes jambes, je te sentais jouir comme si tu étais en moi
— Ouais Jane ! t'es une vraie gouine, une bouffeuse de minous
— Pour vous servir mesdames.
Tandis que le trio se lève, je découvre le drap maculé de sperme
— T'es une cochonne, regarde mon lit ! Ah la salope va te laver ton cul !
— Dépêche-toi, j'ne veux pas t'attendre
— Oui madame, je fais vite
Je m'amuse à jouer le jeu de la soubrette docile, Je vais au plus vite en utilisant le bidet, en remettant juste ma brassière et ses prothèses, ma blouse et ma jupe. J'enfile ma veste quand madame se prépare à partir
— Merci ma chérie pour l'invitation et le bon moment passé ensemble. On se revoit samedi prochain... Mais pas un mot aux amis quant à Jane, que la surprise soit totale.
— T'inquiète Mina, Allez filez ! Il me tarde d'être samedi et de connaître le trésor caché.
Aujourd'hui c'est shopping avec elle pour m'habiller de pied en cape. Pour l'occasion je me suis mise sur mon "31". Parfumée, maquillée, vernis à ongles, j'enfile bas et brassière blanche et après hésitation j'opte pour le ventre nu avec ma cage de chasteté puis blouse écrue, jupe bleu ciel avec ma veste orangée, l'ensemble préféré par qui est "ma Maîtresse" dorénavant.
Mes hauts talons frappent fort en descendant l'escalier de bois jusqu'à chez elle.
— Bonjour Madame, me voici ! Elle m'accueille avec admiration :
— Waouh !, Tourne un peu. Ouvre ta veste. Ouvre un bouton de ton chemisier, oui voilà comme ça, c'est plus sexy... Fais voir, approche, superbe ta brassière, incroyable tes prothèses, au toucher, à la vue, très réalistes, et le petit volume est parfait.... Bien ! Entre nous je reste Germaine, Mina si tu veux mais face aux autres, oui je suis Madame. Allons, on y va, on a beaucoup à faire.
Sur le pas de la porte de l'immeuble elle me prend par le bras, me parle à l'oreille :
— Viens Jane, nous allons d'abord acheter ta tenue de femme de chambre, je te veux très distinguée puis nous passerons chez ma corsetière où on trouvera ce dont tu as besoin en sous-vêtements. Enfin nous déjeunerons avec une amie que tu retrouveras lors de notre prochaine soirée.
Rapidement nous arrivons au Bon Marché, le grand magasin de luxe de Paris. Elle connait les lieux comme sa poche, Sans nous attarder nous montons à l'étage, allons au rayon du personnel de maison. Nous faisons les essayages jupe noire plissée, blouse de coton blanc décolletée et un tablier à bavette enveloppant les hanches au cas où je doive faire le service sans jupe m'explique-t-elle. Pour les chaussures, une paire d'escarpins noirs élégants et confortables font l'affaire.
Après ces premiers achats, nous filons rue du Four à côté de Saint Sulpice. Au bas de l'immeuble une plaque en laiton indique « Élisabeth, Corseterie anglaise, 3ème étage.». La maison est cossue, escalier de chêne et passage en moquette rouge. Arrivées à l'étage une dame distinguée, nous accueille :
— Oh Mina ! Quel plaisir de te revoir ma chérie, entre. Tu es en charmante compagnie.
— Oui Lison, je te présente Jane, ma jeune femme de chambre et je voudrais pour elle un serre-taille à lacets, une brassière et des bas couture noirs.
— Oui bien sûr... Elle me regarde, me fait tourner, m'observe encore, puis se tourne vers ma patronne... Le serre-taille ? Je suppose, pour affiner la silhouette de mademoiselle... Jane, déshabille-toi ! Quand j'enlève ma jupe et découvre mon sexe en cage, elle s'exclame en traînant la voix : OH ! La coooo-quine... J'adooore les demoiselles de ton genre. Puis en s'adressant de nouveau à Germaine : Pour la brassière, le même genre que celle-ci, en dentelle noire ?
— Oui Lison et tu lui fais une taille de guêpe, tu sais, elle travaille à sculpter son corps, alors, sculpte-la !.
Elle nous laisse toutes les deux dans son salon style Louis XV, moi nue debout devant un grand miroir, elle confortablement assise dans un fauteuil, les jambes croisées, dévoilant le liseré des bas. Peu après Élisabeth revient chargée de boîtes :
— Bien Jane, commençons par le serre taille, voyons voir.
En fait c'est un corset rigide qui monte sur l'estomac, lacé dans le dos et agrafé sur le devant avec trois larges jarretelles de chaque côté. Elle l'ajuste à la taille et le serre juste assez pour ne pas m'étouffer.
— Ça me semble bien ! Voyons les bas. Assieds-toi sur le pouffe que je t'aide à les enfiler. La position assise me coupe le souffle, elle me regarde compatissante et me fait un bisous sur la joue. Tu t'y habitueras... Bien ! Regarde, tu commences à bien positionner le talon et ensuite c'est tout simple… Fais attention à la couture sur ton mollet , bien droit jusqu'en haut de la cuisse, voilà. A toi pour l'autre... Parfait. Terminons avec la brassière, tes prothèses sont magnifiques, un petit bonnet A, c'est parfait ! Je n'aime pas les Sissies qui se baladent avec des pastèques ... Voilà, mets-les bien en place, je vois que tu as l'habitude ! ... Regarde ma chérie, en s'adressant à ma patronne, comme elle est belle ta soubrette, ça lui donne un petit cul bien arrondi et lui relève la poitrine. Je ne l'ai pas trop serré pour qu'elle s'y habitue mais il faudra accentuer les courbes, je trouve qu'avec les bas et la brassière noire, c'est une diablesse !!! Voulez-vous un shorty ou un string assorti à la brassière ?
— Non, non ! Je la préfère cul nu.
— T'as raison Mina, ça sera beaucoup plus pratique pour la fesser !
Le commentaire me fait froid dans le dos, d'autant plus quand Madame m'ordonne de garder le tout pour m'habituer. Je me regarde dans le miroir. Le corset me transforme vraiment, la jupe serrée au maximum semble flotter et la veste s'ajuste bien mieux. Déjà Germaine se lève pour partir
— Mina ! Ne restez-vous pas un moment ?.
— Non, non Lison, excuse-nous, nous sommes attendues.
— Dommage !... Alors on se revoit bientôt, j'espère.
En me quittant, Élisabeth, m'embrasse du bout des lèvres, en me donnant discrètement un papier et en me susurrant : « Reviens vite ». Sitôt sorties, Germaine me prend par le bras :
— J'ai l'impression que tu as beaucoup plu à Lison. Fais attention elle est très entreprenante et dominatrice. Alors... Comment te sens-tu corsetée ?
— Ça va, Madame ! Elle me pince vivement le bras... Pardon Mina ! que j'ajoute avec un sourire qu'elle partage d'un bisou sur mes lèvres... Un peu étranglée mais je m'habitue.
— Ça te donne une silhouette callipyge.
— Un gros cul ?
— Un joli cul ! Allons dépêchons-nous Emma nous attend.
Je jette un coup d'œil sur le papier, un mot griffonné « Je t'attends ! » avec un numéro de téléphone. Sur le chemin elle me parle d'Emma, de la prochaine soirée et de ce qu'elle attend de moi. Être fesses nues, avoir le ventre comprimé, le sexe en cage, sentir la pression du bras de mon amante et ma patronne, me mettent en émoi. Nous arrivons au Jardin du Luxembourg où Germaine repère de loin son amie, une jolie blonde d'une quarantaine d'années :
— Bonjour Emma ! Excuse-nous pour notre retard, nous sortons de chez la corsetière. Je te présente Jane, ma nouvelle femme de chambre...
— Bonjour Mina, dit-elle en l'embrassant tout en me regardant du coin de l’œil. Enchantée Jane !... Tu es ravissante !
— Bonjour madame ! Merci pour le compliment. Elle passe sa main dans mon dos et s'approche pour m'embrasser sur les joues.
— Je constate effectivement que tu sors de chez la corsetière et... J'ai réservé un restaurant à côté, allons-y, nous aurons le temps de faire connaissance.
De l'autre côté des grilles du jardin nous arrivons au restaurant. On nous installe dans un coin sur une petite table. Il fait chaud, nous abandonnons nos vestes pour rester en tee-shirt ou en blouse. Emma me prie de m'asseoir sur la banquette dans le coin et invite Germaine à se mettre sur la chaise face à nous. L'espace est tellement réduit que les genoux se touchent et que la hanche de Emma me coince contre le mur. Le corset m'oblige à cambrer le dos et bomber le torse. Au contraire, elle s'assoit tranquillement, la jupe relevée sur ses jambes nues. Elle pose sa main sur mon genou et me jette un regard concupiscent :
— Jane tu es très sexy ! Ta blouse laisse plus voir qu'elle ne cache. D'un doigt elle me tourne le menton et m'embrasse du bout des lèvres en murmurant : Tu me plais !.
Même fréquentant le milieu libertin depuis quelques mois, je reste surprise des approches si directes. Sa main sur mon genou glisse entre mes cuisses, remonte sur la soie du bas jusqu'à trouver ma peau nue. Mais l'arrivée du soufflet aux champignons met fin à son exploration.
Le repas se passe sans autres "attaques" et sans dévoiler ma vraie nature. Les deux amies parlent de leurs souvenirs, Germaine se félicite de mon entrée à son service. Le dessert terminé Emma nous invite à prendre le café chez elle :
— Mes chéries, je suis curieuse de voir vos achats et plus encore de faire connaissance de Jane.
— La curiosité est un vilain défaut qui peut réserver des surprises, murmure Germaine d'un air moqueur tout en se levant.
Notre trio va bras dessus, bras dessous jusqu'à l'appartement tout proche. A peine entrée, notre hôte abandonne sa veste dans le hall, se précipite à ouvrir une fenêtre et se laisse choir sur un canapé :
— Oh quelle chaleur ! » Sans la moindre gêne elle passe son tee-shirt par dessus la tête, nous montrant sa petite poitrine nue aux tétons rosés et agite sa jupe comme au cancan en découvrant son string blanc. « Mes chéries, faites comme moi, mettez-vous à l'aise ! Je vais nous chercher quelques rafraîchissements.
Sur ces conseils, Germaine sans se lever, défait sa robe et la rejette de ses épaules, laissant voir un joli sein-nu de soie blanche plissée. Me voyant médusée, elle m'invite à en faire autant, j'ai juste le temps de quitter ma blouse et faire tomber ma jupe que la maîtresse de maison revient chargée d'un plateau avec trois verres et des bouteilles d'eau et de jus de fruit.
Elle me voit en sous-vêtements noirs, avec ma cage d'acier chromée qui brille au creux de mon ventre et de mes cuisses. Surprise, les yeux exorbités, elle pose le plateau, s'approche rapidement de moi, me saisit par la taille et au sexe, tout en me fixant droit dans les yeux :
— Jaaane !... Tu es un garçon !.
— Je t'avais dit que la curiosité est un vilain défaut... Mais crois-moi, elle sait être TRÈS féminine !
Elle me serre contre elle et comme pour vérifier les dires de ma patronne, elle m'embrasse sur la bouche. Je m'abandonne. Sa langue glisse entre mes lèvres, je la laisse me pénétrer, la suçote en douceur, les deux appendices se trouvent dans ma bouche, tournoient, virevoltent. Peu à peu, je montre plus d'assurance, à mon tour j'effleure ses lèvres, passe sur ses dents, elle m'aspire, étire le frein, jusqu'à avoir la langue au maximum. Notre baiser devient fougueux, nos têtes, nos corps se dandinent.
Germaine nous rejoint, nous embrasse l'une et l'autre dans le cou, Emma lui offre ses lèvres. Je ne sais plus qui j'embrasse, qui je caresse, je ne sais pas qui me détache la brassière, qui m'enlève les prothèses, qui pince mes tétons, qui prend mon sexe. Mes lèvres passent d'une bouche à l'autre. Tout s'enflamme, Emma murmure « Vous êtes des coquines toutes les deux... Allons dans la chambre ! » quand je leur annonce que je n'ai pas la clé de ma cage elle ajoute « Nous jouerons aux dames ! »
Elle nous entraîne par la main jusqu'à son grand lit laqué noir encadré d'armoires à glace et d'estampes japonaises très explicites.
Elle nous invite à passer par la salle de bains et après cette étape de propreté, je retrouve les deux amies allongées sur le dos à se bisouter. En bonne servante, je me dois de les satisfaire. Je me couche sur leurs jambes entrecroisées, à la portée de leurs minous. Un blond au pelage soigné et un brun presque glabre chapeauté d'un ticket de métro de poils bruns. Je lisse le pelage, brosse le gazon, les caresse du nez ou d'une phalange, passe de l'un à l'autre, puis m'enhardis en les embrassant.
De la langue ou d'un doigt, j'ouvre les calices, lèche les clitos. La plus jeune a les nymphes plus fines, l'autre le bouton plus gros et décalotté. Durant deux, trois minutes, je ne fais que taquiner puis je tripote, je fouille. L'ambiance s'échauffe, on entend des froissements de drap, des clapotis humides, des gémissements. Leurs puits d'amour regorgent de nectars si différents, celui d'Emma doux presque sucré, celui de ma maîtresse acide et plus fort. Tout en les léchant je les branle toutes les deux jusqu'à les faire tressaillir. Leurs jambes extérieures viennent l'une après l'autre me ceinturer. Mes mains remontent sur leur ventre, sur leurs seins où elles en rencontrent d'autres.
Emma s'agite, son bassin s'anime comme lors d'un coït. Ses gazouillis deviennent grognements sonores « Arrête ! Arrête !... Putain Jane arrête ! Tu me fais pisser »
Brutalement elle me repousse d'une main et se dégage ayant l'autre main au creux de son ventre, elle court vers les toilettes. Je remonte alors au niveau de Germaine qui pouffe de rire en entendant sa copine soupirer d'aise et sa pisse éclabousser dans la cuvette. Un moment de silence, la chasse d'eau, elle revient vers nous, toute fringante. Elle éclate de rire en nous voyant.
— Regarde Mina ma chérie, son museau !. On croirait un clown barbouillé de rouge à lèvre... » Elle saute sur le lit, se colle à mon dos et m'embrasse dans le cou en murmurant « Jane, quand on est maquillée, on se retient. » Elle commence à dénouer mon corset et le défait pour mon plus grand soulagement. Ses doigts frôlent mes côtes, mon dos. « Hummm... Ta peau marque bien, on voit l'empreinte des baleines et même le laçage dans le dos. Je vais te masser un peu, ça va te faire du bien. »
Elle sort de sa table de nuit un flacon et me verse quelques gouttes d'huile avant de me masser le ventre et les côtes, Germaine en ajoute d'autres et commence un massage très sensuel, sur moi d'abord, puis entre elles. Ce sont des caresses voluptueuses entre nous trois. Les mains glissent sur les corps huileux, les peaux deviennent satinées, les effleurements deviennent plus osés, je n'ai malheureusement que deux mains. Les tétons filent entre mes doigts, l'un pointe fièrement, l'autre plus gros et granuleux s'écrase sur le nichon. Ma main caresse un ventre ferme, à peine rebondi ou un autre épanoui et mollasson, rencontre d'autres mains sur la toison de l'une ou la vulve lisse de l'autre.
Emma fait un tête à queue et nous nous retrouvons toutes les trois entre les jambes d'une autre. Ainsi je suis entre les cuisses d'Emma qui gougnotte ma patronne qui me bouffe les fesses.
Je retrouve la toison blond cendré, humide, la fine crête de chair rosée. Une forte odeur d'urine me saisit à la gorge, la coquine s'en amuse, elle me pousse d'une main sur son ventre où je découvre le goût salé de sa miction. Le dégoût devient douceur, gourmandise. Je lèche la vulve, le périnée, le bassin bascule et me met l'anus sous la langue.
En même temps Germaine me doigte et me lèche les couilles au travers des barreaux métalliques. A nouveau il y a le feu au lac. De toutes parts, ça respire fort, ça miaule, ça s'agite, ça grogne.
D'un coup Emma s'écarte de nous en s'exclamant « Attendez les filles, j'ai de quoi calmer nos tensions ! ». Elle s'étire jusqu'à sa table de chevet et sort du tiroir un double dong noir gros comme mon poignet et un très joli gode violet doublé d'un ergot. On n'a pas le temps de réagir qu'elle tend le vibro à Germaine et me demande de me laisser faire.
Elle m'écarte un genou, découvre mon entrejambe trempé de salive et mon petit trou en feu. « C'est bien ce que je pensais ! T'es une vraie cochonne... » Sans fausse pudeur je maintiens mon genou ouvert, mes fesses écartées, elle tire jusqu'à nous le boudin de caoutchouc d'au moins 50 centimètres, suce avec peine la tête grosse comme une balle, la positionne correctement entre mes fesses et la pousse sans brutalité mais fermement. Le gode, me pénètre, glisse lentement dans mes chairs, elle l'enfonce de plus de dix centimètres.
A ce moment, elle se couche entre mes jambes, elle se plante l'autre extrémité dans le cul, visiblement elle est habituée à l'exercice. Une fois bien emmanchée, elle prend la partie libre entre nous deux et commence à la faire aller et venir en me l'enfonçant de plus en plus. J'ai avalé une bonne partie de l'engin, j'en ai plein le cul c'est le cas de le dire, mais elle continue à manipuler le manche avec force. Je sens qu'il cogne au fond de mon ventre et d'un coup le gode s'enfonce. Le souffle coupé, à deux mains elle me tire à elle jusqu'à ce que nos fesses se touchent.
Emboîtées l'une dans l'autre, j'ai entre mes cuisses le modelé de ses fesses, le soyeux de sa toison pubienne et sa vulve sous mon sexe en cage. Bloquée contre elle je ne cherche pas à bouger, les yeux fermés, je vis intensément le moment, ce gode dans mes entrailles, son ventre contre le mien. Mon sphincter palpite, se contracte, se relâche. Elle bouge à peine, j'aime la caresse de ses fesses, la pression de ses jambes.
Trop concentrée sur notre union j'en oublie Germaine jusqu'à ce qu'elle vienne se mélanger à nous. Alors elle nous enjambe, les corps se trémoussent, ses cuisses m'encadrent la tête, son ventre est sur mon menton, je ne vois que ses fesses dodues, j'ai son sexe sur la bouche, je lèche ses nymphes semblables à des larges langues, épaisses, baveuses de mouille. Je les aspire, les suce, les allonge.
Entre temps Emma s'est détachée de mon ventre, tout en restant entre mes cuisses. Je perds tout contrôle quand une main trouve la place entre nous et met le dong en mouvement sur plus de dix centimètres. Mon bassin adopte la marche du chameau et cherche la meilleure position. ça y est le sextoy coulisse merveilleusement bien, m'excite, rapidement ma respiration s'accélère. C'est comme dans le boléro de Ravel, cette musique qui monte en puissance au fur et à mesure que les instruments s'associent en reprenant avec force les trois notes caractéristiques de l’œuvre. Je suis toujours entre les jambes d'Emma, je la sens trembloter, tout comme moi, je suis prise de spasmes. Oh ça y est je jouis, putain ça coule sur ma cuisse, j'en fous plein partout. Une main se porte à mon secours pour endiguer le flot, se crispe sur la cage. J'entends la jeune femme geindre « Oh, ouais, branle-moi plus fort... Oh oui comme ça c'est bon ».
Germaine se déchaîne, son bassin au dessus de moi, son coude dans mes côtes, elle branle l'une et jouis dans ma bouche, son jus m'inonde.. Épuisées, mes deux amantes s'écroulent. Les jambes d'Emmé se détendent, Germaine s'affale sur nous deux. Il faut encore un moment pour reprendre vie.
— Oh Mina que c'était bon entre ta main et le dong, et toi Jane, prise entre tes jambes, je te sentais jouir comme si tu étais en moi
— Ouais Jane ! t'es une vraie gouine, une bouffeuse de minous
— Pour vous servir mesdames.
Tandis que le trio se lève, je découvre le drap maculé de sperme
— T'es une cochonne, regarde mon lit ! Ah la salope va te laver ton cul !
— Dépêche-toi, j'ne veux pas t'attendre
— Oui madame, je fais vite
Je m'amuse à jouer le jeu de la soubrette docile, Je vais au plus vite en utilisant le bidet, en remettant juste ma brassière et ses prothèses, ma blouse et ma jupe. J'enfile ma veste quand madame se prépare à partir
— Merci ma chérie pour l'invitation et le bon moment passé ensemble. On se revoit samedi prochain... Mais pas un mot aux amis quant à Jane, que la surprise soit totale.
— T'inquiète Mina, Allez filez ! Il me tarde d'être samedi et de connaître le trésor caché.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci @Olga pour ton suivi et ton intérêt
Jane va poursuivre son bonhomme ou bonne femme de chemin
Jane va poursuivre son bonhomme ou bonne femme de chemin
John ton texte est parfait Jane est magnifique et tes descriptions complètes les images que l’on imagine
Daniel
Daniel
des textes et un parcours toujours intéressants! Merci John pour ces confessions.
Merci
La suite dès demain. Hds ne laisse pas le temps de souffler !
Alors à bientôt
Sans oublier les histoires précédentes qui mettent en scène les mêmes personnages
La suite dès demain. Hds ne laisse pas le temps de souffler !
Alors à bientôt
Sans oublier les histoires précédentes qui mettent en scène les mêmes personnages
Une histoire originale et diablement érotique, parfaitement écrite, un sans fautes !

