Être prise sans surprise
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Être prise sans surprise
Être prise sans surpriseDialogues Interdits, ou les conversations subversives et légères de deux personnages abordant tous les sujets sexuels, même les plus tabous. Une série d’histoires complètes, dont les épisodes peuvent se lire dans n’importe quel ordre.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
–––––––
— Et c’est pile à ce moment-là qu’elle est entrée ta mère ?
— Presque. Une chance que ma chambre soit au premier et que les marches de notre escalier grincent. Du moins avec elle et sa centaine de kilos.
— N’empêche qu’elle a la pêche et qu’elle marche vite.
— Ah ça, on n’a eu que quelques secondes devant nous ! À peine !
— Et qu’est-ce qu’elle t’a dit.
— Elle m’a demandé si j’avais fait un cauchemar, je lui ai dit que oui. Elle s’est aussi demandée pourquoi je dormais toute nue, moi qui ne l’avais jamais fait, et aussi pourquoi la fenêtre était entrouverte et ma nuisette à terre.
— Aïe ! Ça se transformait en interrogatoire. Il a eu le temps de se barrer par la fenêtre ?
— Tu rigoles, il se serait tué. C’est surtout qu’une fois entré par la fenêtre, on était si pressés qu’on n’a pas pris le temps de la refermer. Puis les bruits de la route c’était pas mal pour couvrir les autres sons.
— Sauf que ça n’a pas suffi puisqu’elle t’a entendu gémir, et qu’elle est montée. Il était sous le lit ?
— Dans le placard.
— Dans les Vaudevilles l’amant est toujours soit sous le lit, soit dans le placard.
— Sous le lit, c’était trop évident. D’ailleurs…— Ne me dit pas qu’elle a regardé.
— En fait, il est arrivé qu’un chat sauvage s’introduise dans la maison, quand on avait laissé ouvert. Ça lui a servi de prétexte.
— Pas si bête que ça la maman.
— Pas intelligente au point d’avoir vérifié ailleurs.
— Tu l’as dit : il lui fallait un prétexte. Elle n’allait pas prétendre qu’un chat avait ouvert la porte du placard pour s’y cacher. J’y pense, il n’y a qu’un seul placard dans ta chambre et il est hyper petit. Quant à Michael, il est super grand.
— Et de partout. Il a eu un mal fou à caler sa bite. Pour un peu, elle lui aurait échappé des mains et ça aurait ouvert la porte. Ne ris pas ! Ça a beau avoir l’air drôle, si c’était arrivé, alors là, grosse cata en perspective.
— Vous aviez pris des risques ?
— Heu… effectivement, en plus de ça on s’était pas protégés, et sa verge dégoulinait de ma mouille. Ça a fait des tâches dans le placard et dans les draps, j’aurais dû être plus prévoyante. De son départ au petit matin j’ai passé deux heures à nettoyer. Je pensais que ça ne partirait jamais !
— Ça n’en valait pas la peine ?
— Je me demande.
— Pour ma part, ça fait bien longtemps que j’ai habitué ma mère à garder parfois la fenêtre ouverte et à dormir toute nue, surtout les nuits où je reste seule… quitte à m’enrhumer. J’y ai pensé très longtemps à l’avance, dès ma préadolescence. Je me suis dis : « bon je n’ai pas encore l’âge de baiser, mais je baiserai un jour. Et ce jour-là, j’aimerais bien qu’un petit copain vienne me rejoindre certaines nuits. Alors il faut que je prévois le coup ». À quatorze ans, mes parents n’étaient déjà plus du tout surpris que je dorme nue. Et dès mes quinze ans je les ai habitués à m’entendre crier, de temps en temps, en disant après que j’avais fait un cauchemar. Ça a complètement brouillé les pistes, il n’y a plus jamais moyen qu’ils sachent quand c’est du bluff et quand ça ne l’est pas. Quand j’ai débuté ma vie sexuelle à seize ans, tout était prêt. J’ai accueilli des tas de petits copains sans jamais me faire griller.
— Là je suis sur le cul. Tu as vraiment mis en place tout ça ? Et vécu autant d’évènements similaires ?
— On croit toujours vivre des trucs exceptionnels alors que tout est anodin. Dis-toi aussi qu’on est du même style, toi et moi. Que ce soit au niveau des délires, des types de mecs et des types de parents. La seule différence est que… hem ! Enfin, je suis un peu plus maline, quoi. Prévoyante en tout cas.
— Ils pensent vraiment que tu fais des cauchemars ?
— En fait, ils croient que je fais des rêves érotiques et que je suis trop pudique et gênée pour le leur dire.
— Oooh comme c’est chou. Et ta petite sœur t’a pas fait d’ennuis ?
— Non, quand elle dort elle dort, et rien ne peut la réveiller. J’ai commencé à préparer le terrain pour elle. Pour plus tard… Je lui ai appris à dormir toute nue.
— Perverse.
— Pas du tout ! Elle aussi aura un jour seize ans et voudra profiter de la nuit pour coucher avec ses mecs. En plus elle est au rez-de-chaussée, ce sera encore plus facile.
— J’espère que tu ne lui as pas dit pourquoi…— Je lui ai juste dit qu’on dormait mieux de cette façon. Inconsciemment je suis sûre qu’elle a un peu compris. Et pour les rêves ou les cauchemars, aucun souci. Depuis quelques mois elle pousse des gémissements dans son sommeil. Elle est entrée dans sa vraie période « rêves érotiques ».
— Pas de doute, vous êtes bien du même sang. Franchement, félicitations la championne. Par contre, quel dommage d’en arriver là. Quand je pense que le sexe est censé être une activité instinctive, ludique et spontanée !
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
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— Et c’est pile à ce moment-là qu’elle est entrée ta mère ?
— Presque. Une chance que ma chambre soit au premier et que les marches de notre escalier grincent. Du moins avec elle et sa centaine de kilos.
— N’empêche qu’elle a la pêche et qu’elle marche vite.
— Ah ça, on n’a eu que quelques secondes devant nous ! À peine !
— Et qu’est-ce qu’elle t’a dit.
— Elle m’a demandé si j’avais fait un cauchemar, je lui ai dit que oui. Elle s’est aussi demandée pourquoi je dormais toute nue, moi qui ne l’avais jamais fait, et aussi pourquoi la fenêtre était entrouverte et ma nuisette à terre.
— Aïe ! Ça se transformait en interrogatoire. Il a eu le temps de se barrer par la fenêtre ?
— Tu rigoles, il se serait tué. C’est surtout qu’une fois entré par la fenêtre, on était si pressés qu’on n’a pas pris le temps de la refermer. Puis les bruits de la route c’était pas mal pour couvrir les autres sons.
— Sauf que ça n’a pas suffi puisqu’elle t’a entendu gémir, et qu’elle est montée. Il était sous le lit ?
— Dans le placard.
— Dans les Vaudevilles l’amant est toujours soit sous le lit, soit dans le placard.
— Sous le lit, c’était trop évident. D’ailleurs…— Ne me dit pas qu’elle a regardé.
— En fait, il est arrivé qu’un chat sauvage s’introduise dans la maison, quand on avait laissé ouvert. Ça lui a servi de prétexte.
— Pas si bête que ça la maman.
— Pas intelligente au point d’avoir vérifié ailleurs.
— Tu l’as dit : il lui fallait un prétexte. Elle n’allait pas prétendre qu’un chat avait ouvert la porte du placard pour s’y cacher. J’y pense, il n’y a qu’un seul placard dans ta chambre et il est hyper petit. Quant à Michael, il est super grand.
— Et de partout. Il a eu un mal fou à caler sa bite. Pour un peu, elle lui aurait échappé des mains et ça aurait ouvert la porte. Ne ris pas ! Ça a beau avoir l’air drôle, si c’était arrivé, alors là, grosse cata en perspective.
— Vous aviez pris des risques ?
— Heu… effectivement, en plus de ça on s’était pas protégés, et sa verge dégoulinait de ma mouille. Ça a fait des tâches dans le placard et dans les draps, j’aurais dû être plus prévoyante. De son départ au petit matin j’ai passé deux heures à nettoyer. Je pensais que ça ne partirait jamais !
— Ça n’en valait pas la peine ?
— Je me demande.
— Pour ma part, ça fait bien longtemps que j’ai habitué ma mère à garder parfois la fenêtre ouverte et à dormir toute nue, surtout les nuits où je reste seule… quitte à m’enrhumer. J’y ai pensé très longtemps à l’avance, dès ma préadolescence. Je me suis dis : « bon je n’ai pas encore l’âge de baiser, mais je baiserai un jour. Et ce jour-là, j’aimerais bien qu’un petit copain vienne me rejoindre certaines nuits. Alors il faut que je prévois le coup ». À quatorze ans, mes parents n’étaient déjà plus du tout surpris que je dorme nue. Et dès mes quinze ans je les ai habitués à m’entendre crier, de temps en temps, en disant après que j’avais fait un cauchemar. Ça a complètement brouillé les pistes, il n’y a plus jamais moyen qu’ils sachent quand c’est du bluff et quand ça ne l’est pas. Quand j’ai débuté ma vie sexuelle à seize ans, tout était prêt. J’ai accueilli des tas de petits copains sans jamais me faire griller.
— Là je suis sur le cul. Tu as vraiment mis en place tout ça ? Et vécu autant d’évènements similaires ?
— On croit toujours vivre des trucs exceptionnels alors que tout est anodin. Dis-toi aussi qu’on est du même style, toi et moi. Que ce soit au niveau des délires, des types de mecs et des types de parents. La seule différence est que… hem ! Enfin, je suis un peu plus maline, quoi. Prévoyante en tout cas.
— Ils pensent vraiment que tu fais des cauchemars ?
— En fait, ils croient que je fais des rêves érotiques et que je suis trop pudique et gênée pour le leur dire.
— Oooh comme c’est chou. Et ta petite sœur t’a pas fait d’ennuis ?
— Non, quand elle dort elle dort, et rien ne peut la réveiller. J’ai commencé à préparer le terrain pour elle. Pour plus tard… Je lui ai appris à dormir toute nue.
— Perverse.
— Pas du tout ! Elle aussi aura un jour seize ans et voudra profiter de la nuit pour coucher avec ses mecs. En plus elle est au rez-de-chaussée, ce sera encore plus facile.
— J’espère que tu ne lui as pas dit pourquoi…— Je lui ai juste dit qu’on dormait mieux de cette façon. Inconsciemment je suis sûre qu’elle a un peu compris. Et pour les rêves ou les cauchemars, aucun souci. Depuis quelques mois elle pousse des gémissements dans son sommeil. Elle est entrée dans sa vraie période « rêves érotiques ».
— Pas de doute, vous êtes bien du même sang. Franchement, félicitations la championne. Par contre, quel dommage d’en arriver là. Quand je pense que le sexe est censé être une activité instinctive, ludique et spontanée !
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