ÉTUDIANT À LUNETTES - 1

- Par l'auteur HDS Jorge -
Récit érotique écrit par Jorge [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : ÉTUDIANT À LUNETTES - 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ÉTUDIANT À LUNETTES - 1
... OU COMMENT FAIRE DES MATHS AVEC SA BITE

1/ J'AURAIS AU MOINS DÛ METTRE UN SLIP

L'amphi est bondé. Je suis un peu effrayé. C'est mon premier cours en amphi, en tant que jeune suppléant. Je n'aurais pas dû mettre ce jogging. Il est nul, on me voit la trace du gland. En m'habillant ce matin je pensais que c'était une bonne idée. Un jogging c'est plus cool. Ça marque moins la distance avec les étudiants. Sauf que mon jogging blanc il est vraiment très fin... et là... ils vont tous voir mon pénis et mon gland... C'est hyper gênant ! Surtout pour un premier cours.
Je n'aurais pas dû. Déjà que je suis petit et mince. Eux ils ont tous 19 ans et moi je viens seulement d'avoir 21. Même si j'ai le niveau, je n'aurais pas dû accepter ce poste de suppléant. Moi qui suis petit et blond, on me prend pour un lycéen Irlandais, ou pour un collégien chti ! Mes cheveux sont ultra-blonds, ras sur les côtés, mais décoiffé / ébouriffé sur le dessus, j'aime bien, ça me va bien. Mon petit visage est mince. Petites boucles d'oreille. Mes yeux sont très clairs, presque jaunes, et mes cils très longs et très blonds. Petit tatouage dans le cou. Skets, petit jogg blanc, grosse bite... Je m'aime bien dans la glace.
Mais putain j'aurais dû mettre un jean. Tout un amphi et moi avec mon gland, là... c'est sûr je vais me faire manger tout cru !
Oui parce que le problème c'est que j'ai beau être petit et menu, ce que j'ai entre les jambes est long et épais, ça pèse lourd et ça balance quand je marche... un truc trop gros pour moi... le bon dieu a dû se tromper... c'est comme ça. En tout cas, c'est une sensation extraordinaire. Mon braquemart c'est un peu mon pote, vous comprenez... Je le sens. Il est là. Il pend, il est lourd, il balance, il me tape les cuisses avec son bout quand je marche, il me procure une sorte de bien-être permanent. Je le regarde beaucoup dans la glace. Qu'est-ce que c'est bien d'avoir un gros zizi !
C'est venu d'un coup, à 14 ans. Mes parents n'en revenaient pas. Moi non plus. Tous les matins dans la salle de bains mon père me disait dans la glace : "mais quand est-ce que ça va s'arrêter de grossir, tout ça ?!"... je le regardais aussi et je pense qu'il était franchement jaloux avec sa petite nouille, là... d'ailleurs dans la famille, tout le monde s'est un peu posé des questions, si vous voyez ce que je veux dire... mais moi je l'ai défendu : C'est joli aussi les petits zizis. Moi j'adore. Mais bon... en ce qui me concerne je ne sais pas s'il y a eu erreur, mais moi j'échangerais pas ! Et puis ils m'ont livré les "balls" qui vont avec ! Sur mon petit corps, de derrière ça fait des corronès de taureau sous un petit cul blond de faon !
Et comme disait mon père en s'essuyant entre les jambes, un zizi, gros ou petit, c'est pas fait pour être caché.

Mais bon... moi qui adore montrer ma bite, là tout de suite, je suis très embêté. On la voit complètement à travers mon jogging et ça, ça commence à franchement me paniquer. C'est sûr que je vais me faire mater sous toutes les coutures. Ils vont tous voir mon gros sexe ! Ok j'adore l'idée mais là j'ai un trac énorme, une angoisse qui monte ! Je dois absolument surmonter cette peur qui me taraude et qui grossit !... Une sorte de panique enfantine. Une terreur qui monte des trippes. Un truc qui fait mal aux dents, qui vous laisse comme un goût de fer dans la bouche, un goût de sang... comme quand on nous obligeait à baisser nos culottes en colo : Non... je veux pas...
J'entends les étudiants. J'ai l'impression que l'amphi est plein. Je n'entends que des voix de garçons... Mon dieu... J'ai l'impression d'être à poil !
Je dois y aller ! Ne pas s'attendrir sur soi-même. Allez ! 1... 2... 3.

J'ouvre la porte de l'amphi. Je les regarde. Ils sont au moins 80 ou 100 ! Ils se tournent tous vers moi. Le silence s'installe. C'est sûr ils doivent me trouver trop petit, trop jeune. C'est le moment où jamais de marquer mon autorité. Je prends ma plus grosse voix :
- Bonj... euh... bonjour.
Sans hésiter j'avance. Et là je sens mon gros gros sexe qui balance. Putain... j'aurais au moins dû mettre un slip ou quelque chose ! J'ai l'impression d'être à poil... totalement à poil ! En m'habillant ce matin je me disais que le freeballing ça ferait le mec cool. Sur le moment l'idée m'a limite un peu excité... mais maintenant... Je sais qu'on voit clairement ma queue bien longue qui balance dans son jogging... et mon gros gland... Maman... je suis sûr qu'ils font tous rien qu'à me regarder mon zizi...
En plus comme un con j'ai mis mon large tee-shirt sans manches, le blanc gaufré, très large même, celui qui laisse voir mes aisselles blondes, et même mes tétons quand je lève les bras... En gros à part mes ieps dans mes skets, il peuvent vraiment tout me voir. Je suis tout nu, vraiment tout nu !
L'estrade est haute. Je domine le premier rang. Les garçons de devant ont le visage à hauteur de mon sexe. Ils sont tout près... tout près... leurs yeux sont écarquillés, ils me matent de haut en bas !
C'est extrêmement gênant. Je souris machinalement, de mon sourire le plus attendrissant. Celui qui fait craquer les filles, les homos et les hétéros. Gêné, je bats mes longs cils blonds. Je crois que je rosis.
Tout le monde regarde mon zizi. J'ai toujours adoré me faire mater. Je sens que je me détends un peu.
Je sens comme mon pénis qui chauffe. J'ai toujours eu un 6ème sens pour ça : depuis que j'ai 14 ans, je sens la chaleur des regards sur moi, comme des rayons... et là ça chauffe... ça brûle même ! Je ressens physiquement que tous les regards sont braqués sur mon sexe...

Je lève la tête vers le reste de l'amphi. Que des garçons !... mon dieu.
Allez ! Se présenter.
- Bonjour, je suis votre nouveau suppléant, je remplace votre prof de math, Monsieur...
(Merde j'ai oublié son nom).
Silence.
Comme ils ont tous les yeux braqués sur mon jogging qui laisse voir mon long pénis, j'essaye de ne pas bouger pour éviter que ça balance.
- Je suis agrégé en logique mathématique fondamentale... C'est mon premier poste de remplaçant, alors j'espère que vous serez indulgents...
J'ai bougé. Je sens que ça balance lentement. Je souris, je bats des cils, et je sens de nouveau que je rosis.
L'amphi est silencieux... je remarque que les hétéros ont la bouche ouverte (ce qui est très gentil de leur part)... quant aux homos, ils bavent.

Rompant le silence, un étudiant du premier rang lance :
- Bienv'nue M'sieur !
Ça me fait tout drôle d'être appelé Monsieur, moi qui ai l'impression d'avoir leur âge.
- Merci... euh... jeune homme.
C'est un jeune du premier rang. Un de ceux qui me matent franchement la bite. Un très beau... très très beau... J'aperçois ses genoux nus sous la table, recouverts de duvet blond. Je ne vois pas son short... il en porte un, forcément.
Maintenant il me regarde droit dans les yeux. Châtain, cheveux ébouriffés, sourire ébouriffant. Une tête de jeune influenceur de Tiktok. Il est parfait. Une beauté pure. Un petit tombeur. Quelques poils de barbe et de moustache, pas trop, juste ce qu'il faut. Direct bandant. Sans le vouloir j'ai ouvert la bouche. Son regard sur moi descend lentement : mon cou tatoué, mon torse, mon ventre, mon jogg... mon sexe... tout mon sexe. Il ouvre un peu la bouche. J'entrevois sa langue. Puis ses yeux remontent lentement. Et lorsqu'il me regarde à nouveau, il me sourit et dans un mouvement rapide, il ouvre un peu les jambes.
C'est clair, c'est un message sexuel. Très sexuel, même.
Cela devrait me déstabiliser. Peut-être même que c'est fait pour. De la pure provocation, en somme...
Oui parce que ça m'est arrivé étant jeune de me mettre au premier rang, en short large, sans slip, et d'ouvrir grand mes genoux à un jeune prof de français marié hétéro qui rangeait sa longue verge dans un pantalon serré, tout en long sur le côté. N'importe quel prof normal, même hétéro, kiffe toujours lorsqu'il aperçoit un bon gros zizi rose d'étudiant, qui dépasse... genre involontairement ! Eh ben ce prof, j'ai réussi à le déstabiliser complètement. Il m'adorait. J'avais des super notes. Simplement je lui ouvrais mes jambes à tous les cours, c'était devenu comme un rendez-vous... J'avais l'impression d'être une petite pute mais j'adorais l'idée !... Et puis putain quand on est jeune, qu'est-ce que c'est bon de se faire mater !!!
Sauf que cette fois c'est moi le prof, et que cet espèce de jeune influenceur ébouriffé me mate en me souriant et en écartant les jambes. Seul problème : de là où je suis, son short est caché par sa table. Putain dommage.
Ses yeux restent plongés dans les miens, ce jeune mec est hypnotisant.
J'en oublie l'amphi, alors que je suis debout face à eux, poutre pendante. Ils attendent que je démarre mon cours, et moi je crois que je souris bêtement.
Plus je regarde ce jeune mec, plus je me sens comme lui, avec lui et en lui... je ressens quelque chose de fusionnel... je ne le connais pas mais j'ai comme l'impression qu'on est déjà amants... Il dégage un truc sensuel de ouf. Tandis que je le regarde, une sorte de bien-être m'envahit et se répand dans ma tête, dans mes yeux, dans ma gorge et dans le fond de mes couilles. Une sensation de pure volupté (je ferme les yeux un instant), une sensation de bien-être profond, un sentiment pré-érectile qui vous prend les testicules puis le sexe tout entier... Je rouvre les yeux. Il me sourit toujours, sa langue se déplace doucement le long de sa lèvre, il écarte un peu plus les genoux... Mon dieu qu'il est beau !!!
Et là, debout devant tout le monde, je sens une légère contraction dans mon pénis, légère mais sensible, depuis la base jusqu'au gland. Putain merde, je commence à bander !!
En effet, je m'aperçois que mon jogging commence à pointer. Putain ils ont forcément remarqué !... Mon dieu.

Alors très vite je rejoins le bureau du prof, tant pis si ça bouge quand je marche, il y a urgence ! Je traverse l'estrade, je marche vite, je sens ma semi-dure qui bat de droite à gauche ! Je ressens la stupéfaction dans l'amphi... Mon dieu que c'est humiliant !!!
Murmure dans l'amphi.

Je m'assois enfin au bureau du prof. Pas de bol, c'est un bureau sans jupe : tout me monde voit mes jambes ! Alors je les croise. Mes grosses burnes se positionnent naturellement en-dessous et mon gros pénis au-dessus. Quand il aura ramolli, j'essayerai de le passer dessous, discrètement... ou pas... ou peut-être que j'écarterai grand les genoux si j'ai le courage... on verra.

Les avis des lecteurs

Merci à vous 2 !

Histoire Libertine
Il est amusant ce début d histoire.

Hahaha ! Le mec en pantalon de survêt', monté comme un cheval, en mode victime-si-j'avais-su... Mais tellement ! :D



Texte coquin : ÉTUDIANT À LUNETTES - 1
Histoire sexe : Une rose rouge
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