Étudiante infirmière découvre le 3ème âge (Chapitre 1)
Récit érotique écrit par Entropidie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2018 dans la catégorie Pour la première fois
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Étudiante infirmière découvre le 3ème âge (Chapitre 1)
Je m’appel Sophie et j’ai tout juste 19 ans.
Actuellement étudiante en soins infirmiers je passe mon temps entre les salles de cours et les stages à l'hôpital pour lesquels je n’ai aucune rémunération malgré que l’on me fasse travailler comme une infirmière diplômée.
Je dois donc travailler en plus dans un centre pour handicapés en tant qu’aide soignante pour pouvoir me payer mon logement étudiant et ma voiture.
Je suis assez timide et pas très grande, mes premiers pas dans le monde hospitalier ont était difficile et j’ai dû me faire violence pour m’y habituer. Le travail qu'il soit physique ou mentale ne me dérange pas mais parfois la pression de finir dans les temps, des médecins souvent imbuvables et des patients pas toujours agréable font que c’est épuisant
Et justement ces patients selon moi se répartissent en trois catégories : les méprisants/ insultants Les dragueurs/ perversLes gentils/ honnêtes (plus rare)
Je me suis habituée à regrouper les patients dans ces catégories pour éviter les 2 premières le plus possibles Selon les services où je suis en stage je rencontre tout types de patients et de tout âge Les services de gériatrie sont assez fréquent et j’ai aussi dû rompre avec la pudeur de petite fille que je possédais en lavant des corps nus chaque matin par dizaineIl n’y a pas de désirs qui m’envahit ni de dégoût à la vue de ses corps, j’ai appris à faire le boulot un peu machinalement au début.
Puis dans d’autre services on rencontre des gens plus ou moins jeunes les actes sont plus variées Je commence mon stage en chirurgie orthopédique pour les 6 prochaines semaines avec une évaluation très importante pour valider ma seconde année Le premier jour est assez stressant. Même si j'y suis allée la semaine passée pour repérer les lieux et le présenter au service je redoute d'être livrée au beau milieu d’un hôpital qui m’est inconnuJ’ai passé mon dimanche à réviser mes techniques de pansement et bandages J’ai repassé ma tenue une blouse blanche de rigueur pas très sexy voir carrément pas, très loin du fantasmes légendaire.
Pour autant je suis une petite brune assez souriante bien que j’apparais peu confiante et très timide des cheveux jusque au bas de mes omoplates, d’ailleurs je ne dois pas oublier ma pince car aucun cheveux ne doit toucher l’uniforme question d'hygiène hospitalière.
J’ai le corps assez sveltes une petite poitrine et des fesses légèrement rebondis Je n’ai eu qu’un seul petit ami avec qui j’ai fait l’amour pendant 6 mois et nous nous sommes séparés car il partait faire ses études à l'étranger.
Ça fait donc plus d’un an que je suis célibataire et que je me consacre à mes études et mon job étudiante.
Ça ne m’empêche pas de mettre de jolies robes et de charmant dessous.
À l’occasion je sens le regard de certains hommes et ça me plait mais je ne vais jamais plus loin, j'y pense seulement dans mon lit avant de m’endormir ma main entre mes cuisses.
Le jour J je m’habille avec une robe sage des dessous noir avec un peu de dentelles mais pas trop affriolant.
L'inconvénient des blouses blanches et que l’on peut parfois voir les dessous par transparence ou par le décolleté selon notre positon.
Il faut donc mettre quelque chose de suffisamment sage pour ne pas émoustiller tout l'hôpital et assez moderne pour ne pas passer pour une vieille fille frigide.
J’arrive à l’hôpital direction les vestiaires des femmes pour se changer, un rapide regard sur les filles qui se changent à côté de moi, elles aussi en stage et je ne peux m'empêcher de regarder leurs dessous certaines osent carrément la lingerie fine et très sexy à se demander ce qu’elles en font à l’hôpital.
Soit je m’active pour me rendre dans le service avec un bon quart d’avance Je suis accueilli assez froidement par la veilleuse de nuits je peux m’assoir c'est déjà ça L’equipe du matin arrive au compte goutte et la même froideur que la veilleuse envers moi.
On s’attelle à la remise de service ou la veilleuse raconte là nuits des 32 patients ou on rappel les motifs et les complications ou améliorations.
Je fais donc connaissance de patient sur le papier qui sont la parfois depuis 2-3 mois et qui resteront sûrement 1 ou 2 de plus. Cela va du bras cassé opéré avec fixateur externe au fracture bassin/ colonne/ côtes …On parle alors du patient de la chambre 342 Hervé G… 56 ans Maçon de formation il a chuté il y a de ça 1 mois de son échafaudage d’une hauteur de 5m.
Sa réception sur l'épaule et une partie de la tête lui on provoqué un trauma crâniens qui l’a plongé dans le coma. Après 3 semaines de soins intensifs il était miraculé et a était transféré en chirurgie pour la suite des soins, aucune séquelles si ce n’est quelques céphalées récurrentes.
On se répartit les tâches avec l'équipe et je suis du cotés de la chambre 342La tournée démarre avec les patients les plus âgés et les plus difficiles à mobiliserPuis pour les patients plus autonome on a fait un patient chacune et je me retrouve fasse à la chambre 342 pour une aide à la toilette de monsieur G J’entre et me présente brièvement en tant que nouvelle étudiante Il m’accueil chaleureusement.
C’est un homme bien bâti, je remarque assez rapidement ses mains qui sont gigantesques et je ne sais pas pourquoi j’ai pensé tout de suite que le reste devait suivre.
Après quelques banalités et l’administration de son traitement médicamenteux je passe à la toilette. Il ne peut se lever sans le kinésithérapeute donc le soins se fait dans le lit je veille à le déshabiller avec précaution et il me fait remarquer que je peux être plus franche avec lui qu'il était loin d’être en sucre.
Je le laisse commencer le lavage de son visage et enchaîner avec tout ce qui lui était accessible je commence moi alors par les pieds et les jambes.
Vient alors le moment de lui retirer son caleçon il me prévient qu'il souhaiterais uriner avant que je ne nettoie.
Je lui apporte donc un urinal et je tire sur son caleçon jusqu’en bas des chevilles libérant son sexe qui en effet était proportionnel à ses mains. Mon regard ne put se détacher de ce membre durant quelques secondes et je pense qu'il a remarqué et il me sors : faut pas prendre peur elle ne mord pas.
Je m’attendais à ce genre d’humour un peu lourd venant de sa part mais j’enfile une paire de gants d’hygiène comme le veut le protocole et je me saisis de son sexe pour commencer à le nettoyer.
Il n’est qu’en demi molle mais le poids et la largeur du membre sont impressionnant je pense n’avoir jamais vu aussi énorme sexe.
Je suis un peu hasardeuse et montre quelques difficulté à décalotter son sexe tellement son gland est turgescent, il m’aide de son bras valide et je m’applique à nettoyer le gland correctement.
Une fois terminé il me remercie et étonnamment pas de blague lourde ou de plan drague à la noix Je le sens même un peu gêné Je quitte la chambre et continue ma journée pour le revoir à midi ou il retrouve ses airs de dragueurs lourdingues mais je me surprend à décrocher quelques souriresJe prend congé et lui dis à demain je finis à 15h et le soir inévitablement des flashs de son sexe me traversais l’esprit mais je me refusais de céder à cette curiosité 2ème jours de stage j’essaye d’appliquer tout ce que j'ai collecter comme informations la veille afin d’être plus efficace et je me retrouve devant la porte 342 un peu en avance par rapport à la veille Notre second moment de soins s’est déroulé quasi comme le premier, il est resté très silencieux quand je m’occupais de son gland et j’ai constaté que j’ai passé plus de temps que la veille à lustrer ce gros chibreLe soir les mêmes flashs me reviennent La semaine se poursuit les jours quasi identique la routine de service s’installe je me sens plus à l’aise dans le service les patients sont assez agréable dans l’ensemble à l’inverse du personnel qui soit me néglige soit me charge comme une mule pour faire leur sale boulotsJe ne rechigne pas à la tâche je reste fidèle à moi même polie et bosseuse.
Le vendredi dernier jour de la semaine mon patient préféré me dis regretter de ne pas me voir ce week-end je lui dis que c’est réciproque avec un large sourire.
Une certaine complicité est naît avec lui il va de plus en plus loin dans ses compliment et son plan drague tout en restant polis Il a l’autorisation de se lever sans Kiné aujourd'hui et il s’est nettement amélioré depuis mon premier jour, la toilette se fait maintenant dans l'étroite salle de bain Je découvre son sexe pendre entre ses jambes il paraît plus gros que jamais et n’ai pas encore en érection.
L’étroitesse des lieux fait que pendant que je nettoie son sexe il a une vue plongeante dans mon décolleté et je le surprend plusieurs fois louché franchement sur ma poitrine Ce genre de situation m’a toujours répugné mais pour la première fois je me met à regretter ne pas avoir des dessous plus sexy.
Je le surprend une fois de plus à regarder ma poitrine et lui lance un regard lui montrant que je l’ai pris en flag et il répond : « je suis désolé la vue est trop tentante et je ne suis qu’un homme fragile Son sexe me paraît plus gonflé que jamais Je lui enfile son caleçon propre Sachant que je lui offrais une dernière vue inévitable sur mon décolleté Le week-end se passe je met en ordre mes cours et prépare déjà mon examen de fin de stage Pendant mes nombreuses heures de révisions les même flashs de ce sexe énorme me traversais l’esprit. J’avais même hâte d’être lundi Dimanche soir je prépare ma tenue du lendemain et j’ai une folle envie pour une fois de mettre des dessous sexy, je prend donc soutient gorge tout en dentelle rouge pigeonnant et la culotte brésilienne en dentelle assortis.
Lundi matin on reprend les bonnes habitudes en prenant note des événements du week-end Monsieur G semble bien se porter À entendre son nom j’ai déjà hâte d'être dans sa chambre Quelques heures après le début de ma journée j’arrive enfin devant la chambre 342 je jette un rapide coup d’oeil dans mon décolleté et me sens assez sexy et espère récolter un petit compliment montrant qu'il à notifier le changements de dessous Mon patient semble très heureux de me retrouver après un week-end ou les infirmières on était froide et désagréable avec lui Je suis son rayon de soleil après un week-end orageux m’avoue t’ilJe rougis un peu flatté et continue de me comparer en disant que j’ai plus d’attention et de professionnalisme dans mes gestes et on continue la discussion en se dirigeant machinalement vers la salle de bain Je prend la même place que vendredi et lui aussi Ses yeux se plongent assez vite dans mon décolleté et cette fois je vois un soubresaut de sa queue que je vois enfler et se dresser lentement.
L’érection n’est pas complète et s’arrête en plein milieu Son sexe se dresse plus gros que jamais à quelques centimètre de mon visage Je reste fixé sur son engin et il s’excuse mais il n’a put s’empêcher de regarder mon décolleté et voir ma poitrine compressé dans ce tissus de dentelle rouge Ça l’a rendu fou mais qu'il a su limité les dégâts en stoppant la montée fatidique.
Je reste sans voix ébêté Je ne trouvais pas la meilleure façon de réagir je ne pouvais pas jouer les offusqués je l’avais cherché en enfilant mes dessous.
Et la seule phrase qui sortit de ma bouche fut: et elle peut grossir encore plus ?
Lui même fut surpris autant que moi de ma curiosité Et il balbutia que oui avec une pointe de fierté Et il en profite pour me promettre de le constater moi même par le simple fait d’enlever le haut de ma blouse.
Totalement déconnecté de mes principes je m'exécute et dévoile mon soutient gorge devant ses yeux ébahis Son sexe se dresse alors vers le plafond et révèle sa taille maximale Le fait d'être responsable d’une érection aussi forte me fait trembler mais la peur me paralyseIl s’avance pour caresser mon épaule puis glisse sur ma poitrine dessinant les contours de mon soutient gorge.
Je sens des vibrations dans tout le corps sa grosse main calleuse frotte ma peau avec délicatesse mais je sens la puissance et la dureté de sa peau Je reste stoïque offerte à ses caresses il explore sous les bonnets pour taquiner mes tétons je pointe à en avoir mal et je sens mes cuisses se trempées je pensais tout d’abord que j’urinais mes non c'était bien ma culotte qui était remplis de mouille Mon patient continue son exploration de sa main valide et m’englobe les seins me caresse le ventre le bas du dos il effleure mes fesses puis les empoignes Il me repousse m’admire avec du recul puis m’avoue avoir rêvé de se moment depuis mon premier jour, il avait remarqué mon émois devant son sexe Il me dit qu'il attend de moi que je sois offerte et soumise et qu'il me fera déborder de plaisirs que je ne soupçonne même pas quand il serra rétabliMoi toujours muette devant cette demande il me dis: si tu es d'accord montre moi tes fesses en abaissant lentement ton pantalon J’ai le cœur qui bat la chamade je me sens incapable de prendre une décision soit fuir soit accepter je n’arrive pas à réfléchir et je me rend compte que je me suis déjà retournée mes mains saisissent l'élastique du pantalon de ma blouse et je dévoile ma culotte dentelle transparente qui galbe magnifiquement mes fesses, je me cambre pour lui offrir la meilleure vue possible, que m’arrive t’il ?
Il s’approche et dépose son sexe sur mes fesses et commence à frotter délicatement tout son membres sur la dentelle je sens la dureté et l'épaisseur de son sexe appuyer contre ma peau.
Sa main explore mes fesses et il vient constater du bout de ses doigts épais que le fond de ma culotte est trempée Il porte ses doigts’a son nez pour confirmer l'origine du liquide et me dis que je suis une petite salope refoulée et que je meurt d’envie de me faire prendre Je ne dis rien et il porte ses doigts dans ma bouche et me fais goûter mon jus Je suis posséder il tire mes cheveux pour amener ma bouche contre la sienne Je fais mine de résister mais cede rapidement sous les assaut de sa langue puissante qui envahis ma bouche jusqu’a l'entrée de ma gorge Sa main gagne mon entre jambe afin de me malaxer vigoureusement, je trouve sa brutale mais je me surprend à mouiller de plus belle Il frotte ses doigts trempés sur mon visage pour me recouvrir de mouille Et avec sa main il vient plaquer ma tête vers le sol pour me mettre à genou Il pointe son sexe vers ma bouche et frotte son gland énorme sur mon visage en me regardant comme un vieux pervers Il applique une pression sur mes lèvres et son gland pénètre ma bouche qui est déjà remplis Il remue sa queue ce qui me fait bouger la tête dans tout le sens puis il me saisit l'arrière du crâne pour enfoncer son énorme queue dans ma gorge Je sens le gland se glisser péniblement au travers de ma gorge et je me sens littéralement baisé par la bouche J’ai des hauts le cœur mais une flamme me brûle le ventre et me pousse à rester à genoux la gorge la plus ouverte possible pour permettre à ce sexe de se déployer Il commence un va et viens de plus en plus rapide en frappant sa queue de plus en plus fort.
Il se met à jouir et à inonder ma gorge je me sens quasi noyé par la quantité de foutre qui s'échappe par tout' les moyens tant que le gland obstrue ma gorge Puis il se retire j’avale tout avec soins pour ne pas salir et laisser de preuves pour d’autres infirmières J’ai le visage inondé d’un mélange de larmes de cyprine et de sperme Je me nettoie pendant que mon patient me félicite je me rhabille et prétexte le fait de me remettre au boulot je me sauve et je sors à la fois honteuse et fière.
Fin premier chapitre
Actuellement étudiante en soins infirmiers je passe mon temps entre les salles de cours et les stages à l'hôpital pour lesquels je n’ai aucune rémunération malgré que l’on me fasse travailler comme une infirmière diplômée.
Je dois donc travailler en plus dans un centre pour handicapés en tant qu’aide soignante pour pouvoir me payer mon logement étudiant et ma voiture.
Je suis assez timide et pas très grande, mes premiers pas dans le monde hospitalier ont était difficile et j’ai dû me faire violence pour m’y habituer. Le travail qu'il soit physique ou mentale ne me dérange pas mais parfois la pression de finir dans les temps, des médecins souvent imbuvables et des patients pas toujours agréable font que c’est épuisant
Et justement ces patients selon moi se répartissent en trois catégories : les méprisants/ insultants Les dragueurs/ perversLes gentils/ honnêtes (plus rare)
Je me suis habituée à regrouper les patients dans ces catégories pour éviter les 2 premières le plus possibles Selon les services où je suis en stage je rencontre tout types de patients et de tout âge Les services de gériatrie sont assez fréquent et j’ai aussi dû rompre avec la pudeur de petite fille que je possédais en lavant des corps nus chaque matin par dizaineIl n’y a pas de désirs qui m’envahit ni de dégoût à la vue de ses corps, j’ai appris à faire le boulot un peu machinalement au début.
Puis dans d’autre services on rencontre des gens plus ou moins jeunes les actes sont plus variées Je commence mon stage en chirurgie orthopédique pour les 6 prochaines semaines avec une évaluation très importante pour valider ma seconde année Le premier jour est assez stressant. Même si j'y suis allée la semaine passée pour repérer les lieux et le présenter au service je redoute d'être livrée au beau milieu d’un hôpital qui m’est inconnuJ’ai passé mon dimanche à réviser mes techniques de pansement et bandages J’ai repassé ma tenue une blouse blanche de rigueur pas très sexy voir carrément pas, très loin du fantasmes légendaire.
Pour autant je suis une petite brune assez souriante bien que j’apparais peu confiante et très timide des cheveux jusque au bas de mes omoplates, d’ailleurs je ne dois pas oublier ma pince car aucun cheveux ne doit toucher l’uniforme question d'hygiène hospitalière.
J’ai le corps assez sveltes une petite poitrine et des fesses légèrement rebondis Je n’ai eu qu’un seul petit ami avec qui j’ai fait l’amour pendant 6 mois et nous nous sommes séparés car il partait faire ses études à l'étranger.
Ça fait donc plus d’un an que je suis célibataire et que je me consacre à mes études et mon job étudiante.
Ça ne m’empêche pas de mettre de jolies robes et de charmant dessous.
À l’occasion je sens le regard de certains hommes et ça me plait mais je ne vais jamais plus loin, j'y pense seulement dans mon lit avant de m’endormir ma main entre mes cuisses.
Le jour J je m’habille avec une robe sage des dessous noir avec un peu de dentelles mais pas trop affriolant.
L'inconvénient des blouses blanches et que l’on peut parfois voir les dessous par transparence ou par le décolleté selon notre positon.
Il faut donc mettre quelque chose de suffisamment sage pour ne pas émoustiller tout l'hôpital et assez moderne pour ne pas passer pour une vieille fille frigide.
J’arrive à l’hôpital direction les vestiaires des femmes pour se changer, un rapide regard sur les filles qui se changent à côté de moi, elles aussi en stage et je ne peux m'empêcher de regarder leurs dessous certaines osent carrément la lingerie fine et très sexy à se demander ce qu’elles en font à l’hôpital.
Soit je m’active pour me rendre dans le service avec un bon quart d’avance Je suis accueilli assez froidement par la veilleuse de nuits je peux m’assoir c'est déjà ça L’equipe du matin arrive au compte goutte et la même froideur que la veilleuse envers moi.
On s’attelle à la remise de service ou la veilleuse raconte là nuits des 32 patients ou on rappel les motifs et les complications ou améliorations.
Je fais donc connaissance de patient sur le papier qui sont la parfois depuis 2-3 mois et qui resteront sûrement 1 ou 2 de plus. Cela va du bras cassé opéré avec fixateur externe au fracture bassin/ colonne/ côtes …On parle alors du patient de la chambre 342 Hervé G… 56 ans Maçon de formation il a chuté il y a de ça 1 mois de son échafaudage d’une hauteur de 5m.
Sa réception sur l'épaule et une partie de la tête lui on provoqué un trauma crâniens qui l’a plongé dans le coma. Après 3 semaines de soins intensifs il était miraculé et a était transféré en chirurgie pour la suite des soins, aucune séquelles si ce n’est quelques céphalées récurrentes.
On se répartit les tâches avec l'équipe et je suis du cotés de la chambre 342La tournée démarre avec les patients les plus âgés et les plus difficiles à mobiliserPuis pour les patients plus autonome on a fait un patient chacune et je me retrouve fasse à la chambre 342 pour une aide à la toilette de monsieur G J’entre et me présente brièvement en tant que nouvelle étudiante Il m’accueil chaleureusement.
C’est un homme bien bâti, je remarque assez rapidement ses mains qui sont gigantesques et je ne sais pas pourquoi j’ai pensé tout de suite que le reste devait suivre.
Après quelques banalités et l’administration de son traitement médicamenteux je passe à la toilette. Il ne peut se lever sans le kinésithérapeute donc le soins se fait dans le lit je veille à le déshabiller avec précaution et il me fait remarquer que je peux être plus franche avec lui qu'il était loin d’être en sucre.
Je le laisse commencer le lavage de son visage et enchaîner avec tout ce qui lui était accessible je commence moi alors par les pieds et les jambes.
Vient alors le moment de lui retirer son caleçon il me prévient qu'il souhaiterais uriner avant que je ne nettoie.
Je lui apporte donc un urinal et je tire sur son caleçon jusqu’en bas des chevilles libérant son sexe qui en effet était proportionnel à ses mains. Mon regard ne put se détacher de ce membre durant quelques secondes et je pense qu'il a remarqué et il me sors : faut pas prendre peur elle ne mord pas.
Je m’attendais à ce genre d’humour un peu lourd venant de sa part mais j’enfile une paire de gants d’hygiène comme le veut le protocole et je me saisis de son sexe pour commencer à le nettoyer.
Il n’est qu’en demi molle mais le poids et la largeur du membre sont impressionnant je pense n’avoir jamais vu aussi énorme sexe.
Je suis un peu hasardeuse et montre quelques difficulté à décalotter son sexe tellement son gland est turgescent, il m’aide de son bras valide et je m’applique à nettoyer le gland correctement.
Une fois terminé il me remercie et étonnamment pas de blague lourde ou de plan drague à la noix Je le sens même un peu gêné Je quitte la chambre et continue ma journée pour le revoir à midi ou il retrouve ses airs de dragueurs lourdingues mais je me surprend à décrocher quelques souriresJe prend congé et lui dis à demain je finis à 15h et le soir inévitablement des flashs de son sexe me traversais l’esprit mais je me refusais de céder à cette curiosité 2ème jours de stage j’essaye d’appliquer tout ce que j'ai collecter comme informations la veille afin d’être plus efficace et je me retrouve devant la porte 342 un peu en avance par rapport à la veille Notre second moment de soins s’est déroulé quasi comme le premier, il est resté très silencieux quand je m’occupais de son gland et j’ai constaté que j’ai passé plus de temps que la veille à lustrer ce gros chibreLe soir les mêmes flashs me reviennent La semaine se poursuit les jours quasi identique la routine de service s’installe je me sens plus à l’aise dans le service les patients sont assez agréable dans l’ensemble à l’inverse du personnel qui soit me néglige soit me charge comme une mule pour faire leur sale boulotsJe ne rechigne pas à la tâche je reste fidèle à moi même polie et bosseuse.
Le vendredi dernier jour de la semaine mon patient préféré me dis regretter de ne pas me voir ce week-end je lui dis que c’est réciproque avec un large sourire.
Une certaine complicité est naît avec lui il va de plus en plus loin dans ses compliment et son plan drague tout en restant polis Il a l’autorisation de se lever sans Kiné aujourd'hui et il s’est nettement amélioré depuis mon premier jour, la toilette se fait maintenant dans l'étroite salle de bain Je découvre son sexe pendre entre ses jambes il paraît plus gros que jamais et n’ai pas encore en érection.
L’étroitesse des lieux fait que pendant que je nettoie son sexe il a une vue plongeante dans mon décolleté et je le surprend plusieurs fois louché franchement sur ma poitrine Ce genre de situation m’a toujours répugné mais pour la première fois je me met à regretter ne pas avoir des dessous plus sexy.
Je le surprend une fois de plus à regarder ma poitrine et lui lance un regard lui montrant que je l’ai pris en flag et il répond : « je suis désolé la vue est trop tentante et je ne suis qu’un homme fragile Son sexe me paraît plus gonflé que jamais Je lui enfile son caleçon propre Sachant que je lui offrais une dernière vue inévitable sur mon décolleté Le week-end se passe je met en ordre mes cours et prépare déjà mon examen de fin de stage Pendant mes nombreuses heures de révisions les même flashs de ce sexe énorme me traversais l’esprit. J’avais même hâte d’être lundi Dimanche soir je prépare ma tenue du lendemain et j’ai une folle envie pour une fois de mettre des dessous sexy, je prend donc soutient gorge tout en dentelle rouge pigeonnant et la culotte brésilienne en dentelle assortis.
Lundi matin on reprend les bonnes habitudes en prenant note des événements du week-end Monsieur G semble bien se porter À entendre son nom j’ai déjà hâte d'être dans sa chambre Quelques heures après le début de ma journée j’arrive enfin devant la chambre 342 je jette un rapide coup d’oeil dans mon décolleté et me sens assez sexy et espère récolter un petit compliment montrant qu'il à notifier le changements de dessous Mon patient semble très heureux de me retrouver après un week-end ou les infirmières on était froide et désagréable avec lui Je suis son rayon de soleil après un week-end orageux m’avoue t’ilJe rougis un peu flatté et continue de me comparer en disant que j’ai plus d’attention et de professionnalisme dans mes gestes et on continue la discussion en se dirigeant machinalement vers la salle de bain Je prend la même place que vendredi et lui aussi Ses yeux se plongent assez vite dans mon décolleté et cette fois je vois un soubresaut de sa queue que je vois enfler et se dresser lentement.
L’érection n’est pas complète et s’arrête en plein milieu Son sexe se dresse plus gros que jamais à quelques centimètre de mon visage Je reste fixé sur son engin et il s’excuse mais il n’a put s’empêcher de regarder mon décolleté et voir ma poitrine compressé dans ce tissus de dentelle rouge Ça l’a rendu fou mais qu'il a su limité les dégâts en stoppant la montée fatidique.
Je reste sans voix ébêté Je ne trouvais pas la meilleure façon de réagir je ne pouvais pas jouer les offusqués je l’avais cherché en enfilant mes dessous.
Et la seule phrase qui sortit de ma bouche fut: et elle peut grossir encore plus ?
Lui même fut surpris autant que moi de ma curiosité Et il balbutia que oui avec une pointe de fierté Et il en profite pour me promettre de le constater moi même par le simple fait d’enlever le haut de ma blouse.
Totalement déconnecté de mes principes je m'exécute et dévoile mon soutient gorge devant ses yeux ébahis Son sexe se dresse alors vers le plafond et révèle sa taille maximale Le fait d'être responsable d’une érection aussi forte me fait trembler mais la peur me paralyseIl s’avance pour caresser mon épaule puis glisse sur ma poitrine dessinant les contours de mon soutient gorge.
Je sens des vibrations dans tout le corps sa grosse main calleuse frotte ma peau avec délicatesse mais je sens la puissance et la dureté de sa peau Je reste stoïque offerte à ses caresses il explore sous les bonnets pour taquiner mes tétons je pointe à en avoir mal et je sens mes cuisses se trempées je pensais tout d’abord que j’urinais mes non c'était bien ma culotte qui était remplis de mouille Mon patient continue son exploration de sa main valide et m’englobe les seins me caresse le ventre le bas du dos il effleure mes fesses puis les empoignes Il me repousse m’admire avec du recul puis m’avoue avoir rêvé de se moment depuis mon premier jour, il avait remarqué mon émois devant son sexe Il me dit qu'il attend de moi que je sois offerte et soumise et qu'il me fera déborder de plaisirs que je ne soupçonne même pas quand il serra rétabliMoi toujours muette devant cette demande il me dis: si tu es d'accord montre moi tes fesses en abaissant lentement ton pantalon J’ai le cœur qui bat la chamade je me sens incapable de prendre une décision soit fuir soit accepter je n’arrive pas à réfléchir et je me rend compte que je me suis déjà retournée mes mains saisissent l'élastique du pantalon de ma blouse et je dévoile ma culotte dentelle transparente qui galbe magnifiquement mes fesses, je me cambre pour lui offrir la meilleure vue possible, que m’arrive t’il ?
Il s’approche et dépose son sexe sur mes fesses et commence à frotter délicatement tout son membres sur la dentelle je sens la dureté et l'épaisseur de son sexe appuyer contre ma peau.
Sa main explore mes fesses et il vient constater du bout de ses doigts épais que le fond de ma culotte est trempée Il porte ses doigts’a son nez pour confirmer l'origine du liquide et me dis que je suis une petite salope refoulée et que je meurt d’envie de me faire prendre Je ne dis rien et il porte ses doigts dans ma bouche et me fais goûter mon jus Je suis posséder il tire mes cheveux pour amener ma bouche contre la sienne Je fais mine de résister mais cede rapidement sous les assaut de sa langue puissante qui envahis ma bouche jusqu’a l'entrée de ma gorge Sa main gagne mon entre jambe afin de me malaxer vigoureusement, je trouve sa brutale mais je me surprend à mouiller de plus belle Il frotte ses doigts trempés sur mon visage pour me recouvrir de mouille Et avec sa main il vient plaquer ma tête vers le sol pour me mettre à genou Il pointe son sexe vers ma bouche et frotte son gland énorme sur mon visage en me regardant comme un vieux pervers Il applique une pression sur mes lèvres et son gland pénètre ma bouche qui est déjà remplis Il remue sa queue ce qui me fait bouger la tête dans tout le sens puis il me saisit l'arrière du crâne pour enfoncer son énorme queue dans ma gorge Je sens le gland se glisser péniblement au travers de ma gorge et je me sens littéralement baisé par la bouche J’ai des hauts le cœur mais une flamme me brûle le ventre et me pousse à rester à genoux la gorge la plus ouverte possible pour permettre à ce sexe de se déployer Il commence un va et viens de plus en plus rapide en frappant sa queue de plus en plus fort.
Il se met à jouir et à inonder ma gorge je me sens quasi noyé par la quantité de foutre qui s'échappe par tout' les moyens tant que le gland obstrue ma gorge Puis il se retire j’avale tout avec soins pour ne pas salir et laisser de preuves pour d’autres infirmières J’ai le visage inondé d’un mélange de larmes de cyprine et de sperme Je me nettoie pendant que mon patient me félicite je me rhabille et prétexte le fait de me remettre au boulot je me sauve et je sors à la fois honteuse et fière.
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