Éva rejoint son maître à Lyon et fait l'éducation d'Alex (1° partie)
Récit érotique écrit par Sofie34fr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2020 dans la catégorie Plus on est
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Éva rejoint son maître à Lyon et fait l'éducation d'Alex (1° partie)
Éva n'avait plus revu, Yves, son maître parisien, depuis trop longtemps (voir "Mon premier voyage de femme « libre »… 15° partie"). Son amant devait animer une réunion commerciale à Lyon pendant trois jours et il lui proposa de venir le rejoindre.
- Cela fait trop longtemps que je ne t'ai pas vue. J'ai eu Paul au téléphone cet après-midi et il est d'accord pour que tu viennes me retrouver. J'ai hâte de voir ma soumise. J'arriverai à Lyon dimanche soir. Je t'enverrai les coordonnées de ma chambre par sms. Sois en forme, car, de mon côté, je suis à bloc.
Comme vous avez pu le découvrir dans mes récits précédents, Paul, mon mari est adepte du candaulisme. Je suis totalement libre d'aller voir d'autres hommes ou des femmes. Il m'y encourage, même. Seule condition, je dois tout lui raconter, et autant que faire se peut, lui envoyer des photos et des vidéos en situation. Cela ne me dispense pas de tout lui raconter avec force détails, pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Mes infidélités alimentent sa libido.
Yves, excité par avance par nos retrouvailles, m'inonda de messages chaleureux et très chauds. Il me fit une liste non exhaustive des affaires que je devais prendre, de la tenue que devais mettre pour le rejoindre dans sa chambre d'hôtel, etc. C'est dingue, il arrivait toujours à me mettre la pression. Je me sentais comme une petite fille avec lui. Allez comprendre !!!!
Il me fit parvenir toutes les informations pratiques. Le TGV m'amenait de Montpellier à Lyon Part Dieu. Yves avait loué un superbe appartement qui se trouvait à moins de cinq cents mètres de la gare.
Si mon amant était excité, je dois avouer que, de penser à nos retrouvailles, j'étais déjà trempée. Je me souviens des moments que nous avions passés ensemble. Chaque fois, Yves me surprenait et me faisait grimper aux rideaux. Et je ne pouvais rien lui refuser. Je sentais parfois Paul un peu jaloux de ma soumission.
Le soir venu, je me blottis contre Paul et nous parlâmes de notre ami. Paul me poussa à revenir sur certains moments très chauds. Tout en les relatant, je caressais le sexe de Paul durci par l'excitation. Nous fîmes l'amour passionnément. Paul aimait m'entendre dire des mots crus. J'en jouais bien volontiers.
- Alors ? Tu vas revoir ton maître ?
- Oui !!! Je vais me soumettre à tous ses désirs.
- Il va te prendre par le cul ?
- Oui !!! Il va me défoncer la rondelle. Je vais vider les couilles de ton copain.
- Tu aimes ça ?
- Oui !!!! J'adore boire sa crème.
C'en était déjà trop pour Paul qui se vida en moi avec un grand cri de jouissance. Je sentis ses jets me remplir.
- Je compte sur toi pour m'envoyer des images et pour tout me raconter.
- Oui mon amour…
Le lendemain, je réservais mon billet de train. Je commençais à regarder ce que j'allais mettre pour mon amant. Je connaissais ses goûts, pas toujours raffinés. Si je le laissais faire, il me voudrait habillée en pute pour sortir. Ce n'est pas mon style, mais je ne pouvais rien lui refuser.
Je fis un tour chez le coiffeur et chez mon épilatrice. Je voulais être belle pour mon amant. De retour à la maison, je lui envoyais quelques photos de mon sexe intégralement épilé. Il me répondit peu de temps après avec une photo de son sexe en gros plan. Une queue toujours aussi impressionnante dont je ne me lassais pas quand j'étais avec lui. La photo était accompagnée d'un petit commentaire.
- Tu voyageras avec ta petite jupette noire que j'aime bien et de ton chemisier blanc en soie. Pas de sous-vêtements. Des bas et des chaussures à talons. J'ai hâte de te prendre par tous les trous !!!
Yves est comme cela quand il est en rut. Autant il peut être raffiné, avec son côté un peu féminin, autant il devient macho dès qu'il s'agit de sexe. Il me fait peur, et en même temps, il m'excite. Il le sait, le coquin, et il en joue pour me soumettre à ses quatre volontés.
Le lendemain, nous sommes déjà dimanche. C'est le grand jour pour nous trois. Paul m'accompagne à la gare. Il me photographie sur le quai avant que je monte dans le TGV pour envoyer les photos à son ami afin qu'il vérifie que je suis bien habillée comme il l'a demandé. Nous nous enlaçons et nous embrassons comme deux gamins et, me voilà monter dans ma voiture de première classe. Cette fois, j'ai opté pour une place solo afin de voyager tranquillement et préparer mentalement mon arrivée et mon séjour avec Yves.
C'est chaque fois pareil. Je m'y suis bien habituée maintenant. Je dois lever les bras pour placer ma valise au-dessus de mon siège, et…. Comme d'habitude, ma jupette remonte immanquablement et laisse apparaitre mes bas et une partie de mes fesses. Je fais comme si rien n'était. Je sens de nombreux regards fixés sur moi. Je m'assois, prends mon iPad, ma bouteille d'eau et m'installe confortablement.
Paul tape à la vitre. Le train commence à avancer. Nous nous disons au-revoir avec nos mains.
Eh bien voilà, je suis en route pour Lyon afin de retrouver mon amant. Au-delà du plaisir de retrouver Yves et les multiples jouissances qu'il va me donner, je pense également à la satisfaction de me promener dans cette jolie ville, où flâner est si agréable en cette période printanière.
Je prends ma tablette et entame ma lecture. Je m'aperçois que je manque d'attention, que je suis obligée de revenir plusieurs fois à la même ligne. Mon esprit vagabonde. Je rêve que je suis déjà dans les bras de mon amant. Je me rappelle son corps, ses mains, ses baisers fougueux qui me font perdre la tête, ses doigts qui endiablent mes tétons à m'en faire jouir, ses tapes sur mes fesses qui précèdent ses douces caresses, … Perdue dans mes pensées, je glisse une main entre mes cuisses pour atteindre mon bouton durci d'excitation. Une seule pression me fait jouir… Je ferme les yeux et me laisse aller, accompagnée du bruit lancinant des roues du train sur les rails.
Quand j'ouvre les yeux, je vois un jeune homme, pile en face de mon entrejambe. Il me sourit. Il semble avoir compris ce qui venait de se passer. Je lui souris en retour. Je dégage ma main d'entre mes cuisses pour porter un doigt humide à ma bouche. Le jeune homme parait être ravi de mon indécence. Je le laisse à ses pensées pour reprendre mon iPad.
Lorsque nous arrivons à la gare de Valence, je range mon iPad pour regarder les passagers qui descendent et ceux qui montent. Une fois le TGV reparti, je me lève pour aller au bar prendre un café. Je pense que la nuit sera longue. Une fois servie, je m'aperçois que le jeune homme est attablé à mon côté. Nous nous sourions. J'entame la conversation.
- Vous allez à Lyon ?
- Oui, je viens de finir un stage à Montpellier et je retourne chez moi me reposer avant de commencer mon nouveau travail.
- Dans quelle branche êtes-vous ?
- Je travaille dans le milieu pharmaceutique.
- Si vous êtes de Lyon, vous allez pouvoir m'indiquer quelques bons plans. J'ai décidé de prendre un peu de temps pour moi afin de découvrir un peu plus en profondeur cette ville que j'ai toujours visitée en coup de vent.
- Ce sera avec grand plaisir. Je vous donne mon numéro de téléphone. N'hésitez pas.
Il appuie sa dernière phrase en posant sa main sur la mienne. Je lui souris.
- Qui sait ? La vie est faite d'imprévus. J'adore les belles surprises de la vie.
Sur ce, je pris sa carte et m'en retourne à ma place. Je veux me refaire une beauté avant d'arriver. Nous n'allons plus tarder.
Une quinzaine de minutes plus tard, le contrôleur annonce notre arrivée prochaine à Lyon La Part Dieu. Je commence à ranger mes affaires avant de me lever pour attraper ma valise. Le jeune homme se précipite pour m'aider. Il en profite pour se serrer contre moi. La bosse que je sens dans son pantalon, ne me laisse pas indifférente et peut laisser présager une aventure intéressante.
Je fais demi-tour pour me trouver face à lui. Au passage, ma main lui caresse son érection. Je lui fais un grand sourire.
La rame s'arrête et nous commençons à descendre. Mes pieds ont à peine touchés le quai qu'une main puissante m'attrape. C'est Yves qui m'attend, impatient. Il prend ma valise et m'entraine à l'écart de la foule, puis m'enlace et m'embrasse. Sa langue impétueuse fouille ma bouche et s'enroule autour de la mienne. Une main commence déjà à me palper les fesses. Ma jupe courte étant un rempart limité à ses caresses… Nous sommes inconnus dans cette ville où tout peut m'arriver sans crainte.
Yves attrape son téléphone et prend quelques photos qu'il envoie à Paul avec le commentaire suivant : "Ça y est, ta salope est arrivée. Je vais bien m'en occuper comme tu peux l'imaginer. Bizzzz".
Yves reprend ma main et me dirige vers un ascenseur pour aller au parking.
- Pourquoi allons-nous au parking ? Tu n'as pas de voiture.
- Ne pose pas de question. Tu me suis. Cela fait trop longtemps que je n'ai pas vu. J'ai envie de toi, là, maintenant.
Nous rentrons dans l'ascenseur. Les parois sont vitrées. Cela ne semble pas gêner Yves qui m'embrasse et caresse mes fesses nues.
- Rahhh. Tu es trop bonne ma soumise. J'ai trop envie de toi. Tâte ma queue.
- Wahouuu…
Sa bite est dure et énorme. J'avais oublié.
- Oui, moi aussi tu m'as manquée. Allons vite à l'hôtel.
- Il n'en est pas question. Je veux que tu me vides les couilles maintenant.
L'ascenseur s'arrête au dernier étage. Yves prend ma valise et nous voilà à chercher un coin tranquille.
- Là, ça ira très bien.
Il ouvre brusquement mon chemisier en soie et reste quelques secondes à me mater la poitrine. Puis, rapidement, il me malaxe les seins et maltraite mes tétons durcis de désir. Sa main descend pour venir fouiller ma vulve trempée.
- Ouiiiiii. Continue…
En très peu de temps, je sens mon plaisir grimper. Une vague de jouissance m'emporte. Je me crispe et je serre les lèvres pour ne pas crier mon plaisir si intense, si fort. J'avais oublié l'effet que me faisait mon amant. Je n'ai pas le temps de récupérer, et tandis qu'il sort son téléphone pour filmer, il m'ordonne :
- Allez, vas-y, accroupis-toi. Sors ma queue et suce-moi.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Sa queue est encore plus grosse que dans mon souvenir. Ses couilles sont dures.
Je prends délicatement son gland dans ma bouche et le lèche à petits coups de langue. J'ai une main qui tient fermement son pieu, tandis que l'autre, en coupelle, tient ses couilles.
Yves est tendu. Je sens qu'il n'est pas très loin de la jouissance lui non plus, excité comme il est.
Tandis que ma main branle sa queue, je tente d'avaler celle-ci le plus loin possible dans ma gorge. Il adore ça le coquin. Je le branle avec ma gorge et ma main et je malaxe ses bourses en même temps. J'entends mon amant grogner. Il tente de forcer encore davantage ma gorge. Je manque de m'étouffer. Ahhh le coquin ! J'accélère le mouvement et glisse mon majeur dans son cul. Cette dernière action est décisive.
- Ahhhh. Salope. Tu me tues. Rahhhhh.
Son gland grossit encore et plusieurs jets de sperme envahissent ma bouche. J'ai l'impression que cela ne va jamais s'arrêter. Je m'étouffe. Yves m'impressionne toujours autant. Je ne sais pas comment il fait….
J'ai besoin de plusieurs déglutitions pour avaler toute sa crème. Je m'en régale. Je m'applique à bien tout lécher. Je ne veux pas perdre une goutte de son nectar. Et, je me relève en prenant soin de mettre un peu d'ordre dans ma tenue.
Yves, satisfait, range son téléphone et m'embrasse passionnément. Sa langue envahit ma bouche. Elle s'enroule autour de la mienne. Je me sens encore mouiller. Comme j'ai l'habitude de dire à Paul, Yves a une bouche à baisers.
Quand il se décolle de moi, je suis totalement ébranlée. Mes jambes flageolent. Yves s'en aperçoit et me retient en me prenant dans ses bras.
- Merci ma belle d'être venue. Si tu savais comme tu m'as manquée.
Nous sortons du parking, plus légers, notre appartement est à une dizaine de minutes à pied.
Yves fait rouler ma valise et me tient par la taille contre lui. Nous bavardons. Nous reprenons contact. Nous ne nous sommes pas revus depuis près de six mois et nous avons du temps à rattraper.
L'appartement est magnifique. Nous prenons quelques minutes pour nous rafraichir. Je range mes affaires dans la penderie. Pendant ce temps, Yves envoie la vidéo du parking à Paul avec un commentaire : "Éva est une suceuse hors pair. Elle a été impatiente de retrouver ma grosse queue et de me vider les couilles".
Ensuite, Il appelle un taxi pour rejoindre le restaurant.
Nous descendons. Le taxi est déjà là. Nous montons. Yves donne l'adresse au chauffeur et nous démarrons. J'aime parcourir les rues de la capitale des Gaules. En parlant de gaule, je vois qu'il y en a un à côté qui est encore excité. Le regard d'Yves est plutôt dirigé sur mes jambes et mes seins. Je me sens rosir. Sa main parcoure et dénude mes cuisses. Il m'attire vers lui pour m'embrasser. Sa bouche me dévore, elle me possède. Sa langue s'enroule autour de la mienne. J'imagine que le chauffeur regarde davantage son rétroviseur que la route devant lui….
Je lâche prise. Je me laisse aller. Tous mes sens sont à fleur de peau. Je m'abandonne. Je suis toute à lui. C'est l'effet que me fait Yves…
C'est le chauffeur qui nous signale que nous sommes arrivés. Je sors de ma torpeur et je vois l'homme, l'œil égrillard qui me mate avec un large sourire. Des images qui égayeront le reste de sa soirée.
Nous sortons du taxi. La porte du restaurant est face à nous. Un petit bouchon dans le quartier de Saint Paul (tiens, une petite pensée pour mon mari que j'ai abandonné). La salle du restaurant est petite. Elle est bondée. Je ne vois pas de place. Yves me fait signe d'avancer et me dirige vers un petit escalier en bois. Notre table est au premier. J'imagine déjà la vue qu'auront les clients assis sous l'escalier. Ma jupette ne va pas cacher grand-chose…
Nous sommes près d'une fenêtre. La vue est superbe. La table est carrée. Nos couverts sont placés côte à côte et non face à face. C'est plus intime. Je suis sûre que c'est Yves qui a souhaité cela. Mon amant commande un Chablis. Il choisit les plats pour nous deux. Il est gourmand. C'est son côté féminin. Si si. Il n'est pas cent pour cent macho. Il a une part féminine développée que j'aime.
A ce moment, il est tendre. Il me tient la main. Je sens sa cuisse contre la mienne. Je me sens bien. Le Chablis est servi. Il est bien frais. C'est notre vin. Nous trinquons à notre amour. Le premier verre m'étourdit un peu : la fatigue du voyage, les émotions, … Nous reprenons nos bavardages. Nous parlons de nos enfants, des relations avec nos époux respectifs, de nos aventures… Nous avons une relation privilégiée et insouciante. Nous nous connaissons bien et ne sommes ensemble que pour le plaisir. Nous sommes conscients de notre chance.
Une fois l'entrée servie, Yves pose sa main sur ma joue et m'embrasse pour me souhaiter un bon appétit, puis sa main descend pour défaire deux boutons de mon chemisier en soie. Comme si celui-ci n'était pas suffisamment transparent. Quel coquin !!! Il sait que je suis une marionnette entre ses mains. Je ne peux rien lui refuser. Je me sens bien. Je me sens femme. Je suis bien dans mon corps. Je suis heureuse de plaire et de satisfaire mon amant.
Tandis que nous mangeons, Yves pose régulièrement sa main sur ma cuisse pour remonter au-delà de la lisière des bas. Il exulte. Je suis fière de lui donner ce plaisir. L'entrée terminée, et en attendant le plat principal, Yves reprend ma main, mais cette fois, c'est pour la poser sur sa braguette. Son sexe est dur. Je me sens encore davantage femme. Je suis fière du pouvoir d'excitation que je provoque ainsi chez mon amant. La vie est courte et là, je bénéficie de vitamines essentielles pour mon organisme.
Lorsque le serveur revient pour nous apporter le plat principal nous remettons sagement nos mains sur la table. Le garçon prend son temps pour me servir et pour mettre en scène la spécialité du restaurant. Je vois surtout qu'il louche sur mon décolleté qui ne cache pas grand-chose de ma poitrine… Une fois parti, nous éclatons de rire.
Rire, jouir, donner, recevoir, … Que du bonheur…. La vie m'a épargnée jusqu'à présent et je ne sais pas ce que me réserve l'avenir.
Notre repas se termine. Nous sommes pressés de retourner à notre appartement. Je redescends avec précaution avec ma jupe qui ne cache pas grand-chose de mon intimité et mon chemisier que mon "maître" m'a ordonné de laisser ouvert. Je prends conscience que le brouhaha baisse d'intensité et que je deviens le centre d'attention de nombreux clients de ce bouchon. Et alors ? Je suis fière de plaire à mon maître…
Un taxi nous attend devant la porte. Yves est plus sage cette fois. C'est moi qui m'amuse un peu avec le chauffeur pour exciter Yves qui a sorti son téléphone pour me filmer. Je n'ai pas refermé les boutons de mon chemisier. Celui-ci ne cache rien de ma poitrine. Nonchalamment, je remonte ma jupe et écarte mes cuisses. Yves et le chauffeur semblent enchantés. Je rie aux éclats … Le Chablis, Yves, je ne sais pas, mais je m'amuse. Les hommes sont si prévisibles….
Nous arrivons. Nous sortons de la voiture. Le chauffeur tarde à repartir. Il me regarde. Yves, le coquin, soulève ma jupe pour lui montrer mes fesses nues. Un coup de klaxon, et voilà le taxi qui s'en va.
Nous rions encore, satisfaits de l'exhibition offerte au chauffeur. Enfin, nous sommes dans l'appartement. J'envoie un message à Paul pour le rassurer. Yves fait de même avec ses dernières images : "Ta femme est trop sexy. Merci de la partager mon frère !!!". Il prépare son appareil photo qu'il pose sur la commode qui est sur le côté du lit.
Une douche rapide et après avoir déclenché l'appareil, nous voilà enlacés dans le lit.
Yves entreprend de me couvrir de caresses et de baisers. Je me laisse aller. C'est magique. Ses mains et ses doigts m'endiablent, me transportent. Mon corps entier n'est qu'un sexe, qu'un clitoris. Plusieurs vagues de plaisir m'emportent jusqu'à ce qu'une, plus grosse, m'emporte totalement. Je me contracte. Je crie, je pleure, "Ouiiiiii, je jouiiiiiiis…". Mon amant ralentit ses caresses, puis s'arrête quelques secondes. J'ai à peine le temps de reprendre conscience, que ce coquin s'attaque à nouveau sur mon clitoris qui explose une nouvelle fois. C'en est trop. Je capitule. Je suis sans force.
Yves affiche un large sourire radieux, le salaud. Comment fait-il ? Sa main est toujours sur mon sexe. Ses doigts pénètrent ma vulve trempée. Rassuré, il vient sur moi et me pénètre. Sa large queue m'ouvre en deux. Il s'enfonce délicatement, mais profondément. Je m'abandonne totalement à mon amant.
Une fois bien en place, mon maître commence ses allers et retours. Lentement, puis il accélère. Il est trop gros. Il me défonce… Je crie de douleur et de plaisir à la fois. "Encore… Ouiiiii… Encore…. Ne t'arrête pas. J'aime ta grosse queue. Gros pédé". Mes mots semblent l'exciter encore davantage. Je secoue ma tête de gauche à droite. "Ouiiii. Encore. T'es qu'une pédale". Mes gros seins ballotent au rythme des coups de boutoir de mon amant. Je tente de les tenir, mais le coquin m'en empêche car il adore ça. Je perds pied à nouveau. Je sens mon plaisir m'envahir. Je me crispe. Mon corps se tend. Je jouiiiiiiiiiiii. "Ouiiiiiiiiii… Lâche-moi ta purée. Remplis moi de ton foutre mon salaud !!!!!". Yves ne peut se retenir et je sens son corps se raidir. Un grand cri de bucheron sort de sa bouche "Ahhhh. Ouiiii. Prends tout salope !!!!!". Plusieurs jets chauds me remplissent la chatte. Je me raidis à mon tour pour un dernier orgasme dévastateur.
Yves s'écroule sur moi. Il m'écrase. J'adore sentir le poids de mon amant après l'amour. Il m'embrasse et roule sur le côté, épuisé. Il me tient la main. J'aime ses démonstrations de tendresse. Il se lève pour arrêter son appareil photo. Il revient au lit avec une bouteille d'eau et des kleenex. Je m'endors avec plein d'étoiles dans la tête et de papillons dans le ventre. Que du bonheur !!!!
Sept heures, le réveil sonne. Yves se lève prestement et va dans la salle de bain. Son animation débute à 9h30. Je m'étire et repense à ma soirée d'hier. Un large sourire illumine mon visage. Quand je me lève, je sens du sperme qui coule le long de mes cuisses. C'est vrai que le coquin m'avait bien remplie. Avec un doigt, je recueille sa crème et la porte à ma bouche. "Hummm. J'adore…". Au même instant, Yves sort de la douche en s'essuyant avec sa serviette. Me voyant sourire, Il me regarde d'un air interrogatif…. Je lui confie l'objet de ma gaieté et prends la place dans la salle de bain. Quand je sors, une bonne odeur de café me saisit les narines. Yves avait tout prévu. Il est parfait !!!! Je fais beaucoup rire Paul quand je dis ça, mais je le pense.
Yves est affairé. Il est nu. Je l'observe avec envie. Il me regarde l'air satisfait.
- Allez, viens le petit déjeuner est prêt. Si on arrive à ne pas trop traîner, je pourrais peut-être te faire une surprise.
Nus, tous les deux nous déjeunons. Nous revisitons notre soirée avec plaisir. Yves prend quelques photos pour Paul.
- Que vas-tu faire de ta journée ? Qu'as-tu prévu ?
- Je ne sais pas encore, je veux profiter de la belle journée qui s'annonce, flâner sans but, faire les magasins. J'ai prévu d'aller au musée des Confluences et faire un tour au parc de la tête d'or pour visiter son jardin botanique et ses serres tropicales. Il me semble que le musée est fermé le lundi. Ne t'inquiète pas pour moi.
Yves commence à débarrasser.
- Laisse. Je m'en occuperai après. Je ne voudrais pas que tu sois en retard.
- Ne t'inquiète pas. Je gère. Ma réunion se déroule près d'ici.
- Je t'avais promis une petite surprise. Allonge-toi sur le lit.
Il installe son appareil photo, le déclenche, puis vient me rejoindre. Son sexe, conquérant, est dressé. Mon amant se met à genoux et vient placer son visage entre mes cuisses que je lève et écarte pour m'offrir à lui. Ses mains empoignent fermement mes seins. Je sens sa bouche contre ma vulve déjà trempée. Il m'embrasse, me mordille. Sa langue impétueuse joue avec bon bouton gonflé. Mes mains tiennent sa tête que j'appuie pour un contact plus fort avec mon sexe. Ma tête va de droite à gauche. Je me mordille les lèvres. Sa bouche, ses dents, sa langue m'endiablent totalement. Je perds pied. Une bouffée de chaleur envahit mon corps. Je sens la jouissance qui arrive : "Ouiiiii. Encore. Ne t'arrête pas. Ouiiiiiiiii. Oui. Oui. Ouiiiiiiii". Une vague de plaisir, plus forte, plus puissante m'emporte. Je me crispe. "Ahhhhh." Je serre mes cuisses à en étouffer mon amant…. Et puis, d'un coup, la tension retombe… Quelle jouissance !!! Comment fait-il ? Je me cambre, lève la tête pour voir mon amant dont le visage, tout rouge, est barbouillé de mouille. Il me regarde avec un large sourire, satisfait de sa prestation, puis se redresse, sa queue toujours au garde à vous. À moi de jouer.
Toujours allongée, je me tourne, avec ma tête en arrière au bord du lit. Ma bouche est grande ouverte. Yves se penche, prend appui sur le lit et enfonce délicatement sa verge dans ma gorge. Je sais que c'est une de ses positions préférées. Il va ainsi baiser ma bouche. Il peut glisser sa queue profondément dans ma gorge. Ce n'est jamais gagné. Il doit trouver la bonne position de sa verge et s'enfoncer progressivement avant d'entamer ses va et vient… Je sens sa queue énorme remplir totalement ma bouche. Mes dents touchent son pieu. Son gland est gonflé à son maximum. Yves prend son temps. Il ressort et me laisse reprendre ma respiration. Sa queue est luisante de ma bave qui fait un fil avec ma bouche. Il revient et envahit à nouveau ma gorge. Mon amant entame lentement ses aller et retours, puis accélère, mais avec mesure car sinon je ne pourrais pas le supporter. Je sens ses couilles qui viennent buter sur mon nez. Ça y est. Il me baise la bouche comme il peut le faire avec mon sexe. Il ahane, il alète, il se contrôle. Je suis ravie de pouvoir lui offrir cette gâterie. Mes doigts astiquent mon clitoris. Mon plaisir revient. Je sens. Il est proche. Ça y est…. "Ouiiiiiiii" Yves aussi l'a senti. Son gland grossit et un "Rahhhh" accompagne son éjaculation. Plusieurs jets inondent ma gorge. Je tente de le retenir au maximum de mes capacités respiratoires, puis, je me retourne pour finir d'avaler sa semence et lécher son gland pour notre plus grand plaisir.
Yves, tout heureux de ma gâterie, se baisse pour m'embrasser tendrement.
Prestement, il se lève, arrête l'appareil photo, et retourne dans la salle de bain pour reprendre une douche rapide, se laver les dents et s'habiller.
Qu'il est beau !!!! J'ai une petite pointe de jalousie en pensant à toutes les femmes qu'il va côtoyer aujourd'hui….
Une fois parti, je m'assois confortablement dans le lit et prends mon iPad. C'est le moment de lire les nouvelles, et surtout d'envoyer un compte-rendu détaillé à Paul.
- Cela fait trop longtemps que je ne t'ai pas vue. J'ai eu Paul au téléphone cet après-midi et il est d'accord pour que tu viennes me retrouver. J'ai hâte de voir ma soumise. J'arriverai à Lyon dimanche soir. Je t'enverrai les coordonnées de ma chambre par sms. Sois en forme, car, de mon côté, je suis à bloc.
Comme vous avez pu le découvrir dans mes récits précédents, Paul, mon mari est adepte du candaulisme. Je suis totalement libre d'aller voir d'autres hommes ou des femmes. Il m'y encourage, même. Seule condition, je dois tout lui raconter, et autant que faire se peut, lui envoyer des photos et des vidéos en situation. Cela ne me dispense pas de tout lui raconter avec force détails, pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Mes infidélités alimentent sa libido.
Yves, excité par avance par nos retrouvailles, m'inonda de messages chaleureux et très chauds. Il me fit une liste non exhaustive des affaires que je devais prendre, de la tenue que devais mettre pour le rejoindre dans sa chambre d'hôtel, etc. C'est dingue, il arrivait toujours à me mettre la pression. Je me sentais comme une petite fille avec lui. Allez comprendre !!!!
Il me fit parvenir toutes les informations pratiques. Le TGV m'amenait de Montpellier à Lyon Part Dieu. Yves avait loué un superbe appartement qui se trouvait à moins de cinq cents mètres de la gare.
Si mon amant était excité, je dois avouer que, de penser à nos retrouvailles, j'étais déjà trempée. Je me souviens des moments que nous avions passés ensemble. Chaque fois, Yves me surprenait et me faisait grimper aux rideaux. Et je ne pouvais rien lui refuser. Je sentais parfois Paul un peu jaloux de ma soumission.
Le soir venu, je me blottis contre Paul et nous parlâmes de notre ami. Paul me poussa à revenir sur certains moments très chauds. Tout en les relatant, je caressais le sexe de Paul durci par l'excitation. Nous fîmes l'amour passionnément. Paul aimait m'entendre dire des mots crus. J'en jouais bien volontiers.
- Alors ? Tu vas revoir ton maître ?
- Oui !!! Je vais me soumettre à tous ses désirs.
- Il va te prendre par le cul ?
- Oui !!! Il va me défoncer la rondelle. Je vais vider les couilles de ton copain.
- Tu aimes ça ?
- Oui !!!! J'adore boire sa crème.
C'en était déjà trop pour Paul qui se vida en moi avec un grand cri de jouissance. Je sentis ses jets me remplir.
- Je compte sur toi pour m'envoyer des images et pour tout me raconter.
- Oui mon amour…
Le lendemain, je réservais mon billet de train. Je commençais à regarder ce que j'allais mettre pour mon amant. Je connaissais ses goûts, pas toujours raffinés. Si je le laissais faire, il me voudrait habillée en pute pour sortir. Ce n'est pas mon style, mais je ne pouvais rien lui refuser.
Je fis un tour chez le coiffeur et chez mon épilatrice. Je voulais être belle pour mon amant. De retour à la maison, je lui envoyais quelques photos de mon sexe intégralement épilé. Il me répondit peu de temps après avec une photo de son sexe en gros plan. Une queue toujours aussi impressionnante dont je ne me lassais pas quand j'étais avec lui. La photo était accompagnée d'un petit commentaire.
- Tu voyageras avec ta petite jupette noire que j'aime bien et de ton chemisier blanc en soie. Pas de sous-vêtements. Des bas et des chaussures à talons. J'ai hâte de te prendre par tous les trous !!!
Yves est comme cela quand il est en rut. Autant il peut être raffiné, avec son côté un peu féminin, autant il devient macho dès qu'il s'agit de sexe. Il me fait peur, et en même temps, il m'excite. Il le sait, le coquin, et il en joue pour me soumettre à ses quatre volontés.
Le lendemain, nous sommes déjà dimanche. C'est le grand jour pour nous trois. Paul m'accompagne à la gare. Il me photographie sur le quai avant que je monte dans le TGV pour envoyer les photos à son ami afin qu'il vérifie que je suis bien habillée comme il l'a demandé. Nous nous enlaçons et nous embrassons comme deux gamins et, me voilà monter dans ma voiture de première classe. Cette fois, j'ai opté pour une place solo afin de voyager tranquillement et préparer mentalement mon arrivée et mon séjour avec Yves.
C'est chaque fois pareil. Je m'y suis bien habituée maintenant. Je dois lever les bras pour placer ma valise au-dessus de mon siège, et…. Comme d'habitude, ma jupette remonte immanquablement et laisse apparaitre mes bas et une partie de mes fesses. Je fais comme si rien n'était. Je sens de nombreux regards fixés sur moi. Je m'assois, prends mon iPad, ma bouteille d'eau et m'installe confortablement.
Paul tape à la vitre. Le train commence à avancer. Nous nous disons au-revoir avec nos mains.
Eh bien voilà, je suis en route pour Lyon afin de retrouver mon amant. Au-delà du plaisir de retrouver Yves et les multiples jouissances qu'il va me donner, je pense également à la satisfaction de me promener dans cette jolie ville, où flâner est si agréable en cette période printanière.
Je prends ma tablette et entame ma lecture. Je m'aperçois que je manque d'attention, que je suis obligée de revenir plusieurs fois à la même ligne. Mon esprit vagabonde. Je rêve que je suis déjà dans les bras de mon amant. Je me rappelle son corps, ses mains, ses baisers fougueux qui me font perdre la tête, ses doigts qui endiablent mes tétons à m'en faire jouir, ses tapes sur mes fesses qui précèdent ses douces caresses, … Perdue dans mes pensées, je glisse une main entre mes cuisses pour atteindre mon bouton durci d'excitation. Une seule pression me fait jouir… Je ferme les yeux et me laisse aller, accompagnée du bruit lancinant des roues du train sur les rails.
Quand j'ouvre les yeux, je vois un jeune homme, pile en face de mon entrejambe. Il me sourit. Il semble avoir compris ce qui venait de se passer. Je lui souris en retour. Je dégage ma main d'entre mes cuisses pour porter un doigt humide à ma bouche. Le jeune homme parait être ravi de mon indécence. Je le laisse à ses pensées pour reprendre mon iPad.
Lorsque nous arrivons à la gare de Valence, je range mon iPad pour regarder les passagers qui descendent et ceux qui montent. Une fois le TGV reparti, je me lève pour aller au bar prendre un café. Je pense que la nuit sera longue. Une fois servie, je m'aperçois que le jeune homme est attablé à mon côté. Nous nous sourions. J'entame la conversation.
- Vous allez à Lyon ?
- Oui, je viens de finir un stage à Montpellier et je retourne chez moi me reposer avant de commencer mon nouveau travail.
- Dans quelle branche êtes-vous ?
- Je travaille dans le milieu pharmaceutique.
- Si vous êtes de Lyon, vous allez pouvoir m'indiquer quelques bons plans. J'ai décidé de prendre un peu de temps pour moi afin de découvrir un peu plus en profondeur cette ville que j'ai toujours visitée en coup de vent.
- Ce sera avec grand plaisir. Je vous donne mon numéro de téléphone. N'hésitez pas.
Il appuie sa dernière phrase en posant sa main sur la mienne. Je lui souris.
- Qui sait ? La vie est faite d'imprévus. J'adore les belles surprises de la vie.
Sur ce, je pris sa carte et m'en retourne à ma place. Je veux me refaire une beauté avant d'arriver. Nous n'allons plus tarder.
Une quinzaine de minutes plus tard, le contrôleur annonce notre arrivée prochaine à Lyon La Part Dieu. Je commence à ranger mes affaires avant de me lever pour attraper ma valise. Le jeune homme se précipite pour m'aider. Il en profite pour se serrer contre moi. La bosse que je sens dans son pantalon, ne me laisse pas indifférente et peut laisser présager une aventure intéressante.
Je fais demi-tour pour me trouver face à lui. Au passage, ma main lui caresse son érection. Je lui fais un grand sourire.
La rame s'arrête et nous commençons à descendre. Mes pieds ont à peine touchés le quai qu'une main puissante m'attrape. C'est Yves qui m'attend, impatient. Il prend ma valise et m'entraine à l'écart de la foule, puis m'enlace et m'embrasse. Sa langue impétueuse fouille ma bouche et s'enroule autour de la mienne. Une main commence déjà à me palper les fesses. Ma jupe courte étant un rempart limité à ses caresses… Nous sommes inconnus dans cette ville où tout peut m'arriver sans crainte.
Yves attrape son téléphone et prend quelques photos qu'il envoie à Paul avec le commentaire suivant : "Ça y est, ta salope est arrivée. Je vais bien m'en occuper comme tu peux l'imaginer. Bizzzz".
Yves reprend ma main et me dirige vers un ascenseur pour aller au parking.
- Pourquoi allons-nous au parking ? Tu n'as pas de voiture.
- Ne pose pas de question. Tu me suis. Cela fait trop longtemps que je n'ai pas vu. J'ai envie de toi, là, maintenant.
Nous rentrons dans l'ascenseur. Les parois sont vitrées. Cela ne semble pas gêner Yves qui m'embrasse et caresse mes fesses nues.
- Rahhh. Tu es trop bonne ma soumise. J'ai trop envie de toi. Tâte ma queue.
- Wahouuu…
Sa bite est dure et énorme. J'avais oublié.
- Oui, moi aussi tu m'as manquée. Allons vite à l'hôtel.
- Il n'en est pas question. Je veux que tu me vides les couilles maintenant.
L'ascenseur s'arrête au dernier étage. Yves prend ma valise et nous voilà à chercher un coin tranquille.
- Là, ça ira très bien.
Il ouvre brusquement mon chemisier en soie et reste quelques secondes à me mater la poitrine. Puis, rapidement, il me malaxe les seins et maltraite mes tétons durcis de désir. Sa main descend pour venir fouiller ma vulve trempée.
- Ouiiiiii. Continue…
En très peu de temps, je sens mon plaisir grimper. Une vague de jouissance m'emporte. Je me crispe et je serre les lèvres pour ne pas crier mon plaisir si intense, si fort. J'avais oublié l'effet que me faisait mon amant. Je n'ai pas le temps de récupérer, et tandis qu'il sort son téléphone pour filmer, il m'ordonne :
- Allez, vas-y, accroupis-toi. Sors ma queue et suce-moi.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Sa queue est encore plus grosse que dans mon souvenir. Ses couilles sont dures.
Je prends délicatement son gland dans ma bouche et le lèche à petits coups de langue. J'ai une main qui tient fermement son pieu, tandis que l'autre, en coupelle, tient ses couilles.
Yves est tendu. Je sens qu'il n'est pas très loin de la jouissance lui non plus, excité comme il est.
Tandis que ma main branle sa queue, je tente d'avaler celle-ci le plus loin possible dans ma gorge. Il adore ça le coquin. Je le branle avec ma gorge et ma main et je malaxe ses bourses en même temps. J'entends mon amant grogner. Il tente de forcer encore davantage ma gorge. Je manque de m'étouffer. Ahhh le coquin ! J'accélère le mouvement et glisse mon majeur dans son cul. Cette dernière action est décisive.
- Ahhhh. Salope. Tu me tues. Rahhhhh.
Son gland grossit encore et plusieurs jets de sperme envahissent ma bouche. J'ai l'impression que cela ne va jamais s'arrêter. Je m'étouffe. Yves m'impressionne toujours autant. Je ne sais pas comment il fait….
J'ai besoin de plusieurs déglutitions pour avaler toute sa crème. Je m'en régale. Je m'applique à bien tout lécher. Je ne veux pas perdre une goutte de son nectar. Et, je me relève en prenant soin de mettre un peu d'ordre dans ma tenue.
Yves, satisfait, range son téléphone et m'embrasse passionnément. Sa langue envahit ma bouche. Elle s'enroule autour de la mienne. Je me sens encore mouiller. Comme j'ai l'habitude de dire à Paul, Yves a une bouche à baisers.
Quand il se décolle de moi, je suis totalement ébranlée. Mes jambes flageolent. Yves s'en aperçoit et me retient en me prenant dans ses bras.
- Merci ma belle d'être venue. Si tu savais comme tu m'as manquée.
Nous sortons du parking, plus légers, notre appartement est à une dizaine de minutes à pied.
Yves fait rouler ma valise et me tient par la taille contre lui. Nous bavardons. Nous reprenons contact. Nous ne nous sommes pas revus depuis près de six mois et nous avons du temps à rattraper.
L'appartement est magnifique. Nous prenons quelques minutes pour nous rafraichir. Je range mes affaires dans la penderie. Pendant ce temps, Yves envoie la vidéo du parking à Paul avec un commentaire : "Éva est une suceuse hors pair. Elle a été impatiente de retrouver ma grosse queue et de me vider les couilles".
Ensuite, Il appelle un taxi pour rejoindre le restaurant.
Nous descendons. Le taxi est déjà là. Nous montons. Yves donne l'adresse au chauffeur et nous démarrons. J'aime parcourir les rues de la capitale des Gaules. En parlant de gaule, je vois qu'il y en a un à côté qui est encore excité. Le regard d'Yves est plutôt dirigé sur mes jambes et mes seins. Je me sens rosir. Sa main parcoure et dénude mes cuisses. Il m'attire vers lui pour m'embrasser. Sa bouche me dévore, elle me possède. Sa langue s'enroule autour de la mienne. J'imagine que le chauffeur regarde davantage son rétroviseur que la route devant lui….
Je lâche prise. Je me laisse aller. Tous mes sens sont à fleur de peau. Je m'abandonne. Je suis toute à lui. C'est l'effet que me fait Yves…
C'est le chauffeur qui nous signale que nous sommes arrivés. Je sors de ma torpeur et je vois l'homme, l'œil égrillard qui me mate avec un large sourire. Des images qui égayeront le reste de sa soirée.
Nous sortons du taxi. La porte du restaurant est face à nous. Un petit bouchon dans le quartier de Saint Paul (tiens, une petite pensée pour mon mari que j'ai abandonné). La salle du restaurant est petite. Elle est bondée. Je ne vois pas de place. Yves me fait signe d'avancer et me dirige vers un petit escalier en bois. Notre table est au premier. J'imagine déjà la vue qu'auront les clients assis sous l'escalier. Ma jupette ne va pas cacher grand-chose…
Nous sommes près d'une fenêtre. La vue est superbe. La table est carrée. Nos couverts sont placés côte à côte et non face à face. C'est plus intime. Je suis sûre que c'est Yves qui a souhaité cela. Mon amant commande un Chablis. Il choisit les plats pour nous deux. Il est gourmand. C'est son côté féminin. Si si. Il n'est pas cent pour cent macho. Il a une part féminine développée que j'aime.
A ce moment, il est tendre. Il me tient la main. Je sens sa cuisse contre la mienne. Je me sens bien. Le Chablis est servi. Il est bien frais. C'est notre vin. Nous trinquons à notre amour. Le premier verre m'étourdit un peu : la fatigue du voyage, les émotions, … Nous reprenons nos bavardages. Nous parlons de nos enfants, des relations avec nos époux respectifs, de nos aventures… Nous avons une relation privilégiée et insouciante. Nous nous connaissons bien et ne sommes ensemble que pour le plaisir. Nous sommes conscients de notre chance.
Une fois l'entrée servie, Yves pose sa main sur ma joue et m'embrasse pour me souhaiter un bon appétit, puis sa main descend pour défaire deux boutons de mon chemisier en soie. Comme si celui-ci n'était pas suffisamment transparent. Quel coquin !!! Il sait que je suis une marionnette entre ses mains. Je ne peux rien lui refuser. Je me sens bien. Je me sens femme. Je suis bien dans mon corps. Je suis heureuse de plaire et de satisfaire mon amant.
Tandis que nous mangeons, Yves pose régulièrement sa main sur ma cuisse pour remonter au-delà de la lisière des bas. Il exulte. Je suis fière de lui donner ce plaisir. L'entrée terminée, et en attendant le plat principal, Yves reprend ma main, mais cette fois, c'est pour la poser sur sa braguette. Son sexe est dur. Je me sens encore davantage femme. Je suis fière du pouvoir d'excitation que je provoque ainsi chez mon amant. La vie est courte et là, je bénéficie de vitamines essentielles pour mon organisme.
Lorsque le serveur revient pour nous apporter le plat principal nous remettons sagement nos mains sur la table. Le garçon prend son temps pour me servir et pour mettre en scène la spécialité du restaurant. Je vois surtout qu'il louche sur mon décolleté qui ne cache pas grand-chose de ma poitrine… Une fois parti, nous éclatons de rire.
Rire, jouir, donner, recevoir, … Que du bonheur…. La vie m'a épargnée jusqu'à présent et je ne sais pas ce que me réserve l'avenir.
Notre repas se termine. Nous sommes pressés de retourner à notre appartement. Je redescends avec précaution avec ma jupe qui ne cache pas grand-chose de mon intimité et mon chemisier que mon "maître" m'a ordonné de laisser ouvert. Je prends conscience que le brouhaha baisse d'intensité et que je deviens le centre d'attention de nombreux clients de ce bouchon. Et alors ? Je suis fière de plaire à mon maître…
Un taxi nous attend devant la porte. Yves est plus sage cette fois. C'est moi qui m'amuse un peu avec le chauffeur pour exciter Yves qui a sorti son téléphone pour me filmer. Je n'ai pas refermé les boutons de mon chemisier. Celui-ci ne cache rien de ma poitrine. Nonchalamment, je remonte ma jupe et écarte mes cuisses. Yves et le chauffeur semblent enchantés. Je rie aux éclats … Le Chablis, Yves, je ne sais pas, mais je m'amuse. Les hommes sont si prévisibles….
Nous arrivons. Nous sortons de la voiture. Le chauffeur tarde à repartir. Il me regarde. Yves, le coquin, soulève ma jupe pour lui montrer mes fesses nues. Un coup de klaxon, et voilà le taxi qui s'en va.
Nous rions encore, satisfaits de l'exhibition offerte au chauffeur. Enfin, nous sommes dans l'appartement. J'envoie un message à Paul pour le rassurer. Yves fait de même avec ses dernières images : "Ta femme est trop sexy. Merci de la partager mon frère !!!". Il prépare son appareil photo qu'il pose sur la commode qui est sur le côté du lit.
Une douche rapide et après avoir déclenché l'appareil, nous voilà enlacés dans le lit.
Yves entreprend de me couvrir de caresses et de baisers. Je me laisse aller. C'est magique. Ses mains et ses doigts m'endiablent, me transportent. Mon corps entier n'est qu'un sexe, qu'un clitoris. Plusieurs vagues de plaisir m'emportent jusqu'à ce qu'une, plus grosse, m'emporte totalement. Je me contracte. Je crie, je pleure, "Ouiiiiii, je jouiiiiiiis…". Mon amant ralentit ses caresses, puis s'arrête quelques secondes. J'ai à peine le temps de reprendre conscience, que ce coquin s'attaque à nouveau sur mon clitoris qui explose une nouvelle fois. C'en est trop. Je capitule. Je suis sans force.
Yves affiche un large sourire radieux, le salaud. Comment fait-il ? Sa main est toujours sur mon sexe. Ses doigts pénètrent ma vulve trempée. Rassuré, il vient sur moi et me pénètre. Sa large queue m'ouvre en deux. Il s'enfonce délicatement, mais profondément. Je m'abandonne totalement à mon amant.
Une fois bien en place, mon maître commence ses allers et retours. Lentement, puis il accélère. Il est trop gros. Il me défonce… Je crie de douleur et de plaisir à la fois. "Encore… Ouiiiii… Encore…. Ne t'arrête pas. J'aime ta grosse queue. Gros pédé". Mes mots semblent l'exciter encore davantage. Je secoue ma tête de gauche à droite. "Ouiiii. Encore. T'es qu'une pédale". Mes gros seins ballotent au rythme des coups de boutoir de mon amant. Je tente de les tenir, mais le coquin m'en empêche car il adore ça. Je perds pied à nouveau. Je sens mon plaisir m'envahir. Je me crispe. Mon corps se tend. Je jouiiiiiiiiiiii. "Ouiiiiiiiiii… Lâche-moi ta purée. Remplis moi de ton foutre mon salaud !!!!!". Yves ne peut se retenir et je sens son corps se raidir. Un grand cri de bucheron sort de sa bouche "Ahhhh. Ouiiii. Prends tout salope !!!!!". Plusieurs jets chauds me remplissent la chatte. Je me raidis à mon tour pour un dernier orgasme dévastateur.
Yves s'écroule sur moi. Il m'écrase. J'adore sentir le poids de mon amant après l'amour. Il m'embrasse et roule sur le côté, épuisé. Il me tient la main. J'aime ses démonstrations de tendresse. Il se lève pour arrêter son appareil photo. Il revient au lit avec une bouteille d'eau et des kleenex. Je m'endors avec plein d'étoiles dans la tête et de papillons dans le ventre. Que du bonheur !!!!
Sept heures, le réveil sonne. Yves se lève prestement et va dans la salle de bain. Son animation débute à 9h30. Je m'étire et repense à ma soirée d'hier. Un large sourire illumine mon visage. Quand je me lève, je sens du sperme qui coule le long de mes cuisses. C'est vrai que le coquin m'avait bien remplie. Avec un doigt, je recueille sa crème et la porte à ma bouche. "Hummm. J'adore…". Au même instant, Yves sort de la douche en s'essuyant avec sa serviette. Me voyant sourire, Il me regarde d'un air interrogatif…. Je lui confie l'objet de ma gaieté et prends la place dans la salle de bain. Quand je sors, une bonne odeur de café me saisit les narines. Yves avait tout prévu. Il est parfait !!!! Je fais beaucoup rire Paul quand je dis ça, mais je le pense.
Yves est affairé. Il est nu. Je l'observe avec envie. Il me regarde l'air satisfait.
- Allez, viens le petit déjeuner est prêt. Si on arrive à ne pas trop traîner, je pourrais peut-être te faire une surprise.
Nus, tous les deux nous déjeunons. Nous revisitons notre soirée avec plaisir. Yves prend quelques photos pour Paul.
- Que vas-tu faire de ta journée ? Qu'as-tu prévu ?
- Je ne sais pas encore, je veux profiter de la belle journée qui s'annonce, flâner sans but, faire les magasins. J'ai prévu d'aller au musée des Confluences et faire un tour au parc de la tête d'or pour visiter son jardin botanique et ses serres tropicales. Il me semble que le musée est fermé le lundi. Ne t'inquiète pas pour moi.
Yves commence à débarrasser.
- Laisse. Je m'en occuperai après. Je ne voudrais pas que tu sois en retard.
- Ne t'inquiète pas. Je gère. Ma réunion se déroule près d'ici.
- Je t'avais promis une petite surprise. Allonge-toi sur le lit.
Il installe son appareil photo, le déclenche, puis vient me rejoindre. Son sexe, conquérant, est dressé. Mon amant se met à genoux et vient placer son visage entre mes cuisses que je lève et écarte pour m'offrir à lui. Ses mains empoignent fermement mes seins. Je sens sa bouche contre ma vulve déjà trempée. Il m'embrasse, me mordille. Sa langue impétueuse joue avec bon bouton gonflé. Mes mains tiennent sa tête que j'appuie pour un contact plus fort avec mon sexe. Ma tête va de droite à gauche. Je me mordille les lèvres. Sa bouche, ses dents, sa langue m'endiablent totalement. Je perds pied. Une bouffée de chaleur envahit mon corps. Je sens la jouissance qui arrive : "Ouiiiii. Encore. Ne t'arrête pas. Ouiiiiiiiii. Oui. Oui. Ouiiiiiiii". Une vague de plaisir, plus forte, plus puissante m'emporte. Je me crispe. "Ahhhhh." Je serre mes cuisses à en étouffer mon amant…. Et puis, d'un coup, la tension retombe… Quelle jouissance !!! Comment fait-il ? Je me cambre, lève la tête pour voir mon amant dont le visage, tout rouge, est barbouillé de mouille. Il me regarde avec un large sourire, satisfait de sa prestation, puis se redresse, sa queue toujours au garde à vous. À moi de jouer.
Toujours allongée, je me tourne, avec ma tête en arrière au bord du lit. Ma bouche est grande ouverte. Yves se penche, prend appui sur le lit et enfonce délicatement sa verge dans ma gorge. Je sais que c'est une de ses positions préférées. Il va ainsi baiser ma bouche. Il peut glisser sa queue profondément dans ma gorge. Ce n'est jamais gagné. Il doit trouver la bonne position de sa verge et s'enfoncer progressivement avant d'entamer ses va et vient… Je sens sa queue énorme remplir totalement ma bouche. Mes dents touchent son pieu. Son gland est gonflé à son maximum. Yves prend son temps. Il ressort et me laisse reprendre ma respiration. Sa queue est luisante de ma bave qui fait un fil avec ma bouche. Il revient et envahit à nouveau ma gorge. Mon amant entame lentement ses aller et retours, puis accélère, mais avec mesure car sinon je ne pourrais pas le supporter. Je sens ses couilles qui viennent buter sur mon nez. Ça y est. Il me baise la bouche comme il peut le faire avec mon sexe. Il ahane, il alète, il se contrôle. Je suis ravie de pouvoir lui offrir cette gâterie. Mes doigts astiquent mon clitoris. Mon plaisir revient. Je sens. Il est proche. Ça y est…. "Ouiiiiiiii" Yves aussi l'a senti. Son gland grossit et un "Rahhhh" accompagne son éjaculation. Plusieurs jets inondent ma gorge. Je tente de le retenir au maximum de mes capacités respiratoires, puis, je me retourne pour finir d'avaler sa semence et lécher son gland pour notre plus grand plaisir.
Yves, tout heureux de ma gâterie, se baisse pour m'embrasser tendrement.
Prestement, il se lève, arrête l'appareil photo, et retourne dans la salle de bain pour reprendre une douche rapide, se laver les dents et s'habiller.
Qu'il est beau !!!! J'ai une petite pointe de jalousie en pensant à toutes les femmes qu'il va côtoyer aujourd'hui….
Une fois parti, je m'assois confortablement dans le lit et prends mon iPad. C'est le moment de lire les nouvelles, et surtout d'envoyer un compte-rendu détaillé à Paul.
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