EVA se décide pour des godes
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2012 dans la catégorie Plus on est
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EVA se décide pour des godes
Après un week-end torride avec Eva, et sa promesse de se revoir, je la rappelle dès le
lundi avant qu'elle ne change d'avis. J'obtiens que l'on se revoit chez moi le soir
même. On se met à l'aise pour échanger des caresses, et plus puisque affinité. Je me
connecte à internet, et lui fait une démonstration de godes: vidéos très chaudes où
des femmes se godent, seules ou à deux, et puis revue de catalogues spécialisés. On
est maintenant à poil tous les deux, et je sais à la façon dont elle m'astique le
manche, à la facilité avec laquelle mes doigts coulissent dans son huître, que tous
ces joujoux la tentent.
Elle est d'accord pour que je lui en offre, mais veut les commander sur le net. Je
fréquente un sex-shop, avec salle ciné, et essaie de la persuader qu'il vaut mieux
voir tous ces instrument en réel, pour mieux se rendre compte des formes et des
dimensions. Elle finit par accepter, à condition de mettre une perruque et des
lunettes noires pour ne pas être reconnue. C'est OK pour moi, et on se quitte pour se
revoir le dimanche suivant à midi.
Je connais très bien les patrons du sex-shop. Ils sont deux mecs, et ont un employé.
Ils organisent des parties fines auxquelles j'ai déjà participé. J'y vais dans la
semaine pour organiser ma venue avec Eva, à son insu.
ENFIN DIMANCHE: Eva est juste à l'heure, midi sonnant. On prend un apéritif, puis un
deuxième, un peu de vin pendant le repas, puis un digestif. Elle n'est pas dupe, sait
que je veux la faire boire un peu pour la motiver, mais elle sait aussi qu'elle en a
besoin.
Elle installe sa perruque, ses lunettes, et on est parti. Il y a un parking privé et
on arrive avant l'ouverture pour être sûr d'avoir une place et qu'elle ne soit pas vue
se dirigeant à pied vers cet endroit .
14H, la boutique ouvre, et on y entre sans tarder. En principe il n'y a qu'un des deux
patrons ou bien l'employé; mais suite à ma visite ils sont là tous les trois. Je vais
les saluer, leur présente Eva, et leur dit qu'on fait le tour de la boutique.
C'est son premier sex-shop, et elle découvre des choses qu'elle n'aurait jamais osé
imaginer. Il y a trop de choix, trop d'idées qui la titillent, et elle ne parvient pas
à se décider. Un des patrons s'approche d'elle et lui demande si elle veut un conseil.
Elle rougît, et je réponds pour elle. On a tout préparé pour la recevoir, et je
demande innocemment s'il y a possibilité de faire des essais, connaissant la réponse.
Il nous dit que oui, et nous conduit dans une petite salle. Il y a des banquettes, des
joujoux pleins les étagères (des invendus, ou des cadeaux de ses fournisseurs). Il
nous laisse, nous indique un petit lavabo et même des préservatifs si on veux nettoyer
ou protéger les sextoys, et nous dit de prendre notre temps.
J'enlève mon froc et dessous, et lui demande d'en faire autant. On est dans les bras
l'un de l'autre et on se caresse. Elle est toute mouillée cette salope, il va être
temps de faire des essais. Je l'aide pour les premiers godes et autres jouets, puis la
laisse continuer toute seule. Elle est installée sur une banquette, avec un grand
carton rempli à côté d'elle. Je suis face à elle pour la mater. Elle a un superbe
engin dans la chatte et en cherche un plus petit pour son cul. Elle me donne envie, et
je me saisis d'une bite fine pour mon fion.
Je suce cette belle petite queue, puis me décide à me la mettre. C'est la première
fois que je prends autre chose que des doigts, et c'est super agréable. On se gode
tous les deux en s'exhibant l'un à l'autre, lorsque la porte s'ouvre et que le patron
entre.
Eva cherche à cacher son intimité, mais il l'invite à poursuivre :
- Continue salope, fait comme ton mec. Regarde comme il se ramone cet enculé, regarde
comme il bande.
C'est vrai que je me tiens une bonne trique. Il s'approche de moi, s'accroupit, et me
prends dans sa bouche. Il me suce en fixant Eva, qui est repartie dans ses essayages.
Il se relève et se déshabille en commençant par le haut. Je sais qu'il va se mettre
entièrement à poil, comme dans nos soirées, et j'en fais autant. Il est face à moi, et
je mâte sa bite que je connais par cœur. Je m'accroupis à mon tour pour lui accorder
les douceurs de ma bouche. Eva ne nous quitte pas des yeux, et se masturbe de plus en
plus fort. Il s'adresse à elle:
- ça t'excite des mecs qui se sucent! Il pompe trop bien ce salaud, mais il parait que
tu es aussi une excellente suceuse. Viens, montre moi ce que tu sais faire.
Elle se lève sans hésiter, comme si elle n'attendait que ça, et s'accroupit contre
moi. On suce tous les deux, on se partage son manche et ses couilles, sous ses
encouragements. Il me fait me relever, et ma petite salope nous pompe tous les deux.
Il me caresse le cul, et s'étonne du gode que j'ai gardé enfoui entre mes fesses. Je
ne me suis jamais fait mettre durant nos orgies, et je lui avoue que j'aimerais bien
essayer, en commençant par des godes. Il aimerait être le premier à me sodomiser, et
je lui promets de me faire dépuceler par sa belle queue, le jour où je serais prêt.
Il fait relever ma copine, et veut savoir si on a fait notre choix. Eva est encore
hésitante. Il y a de superbes jouets qui la tentent, des beaux calibres, mais elle
n'ose pas se les mettre.
Le patron l'encourage à les essayer, lui disant qu'elle va regretter d'en prendre de
trop petits. Il lui dit qu'on peut s'enfiler tout ce qui est dans la pièce, que nos
trous sont élastiques, et que ce n'est qu'une question de désir . Puis il lui propose
une démonstration pour prouver ses affirmations.
Il appelle son associé avec son portable, et lui dit de nous envoyer Phil, leur
employé, qu'on a besoin de lui. Phil arrive sans tarder, tout émoustillé de qui
l'attend. Si les patrons sont comme moi, bi et autant actifs que passifs, phil est
100% homo, et surtout passif. Il se déshabille sans tarder, et se penche en avant le
cul offert. Le patron vient dans sa bouche et m'invite à l'enfiler:
- Encule le cette salope, il n'a pas eu sa dose pour aujourd'hui. On va le défoncer, à
en rendre jalouse ta copine.
J'ai déjà eu l'occasion de baiser phil, et j'adore son cul. Je le matraque sans
retenue. Le patron est mieux monté que moi, et il me propose de changer de place. Je
viens dans la bouche de notre jeune pédé, et son chef lui éclate le cul. Eva regarde,
un peu envieuse, et se gode toujours. Le patron lui demande de lui passer un joujou
qu'elle n'ose pas se mettre dans le cul. C'est un superbe engin, il se retire du fion
de son employé, et lui plante cet énorme objet, sans aucune difficulté.
- Tu vois, ça passe comme une lettre à la poste. Et tu n'as pas tout vu, il va
prendre bien plus gros. Et toi, tu la veux ma bite dans ton cul?
Sa queue lui donne trop envie, elle accepte du bout des lèvres, mais il va lui falloir
patienter un peu. Le patron enchaine les toys de plus en plus gros dans le fion du
jeune , jusqu'à un manche impossible, huit centimètres de large. Eva arrête de se
masturber, stupéfaite, presque inquiète, par une telle insertion.
Notre cobaye, trop heureux de se soumettre, a cet engin bien enfoui dans son cul. On
l'emmène contre un mur de la pièce. Son gode a été bricolé, et il peut se fixer à un
rail vissé dans la cloison. Il va pouvoir s'en servir comme d'un gode ventouse,
solidement ancré, et qui se déplace pour suivre ses mouvements lorsqu'il va s'empaler
dessus. Il se défonce le cul, et bande bien dur.
On sait qu'il ne raffole pas des femmes, mais on demande à Eva de s'enfiler sur son
manche, par le petit trou bien entendu. Phil la pénètre à grands coups de reins, mais
plus que l'anus d'Eva, c'est le gode qu'il apprécie. Le patron l'encourage:
- Encule la bien cette chienne, imagine que c'est un mec. Défonce là, jouis dans son
cul, graisse la bien que le l'enfile et lui fasse goûter de jolis godes.
Il va et vient dans son fion, moins pour le plaisir de la pénétrer que de coulisser
par d'amples allers retours sur l'énorme gode mural. Il éprouve trop de plaisir et
finit par jouir entre les reins d'Eva qui gémis comme une chienne.
Le patron demande alors à Eva de se dégager, et se retourner pour lui offrir son cul,
et nettoyer la queue de phil. Il la pénètre virilement, et lui fout une bonne ramonée.
Il demande à phil de se rhabiller et repartir en boutique, pour que son associé nous
rejoigne. Ma boulangère est aux anges de se faire si bien tringler, et je viens dans
sa bouche pour la prendre à deux.
Le patron se déchaîne et décharge à son tour. Il se retire, s'empare d'un des godes
qu'elle n'osait s'enfiler, et se sert du foutre qui apparaît sur sa rondelle, comme
d'un lubrifiant pour l'enfouir profond. Je devine ma chienne qui prends son pied, et
je la pénètre jusque dans la gorge pour ajouter à son plaisir.
Le deuxième patron nous a rejoint. Il se met à poil, et je lui laisse ma place dans la
bouche gourmande de la petite. Il a une grosse bite, et elle se régale à bien le
sucer. L'autre continue à agiter le gode activement, à le sortir entièrement pour le
remettre, et en profite à deux reprises pour le changer contre un autre légèrement
plus épais. Il le retire encore, lui fourre dans la chatte, et l'encule à nouveau:
- Salope, tu vois que tu peux en prendre dans le cul? Je t'ai tellement ouverte avec
des godes, que j'ai l'impression d'avoir une petite bite. Attend que mon pote te
sodomise, tu vas mieux le sentir.
Son pote quitte sa bouche, pourtant très accueillante, et vient lui prendre la
température: chaud bouillant, un cul d'enfer.
Il lui démolit le cul, tandis qu'on fourre sa bouche, et on se relaie dans ses deux
trous, puis très vite dans ses trois. Sa chatte en feu est avide de grands coups de
bites, et on s'évertue à la remplir par tous les orifices.
On se donne à fond, et il faut que l'on jouisse. Elle est à genoux, bouche ouverte, et
on décharge tous les trois dans sa gueule béante. Elle garde tout en bouche jusqu'à la
dernière éjac, puis avale tout.
Un des patrons lui montre, à sa grande stupéfaction, le beau joujou qu'elle s'est pris
dans le cul. Il nous propose, à elle et à moi, de repartir avec plusieurs toys, au
moins aussi gros, des godes ceintures aussi, et de les essayer chez nous. On gardera
ceux qui nous conviennent, contre paiement bien sûr, et on ramènera les autres.
On accepte sans hésiter, sachant déjà que ce sera l'occasion d'une nouvelle séance.
A suivre......................
lundi avant qu'elle ne change d'avis. J'obtiens que l'on se revoit chez moi le soir
même. On se met à l'aise pour échanger des caresses, et plus puisque affinité. Je me
connecte à internet, et lui fait une démonstration de godes: vidéos très chaudes où
des femmes se godent, seules ou à deux, et puis revue de catalogues spécialisés. On
est maintenant à poil tous les deux, et je sais à la façon dont elle m'astique le
manche, à la facilité avec laquelle mes doigts coulissent dans son huître, que tous
ces joujoux la tentent.
Elle est d'accord pour que je lui en offre, mais veut les commander sur le net. Je
fréquente un sex-shop, avec salle ciné, et essaie de la persuader qu'il vaut mieux
voir tous ces instrument en réel, pour mieux se rendre compte des formes et des
dimensions. Elle finit par accepter, à condition de mettre une perruque et des
lunettes noires pour ne pas être reconnue. C'est OK pour moi, et on se quitte pour se
revoir le dimanche suivant à midi.
Je connais très bien les patrons du sex-shop. Ils sont deux mecs, et ont un employé.
Ils organisent des parties fines auxquelles j'ai déjà participé. J'y vais dans la
semaine pour organiser ma venue avec Eva, à son insu.
ENFIN DIMANCHE: Eva est juste à l'heure, midi sonnant. On prend un apéritif, puis un
deuxième, un peu de vin pendant le repas, puis un digestif. Elle n'est pas dupe, sait
que je veux la faire boire un peu pour la motiver, mais elle sait aussi qu'elle en a
besoin.
Elle installe sa perruque, ses lunettes, et on est parti. Il y a un parking privé et
on arrive avant l'ouverture pour être sûr d'avoir une place et qu'elle ne soit pas vue
se dirigeant à pied vers cet endroit .
14H, la boutique ouvre, et on y entre sans tarder. En principe il n'y a qu'un des deux
patrons ou bien l'employé; mais suite à ma visite ils sont là tous les trois. Je vais
les saluer, leur présente Eva, et leur dit qu'on fait le tour de la boutique.
C'est son premier sex-shop, et elle découvre des choses qu'elle n'aurait jamais osé
imaginer. Il y a trop de choix, trop d'idées qui la titillent, et elle ne parvient pas
à se décider. Un des patrons s'approche d'elle et lui demande si elle veut un conseil.
Elle rougît, et je réponds pour elle. On a tout préparé pour la recevoir, et je
demande innocemment s'il y a possibilité de faire des essais, connaissant la réponse.
Il nous dit que oui, et nous conduit dans une petite salle. Il y a des banquettes, des
joujoux pleins les étagères (des invendus, ou des cadeaux de ses fournisseurs). Il
nous laisse, nous indique un petit lavabo et même des préservatifs si on veux nettoyer
ou protéger les sextoys, et nous dit de prendre notre temps.
J'enlève mon froc et dessous, et lui demande d'en faire autant. On est dans les bras
l'un de l'autre et on se caresse. Elle est toute mouillée cette salope, il va être
temps de faire des essais. Je l'aide pour les premiers godes et autres jouets, puis la
laisse continuer toute seule. Elle est installée sur une banquette, avec un grand
carton rempli à côté d'elle. Je suis face à elle pour la mater. Elle a un superbe
engin dans la chatte et en cherche un plus petit pour son cul. Elle me donne envie, et
je me saisis d'une bite fine pour mon fion.
Je suce cette belle petite queue, puis me décide à me la mettre. C'est la première
fois que je prends autre chose que des doigts, et c'est super agréable. On se gode
tous les deux en s'exhibant l'un à l'autre, lorsque la porte s'ouvre et que le patron
entre.
Eva cherche à cacher son intimité, mais il l'invite à poursuivre :
- Continue salope, fait comme ton mec. Regarde comme il se ramone cet enculé, regarde
comme il bande.
C'est vrai que je me tiens une bonne trique. Il s'approche de moi, s'accroupit, et me
prends dans sa bouche. Il me suce en fixant Eva, qui est repartie dans ses essayages.
Il se relève et se déshabille en commençant par le haut. Je sais qu'il va se mettre
entièrement à poil, comme dans nos soirées, et j'en fais autant. Il est face à moi, et
je mâte sa bite que je connais par cœur. Je m'accroupis à mon tour pour lui accorder
les douceurs de ma bouche. Eva ne nous quitte pas des yeux, et se masturbe de plus en
plus fort. Il s'adresse à elle:
- ça t'excite des mecs qui se sucent! Il pompe trop bien ce salaud, mais il parait que
tu es aussi une excellente suceuse. Viens, montre moi ce que tu sais faire.
Elle se lève sans hésiter, comme si elle n'attendait que ça, et s'accroupit contre
moi. On suce tous les deux, on se partage son manche et ses couilles, sous ses
encouragements. Il me fait me relever, et ma petite salope nous pompe tous les deux.
Il me caresse le cul, et s'étonne du gode que j'ai gardé enfoui entre mes fesses. Je
ne me suis jamais fait mettre durant nos orgies, et je lui avoue que j'aimerais bien
essayer, en commençant par des godes. Il aimerait être le premier à me sodomiser, et
je lui promets de me faire dépuceler par sa belle queue, le jour où je serais prêt.
Il fait relever ma copine, et veut savoir si on a fait notre choix. Eva est encore
hésitante. Il y a de superbes jouets qui la tentent, des beaux calibres, mais elle
n'ose pas se les mettre.
Le patron l'encourage à les essayer, lui disant qu'elle va regretter d'en prendre de
trop petits. Il lui dit qu'on peut s'enfiler tout ce qui est dans la pièce, que nos
trous sont élastiques, et que ce n'est qu'une question de désir . Puis il lui propose
une démonstration pour prouver ses affirmations.
Il appelle son associé avec son portable, et lui dit de nous envoyer Phil, leur
employé, qu'on a besoin de lui. Phil arrive sans tarder, tout émoustillé de qui
l'attend. Si les patrons sont comme moi, bi et autant actifs que passifs, phil est
100% homo, et surtout passif. Il se déshabille sans tarder, et se penche en avant le
cul offert. Le patron vient dans sa bouche et m'invite à l'enfiler:
- Encule le cette salope, il n'a pas eu sa dose pour aujourd'hui. On va le défoncer, à
en rendre jalouse ta copine.
J'ai déjà eu l'occasion de baiser phil, et j'adore son cul. Je le matraque sans
retenue. Le patron est mieux monté que moi, et il me propose de changer de place. Je
viens dans la bouche de notre jeune pédé, et son chef lui éclate le cul. Eva regarde,
un peu envieuse, et se gode toujours. Le patron lui demande de lui passer un joujou
qu'elle n'ose pas se mettre dans le cul. C'est un superbe engin, il se retire du fion
de son employé, et lui plante cet énorme objet, sans aucune difficulté.
- Tu vois, ça passe comme une lettre à la poste. Et tu n'as pas tout vu, il va
prendre bien plus gros. Et toi, tu la veux ma bite dans ton cul?
Sa queue lui donne trop envie, elle accepte du bout des lèvres, mais il va lui falloir
patienter un peu. Le patron enchaine les toys de plus en plus gros dans le fion du
jeune , jusqu'à un manche impossible, huit centimètres de large. Eva arrête de se
masturber, stupéfaite, presque inquiète, par une telle insertion.
Notre cobaye, trop heureux de se soumettre, a cet engin bien enfoui dans son cul. On
l'emmène contre un mur de la pièce. Son gode a été bricolé, et il peut se fixer à un
rail vissé dans la cloison. Il va pouvoir s'en servir comme d'un gode ventouse,
solidement ancré, et qui se déplace pour suivre ses mouvements lorsqu'il va s'empaler
dessus. Il se défonce le cul, et bande bien dur.
On sait qu'il ne raffole pas des femmes, mais on demande à Eva de s'enfiler sur son
manche, par le petit trou bien entendu. Phil la pénètre à grands coups de reins, mais
plus que l'anus d'Eva, c'est le gode qu'il apprécie. Le patron l'encourage:
- Encule la bien cette chienne, imagine que c'est un mec. Défonce là, jouis dans son
cul, graisse la bien que le l'enfile et lui fasse goûter de jolis godes.
Il va et vient dans son fion, moins pour le plaisir de la pénétrer que de coulisser
par d'amples allers retours sur l'énorme gode mural. Il éprouve trop de plaisir et
finit par jouir entre les reins d'Eva qui gémis comme une chienne.
Le patron demande alors à Eva de se dégager, et se retourner pour lui offrir son cul,
et nettoyer la queue de phil. Il la pénètre virilement, et lui fout une bonne ramonée.
Il demande à phil de se rhabiller et repartir en boutique, pour que son associé nous
rejoigne. Ma boulangère est aux anges de se faire si bien tringler, et je viens dans
sa bouche pour la prendre à deux.
Le patron se déchaîne et décharge à son tour. Il se retire, s'empare d'un des godes
qu'elle n'osait s'enfiler, et se sert du foutre qui apparaît sur sa rondelle, comme
d'un lubrifiant pour l'enfouir profond. Je devine ma chienne qui prends son pied, et
je la pénètre jusque dans la gorge pour ajouter à son plaisir.
Le deuxième patron nous a rejoint. Il se met à poil, et je lui laisse ma place dans la
bouche gourmande de la petite. Il a une grosse bite, et elle se régale à bien le
sucer. L'autre continue à agiter le gode activement, à le sortir entièrement pour le
remettre, et en profite à deux reprises pour le changer contre un autre légèrement
plus épais. Il le retire encore, lui fourre dans la chatte, et l'encule à nouveau:
- Salope, tu vois que tu peux en prendre dans le cul? Je t'ai tellement ouverte avec
des godes, que j'ai l'impression d'avoir une petite bite. Attend que mon pote te
sodomise, tu vas mieux le sentir.
Son pote quitte sa bouche, pourtant très accueillante, et vient lui prendre la
température: chaud bouillant, un cul d'enfer.
Il lui démolit le cul, tandis qu'on fourre sa bouche, et on se relaie dans ses deux
trous, puis très vite dans ses trois. Sa chatte en feu est avide de grands coups de
bites, et on s'évertue à la remplir par tous les orifices.
On se donne à fond, et il faut que l'on jouisse. Elle est à genoux, bouche ouverte, et
on décharge tous les trois dans sa gueule béante. Elle garde tout en bouche jusqu'à la
dernière éjac, puis avale tout.
Un des patrons lui montre, à sa grande stupéfaction, le beau joujou qu'elle s'est pris
dans le cul. Il nous propose, à elle et à moi, de repartir avec plusieurs toys, au
moins aussi gros, des godes ceintures aussi, et de les essayer chez nous. On gardera
ceux qui nous conviennent, contre paiement bien sûr, et on ramènera les autres.
On accepte sans hésiter, sachant déjà que ce sera l'occasion d'une nouvelle séance.
A suivre......................
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