EVE et moi

- Par l'auteur HDS VieuxMachin -
Auteur couple.
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Récit libertin : EVE et moi Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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EVE et moi
Eve, toute une histoire, toute une aventure, qui en est à ses débuts en fait. Tout a débuté par une annonce,recherche sur un site assez connu des pervers dans mon genre. Et un site disons plutôt sérieux au travers duquel j’ai pu faire pas mal de rencontres par le passé. Une recherche m’a attiré l'œil, un jeune très efféminé précisait-il cherchait un mec mûr au dessus de 50 ans, pour se faire vider les couilles à fond. Contact pris en me disant mouais on verra bien. Je restais mitigé sur la demande.Mais dans l’absolu un petit jeune qui s’offre en jouet ce serait idiot de louper çà. Je ne suis pas un fanatique des jeunes mecs, mais j’avoue qu’en prenant de l’âge, j’y trouve une saveur particulière. Attention pas question de gamins trop jeunes. Que des partenaires conscients de ce qu’ils font. Le jeune me recontacte assez rapidement et trouve que les éléments que je lui ai communiqué sur moi, vont dans le sens de sa recherche. Nous dialoguons quelque temps par messages, Il me dit qu’il à 18 ans, me fait un portrait de lui qui s’avérera exact. Efféminé annonçait il , cela m’intéresse, il m’explique qu’il est en phase de recherche, il ne sait plus qui il est , il sent que son mental et son corps sont dissociés et ont du mal à se réconcilier. En fait il est paumé, sans précision il me dit que çà vie actuelle et passée sont un océan de merdes diverses. Au travers de ses mots, je me rends compte que c’est presque un appel au secours. Il me dit que sexuellement il préfère les mecs et les mecs agés, qui selon lui sont plus sympas, plus doux. Il me dit que si je cherche un mec avec une grosse queue c’est pas à lui qu’il faut s’adresser. Il à dit-il un micro sexe. C’est son expression. Il m’explique que par contre, il tape tout le temps et qu’il peut jouir plein de fois même très rapprochées. Ce profil commence à m'intéresser au plus haut point. Je reviens sur sa supposée féminité. Il aime être en femme, porter des sous-vétements des bas, âgir comme une nana. Il aime être considéré comme une femme. Mais me dit-il, il est peureux, a déjà eu quelques déboires en ayant cette tenue. Décidément, il est très peu chanceux. Après ces contacts et pour le mettre en confiance je lui donne mon numéro de portable, lui dit qu’il m’intéresse beaucoup qu’il m'appelle quand il veut. Que, là, mon week-end est pris et que je serai dispo à partir du lundi. J'espère vraiment qu’il me recontactera.

Le lundi dans la matinée, mon téléphone sonne, c’est mon jeune contact. Cette fois de vive voix. Justement voix douce agréable, assexuée. Sans rien savoir de lui, je ne saurais dire si c’est une fille ou un garçon qui me parle. Compte tenu de nos précédents échanges je trouve que c’est une excellente nouvelle. On sent à sa discussion une grande timidité et une grande réserve, mais une sorte de franchise semble émaner de son discours. Il ne se met pas en avant, aurait même tendance à se considérer comme moins intéressant qu’il ne doit l’être. Intelligent sans aucun doute mais avec une éducation sans doute du niveau actuel. Peu importe, je m’intéresse de plus en plus à lui. Il me décrit son physique, blond avec de très long cheveux qu’il laisse pousser depuis longtemps déjà, un petit mètre soixante dix, fin, une peau pâle et des yeux bleus. Il précise qu’il est presque totalement imberbe. Il me répéte que son sexe est vraiment petit, qu’il pense avoir de jolies fesses. Se travestir est un vrai plaisir pour lui, mais seulement chez lui. Il aimerait sortir en femme mais n’ose pas aprés une tentative qui c’est terminée à l’hopital aprés une correction par deux fumiers ( ce sont mes mots pas les siens)
Je suis vraiment intrigué et intéressé par lui. Je propose un rendez-vous en fin d'après-midi. Je lui demande s' il accepterait de venir en fille, j’irai le chercher et le ramènerai en voiture. Entre temps, on ira boire un verre dans un endroit calme et sûr. Je tiens à le rassurer. Au bout du fil je sens qu’il hésite, je le comprends après ce qu’il m’a dit. Il finit par accepter en me disant que j’avais une voix agréable et que contrairement à d’autres j’ai écouté ce qu’il voulait dire. Il ajouta qu’il ne promettait pas d’être en fille. J'insistais légèrement sans forcer Après la description qu’il m’avait faite de lui, j’étais persuadé qu’il devait être pas mal dans cette tenue. Il m’a également répété que ce qu’il cherchait était une vraie relation, pas un coup en passant. Il à également ajouté que si il adorait qu’on le masturbe, qu’on le fasse jouir plein de fois. Il n’est pas ennemi d’autres amusements.

En fin d'après-midi, je file vers le lieu de rendez-vous. Petite rue, pas de circulation ou presque. Sur le trottoir, devant la boulangerie, une silhouette. De longs cheveux blonds qui tombe sur ses épaules, un t-shirt imprimé avec un gros Titi jaune, un jean délavé et déchiré un peu partout. Je vois qu’il est hyper serré et son petit cul bien moulé est vraiment agréable à l'œil. En effet son visage est fin, les traits gracieux, il a l’air maquillé et je vois ses ongles roses. Rien qui le classe comme un mec, sauf le manque de seins. Encore que j’ai connu des nanas qui n’en avaient pas plus. Il fait quelques pas pour approcher de la voiture. Démarche légère peut-être pas trop féminine mais ses jambes paraissent longues. Pas l’ombre d’une bosse au niveau de la braguette. Décidément, quand il disait être assez effeminé, il ne mentait pas. Même dans cette tenue quasi unisexe, il fait illusion.
Il ouvre la porte, monte dans la voiture, se penche vers moi et me fait la bise comme si on se connaissait déjà bien . C’est plutôt agréable, il à la peau douce, il sent bon et pas un après-rasage ou ces parfums pour mecs, un vrai parfum de femme, fruité, discret mais suave.
Bonjour, alors tu n'as pas osé?
Non, excusez moi j’ai trop peur d’avoir des ennuis comme je l’ai expliqué. Mais j’ai fait des efforts.
Oui je vois, tes ongles roses, un peu de maquillage ça te va très bien.
Vraiment? Vous me trouvez comment?
Mignon comme tout, avec une autre tenue, tu ferais totalement illusion. dis-je.
Un joli sourire me répond, il semble gêné, sensible au compliment. Il se reprend et ajoute :Mais, sous mon jean j’ai des bas, une petite culotte que j’aime bien.
Pourquoi? tu comptes enlever ton jean?
Ben...Vous avez changé d’avis? dit-il un peu paniqué.
Mais non n’ai pas peur comme ça, dis-je en posant ma main sur sa cuisse. Et puis arrête de me vouvoyer, je ne te fais pas peur quand même? Je plaisantais, bon c’est pas très malin mais c’est tout moi.
Ouff !! surtout maintenant que je vous… que je t’ai vu je dois dire que je suis même surpris. Tu n'as pas plus de 60 ans, tu déconnes non?
Non 63 exactement mon lapin.
Ouah tu à l’air d’avoir même pas 50 ans, tu es beau mec en plus. Je suis heureux d’avoir accepté qu’on se rencontre.
Je ne suis pas déçu non plus. Mais je n’arrive pas à utiliser ton prénom. Il ne te va pas. Un prénom féminin c’est ce qu’il te faut.
Oh appelle moi Eve alors, tu peux me parler comme si j’étais une nana.
Eve, j’aime beaucoup. Alors je vais te dire que tu es belle, une jolie petite nana. Vraiment tu as de jolis yeux Eve. Je suis certain que le reste est aussi joli.
Merci, c’est gentil, je ne suis pas habituée à des compliments comme ça.
Je caresse sa joue du dos de ma main, Eve incline sa tête vers moi, je passe ma main dans sa chevelure et caresse sa nuque. J’ai presque l’impression qu’elle ronronne. Elle est loin de me laisser indifférent, je le sens parfaitement dans mon pantalon.
Je gare la voiture juste devant ce bar haut de gamme où j’ai mes habitudes. Je salue le barman, prend des nouvelles du patron et de sa femme, absents ce soir.
Je prends le petit salon au fond, tu me mets comme d’habitude puis me tournant vers Eve, tu prends quoi?
Heuu un Coca ça iraPas de soucis réponds Sergio, je vous envoie ça de suite, et bonne soirée dit-il avec un clin d'œil.
Sergio me connait bien et il a vu défiler pas mal de monde en ma compagnie. Il n'y a aucun doute sur mes activités dans ce salon. Quand je l’occupe. Je guide ma nouvelle conquête si j’ose dire. Elle est devant moi, je regarde son petit cul, sa démarche est agréable, un peu plus de déhanché serait le top. Nous nous installons face à face, elle sur la banquette, moi dans le fauteuil. La lumière est suffisante, mais tamisée. Nous sommes à peine assis, qu’une des filles apporte le Coca et mon scotch. préféré : Glenlivet Single Malt 18 ans d'âge.

Ouahh c’est joli ici dit Ève, je ne suis jamais venue dans un endroit comme çaHé bien si on se voit plus d’une fois, on pourra revenir, où je te ferai découvrir d’autres endroits.
Pourquoi? Tu voudrais sortir avec moi? Tu te moques là..
Non si on s’entend bien et si nos rencontres sont agréables tu n’aimerais pas recommencer?
Ben si, mais tu sais quand je rencontre quelqu’un c’est une fois, on fait des trucs et on ne se revoit pas en général.
Ils sont idiots les mecs que tu rencontres.
Tu sais je ne suis pas grand chose, moins que rien même. Ils me considèrent comme une pute. Tu me diras c’est un peu vrai, mais je ne demande pas d’argent.
Allons Eve ne parle pas comme çà, ne pense pas cela de toi.
Elle a baissé les yeux je sens qu’elle est mal dans sa peau à cet instant. Elle se lève.

Je ferais mieux de partir, je vais te faire perdre ton temps.

J’attrape sa main, elle tremble. Ses yeux brillent, des larmes. Elle est attendrissante, une petite moue sur ses lèvres la rend encore plus féminine. Une petite clochette retentit dans ma tête. Je me connais sous des dehors durs, malgré ma carrière militaire. Je suis un incorrigible saint Bernard. Eve vient de pousser la porte de je n’ose pas dire mon coeur mais elle est touchante.

Assieds-toi, si je suis venu c’est que tu m’a dit ce que tu aimais et moi je suis venu car j’ai envie de te faire plaisir. C’est égoïste en fait car j’ai envie de jouer avec toi.
Elle hoche la tête acquiesçant à mes propos. Elle retrouve un peu de self contrôle, sors un kleenex et essuie ses yeux en essayant de ne pas foutre en l’air son maquillage.

Ça va ma belle, tu n’as pas abîmé tes jolis yeux. Ce rose sur tes paupières, ça te va à ravir.
J’ai essayé d’être à la hauteur, d’être jolie. J’ai réussi alors?
Oui tu me plais beaucoup, vraiment.
Pardonne moi si j'insiste mais tu a vraiment l’âge que tu dis?
Oh oui j’aimerais bien avoir 10 ou 15 ans de moins mais non j’ai 63 ans vraiment. Je suis un vieux, un vieux vicieux et pervers même. Je dois te prévenir. dis-je en riant.
Alors tu es vraiment bel homme, et j’ai l’impression que tu es vachement musclé, je n’avais jamais vu un homme de ton âge aussi beau. Tu n'as pas de cheveux blancs, pas de rides enfin tu n'as pas le visage lisse mais ça ne fait pas du tout vieux.
En résumé, je te plais alors?
Oui, beaucoup je suis impatiente de te connaître mieux, mais je crois qu’il faut qu’on parle avant. Je dois t’expliquer des choses sur moi. Tu es tellement gentil que je me sens obligée de tout te dire. Je voudrais bien qu’on ne se rencontre qu'une seule fois.
Oh oh tu craques pour moi ma jolie Eve?
C’est vrai je suis sérieuse. Et tu me plais beaucoup. Tout à l’heure tu m’a caressé la joue, j’ai adoré, tes mains sont douces et ce geste était vraiment une chose qu’on ne me fait jamais. Les hommes que je rencontre se servent de moi, me baisent rarement j’ai ce que je cherche puis ils me jettent. Tu vas penser que je n’ai pas de fierté. C’est pas çà, j’ai eu trop de choses négatives dans ma vie. Je ne sais plus qui je suis, ce que je suis. Toi tu es le premier à me regarder comme une fille. Je vois bien à la façon dont tu me regardes que tu dois vraiment avoir envie de moi. Mais toi tu me respectes. Tu prends le temps de m'écouter et de me parler.
Alors, ma chérie raconte tout çà.

***
Eve me fait la description de ses jeunes années, puis des événements plus proches. Au fil de son récit, je cerne mieux ses interrogations, son malaise.
[NDA]{J’ai supprimé une partie du texte qui est sans doute la cause d’un refus de publication, on verra si amendé il passe. Je le pensais indispensable à la compréhension, mais il était en effet très dérangeant}La elle arrêta son récit et se mit à pleurer toutes les larmes de son corps. J’étais presque désemparé, secoué par son récit, en colère, si ce type me tombait entre les pattes je lui écraserait la gueule à coup de pied. Jusque là ceux qui ont eu à subir ça, l'on subit au nom de la Nation et pas en mon nom propre. Mais voir cette gamine dans cet état était un crève-cœur. Qu’on me pardonne si je ne puis parler d’elle qu’en tant que femme, pour moi c’est ce qu’elle est. J’ai bien tenté d’écrire en respectant son genre selon la période mais je n’arrive pas à parler d’elle que comme cette petite femme qu’est EVE. j'espère que ça ne vous troublera pas trop. Je la pris dans mes bras la laissant sangloter tant qu’elle le voulait. Je me sentais coupable même de ce rendez-vous que je voulais sexuel. J’avais l’impression que moi aussi je voulais la violer. Pourtant je n’aurais pas changé ma place pour un empire. je sentais sans doute confusément que nous devions nous rencontrer.

J’étais je dois dire assez mal dans ma peau, je la tenais contre moi et j’en étais charmé, hélas ce qu’elle avait à me confier mettait à bas tous les émois que je pouvais ressentir comme ce qu' elle pourrait ressentir. Doucement elle finit par se reprendre, je lui avait fait boire quelques gouttes de scotch qui lui firent du bien en fait.
Elle s’excusait longuement de son attitude, ce à quoi je ne pouvais pas vraiment répondre. Elle ajouta qu’elle voulait continuer à me parler, pour que je sache qui elle était , les tenants et aboutissant des choses. Elle m’expliquait qu’elle était à bout, qu’elle avait l’impression de s’enfoncer dans des sables mouvants que chaque jour qui passait l'entraîne vers le fond. Elle déplia son bras et me montra dans le pli du coude quelques marques de piqûres en me disant voilà où j’en suis.
Je comprenais que toute cette diatribe était un appel au secours. Je remarquais aussi que malgré ses yeux rougis, et son maquillage qui partait en couille, elle avait toujours une jolie petite frimousse, que la façon qu’elle avait de repousser ses cheveux était si délicate, naturelle et toute emprunte de féminité. Son regard n'était pas fuyant, j’avais aussi l’impression qu’elle aimait mon visage. Sa main s'était posée sur la mienne, elle caressait doucement mes doigts d’un geste quasi machinal. Plus je passais du temps près d'elle, plus j’avais la curieuse impression de la connaître depuis toujours. Elle a continué le récit glaçant de sa vie.
[NDA]{J’ai supprimé une partie du texte qui est sans doute la cause d’un refus de publication, on verra si amendé il passe. Je le pensais indispensable à la compréhension, mais il était en effet très dérangeant}Je croyais qu’avoir compris les choses me faciliterait la vie, au contraire pour essayer de ne plus y penser j’ai trouvé que la fumette irait bien. Même si je me crame le cerveau c’est mieux que de cracher sur mon image dans les miroirs. Je lui demandais alors, pourquoi moi ? Pourquoi tu veux tout me dire comme ça ? Je sais pas dit elle, j’ai la sensation que tu comprendras, tu a tellement l’air d’un mec bien. Tu sais je fais pas ça pour éviter les choses que j’ai promis. J’ai juste besoin que tu saches, qui, enfin quoi je suis.
Eve devient doucement une mission dans ma tête. Je ne pouvais pas laisser cette gamine se détruire comme elle le faisait, j’ai vu des gosses l’esprit bouffé par ces merdes, shit, héroïne, cocaïne ou bêtement alcool. J’étais devant une gosse qui se déteste, qui déteste ce que l’on a fait d’elle. Déjà engluée dans un dilemme de genre à la base. Eve était arrivée à un point limite je pense. C’est sans doute de l’ordre du divin si elle à lancé un appel au secours à moi, pas à d’autres çà tombe sur moi. J’accepte la mission qui me tombe dessus. Vous allez me trouver faux cul de mêler les affaires de sexe avec la foi, car à la base ce n’est que çà je le sais. Mais je ne peux pas rester sourd à cette détresse.
Je lui demande depuis combien de temps elle est passée de la fumette à la shooteuse. Elle me dit une semaine c’est récent et elle kiffe a mort. comme elle me l'a dit. C’est récent tant mieux ce sera plus facile à lui faire perdre cette putain de manie. Il faut absolument que je ne l'affole pas, il faut que je reste en contact avec elle. Je dois jouer le jeu et continuer sur le rendez vous sexe sinon elle va m’envoyer chier et je rompt le contact noué. De plus, elle a senti que je pouvais entendre qu'elle avait confiance en moi.
Elle était toujours contre moi, j’aimais la sentir se lover dans mes bras. Elle me dit qu’elle se sentait bien avec moi, elle recommença à parler de choses moins graves. M’expliquant qu’elle était décidée à faire une transition totale, devenir femme à part entière c’était son graal. Mais c’était aussi compliqué les traitements étaient compliqués à obtenir, démarches, psychologues tout çà aussi coûtait cher. Elle se mordit les lèvres et s’empressa de me dire qu’elle ne me demandait rien, expliquant que maintenant si elle vendait ses charmes et savoir faire de temps en temps c’était volontairement à son profit et non celui de sa famille qu’elle avait quité pour aller vivre chez une tante. Après ça elle me dit tu vois j’ai plus de secrets pour toi c’était un mensonge pardonné depuis longtemps elle m’avait menti sur son âge de quelques années. ce qui me mettait dans une situation disons scabreuse. C’est du passé.
Je viendrais la prochaine fois vous dire ce qui suit qui vous intéressera sûrement plus que ces premières parties mais elles sont importantes pour comprendre le contexte de cette relation.



Dans cette alcôve du pub naissait une relation que jamais je n’aurais pu imaginer ne serait ce que le matin même. Eve avait l’air de se rasséréner un peu, elle me regardait avec une intensité incroyable. Sa petite main serrait ma paluche bien grossière si je la comparais avec sa menotte. Avec ma pochette j’essuyais un peu ses yeux, enlevait une trace noire sur sa joue. Je posais la paume de ma main sur sa joue toute douce, elle posa sa main par dessus la mienne inclinant sa tête contre ma main. Ce faisant, elle mimait un baiser avec ses lèvres. J’avais le coeur battant comme un gamin, la petite marquait des points c’était évident. Je glissais ma main de sa joue jusque sous son menton. J'attire ses lèvres vers les miennes, a cet instant je n’ai qu’une envie c’est goûter la douceur de cette bouche que je trouve très jolie. Elle se laisse faire, me souriant elle me laisse me pendre à ses lévres, chaudes et douces , je sens qu’elle tremble un peu, qu’elle frissone. Eve est loin d’être indifférente, ses bras m’enlacent le cou et elle me laisse prendre l’initiative, ma langue joue avec ses lèvres et sa petite langue qui bataille avec la mienne dans sa bouche. Mes mains se sont posées sur ses hanches, elle ondule et pousse un petit soupir qui meurt sur mes lèvres. Elle se recule, me regarde les yeux brillants, mouillés.

Jamais on ne m’a embrassée comme ça, tu es le premier.
Elle se jette contre moi le nez dans mon cou et elle me murmure
Tu sais j’ai très envie maintenant, on reste là?

Parti comme on est, c’est impensable qu’on reste là dans ce bar aussi chic soit-il. Elle mérite cent fois mieux. J’ai bien saisi que pour elle il se passe quelque chose d’important. Moi aussi je le sais mais je ne veux pas encore me l’avouer. Eve m’a chamboulé, retourné J’ai dû me contenir pour ne pas comme elle avoir les larmes aux yeux. Je suis certain qu’elle l’a compris, a sa façon de me regarder.

Non je vais t’emmener là où l'on sera bien mieux, tu me fais confiance?
Oh oui oui je n'ai jamais rencontré un homme comme toi , jamais je ne savais même pas que çà pouvait exister sauf dans les rêves.
Allons, allons je ne suis pas le père noël quand même.

Je décide de l’emmener dans un appartement que je possède dans le 15ème du côté de Grenelle. Un miracle, une camionnette d’entreprise quitte le bord du trottoir me laissant une place pour garer la voiture juste en face de l’immeuble. Pas un bouchon et je trouve à me garer, les dieux sont avec moi.
J'espère que cet appartement ne retrouvera ni la mémoire ni la parole, il a vu beaucoup de choses. Il est grand tout est noir et blanc et de belle facture. Eve émet un sifflement.

Pfiouuu la classe!! tu habites ici?
Non il me sert de temps en temps, d’ailleurs si j’étais à la maison ma femme serait là.
Oh c’est vrai tu est marié, ce serait pas malin de m’emmener chez toi.
Ève semblait perdue dans le salon, elle faisait le tour de la pièce, lentement regardant les meubles les quelques bibelots présents.

Et je n’ai pas emmené ce qu’il faut pour me remaquiller je dois vraiment pas être terrible maintenant..
Tais toi tu es à croquer, jolie comme tout.
Je suis sincère, elle est plus jolie à chaque instant, et j’ai de plus en plus envie d’elle. Je la prends dans mes bras, elle est légère comme une plume.

Hé où on va? dit elle en riantAu lit ça te va?
Eve ne dit rien , hoche la tête, sourit et m’embrasse avec une sensualité incroyable.
Toujours accrochée à mon cou, elle regarde partout avec une lueur d’émerveillement dans les yeux.

Mais il est immense ton lit !!
Oui car il a souvent accueilli plus de 2 personnes.

Elle me regarde avec un sourire entendu, Tu es un pervers alors? C’est ça ?
Tu as bien compris, pervers et obsédé tout prêt à te croquer.
Tu me croques quand tu veux.
Je pose Eve sur le bord du lit, elle saute un peu pour tester le moelleux du matelas. Puis elle reprend un air sérieux et me demande.

Je t’ai tout dit de moi, tu es sûr que rien ne te gêne sois, franc avec moi je t’en prie. Je me sens tellement bien près de toi que je ne voudrais pas de malentendu. Tu sais ce que je suis, que j’ai été prostituée, que encore maintenant ça m'arrive pour avoir un peu d’argent de côté, pour ma transition, les médicaments tout çà.
Pour la drogue aussi dis-je le plus doucement possible.
Oui, j’ai honte de moi mais sans je ne tiendrais pas. Si c’est çà qui te dérange, on peut tout oublier.
Hors de question ma chérie, je te laisserais pas tomber. Je vais te soutenir, t’aider tu verra. Tu le mérites.
Mais tu dis çà il ne c’est rien passé entre nous ou si peu de chosePeu de choses? vraiment?
Non bien sûr, jamais personne n’a été comme ça avec moi, je sais qu’au fond de toi tu a envie de moi. Et moi j’ai envie de toi.
On attends quoi alors petite coquine? Montre moi comment tu es sous ce jean déchiré.
Oui mais je voudrais te déshabiller, depuis que je t’ai vu je me demande comment tu es sous ton costume.
Vas y ma belle, je suis à toi.

Eve s’approcha et, alors qu’elle dénouait ma cravate, posa ses lèvres sur les miennes. J'aime beaucoup le goût de ses lèvres et son parfum, jeune, acidulé et fruité, caresser mes narines. Ses mains sont rapides et expertes, ma chemise est grande ouverte sur ma poitrine. Ses mains légères caressent ma peau. Elle pose sa joue contre ma poitrine sur mon cœur. Elle fait un petit baiser sur chacun de mes tétons ce qui me fait frissonner, c’est une caresse que j'aime beaucoup. Ses yeux clairs me regardent.

Sensible? tu l'aimes là ma bouche?
Autant que tu veux coquine.

Ses mains ont glissé le long de mes côtes, elle s'attarde sur une cicatrice à hauteur de mon nombril ou presque, sur la droite. Une balle récoltée lors de ma première mission opérationnelle à Kolwezi, il parait d'après le toubib qu' à quelques cm près elle a manqué mon rein. Elle a traversé et j’ai pu continuer quand même à assurer la mission.

Comment tu es musclé, et tu a vraiment l’âge que tu dis. On dirait un sportif, je te trouve vraiment beau. Je comprends pourquoi tu m’a porté comme un chaton. J’ai adoré tu sais.
Toi aussi tu est belle, vraiment belle. Même si tu as un peu gâché ton maquillage en pleurant. J’aime ta frimousse et je suis certain que le reste est assorti.
Tandis que je parlais, Eve avait dégrafé ma ceinture et le laissa tomber sur mes pieds. Elle s’attendait à trouver un sous-vêtement mais souvent je préfère m’en passer. Eve se trouva donc brutalement confrontée à mon sexe, dressé et dur depuis un moment déja.

Oohhh!! tu est plein de surprises !! De grosses surprises même.je n’aurais jamais pu deviner comment tu es. Quel homme, j’ai vraiment de la chance de te rencontrer. Je vais devoir être à la hauteur.

Eve, allait poser ses mains sur mon sexe quand je la retint.

Dis moi tu n’avais pas une envie particulière quand on c’est contacté?
Euh oui Tu n'es plus intéressée?
Oh si mais je voulais te faire du bien, moi après.
Non, non, moi je veux te voir, je veux jouer avec toi, te faire gémir, crier, jouir plaine de fois.
Hmmm tu a raison et je vois combien tu a envie dit elle en posant un baiser sur ma queue.

Je l'attirai à moi, et doucement remontait son t-shirt. Apparu un petit soutif très “ado” à rayures rose et bleue. J’étais surpris de la silhouette que lui donnait cet artifice. Cela suffisait à faire d’elle une ado désirable. J’embrassais son cou et doucement promenait ma langue sur sa peau d’une douceur de bébé. Eve était tremblante, sa bouche entrouverte avec les lèvres humides à force de passer son bout de langue dessus. Je bandais de plus belle, je la désirais follement. J’avais dénoué la ceinture et fait glisser son jean. Elle m’apparut enfin elle avait les bras croisés sur sa poitrine, sa petite culotte assortie au soutif ne montrait aucune bosse qui aurait pu mettre le doute à quiconque. Des bas sombres et luisants gainaient ses jambes et ses cuisses. Eve me scrutait comme si elle attendait mon verdict. Je la sentais inquiète de mon silence. En fait j’étais décontenancé par cette explosion de féminité, j’avais face à moi un petit bout de femme, une femme à part entière.

Que tu es belle !! Tu me rends dingue ma chérie. Regarde toi là. Dis je désignant le grand miroir du dressing.
Elle jeta un œil sur son image et la mienne dans ce miroir. Elle s’approcha de moi et se colla contre moi, passant sa cuisse soyeuse entre mes jambes et encerclant mon cou avec ses bras.

C’est vrai, regarde on est beaux ensemble non?
Si on enlève le vieux schnock du tableau oui c’est superbeArrêtes de dire des conneries!!!
Elle avait asséné cet ordre en me tapant sur la poitrine avec son poing. Je la poussais sur le lit, elle y tomba les bras en croix. Installé auprès d'elle, mes mains et ma bouche parcouraient son corps, elle lançait aussi ses mains à la découverte du mien, attirées comme un aimant par ma queue gonflée de désir. Je fis glisser sa petite culotte, je découvrais le triangle imberbe de son pubis, ses cuisses encore serrées, elle donnait l’impression d’être une gamine. Cette idée me mettait un peu mal à l’aise, j’ai deux filles adorables, me trouver là auprès de Eve qui faisait tant adolescente, cela faisait de moi un salopard? Non mon désir était partagé, Eve savait bien ce qu’elle faisait et le faisait en toute conscience. Je poussais son genoux, pour ouvrir ses cuisses, il était bien caché son petit sexe, caché oui mais tendu et dur. Si petit qu’il se cachait entièrement dans ma main. Quand je le touchais il se plaqua contre son pubis, Eve était parcourue d’un long frisson.

Ooooh dit-elle dans un souffle
Ma queue c’était raidie encore plus quand j’avais découvert ce petit sexe qui allait recevoir toute mon attention dans l’heure ou les heures à venir. Je caressais du bout des doigts ce petit bout de chair palpitant, à mesure que mes doigts le parcouraient, il se tendait encore plus ses petites couilles qui venaient monter encore plus haut. Eve ondulait, son bassin se mouvait lentement. Une sorte de danse lascive au ralenti. Les yeux mi-clos ses mains me caressent. Je découvrais ce corps qu’elle m’offrait. Ma bouche se posa sur son nombril, léchant ce petit trou, puis je descendis lentement vers l’objet de mon attention. C’est ma joue qui entra en contact avec son petit sexe. Je le sentais vibrer, descendant encore je posais un baiser, puis ma langue le parcouru. Eve poussa un feulement de chatte expressive qui était chargé de son désir, il était l’expression de ce qu’elle ressentait. Ses mains sur mon dos se crispent. Le sexe se tend. Délicatement je le prend entre mes lèvres, sans le gober et doucement je décalotte le gland qui me parait minuscule. La peau coulisse facilement et vient enserrer la base de cette tête toute rose, je remarque que le frein est très tendu. Ma langue passe sur cet endroit le plus sensible. C’est comme une décharge électrique.

Ouiiiiiiii oh c’est bon gémit elle.

Avec mes doigts, je redresse délicatement sa petite queue avant d’arrondir mes lèvres et d’aspirer cette petite chose dans ma bouche. A peine ai je descendu mes levres jusqu’a son pubis, prenant tout son petit sexe dans ma bouche que je le sens frétiller, s’agiter contre ma langue qui le cajole.Les jambes de Eve son agitée, elle donne de petits coup de pieds dans le vide. Ses mains pétrissent mes épaules ou frottent mon crâne, aux cheveux si ras. La gamine gémit d’une façon si expressive que je ne me pose pas la question prend elle du plaisir. Elle est en transe, elle est ailleurs, mais elle ne changerait pas de place pour un empire. Elle murmure Gui sur tous les tons. Manque de modestie de ma part peut être mais j’adore ce moment. Elle se donne totalement, s’offre à moi. Je sens que Eve est en train de devenir ma petite déesse. C’est intense de sentir cette gamine en devenir s’offrir comme elle le fait. Je dois rendre ce moment inoubliable, c’est la moindre des choses. Je sais que je vais me couper en quatre pour elle. Si je suis honnête c’est à cet instant que j’ai compris que nous étions déja bien loin d’une rencontre juste pour le sexe.

Je reviens vers le visage d’Eve, elle a les yeux dans le vague, je caresse ses cheveux, sa joue. Ma main joue avec son sexe, tout doucement, l’éffleurant du bout des doigts, il tresaille sous les caresses. Elle gémit sans arrêt, soupire, de ma main droite je dessine ses lèvres, elle prend mes doigts dans sa bouche et les suces goulument. Ma queue est de plus en plus tendue, et se frotte sur son nombril. Sa main enserre ma queue, me branle doucement.

Oh ta bite elle est belle mon chéri et toute dureMoi je sens ton clito tout dur, tu aimes que je le caresse?
Oh oui arrêtes pasJe serre son sexe et mon pouce remonte le long de l’urêtre. Une jolie perle translucide apparaît au sommet de son petit gland. Je la recueille sur le bout de mon doigt. J’approche mon doigt de ses lèvres, elle sort sa langue lèche cette perle de plaisir.
Goutte çà ma chérie, tu commences à bien mouiller ma petite salope.
oh oui Gui je suis ta salope à toi, tu veux bien?
Oui je te veux, toute à moi toute entière. Je ne fais que commencer à m’occuper de toi.
Oh amour prends moi vite, j’ai envie de te sentir.
Patience ma chérie, je vais te faire du bien avant de te prendre.
Oh tu me rends folle, c’est bon, Je vois qu’elle est prête , son petit anus palpite, s'ouvre, se ferme, alors que sa petite queue oscille et se plaque sur son ventre quand elle se contracte. Mon oeil habitué à jauger ces choses constate qu'à l"évidence son petit trou est souvent sollicité. La facilité qu’il à à s’écarquiller ainsi que sa forme légèrement ovoïde, comme une petite chatte est la marque de fréquentes pénétrations. Je glisse mon visage entre ses cuisses, elles s’écartent largement, ma coquine est souple. Je taquine son petit trou de ma langue, le la pénètre même, l’intérieur de ses cuisses est doux comme un velours. Il n’y a sur son corps pas l’ombre d’un poil, tout juste un petit duvet tout fin sur son pubis si léger qu’il faut avoir le nez dessus comme je le suis maintenant pour s’en rendre compte. Quelle belle petite, j’ai une chance incroyable de l’avoir trouvée. Elle me laisse jouer avec son corps, elle aime mes caresses, rien de plus évident. Elle m’excite, je prends son sexe entre mes lévres et je la suce doucement. Bien décalotté, son gland m’offre les deux petites aspérités, que j’agace du bout de ma langue. Eve se tortille, pousse de petits cris, elle mouille, une grosse perle c’est formée, elle glisse le long de sa tige . Je récupére ce nectar, j’aime ce goût un peu salé, douceâtre et chaud, que son plaisir fait monter dans son sexe. Je ne suis pas mieux qu’elle et je mouille de la même manière, mon gland est mouillé, ma verge gonflée, les veines sont saillantes. Eve respire de plus en plus fort, et gémit de plaisir. Je tire sur con sexe qui vient se plaque contre son ventre, avec un claquement sec quand je le laisse s”échapper. Elle tente d’attraper son sexe, je repousse sa main.

Laisse moi faire mon ange, laisse moi te donner du plaisir.
Ohhh c’est bon Gui c’est bon viens j’ai envie de toi viens.
Je sens qu’elle ne tardera pas à jouir, je veux la faire jouir avant de la posséder. J’ai envie de la posséder, envie de la prendre, de concrétiser ce que je ressens, qu’elle soit à moi. Mes doigts vont et viennent sur ce petit sexe si dur, ses couilles font le yoyo montent et descendent, se plaquent à la base de son sexe, tandis que son petit trou se serre. Elle se mouille de plus en plus, elle coule lentement sur mes doigts. Elle a glissé ses mains sous son soutif et caresse ses petits tétons qui me sont encore inconnus pour le moment. Eve ondule son bassin rythme ma caresse, le rythme est de plus en plus haché, le compas de ses cuisses s'ouvre et se ferme en cadence. Sous mes doigts je sens sa queue qui s’agite, comme douée d’une vie propre. Puis c’est soudain, elle se tétanise, ses musvles des cuisses saillants sont bandés, son sexe crache un premier jet avec force, qui vien mourrir sur sa poitrine et son cou, un autre éclabousse ses joues, sa bouche, son front. Un autre encore se perd dans ses cheveux puis quatre fois elle gicle des douzaines de gouttelettes qui constellent sa peau de tâches brillantes dans la lumière. Elle a crié très fort, tout son être tremble.

Oh c’est bon , c’est bon!! Encore fais moi jouir encore.
Nous y voilà, Eve avait un désir précis et j’allais lui donner ce qu’elle voulait. Je caresse sa queue qui reste dure, je me suis penché sur son visage et nos lèvres partagent le sperme qu’elle à copieusement dispensé sur son visage, je lèche son cou, récupérant une belle quantité de son jus que je viens déposer sur sa langue. Elle suce la mienne pour récupérer tout son foutre. Je continue à la branler un peu plus fort cette fois, elle grimace un instant et je sens que la caresse est très forte, presque trop même. Puis elle reprend ses gémissements. son petit sexe durcit encore, je suis incapable de recaloter le gland. Heureusement , son jus est resté sur sa queue et rapidement je masse sa tige qui se couvre d’une émulsion blanche. Ses couilles sont contre sa tige, elles ne descendent plus. De mon autre main je les caresse, puis je descends mes doigts, caresse et masse son petit trou, je lui fait lécher mes doigts Je pénètre un doigt dans son petit cul, rapidement rejoint par un second. Je masse vers le haut cherchant la prostate que je trouve facilement. Instantanément elle se met à couler de plus belle. Elle ondule, comme un reptile.. 2 doigts en elle, je masse également avec mon pouce la zone qui est au-dessus de sa prostate. La pince de mes doigts et de mon pouce attaque cette glande des deux côtés. Ceux qui ont eu droit à ce traitement savent combien c’est bon. Les autres demandez à votre copine ou copain de le faire je vous promet un orgasme vraiment génial.

En assez peu de temps, Eve est au bord de l’explosion de nouveau.

Chéri c’est fort, c’est bon oh ouiii encore, oui là vas y continue.

Comme la première fois l’explosion est soudaine, c’est fort, Eve pousse un hurlement de libération, elle gicle plus fort encore que la première fois, plus longuement aussi. Cela semble ne pas vouloir s’arrêter. C’est magnifique de la voir perdre les pédales comme elle le fait. Son plaisir est intense, ses yeux se révulsent. Elle à du mal à retrouver sa respiration, elle retombe presque inerte fauchée par son plaisir. Eve est constellée de tâches humides, les draps, la tête de lit noir laqué est couverte de coulures laiteuses. Elle à éparpillé son plaisir, j’ai sur la peau plein de gouttelettes. J’ai toujours mes doigts qui caressent son sexe. J’ai ôté les doigts qui ont occupé son anus. Je pensais voir son sexe, se replier pour un peu de repos, mais non elle est toujours dure.

Tu bande encore petite salope tu en veux encore? Dis moiOh oui chéri, continue, continue encore c’est tellement bon.

J’ai moi aussi la queue tendue, je coule aussi, un long fil translucide pend au bout de ma queue, Eve le remarque et le prend avec ses doigts avant de le poser sur sa langue et de lécher ses doigts.
Je continue à m’occuper de ce petit sexe infatigable. Elle réagit beaucoup, petit saut de carpe quand la caresse est un peu forte sur son gland, frissons, ses mains agrippant les draps et démontent le lit. J'accélère, ralentit, serre plus ou moins sa petite tige. Eve semble toujours à deux doigts d’un orgasme.

Plus fort !! encore, plus vite ahhh c’est bon comme çà Elle guide mes caresses. Plus le temps passe, plus je suis excité, plus j’ai envie de la prendre. J’ai peu de fois désiré autant une partenaire que ce soir. Eve cramponne ma main tandis que je monte et descend sur sa queue, j’ai mouillé ma main de salive pour glisser sur son sexe. Je la vois grimacer, s’arc bouter, presque échapper à ma main
Plus vite!!! plus fort fais moi cracher salaudElle devient vulgaire, j'aime ça. J'accélère ma branlette, tout en serrant sa queue. Ma main est pleine d’écume blanche. Son petit gland est presque violacé et gonflé . ses couilles ont disparu dans son ventre tellement elle sont serrées au bas de son sexe. Crispées sur ma main, ses menottes serrent, me griffent le poignet. Appuyées sur les talons et les épaules elle se tend comme un arc, en criant comme une folle
Ouii Ouii Ouii fort!!! Vide moi !!! encore encore
Elle jouit encore une fois violemment, abondamment, d'un jus transparent comme de l’eau, j’entends les flocs sur les draps, sur la moquette, sur la tête de lit, sur son visage, ma main, mon poignet sont trempés. Encore une fois elle baptise la pièce.

Eve tend les mains vers moi, écarte le cuisses et me dit :
Viens mon amour, viens , prend moi je veux te sentir, viens remplir mon culPetite chienne tu en veux vraiment, je vais te défoncer le cul tu vas voir.

Je suis au diapason avec elle, je sais que j’ai utilisé les bons mots, le ton qu’elle attendait. Elle est en confiance avec moi, elle se lâche. Je m’installe et pose ma queue contre son œillet palpitant, il est mouillé, mon gland aussi il dégorge de plaisir. Je place le creux de ses genoux, dans celui de mes coudes. Je pousse en basculant en avant, je pose ma bouche sur la sienne, elle m’embrasse fougueusement, un coup de rein, mon gland la pénètre puis doucement je me laisse glisser en elle. J’avais peur de lui faire mal, mais ma grosse queue glisse avec aisance dans son petit cul. Mes couilles claquent contre ses fesses. Je ressors totalement de son anus, puis je reviens à fond en un seul coup de rein. Elle se cambre.

Oh c’est gros je te sens bien !! vas y chéri baise ta petite pute.. dis je suis ta puteOui tu es ma petite pute à moi, ma chienne. Je te défonces et je te viderais encore.

Ses jambes sont croisées sur mes reins, elles impriment leur rythme, elle me force à aller loin en elle. accrochée à mon cou, elle se cambre . Ma queue est massée par ses muscles . Son petit gabarit ne laissait pas augurer de cette vigueur. Je ne sais plus si je la baise ou si elle me baise. Peu importe, je suis là où je veux être. Je contemple son visage, mon dieu quelle est belle, il n’y a plus que ce petit bout de femme échevelée, s’offrant à moi totalement, je lis son plaisir sur son visage. Je vois sa main chercher son sexe et se mettre à le branler avec force. Elle vient de jouir trois fois en 40 minutes et elle s’astique de nouveau, elle est increvable.
Je donne de grands coups de reins, à chaque pénétration elle pousse un cri de plaisir. La sueur commence à coller ses cheveux sur son visage, sa peau est de plus en plus luisante. Elle se donne totalement. Mes mains sous ses fesses je la soutiens à hauteur de ma queue. Elle se branle avec frénésie, son sexe est aussi dur que quand nous avons commencé, son gland est rouge tant il est sollicité. Mes couilles claquent contre ses fesses.

C’est bon c’est bon encore baise moi fort crie t elle.
Branle ton clito petite salope, tu sens bien ma queue làOui Gui plus fort, plus fort!!
Je laboure son cul, je sors totalement elle reste grande ouverte, je replonge en elle. Son petit trou, n’a de petit que le nom. Eve est écarquillée ouverte Je suis sur que je pourrais y mettre ma main. Je ne veux pas brûler les étapes. Je suis noyé dans un réel plaisir, le sien et le mien qui se conjuguent. Je ne pensais pas avoir autant de sensations avec elle quand nous avons décidé de nous rencontrer. Je la laisse reposer sur le lit, me penche vers elle, je trouve sa bouche, ses yeux sont grands ouverts, ils sont incandescents, ses lèvres tremblent. Sa bouche est ouverte elle tire sa langue vers moi, sans réfléchir je crache sur sa langue dans sa bouche. Elle a une expression extatique, léchant ma salive sur ses lèvres, elle à un gros frisson. Je crois que j’ai touché un point faible, malgré son vécu ou a cause de lui elle aime être humiliée.

Ouiiiiii Encore.. je suis ta salope, ta pute dis le chériTu est ma salope, ma pute, ma chienne. Tu es à moi.. Ouvre ta gueules putain.

Elle ouvre sa bouche, son regard me transperce, elle attend que je recommence. Je crache à nouveau, elle frémit. Je lâche un gros je te salive sur son visage et avec ma main lui étale sur le nez, les joues. Sa langue lèche ma main. Elle est comme transfigurée, un masque d'extase est posé sur ses traits. Plus femelle qu’elle à cet instant c’est impossible. Tout çà à fait monter mon excitation au plus haut point. Au tréfonds de moi je sens ce picotement, cette vibration qui annonce l’orage. Elle doit le voir sur mon visage car elle me dit
Viens, chéri viens jouis dans mon cul, emplis moi, gicle mon chéri je te veuxOuvre toi salope je vais t’inonder, je vais….

Incapable de finir ma phrase, je me plante au fond de son ventre, je sens le foutre qui se rue dans ma queue, c’est incroyable comme on sent la montée le long de l’urêtre. Mon sexe gonfle et je jouis en poussant encore plus loin en elle. Je déverse une ondée puissante, plusieurs saccades lui remplissent le cul de mon sperme épais et chaud.
J’ai été très démonstratif, j’ai crié, gueulé quand j’ai joui. Elle est pendue à mon cou me couvrant de baisers.

Oh c’est bon mon chéri, tu est merveilleux c’est si bon avec toi. Tu baise comme un dieuJe n’ai jamais eu droit à autant de superlatifs, son enthousiasme fait plaisir à voir. Au moins je suis sûr qu’elle à aimé. Elle à toujours sa main qui s’agite sur sa queue toujours raide.

Aides moi chéri, finis moi fais moi cracher encoreDoucement, tu te mets dans un état, ma chérie.
S’il te plaît, je t’en supplie , fort très fort même si tu me fais mal.
Elle semble désespérée, elle veut encore tirer du jus de sa petite queue qui est certes toujours aussi bandée, mais je me demande ce qu’elle peut encore donner après tout çà en si peu de temps. Je la branle, avec frénésie, je lèche son gland, je trouve tous les artifices que je connais pour arriver à ce qu’elle jouisse enfin. J’y passe pas loin d’une demi heure. Parfois elle semble sur le point de jouir mais elle manque cet instant où tout se concrétise, si on est pas au rendez vous, il faut refaire tout le parcours. Je sens de plus en plus distinctement qu’elle souffre vraiment , je voudrais arrêter mais elle m’exhorte de continuer. Je ne peux visiblement pas la laisser comme ça. Je force les choses, je la regarde droit dans les yeux, elle me jette un regard de supplique. Je la gifle brutalement.

Mais tu vas cracher salope!!! allez, donne moi ton jus!!

Elle me scrute d’un air étonné et satisfait. Je sens son sexe qui saute sous mes doigts
Allez putain, donne toi .. donne toi.. mouille ma main..
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Fortttttttttttttt
Cette fois elle jouit, à peine quelques gouttes lui tombent sur le ventre. Je lèche son gland rougeoyant. Elle saut comme une carpe, son sexe est tellement sensible, elle ne supporte plus que je le touche.

Je m’allonge sur le lit, près de Eve, elle se rapproche de moi, se blottit contre ma poitrine. Ses yeux rieurs désormais me regardent, je dirais amoureusement. Sa main crasse mon front, ma joue, ses doigts dessinent mes lèvres. Elle à le souffle court, je léche le bout de ses petits doigts, pour y retrouver le gout de son sexe.
Nous sommes dans un moment de grâce, nos corps ont exulté plus que de raison, on ne sait plus parler que par gestes câlins, amoureux. Dans ma tête j’essaye d’analyser ce qui m’arrive. Je suis bien loin d’une rencontre pour la baise. Je ne veux pas me l’avouer car c’est trop compliqué, mais Eve vient de mettre un coup de pied dans mon cœur et investit les lieux. Elle a tout pour me plaire, une libido totalement débridée, une sorte de folie qui l’incite à dépasser les frontières, c’est adorable mais ça peut se révéler dangereux. J’imagine ce qui pourrait lui arriver avec un autre que moi. Si elle se lance dans ce type d’excès avec un mec fragile ou qui n’a pas les pieds sur terre, elle pourrait avoir de sacrés problèmes. Déjà là je regrette certains mots que j’ai prononcés, je regrette de l’avoir giflée même si le résultat est là. Lui cracher au visage était ce bien nécessaire. Je l’ai fait aussi égoïstement pour mon plaisir. Je ne me sens pas fier de tout çà. Puis je me dit que si je regrette ces choses, c’est qu’elle à une réelle importance pour moi. La petite clochette d’alarme tinte dans mon crâne, comme en opération quand je sens confusément les emmerdes qui arrivent. Mais quelles jolies emmerdes.

Je ne vais pas vous infliger le reste de la journée Après un peu de repos, nous avons remis ça, elle a joué encore au moins 6 ou 7 fois la plupart du temps sans une goutte de foutre, mais avec des orgasmes plus forts à chaque fois. J’ai pris son petit cul 4 ou 5 fois avant qu’elle ne termine sur une pipe phénoménale qu’elle réclamait depuis un moment.

La fin de journée nous trouva bien fatigués tous les deux. J’ai toujours la forme certes mais j’ai aussi mon âge et là je pense que j’avais puisé dans des réserves insoupçonnées. Dans les moments de calme je n’ai cessé de penser à l’avenir, j’ai décidé unilatéralement certaines choses.

Eve ma chérie, quelle journée, j’en veux bien d'autres comme ça et toi?
Oh oui Gui c’est super, j’avais jamais vécu çà. Pour toi je suis une femme, je l’ai senti tout le temps. Mais tu vois il me manque des choses.
Non il ne te manque rien, il te faut de la patience et de l’aide. Veux-tu que je t’aide?
M’aider? Tu peux faire quoi? et puis je suis juste un coup en passant. On se reverra?
Écoutes ma chérie, j’ai pensé à ça tout le long de la journée.
Tu réussis à penser en baisant comme çà? Tu est vraiment spécial toi!!
Ne te moque pas !!
Non je t’adore dit elle en m’embrassant tendrement.
Déjà ma belle, tu dis quoi de cet appartement? il te plait?
Ah oui je kiffe grave c’est trop beau.
Pour l’instant il sera à toi, je pourrais venir voir ma petite Eve quand elle voudra.
T’es dingue!! tu déconnes !! Te moques pas de moi fit-elle l’air renfrogné.
Je ne me moque pas de toi, je suis sérieux. Regardes moiElle leva les yeux, puis planta son regard dans le mien.

Après ça tu crois que je peux me moquer de toi? J’ai eu avec toi un plaisir que j’ai rarement. Pour parler comme toi je te kiffe comme un malade. Ça me fait même peur. Tu sais je suis mariè et je ne quitterais jamais ma femme mais je peux partager mon attention entre vous deux Tu crois que tu pourrais accepter çà?
Je crois que tu es un mec étrange, je sens que tu es sincère mais tout çà est fou quand même. Tu est amoureux??
Je ne sais pas ma belle, je sais pas, c’est tout neuf, je sais que j’ai besoin de savoir que demain ou après demain je pourrais être avec toi. Tu as besoin d’aide non?
Pourquoi? Je me débrouille seule tu sais, c’est pas reluisant mais je fais ce que je veux.
Oui tu gagnes un peu d’argent en te vendant, tu dépense beaucoup pour fumer de la merde et te piquer maintenant tu me l’a montré n’oublies pas. Tu veux que je sois insensible à ça.
Mais tu n'es pas là pour t’occuper de moi! On est là pour baiser c’est tout.
Non c’est pas tout, pourquoi tu es comme ça? Je ne veux pas te mettre en cage, je ne veux pas t’obliger, je veux aider. Aider un petit bout de femme qui me touche, que j’apprécies.
Tu es gentil, c’est sûr, pourquoi t’emmerder avec moi, on se retrouve si tu veux me baiser c’est tout. Je t’apporterais que des emmerdes.
Tu es vraiment têtue, tu me diras ça te va bien.J’aimes plutôt çà. Tu sais bien que si tu veux réussir ta transition çà va demander de l’argent, du suivi. Je sais que tu fais ce que tu peux mais si je t’aides ça ira mieux. Moi je peux me le permettre, c’est pas l’argent qui me manque, tu t’en doutes, l’appartement la il est à moi mais l’immeuble aussi est à moi les autres appartements sont loués. Des comme çà j’en ai plusieurs. Ne pense pas être une charge, surtout ne pense pas que je veux t’acheter. Si demain tu ne veux plus me voir ça me fera mal je pense mais je ne trahirais pas ma promesse, je t’aiderais jusqu’au bout, quoi que tu veuilles faire.
Tout ça pour moi? Tu es complètement fou !! je ne vaut pas çà, je suis quoi? une pute même pas femme qui se fait démonter pour du fric, pour le plaisir avec toi mais je suis quand même pas grand chose, je mérites pas que tu t’intéresse à moi. Tu es con tu veux me revendre plus tard?
Arrêtez ça!! Arrêtes tu te fais mal , tu me fais mal dis je en attrapant ses poignets.

Elle se débat un instant, éclate en sanglots et se jette dans mes bras, je l’enlace sans rien dire et je caresse ses cheveux. Cette fois j’ai les larmes aux yeux, je la sens si mal dans sa peau. J’ai peur de l’avoir trop brusquée.

Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi tu me fais ça? à vouloir me sauver ou je sais pas quoi. je suis rien pour toi, juste un coup en passant, Tu me dois rien. On a passé un super moment c’est tout.
Pourquoi? J’ai envie de t’aider de pas te perdre, je le sens au fond de moi j’ai pas d’explication, amoureux? peut-être, j’en sais rien. Mais je veux que tu sois heureuse. Tu as assez souffert, je peux le faire, je peux te sortir de tout çà, te faire vivre ton rêve Je le fais autant pour toi que pour moi je crois. C’est pas logique, j’ai besoin de le faire, je dois le faire. Tu n'es pas croyante? moi si ne ris pas je suis certain de devoir être là pour toi.
Mais, mais tu est marié et ta femme elle va finir par le savoir.
Ne t’inquiétes pas de çà, ma femme sais que je devais te rencontrer, elle et moi on se dit tout. Elle sait toujours, si je fais une rencontre, on a toujours vécu comme ça, avant elle serait même venue avec moi. Mais comme elle se trouve trop grosse et moche maintenant pour ces choses là, elle me laisse vivre ma vie sur ce plan.
Dingue !! tu es vraiment un martien !! Je ne savais pas que les martiens faisaient aussi bien l’amour, je crois que tu ne m’a pas baisée mais fait l’amour. Je me trompe?
Non tu a parfaitement raison, je te respecte trop pour ça. Je suis peut être compliqué mais tu ne me comprends pas si mal ma jolie.
Elle m’embrasse , dépose des baisers partout sur mon visage, me caresse la poitrine, pose sa joue contre mon sein.

Je n’en reviens pas de trouver un homme comme toi, j’aurais jamais pu même en rêver.
Continue de rêver alors, accepte ce que je propose. On ira voir un psy, un bon médecin pour toi, tu m’a dit que tu avais commencé un traitement. J’ai lu qu’il y avait plein de produits de merde dans ce domaine et qu’il pouvaient poser des problèmes. Pour moi même actuellement tu est parfaite, j’aime comme tu est, je crois que je l’ai prouvé. Mais c’est toi qui doit dire ce que tu veux et comment tu veux être. Ne te casse plus la tête pour les choses matérielles.
je vais dire un truc qui va peut-être te faire bizarre . Je vois aussi en toi une troisième fille. Tu es juste un peu plus jeune que la seconde.
C’est totalement pervers çà !!! Tu me baises et tu me considères comme ta fille..tu a de drôles d’idées, je sais ce que çà donne quand les pères ont envie de certaines choses tu l’a oublié?
NON !! dit pas ça !! jamais je n’ai eu ce genre de pensées!!
J’en suis sûre, ça ne va pas avec toi, tu es plutôt un Saint Bernard on dirait. J’aime bien ces gros chiens tous gentils. Tu es mon saint Bernard?
Si tu veux, je mettrai un tonneau de rhum autour de mon cou la prochaine fois.
Alors, tu acceptes ce que je te propose?
Pour le moment oui mais on devrait reparler de tout ça c'est trop dingue.
Veux-tu que je reste avec toi cette nuit?
Et ta femme?
Je lui passe un coup de fil, et on reste là tous les deux. On va se commander à manger, tu n'as pas faim?
Si après tout çà je meurs de faim.
Je la serrait contre moi, prenant sa bouche dans un baiser très tendre, qu’elle rendait avec entrain, je caressais sa peau nue, j’avais encore envie d’elle et elle avais encore envie de moi. Cela s'est vérifié toute la nuit ensuite.


Voilà comment à commencé cette aventure, qui dure encore et qui durera longtemps j’espère. Pardon de délivrer autant de sentiments personnels, mais c’est indissociable de la partie erotique, pronographique même de cette histoire autobiographique dont je suis fier.

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