Eve soirée SM
Récit érotique écrit par VieuxMachin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Eve soirée SM
Avec Eve un week end est toujours un cadeau. Actuellement nous sommes ensembles quand cela est possible. Donc le WE à deux est un moment privilégié. Ma petite déesse est d'une curiosité sans bornes, elle aime expérimenter, elle aime apprendre et ensuite elle adopte ou pas les choses. Je reconnais ma façon de procéder en elle, c'est amusant elle à les mêmes critères que moi. On tente les choses si c'est bien on adopte, si cela ne plaît pas on abandonne.
Quand nous nous sommes rencontrés, je lui ai raconté ma vie, mes expériences et certaines de mes expériences ont suscité son intérêt. Ce fut le cas de toutes les expériences sado-maso que j'ai pratiqué depuis longtemps . Eve me pressa de question et rapidement.. elle voulut être initiée. J'ai vite compris qu'elle avait toute la tournure d'esprit qui fait d'elle principalement une soumise, mais qu'elle pouvait aussi dans une moindre mesure être un peu dominatrice.
Nous avions la veille, fait une escapade exhibitionniste sur un parking de la région et Eve était d'humeur plus que coquine, habituellement elle est déjà un peu provocante, ce samedi elle était diaboliquement excitante. Elle me fait comprendre.. qu'elle avait envie d'être contrainte, que sa peau avait envie de se frotter au cuir du martinet et de la cravache. Je suis tiraillé entre le pur désir de la soumettre et le souvenir des malheurs que ces pratiques ont fait choir sur moi. Mais il ne faut pas croire que tout se répète.
Le soir venu... ma belle petite déesse.. arriva dans le salon.. avec une guêpière noire, un soutien gorge rouge et noir, bracelets de cuir aux poignets, de petits escarpins rouge au pied. Elle se plaça devant moi, elle ne portait pas de culotte et son petit sexe au repos ce qui est si rare. Elle portait dans ses mains le martinet, la cravache et les pinces à seins que nous avons acheté tous les deux.
Elle s'agenouilla devant moi, les ustensiles posés sur ses mains paumes vers le haut.
Mon maître j'ai été une vilaine fille je dois être punie dit elle les yeux baissés.
Très vilaine ? Dis-je en lui relevant la tête Oh oui j'ai fais des choses devant des étrangers et j'ai aimé ça dit elle les yeux sur mes pieds.
Alors tu seras sévèrement punie toute la soirée.. voir la nuit entière. Dis-je en la giflant.
Merci maître...
Elle lèche ses lèvres et un coup d’œil entre ses cuisses m'indique qu'elle aime l'entrée en matière car elle commence à bander.
Dis moi... c'est quoi çà ? Dis-je en donnant une petite claque sur son sexe.. Tu n'as pas honte?
Pardon maître... pardon.. dit EveJe dois vraiment te punir !
Je prends les accessoires, les dépose sur le fauteuil, je garde le martinet. Je passe derrière Eve et lui ordonne de mettre ses mains sur sa nuque. Elle obtempère. J'abat le martinet sur ses fesses, les lanières claquent sur sa peau nue.
Ouhhhhhh cries EveOh … aurais tu mal ? Petite esclave.. dis-jeNon maîtreAlors encore...
Oui maîtreJe regarde son sexe qui durci et gonfle encore plus.
Et tu bandes !!! Regarde moi çà.. dis-je en laissant glisser les lanières sur sa queue.
C'est bon maitre... dit EveJe m'assieds face à elle, et je prend la cravache, souple une âme tressée une claquette fine au bout, une large est trop douce, elle font du bruit mais aucun mal. Celle-là on la sent bien.
Je vais devoir te punir par là ou tu pêche, petite salope. Regarde moi çà !! tu est toute dure, tu aimes çà !!!
Oui Maître !!! dit EveTant pis pour toi alors...
Je promène la cravache le long de son sexe, Eve frissonne et sa queue se tend encore plus se collant à son ventre. D'un mouvement latéral je claque légèrement sa tige par un aller retour.
Ouhhhhh s'écrie t-elleAh ah.. tu le sens bien … petite chienne..
Elle hoche la tête et avance son bassin pour m'inciter à continuer. Je frappe doucement régulièrement comme un métronome, montant et descendant le long de sa tige. Eve se tortille sous les coups de plus en plus rapides. Elle halète et se mordit les lèvres, en gémissant. Elle apprécies pourtant car déjà son sexe coule abondamment.. Son gland est trempé et sa mouille fait de longs fils. Je caresse le gland mouillé avec la claquette de cuir noir, elle est vite couverte de liqueur, le présente alors la claquette devant la bouche de Eve. Elle lèche le cuir souillé. Son sexe est de plus en plus gonflé, elle est parcourue de frissons. Par instant, elle est secouée par un tremblement.
Remonte ton soutien gorge ordonnais-jeElle fait glisser le petit sous-vêtement, avant de remettre ses mains croisées sur sa nuque. Du bout de la cravache je caresse ses tétons, ils se dressent et durcissent rapidement. D'un coup sec je frappe le sein droit, puis le gauche aussi vite.. Arrachant un cri à Eve. Puis je recommence nouveau cri et ses yeux s'emplissent de larmes.. brillantes.. Mais à cet instant... elle parle doucement
Encore.... cognes moi encoreAh tu en veux !!
Ouiiiiiiiiiiiii fait elle d'une voix éraillée.
Je frappe ses petits tétons du haut vers le bas.. J'ai frappé fort.. et je bande.. Je me lève et enfonce ma queue dans sa bouche.. tandis que ma cravache lui cingle les fesses. Mes coups de reins enfonçant ma queue, au fond de sa gorge, elle commence à baver, la salive lui coule sur la poitrine; goutte sur le sol. Je tire ses cheveux en arrière, sa tête levée vers moi je lui ordonne d’ouvrir la bouche et de tirer la langue. Elle obéit, docilement. Ses yeux me contemplent amoureusement. Qu’elle est belle, ainsi. Je laisse tomber dans sa bouche un long jet de salive, elle le reçoit comme un cadeau, son frisson est parlant, cette humiliation la satisfait pleinement. Je sais ce qu’elle ressent pour avoir été à sa place bien souvent. Ma jolie petite femelle particulière tremble comme une feuille, ce n’est pas la peur mais l'excitation. Son clitoris est tendu à l’extrême, dressé contre son pubis, je m’incline vers elle, Pose ma bouche sur ses lèvres, elle entame un baiser qu’elle espérait. Sa bouche à le goût de fruit, de fruit défendu. Ma main glisse sur ses seins, puis descend par son nombril. J’englobe ce sexe durci avec ma main. Nos lèvres, soudées, me permettent de sentir chaque tressaillement. Je bande comme un dingue, j’ai envie de me jeter sur elle, de la pénétrer, de me vider en elle, tout en vidant ses petites couilles durcies. que je malaxe sans ménagement. Je sens qu’elle souffre sous les pressions que je cause à ses noisettes. Je romps le baiser.
Tu as mal, petite salope, je vais t'écrabouiller ces petites couilles, tu n’en as pas besoin petite chienne.
Ohhhh oui!!Faites le Maître, écrasez-les pour de bon.
Je sais qu’elle n’est pas tout à fait dans le jeu, elle devient si soumise depuis quelque temps, que je pourrais lui imposer n’importe quel service. Moi qui par le passé ai déjà connu déjà celà je ne peux que frissonner en me remémorant les suites de cette liaison.
Lentement je presse ses petites olives dans mes doigts, son visage reflète une véritable douleur, mais elle ne cesse de murmurer, encore, plus fort. Je l'entraîne jusqu’au point où elle ne pourra plus supporter cet instant ou dans notre tête on sent la chair qui va céder, cette douleur qui remonte, au cœur, jusqu'à vous en donner la nausée. Elle cries sa tête fait non, supplies l’arrêt de la torture mais sa volonté dit oui et réclame de moi que j’aille au bout. Eve désire sentir la destruction de ses couilles, elle l’accepte et la désire plus que tout. Dire, ce que je ressens est terrible pour moi, je suis au comble de l'excitation, je suis prêt à presque mutiler un être que j’aime, pour le plaisir, pour son plaisir. Il suffit de peu de choses pour franchir le Rubicon. Je lâche d’un coup son sexe, elle se tasse sur elle même, s’écroule presque en reprenant son souffle. Ma main est trempée des secrétions qu’elle n’a cessé de déverser sur ma paume et mon poignet. Ma main sur ma queue branle doucement ce sexe qu’elle aime tant. Ma cravache s’abat sur ses fesses , son dos. Eve se remet dans la bonne posture. Je promène mon gland sur son visage, moi aussi je mouille abondamment et je dessine les traces d’un escargot sur la face de ma soumise. Elle est haletante, ses yeux brûlent d’un feu incandescent, elle ne voudrait pour rien au monde que cela s’arrête. J’aime tant le SM et je le déteste tout autant. Incongru? non c’est le résultat des sentiments contradictoires que font naître cette pratique. Eve se remet totalement entre mes mains, si je pousse le raisonnement au bout, elle met sa vie même entre mes mains. Quand on arrive au bout de ses désirs, il faut se garder des dérapages. Le Maître est le jouet de la soumise, elle qui subit, accepte les punitions, plus elle les demande, elle les suscite. Le maître est là pour à la fois satisfaire son désir d’emprise, de puissance mais surtout là pour répondre aux désirs de souffrance vraie ou un peu simulée par l’esclave. Dans le cas de Eve je sais qu’elle est dans le réel, elle veut ressentir la douleur, pour elle c’est sa recherche. En peu de temps elle est passée de la découverte à la pratique hard avec une étonnante facilité. Comme si Eve était faite pour ça.
Met tes mains sur ta nuque, ordonnais-je.
Oui Maître dit Eve la voix mal assurée.
Elle sait à quoi s’attendre. Avec ses mains placées ainsi, sa poitrine sera totalement offerte. Son traitement hormonal réussit pleinement et ses petits seins sont désormais, bien galbés, ce sont des seins et non plus de petites bosse sur un torse de garçon. Sa taille fine, ses hanches, bien rondes. Ce petit cul adorable.
Eve ma petite trans est devenue une superbe petite femme, j’en suis totalement dingue, jamais je n’aurais pensé qu’a 60 ans révolus je pourrais être aussi amoureux qu’un gamin de 15 ans. Pourtant c’est le cas, mais avec toute la perversité et l’expérience acquise. Ceci n’aurait jamais été possible sans le soutien de Marie, ma femme. Elle avait abandonné sa libido simplement se trouvant trop âgée pour ces choses. Certes elle a 10 ans de plus que moi, et il faut l’avouer beaucoup de kilos en trop. Mais l’arrivée de Eve à mis un coup de fouet à notre couple. J’aime ma femme et n’ai jamais eu l’intention de la quitter. Mais elle savait que j’entretenais des liaisons, avec Eve c’était évident que je devais trouver une solution. Je ne pouvais me passer de cette gamine et je ne pouvais pas non plus me passer de ma femme. Marie à elle même suggéré que Eve se joigne à notre vie/ Ménage à trois atypique, mais quelle satisfaction quand je vois la tournure des événements. Marie se prenant d’amitié, plus que çà même pour la petite Eve, leur complicité est totale et touchante. Je suis sans doute l’homme le plus chanceux de la terre ( à mon avis). Avoir sa femme, sa maitresse dans le même lit tous les soirs est une chance incommensurable. Voir sa femme et sa maitresse faire l’amour ensemble est d’une saveur particuliére.
Pour le moment Eve s’offre à moi corps et âme, elle est mon jouet, ma poupée. Je me suis muni du martinet aux laniéres fines de cuir noir. Sa poitrine se soulève au rythme d’une respiration saccadée, son excitation et le désir est palpable. Ses yeux ne me quittent pas, je tourne autour d’elle, je suis nu la queue dressée. Je laisse les brins de cuir effleurer sa peau. Frissons, soupirs. Ma main dans sa chevelure ébouriffée, caressent ses mèches blondes. Ses yeux un peu humides suite à la pression que j’ai mis sur ses petites couilles. Son maquillage part un peu. Pourtant elle est belle à damner un saint. Le garçon qu’elle fut à disparu, Je sais son prénom, Jamais ne l’ai employé. Elle est Eve çà lui va comme un gant. Au moment où elle s’y attend le moins je lui cingle le dos, puis les fesses. Lui tirant un cri de surprise et de douleur. Je n’ai pas retenu les coups, je voulais lui faire mal. Je tourne autour d’elle me place face à elle, D’instinct elle écarte ses coudes, bombe le torse, offre ses jolis seins à mes coups. Un aller retour rapide, fait tressauter ses pommes d’amour. Elle crie, se plie en avant, avant de se remettre en position. Nouvel aller retour des lanières.
Arrghhh, oh ca fait mal !!! encore quémande telle.
Tu en veux plus? petite chienneOuiii fait elle d’une voix rauque.
Elle a les lèvres tremblantes,le souffle court, son corps entier est agité d’un tremblement qui n’a rien à voir avec la peur mais l’expression de son excitation. Son dos, ses fesses ont commencé à rougir sur ses seins, les marques des lanières sont en train d'apparaître. J’ai frappé fort, ça doit la brûler. Les marques rougissent, gonflent un peu. Des larmes coulent de ses jolis yeux. Mais çà mine provocatrice m’incite à poursuivre, par deux fois elle a quité la position pour branler son sexe. Elle le fait ostensiblement pour que je la remette dans le droit chemin.
Arrête de te toucher petite pute criais-je Tu veux une vraie queue, tiens prend la mienne ouvre ta gueule salope.
Elle ouvre sa bouche et d’un coup de rein j’enfonce ma queue au fond de sa gorge. Je suis tellement excité que je manque de tout cracher. Elle s’en est rendu compte. Ses mains sur mes fesses, elle avale mon sexe le plus profondément possible. Mon gland bute au fond de sa gorge.
Si tu continues tu vas étouffer je vais cracher dans ta gorge, petite chienne.
Son regard en dit long, elle n’attends que çà. Je sens une humidité soudaine contre ma jambe, Elle se serre contre moi, la petite pute est simplement tellement excitée, qu’elle jouis sur mes jambes. J’adore, je pousse sa tête contre mon pubis, et en poussant un grand cri je me vide les couilles dans sa gorge. Longuement je jouis, giclées après giclée je lui remplis la gorge. Secouée de spasmes elle tente de déglutir, mais c’est trop, le sperme remonte par le nez, elle s’étouffe. Je donne encore quelques coups de fouet sur son corps déjà bien marqué, je bande encore, je suis sur le point de m’agenouiller et de l’enculer quand j’entends la voix de Marie.
Alors mes chéris, on s’amuse, c’est terminé ou je peux me joindre a vous?
A suivre
Quand nous nous sommes rencontrés, je lui ai raconté ma vie, mes expériences et certaines de mes expériences ont suscité son intérêt. Ce fut le cas de toutes les expériences sado-maso que j'ai pratiqué depuis longtemps . Eve me pressa de question et rapidement.. elle voulut être initiée. J'ai vite compris qu'elle avait toute la tournure d'esprit qui fait d'elle principalement une soumise, mais qu'elle pouvait aussi dans une moindre mesure être un peu dominatrice.
Nous avions la veille, fait une escapade exhibitionniste sur un parking de la région et Eve était d'humeur plus que coquine, habituellement elle est déjà un peu provocante, ce samedi elle était diaboliquement excitante. Elle me fait comprendre.. qu'elle avait envie d'être contrainte, que sa peau avait envie de se frotter au cuir du martinet et de la cravache. Je suis tiraillé entre le pur désir de la soumettre et le souvenir des malheurs que ces pratiques ont fait choir sur moi. Mais il ne faut pas croire que tout se répète.
Le soir venu... ma belle petite déesse.. arriva dans le salon.. avec une guêpière noire, un soutien gorge rouge et noir, bracelets de cuir aux poignets, de petits escarpins rouge au pied. Elle se plaça devant moi, elle ne portait pas de culotte et son petit sexe au repos ce qui est si rare. Elle portait dans ses mains le martinet, la cravache et les pinces à seins que nous avons acheté tous les deux.
Elle s'agenouilla devant moi, les ustensiles posés sur ses mains paumes vers le haut.
Mon maître j'ai été une vilaine fille je dois être punie dit elle les yeux baissés.
Très vilaine ? Dis-je en lui relevant la tête Oh oui j'ai fais des choses devant des étrangers et j'ai aimé ça dit elle les yeux sur mes pieds.
Alors tu seras sévèrement punie toute la soirée.. voir la nuit entière. Dis-je en la giflant.
Merci maître...
Elle lèche ses lèvres et un coup d’œil entre ses cuisses m'indique qu'elle aime l'entrée en matière car elle commence à bander.
Dis moi... c'est quoi çà ? Dis-je en donnant une petite claque sur son sexe.. Tu n'as pas honte?
Pardon maître... pardon.. dit EveJe dois vraiment te punir !
Je prends les accessoires, les dépose sur le fauteuil, je garde le martinet. Je passe derrière Eve et lui ordonne de mettre ses mains sur sa nuque. Elle obtempère. J'abat le martinet sur ses fesses, les lanières claquent sur sa peau nue.
Ouhhhhhh cries EveOh … aurais tu mal ? Petite esclave.. dis-jeNon maîtreAlors encore...
Oui maîtreJe regarde son sexe qui durci et gonfle encore plus.
Et tu bandes !!! Regarde moi çà.. dis-je en laissant glisser les lanières sur sa queue.
C'est bon maitre... dit EveJe m'assieds face à elle, et je prend la cravache, souple une âme tressée une claquette fine au bout, une large est trop douce, elle font du bruit mais aucun mal. Celle-là on la sent bien.
Je vais devoir te punir par là ou tu pêche, petite salope. Regarde moi çà !! tu est toute dure, tu aimes çà !!!
Oui Maître !!! dit EveTant pis pour toi alors...
Je promène la cravache le long de son sexe, Eve frissonne et sa queue se tend encore plus se collant à son ventre. D'un mouvement latéral je claque légèrement sa tige par un aller retour.
Ouhhhhh s'écrie t-elleAh ah.. tu le sens bien … petite chienne..
Elle hoche la tête et avance son bassin pour m'inciter à continuer. Je frappe doucement régulièrement comme un métronome, montant et descendant le long de sa tige. Eve se tortille sous les coups de plus en plus rapides. Elle halète et se mordit les lèvres, en gémissant. Elle apprécies pourtant car déjà son sexe coule abondamment.. Son gland est trempé et sa mouille fait de longs fils. Je caresse le gland mouillé avec la claquette de cuir noir, elle est vite couverte de liqueur, le présente alors la claquette devant la bouche de Eve. Elle lèche le cuir souillé. Son sexe est de plus en plus gonflé, elle est parcourue de frissons. Par instant, elle est secouée par un tremblement.
Remonte ton soutien gorge ordonnais-jeElle fait glisser le petit sous-vêtement, avant de remettre ses mains croisées sur sa nuque. Du bout de la cravache je caresse ses tétons, ils se dressent et durcissent rapidement. D'un coup sec je frappe le sein droit, puis le gauche aussi vite.. Arrachant un cri à Eve. Puis je recommence nouveau cri et ses yeux s'emplissent de larmes.. brillantes.. Mais à cet instant... elle parle doucement
Encore.... cognes moi encoreAh tu en veux !!
Ouiiiiiiiiiiiii fait elle d'une voix éraillée.
Je frappe ses petits tétons du haut vers le bas.. J'ai frappé fort.. et je bande.. Je me lève et enfonce ma queue dans sa bouche.. tandis que ma cravache lui cingle les fesses. Mes coups de reins enfonçant ma queue, au fond de sa gorge, elle commence à baver, la salive lui coule sur la poitrine; goutte sur le sol. Je tire ses cheveux en arrière, sa tête levée vers moi je lui ordonne d’ouvrir la bouche et de tirer la langue. Elle obéit, docilement. Ses yeux me contemplent amoureusement. Qu’elle est belle, ainsi. Je laisse tomber dans sa bouche un long jet de salive, elle le reçoit comme un cadeau, son frisson est parlant, cette humiliation la satisfait pleinement. Je sais ce qu’elle ressent pour avoir été à sa place bien souvent. Ma jolie petite femelle particulière tremble comme une feuille, ce n’est pas la peur mais l'excitation. Son clitoris est tendu à l’extrême, dressé contre son pubis, je m’incline vers elle, Pose ma bouche sur ses lèvres, elle entame un baiser qu’elle espérait. Sa bouche à le goût de fruit, de fruit défendu. Ma main glisse sur ses seins, puis descend par son nombril. J’englobe ce sexe durci avec ma main. Nos lèvres, soudées, me permettent de sentir chaque tressaillement. Je bande comme un dingue, j’ai envie de me jeter sur elle, de la pénétrer, de me vider en elle, tout en vidant ses petites couilles durcies. que je malaxe sans ménagement. Je sens qu’elle souffre sous les pressions que je cause à ses noisettes. Je romps le baiser.
Tu as mal, petite salope, je vais t'écrabouiller ces petites couilles, tu n’en as pas besoin petite chienne.
Ohhhh oui!!Faites le Maître, écrasez-les pour de bon.
Je sais qu’elle n’est pas tout à fait dans le jeu, elle devient si soumise depuis quelque temps, que je pourrais lui imposer n’importe quel service. Moi qui par le passé ai déjà connu déjà celà je ne peux que frissonner en me remémorant les suites de cette liaison.
Lentement je presse ses petites olives dans mes doigts, son visage reflète une véritable douleur, mais elle ne cesse de murmurer, encore, plus fort. Je l'entraîne jusqu’au point où elle ne pourra plus supporter cet instant ou dans notre tête on sent la chair qui va céder, cette douleur qui remonte, au cœur, jusqu'à vous en donner la nausée. Elle cries sa tête fait non, supplies l’arrêt de la torture mais sa volonté dit oui et réclame de moi que j’aille au bout. Eve désire sentir la destruction de ses couilles, elle l’accepte et la désire plus que tout. Dire, ce que je ressens est terrible pour moi, je suis au comble de l'excitation, je suis prêt à presque mutiler un être que j’aime, pour le plaisir, pour son plaisir. Il suffit de peu de choses pour franchir le Rubicon. Je lâche d’un coup son sexe, elle se tasse sur elle même, s’écroule presque en reprenant son souffle. Ma main est trempée des secrétions qu’elle n’a cessé de déverser sur ma paume et mon poignet. Ma main sur ma queue branle doucement ce sexe qu’elle aime tant. Ma cravache s’abat sur ses fesses , son dos. Eve se remet dans la bonne posture. Je promène mon gland sur son visage, moi aussi je mouille abondamment et je dessine les traces d’un escargot sur la face de ma soumise. Elle est haletante, ses yeux brûlent d’un feu incandescent, elle ne voudrait pour rien au monde que cela s’arrête. J’aime tant le SM et je le déteste tout autant. Incongru? non c’est le résultat des sentiments contradictoires que font naître cette pratique. Eve se remet totalement entre mes mains, si je pousse le raisonnement au bout, elle met sa vie même entre mes mains. Quand on arrive au bout de ses désirs, il faut se garder des dérapages. Le Maître est le jouet de la soumise, elle qui subit, accepte les punitions, plus elle les demande, elle les suscite. Le maître est là pour à la fois satisfaire son désir d’emprise, de puissance mais surtout là pour répondre aux désirs de souffrance vraie ou un peu simulée par l’esclave. Dans le cas de Eve je sais qu’elle est dans le réel, elle veut ressentir la douleur, pour elle c’est sa recherche. En peu de temps elle est passée de la découverte à la pratique hard avec une étonnante facilité. Comme si Eve était faite pour ça.
Met tes mains sur ta nuque, ordonnais-je.
Oui Maître dit Eve la voix mal assurée.
Elle sait à quoi s’attendre. Avec ses mains placées ainsi, sa poitrine sera totalement offerte. Son traitement hormonal réussit pleinement et ses petits seins sont désormais, bien galbés, ce sont des seins et non plus de petites bosse sur un torse de garçon. Sa taille fine, ses hanches, bien rondes. Ce petit cul adorable.
Eve ma petite trans est devenue une superbe petite femme, j’en suis totalement dingue, jamais je n’aurais pensé qu’a 60 ans révolus je pourrais être aussi amoureux qu’un gamin de 15 ans. Pourtant c’est le cas, mais avec toute la perversité et l’expérience acquise. Ceci n’aurait jamais été possible sans le soutien de Marie, ma femme. Elle avait abandonné sa libido simplement se trouvant trop âgée pour ces choses. Certes elle a 10 ans de plus que moi, et il faut l’avouer beaucoup de kilos en trop. Mais l’arrivée de Eve à mis un coup de fouet à notre couple. J’aime ma femme et n’ai jamais eu l’intention de la quitter. Mais elle savait que j’entretenais des liaisons, avec Eve c’était évident que je devais trouver une solution. Je ne pouvais me passer de cette gamine et je ne pouvais pas non plus me passer de ma femme. Marie à elle même suggéré que Eve se joigne à notre vie/ Ménage à trois atypique, mais quelle satisfaction quand je vois la tournure des événements. Marie se prenant d’amitié, plus que çà même pour la petite Eve, leur complicité est totale et touchante. Je suis sans doute l’homme le plus chanceux de la terre ( à mon avis). Avoir sa femme, sa maitresse dans le même lit tous les soirs est une chance incommensurable. Voir sa femme et sa maitresse faire l’amour ensemble est d’une saveur particuliére.
Pour le moment Eve s’offre à moi corps et âme, elle est mon jouet, ma poupée. Je me suis muni du martinet aux laniéres fines de cuir noir. Sa poitrine se soulève au rythme d’une respiration saccadée, son excitation et le désir est palpable. Ses yeux ne me quittent pas, je tourne autour d’elle, je suis nu la queue dressée. Je laisse les brins de cuir effleurer sa peau. Frissons, soupirs. Ma main dans sa chevelure ébouriffée, caressent ses mèches blondes. Ses yeux un peu humides suite à la pression que j’ai mis sur ses petites couilles. Son maquillage part un peu. Pourtant elle est belle à damner un saint. Le garçon qu’elle fut à disparu, Je sais son prénom, Jamais ne l’ai employé. Elle est Eve çà lui va comme un gant. Au moment où elle s’y attend le moins je lui cingle le dos, puis les fesses. Lui tirant un cri de surprise et de douleur. Je n’ai pas retenu les coups, je voulais lui faire mal. Je tourne autour d’elle me place face à elle, D’instinct elle écarte ses coudes, bombe le torse, offre ses jolis seins à mes coups. Un aller retour rapide, fait tressauter ses pommes d’amour. Elle crie, se plie en avant, avant de se remettre en position. Nouvel aller retour des lanières.
Arrghhh, oh ca fait mal !!! encore quémande telle.
Tu en veux plus? petite chienneOuiii fait elle d’une voix rauque.
Elle a les lèvres tremblantes,le souffle court, son corps entier est agité d’un tremblement qui n’a rien à voir avec la peur mais l’expression de son excitation. Son dos, ses fesses ont commencé à rougir sur ses seins, les marques des lanières sont en train d'apparaître. J’ai frappé fort, ça doit la brûler. Les marques rougissent, gonflent un peu. Des larmes coulent de ses jolis yeux. Mais çà mine provocatrice m’incite à poursuivre, par deux fois elle a quité la position pour branler son sexe. Elle le fait ostensiblement pour que je la remette dans le droit chemin.
Arrête de te toucher petite pute criais-je Tu veux une vraie queue, tiens prend la mienne ouvre ta gueule salope.
Elle ouvre sa bouche et d’un coup de rein j’enfonce ma queue au fond de sa gorge. Je suis tellement excité que je manque de tout cracher. Elle s’en est rendu compte. Ses mains sur mes fesses, elle avale mon sexe le plus profondément possible. Mon gland bute au fond de sa gorge.
Si tu continues tu vas étouffer je vais cracher dans ta gorge, petite chienne.
Son regard en dit long, elle n’attends que çà. Je sens une humidité soudaine contre ma jambe, Elle se serre contre moi, la petite pute est simplement tellement excitée, qu’elle jouis sur mes jambes. J’adore, je pousse sa tête contre mon pubis, et en poussant un grand cri je me vide les couilles dans sa gorge. Longuement je jouis, giclées après giclée je lui remplis la gorge. Secouée de spasmes elle tente de déglutir, mais c’est trop, le sperme remonte par le nez, elle s’étouffe. Je donne encore quelques coups de fouet sur son corps déjà bien marqué, je bande encore, je suis sur le point de m’agenouiller et de l’enculer quand j’entends la voix de Marie.
Alors mes chéris, on s’amuse, c’est terminé ou je peux me joindre a vous?
A suivre
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