EVEIL ET MATURITE (12 partie 1/2)
Récit érotique écrit par Midou32 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2007 dans la catégorie Plus on est
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EVEIL ET MATURITE (12 partie 1/2)
EVEIL ET MATURITE (12 partie 1/2)
CHAPITRE 12 partie 1/2 – L’AMITIE EN DEPANNAGE
Clélia et moi on se maria à l’automne. On parti en voyage de noces une semaine au Portugal. Nous avions gardé notre adresse secrète. Nous avons fêté notre amour de tout nos deux corps dans la tendresse.
Après une semaine de grand bonheur à deux on rentra et on repris notre boulot. Depuis nous vivons unis et heureux dans notre petit appartement sans plus rencontrer personne. Notre bonheur est total. Clélia m’a appris maintenant combien le sexe est bon, mais tellement plus humain et plus profond quand il parle d’amour intense. Et elle est devenue ma petite femme, celle qui ne peut plus vivre sans son homme et dont lui ne peut se passer non plus.
Depuis deux ans nous avions un couple de grands amis de nos âges, André et Sarah. Ils étaient vraiment très sympas, elle jolie petite blonde et lui beau garçon. Mais ils étaient tous deux très réservés sur le plan sexuel et nous n'avions jamais approché le sujet avec eux. On s'entendait bien. Lui travaillait dans un bureau et elle était institutrice maternelle.
Mais depuis deux ou trois mois le couple semblait ne plus fonctionner. Ils étaient nerveux et n'avaient plus l'air heureux ensemble. Nous en étions désolés pour eux. Quelque part cela nous gênait d'être si heureux alors qu'eux ne semblaient plus l’être.
Un matin de grève scolaire, nous déjeunions en peignoir, Sarah vint sonner chez nous les yeux gonflés. On l'assit entre nous deux dans le divan avec une bonne tasse de café. Clélia commença à la questionner.
- Qu'est ce qui ne va pas ma Sarah ?
- Oh!... Tout !... Je crois qu'on va se séparer !
- Quoi ?... Mais vous êtes fous !... Vous allez si bien ensemble !
- Non !... On n'est pas heureux ensemble !... Surtout... Surtout sur le plan sexuel ! Je peux vous le dire à vous ! Vous êtes des amis et vous avez l'air si faits l'un pour l'autre vous !
- Mais dis !... Il y a des périodes comme ça dans tous les couples ! Ca va passer ! T'en fais pas !
- Non ! Chez nous ce domaine là n'a jamais marché !
- Ca alors ! On ne l'aurait jamais cru !... Pourquoi tu crois ?
- Je ne sais pas !... On n'ose pas je pense !... Aucun des deux !
- Tu n'oses pas avec André ?... Mais ça devrait lui plaire pourtant !
- Oui !... Je crois même qu'il est très vicieux !... J'ai surpris un jour des choses...
- Quoi ?... Tu ne veux pas le dire ?
- Non !... Pas maintenant !... Mais le fait que je n'ose pas le bloque ! J'en suis sûre !... Et dès que je le sens bloqué je me bloque complètement. On se paralyse l'un l'autre !
- Mais lances toi ! Regardez des cassettes porno ensemble ! Ca lui plaira et lui donnera des idées,... à toi aussi... et vous serez fous ensemble !
- J'oserais jamais !
- Et c'est depuis longtemps comme ça ?
- Depuis le début !... Mais ça s'aggrave !... Il y a trois mois qu'il ne m'a plus touchée !... Pas une seule fois !
- Ma pauvre Sarah ! Tu dois en devenir folle !
- Vous ne pouvez pas savoir !... Je ne peux même plus jouir toute seule !
Elle rougit subitement et se tourna vers moi :
- Pardon Pat !... Ca m’a échappé !...
- Au contraire !... Vas y !... Dis nous tout !...
Clélia passa tendrement sa main sur la cuisse de Sarah, fit remonter un peu sa jupe et glissa tendrement sa paume sur la peau douce entre ses cuisses. Sarah referma machinalement les jambes pour enfermer la main si douce de son amie.
- Tu dois avoir de tels besoins insatisfaits depuis trois mois !
Je posai doucement ma main sur son genou et le caressai. Elle regarda ma main monter sur sa cuisse, me regarda dans les yeux puis poussa un long soupir.
- Oh c'est bon de pouvoir vous parler de tout ça ! Vous comprenez tout vous deux !
Elle se détendit dans le divan et dit, rêveuse:
- J'ai tout essayé !... Même de me caresser avant qu'il ne rentre. Je suis toute chaude... et puis quand il est là,... on est tous deux bloqués et c'est fini ! Et pourtant on s'aime toujours ! Ca j’en suis sûre !
- Mais on le sent bien ! Tu devrais prendre un amant, qu'il te décrispe !
- Je ne veux pas ! Je risquerais trop de m'attacher ! Et si André l'apprenait je ne sais pas comment il réagirait !
- Mais si tu restes crispée comme tu es, tu vas te bloquer de plus en plus !
- Je le sais bien ! Mais que veux tu que j'y fasse ?
Clélia me regarda dans les yeux. Je savais ce qu'elle pensait. Elle ajouta :
Détends toi ! Ne dis plus rien ! Avec nous tu ne risques rien ! Personne ne saura rien !
Tous deux nous caressions ses jambes et la jupe remontait doucement. Elle se laissait faire. Alors ma main glissa sur son chemisier et palpa tendrement un de ses seins. Je sentis son téton raidir et se dresser. J'ouvris alors le chemisier et glissai ma main dedans. Je pris le sein nu et le fis sortir de son balconnet. Le bout en était tout dressé et durci.
Tout à coup elle sursauta. Clélia l'avait touchée au coeur et la caressait à travers sa petite culotte. Je sortis son sein et dégageai l'autre. On les regarda et Clélia lui dit :
- Comme tu as de beaux seins ma chérie ! Tu ne trouves pas mon amour ?
- Oh si !
Elle nous regarda tous les deux dans les yeux.
- Vous êtes fous !... On ne peut pas !
- Chuuut ! Détends toi! Laisses toi caresser ! Abandonnes toi ! Ca te fait tant de bien ! Personne n’en saura jamais rien ! Ce sera notre secret !
Je baissai les lèvres vers le bout du sein et me mis à le sucer et un doigt de Clélia glissa sous la petite culotte, et de là, s’enfonça droit dans la moule chaude.
- Comme tu mouilles ma chérie ! Laisses vivre ton corps !
- Vous êtes fous ! Si André savait ça !
- Il ne peut pas le savoir ! On ne lui dira rien ! Et toi tu as tant besoin de plaisir !
Clélia se baissa et l'embrassa sur la bouche. Je laissai le sein et m'accroupit entre ses cuisses. J'écartai la culotte et regardai le doigt de Clélia glisser dans le con. Elle avait un beau con entouré d'une jolie toison claire. Les lèvres en étaient épaisses, gonflées et écartées. Elle dégoulinait d'excitation sensuelle. Cette fleur de chair tendre, toute ouverte, dégageait un parfum féminin très enivrant. J'y posai les lèvres. Le ventre de Sarah bondit et Clélia retira la main pour me laisser la place.
- Je ne veux pas !... J'aime André !
Clélia lui répondit immédiatement :
- Tu dis enfin une chose sensée ma chérie !... On le sait que tu adores ton André et il ne faut rien y changer ! Mais ton corps a besoin de plaisir, de folie ! Laisses le jouir ! Tu verras plus clair après !... Quand tu auras bien joui !... Laisses toi faire !... Il embrasse si bien mon homme !... Profites en bien !...
Sarah gémissait. Elle coulait dans ma bouche ! C'était bon ! Je me relevai. Les deux femmes s'embrassaient follement sur la bouche. Je remontai la jupe, pris la petite culotte, l'abaissai et la lui glissai le long des jambes jusqu'aux chevilles. Puis je replongeai entre ses cuisses et me délectai à nouveau des lèvres de son con et de son clitoris.
Clélia suçait maintenant un bout de sein de Sarah avec passion. Je glissai une main vers le haut et ouvrit en grand le peignoir de Clélia. Elle était nue. Je pris une main de Sarah et la posai sur un sein de Clélia. Tout de suite la main poigna dedans. Ma main glissa entre les cuisses de Clélia et deux doigts se poussèrent dans la moule adorée. Elle aussi coulait abondamment ! Je détachai la jupe de Sarah et elle se souleva pour m'aider à la retirer ! Les deux femmes s'embrassaient, se caressaient et se frottaient follement l'une à l'autre. Je buvais toujours à la moule de Sarah dont le clitoris était tout gonflé sous la pointe de ma langue.
Clélia se releva, enleva son peignoir, puis le chemisier et le soutien de Sarah. Et toutes deux, entièrement nues, s’enlacèrent à nouveau. J'ouvris mon peignoir pour me caresser la bite et me redressai. Sarah regarda avec passion mon sexe raide.
- Il est énorme !
- Mon mari te désire Sarah ! Il veut ton joli con !
Clélia prit ma bite et la dressa vers le con de Sarah. Elle dénuda le gland et le glissa sur le clitoris de Sarah qui bondit en gémissant. Une bonne minute Clélia, poignant dans ma queue, fit courir mon gland de haut en bas dans la vulve mouillée et chaude de son amie. Sarah regardait nos sexes les yeux exorbités. Elle gémissait sourdement. Elle se défendait encore en paroles mais son con se donnait.
Alors Clélia ajusta ma bite et la poussa dans le con de son amie. J'y glissai jusqu'aux couilles. On gémit tous les deux de plaisir. Clélia posa ses lèvres sur celles de Sarah qui se donna complètement, bouche et con au couple.
Elle s'envola très vite dans un orgasme forcené, suivi de deux autres. Elle poussait des cris de plaisir. Son ventre dansait pour m'avoir plus au fond d'elle. Elle enlaçait follement Clélia, lui palpait les seins et les fesses, entrait deux doigts dans sa moule et buvait à ses lèvres.
A la fin de son troisième orgasme elle s'effondra dans le divan essoufflée. J'étais toujours à genoux entre ses cuisses, planté bien raide dans son con. Clélia l'enlaça nue et la laissa un moment regarder nos sexes bien unis. Puis elle lui dit à l'oreille.
- Maintenant tu l'as ton amant ! Bien jusqu'aux couilles dans ton con ! Vous allez souvent jouir à poils à deux ! Ca sert à ça un amant ! Elle te plaît hein sa bite ! Regarde comme elle est belle dans ton con ! Tu vas beaucoup jouir avec lui... et souvent ! Lui ne demande que ça tu penses ! Tu viendras te faire sauter et jouir avec lui chaque fois que tu en auras envie... ou besoin !
- Mais... C'est ton mari !?!
- Je te le prête !... Pas pour l'amour ! J'en suis folle et veux le garder !... Mais pour le plaisir !... Le plaisir de ton joli gros con tout affamé !... Tu verras ! C'est un amant merveilleux ! Il apaisera tes besoins. Mais il va te faire craquer ! Tu vas devenir pute et à ton tour tu feras craquer André ! Pat te rapprochera d'André ! Un autre amant t'en écarterait ! Alors tu vas donner librement tout ton cul à ton amant ! Il va te faire vivre des orgasmes fous ! Après, ton ventre sera paisible. Tu vivras tout autrement ! Tu oseras dire à André que tu as faim de bites et de jouissance !
Clélia eut un long silence durant lequel elle palpa nos sexes accouplés. Puis elle ajouta :
- Tu verras ! Nous ferons tout pour raviver votre amour André et toi... et pour faire de vous deux bêtes à plaisir !... Tu es belle accouplée à Pat ! Mais lui s'est retenu pour te faire jouir encore ! Il est toujours tout gros et dressé en toi ! Si on allait au lit ? On serait mieux pour continuer !
- Continuer ?... Mais...
- Bien sûr continuer !... Il faut rattraper ces trois mois !.. Tu es à poils bien prise par ton amant !... Maintenant tu vas faire l’amour comme une bête... Tu vas jouir jusqu’à ce que tu n’en puisses plus !... Sous mes yeux !... Et je lécherai ses couilles après pour goûter ton jus !...
- Oh Clélia !
- Tu n'as pas encore envie de jouir sur sa grosse bite ?
- ... Si !... Oh si !...
- Eh bien alors ? Ne cherche pas midi à quatorze heures ! Vous êtes amants et lui aussi a encore envie de toi ! Sens sa belle grosse bite dans ton con qui te caresse jusqu’à la matrice !... Elle te plaît non ?.. La bite de ton amant ?
- Mais si André savait !
- Il ne saura pas que tu viens te faire baiser chez nous à couilles rabattues par Pat !... Ni que tu fais la lesbienne avec moi !.. Car tu es une merveilleuse lesbienne aussi !... Ne dis pas non ! Tu viens de nous le montrer abondamment !... Viens dans notre lit ! On va jouir à trois !
- Lesbienne ?..
- Sarah!... Ne te caches pas !... Bien sûr que tu aimes ça !... Non ?
- …….. Oui !
- Moi aussi... Avec toi !
Je sentis que Sarah y était prête. Je retirai doucement mon mandrin de son con, sous les remarques affriolantes des deux femmes. Puis me relevai, la bite encore dressée sur mon ventre.
Clélia, assise dans le divan, m'attira et se mit à lécher ma bite et mes couilles devant Sarah. Nous savions tous deux ce qu'elle y cherchait ! Le goût du con fou de son amie Sarah qui la regardait faire, une main sur le con.
Après une minute ou deux je lui retirai la queue de la bouche de peur de gicler de plaisir. Je pris les deux femmes, épouse et maîtresse, et les menai nues vers notre lit.
Clélia s'y étendit et Sarah laissa longuement courir ses regards sur tout son corps. Nous sentions qu'elle y prenait plaisir. Clélia l'attira par la main et elles se couchèrent nues l'une contre l'autre. Elles roulèrent enlacées sur le lit, se palpant tout le corps, s'embrassant bouche à bouche, se frottant sexe contre sexe.
Clélia alors se releva et s'agenouilla entre les cuisses de Sarah en la caressant. Elle la regarda dans les yeux et lui demanda :
- Sarah, tu as déjà fait l'amour avec une fille hein ?
Il y eut un silence, Sarah me regarda, hésita à répondre, puis dit :
- Oui!... A 17 ans !... Une prof un jour de congé !... On l'a refait après...
- Souvent ?
- Oui !
- Et tu aimais ça ?... Hein ?... Je peux t'embrasser comme ta prof te l'a sûrement fait bien souvent ?
- Oh non ! ... Je suis sale !
- Tu n'es que toute pleine de ton bon jus de plaisir, et peut-être d'un peu du jus des couilles de mon mari !... Je voudrais ta fleur toute ouverte, et y boire ton nectar !... Sarah ! J'ai envie !... et toi aussi !
Elles se regardèrent longtemps dans les yeux, puis on vit Sarah, nue sur le dos, ouvrir doucement tout grand les cuisses et tordre son bassin pour tendre son con ouvert à Clélia. Toute sa fleur s'offrait à Clélia devant moi.
- Bois ma pute ! Bois à mon con ! C’est vrai que j'adore ça moi aussi ! Si tu aimes mon jus tu vas être servie ! J’adore faire l’amour avec une femme !
- Ah ! Sarah ! J'aime quand tu parles comme ça ! Alors, à nous deux, on a tout ce qu’il te faut pour jouir pleinement !... Ton amant et ta maîtresse à poils ensemble dans ton lit !...
Clélia s'abaissa, apposa ses lèvres sur celles du con ouvert, et se mit à dévorer. Il ne fallut pas trente secondes pour que Sarah réclame sa part. Elles se retrouvèrent dans un 69 passionné.
En caressant ma bite dressée sur mon ventre, je les regardais se donner du plaisir. Elles glissaient toutes deux la langue et les doigts dans le con de l'autre. Elles gémirent et jouirent toutes deux follement ensemble.
Puis Clélia se retourna, enlaça à nouveau Sarah, et roula avec elle sur le lit, la gardant sur elle, ventre contre ventre, seins contre seins. J'approchai et me glissai entre leurs cuisses nues. Mon ventre se frotta aux fesses douces de Sarah. Ma queue fouilla entre leurs jambes et mon gland chaud caressa les lèvres des deux cons accolés. Alors toute ma bite plongea dans le con de Sarah. Elle gémit, les lèvres soudées à celles de Clélia, qui se libéra pour lui dire lui dit :
- C'est bon hein ?
- Oooohh oui !
Je sortis ma bite et la plongeai dans le con de Clélia qui gémit à son tour. Sarah s'écarta d'elle et la regarda.
- Tu aimes aussi hein ? Ton visage est si beau quand ton con est plein de sa bite ! On sent combien vous vous aimez !
- Oh oui! Quelle bite ! Et ton corps nu !... C'est comme si tu me prenais toi avec une belle bite !
Je me partageai alors entre les deux cons baveux. Clélia dit à Sarah :
- Comme tu coules de plaisir Sarah ! Quand il me rentre dedans après toi je sens tout ton jus sur sa bite !
- Oui ! Je le sens aussi quand il sort de toi ! Mon con aussi est plein de ton jus jusqu'au fond ! Ca me plaît... cette grosse bite... et le jus de ton con au fond du mien !... Aaaaahhh ! Je couche avec votre couple !
- Tu es vicieuse Sarah ! Que c'est bon de coucher vraiment à trois !... Et ce n'est qu'un début ! Ca nous arrivera souvent maintenant !... Tu prends la pilule ?
- Oui !
- Alors Chéri je veux que tu jutes en elle ! Elle jouira beaucoup plus fort en sentant tes jets de couilles tout chauds sur sa matrice !
- Oh Clélia ! Faire gicler ton mari dans mon con ! Quelle pute tu es !
- Mais tu aimes cette pute. Hein ?... Et le mari de cette pute qui gicle en toi ? C'est aussi ton amant ! Le mâle de tes plaisirs et de tes vices ! Tu le sens bien ?
- Ooooohh Ouiii !! Il est gros !.. Et il touche ma matrice !...
Je sentis le con de Sarah chercher à prendre mieux ma bite, à l'avoir plus profond encore. Je me consacrai alors entièrement à elle et à son plaisir. Clélia s'extirpa alors de dessous Sarah qui se releva à quatre pattes, prise en levrette. Clélia retourna à nouveau sous elle en tête-bêche. Ses lèvres épousèrent celles du con tout ouvert et elle offrit son con à la bouche de Sarah qui se jeta dessus d’une bouche gourmande.
Le couple faisait bander et jouir la petite Sarah qui passait d'un orgasme à l'autre. Puis je ne pus me retenir et elle accepta mes jets de sperme avec des cris d'orgasme, la bouche de Clélia collée à son clitoris.
On s'effondra alors l'un sur l'autre et on dormit enlacés à trois une petite heure. Le réveil fut tendre avec ce nouveau corps tout nu entre nous. Mais ma queue bandait dès le réveil. Je remontai sans gêne sur Sarah et la repris. Clélia nous enlaça et dit :
- C'est merveilleux que vous soyez amants ! Tu vas transformer son ventre Chéri et la faire souvent jouir !
- Et avec toi petite femme elle se roulera dans les plaisirs lesbiens qu’elle adore tout autant ! On va beaucoup jouir à trois !
J'allais et venais lentement dans le con de Sarah. Clélia continua :
- Sarah ! Ecoutes moi bien pendant qu’il te fouille !... Tu vas venir plusieurs fois par semaine, en secret, dans notre lit chercher ta pitance de plaisir ! Tu es vicieuse en diable ! Tu aimes les hommes et les femmes ! Tu coucheras chaque fois avec nous deux. Et je te préviens ! On va tout faire pour te pervertir ! Tu vas devenir une petite femelle à plaisir qui voudra jouir toujours plus ! Tu n’auras pas de tabou envers le mâle ou la femelle !.. Alors tu ne seras plus bloquée contre le corps nu d'André ! Il va sentir qu'il a une pute dans les bras et il te sautera enfin dessus !... Mais tu continueras à coucher avec Pat, même quand tu auras à nouveau André régulièrement dans ton con ! Tu passeras simplement d'un homme à l'autre !... On veut que tu viennes même chez nous sans te laver ! Comme ça, après, tu auras le mélange des deux spermes dans ton con ! Mari et amant !... Nous on le saura, mais André ne saura pas qu'il est cocu ! Et tu retourneras aussi chez toi te donner à André pleine du sperme de Pat ! Il sera émerveillé comme tu mouilles pour sa bite ! Et ton André, sans s'en rendre compte, sera ainsi tout proche de nous ! Il aura la bite et les couilles bien enduites du sperme de Pat... et moi j'aurai goûté son sperme dans ton con ! Et d'ailleurs Pat s'en délectera tout autant que moi !
- Oh vous êtes vicieux !...
- Ca ne te plaît pas ?
- Oh si !... Mais ça m'excite... l'idée d'enduire moi-même sa queue et ses couilles du sperme de ton mari...
- Tu sais,... Quand tu reviendras avec ton con dégoulinant du sperme du tien, c'est la queue et les couilles de Pat que tu vas enduire !... Tu aimes ça hein vicieuse ?
- Ouiii ! Ces deux sexes mâles pleins du jus de couilles de l'autre !...
- C'est normal ! Ce sont les deux bites à plaisir de ton con ! Qu'est ce qu'ils vont gicler en toi !... Mari et amant !...
Sarah passa un bras autour de la tête de Clélia et l’embrassa sur la bouche, puis répondit :
- J'ai une maîtresse aussi !... Une maîtresse à combler de plaisir !
- Oh oui chérie ! On fera aussi beaucoup l'amour entre filles !... Devant ton amant !... Mais dès ce soir tu Suces ton mari !
- S'il veut bien !
- Ne lui demandes pas son avis !.. Tu reviens demain à 16 h 30 après l'école pour baiser à poils avec nous ! Tu nous raconteras en détails ta séance de baise de ce soir avec André ! Et tâches de te souvenir de tous les détails croustillants !
- Je ne peux pas ! C'est l'intimité de notre couple ! Je ne veux pas trahir André !
- Tu sais, aujourd'hui votre couple est tombé tout chaud et tout nu avec toi toute nue dans notre couple... et dans notre lit ! T'en fais pas ! On t'arrachera tes secrets à coups de bite et de langue dans le con !... Quels sont les vices d'André au fond ? Tu n'as pas voulu le dire tantôt ! Il a une belle bite ?
- Oui !... Aussi belle que celle de Pat !
- Et ses vices ?
Sarah hésita. Mais elle sentit mon gland se frotter tout au fond d'elle à sa matrice. Cette intimité si totale et vicieuse ! Le fait qu'elle avait aussi couché abondamment avec Clélia ! Elle couchait avec le couple ami ! Se taire n'avait pas de sens ! Elle le sentait et répondit :
- Je crois qu'il est bisexuel !... Qu'il aime les hommes aussi !... Il ne m'a jamais rien dit... mais il cache deux romans parlant d'hommes qui couchent ensemble... et même pas un peu... Et il les relit souvent...
- Tu trouves ça grave ?
- Oh non ! Pas du tout ! Je les ai lus plusieurs fois et ça m'a chaque fois fort excitée !
- Salope ! Mais on vous comprend tous les deux ! Nous aussi on aime ça !
- Vous ?... Pat aussi ?
- Bien sûr ! Ca te choque que le beau membre qui bourre ton con aime aussi coulisser dans le cul d'un homme ?
Sarah tourna ses regards vers moi.
- Non !... C’est vrai Pat ?... Tu l'as déjà fait ?
- Oui !... Souvent !... C'est beau le cul de l'homme... avec ce beau sexe qui pend en dessous tout chaud et vivant !... J'adore !
- Je ne l'aurais jamais cru !... Toi... coucher avec un homme !... J'aime ta bite encore beaucoup plus tiens !... Pat ! J'aimerais te voir prendre un homme !
Elle hésita longtemps puis ajouta rêveuse :
- Je sais qu'André te trouve très beau ! Il m'a dit un jour qu'il aimerait nager à poils avec toi !... Tu sais... après notre excursion ensemble l'été dernier !... Ton maillot tombait tout le temps !
- Tu crois qu'il aimerait faire des choses avec moi ?
- Je ne sais pas !... J'assemble les pièces connues du puzzle !... Il cache deux bouquins d'hommes couchant ensemble et les relit souvent... et il le fait certainement en se caressant... Il est probable qu'il est très attiré par ça... Tu ne crois pas ?
- Oui!... Sûrement !
- Toi tu es son ami,... il te trouve beau,... il m’a dit qu’il aimerait nager tout nu avec toi... On ne sait pas plus... mais ça ne m'étonnerait pas qu'il rêve de toi !... j'aimerais bien en tout cas !
- Quoi ?... Qu'André et moi on fasse l'amour ensemble ?
- Oui !... Ici !... Dans votre lit ! Ce serait bon de savoir que tu le pervertis ! Je me sentirais plus libre de faire la lesbienne avec Clélia si tu le rendais homo... Et puis ça m'exciterait... J’aimerais faire l’amour avec vous deux dans le lit où tu le prends, lui, à poils !... Et ça le décoincerait peut-être lui !
- Oh Sarah! Tu es une vraie salope ! Tu tombes toute chaude et nue dans notre lit et dans notre couple ! Tu couches follement avec nous deux... et avec ma bite en toi jusqu’aux couilles tu nous offres ton mari à poils et tu rêves de ma bite dans son cul tout ouvert !
- Tu sais... Je jouis beaucoup plus avec vous deux que je n’ai jamais joui avec André ! J'adore faire l'amour avec vos deux corps ensemble !... Goûter au mâle et à la femelle !... Je comprend très bien que ça puisse plaire tout autant à un homme !... Alors si André rêve de ça depuis longtemps je voudrais qu'il le fasse !... Je voudrais vraiment !... Tu comprends ?
- Bien sûr ! Mais tu m'excites de me demander ça exquise petite salope ! J’aime un bel homme vicieux tu sais !... Et j’adore que tu m’offres ton mari !
- C'est merveilleux ! Rien ne vous choque vous deux ! Je peux tout vous dire !... Tu sais... en couchant avec lui je penserais à ta bite... et je me dirais qu'il l'a aussi eue dans son cul !... Qu’elle l’a fait jouir autant que moi !...
- Tu m’excites Sarah !... M’offrir ton André !... J'ai très envie d'y goûter ! Ce serait exquis de vous connaître sexuellement tous les deux !
Je la pistonnais toujours doucement et sentais son con serrer ma queue. Clélia lui suçait un bout de sein. Après un moment Sarah continua, un peu rêveuse :
- Pat !... Je voudrais que tu entraînes André à poils dans ce lit... que tu déchaînes ses vices... qu'il craque sa belle coquille pudique... et que tu me racontes tout en détails après ! C'est mon mari ! Je l'adore ! Je veux tout savoir de lui !... Surtout ses vices !... Je ne veux plus qu'il lise ses bouquins tout seul, la bite en mains !... Je veux qu'il les vive à poils avec toi... vissé à ta bite ou à ton cul... et qu'il jouisse beaucoup avec un homme !... avec toi !...
- Il doit être beau !
- Très !... Surtout à poils quand il bande !... Je suis sûre que tu le ferais bander ! Avec toi il pourrait vivre pleinement son envie de l'homme ! J'ai l'impression qu'il en rêve en secret !
- Je ferai l'amour à poils avec lui !... Je te le promet !.. Comme ça, en couchant dans ce lit avec nous tu sauras que le corps nu d'André y a joui autant que toi !... Et je te raconterai tout en te baisant bien profond... comme maintenant !
- Oh Pat ! Ta bite dans son cul... et lui qui crie de plaisir vicieux sous toi !... Et sa belle bite dans ton cul !... Sucez vous aussi l'un l'autre !... Embrassez vous bouche à bouche en frottant vos sexes l'un à l'autre !... Oh je veux que vous jouissiez beaucoup à vous deux ! Je veux que tu en fasses un bi confirmé !... Et un jour je veux vous voir faire tous les deux !... Et toi aussi Clélia ! Je veux aussi que tu couches avec lui... qu'il te bourre le con et que tu jouisses fort sous lui ! Tu me donnes ton mari ! Je veux que tu jouisses aussi entièrement nue avec le mien !
- Vous allez tous les deux passer à la casserole dans notre lit !
- Oh oui !... Ca nous fera du bien !... Et après notre problème sera peut-être guéri !
- Et vous aurez tous les deux gagné un amant et une maîtresse !
Clélia lui répondit :
- Tu ne seras pas jalouse que la bite de ton mari vienne danser dans mon con et qu'on jouisse à deux ?
- Oh non ! Mais dis lui de ne pas se laver avant de me prendre !... Et qu'il ne se lave pas non plus en sortant de ton cul Pat ! Je le sucerai avant qu’il me prenne... Comme ça je saurai tout de suite ce qu’il a fait avec vous... et s’il a bien couché avec vous deux !
Je lui répondis :
- Oh Sarah salope !... O.k.! Tu lui caches tout de nous aujourd'hui !... Sauf que tu nous as rendu visite ! Et ce soir tu le suces et tu lui ouvres les cuisses sans te laver ! Il glissera mieux en toi dans mon sperme ! Ce sera son premier contact avec moi... en toi !
- Sale vicieux !... Oui je le ferai !... Je te le promets !... Ce soir sa bite baigne dans ton sperme en moi ! Mais je voudrais qu’il ait aussi très vite ton sperme dans le cul !
On ne dit plus rien. Nos trois corps nus s'enlacèrent et vécurent une lente montée vers le plaisir dans un long baiser des trois bouches réunies. Ma bite continuait sa danse au fond d’elle.
On passa le reste de la journée à trois au lit. Les deux femmes couchèrent encore abondamment ensemble et ma queue passa encore souvent d'un con à l'autre.
Quand Sarah nous quitta elle me demanda avec un clin d'œil :
- Tu n'oublies pas pour André ?
- Non non ! Mais toi non plus ! Suces le bien et mets lui mon sperme sur la bite et les couilles toute la soirée ! Et toi tu reviens coucher avec nous demain à 16 h 30 ?
- D'accord ! Je vous adore tous les deux ! Et je vous dirai tout de mes amours de ce soir avec André ! Ahhh ! Je me sens enfin heureuse ! Je me demande si un jour on ne couchera même pas à nous quatre !
- Nous aussi ! Aujourd'hui ce n'était qu'un bon début !
Pendant qu'elle faisait le trajet vers son domicile conjugal j'appelai André au bureau et lui demandai de passer chez nous le lendemain matin à 9 heures.
Notre activité sexuelle de la soirée fut calme. Clélia et moi avions à partager, à apaiser notre excitation interne et à ajuster nos projets pour ne laisser aucune chance à André !
Il arriva le lendemain à 9 heures précises. Je le reçus seul en peignoir, et à poils en dessous.
- On est tranquille tu sais ! Clélia est chez une amie pour la journée !
Ce n'était pas vrai. Mais ça le mettait à l'aise. Je nous servis un bon café, le fis asseoir dans le divan et m'assis à côté de lui. J'entamai la conversation :
- Sarah t'a dit qu'elle est passée hier chez nous ?
- Oui !...
- Elle n'avait pas l'air d'aller bien, alors on s’est permis de la faire parler... Elle nous a dit que votre couple ne marchait pas... surtout dans le domaine sexuel.
Il rougit un peu et répondit :
- ... C'est vrai !
- C'est pour ça que je voulais te voir ce matin. Vous êtes de vrais amis ! Nous sommes vraiment malheureux que ça n'aille pas. Un couple ne peut pas marcher sans une bonne entente sexuelle !
- Que veux tu que j'y fasse ?... Je fais tout pour être adroit et la rendre heureuse... même sur ce plan là... mais je la crois un peu frigide.
Je pensai à part moi: "Mon ami ! Si tu savais !", et j'ajoutai :
- Mais es-tu toi-même toujours détendu sexuellement ?
- Oh non !... Je ne pourrais pas !... On couche trop rarement ensemble !
- Tu n'as pas de maîtresse ?
- Non !... Je ne veux pas !... Pas encore !... Peut-être un jour !... Tu sais... J'aime Sarah !... Un jour elle s'ouvrira peut-être.
- Entre-temps tu dois être bourré de fantasmes non vécus qui te perturbent !
- Non !...... Enfin si !...
Je me relevai pour prendre mon café, but un coup, puis me rassis en ayant soin de laisser mon peignoir négligemment ouvert. Son regard descendit automatiquement le long de ma poitrine et courut sur mon ventre nu. Je ne savais pas qu'il voyait même mon buisson de poils sexuels mais pas mon sexe lui-même. Il rougit fort et ajouta :
- Je suis plein de fantasmes non vécus ! ... C'est vrai que ça me perturbe !
- Lesquels ?
- Je ne vais tout de même pas te les dire ?
- Pourquoi pas ? Tu sais... moi aussi je suis plein de fantasmes inavouables ! Des fantasmes c'est normal d'en avoir... même des très cochons !... Même si tu fantasmais fort au sujet de Clélia je ne serais pas choqué !
- C'est pas ça !... C'est sans rapport avec la femme !
- Avec l'homme alors ?
Il rougit terriblement mais s'enfonça dans un silence bloqué. Je tenais le bout de la ficelle ! J’allais pouvoir gentiment tirer dessus ! J'ajoutai :
- C'est ça André ?... Tes fantasmes c'est l'homme ? Tu as envie de faire l'amour avec un homme ?... Hein ?... Je te comprends note !
- Tu vas me prendre pour un homo !
- Oui !... C'est vrai que tu es sûrement un peu homo…. Ou plutôt bi ! Mais tu n'es pas le seul !... Et puis tu es un bi que j'aime et que je respecte !... Tu as déjà fait l'amour avec un homme ?
- Non !... Jamais !
- Pourquoi pas ?
- Je ne sais pas !... L’occasion n’est pas venue...
- Crées la !... Et le cul de l'homme t'attire ?... Sa queue, ses couilles, son anus ?...
Il eut un long silence, puis ajouta d'une voix sourde :
- Oui !... Terriblement !... Mais ne dis jamais ça à personne... Pas même à Clélia !
- Et pourquoi tu n'essayes pas au moins une fois avec un homme ? T'es pas obligé de le dire à ta femme si ça te gênes ! Avec un homme tu ne la trompes pas !
- Si je commence ça je ne pourrai plus m'en passer !
- Tu en as tellement envie que ça ?
- Tu ne peux pas savoir !.. Ca me poursuit tout le temps !...Depuis des années !... Ca me rend parfois presque malade !
- Mais tu es dingue André !... Fais le alors ! ... Tu t'empoisonnes !... Couches follement avec un homme ! Découvres sa bite, ses couilles, ses vices et plonges dans son anus !... Donnes lui ton cul ! Echangez vos fantasmes et vos vices et aimez vous !... Jouissez à deux !... Tu es beau !... Tu plairais à beaucoup d’hommes !...
- Mais... Je ne connais personne qui... qui aurait envie de faire ça avec moi !
Je le regardai dans les yeux, Puis me tournai vers lui, écartai les jambes et en posai une sur le dossier du canapé, ouvrant ainsi tout grand mon peignoir et offrant tout mon cul à sa vue. Je pris ma bite dressée entre mes doigts, la caressai doucement et lui dis tout bas :
- Là tu te trompes !... J'adore coucher avec un homme et j'ai envie de toi depuis longtemps !... Toi tout nu !... Tiens !... Défoules toi !
Tout rouge il fixait mon sexe nu d’un regard passionné.
- Mais Pat !... Pas toi !... Tu me mépriseras après !... Je ne veux pas perdre ton amitié !
- Parce que je connaîtrai tes vices ?... J'en ai envie !... Et toi tu connaîtras les miens ! Tu me mépriseras ?
- Oh non !... J'en ai envie aussi !... Mais on ne sera peut-être plus des amis.
- ... Mais des amants... Ce sera d'autant meilleur !... Et nos femmes ne sont pas obligées de savoir... qu'on fait l'amour et qu'on jouit à poils à deux comme des bêtes !
Je lui pris la main et la posai doucement sur mon sexe.
- Détends toi !... Fais en ton jouet !... J’en ai envie !... Je veux coucher avec toi !
Je le forçais à palper doucement mes couilles et ma queue. Sa main commençait à vivre sa propre vie sous la mienne. Il me palpait bien. Je gémis faiblement et m'étirai devant lui. Ses regards couraient sur mon corps nu.
- Oh Pat!... Je... Je ne pourrai plus m'arrêter !
- Moi non plus !... Ce sera bon !... Suces moi !... André !... Suces ma bite !...
Il hésita un moment, triturant ma verge sans s'en rendre compte. Puis il s'abaissa et prit toute ma bite dans sa bouche.
- Ooohh André ! Tu le fais bien !... J'aurais jamais cru qu'un jour tu me mangerais la queue !... Oh oui ! Lèches mes couilles aussi !... C'est bon !
Il me suçait avec passion. Ma bite grandissait dans sa bouche. Il me caressait les couilles en même temps.
- Oooohh ! Tu me dévores bien ! C'est bon !... On va mêler nos vices ! Je jouirai autant de sentir ta bite danser en moi que de t'enfoncer la mienne jusqu'aux couilles dans ton cul jouisseur !... Et quand tu te relèveras tout nu de moi on sera devenu amants pour des années !... Tu viendras vider tes couilles en secret en moi !...
Tout en me suçant ses mains couraient maintenant sur tout mon corps nu. Il semblait excité à outrance. C'était merveilleux de sentir son désir de moi. Le barrage avait sauté ! Tous ses vices longtemps retenus déferlaient sur mon corps nu. Je lui dis tout bas :
- Mets toi à poils et reviens dans mes cuisses pour coucher avec moi !... Tu auras tout mon corps et j’aurai le tien !... On va beaucoup jouir à nous deux !... En secret... La bite dans le cul de l’autre !
Il était comme fou. Il me regarda dans les yeux, serra fort ma bite et caressa doucement mes couilles. Puis il bondit sur ses jambes et je le regardai se déshabiller. Il était en slip. Son corps était beau. J'allais voir cette bite qui gonflait son slip. Il passa la main dessus puis pris les bords du slip... Le slip descendait... Toute la bite apparut... Tendue... Dressée sur son ventre velu. Qu'il était beau en rut ! Je lui tendis la main et il la prit. Je l'attirai vers moi et il revint à genoux entre mes cuisses. Mes mains glissèrent sur son corps puis prirent possession de son sexe. Je le caressai doucement.
- Que tu es beau !... Quelle bite !...
Je me relevai sur mon séant et embouchai sa belle bite. Je me mis à la sucer en le regardant régulièrement dans les yeux. Son visage était tordu de plaisir vicieux. Son gland dans ma bouche était extraordinairement doux et chaud. Il poussait vicieusement son ventre en avant et regardait sa bite dans ma bouche. Il gémit tout à coup et me dis tout bas :
- Oooohh Pat !... J'ai envie de toi !
Je le léchai et retombai en arrière sur le dos.
- Prends moi !... Mets la moi dans mon cul !... Ta bite est belle !... Je veux servir tes vices !...
Je savais qu'après ça le premier pas serait fait ! On serait amants. Il pourrait déverser tous ses vices sur mon corps nu et saurait rechercher les miens !... Une fois sa bite dans mon cul ses dernières défenses psychologiques sauteraient. Il deviendrait bi et ferait merveilleusement l’amour entre hommes.
- Prends moi dans le cul !... Tu as une belle bite !... Je veux la sentir en moi !... Je veux tous tes vices !... sers toi de moi à poils !...
Je lui ouvris mes cuisses toutes grandes comme une femme et lui tendis mon anus. J’ajoutai :
- Embrasses moi d'abord salaud ! J'ai envie de tes baisers là !... Fais moi une feuille de rose bien profonde !
- Sale vicieux !... Aaahh je t'aime ! Tu as de belles couilles !
Il se jeta passionnément sur mon anus.
- Ahh tu aimes hein !... Aaahh c'est bon ta bouche !... ta langue vicieuse !... Ooohh tu la rentres bien !... C'est boooonnn !... Et c'est bon de sentir que tu aimes ça !... Viens en moi André !... Prends moi !... Mets moi ta belle queue !...
Il se releva à poils, la bite dressée sur le ventre, les yeux hagards, regardant mon cul. Je ramenai mes jambes contre ma poitrine et le lui offris. Je le regardai avancer vers mon cul, la bite en l'air. Il posa son gland chaud sur mon anus et poussa. Je le vis entrer doucement et sentis cette belle bite prendre possession de mon cul. L'accouplement nous fit gémir tous les deux. Il soupira :
- Ooohh Pat !... Je suis amoureux de toi !
- Mon André !... Tu as enfin craqué !... J’en avais si envie !... Tu es dans le cul d'un homme !... Mon cul !... Et maintenant qu’on est à poils à nous deux et que ta belle grosse bite me fouille le cul on va beaucoup faire l'amour à nous deux !
- Quel cul tu as !... J'ai quand même peur de te dégoûter après... Mais au moins je t'aurai eu !... J’aurai fait l’amour avec toi ! … Que tu es beau comme ça !
Et en disant ça il se poussa d'un grand coup jusqu'aux couilles en moi. Je gémis de plaisir et lui dis :
- Oh non !... Après je t'enculerai aussi !... Je veux aussi gicler dans ton beau cul !... Je veux tous tes vices et je sais que tu veux les miens !... On va se plaire beaucoup !... Faire l'amour à deux autant qu'on veut ! Ooohh c'est bon ta grosse et longue bite ! Comme tu me possèdes !... Je t'aime aussi !...
- Oh Pat !...
Il me pistonnait maintenant follement. Il se coucha sur moi. Je l'enserrai dans mes bras et me frottai contre lui, lui caressant le dos. Nos deux corps nus se mêlaient.
- Crapule vicieuse ! Comme tu te donnes !
- Maintenant tu sais qu'on est pareils ! T'auras plus peur !... Quelle bite !... Comme tu me tiens par le cul ! Aaahh c'est bon !
- T'es une vraie pute !
- Mais t'es heureux dans le cul de ta pute mâle hein salaud ! Et tu vas y jouir !... Attends ! Ce sera bientôt ton tour de faire la pute et d’offrir ton anus à ma bite vicieuse ! Je veux aussi ton beau cul André ! Et tu vas te délecter de sentir ma grosse bite raide en toi !
- Tu m'auras salaud ! Tu auras tout mon cul d'homme pour tes vices !... Ta belle bite chaude en moi !... Qu'il est bon ton cul !... Ahhh! Tu es une vraie pute !...
- Jouis André !... Gicles dans mon cul !... Je veux ton sperme !... Jouis en moi ! Tu en a envie depuis tant d’années !
Il se mit à danser de la bite dans mon cul, de plus en plus vite. Je vis son visage se tordre et sentis ses jets de sperme gicler en moi. Quand il eut bien joui je l'enlaçai étroitement, frottant ma joue à la sienne. Nos corps nus totalement unis se frottaient l'un à l'autre. Ma bite et mes couilles étaient délicieusement au chaud écrasés entre nos ventres. Il retrouvait doucement sa respiration. Mes lèvres glissèrent au coin de sa bouche. Je sentais qu'il savait mon désir et hésitait. Et tout à coup nos bouches se joignirent et nos langues s'enlacèrent fougueusement... comme nos corps nus... Sa bite dégonflait doucement dans mon cul.
Après un long baiser je me dégageai et me relevai à côté du divan. Il regardait mon corps et moi le sien. Je lui tendis la main et le tirai debout vers moi.
- Viens !... On sera mieux au lit !
Alors, tous deux à poils, je l'entraînai vers notre chambre. Arrivé devant le lit je l'ouvris et l'y poussai. Il s'y étendit et m'y entraîna. Tout de suite on s'enlaça en s'embrassant à nouveau bouche à bouche.. Nos deux bites, maintenant bien dressées, se frottaient l'une à l'autre. Maintenant qu'il me sentait dans le même état que lui il ne craignait plus rien et se déchaînait. Nous visitions mutuellement nos corps nus du bout de la langue et des doigts.
A genoux, le cul en l'air et le visage sur le lit, il offrit longuement tout son cul à ma bouche gourmande, à ma langue et à mes doigts, Puis je le fis se recoucher sur le flanc. Je me glissai derrière lui. J’empoignai ma bite dressée et glissai une main entre ses cuisses pour prendre la sienne. Elle était belle, grosse et chaude. Je masturbais nos deux bites avec passion. Puis je frottai ma bite sur son cul. Il gémit et se cambra pour offrir son anus au contact de ma bite nue. Je glissai mon gland dessus et il gémit encore. Alors je poussai et entrai lentement mon gland, le regardant distendre sa petite fleur de chair.
Il m'offrait divinement son anus, cambrant son cul pour que je le prenne mieux ! Ma grosse bite chaude et jouissante se poussait dedans et il gémissait de plaisir. Je le pénétrai doucement pour ne pas lui faire mal et fus bientôt enfoncé jusqu'aux couilles dans son cul d'homme. Il se coucha sur le ventre et se donna avec délices. Mes couilles battaient les siennes entre ses fesses. De temps à autre il bougeait sous moi pour sentir vicieusement combien nous étions accrochés l'un à l'autre, combien il était pris!... Accouplé à l’homme, épinglé sur le lit comme un papillon !
Ce fut pour lui une véritable découverte. Il se donnait complètement. Il gémissait et me disait combien il aimait cette grosse bite chaude dans son cul. Je fourrageais avec un plaisir indicible dans son anus et lui gémissait de plaisir de cette possession. Alors je me déchaînai sur lui et en lui, l'embrassant dans le cou et lui disant des tas de cochonneries à l'oreille. Il découvrait la jouissance du cul et me le disait. Il me parlait de son plaisir et de ma bite.
Je giclai longuement en lui et restai effondré de plaisir sur son corps nu, la bite bien profond dans son cul. Alors je lui parlai :
- Oh c’était bon !... Tu as un cul merveilleux... et puis surtout tu aimes tant ça !...
- J’ai adoré !... C’est extraordinaire cette grosse bite !... Et servir à ton plaisir !... Ahhh j’aime coucher avec toi !... Et …. Tu m’as fait jouir du cul ! Je n’avais jamais vécu ça !
- Et ma Clélia t’attire aussi ?... Réponds !
- ... Oui! … Très !
- Alors on couchera à trois avec Clélia ! Je veux te voir la prendre !... Elle comprendra tout de suite qu'on a fait l'amour entre hommes, mais ça n'est rien ! Elle adore ça ! Comme ça on ne devra jamais se cacher d'elle pour faire l'amour à nous deux ! On le fera autant qu'on en a envie !
- Devant elle ?
- Oui ! Et avec elle !... Ca ne te plairait pas d'être au milieu de notre couple ?... Ta bite en elle et ma bite en toi... et nos trois culs qui dansent et jouissent ensemble ?
- Oh oui ! J'ai toujours rêvé d'un couple !... Et de Clélia aussi !
- J'aime que tu le dises !... Tu as envie d'elle ?
- Oh oui !
- Dis le encore ! J'aime tes vices ! Tu la désires fort ?
- Salaud !... C'est vrai !... J'ai envie de la sucer partout !... Surtout les seins et le con !... L'anus aussi !... Et pousser ma langue dedans !
- Salaud !... Rien que ta langue ?
- Vicieux !... Non !... Ma bite aussi !
- Elle lui plaira bien ta grosse bite !... Tu la lui mettras devant et derrière ?
- T'es un vrai vicieux !... Tu veux vraiment que je couche avec elle ?
- Bien sûr !... Et je veux y participer !... Te prendre dans le cul pendant que es nu sur elle nue et que tu la prends elle !...
- Ooohh ce serait bon !
- Eh bien tu vas t'en régaler souvent ! Elle sera ta maîtresse... et moi ton amant ! Tu verras comme c'est exquis de coucher avec les deux sexes en même temps ! Jouir de tout avec un couple !... passer d'un cul à l'autre !
- Tu crois qu'elle acceptera ?... De devenir ma maîtresse... et de me voir avec toi ?
- Certain !... Elle adore le plaisir,... elle adore appartenir à deux hommes sans plus pouvoir faire la différence,... et deux bis en plus,... elle adore les pousser à s'aimer et les regarder en se caressant !... Nous pourrons nous aimer tout notre soul entre hommes et en plus tu auras Clélia sous le ventre quand tu veux !... Et elle t'adore en plus ! Il y a longtemps qu'elle a envie de ta bite dans son con et de jouir avec toi !
- Comment tu le sais ?
- Elle me l'a dit bien souvent !
- Oh Pat! J'en ai envie !... Avec vous deux !
CHAPITRE 12 partie 1/2 – L’AMITIE EN DEPANNAGE
Clélia et moi on se maria à l’automne. On parti en voyage de noces une semaine au Portugal. Nous avions gardé notre adresse secrète. Nous avons fêté notre amour de tout nos deux corps dans la tendresse.
Après une semaine de grand bonheur à deux on rentra et on repris notre boulot. Depuis nous vivons unis et heureux dans notre petit appartement sans plus rencontrer personne. Notre bonheur est total. Clélia m’a appris maintenant combien le sexe est bon, mais tellement plus humain et plus profond quand il parle d’amour intense. Et elle est devenue ma petite femme, celle qui ne peut plus vivre sans son homme et dont lui ne peut se passer non plus.
Depuis deux ans nous avions un couple de grands amis de nos âges, André et Sarah. Ils étaient vraiment très sympas, elle jolie petite blonde et lui beau garçon. Mais ils étaient tous deux très réservés sur le plan sexuel et nous n'avions jamais approché le sujet avec eux. On s'entendait bien. Lui travaillait dans un bureau et elle était institutrice maternelle.
Mais depuis deux ou trois mois le couple semblait ne plus fonctionner. Ils étaient nerveux et n'avaient plus l'air heureux ensemble. Nous en étions désolés pour eux. Quelque part cela nous gênait d'être si heureux alors qu'eux ne semblaient plus l’être.
Un matin de grève scolaire, nous déjeunions en peignoir, Sarah vint sonner chez nous les yeux gonflés. On l'assit entre nous deux dans le divan avec une bonne tasse de café. Clélia commença à la questionner.
- Qu'est ce qui ne va pas ma Sarah ?
- Oh!... Tout !... Je crois qu'on va se séparer !
- Quoi ?... Mais vous êtes fous !... Vous allez si bien ensemble !
- Non !... On n'est pas heureux ensemble !... Surtout... Surtout sur le plan sexuel ! Je peux vous le dire à vous ! Vous êtes des amis et vous avez l'air si faits l'un pour l'autre vous !
- Mais dis !... Il y a des périodes comme ça dans tous les couples ! Ca va passer ! T'en fais pas !
- Non ! Chez nous ce domaine là n'a jamais marché !
- Ca alors ! On ne l'aurait jamais cru !... Pourquoi tu crois ?
- Je ne sais pas !... On n'ose pas je pense !... Aucun des deux !
- Tu n'oses pas avec André ?... Mais ça devrait lui plaire pourtant !
- Oui !... Je crois même qu'il est très vicieux !... J'ai surpris un jour des choses...
- Quoi ?... Tu ne veux pas le dire ?
- Non !... Pas maintenant !... Mais le fait que je n'ose pas le bloque ! J'en suis sûre !... Et dès que je le sens bloqué je me bloque complètement. On se paralyse l'un l'autre !
- Mais lances toi ! Regardez des cassettes porno ensemble ! Ca lui plaira et lui donnera des idées,... à toi aussi... et vous serez fous ensemble !
- J'oserais jamais !
- Et c'est depuis longtemps comme ça ?
- Depuis le début !... Mais ça s'aggrave !... Il y a trois mois qu'il ne m'a plus touchée !... Pas une seule fois !
- Ma pauvre Sarah ! Tu dois en devenir folle !
- Vous ne pouvez pas savoir !... Je ne peux même plus jouir toute seule !
Elle rougit subitement et se tourna vers moi :
- Pardon Pat !... Ca m’a échappé !...
- Au contraire !... Vas y !... Dis nous tout !...
Clélia passa tendrement sa main sur la cuisse de Sarah, fit remonter un peu sa jupe et glissa tendrement sa paume sur la peau douce entre ses cuisses. Sarah referma machinalement les jambes pour enfermer la main si douce de son amie.
- Tu dois avoir de tels besoins insatisfaits depuis trois mois !
Je posai doucement ma main sur son genou et le caressai. Elle regarda ma main monter sur sa cuisse, me regarda dans les yeux puis poussa un long soupir.
- Oh c'est bon de pouvoir vous parler de tout ça ! Vous comprenez tout vous deux !
Elle se détendit dans le divan et dit, rêveuse:
- J'ai tout essayé !... Même de me caresser avant qu'il ne rentre. Je suis toute chaude... et puis quand il est là,... on est tous deux bloqués et c'est fini ! Et pourtant on s'aime toujours ! Ca j’en suis sûre !
- Mais on le sent bien ! Tu devrais prendre un amant, qu'il te décrispe !
- Je ne veux pas ! Je risquerais trop de m'attacher ! Et si André l'apprenait je ne sais pas comment il réagirait !
- Mais si tu restes crispée comme tu es, tu vas te bloquer de plus en plus !
- Je le sais bien ! Mais que veux tu que j'y fasse ?
Clélia me regarda dans les yeux. Je savais ce qu'elle pensait. Elle ajouta :
Détends toi ! Ne dis plus rien ! Avec nous tu ne risques rien ! Personne ne saura rien !
Tous deux nous caressions ses jambes et la jupe remontait doucement. Elle se laissait faire. Alors ma main glissa sur son chemisier et palpa tendrement un de ses seins. Je sentis son téton raidir et se dresser. J'ouvris alors le chemisier et glissai ma main dedans. Je pris le sein nu et le fis sortir de son balconnet. Le bout en était tout dressé et durci.
Tout à coup elle sursauta. Clélia l'avait touchée au coeur et la caressait à travers sa petite culotte. Je sortis son sein et dégageai l'autre. On les regarda et Clélia lui dit :
- Comme tu as de beaux seins ma chérie ! Tu ne trouves pas mon amour ?
- Oh si !
Elle nous regarda tous les deux dans les yeux.
- Vous êtes fous !... On ne peut pas !
- Chuuut ! Détends toi! Laisses toi caresser ! Abandonnes toi ! Ca te fait tant de bien ! Personne n’en saura jamais rien ! Ce sera notre secret !
Je baissai les lèvres vers le bout du sein et me mis à le sucer et un doigt de Clélia glissa sous la petite culotte, et de là, s’enfonça droit dans la moule chaude.
- Comme tu mouilles ma chérie ! Laisses vivre ton corps !
- Vous êtes fous ! Si André savait ça !
- Il ne peut pas le savoir ! On ne lui dira rien ! Et toi tu as tant besoin de plaisir !
Clélia se baissa et l'embrassa sur la bouche. Je laissai le sein et m'accroupit entre ses cuisses. J'écartai la culotte et regardai le doigt de Clélia glisser dans le con. Elle avait un beau con entouré d'une jolie toison claire. Les lèvres en étaient épaisses, gonflées et écartées. Elle dégoulinait d'excitation sensuelle. Cette fleur de chair tendre, toute ouverte, dégageait un parfum féminin très enivrant. J'y posai les lèvres. Le ventre de Sarah bondit et Clélia retira la main pour me laisser la place.
- Je ne veux pas !... J'aime André !
Clélia lui répondit immédiatement :
- Tu dis enfin une chose sensée ma chérie !... On le sait que tu adores ton André et il ne faut rien y changer ! Mais ton corps a besoin de plaisir, de folie ! Laisses le jouir ! Tu verras plus clair après !... Quand tu auras bien joui !... Laisses toi faire !... Il embrasse si bien mon homme !... Profites en bien !...
Sarah gémissait. Elle coulait dans ma bouche ! C'était bon ! Je me relevai. Les deux femmes s'embrassaient follement sur la bouche. Je remontai la jupe, pris la petite culotte, l'abaissai et la lui glissai le long des jambes jusqu'aux chevilles. Puis je replongeai entre ses cuisses et me délectai à nouveau des lèvres de son con et de son clitoris.
Clélia suçait maintenant un bout de sein de Sarah avec passion. Je glissai une main vers le haut et ouvrit en grand le peignoir de Clélia. Elle était nue. Je pris une main de Sarah et la posai sur un sein de Clélia. Tout de suite la main poigna dedans. Ma main glissa entre les cuisses de Clélia et deux doigts se poussèrent dans la moule adorée. Elle aussi coulait abondamment ! Je détachai la jupe de Sarah et elle se souleva pour m'aider à la retirer ! Les deux femmes s'embrassaient, se caressaient et se frottaient follement l'une à l'autre. Je buvais toujours à la moule de Sarah dont le clitoris était tout gonflé sous la pointe de ma langue.
Clélia se releva, enleva son peignoir, puis le chemisier et le soutien de Sarah. Et toutes deux, entièrement nues, s’enlacèrent à nouveau. J'ouvris mon peignoir pour me caresser la bite et me redressai. Sarah regarda avec passion mon sexe raide.
- Il est énorme !
- Mon mari te désire Sarah ! Il veut ton joli con !
Clélia prit ma bite et la dressa vers le con de Sarah. Elle dénuda le gland et le glissa sur le clitoris de Sarah qui bondit en gémissant. Une bonne minute Clélia, poignant dans ma queue, fit courir mon gland de haut en bas dans la vulve mouillée et chaude de son amie. Sarah regardait nos sexes les yeux exorbités. Elle gémissait sourdement. Elle se défendait encore en paroles mais son con se donnait.
Alors Clélia ajusta ma bite et la poussa dans le con de son amie. J'y glissai jusqu'aux couilles. On gémit tous les deux de plaisir. Clélia posa ses lèvres sur celles de Sarah qui se donna complètement, bouche et con au couple.
Elle s'envola très vite dans un orgasme forcené, suivi de deux autres. Elle poussait des cris de plaisir. Son ventre dansait pour m'avoir plus au fond d'elle. Elle enlaçait follement Clélia, lui palpait les seins et les fesses, entrait deux doigts dans sa moule et buvait à ses lèvres.
A la fin de son troisième orgasme elle s'effondra dans le divan essoufflée. J'étais toujours à genoux entre ses cuisses, planté bien raide dans son con. Clélia l'enlaça nue et la laissa un moment regarder nos sexes bien unis. Puis elle lui dit à l'oreille.
- Maintenant tu l'as ton amant ! Bien jusqu'aux couilles dans ton con ! Vous allez souvent jouir à poils à deux ! Ca sert à ça un amant ! Elle te plaît hein sa bite ! Regarde comme elle est belle dans ton con ! Tu vas beaucoup jouir avec lui... et souvent ! Lui ne demande que ça tu penses ! Tu viendras te faire sauter et jouir avec lui chaque fois que tu en auras envie... ou besoin !
- Mais... C'est ton mari !?!
- Je te le prête !... Pas pour l'amour ! J'en suis folle et veux le garder !... Mais pour le plaisir !... Le plaisir de ton joli gros con tout affamé !... Tu verras ! C'est un amant merveilleux ! Il apaisera tes besoins. Mais il va te faire craquer ! Tu vas devenir pute et à ton tour tu feras craquer André ! Pat te rapprochera d'André ! Un autre amant t'en écarterait ! Alors tu vas donner librement tout ton cul à ton amant ! Il va te faire vivre des orgasmes fous ! Après, ton ventre sera paisible. Tu vivras tout autrement ! Tu oseras dire à André que tu as faim de bites et de jouissance !
Clélia eut un long silence durant lequel elle palpa nos sexes accouplés. Puis elle ajouta :
- Tu verras ! Nous ferons tout pour raviver votre amour André et toi... et pour faire de vous deux bêtes à plaisir !... Tu es belle accouplée à Pat ! Mais lui s'est retenu pour te faire jouir encore ! Il est toujours tout gros et dressé en toi ! Si on allait au lit ? On serait mieux pour continuer !
- Continuer ?... Mais...
- Bien sûr continuer !... Il faut rattraper ces trois mois !.. Tu es à poils bien prise par ton amant !... Maintenant tu vas faire l’amour comme une bête... Tu vas jouir jusqu’à ce que tu n’en puisses plus !... Sous mes yeux !... Et je lécherai ses couilles après pour goûter ton jus !...
- Oh Clélia !
- Tu n'as pas encore envie de jouir sur sa grosse bite ?
- ... Si !... Oh si !...
- Eh bien alors ? Ne cherche pas midi à quatorze heures ! Vous êtes amants et lui aussi a encore envie de toi ! Sens sa belle grosse bite dans ton con qui te caresse jusqu’à la matrice !... Elle te plaît non ?.. La bite de ton amant ?
- Mais si André savait !
- Il ne saura pas que tu viens te faire baiser chez nous à couilles rabattues par Pat !... Ni que tu fais la lesbienne avec moi !.. Car tu es une merveilleuse lesbienne aussi !... Ne dis pas non ! Tu viens de nous le montrer abondamment !... Viens dans notre lit ! On va jouir à trois !
- Lesbienne ?..
- Sarah!... Ne te caches pas !... Bien sûr que tu aimes ça !... Non ?
- …….. Oui !
- Moi aussi... Avec toi !
Je sentis que Sarah y était prête. Je retirai doucement mon mandrin de son con, sous les remarques affriolantes des deux femmes. Puis me relevai, la bite encore dressée sur mon ventre.
Clélia, assise dans le divan, m'attira et se mit à lécher ma bite et mes couilles devant Sarah. Nous savions tous deux ce qu'elle y cherchait ! Le goût du con fou de son amie Sarah qui la regardait faire, une main sur le con.
Après une minute ou deux je lui retirai la queue de la bouche de peur de gicler de plaisir. Je pris les deux femmes, épouse et maîtresse, et les menai nues vers notre lit.
Clélia s'y étendit et Sarah laissa longuement courir ses regards sur tout son corps. Nous sentions qu'elle y prenait plaisir. Clélia l'attira par la main et elles se couchèrent nues l'une contre l'autre. Elles roulèrent enlacées sur le lit, se palpant tout le corps, s'embrassant bouche à bouche, se frottant sexe contre sexe.
Clélia alors se releva et s'agenouilla entre les cuisses de Sarah en la caressant. Elle la regarda dans les yeux et lui demanda :
- Sarah, tu as déjà fait l'amour avec une fille hein ?
Il y eut un silence, Sarah me regarda, hésita à répondre, puis dit :
- Oui!... A 17 ans !... Une prof un jour de congé !... On l'a refait après...
- Souvent ?
- Oui !
- Et tu aimais ça ?... Hein ?... Je peux t'embrasser comme ta prof te l'a sûrement fait bien souvent ?
- Oh non ! ... Je suis sale !
- Tu n'es que toute pleine de ton bon jus de plaisir, et peut-être d'un peu du jus des couilles de mon mari !... Je voudrais ta fleur toute ouverte, et y boire ton nectar !... Sarah ! J'ai envie !... et toi aussi !
Elles se regardèrent longtemps dans les yeux, puis on vit Sarah, nue sur le dos, ouvrir doucement tout grand les cuisses et tordre son bassin pour tendre son con ouvert à Clélia. Toute sa fleur s'offrait à Clélia devant moi.
- Bois ma pute ! Bois à mon con ! C’est vrai que j'adore ça moi aussi ! Si tu aimes mon jus tu vas être servie ! J’adore faire l’amour avec une femme !
- Ah ! Sarah ! J'aime quand tu parles comme ça ! Alors, à nous deux, on a tout ce qu’il te faut pour jouir pleinement !... Ton amant et ta maîtresse à poils ensemble dans ton lit !...
Clélia s'abaissa, apposa ses lèvres sur celles du con ouvert, et se mit à dévorer. Il ne fallut pas trente secondes pour que Sarah réclame sa part. Elles se retrouvèrent dans un 69 passionné.
En caressant ma bite dressée sur mon ventre, je les regardais se donner du plaisir. Elles glissaient toutes deux la langue et les doigts dans le con de l'autre. Elles gémirent et jouirent toutes deux follement ensemble.
Puis Clélia se retourna, enlaça à nouveau Sarah, et roula avec elle sur le lit, la gardant sur elle, ventre contre ventre, seins contre seins. J'approchai et me glissai entre leurs cuisses nues. Mon ventre se frotta aux fesses douces de Sarah. Ma queue fouilla entre leurs jambes et mon gland chaud caressa les lèvres des deux cons accolés. Alors toute ma bite plongea dans le con de Sarah. Elle gémit, les lèvres soudées à celles de Clélia, qui se libéra pour lui dire lui dit :
- C'est bon hein ?
- Oooohh oui !
Je sortis ma bite et la plongeai dans le con de Clélia qui gémit à son tour. Sarah s'écarta d'elle et la regarda.
- Tu aimes aussi hein ? Ton visage est si beau quand ton con est plein de sa bite ! On sent combien vous vous aimez !
- Oh oui! Quelle bite ! Et ton corps nu !... C'est comme si tu me prenais toi avec une belle bite !
Je me partageai alors entre les deux cons baveux. Clélia dit à Sarah :
- Comme tu coules de plaisir Sarah ! Quand il me rentre dedans après toi je sens tout ton jus sur sa bite !
- Oui ! Je le sens aussi quand il sort de toi ! Mon con aussi est plein de ton jus jusqu'au fond ! Ca me plaît... cette grosse bite... et le jus de ton con au fond du mien !... Aaaaahhh ! Je couche avec votre couple !
- Tu es vicieuse Sarah ! Que c'est bon de coucher vraiment à trois !... Et ce n'est qu'un début ! Ca nous arrivera souvent maintenant !... Tu prends la pilule ?
- Oui !
- Alors Chéri je veux que tu jutes en elle ! Elle jouira beaucoup plus fort en sentant tes jets de couilles tout chauds sur sa matrice !
- Oh Clélia ! Faire gicler ton mari dans mon con ! Quelle pute tu es !
- Mais tu aimes cette pute. Hein ?... Et le mari de cette pute qui gicle en toi ? C'est aussi ton amant ! Le mâle de tes plaisirs et de tes vices ! Tu le sens bien ?
- Ooooohh Ouiii !! Il est gros !.. Et il touche ma matrice !...
Je sentis le con de Sarah chercher à prendre mieux ma bite, à l'avoir plus profond encore. Je me consacrai alors entièrement à elle et à son plaisir. Clélia s'extirpa alors de dessous Sarah qui se releva à quatre pattes, prise en levrette. Clélia retourna à nouveau sous elle en tête-bêche. Ses lèvres épousèrent celles du con tout ouvert et elle offrit son con à la bouche de Sarah qui se jeta dessus d’une bouche gourmande.
Le couple faisait bander et jouir la petite Sarah qui passait d'un orgasme à l'autre. Puis je ne pus me retenir et elle accepta mes jets de sperme avec des cris d'orgasme, la bouche de Clélia collée à son clitoris.
On s'effondra alors l'un sur l'autre et on dormit enlacés à trois une petite heure. Le réveil fut tendre avec ce nouveau corps tout nu entre nous. Mais ma queue bandait dès le réveil. Je remontai sans gêne sur Sarah et la repris. Clélia nous enlaça et dit :
- C'est merveilleux que vous soyez amants ! Tu vas transformer son ventre Chéri et la faire souvent jouir !
- Et avec toi petite femme elle se roulera dans les plaisirs lesbiens qu’elle adore tout autant ! On va beaucoup jouir à trois !
J'allais et venais lentement dans le con de Sarah. Clélia continua :
- Sarah ! Ecoutes moi bien pendant qu’il te fouille !... Tu vas venir plusieurs fois par semaine, en secret, dans notre lit chercher ta pitance de plaisir ! Tu es vicieuse en diable ! Tu aimes les hommes et les femmes ! Tu coucheras chaque fois avec nous deux. Et je te préviens ! On va tout faire pour te pervertir ! Tu vas devenir une petite femelle à plaisir qui voudra jouir toujours plus ! Tu n’auras pas de tabou envers le mâle ou la femelle !.. Alors tu ne seras plus bloquée contre le corps nu d'André ! Il va sentir qu'il a une pute dans les bras et il te sautera enfin dessus !... Mais tu continueras à coucher avec Pat, même quand tu auras à nouveau André régulièrement dans ton con ! Tu passeras simplement d'un homme à l'autre !... On veut que tu viennes même chez nous sans te laver ! Comme ça, après, tu auras le mélange des deux spermes dans ton con ! Mari et amant !... Nous on le saura, mais André ne saura pas qu'il est cocu ! Et tu retourneras aussi chez toi te donner à André pleine du sperme de Pat ! Il sera émerveillé comme tu mouilles pour sa bite ! Et ton André, sans s'en rendre compte, sera ainsi tout proche de nous ! Il aura la bite et les couilles bien enduites du sperme de Pat... et moi j'aurai goûté son sperme dans ton con ! Et d'ailleurs Pat s'en délectera tout autant que moi !
- Oh vous êtes vicieux !...
- Ca ne te plaît pas ?
- Oh si !... Mais ça m'excite... l'idée d'enduire moi-même sa queue et ses couilles du sperme de ton mari...
- Tu sais,... Quand tu reviendras avec ton con dégoulinant du sperme du tien, c'est la queue et les couilles de Pat que tu vas enduire !... Tu aimes ça hein vicieuse ?
- Ouiii ! Ces deux sexes mâles pleins du jus de couilles de l'autre !...
- C'est normal ! Ce sont les deux bites à plaisir de ton con ! Qu'est ce qu'ils vont gicler en toi !... Mari et amant !...
Sarah passa un bras autour de la tête de Clélia et l’embrassa sur la bouche, puis répondit :
- J'ai une maîtresse aussi !... Une maîtresse à combler de plaisir !
- Oh oui chérie ! On fera aussi beaucoup l'amour entre filles !... Devant ton amant !... Mais dès ce soir tu Suces ton mari !
- S'il veut bien !
- Ne lui demandes pas son avis !.. Tu reviens demain à 16 h 30 après l'école pour baiser à poils avec nous ! Tu nous raconteras en détails ta séance de baise de ce soir avec André ! Et tâches de te souvenir de tous les détails croustillants !
- Je ne peux pas ! C'est l'intimité de notre couple ! Je ne veux pas trahir André !
- Tu sais, aujourd'hui votre couple est tombé tout chaud et tout nu avec toi toute nue dans notre couple... et dans notre lit ! T'en fais pas ! On t'arrachera tes secrets à coups de bite et de langue dans le con !... Quels sont les vices d'André au fond ? Tu n'as pas voulu le dire tantôt ! Il a une belle bite ?
- Oui !... Aussi belle que celle de Pat !
- Et ses vices ?
Sarah hésita. Mais elle sentit mon gland se frotter tout au fond d'elle à sa matrice. Cette intimité si totale et vicieuse ! Le fait qu'elle avait aussi couché abondamment avec Clélia ! Elle couchait avec le couple ami ! Se taire n'avait pas de sens ! Elle le sentait et répondit :
- Je crois qu'il est bisexuel !... Qu'il aime les hommes aussi !... Il ne m'a jamais rien dit... mais il cache deux romans parlant d'hommes qui couchent ensemble... et même pas un peu... Et il les relit souvent...
- Tu trouves ça grave ?
- Oh non ! Pas du tout ! Je les ai lus plusieurs fois et ça m'a chaque fois fort excitée !
- Salope ! Mais on vous comprend tous les deux ! Nous aussi on aime ça !
- Vous ?... Pat aussi ?
- Bien sûr ! Ca te choque que le beau membre qui bourre ton con aime aussi coulisser dans le cul d'un homme ?
Sarah tourna ses regards vers moi.
- Non !... C’est vrai Pat ?... Tu l'as déjà fait ?
- Oui !... Souvent !... C'est beau le cul de l'homme... avec ce beau sexe qui pend en dessous tout chaud et vivant !... J'adore !
- Je ne l'aurais jamais cru !... Toi... coucher avec un homme !... J'aime ta bite encore beaucoup plus tiens !... Pat ! J'aimerais te voir prendre un homme !
Elle hésita longtemps puis ajouta rêveuse :
- Je sais qu'André te trouve très beau ! Il m'a dit un jour qu'il aimerait nager à poils avec toi !... Tu sais... après notre excursion ensemble l'été dernier !... Ton maillot tombait tout le temps !
- Tu crois qu'il aimerait faire des choses avec moi ?
- Je ne sais pas !... J'assemble les pièces connues du puzzle !... Il cache deux bouquins d'hommes couchant ensemble et les relit souvent... et il le fait certainement en se caressant... Il est probable qu'il est très attiré par ça... Tu ne crois pas ?
- Oui!... Sûrement !
- Toi tu es son ami,... il te trouve beau,... il m’a dit qu’il aimerait nager tout nu avec toi... On ne sait pas plus... mais ça ne m'étonnerait pas qu'il rêve de toi !... j'aimerais bien en tout cas !
- Quoi ?... Qu'André et moi on fasse l'amour ensemble ?
- Oui !... Ici !... Dans votre lit ! Ce serait bon de savoir que tu le pervertis ! Je me sentirais plus libre de faire la lesbienne avec Clélia si tu le rendais homo... Et puis ça m'exciterait... J’aimerais faire l’amour avec vous deux dans le lit où tu le prends, lui, à poils !... Et ça le décoincerait peut-être lui !
- Oh Sarah! Tu es une vraie salope ! Tu tombes toute chaude et nue dans notre lit et dans notre couple ! Tu couches follement avec nous deux... et avec ma bite en toi jusqu’aux couilles tu nous offres ton mari à poils et tu rêves de ma bite dans son cul tout ouvert !
- Tu sais... Je jouis beaucoup plus avec vous deux que je n’ai jamais joui avec André ! J'adore faire l'amour avec vos deux corps ensemble !... Goûter au mâle et à la femelle !... Je comprend très bien que ça puisse plaire tout autant à un homme !... Alors si André rêve de ça depuis longtemps je voudrais qu'il le fasse !... Je voudrais vraiment !... Tu comprends ?
- Bien sûr ! Mais tu m'excites de me demander ça exquise petite salope ! J’aime un bel homme vicieux tu sais !... Et j’adore que tu m’offres ton mari !
- C'est merveilleux ! Rien ne vous choque vous deux ! Je peux tout vous dire !... Tu sais... en couchant avec lui je penserais à ta bite... et je me dirais qu'il l'a aussi eue dans son cul !... Qu’elle l’a fait jouir autant que moi !...
- Tu m’excites Sarah !... M’offrir ton André !... J'ai très envie d'y goûter ! Ce serait exquis de vous connaître sexuellement tous les deux !
Je la pistonnais toujours doucement et sentais son con serrer ma queue. Clélia lui suçait un bout de sein. Après un moment Sarah continua, un peu rêveuse :
- Pat !... Je voudrais que tu entraînes André à poils dans ce lit... que tu déchaînes ses vices... qu'il craque sa belle coquille pudique... et que tu me racontes tout en détails après ! C'est mon mari ! Je l'adore ! Je veux tout savoir de lui !... Surtout ses vices !... Je ne veux plus qu'il lise ses bouquins tout seul, la bite en mains !... Je veux qu'il les vive à poils avec toi... vissé à ta bite ou à ton cul... et qu'il jouisse beaucoup avec un homme !... avec toi !...
- Il doit être beau !
- Très !... Surtout à poils quand il bande !... Je suis sûre que tu le ferais bander ! Avec toi il pourrait vivre pleinement son envie de l'homme ! J'ai l'impression qu'il en rêve en secret !
- Je ferai l'amour à poils avec lui !... Je te le promet !.. Comme ça, en couchant dans ce lit avec nous tu sauras que le corps nu d'André y a joui autant que toi !... Et je te raconterai tout en te baisant bien profond... comme maintenant !
- Oh Pat ! Ta bite dans son cul... et lui qui crie de plaisir vicieux sous toi !... Et sa belle bite dans ton cul !... Sucez vous aussi l'un l'autre !... Embrassez vous bouche à bouche en frottant vos sexes l'un à l'autre !... Oh je veux que vous jouissiez beaucoup à vous deux ! Je veux que tu en fasses un bi confirmé !... Et un jour je veux vous voir faire tous les deux !... Et toi aussi Clélia ! Je veux aussi que tu couches avec lui... qu'il te bourre le con et que tu jouisses fort sous lui ! Tu me donnes ton mari ! Je veux que tu jouisses aussi entièrement nue avec le mien !
- Vous allez tous les deux passer à la casserole dans notre lit !
- Oh oui !... Ca nous fera du bien !... Et après notre problème sera peut-être guéri !
- Et vous aurez tous les deux gagné un amant et une maîtresse !
Clélia lui répondit :
- Tu ne seras pas jalouse que la bite de ton mari vienne danser dans mon con et qu'on jouisse à deux ?
- Oh non ! Mais dis lui de ne pas se laver avant de me prendre !... Et qu'il ne se lave pas non plus en sortant de ton cul Pat ! Je le sucerai avant qu’il me prenne... Comme ça je saurai tout de suite ce qu’il a fait avec vous... et s’il a bien couché avec vous deux !
Je lui répondis :
- Oh Sarah salope !... O.k.! Tu lui caches tout de nous aujourd'hui !... Sauf que tu nous as rendu visite ! Et ce soir tu le suces et tu lui ouvres les cuisses sans te laver ! Il glissera mieux en toi dans mon sperme ! Ce sera son premier contact avec moi... en toi !
- Sale vicieux !... Oui je le ferai !... Je te le promets !... Ce soir sa bite baigne dans ton sperme en moi ! Mais je voudrais qu’il ait aussi très vite ton sperme dans le cul !
On ne dit plus rien. Nos trois corps nus s'enlacèrent et vécurent une lente montée vers le plaisir dans un long baiser des trois bouches réunies. Ma bite continuait sa danse au fond d’elle.
On passa le reste de la journée à trois au lit. Les deux femmes couchèrent encore abondamment ensemble et ma queue passa encore souvent d'un con à l'autre.
Quand Sarah nous quitta elle me demanda avec un clin d'œil :
- Tu n'oublies pas pour André ?
- Non non ! Mais toi non plus ! Suces le bien et mets lui mon sperme sur la bite et les couilles toute la soirée ! Et toi tu reviens coucher avec nous demain à 16 h 30 ?
- D'accord ! Je vous adore tous les deux ! Et je vous dirai tout de mes amours de ce soir avec André ! Ahhh ! Je me sens enfin heureuse ! Je me demande si un jour on ne couchera même pas à nous quatre !
- Nous aussi ! Aujourd'hui ce n'était qu'un bon début !
Pendant qu'elle faisait le trajet vers son domicile conjugal j'appelai André au bureau et lui demandai de passer chez nous le lendemain matin à 9 heures.
Notre activité sexuelle de la soirée fut calme. Clélia et moi avions à partager, à apaiser notre excitation interne et à ajuster nos projets pour ne laisser aucune chance à André !
Il arriva le lendemain à 9 heures précises. Je le reçus seul en peignoir, et à poils en dessous.
- On est tranquille tu sais ! Clélia est chez une amie pour la journée !
Ce n'était pas vrai. Mais ça le mettait à l'aise. Je nous servis un bon café, le fis asseoir dans le divan et m'assis à côté de lui. J'entamai la conversation :
- Sarah t'a dit qu'elle est passée hier chez nous ?
- Oui !...
- Elle n'avait pas l'air d'aller bien, alors on s’est permis de la faire parler... Elle nous a dit que votre couple ne marchait pas... surtout dans le domaine sexuel.
Il rougit un peu et répondit :
- ... C'est vrai !
- C'est pour ça que je voulais te voir ce matin. Vous êtes de vrais amis ! Nous sommes vraiment malheureux que ça n'aille pas. Un couple ne peut pas marcher sans une bonne entente sexuelle !
- Que veux tu que j'y fasse ?... Je fais tout pour être adroit et la rendre heureuse... même sur ce plan là... mais je la crois un peu frigide.
Je pensai à part moi: "Mon ami ! Si tu savais !", et j'ajoutai :
- Mais es-tu toi-même toujours détendu sexuellement ?
- Oh non !... Je ne pourrais pas !... On couche trop rarement ensemble !
- Tu n'as pas de maîtresse ?
- Non !... Je ne veux pas !... Pas encore !... Peut-être un jour !... Tu sais... J'aime Sarah !... Un jour elle s'ouvrira peut-être.
- Entre-temps tu dois être bourré de fantasmes non vécus qui te perturbent !
- Non !...... Enfin si !...
Je me relevai pour prendre mon café, but un coup, puis me rassis en ayant soin de laisser mon peignoir négligemment ouvert. Son regard descendit automatiquement le long de ma poitrine et courut sur mon ventre nu. Je ne savais pas qu'il voyait même mon buisson de poils sexuels mais pas mon sexe lui-même. Il rougit fort et ajouta :
- Je suis plein de fantasmes non vécus ! ... C'est vrai que ça me perturbe !
- Lesquels ?
- Je ne vais tout de même pas te les dire ?
- Pourquoi pas ? Tu sais... moi aussi je suis plein de fantasmes inavouables ! Des fantasmes c'est normal d'en avoir... même des très cochons !... Même si tu fantasmais fort au sujet de Clélia je ne serais pas choqué !
- C'est pas ça !... C'est sans rapport avec la femme !
- Avec l'homme alors ?
Il rougit terriblement mais s'enfonça dans un silence bloqué. Je tenais le bout de la ficelle ! J’allais pouvoir gentiment tirer dessus ! J'ajoutai :
- C'est ça André ?... Tes fantasmes c'est l'homme ? Tu as envie de faire l'amour avec un homme ?... Hein ?... Je te comprends note !
- Tu vas me prendre pour un homo !
- Oui !... C'est vrai que tu es sûrement un peu homo…. Ou plutôt bi ! Mais tu n'es pas le seul !... Et puis tu es un bi que j'aime et que je respecte !... Tu as déjà fait l'amour avec un homme ?
- Non !... Jamais !
- Pourquoi pas ?
- Je ne sais pas !... L’occasion n’est pas venue...
- Crées la !... Et le cul de l'homme t'attire ?... Sa queue, ses couilles, son anus ?...
Il eut un long silence, puis ajouta d'une voix sourde :
- Oui !... Terriblement !... Mais ne dis jamais ça à personne... Pas même à Clélia !
- Et pourquoi tu n'essayes pas au moins une fois avec un homme ? T'es pas obligé de le dire à ta femme si ça te gênes ! Avec un homme tu ne la trompes pas !
- Si je commence ça je ne pourrai plus m'en passer !
- Tu en as tellement envie que ça ?
- Tu ne peux pas savoir !.. Ca me poursuit tout le temps !...Depuis des années !... Ca me rend parfois presque malade !
- Mais tu es dingue André !... Fais le alors ! ... Tu t'empoisonnes !... Couches follement avec un homme ! Découvres sa bite, ses couilles, ses vices et plonges dans son anus !... Donnes lui ton cul ! Echangez vos fantasmes et vos vices et aimez vous !... Jouissez à deux !... Tu es beau !... Tu plairais à beaucoup d’hommes !...
- Mais... Je ne connais personne qui... qui aurait envie de faire ça avec moi !
Je le regardai dans les yeux, Puis me tournai vers lui, écartai les jambes et en posai une sur le dossier du canapé, ouvrant ainsi tout grand mon peignoir et offrant tout mon cul à sa vue. Je pris ma bite dressée entre mes doigts, la caressai doucement et lui dis tout bas :
- Là tu te trompes !... J'adore coucher avec un homme et j'ai envie de toi depuis longtemps !... Toi tout nu !... Tiens !... Défoules toi !
Tout rouge il fixait mon sexe nu d’un regard passionné.
- Mais Pat !... Pas toi !... Tu me mépriseras après !... Je ne veux pas perdre ton amitié !
- Parce que je connaîtrai tes vices ?... J'en ai envie !... Et toi tu connaîtras les miens ! Tu me mépriseras ?
- Oh non !... J'en ai envie aussi !... Mais on ne sera peut-être plus des amis.
- ... Mais des amants... Ce sera d'autant meilleur !... Et nos femmes ne sont pas obligées de savoir... qu'on fait l'amour et qu'on jouit à poils à deux comme des bêtes !
Je lui pris la main et la posai doucement sur mon sexe.
- Détends toi !... Fais en ton jouet !... J’en ai envie !... Je veux coucher avec toi !
Je le forçais à palper doucement mes couilles et ma queue. Sa main commençait à vivre sa propre vie sous la mienne. Il me palpait bien. Je gémis faiblement et m'étirai devant lui. Ses regards couraient sur mon corps nu.
- Oh Pat!... Je... Je ne pourrai plus m'arrêter !
- Moi non plus !... Ce sera bon !... Suces moi !... André !... Suces ma bite !...
Il hésita un moment, triturant ma verge sans s'en rendre compte. Puis il s'abaissa et prit toute ma bite dans sa bouche.
- Ooohh André ! Tu le fais bien !... J'aurais jamais cru qu'un jour tu me mangerais la queue !... Oh oui ! Lèches mes couilles aussi !... C'est bon !
Il me suçait avec passion. Ma bite grandissait dans sa bouche. Il me caressait les couilles en même temps.
- Oooohh ! Tu me dévores bien ! C'est bon !... On va mêler nos vices ! Je jouirai autant de sentir ta bite danser en moi que de t'enfoncer la mienne jusqu'aux couilles dans ton cul jouisseur !... Et quand tu te relèveras tout nu de moi on sera devenu amants pour des années !... Tu viendras vider tes couilles en secret en moi !...
Tout en me suçant ses mains couraient maintenant sur tout mon corps nu. Il semblait excité à outrance. C'était merveilleux de sentir son désir de moi. Le barrage avait sauté ! Tous ses vices longtemps retenus déferlaient sur mon corps nu. Je lui dis tout bas :
- Mets toi à poils et reviens dans mes cuisses pour coucher avec moi !... Tu auras tout mon corps et j’aurai le tien !... On va beaucoup jouir à nous deux !... En secret... La bite dans le cul de l’autre !
Il était comme fou. Il me regarda dans les yeux, serra fort ma bite et caressa doucement mes couilles. Puis il bondit sur ses jambes et je le regardai se déshabiller. Il était en slip. Son corps était beau. J'allais voir cette bite qui gonflait son slip. Il passa la main dessus puis pris les bords du slip... Le slip descendait... Toute la bite apparut... Tendue... Dressée sur son ventre velu. Qu'il était beau en rut ! Je lui tendis la main et il la prit. Je l'attirai vers moi et il revint à genoux entre mes cuisses. Mes mains glissèrent sur son corps puis prirent possession de son sexe. Je le caressai doucement.
- Que tu es beau !... Quelle bite !...
Je me relevai sur mon séant et embouchai sa belle bite. Je me mis à la sucer en le regardant régulièrement dans les yeux. Son visage était tordu de plaisir vicieux. Son gland dans ma bouche était extraordinairement doux et chaud. Il poussait vicieusement son ventre en avant et regardait sa bite dans ma bouche. Il gémit tout à coup et me dis tout bas :
- Oooohh Pat !... J'ai envie de toi !
Je le léchai et retombai en arrière sur le dos.
- Prends moi !... Mets la moi dans mon cul !... Ta bite est belle !... Je veux servir tes vices !...
Je savais qu'après ça le premier pas serait fait ! On serait amants. Il pourrait déverser tous ses vices sur mon corps nu et saurait rechercher les miens !... Une fois sa bite dans mon cul ses dernières défenses psychologiques sauteraient. Il deviendrait bi et ferait merveilleusement l’amour entre hommes.
- Prends moi dans le cul !... Tu as une belle bite !... Je veux la sentir en moi !... Je veux tous tes vices !... sers toi de moi à poils !...
Je lui ouvris mes cuisses toutes grandes comme une femme et lui tendis mon anus. J’ajoutai :
- Embrasses moi d'abord salaud ! J'ai envie de tes baisers là !... Fais moi une feuille de rose bien profonde !
- Sale vicieux !... Aaahh je t'aime ! Tu as de belles couilles !
Il se jeta passionnément sur mon anus.
- Ahh tu aimes hein !... Aaahh c'est bon ta bouche !... ta langue vicieuse !... Ooohh tu la rentres bien !... C'est boooonnn !... Et c'est bon de sentir que tu aimes ça !... Viens en moi André !... Prends moi !... Mets moi ta belle queue !...
Il se releva à poils, la bite dressée sur le ventre, les yeux hagards, regardant mon cul. Je ramenai mes jambes contre ma poitrine et le lui offris. Je le regardai avancer vers mon cul, la bite en l'air. Il posa son gland chaud sur mon anus et poussa. Je le vis entrer doucement et sentis cette belle bite prendre possession de mon cul. L'accouplement nous fit gémir tous les deux. Il soupira :
- Ooohh Pat !... Je suis amoureux de toi !
- Mon André !... Tu as enfin craqué !... J’en avais si envie !... Tu es dans le cul d'un homme !... Mon cul !... Et maintenant qu’on est à poils à nous deux et que ta belle grosse bite me fouille le cul on va beaucoup faire l'amour à nous deux !
- Quel cul tu as !... J'ai quand même peur de te dégoûter après... Mais au moins je t'aurai eu !... J’aurai fait l’amour avec toi ! … Que tu es beau comme ça !
Et en disant ça il se poussa d'un grand coup jusqu'aux couilles en moi. Je gémis de plaisir et lui dis :
- Oh non !... Après je t'enculerai aussi !... Je veux aussi gicler dans ton beau cul !... Je veux tous tes vices et je sais que tu veux les miens !... On va se plaire beaucoup !... Faire l'amour à deux autant qu'on veut ! Ooohh c'est bon ta grosse et longue bite ! Comme tu me possèdes !... Je t'aime aussi !...
- Oh Pat !...
Il me pistonnait maintenant follement. Il se coucha sur moi. Je l'enserrai dans mes bras et me frottai contre lui, lui caressant le dos. Nos deux corps nus se mêlaient.
- Crapule vicieuse ! Comme tu te donnes !
- Maintenant tu sais qu'on est pareils ! T'auras plus peur !... Quelle bite !... Comme tu me tiens par le cul ! Aaahh c'est bon !
- T'es une vraie pute !
- Mais t'es heureux dans le cul de ta pute mâle hein salaud ! Et tu vas y jouir !... Attends ! Ce sera bientôt ton tour de faire la pute et d’offrir ton anus à ma bite vicieuse ! Je veux aussi ton beau cul André ! Et tu vas te délecter de sentir ma grosse bite raide en toi !
- Tu m'auras salaud ! Tu auras tout mon cul d'homme pour tes vices !... Ta belle bite chaude en moi !... Qu'il est bon ton cul !... Ahhh! Tu es une vraie pute !...
- Jouis André !... Gicles dans mon cul !... Je veux ton sperme !... Jouis en moi ! Tu en a envie depuis tant d’années !
Il se mit à danser de la bite dans mon cul, de plus en plus vite. Je vis son visage se tordre et sentis ses jets de sperme gicler en moi. Quand il eut bien joui je l'enlaçai étroitement, frottant ma joue à la sienne. Nos corps nus totalement unis se frottaient l'un à l'autre. Ma bite et mes couilles étaient délicieusement au chaud écrasés entre nos ventres. Il retrouvait doucement sa respiration. Mes lèvres glissèrent au coin de sa bouche. Je sentais qu'il savait mon désir et hésitait. Et tout à coup nos bouches se joignirent et nos langues s'enlacèrent fougueusement... comme nos corps nus... Sa bite dégonflait doucement dans mon cul.
Après un long baiser je me dégageai et me relevai à côté du divan. Il regardait mon corps et moi le sien. Je lui tendis la main et le tirai debout vers moi.
- Viens !... On sera mieux au lit !
Alors, tous deux à poils, je l'entraînai vers notre chambre. Arrivé devant le lit je l'ouvris et l'y poussai. Il s'y étendit et m'y entraîna. Tout de suite on s'enlaça en s'embrassant à nouveau bouche à bouche.. Nos deux bites, maintenant bien dressées, se frottaient l'une à l'autre. Maintenant qu'il me sentait dans le même état que lui il ne craignait plus rien et se déchaînait. Nous visitions mutuellement nos corps nus du bout de la langue et des doigts.
A genoux, le cul en l'air et le visage sur le lit, il offrit longuement tout son cul à ma bouche gourmande, à ma langue et à mes doigts, Puis je le fis se recoucher sur le flanc. Je me glissai derrière lui. J’empoignai ma bite dressée et glissai une main entre ses cuisses pour prendre la sienne. Elle était belle, grosse et chaude. Je masturbais nos deux bites avec passion. Puis je frottai ma bite sur son cul. Il gémit et se cambra pour offrir son anus au contact de ma bite nue. Je glissai mon gland dessus et il gémit encore. Alors je poussai et entrai lentement mon gland, le regardant distendre sa petite fleur de chair.
Il m'offrait divinement son anus, cambrant son cul pour que je le prenne mieux ! Ma grosse bite chaude et jouissante se poussait dedans et il gémissait de plaisir. Je le pénétrai doucement pour ne pas lui faire mal et fus bientôt enfoncé jusqu'aux couilles dans son cul d'homme. Il se coucha sur le ventre et se donna avec délices. Mes couilles battaient les siennes entre ses fesses. De temps à autre il bougeait sous moi pour sentir vicieusement combien nous étions accrochés l'un à l'autre, combien il était pris!... Accouplé à l’homme, épinglé sur le lit comme un papillon !
Ce fut pour lui une véritable découverte. Il se donnait complètement. Il gémissait et me disait combien il aimait cette grosse bite chaude dans son cul. Je fourrageais avec un plaisir indicible dans son anus et lui gémissait de plaisir de cette possession. Alors je me déchaînai sur lui et en lui, l'embrassant dans le cou et lui disant des tas de cochonneries à l'oreille. Il découvrait la jouissance du cul et me le disait. Il me parlait de son plaisir et de ma bite.
Je giclai longuement en lui et restai effondré de plaisir sur son corps nu, la bite bien profond dans son cul. Alors je lui parlai :
- Oh c’était bon !... Tu as un cul merveilleux... et puis surtout tu aimes tant ça !...
- J’ai adoré !... C’est extraordinaire cette grosse bite !... Et servir à ton plaisir !... Ahhh j’aime coucher avec toi !... Et …. Tu m’as fait jouir du cul ! Je n’avais jamais vécu ça !
- Et ma Clélia t’attire aussi ?... Réponds !
- ... Oui! … Très !
- Alors on couchera à trois avec Clélia ! Je veux te voir la prendre !... Elle comprendra tout de suite qu'on a fait l'amour entre hommes, mais ça n'est rien ! Elle adore ça ! Comme ça on ne devra jamais se cacher d'elle pour faire l'amour à nous deux ! On le fera autant qu'on en a envie !
- Devant elle ?
- Oui ! Et avec elle !... Ca ne te plairait pas d'être au milieu de notre couple ?... Ta bite en elle et ma bite en toi... et nos trois culs qui dansent et jouissent ensemble ?
- Oh oui ! J'ai toujours rêvé d'un couple !... Et de Clélia aussi !
- J'aime que tu le dises !... Tu as envie d'elle ?
- Oh oui !
- Dis le encore ! J'aime tes vices ! Tu la désires fort ?
- Salaud !... C'est vrai !... J'ai envie de la sucer partout !... Surtout les seins et le con !... L'anus aussi !... Et pousser ma langue dedans !
- Salaud !... Rien que ta langue ?
- Vicieux !... Non !... Ma bite aussi !
- Elle lui plaira bien ta grosse bite !... Tu la lui mettras devant et derrière ?
- T'es un vrai vicieux !... Tu veux vraiment que je couche avec elle ?
- Bien sûr !... Et je veux y participer !... Te prendre dans le cul pendant que es nu sur elle nue et que tu la prends elle !...
- Ooohh ce serait bon !
- Eh bien tu vas t'en régaler souvent ! Elle sera ta maîtresse... et moi ton amant ! Tu verras comme c'est exquis de coucher avec les deux sexes en même temps ! Jouir de tout avec un couple !... passer d'un cul à l'autre !
- Tu crois qu'elle acceptera ?... De devenir ma maîtresse... et de me voir avec toi ?
- Certain !... Elle adore le plaisir,... elle adore appartenir à deux hommes sans plus pouvoir faire la différence,... et deux bis en plus,... elle adore les pousser à s'aimer et les regarder en se caressant !... Nous pourrons nous aimer tout notre soul entre hommes et en plus tu auras Clélia sous le ventre quand tu veux !... Et elle t'adore en plus ! Il y a longtemps qu'elle a envie de ta bite dans son con et de jouir avec toi !
- Comment tu le sais ?
- Elle me l'a dit bien souvent !
- Oh Pat! J'en ai envie !... Avec vous deux !
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