EVEIL ET MATURITE (12 partie 2/2) - histoire érotique

<p>... Il ne pouvait pas savoir que ma Clélia était nue dans la salle de bain attenante à notre chambre et qu'elle suivait toute la conversation par la porte entrebâillée en se caressant la moule. Nous étions si excités que ma bite regonflait dans son cul et qu'il dansait du cul pour la sentir mieux. Je le fis rêver :

- La prochaine fois que tu viendras Clélia et moi on te recevra à deux en peignoirs... et à poils en dessous ! J'ouvrirai son peignoir pour toi et puis je te déshabillerai pour elle... Quand tu seras nu je t'attirerai debout dans mes cuisses et te sucerai devant elle... Comme ça elle saura !... Puis elle approchera et on te mangera à deux la bite et les couilles... Puis on ouvrira tous les deux nos cuisses devant toi et tes lèvres passeront d'un sexe à l'autre.... Puis tu lui mettras ta belle bite… devant moi. Après on viendra ici dans le lit à trois et tu seras libre de faire tout ce que tu veux avec nos deux corps et nos deux culs.

- Elle est aussi vicieuse que toi ?

- Oh oui ! Peut-être plus !... Ce sera bon à nous trois !

- Gicles encore en moi ! J'adore quand tu me prends ! Tu me fais tellement jouir du cul !

- Tournes toi sur le dos alors !... Comme une petite femelle !... Ton mâle va te prendre... Il aime ton corps mâle et ta belle bite !... C’est bon l’amour entre hommes hein ?

- Oooohhh oui !

Je sortis de son cul et le laissai se retourner. Il se coucha sur le dos, regarda ma bite dressée et avec un regard vicieux dans l'oeil il releva les cuisses et écarta ses fesses des deux mains. Je replongeai en lui et pris sa bouche. C'était vraiment faire l'amour entre hommes et ça le ravissait. Il dansait du cul sous ma bite en m'embrassant passionnément. Je giclai follement en lui puis m'apaisai doucement.

Quand j'eus dégonflé dans son cul mâle, je sortis doucement de lui. Il m'enlaça encore. Il était excité par nos projets. Sa bite était raide et tendue. Ce fut alors mon tour d'offrir longuement tout mon cul à ses lèvres et ses doigts. Il découvrait le cul d'un homme avec une passion bien déclarée et sans plus aucune gêne. Puis ce fut sa bite longue, chaude et vivante en moi. Je sentis même passer ses jets de sperme.

Puis il s'assoupit tout nu dans mes bras.

Vingt minutes plus tard André s'éveilla en sursaut. Une cascade de cheveux blonds caressaient tout son ventre et son sexe nu. Il se releva sur ses coudes. C'était Clélia !... Et elle était entièrement nue ! Il me regarda affolé et vit que je lui souriais. Clélia lui dit :

- Alors les deux amis ? On découvre l'amitié sensuelle ? On goûte à poils l'un à l'autre ? Vous auriez pu au moins m'inviter ! Moi aussi j'aime jouir !... J'adore aussi voir deux hommes faire l'amour ! C'est beau !

Il ne sut que répondre. Le visage de Clélia s'abaissa sur le ventre d’André et huma sa queue.

- Humm ! Tu l'as bien enculé mon mari ! Tu as du bien jouir dans son cul petit salaud !

Je répondis :

- Oh ça oui mon amour ! Il avait très envie d'un homme mais s'est vraiment passionné pour moi ! Il a formidablement giclé entre mes fesses ! J'ai le cul rempli de son sperme !

Puis elle redressa sa bite et se mit à la sucer avec lenteur et passion. André me regarda avec effroi. Mais je l'enlaçai, l'embrassai légèrement sur les lèvres et lui dis :

- Faut comprendre ! Je t’avais dit qu’elle aime deux hommes faisant l’amour ensemble ! Et ça fait longtemps qu'elle aussi a envie de coucher avec toi ! Vous allez devenir amants tous les deux et tu vas bien gicler dans son con !

- Mais Pat !... C'est quand même ta femme !...

- Dans cinq minutes c'est aussi ta maîtresse ! J'adore qu'elle jouisse ! Elle y a droit elle aussi ! Je te la prête ! Jouis bien avec elle ! J'ai été si heureux de te donner mon cul pour tes plaisirs !... et de goûter profondément au tien !

Clélia s'interrompit et nous regarda tous deux avant de demander :

- Ah ! Parce que ce petit vicieux s'est aussi fait enculer ?

- Oh oui ma chérie ! Deux fois et jusqu'aux couilles ! Il a adoré ça !

Elle se baissa entre ses cuisses, lui écarta les fesses à deux mains et regarda son étoile. Puis glissa sourdement :

- Je le vois ! Il est encore tout rouge et ouvert... et ton sperme en coule ! C'est bon deux hommes qui couchent ensemble !

Elle se baissa et lui lécha l'anus. Puis ajouta :

- Tu as vraiment aimé te faire enculer André ?

Il ne répondit rien. Elle reprit sa question :

- Tu as aimé lui donner ton cul ?... Sa grosse bite dans ton anus ?

- ...Oui !

- Beaucoup ?... Tu aimais te sentir pris ? Tu aimais servir à poils à son plaisir vicieux ?... Tu aimais le sentir heureux en toi ?

- Oui !... Tu es une salope de demander ça !... J'ai adoré ! Il a une belle bite ! Et j'adore l'avoir dans mon cul ! Il peut me reprendre tant qu'il veut ! Je suis un vrai bi ! Je jouis vraiment avec un homme si c’est ça que tu veux savoir !

- Haaa j'aime ça !... Tu l'auras encore bien souvent dans le cul !... Et tu monteras encore bien souvent sur lui tout nu pour lui planter la tienne dans le cul !... Tu m’excites André !... J’ai envie de coucher aussi avec le mâle que tu es !... Je suis certain que tu es merveilleusement bi. Tu veux bien me mettre ta belle grosse bite dans le con ? J'ai envie de coucher avec toi ! Une autre bite... et une bite vicieuse ! J’adore ça !... Si tu me fais fort jouir je veux même te garder comme amant régulier ! Pat est mon mari ! Il a tous les droits sur moi ! Toi tu seras mon amant ! Tu auras les mêmes droits sexuels sur moi ! J'adore servir de pute à deux vicieux !... Et je ne peux pas rêver plus vicieux que vous deux... après ce que vous venez de faire ensemble ! C'est mon rêve ! Mes amants s’accouplent aussi !... Qu’est ce qu’on va jouir à nous trois !

Elle monta à cheval sur André et frotta son con mouillé à sa bite couchée sur son ventre.

- On va s’accoupler pour la première fois ! Ca sera bon !... Hein André ?... Je sais combien tu as envies de moi !... Je t’ai entendu le dire tantôt !

Il se souvint qu’il l’avait dit en effet alors que j’étais couché sur lui, la bite encore ramollissante dans son anus.

- Tu étais déjà là ?

- Je ne suis jamais partie ! Pat t’a dit ça pour que tu te sentes bien libre ! Mais je ne voulais rien rater de vos débuts ensemble. Et j’ai été servie ! Quelle fête vous vous êtes faite l’un à l’autre !

- Mais... Tu étais où ?

- D’abord dans la chambre. Je vous regardais au salon par la porte entrebâillée.... Et puis dans la salle de bains ... à poils... avec une vue superbe sur vos culs réunis !...

- Pat tu es un salaud !...

- Non André ! Tu ne te serais jamais laissé aller avec moi devant elle !

- C’est vrai !... Une vraie conspiration !... Mais pourquoi toi et pas elle ? Vous ne pouviez pas connaître mes fantasmes !... Même Sarah n’en sait rien !

- Tu sais... on connaît bien les gens qu’on aime !... bien mieux qu’ils ne le pensent !

Je pris la grosse bite d'André et la dressai vers le con béant de Clélia. A trois on la regarda y plonger jusqu'au ventre. Ils partirent alors vers un accouplement sans réserve. André désira tout à coup avoir Clélia sous lui. Elle lui obéit et il se retrouva sur elle. Je glissai entre leurs cuisses et allai embrasser le cul et les couilles d'André. Clélia lui dit :

- Tu es une belle salope André ! Me baiser tout en te laissant embrasser l'anus par mon mari !

Son anus palpitait vicieusement autour de ma langue ! Mon sang ne fit qu'un tour ! Je répondis à Clélia :

- Il n'y a pas que les baisers qu'il aime avoir là le vicieux !

Je pointai mon gland et le poussai dans son anus. Toute ma bite glissa dans son cul ! Ils gémirent tous deux. Clélia lui demanda :

- C'est bon André ?... Sa belle bite en toi ?...

- Ooohh Ouiiii !!

- Tu aimes faire l'amour comme ça avec les deux sexes ?...Avec un couple ?...Etre accouplé nu à un mâle et une femelle ?...

- Oui ! C'est le paradis ! J'avais si envie de lui et de toi ! Maintenant c'est fait !

- Et ce n'est qu'une première fois ! On va bien jouir à trois ! Je vais baigner tes couilles de ma mouille et vous allez bien gicler !... Toi dans mon con et lui dans ton cul !

Le plaisir à trois fut intense et culmina dans un orgasme démesuré. Puis on s'effondra l'un sur l'autre, restant accouplés tous trois. Clélia lui demanda:

- Tu as aimé André ?

- Ouf !... C'était merveilleux !... Aaahhh !... C'était mon rêve un couple !... Surtout vous deux !... Je pensais souvent à vous en me caressant !

- On le re-fera ?... Coucher à nous trois ?

- Oh oui j'aimerais !... Mais si Sarah l'apprenait !

- Tu l'aimes ?

- Comme un fou ! Mais ça ne marche pas très fort entre nous !

- Tu ne fais pas souvent l'amour avec elle ?

- Non !... Enfin je l'ai fait hier soir... Je ne sais pas ce qu'elle avait... Elle était déchaînée !... Elle dégoulinait de mouille... mais avant... il y avait trois mois je pense !... Je crois qu'on se coince l'un l'autre !

- Avec nous t'es pas coincé en tous cas ! Je sens ta bite qui se redresse dans mon con !

- Celle de ton mari dans mon cul aussi !

- Oui! Il est jouisseur ! Il aime visiblement baiser avec toi ! Je le comprends note ! Moi aussi ! En dehors de ta femme tu as un amant et une maîtresse maintenant !... André... On te veut plusieurs fois par semaine à poils dans notre lit pour baiser avec nous ! On va baigner dans le plaisir à nous trois ! Et tu ne dois pas te gêner pour aimer aussi Pat devant moi ! J'adore ça !... Et lui aussi ! Tu saurais prendre congé les mardis et jeudis matin ?

- Oui sans problème !

- Alors tous les mardis et jeudis matin tu viens en secret chez nous ! On t'attendra nus ! On te mettra à poils dès que tu arriveras et la baise à trois commencera !

- Que vous êtes vicieux !

- Pas vicieux !... On aime jouir !... Toi aussi ! Il te faut un couple pour bien jouir ! Nous t'aimons tous les deux et on jouit bien avec toi ! Pourquoi on s'en priverait ? Tu reviendras nu dans notre lit ?

- Tous les mardis et jeudis matin ?

- Oui !... Nos petits rendez-vous secrets... à poils à nous trois... Tu ne devras pas te gêner... Tu auras déjà fait l’amour avec chacun de nous !... On te videra complètement les couilles ! Tu auras l'après-midi pour te les remplir à nouveau pour Sarah ! Et le soir tu la feras crier de plaisir ! Mais il ne faudra rien lui dire ! En secret tu viendras jouir avec nous comme tu aimes... les deux sexes!... En couchant avec nous tu nous diras tout ce que tu as fait avec Sarah !

- Oh ce sera bon !

Les bites grandissaient. Les trois corps se remettaient à danser doucement. Il se redressa tout à coup, regardant Clélia dans les yeux.

- Clélia,.. Ne sois pas vexée ! J'ai encore envie de le prendre lui avant de repartir! Ca me manque tant depuis si longtemps !

- Magnifique ! J'adore ça ! Allez y ! Moi je me caresse et je regarde !

Il se dégagea de Clélia et s'arracha ma bite du cul. L'instant d'après il tournait autour de mon cul. Il ne lui fallut pas longtemps pour s'enfoncer toute la queue dans mon cul gourmand. Il y gicla en gémissant sourdement sous les regards passionnés de Clélia, deux doigts profondément enfoncés dans le con.

Puis il s'effondra sur le ventre et écarta vicieusement ses fesses à deux mains.

- Pat! Encules moi encore une fois !.. J’en peux plus mais fais moi encore jouir du cul !

- Oh Pat ! Quel jouisseur !

- C'est Merveilleux ! C’est un vrai bi ma chérie ! Et Il a de gros besoins à rattraper vis à vis de l'homme !

- Oui ! Visiblement !... Vous allez souvent coucher ensemble !

- Oui !... Il est beau comme ça !... On va souvent le goûter maintenant !

Je le fis se retourner sur le dos et me glissai entre ses cuisses.

Lèves tes cuisses comme une fille petite tante !... Que je te bourre le cul de ma bite chaude et vicieuse ! J'ai envie de ton corps d'homme !... De ton cul d'homme ! Je veux sentir tes couilles entre nos ventres et ton beau cul d'homme qui se donne !... Et Clélia veut te voir comme ça !... Geignant pour avoir une bite dans ton cul !

L'instant d'après nous étions complètement accouplés et voguions bouche à bouche vers l'orgasme homosexuel sous les yeux de Clélia. Et lui découvrait une fois encore que le cul peut jouir divinement quand une bite chaude et aimée le fouille.

Il s'évada rapidement après, ayant un rendez-vous, tout en nous promettant de ne pas se laver avant de prendre Sarah le soir.

On déjeuna à poils, Clélia et moi, tout heureux des progrès du couple de nos amis. Les choses allaient vite et bien ! Ils étaient vicieux l'un et l'autre et tous deux avaient de gros besoins sexuels. Ca nous aidait grandement !

Sarah arriva à 16 h 25 et nous trouva toujours tout nus. Elle fut vite nue entre nous dans notre lit. Elle enlaça Clélia et, se frottant nue à elle, échangea avec elle un long baiser passionné. Puis elle se tourna vers moi.

Pat ! Prends moi ! J'ai des choses à vous raconter mais ce n'est pas facile. Tu m'avais dit que tu me les arracherais à coups de bite !

Je ris et montai sur elle. Je la pénétrai et elle nous raconta en détails sa soirée passionnée avec André. Elle l'avait longtemps sucé. Il s’était donné comme un fou. Elle lui avait même mis un doigt dans le cul, pensant à ma bite et voulant savoir s’il aimait ça. Il avait adoré ! Puis elle lui avait donné deux fois son con. Il y avait bien réagi et avait follement couché avec elle ! Elle ajouta :

- Il y avait des mois qu'il n'avait plus été comme ça ! Il n’a jamais été si fou avec moi !

- Eh bien alors il a une fameuse nature !

- Pourquoi ?

- Parce que ce matin ses couilles étaient à nouveau bien pleines !... On a aussi des choses à te raconter !

Et on lui raconta par le menu notre matinée avec André. Elle exigeait sans cesse des détails plus croustillants. Son con suçait littéralement ma bite en écoutant. Quand on eut fini on coucha comme des fous à trois, Clélia sur le dos, cuisses grandes ouvertes, se faisant sucer le con par Sarah, qui m'avait en elle, pistonnant dans son con.

Puis on arrêta un plan de campagne. Mais on décida de laisser revenir André deux ou trois fois dans notre lit avant de le mettre en oeuvre. Il fallait d'abord bien libérer André et lui apprendre à laisser libre cours à tous ses désirs ! Cela nous donnait aussi le temps de bien profiter à deux de tous les fantasmes et désirs de Sarah et d'André et de leur bourrer le ventre de plaisir.

C'est ce qu'on fit! Non seulement André, mais Sarah aussi revinrent trois fois coucher avec nous comme des fous. Tous deux étaient maintenant totalement à l'aise nus entre leurs amants. Mais seule Sarah savait ce que nous faisions avec son mari. Elle le savait en détails. Mais lui ne se doutait de rien concernant sa femme.

Une semaine plus tard, un jeudi matin, Sarah arriva chez nous en trombe. Elle avait pris congé sans en aviser son mari. On la déshabilla à deux et elle se coucha avec Clélia dans notre lit. Je les regardai s'aimer. Quand la sonnette m'arracha à mon émerveillement, je m'éloignai doucement et refermai la porte de la chambre. J'allai, nu et bandant comme un fou, ouvrir la porte de l'appartement. André entra et me vit avec ravissement.

Je le fis asseoir dans un fauteuil et vint nu face à lui, la bite dressée. Il caressa mes cuisses puis ses mains remontèrent vers ma bite. Il soupesa mes couilles et me masturba un peu.

- Que tu es beau !

- Je bande pour toi !

Puis je le fis se lever et pris sa place. J’ouvris sa ceinture puis sa braguette et baissai son slip. Toute sa bite en sortit et je me mis à la caresser.

On s'embrassa, puis il tomba a genoux et me suça la bite en se déshabillant. Quand il fut nu, je le relevai, me frottai à lui, pris nos deux bites dans une main et nous masturbai en l'embrassant. Il me demanda :

- Clélia n'est pas là ?

- Si si !... Elle est dans notre chambre !... Elle veut te faire une surprise !... Mais elle veut que tu n'entres dans la chambre que bien enculé par moi !

- Entrer accouplés tous les deux ?

- Oui ! On peut marcher comme ça ! Ce sera bon non ?

- Oh ! Fais le moi ! Tu as une belle bite !

Il se baissa et s'appuya à la table. Je m'accroupis derrière lui et embrassai son étoile. Puis je me redressai et pointai ma bite, forçant le passage. Je glissai en lui et fis quelques allers-retours exquis dans son anus.

Un peu plus tard nous apprenions à marcher accouplés entre hommes, sans désenculer. Il ouvrit la porte de notre chambre. Deux filles étaient nues sur le lit ! Elles faisaient un 69 passionné. André reconnut tout de suite Clélia au dessus. Elle léchait le con de la fille en dessous. On voyait ce con tout ouvert, tout gonflé. André, bien enculé, en eu très envie.

On approcha à deux du couple de filles jusqu'à ce que les jambes d'André touchent le lit. La fille d'en dessous était perdue entre les cuisses de Clélia et lui dévorait le con. On ne voyait d'elle que quelques cheveux, ses jolies cuisses et son con ouvert et tout gonflé d'excitation.

Je demandai à André de mettre un pied sur le lit pour qu'il s'ouvre mieux à moi. Il le fit et je rentrai en lui jusqu'aux couilles. Clélia se releva du con de la fille, le visage barbouillé de mouille, et regarda nos sexes par en dessous.

- Vous êtes beaux accouplés ! J'adore regarder deux hommes qui s'enculent ! C'est magnifique ces deux culs mâles !... Ces deux paires de couilles amies !

Tout à coup, la main de cette fille glissa du dos de Clélia, toucha une jambe d'André et se mit à la caresser. Elle remonta le long de sa cuisse et prit possession de ses couilles et de sa bite. Machinalement André écarta plus les jambes pour qu'elle le touche mieux. La main de la fille masturba un moment André. Je l'enculais toujours lentement mais profondément. Puis la main lâcha la bite, caressa les couilles, puis glissa entre les jambes mâles. Elle palpa ma bite plantée dans le cul et mes couilles, puis un de ses doigts glissa sur l'anus distendu autour de ma bite et y tourna longtemps. Alors tous les doigts de la fille entourèrent ma bite, la secouant dans le cul d'André. Clélia, qui suivait tout des yeux, dit d'une voix sourde :

- Tu vois ! Elle aime ça aussi deux culs d'hommes accouplés !

C'est à ce moment que Clélia glissa en bas de la bouche de la fille et la libéra. André sursauta et chercha à s'arracher à moi. Mais j'avais prévu sa réaction et restai bien planté en lui, entourant sa taille de mes bras et serrant son bassin contre mon ventre. Elle caressait toujours ma bite, l'anus qui la prenait, et nos deux paires de couilles. C'était Sarah !... Sa femme !... Il éclata :

- Salope ! Que fais tu là à poils ? Et avec Clélia encore !

Le visage luisant de la mouille de Clélia, Sarah lui répondit en souriant :

- Tu vois ! Je me délecte entre les cuisses d'une grande amie ! Je couche avec elle !... Et toi salaud ! C'est quoi cette belle bite raide plongeant dans ton cul ? Ca fait cinq minutes que je te caresse et que je sens combien tu te donnes à la bite de Pat ! Vicieux ! Tu couches avec les hommes maintenant ? Un homme dans ton cul !... Visiblement tu adores ça ! J'adore les femmes ! Tu adores les hommes ! On est faits pour se comprendre ! Remarques que je te comprends ! Pat a une bite formidable ! J’adore sa bite autant que toi !

- Ne me dis pas que tu... que tu as... couché avec Pat aussi ?

- Mais tu ne voudrais pas que je ne goûte pas à une bite pareille ? Bien sûr Chéri qu'il me l'a mise jusqu'au fond du con ! J'ai joui bien souvent comme une folle avec lui ! J'aime autant sa bite que la tienne... et que toi tu aimes le con accueillant de Clélia d'ailleurs ! Gardes sa belle queue dans ton cul chéri ! Tu adores te faire prendre par lui ! Laisses moi m'occuper de la tienne !

Elle se releva et se mit à sucer la bite d'André. Je continuais à lui défoncer lentement le cul. Clélia souleva un peu le cul de Sarah et se glissa sur le dos passant son visage entre les cuisses ouvertes de Sarah. Elle se remit à lui dévorer la chatte. Une main de Sarah glissait entre les cuisses mâles, se faisant toute douce sur la queue possessive et les deux paires de couilles. Elle dévorait la bite d'André. Lui, n'en pouvait plus. Sa bite se dressait énorme dans la bouche de sa femme qui flattait avec amour son cul possédé. Je lui glissai à l'oreille :

- Viens ! Tu vas la prendre ta Sarah !... Avec moi dans ton cul ... Tu seras accouplé comme tu aimes à ta femme et à son amant... qui est aussi le tien ! Sarah n'attend que ça ! Son con doit couler comme une fontaine dans la bouche de Clélia !

André bougea. Je suivis tous ses mouvements sans désenculer. Sarah se coucha immédiatement sur le dos les jambes ouvertes. Il se coucha entre elles et la pénétra. Sa bite battait dans le con de Sarah. La mienne dans son anus. Clélia vint s'asseoir sur la bouche de Sarah qui lui dévora le con. André se releva et se mit à sucer un sein de Clélia tout en battant de la queue dans le con de sa femme. Je me penchai et vins sucer l'autre sein. Nous étions accouplés à quatre, nageant tous dans la bi-sexualité, nous donnant tous les quatre à notre accouplement. L'orgasme fut commun et très violent, surtout pour eux deux.

Ils s'effondrèrent nus entre nous sur le lit. Sarah enlaça son mari et conserva sa bite en elle. Clélia et moi les caressions amoureusement. André parla à sa douce et ravissante moitié :

- Eh bien ma chérie ! Moi qui avais toujours peur de te choquer !

- Rien ne peut me choquer de ta part mon amour ! Même pas quand tu couches avec Clélia ou avec Pat ! Je suis folle de toi !... C'est merveilleux que tu aimes coucher avec eux deux ! Tu le feras encore souvent ! Moi aussi !... On le fera à deux ! Et tu jouiras avec Clélia et Pat autant que tu voudras ! J'adore çà !... Tu n'auras plus peur de me choquer maintenant ?

- Oh non mon amour ! Maintenant je sais que tu es une pute... aussi bi que moi !... Je suis fou de toi !

- Oh mon amour ! Mon homme !

C'était merveilleux de les caresser nus pendant leur accouplement et de les entendre se dire tout leur amour. Ils s’embrassèrent longuement. Puis Sarah nous attrapa Clélia et moi et nous serra nus contre eux.

Nos amis !... Oh nos amis !... On leur doit tout Chéri ! Ils on tout manigancé avec toute leur amitié et leurs deux culs pour qu'on se retrouve toi et moi ! On a une telle dette vis-à-vis d'eux !... Si tu prenais Clélia comme tu aimes... et moi Pat ? Pendant qu'on couchera avec eux je te raconterai tout !... Comment ta femme est tombée un matin dans leurs pattes et combien elle a joui à poils avec eux deux toute une journée dans leur lit !... Et toutes nos jouissances à trois depuis... Et nos manigances à nous trois pour te faire tomber à ton tour tout nu dans leurs bras !... Et te donner ce que tu cherchais... une maîtresse assoiffée de sexe... et l'amour avec un homme !... Enfin faire l’amour avec un homme !... Quand on t'aura tout raconté, tu gicleras dans le con de Clélia qui doit être affamé d'avoir ta bite... et Pat mêlera son sperme au tien à jets chauds dans mon con !

Ainsi fut fait, côte à côte, dans un plaisir exquis. Notre orgasme dans le con de l'épouse de l'autre le fut tout autant !

Apaisés, on devisa gentiment à quatre, nus sur le lit en nous caressant tous tendrement. Nous convîmes tous du plaisir que nous avions à coucher avec les trois autres, dans nos rapports hétéro comme homosexuels. Nous fûmes tous les quatre d'accord que nous devions maintenant profiter pleinement de notre intime amitié sexuelle. Nous retrouver régulièrement à quatre, jouissant pleinement ensemble. L'autre couple nous apportait à chacun, en plus d'une maîtresse ou d'un amant exceptionnels, tous les plaisirs des baisers saphiques ou des accouplements homosexuels. Ce fut un constat unanime. On échafauda même des rêves de vacances à quatre, dans un coin perdu où on vivrait nus dans la plus grande liberté sexuelle.

Le reste de cette longue journée fut vécu le plus simplement du monde à quatre, dans un échange constant de baisers, de caresses et d'accouplements très libres. Sarah eut plusieurs fois l'occasion de voir son mari bien enculé, ou possédant puissamment le cul d'un homme. Elle goûta encore beaucoup aux seins et au con de Clélia devant les hommes. Les deux couples s'accouplèrent souvent et se croisèrent beaucoup. C'était un réel plaisir de passer d'un con à l'autre !

C'est un petit couple follement amoureux l'un de l'autre, qui nous quitta le soir, fatigués et aussi cernés que nous l'étions, mais totalement heureux à eux deux, si pleins de tendresse et d’amour l’un pour l’autre et pleins de projets ensemble … dans une proximité sexuelle débridée. Ils s’étaient enfin trouvés sexuellement, se faisaient confiance, se respectaient et s’aimaient. Et nous, leurs amis, en étions tout émus et heureux.


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