EVEIL ET MATURITE (2) - Mes connaissances s'approfondissent

- Par l'auteur HDS Midou32 -
Récit érotique écrit par Midou32 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : EVEIL ET MATURITE (2) - Mes connaissances s'approfondissent Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2006 dans la catégorie Pour la première fois
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EVEIL ET MATURITE (2) - Mes connaissances s'approfondissent
EVEIL ET MATURITE (2)

CHAPITRE 2 - MES CONNAISSANCES S'APPROFONDISSENT

Je me réveillai lentement et ouvris les yeux, tout surpris de me retrouver dans leur chambre et même… dans leur lit. Mais le souvenir de tout ce que j'avais fait avec eux deux me revint immédiatement. Je n'avais pas rêvé puisque je me réveillais nu dans leur lit ! J'avais fait l'amour avec un couple ! Je sentais encore l'odeur de leurs corps. J'étais seul.

J’avais trop chaud, rejetai la couette à mes pieds et regardai avec une demi surprise ce corps nu qui était le mien. Il était franchement pas mal. Des images de seins, de con, de bite et de couilles repassaient sans cesse devant mes yeux. Je sentais encore ma bite dans le con chaud de Tina et dans l’anus ouvert de Pierre. Je sentais encore aussi sa bite chaude et passionnée dans le mien. La porte s'ouvrit alors sans bruit et Pierre entra. Il était nu et bandait légèrement. Il approcha du lit.

- Tu as bien dormi dis donc !

- Quelle heure est-il ?

- Cinq heures !

- Quoi ?

- Oui ! Tu dors depuis midi !...Je comprends note! Après tout ce que tu as fait avec nous !

Il regardait mon corps nu et y laissait traîner ses regards apparemment avec délices. Je le laissais faire. Sa bite se redressait maintenant. Sa main glissa sur ma poitrine, mon ventre, et palpa doucement mon sexe à moitié érigé qui se redressa immédiatement sur mon ventre sous ses doigts et ses regards.

- Beau petit mâle à poils ! Tu as vraiment un bel organe !... Je l’adore !

Il se baissa et enfuit son nez dans mes couilles.

- Il est encore plein d'odeurs de con et d'anus ! Tu te souviens de tout ce qu'il a fait ?

- Oh oui ! Très bien !... Et j'en veux encore !

Il rit d'un rire clair mais me repoussa. Il fallait se lever. Ils devaient aller faire des achats pour nous faire un bon dîner le soir même. Je le persuadai qu'il y avait tout ce qu'il fallait chez moi puisque ma mère y avait entreposé tout ce qui m’était nécessaire pour une semaine. Il suffisait donc de traverser le jardin. A sa demande je fus vite habillé et les retrouvai dans le salon.

On traversa le jardin à trois, armés d'un grand panier qui accrocha un peu dans le trou de la haie. Après avoir pillé notre frigo ils me demandèrent de voir ma chambre. Ils y admirèrent tous mes trésors. Tout à coup une remarque de Tina fusa:

- Et quelle moquette dis donc ! Elle est douce ! C'est vraiment fait pour se rouler tout nu par terre ! Je parie que tu le fais en te masturbant ? … Hein oui ?

J'approuvai en rougissant un peu. Elle se pendit à mon cou et m'embrassa sur les lèvres avec passion. Je lui palpai les seins à travers son chemisier et Pierre approcha. Il nous prit tous deux enlacés dans ses bras et nous embrassa aussi à tour de rôle. Je sentais sa main caresser mes fesses et je dénudais la poitrine de sa femme. Après avoir caressé ses seins nus une de mes mains courut sur le pantalon de Pierre palpant cette bosse dure que j’aimais maintenant. Alors je leur dis que j'avais envie de les voir coucher ensemble dans ma chambre. Ils rirent et me traitèrent de petit salaud mais acceptèrent à condition que moi aussi je sois tout nu et que je fasse tout ce que je voulais.

En un clin d'oeil nos trois corps furent nus et on s'enlaça à nouveau. Puis Pierre glissa sur la moquette et Tina l’enfourcha, les cuisses toutes ouvertes à son mâle. Elle était belle ! Je me penchai sur le cul de Tina pour regarder sa bite entrer, puis je léchai l’anus féminin. Elle en semblait toute heureuse.

Je les caressai tous deux, les embrassai, me couchai entre leurs cuisses pour profiter délicieusement des yeux, de la bouche et des doigts de leurs sexes unis. Et unis ils l’étaient à ma demande et pour mon bonheur. Puis je leur donnai ma queue à sucer ensemble pendant qu'ils couchaient. Le plaisir montait en nous trois. Quel délice ces deux bouches goulues qui dévoraient ensemble mon gland !

Tout à coup Pierre sorti d'elle et me dit de le remplacer. Tina roula sur le dos, m’ouvrit les cuisses et me sourit amoureusement. Quelle invite ! Son con était tout gonflé d’excitation et tout ouvert par la bite de Pierre. Je n'hésitai pas et plongeai ma queue d’un coup dans son con jusqu’aux couilles. On se mit alors à la fouiller à tour de rôle, passant la place à l'autre quand on était au bord du plaisir. Tina jouissait comme une folle nue en dessous de nous. Elle ne savait plus très bien qui la possédait. Elle criait de dépit quand nous quittions son ventre et de joie l'instant d'après quand l'autre s'enfonçait en elle. Elle jouit deux fois intensément puis resta un moment pantelante.

Pierre et moi on se releva sur les genoux, regardant chacun la bite trempée et dressée de l'autre. Pierre se pencha vers mon ventre et sa bouche attrapa ma bite. Je tombai à mon tour la bouche dans les poils de son ventre et fis de même. On se mit à se dévorer mutuellement la queue avec passion. Parfois l'un de nous arrêtait l'autre pour retarder le moment du plaisir. C’était bon ! Je suçais sa queue et me délectais de la douceur de son gland et tout à la fois lui me suçait la mienne et me donnait de vivre des plaisirs que certainement je lui donnais aussi. Que de découvertes je vivais avec eux !

Tout à coup Pierre s'arracha de moi et se releva.

- Viens ! Je vais te donner des souvenirs !

Tina se pencha sur mon bureau, y ramassa la banane qui s’y trouvait, et appuyée au chambranle de la porte, se l’enfonça dans le con en me regardant dans les yeux. Elle cherchait visiblement à m’exciter encore plus et c’était délicieux. Tout mon être lui en était reconnaissant.

Pierre m'entraîna debout devant le grand miroir qui descendait jusqu'au sol et m'enlaça.

- Regardes nous sans arrêt ! Ca te donnera plein de souvenirs pour quand tu seras seul dans ta chambre, tout nu avec ta queue en main !

Il se mit à me caresser et à m'embrasser partout et je le lui rendais bien tout en nous regardant. C'était beau et excitant ce couple d'hommes nus ! Ca me faisait tout drôle aussi de me regarder dans le miroir enlacé à un homme. Et le plus surprenant était que j’aimais ça !

Il me coucha alors sur le côté face au miroir et se glissa derrière moi. Il prit une de mes cuisses et la souleva. Je vis dans le miroir sa belle queue pointer vers mon anus et s’y glisser doucement. Alors j'assistai en détails à l'union sexuelle de son corps et du mien. Je voyais nos deux culs avec leurs beaux organes d’hommes, sa bite qui me pénétrait et mon anus distendu qui la contenait. C’était beau et même délicieusement obscène.

Quand je me fus longuement régalé de la vue de sa bite glissant dans mon anus il sortit de moi et m'entraîna vers le fauteuil de mon bureau. Il m'y assis, le cul tout au bord du siège, et releva mes cuisses. En approchant sa pine il me dit :

- Comme ça, quand tu seras assis là tu te souviendras aussi !

Plié en deux comme je l’étais dans ce fauteuil je voyais parfaitement mon anus de près et son gland qui l’ouvrait et s’y introduisait. Ca provoquait de profonds remous sensuels en moi. J’avais l’impression qu’il me faisait vivre des choses exceptionnelles que bien peu de jeunes recevaient.

Tina vint alors se pencher entre nos ventres. Ses lèvres ramassèrent ma verge et elle se mit à sucer mon gland. Pierre ne pût se retenir plus longtemps et gicla follement en moi. J’adorai sentir ces jets chauds en moi. Quelle intimité avec sa nature d’homme !

Alors ce fut mon tour de le prendre lui dans la même pose dans mon fauteuil. Puis il m'arrêta et se fit remplacer par Tina qui, assise au bord du siège, ouvrit les cuisses en grand devant ma bite dressée de désir. Dans son con j'épanchai enfin tout mon plaisir retenu. Ah que je préférais la femme ! Mais c’est vrai que j’adorais pourtant l’homme.

Mon lit reçut alors nos trois corps nus et tout essoufflés. On s'y apaisa un moment enlacés à trois en papotant ensemble. Puis on se rhabilla et on quitta la maison avec le panier rempli de provisions. Dans ma tête j’étais ravi. J’avais maintenant des tas de souvenirs dans ma chambre à moi. Personne ne pourrait jamais m’en priver.

Une fois rentrés chez eux Pierre ne dût pas insister beaucoup pour qu'on se remette entièrement nus tous les trois. Tout en me déshabillant je regardai Tina se mettre nue. Qu’elle était jolie ! Quel ravissant corps féminin et comme ce corps m’émouvait ! La forme de ses seins, leur ballottement qui témoignait tout à la fois de leur fermeté et de leur douceur. Son dos qui n’est qu’harmonie glissant sur une croupe toute en ligne et de petites fesses qu’on a envie de caresser autant que ses seins ! Et ses jambes également toutes lignes, aussi gracieuses que ses bras ! Et puis ce ventre de femme, très légèrement plus arrondi qu’un ventre d’homme comme pour témoigner de la présence de ce monde féminin intérieur, de ce nid de vie dont nous sortons tous ! Que cette rondeur m’attire vers sa profondeur ! Que de beauté ! Comme elle m’émouvait ! Comme je me découvrais sensible à toute cette féminité !

Le regard de Tina croisa le mien, se fit un instant interrogateur puis Tina comprit ce qui se passait en moi. Elle émit un bruit comme une petite cascade entre le rire et le gloussement et, entièrement nue, approcha de moi. Je savais qu’elle avait compris la puissance de sa séduction sur moi et qu’elle en était émerveillée. Moi je me sentais amoureux d’elle.

Son corps nu toucha le mien, elle m’enlaça et sa bouche monta vers la mienne. Quelle douceur de ses seins contre ma poitrine ! Quel cadeau de féminité entre nos poitrines ! Et puis son ventre ! Jamais je n’avais senti autant de douceur et de chaleur ! Ses jolis bras s’arrondirent autour de mon cou et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Notre baiser fut immédiatement passionné et nos corps se frottèrent langoureusement l’un à l’autre. Je sentais combien cette femme me rendait mâle et combien elle épanouissait en moi ma nature d’homme. J’avais l’impression de gagner subitement dans ses bras et contre son corps toute une maturité nouvelle et inconnue. Quel cadeau de vie !

Puis son baiser se dénoua et elle me dit dans un sourire des yeux qui savait tout de moi :

- Je vais m’occuper du dîner maintenant ! Vas au salon avec Pierre.

Il me fit asseoir dans le divan et je le regardai nu aller chercher des revues dans leur armoire. Il était beau ! J'aimais son corps autant que celui de Tina ! Je découvrais aussi que j’avais autant de bonheur de regarder sa queue au repos que toute tendue de désir.

Il me passa les revues et s'assit nu contre moi. Quand j'ouvris la première je fus estomaqué ! Des filles se léchaient l'une l'autre ou couchaient avec des hommes. Les queues et les cons étaient beaux ! La revue suivante c'était pire encore ! Rien que des hommes ! Et ils s'enculaient mutuellement pour finir ! Pierre glissa à genoux sur le tapis entre mes cuisses.

- Continues à les regarder et laisses moi faire !

Il ramassa ma queue et se mit à me sucer. Aahhh ! C'était bon ! Je continuais à découvrir les photos en le laissant choyer ma queue. Tina apparaissait nue de temps à autre pour mettre la table. Elle nous regardait attendrie ou excitée mais ne nous arrêtait pas. Et moi, tout en me faisant sucer, je regardais les belles images de tout ce que j'avais envie qu'ils m'apprennent maintenant à deux.

- Caresses toi Pat !... J’ai envie de te voir faire !

Je déposai la revue et me masturbai doucement pour lui. Il me regardait avec passion. Je sentais que je lui apportais un vrai bonheur. Tina, venant de la cuisine, s’arrêta et regarda aussi. Je regardais ma bite dressée dans mes doigts et leurs regards sur elle. J’aimais les provoquer avec ma bite ! J’aimais ce regard sérieux de Tina sur ma bite. Il parlait si bien de son désir. J’aimais aussi celui de Pierre mais chez lui c’était la queue qui gonflait qui parlait le mieux de son état.

Puis le dîner fut prêt. Debout il m'enlaça tendrement et m'embrassa sur les lèvres en me disant:

- J'adore te sucer la bite ! Je la sucerais pendant des heures !... Et te regarder te masturber !

Je lui répondis :

- Pierre ! Ca m'affole quand tu le fais ! …

Le dîner fut joyeux à trois tout nus. Pour le dessert les hommes eurent droit à une demie banane chacun. Mais la façon de la manger fut exquise. Tina nous emmena au salon, s’assit dans le divan, pela la banane et ouvrit grand les cuisses. Devant nous elle s'enfonça un bout de la banane dans le con puis, à tour de rôle, nous offrit de manger le bout délicieusement assaisonné d’elle. Nous nous en délectâmes en riant tous trois. Ils me menaient tous deux de découverte en découverte.

Quand on eut terminé Pierre s'assit côté de sa femme et ils m’offrirent tous deux leurs sexes. Je pus les déguster, passant mes lèvres de l’un à l’autre. Puis ils se mirent à genoux sur le bord du divan, leurs culs serrés l'un contre l'autre offerts à moi. Ils me demandèrent de leur écarter à tour de rôle les fesses et ils m'apprirent comment embrasser l'anus. Cette différence entre le cul mâle et le cul femelle m'excitait follement, comme entre les deux anus et leurs deux sexes. J'apprenais vite et n'eus pas besoin de leur aide pour découvrir le plaisir de les percer profondément de ma langue et de mes doigts. Je découvrais en moi un amour immodéré pour leur couple et leurs deux corps complémentaires. Cette intimité sensuelle et sexuelle toute simple avec eux deux était follement grisante pour moi.

Puis ce fut mon tour de m’offrir à eux et tout mon corps s'abandonna nu avec délices à leurs mains, leurs doigts et leurs lèvres. J'eus même leurs langues à tour de rôle loin dans mon anus. Alors ils m'entraînèrent au lit. Dans le leur évidemment... et tout nu entre eux !

Amoureusement enlacés nus à trois je leur dis combien ils étaient maintenant tous deux devenus importants pour moi.

- Tina tu me rends tellement plus homme ! Je sens que tu fais subitement mûrir quantité de choses en moi. Elles étaient prêtes à le faire mais c’était encore latent. Je suis aussi tellement ému par ta beauté et surtout par ta féminité ! Et toi Pierre… Toi c’est différent… Je ne parviens pas encore à décrire ton action en moi. Je la sens pourtant très importante… C’est comme… C’est comme si toi Tina tu me confirmais dans ma nature d’homme et toi Pierre tu révélais en moi une part de féminité que je ne me connaissais vraiment pas ! J’adore sentir que je t’excite … comme si j’étais une femme ! J’adore te sentir jouir en moi !

- Tu es content de la connaître cette part féminine quand même ?

- Oh oui ! J’ai l’impression d’habiter un être bien plus vaste qu’avant ! … Et pourtant c’est toujours bien moi ! … Cette part féminine ! … Je m’y sens chez moi ! … C’est bon !

Pierre caressa Tina devant moi, puis monta sur elle et glissa entre ses cuisses levées. Ils me tirèrent tous deux par la queue et m'attirèrent vers leurs lèvres, me suçant ensemble le gland en couchant à eux deux. Puis je me penchai sur le dos nu de Pierre et écartai ses fesses pour l'embrasser là où j'avais envie comme ils venaient de me l'apprendre si bien. Je me glissai alors nu entre leurs quatre cuisses et allai me régaler de leurs deux sexes unis, sortant parfois un instant la bite de Pierre du con de Tina pour en lécher les sucs exquis et l'y remettre moi-même.

Tout à coup Pierre s'écarta de Tina et sortit d'elle. Tina se releva et se mit à genoux. Elle prit son mari par la bite et le tira vers moi.

- Lèches lui le gland&,61479, Pat ! Tu auras mon goût !

J’avançai à quatre pattes vers lui et le léchai. Puis, tenant toujours sa bite, elle m’apprit encore une fois à sucer une queue d’homme. J’adorais ces cours sensuels. Puis elle se recoucha et m’ouvrit les cuisses.

- Prends moi petit vicieux que j'aime !

Je montai sur le corps de Tina et plongeai ma queue en elle. Quels délices ! Elle était trempée à l'intérieur et ça coulait tout chaud sur mes couilles ! Pierre nous donna un peu sa grosse queue raide à sucer encore puis alla à son tour se loger entre nos cuisses. Je le sentais jouer avec nos sexes unis. Il m'ouvrait les fesses et y enfonçait sa langue et ses doigts. On lui ouvrait nos cuisses en grand et on lui donnait notre union. Ah! Que je jouissais de tout !

Tout à coup quelque chose d'épais et de chaud pressa sur mon anus. Je reconnus immédiatement le gland de Pierre. Je ne bougeai plus, profondément planté dans le con de Tina, et tendis mon cul en arrière en gémissant. Je sentis Tina serrer ma bite dans son con et palpiter autour d’elle. Elle me dit :

- Oooohh ! Tu es vicieux Pat !... Comme je te sens aimer ça !

Je ne pus répondre, gémissant de plaisir en sentant toute la bite de Pierre glisser en moi jusqu’aux couilles. Je n’avais plus peur quand il me prenait et il entrait sans plus de problème maintenant. Tout mon cul était follement pris ! Je ne savais plus qui faisait quoi ! J'étais accouplé à un couple qui profitait honteusement de moi. Je me donnais de tout mon corps nu et de tout mon cul aux deux leurs. Le plaisir montait dans mon ventre et dans mon dos et coulait dans mes cuisses. J'étais pris nu dans la tornade sensuelle d'un couple et me donnais complètement à lui. J’étais nu au cœur de ce couple et au cœur de son accouplement. Je jouis comme un fou et les sentis jouir follement tous les deux de moi. Puis on s'effondra haletants l'un sur l'autre dans ce qui me parut n’être qu’un amas de chair heureuse au sein de laquelle je ne faisais qu’un avec eux deux.

L'heure qui suivit on la passa enlacés nus à trois dans leur lit. Ils me racontèrent leurs expériences, leurs souvenirs et l'histoire de leur soirée et de leur nuit trois ans plus tôt avec le jeune américain jusque dans les détails les plus crus. Ca nous excita à nouveau. Tina demanda aux deux mâles de se mettre debout et elle se mit à dévorer nos deux bites ensemble. Elle prenait les deux glands ensemble dans sa bouche. C’était bon nos deux queues réunies et choyées par elle ! Nos six mains se promenèrent à nouveau sur les corps et les sexes voisins si exquisément offerts à nos désirs.

Et tout à coup Tina monta sur Pierre et s'empala sur lui en me disant :

- Embrasses mon anus Pat ! Tu le fais si bien !

Je ne la laissai pas dire deux fois et, lui écartant les fesses, je me penchai sur elle. Elle gémit en sentant entrer ma langue. Alors ma bouche se promena partout dans la raie de ses fesses, descendant même sur la base de la bite de Pierre plantée en elle et sur ses couilles douces. Ma langue récoltait le long de sa bite tout le jus de leur amour et se glissait même parfois le long d'elle quelque peu dans son con avant de replonger dans son anus féminin.

Ca me donna des idées follement vicieuses. Je sentais qu’ils avaient à deux libéré tous mes vices et révélé tous mes désirs. Je me relevai un peu entre leurs cuisses ouvertes, mouillai abondamment ma bite dure de ma salive et posai mon gland sur l'anus mouillé de Tina. Je poussai très doucement et regardai alors mon gland rose écarter l'anneau si excitant et se pousser dedans.

- Ohhh! Pierre ! Pat m'encule !... Il m'encule pendant que tu me prends !... Oh le petit salaud !... Le merveilleux salaud !... Ooohh ! Deux bites c'est trop bon ! … Aaahh mes hommes ! Jouissez de moi et faites moi jouir à deux ! Aaahh ! Comme vous me remplissez bien !

Je fus presque étonné de découvrir que l’entrée était presque comme dans l’anus de Pierre. Alors, me souvenant de tout, je poussai très doucement la seconde porte, jouant les timides et me retirant un peu, avant de revenir pousser la porte un peu plus. Je voulais à tout prix que ma Tina n’aie pas mal. Mais lentement sa porte s’ouvrait. Je sentais mon gland entrer doucement.

Je réalisai subitement que Pierre ne bougeait plus, pas plus que Tina qui, la tête complètement relevée, gémissait sans cesse. Mais ce n’étaient pas des gémissements de douleur mais des gémissements terriblement sensuels. Elle se donnait toute sexuellement à ses deux hommes ! Ses seins qui ballottaient sous elle m’affolaient.

Je me sentis subitement tout fier à 18 ans d’être devenu l’un de ses hommes. Et subitement elle ouvrit sa seconde porte toute grande et je m'enfonçai doucement en elle jusqu'aux couilles. Au passage j’avais senti sa seconde porte secrète se refermer, comme chez Pierre, pour tenter de conserver mon gland en elle jusqu’au plaisir.

Je sentais la grosse queue de Pierre presser la mienne en elle. Un désir vicieux montait en moi. Après quelques minutes de possession je n'y résistai plus.

Je sortis lentement toute ma bite de son anus et elle cria de dépit. Mais au moment où la bite de Pierre rentrait dans son con la mienne s'y joignit et nos deux bites jointes, nues l'une contre l'autre, glissèrent ensemble dans son con. Les deux sexes mâles accouplés pulsaient ensemble dans le sexe femelle !

On gémissait tous les trois de plaisir sensuel. Ses mâles couchaient tous deux avec elle et couchaient ensemble entre mâles jusque dans son con qui abritait leurs amours bis ! Elle aimait totalement ses hommes bis qui l’aimaient totalement elle et ensemble. Ses deux hommes bis rien qu’à elle !

Le plaisir fut total pour tous les trois et scella définitivement notre trio. On cria comme des bêtes et, mes couilles collées à celles de Pierre se vidèrent dans son con. Mes jets de sperme giclèrent contre sa matrice et contre le gland fou de Pierre et, presque instantanément je sentis Pierre ajouter le sien. Je le sentais gicler sur mon gland. On atteint cette fois à trois un tel sommet de jouissance commune qu'on en resta anéantis et qu'on s'endormit enlacés dans un noeud de chair et de membres nus.

En m’endormant je me sentais totalement amoureux de Tina, de son corps et de toute son intense féminité et amoureux de Pierre si mâle le long de ma bite et de mes couilles. Et cette fois Tina complétait tellement mon accouplement à Pierre et l’entourait si tendrement de tout son sexe.

Je me sentais totalement amoureux de leur couple et follement accouplé à celui-ci. Je savais qu’on pouvait faire l’amour avec un couple, mais ici j’avais fait et vécu l’amour avec un seul être bisexué où l’amour circule follement. Je savais jusqu’au plus profond de moi que très peu d’hommes peuvent vivre ça et que je le devais à Tina et Pierre et à toute leur profonde sensualité. Et Tina avait définitivement fait de moi un homme, et un des siens ! Plein de reconnaissance pour leur couple je m’endormis enlacé à eux deux.

Je restai jusqu'au jeudi soir chez eux. Nous vivions presque tout le temps nus à trois. Ils libérèrent totalement en moi le petit mâle vicieux constamment avide de plaisirs. Ils firent sauter en moi tous les barrages psychologiques pouvant encore subsister et m'exercèrent longuement à coucher aussi librement avec l'homme qu'avec la femme, de même qu'avec les deux ensemble. Ils m'apprirent à servir nu tous leurs vices et je m'y donnai totalement. Je restai nu avec eux jusque très tard le jeudi soir.

Puis ils me reconduisirent chez moi, exigeant que j'aie une bonne nuit seul dans mon lit pour supprimer mes cernes sexuels avant que mes parents ne rentrent.

De mes 18 à mes 20 ans je m'échappai vers leur maison chaque fois que je me trouvais seul chez moi pour quelques heures. Parfois j'y trouvais Tina ou Pierre seul. Ca ne nous gênait nullement. Dans les cinq minutes de mon arrivée nous étions nus en pleine activité. De ce fait j'ai couché aussi souvent seul avec Tina qu'avec Pierre. Quand l'autre rentrait à temps il se joignait à nous et on lui faisait fête pour qu'il nous rattrape. De toute façon Tina et Pierre s'adoraient et se racontaient nos amours en détails en couchant ensemble le soir même.

Puis une véritable catastrophe survint. Pierre fut nommé à Rome. Ce fut un véritable drame pour moi. Je devenais parfois fou de désir, cherchant partout un couple pouvant les remplacer. J’avais 20 ans, ma bite avait encore grandi et était devenue si habituée à jouir avec d’autres, femme et homme. Ils me manquaient tous deux atrocement. Pourtant il me fallait survivre !

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