EVEIL ET MATURITE (4) - La tempête
Récit érotique écrit par Midou32 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2006 dans la catégorie Plus on est
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EVEIL ET MATURITE (4) - La tempête
EVEIL ET MATURITE (4)
CHAPITRE 4 - LA TEMPETE
Je passai ainsi une dizaine de jours paradisiaques avec Albert et Benoît. Nous étions trois jeunes hommes vivant nus ensemble dès le départ des parents. Ils savaient tout maintenant de l'amour entre garçons et s'y donnaient corps et âmes. Nous jouissions énormément à trois et nous adorions tous trois nos plaisirs comme ceux des deux autres.
Mais un jour, épuisés par nos prouesses sexuelles communes, nous dormions nus enlacés à trois sur le lit d'Albert quand je me réveillai en sursaut. Face à moi ses parents étaient là, debout dans l'embrasure de la porte ! Ils nous regardaient. Je me relevai brusquement et les deux autres se réveillèrent, aussi paniqués que moi. Son père nous donna l'ordre de remettre nos maillots et de descendre les trouver, puis ils disparurent.
Quelle catastrophe ! A notre arrivée, tous trois très gênés, en bas ils nous firent asseoir et nous firent part de leur décision.
Ils conduiraient leur fils Albert dès le lendemain matin avec Benoît chez des cousins à 50 Km de là. Moi je devais attendre leur retour. Ils voulaient me passer l’engeulade de ma vie.
Je pris toute la faute sur moi, essayai de les dissuader mais rien n'y fit. Ils ne voulaient pas laisser les deux jeunes près de moi de peur qu'ils ne continuent leurs "sales manières" avec moi. Objectivement ça n'aurait pas raté !
Le départ de mes deux jeunes amis le lendemain matin fut triste. Ils revinrent m'embrasser en cachette puis partirent. Je fus abattu le reste de la journée, me promenant seul et sans but en maillot dans la garrigue.
Quand je rentrai, la maison me parut vide, pourtant la voiture des parents était là. Ils devaient donc être rentrés. Je montai sans bruit à pieds nus dans ma chambre. La porte de celle des parents était grande ouverte. En passant devant je m'arrêtai pile de surprise. Ils étaient là, mais nus sur leur lit. Lui était couché sur le dos, les jambes ouvertes. Entre elles je voyais ses grosses couilles et la base de sa queue. Tout le reste était dans le con de Florence qui, à cheval sur lui et tournée vers moi, le chevauchait doucement.
Elle me regarda dans les yeux et me sourit, l'oeil égrillard, tout en continuant à monter et descendre sur la bite de son mari. Je voyais son con glisser sur cette belle queue. Elle me dit:
- Entres Pat! Ne te gènes pas !
Je n’en revenais pas. Ils allaient m’engeuler férocement et puis voilà ! J'hésitai ne sachant quelle contenance prendre puis entrai doucement et me dirigeai vers eux.
- Viens plus près ! ... Tu vois, nous aussi on a des besoins ! C'est pour ça qu'on comprend si bien les tiens ! Ca devait arriver ! Tu es un beau gars plein de sève tout seul dans la campagne à 24 ans. A défaut de grives on mange des merles ! Et il y avait justement deux jeunes merles de 18 ans qui ne demandaient que ça ! Et tu les as attrapés par la queue !
Elle rit de son bon mot, tout en continuant à aller et venir sur la bite. Ses seins nus ballottaient lentement. Elle était vraiment belle. Elle me dit d'approcher encore puis subitement ses mains accrochèrent mon maillot et l'abaissèrent d’un coup sur mes genoux. Elle passa sensuellement sa langue sur ses lèvres en regardant mon sexe nu.
- Je vois que tu aimes aussi les femmes ! Tu es beau ! Je ne t'avais pas assez regardé hier ! Maintenant je ne vais pas me gêner ! Quelle pièce il a Chéri ! Et il commence à bander.
Elle porta une main à mon sexe et en prit possession tout en continuant à monter et descendre lentement sur la bite de Michel.
- Quand je pense ce qu'a fait ta belle queue ! ... Tu les as beaucoup enculés hein ? ... Réponds ! J'ai le droit de savoir ! L'un des deux est mon fils !
- Oui !
- Vicieux ! Et ils ont tous les deux adoré ça hein ?
- Oui !
- Et eux ? Ils t'ont pris souvent ?
- Oui !
- En fait vous couchiez tous nus à vous trois dès qu'on était partis ?... Réponds !
- Oui !
- Ooohh ! Vous avez sûrement beaucoup joui à vous trois !
Ma bite grandissait dans sa main. Et cette main était si féminine et adroite ! Elle savait comment flatter des couilles et une queue.
- C'est bon que tu aimes les femmes aussi ! Tu ne dois pas le dire ! Je sens ta bite grossir et durcir dans ma main ! Que dirais-tu de sucer les seins de la mère de ton ami Albert pendant qu'elle se fait mettre ? Tu as tant sucé la queue d'Albert ! Tu as tant bu son sperme ! Tu peux bien sucer un peu les seins de sa mère ? Ca reste dans la famille ! Tu peux bien me donner ça non ? Enlèves complètement ton slip et viens !
Comme un automate je sortis les jambes de mon slip et montai sur le lit devant elle, me mettant à genoux entre les jambes du mari. C’est vrai que j’avais tant bu le sperme d’Albert. C’est vrai aussi que ses seins étaient beaux et que j’avais fort envie de les sucer. Elle me tendit sa poitrine et je me mis à en sucer les pointes dressées. C'était exquis ! Je passais d'un téton à l'autre. Sa chair me rappelait celle d'Albert. Elle se laissa faire un long moment puis posa ses mains sur ma tête et la poussa vers le bas.
- Suces moi le clitoris ! La queue qui glisse en moi ne te fera pas peur à toi ! La queue d'un homme ça te plaît hein ?
Je me couchai nu entre les jambes du mari et ma langue glissa dans le con ouvert et si offert.
- Ooohh tu le fais bien ! Tu le fais bien ! ... Lèches aussi ses couilles ! S’il te plait ! ... Oohh j'aime te regarder lui lécher les couilles ! Partages toi entre nos deux sexes maintenant !
Toute la tension nerveuse vécue depuis qu’ils nous avaient découverts la veille se mua subitement en déchaînement. Ah ça les avait excités que je couche avec leur fils Albert et son copain sous leur toit ! Ils voulaient du sexe et ils en auraient ! Je me déchaînai. Couché nu entre les cuisses de Michel, je dévorais leurs sexes accouplés. Ils gémissaient tous deux sous ma langue et ne furent pas longs à jouir. Leur orgasme sembla follement puissant. Je bus au con de Florence leurs jus mêlés et quand la grosse queue sortit, je la suçai elle aussi. Florence me dit:
- C’est merveilleux ! Tu aimes vraiment les deux sexes !
- Oui!... J’aime tous les plaisirs !
- Mon mari chéri ! Mets toi à quatre pattes !
Elle le regarda faire, puis vint se mettre à quatre pattes à coté de lui. Je regardais les deux culs du couple tournés vers moi. C’était beau !
- Tu aimes ce que tu vois Pat ?
- Hohhh oui ! J’adore !
- Embrasses nous un peu alors !... Tous les deux !... Au cul !... Fais nous sentir comme tu aimes nos deux culs !
Je me penchai sur eux et me mis à embrasser leurs deux culs, à caresser et à lécher leurs deux sexes, à lécher leurs deux anus et à pousser ma langue dedans. Ma bite était énorme et je la caressais doucement en dévorant leurs culs. Lui me dit:
- Oh Pat !... Prends Florence !... Elle a très envie de coucher avec toi !
Je pointai ma bite vers son con et me poussai dedans jusqu’aux couilles.
- Elle est gluante de foutre !
- C’est le mien !... Ca te plait ?
- Oui !... J’en ai la bite pleine et ça coule sur mes couilles !
Elle se laissa posséder un moment puis se tourna vers moi et me dit :
- Prends moi derrière aussi !... J’aime ça !
Je sortis de son con et rentrai très doucement dans son anus. Elle gémit. Je la possédai longuement sans dire un mot. Lui me regardait faire. Je sentais ce que tous deux devaient penser et tout à coup elle dit :
- Salaud !... Tu as beaucoup eu l’anus du fils... Maintenant tu jouis dans l’anus de la mère !...
- Mais le plus merveilleux c’est qu’elle aime ça ! Pas vrai ?
- Oh oui ! Sentir ce qu’il a senti. Jouir sur la même bite que lui ! Mais … Prends le père maintenant !... Je veux le voir pris aussi !... Je veux qu’il connaisse aussi ta bite !... Lui aussi en a très envie !
Je sortis de son cul et me plaçai devant le cul de Michel. Je me penchai, l’embrassai et mouillai encore bien son rond, puis poussai ma grosse bite dedans. Il gémissait. Elle, comme folle, caressait le dos de son mari en regardant ma bite plonger dans son cul.
- Oh Chéri !... Vous êtes beaux comme ça !... Pat ? Tu aimes enculer Michel ?... Et toi chéri ?... C’est bon ?
- Oh oui !... Quelle bite !... Albert devait en être fou !...
- Oui !... Il adorait l’avoir dans son cul !... Oh je vais jouir !
- Vas-y ! Jouis dans le cul de Michel !... Gicles bien !... Il en rêve depuis longtemps !...
Je giclai puissamment dans son cul. On resta encore un moment accouplés puis je sortis de lui. Ils s'effondrèrent sur le lit et elle m'appela entre eux deux. Je m'étendis et, tout de suite sentis leurs mains sur moi. Parfois une main menue et douce prenait mon sexe, puis elle était remplacée par une main plus forte et plus exigeante.
J'avais retrouvé un couple! Je savais tout ce qui allait suivre et me jurais d'en profiter pleinement. Ma queue était dure dans leurs mains. Je montai sur elle et me glissai entre ses jambes. Elle se laissa faire, m’ouvrant les cuisses, toute accueillante. Michel me caressa les fesses. J'avais donc toutes les autorisations du couple et d'un coup je plongeai en gémissant ma bite en elle. Lui nous enserra à deux dans ses bras et referma une de ses cuisses nues sur mes fesses. Il me murmura à l'oreille:
- Petit salaud ! Tu t’accouples nu avec ma femme dans mes bras ! Tu promènes ta queue en elle dans tout mon sperme !... Et tu vas encore lui ajouter le tien ! Elle va jouir comme une folle autour de ta bite ! Je le sens ! Et en plus tu m’as mis tout ton jus de couilles dans le cul ! Tu as déchaîné des passions inavouables en moi !... Je te désire !... Je veux mettre ma bite dans ton cul ! Je rêve depuis des années d’amour entre hommes.
Je me tournai vers lui et lui répondis:
- Prends mon cul Michel !... Comme Albert !... Viens jouir dedans ! Mais embrasses moi un peu le cul d’abord !
L'instant d'après il écartait largement mes jambes et s'installait à genoux entre elles. Puis son baiser commença et sa langue entra en moi. Je gémissais de plaisir, planté dans le con exquis de Florence. Elle me regardait dans les yeux et semblait follement heureuse d'y lire mon excitation et mes vices homosexuels. Alors la belle bite de son mari glissa toute entière en moi.
- Ooohh Chéri il est vicieux !...Il est sensible là ! Il adore ça ! ... Albert et son copain t'ont aussi embrassé et enculé comme ça ?...Réponds ! Ca m'excite de tout savoir sur toi et eux !
- Oui ! Ils adoraient !... Ils l'ont beaucoup fait... Moi aussi j’ai beaucoup embrassé leurs deux anus !... Ils adoraient ça autant que moi ! Et je les ai moi aussi beaucoup enculé.
- Racontes nous tout !...Tout ce que vous faisiez ! Comment tu as fait pour les amener à coucher avec toi !... On veut tout savoir !... Les détails sur tous vos plaisirs ensemble. Racontes nous tout !
- Ils... Je les ai surpris il y a quinze jours dans le salon... Ils étaient nus,... se caressaient et se suçaient l'un l'autre... Puis Albert a offert ses fesses à Benoît qui a essayé de le prendre... J'ai enlevé mon maillot et me suis approché... Ils ont eu très peur puis ils m’ont accepté dans leurs jeux. Ils m'ont sucé à deux puis j'ai... Oohh vous m'excitez !
- Toi aussi tu nous excites ! Continue !
- Je suis tombé à genoux entre les cuisses d’Albert assis dans le divan... Je l’ai sucé longtemps. Benoît me caressait la bite... Puis j’ai relevé les cuisses d’Albert, ai embrassé son anus et… et je l’ai pris !... Il adorait !... Alors Benoît m’a pris... alors que j’étais accouplé à Albert... On a joui à trois très fort !...
- Donc c’est bien Albert qui a été ta première pute !... Tu en as une grosse ! Il n'a pas eu mal ?
- Non ! Il m’a accepté facilement !... Il adorait !... Il a un cul fait pour ça !... Et Benoît aussi !... Et puis Albert à une très belle queue. Il en bougeait une toute grosse dans mon cul !... Aussi belle que la tienne Michel ! Il a hérité de la tienne.
Et pendant notre accouplement à trois je leur racontai tout... Tous nos accouplements, nos caresses, nos baisers... Ils voulaient entendre tous les détails !
- Vicieux !... Sale vicieux !... Je t’adore déjà ! Mais maintenant fini les belles queues toutes jeunes ! Tu es à nous !
Je leur dis des choses follement crues à tous les deux et ils me le rendirent bien. Une folle jouissance s'empara de nous et c'est à trois, en une seule chair vibrante de plaisir, que l'orgasme nous surprit.
On resta longtemps accouplés l'un à l'autre, puis on roula tous sur le côté, tout essoufflés. Par dessus moi, elle prit la main de son mari et la serra.
- Ca t'a plut hein Chéri ? Il y a longtemps que tu rêvais de coucher avec un homme hein ?
- Oohh oui !... Aaaah c'était bon !...
- Alors tu recommenceras souvent mon amour !... Et il te prendra aussi comme il prenait ces deux jeunes ! On te garde Pat !... Pour çà !... Tu restes !... Mais maintenant on est seuls à nous trois et c'est avec nous que tu vas coucher !... A partir de maintenant le port du maillot t'est interdit dans la maison et sur la terrasse ! On vit tous trois à poils !... Tu sers à tous nos plaisirs... et tu satisfais notamment tous les désirs vicieux de Michel !... Il en rêvait depuis si longtemps !... Bien sûr tu dors ici entre nous !... Et on te paie double pour faire tout çà !... O.K.?
- Ca me fait tout drôle !... Je deviens votre pute ! Payée pour vos plaisirs !
Elle rit et ajouta:
- Penses ça si ça t’excite ! On te paie pour faire l'amour avec nous tout le temps et nous donner beaucoup de plaisir et de vraies vacances ! ... Tu peux aussi penser que tu jouis follement avec des amis... mais ce ne sont plus des jeunes gens, même vicieux ! C'est un couple cette fois !... Et plus vicieux encore !... Tu vas pouvoir être bi tout le temps !
Il y eut un silence puis elle reprit:
- Tu sais, nous voulons être honnêtes avec toi !... Pour nous il n'a jamais été question que tu partes !... Tu ne t'es pas réveillé tout de suite quand on vous a trouvés dormant nus à trois sur le lit d'Albert. On vous a même longtemps regardés... Tu avais une main sur le sexe d’Albert. Ca faisait preuve d’une telle intimité sexuelle. Et Benoît dormant nu tout contre toi… Ca en disait long sur vos rapports à trois... Vous étiez si beaux ! Ces trois queues et ces trois sacs sexuels entre vos jambes. Je n’avais jamais eu l’occasion de voir le sexe d’Albert depuis sa puberté.
- Vous voir comme ça nous a follement excités tous les deux. En vous regardant Michel me serrait dans ses bras et caressait mes seins... Il y avait longtemps qu’il désirait faire l’amour avec un homme ! L’occasion était unique !.. Tu aimais visiblement les garçons et ce que tu avais fait avec les jeunes dont tu avais la garde te faisait tomber dans nos filets... Tu étais la victime idéale des désirs vicieux de Michel et moi je me réjouissais de vous voir coucher ensemble entre hommes. Et puis j'étais certaine que je réussirais aussi à goûter ta bite dans mon con !... En plus... On était assurés de ton silence !... Alors, en vous regardant tous les trois tout nus, on a discuté tout bas entre nous le coup qu'on allait vous faire. Puis Michel a toussé volontairement pour vous réveiller.
- Il fallait seulement écarter les jeunes. Mais on n'avait pas le coeur de les séparer et de les priver de leurs plaisirs !.. Tu sais… deux mois avant les vacances, alors qu’ils se croyaient seuls à la maison, on les avait surpris tous deux dans le salon en train de se sucer mutuellement en 69. Ils n’en ont jamais rien su.
- Quand Albert nous a supplié de pouvoir inviter son copain en vacances on a bien compris évidemment et on a hésité un peu. Puis on s’est dit qu’ils avaient le droit de vivre leurs désirs même entre eux et on a accepté mais à la condition qu’un plus âgé soit là aussi pour les guider dans leurs découvertes. Quand on t’a rencontré on s’est dit que tu n’avais pas l’air coincé et que tu leur plairais certainement s’ils souhaitaient t’introduire dans leurs jeux.
Mais quand on vous a vu hier dormir tous les trois nus ensemble on s’est dit qu’ils n’avaient plus besoin de toi. Par contre nous deux avions fort envie de toi. Michel avait envie de faire l’amour avec homme depuis des années et je rêvais de le voir faire. Puis j’avais envie de coucher avec toi moi aussi. Je me disais que tu devais être très vicieux et très bi.
- Chez ma soeur nos deux jeunes seront bien !... Elle avait encore une chambre au grenier avec un grand lit... Je les imagine déjà ce soir, seuls à leur étage... Ils seront vite nus à deux dans le grand lit, occupés à faire l'amour ensemble en pensant à toi... Ils ne devineront jamais que pendant ce temps tu seras dans le nôtre... faisant l’amour avec nous !... Mais ça tu devras toujours le garder secret !... Maintenant couches toi sur Michel !... Le dos sur son ventre oui !... Comme ça j’ai vos deux queues !...
Elle se pencha sur nous et m’ouvrit les cuisses. Elle se mit à dévorer nos bites. Quand elle suçait l’une elle caressait l’autre.
- Vous allez encore coucher ensemble !... Il y a bien longtemps que Michel rêve de coucher avec un homme !... Tu vas encore lui donner ton cul mâle !
Nos deux bites se dressèrent sous sa langue et dans ses doigts. Alors elle prit la bite de son mari et la plaça devant mon anus.
- Vas-y Chéri !... Encules le !
Toute sa bite me rentra dans le cul. C’était exquis ce désir mâle sous les yeux de sa femelle !
Florence caressait nos corps et nos sexes et nous encourageait à bien jouir l’un de l’autre. Je me délectais de sentir son désir et son plaisir de moi. Il finit par jouir longuement en moi.
Je passai le restant du mois de juillet chez eux comme prévu. Ils me payaient pour leur tenir compagnie à eux, toujours nu. Ce fut une période de caresses et de baisers incessants envers Florence et entre hommes. Michel, très vicieux, avait beaucoup d'anciens désirs homosexuels à satisfaire. Tout mon corps y répondait constamment devant Florence. Il m'enculait dans toutes les positions et adorait que je l'encule. Toutes les pièces de la maison assistèrent à nos amours!
Mais Florence était gourmande aussi et elle adorait passer librement d’un homme à l’autre en fonction de ses désirs. Régulièrement même elle attirait ses deux mâles ensemble en elle.
Bien souvent en effet Michel et moi prenions Florence à deux. Elle dansait nue entre nous avec une grosse bite dans chaque trou. Elle adorait ça ! Nous aussi ! Nous la rendions folle de plaisir à deux. Nous nous sentions l’un l’autre en elle et formions un vrai trio de plaisir. Nous avons beaucoup joui à trois et si souvent !
Je restai chez eux, comme prévu, jusqu'au 31 juillet. Ils ne pouvaient me garder plus longtemps d'ailleurs car Albert revenait début août et ils étaient certains que leur fils devinerait immédiatement que je couchais avec eux deux. Ils ne voulaient pas non plus que je reprenne mes relations avec lui étant pourtant tout heureux que je les ai eues. Je fis donc mon sac et les quittai avec suffisamment d'argent pour voir venir le mois d'août.
CHAPITRE 4 - LA TEMPETE
Je passai ainsi une dizaine de jours paradisiaques avec Albert et Benoît. Nous étions trois jeunes hommes vivant nus ensemble dès le départ des parents. Ils savaient tout maintenant de l'amour entre garçons et s'y donnaient corps et âmes. Nous jouissions énormément à trois et nous adorions tous trois nos plaisirs comme ceux des deux autres.
Mais un jour, épuisés par nos prouesses sexuelles communes, nous dormions nus enlacés à trois sur le lit d'Albert quand je me réveillai en sursaut. Face à moi ses parents étaient là, debout dans l'embrasure de la porte ! Ils nous regardaient. Je me relevai brusquement et les deux autres se réveillèrent, aussi paniqués que moi. Son père nous donna l'ordre de remettre nos maillots et de descendre les trouver, puis ils disparurent.
Quelle catastrophe ! A notre arrivée, tous trois très gênés, en bas ils nous firent asseoir et nous firent part de leur décision.
Ils conduiraient leur fils Albert dès le lendemain matin avec Benoît chez des cousins à 50 Km de là. Moi je devais attendre leur retour. Ils voulaient me passer l’engeulade de ma vie.
Je pris toute la faute sur moi, essayai de les dissuader mais rien n'y fit. Ils ne voulaient pas laisser les deux jeunes près de moi de peur qu'ils ne continuent leurs "sales manières" avec moi. Objectivement ça n'aurait pas raté !
Le départ de mes deux jeunes amis le lendemain matin fut triste. Ils revinrent m'embrasser en cachette puis partirent. Je fus abattu le reste de la journée, me promenant seul et sans but en maillot dans la garrigue.
Quand je rentrai, la maison me parut vide, pourtant la voiture des parents était là. Ils devaient donc être rentrés. Je montai sans bruit à pieds nus dans ma chambre. La porte de celle des parents était grande ouverte. En passant devant je m'arrêtai pile de surprise. Ils étaient là, mais nus sur leur lit. Lui était couché sur le dos, les jambes ouvertes. Entre elles je voyais ses grosses couilles et la base de sa queue. Tout le reste était dans le con de Florence qui, à cheval sur lui et tournée vers moi, le chevauchait doucement.
Elle me regarda dans les yeux et me sourit, l'oeil égrillard, tout en continuant à monter et descendre sur la bite de son mari. Je voyais son con glisser sur cette belle queue. Elle me dit:
- Entres Pat! Ne te gènes pas !
Je n’en revenais pas. Ils allaient m’engeuler férocement et puis voilà ! J'hésitai ne sachant quelle contenance prendre puis entrai doucement et me dirigeai vers eux.
- Viens plus près ! ... Tu vois, nous aussi on a des besoins ! C'est pour ça qu'on comprend si bien les tiens ! Ca devait arriver ! Tu es un beau gars plein de sève tout seul dans la campagne à 24 ans. A défaut de grives on mange des merles ! Et il y avait justement deux jeunes merles de 18 ans qui ne demandaient que ça ! Et tu les as attrapés par la queue !
Elle rit de son bon mot, tout en continuant à aller et venir sur la bite. Ses seins nus ballottaient lentement. Elle était vraiment belle. Elle me dit d'approcher encore puis subitement ses mains accrochèrent mon maillot et l'abaissèrent d’un coup sur mes genoux. Elle passa sensuellement sa langue sur ses lèvres en regardant mon sexe nu.
- Je vois que tu aimes aussi les femmes ! Tu es beau ! Je ne t'avais pas assez regardé hier ! Maintenant je ne vais pas me gêner ! Quelle pièce il a Chéri ! Et il commence à bander.
Elle porta une main à mon sexe et en prit possession tout en continuant à monter et descendre lentement sur la bite de Michel.
- Quand je pense ce qu'a fait ta belle queue ! ... Tu les as beaucoup enculés hein ? ... Réponds ! J'ai le droit de savoir ! L'un des deux est mon fils !
- Oui !
- Vicieux ! Et ils ont tous les deux adoré ça hein ?
- Oui !
- Et eux ? Ils t'ont pris souvent ?
- Oui !
- En fait vous couchiez tous nus à vous trois dès qu'on était partis ?... Réponds !
- Oui !
- Ooohh ! Vous avez sûrement beaucoup joui à vous trois !
Ma bite grandissait dans sa main. Et cette main était si féminine et adroite ! Elle savait comment flatter des couilles et une queue.
- C'est bon que tu aimes les femmes aussi ! Tu ne dois pas le dire ! Je sens ta bite grossir et durcir dans ma main ! Que dirais-tu de sucer les seins de la mère de ton ami Albert pendant qu'elle se fait mettre ? Tu as tant sucé la queue d'Albert ! Tu as tant bu son sperme ! Tu peux bien sucer un peu les seins de sa mère ? Ca reste dans la famille ! Tu peux bien me donner ça non ? Enlèves complètement ton slip et viens !
Comme un automate je sortis les jambes de mon slip et montai sur le lit devant elle, me mettant à genoux entre les jambes du mari. C’est vrai que j’avais tant bu le sperme d’Albert. C’est vrai aussi que ses seins étaient beaux et que j’avais fort envie de les sucer. Elle me tendit sa poitrine et je me mis à en sucer les pointes dressées. C'était exquis ! Je passais d'un téton à l'autre. Sa chair me rappelait celle d'Albert. Elle se laissa faire un long moment puis posa ses mains sur ma tête et la poussa vers le bas.
- Suces moi le clitoris ! La queue qui glisse en moi ne te fera pas peur à toi ! La queue d'un homme ça te plaît hein ?
Je me couchai nu entre les jambes du mari et ma langue glissa dans le con ouvert et si offert.
- Ooohh tu le fais bien ! Tu le fais bien ! ... Lèches aussi ses couilles ! S’il te plait ! ... Oohh j'aime te regarder lui lécher les couilles ! Partages toi entre nos deux sexes maintenant !
Toute la tension nerveuse vécue depuis qu’ils nous avaient découverts la veille se mua subitement en déchaînement. Ah ça les avait excités que je couche avec leur fils Albert et son copain sous leur toit ! Ils voulaient du sexe et ils en auraient ! Je me déchaînai. Couché nu entre les cuisses de Michel, je dévorais leurs sexes accouplés. Ils gémissaient tous deux sous ma langue et ne furent pas longs à jouir. Leur orgasme sembla follement puissant. Je bus au con de Florence leurs jus mêlés et quand la grosse queue sortit, je la suçai elle aussi. Florence me dit:
- C’est merveilleux ! Tu aimes vraiment les deux sexes !
- Oui!... J’aime tous les plaisirs !
- Mon mari chéri ! Mets toi à quatre pattes !
Elle le regarda faire, puis vint se mettre à quatre pattes à coté de lui. Je regardais les deux culs du couple tournés vers moi. C’était beau !
- Tu aimes ce que tu vois Pat ?
- Hohhh oui ! J’adore !
- Embrasses nous un peu alors !... Tous les deux !... Au cul !... Fais nous sentir comme tu aimes nos deux culs !
Je me penchai sur eux et me mis à embrasser leurs deux culs, à caresser et à lécher leurs deux sexes, à lécher leurs deux anus et à pousser ma langue dedans. Ma bite était énorme et je la caressais doucement en dévorant leurs culs. Lui me dit:
- Oh Pat !... Prends Florence !... Elle a très envie de coucher avec toi !
Je pointai ma bite vers son con et me poussai dedans jusqu’aux couilles.
- Elle est gluante de foutre !
- C’est le mien !... Ca te plait ?
- Oui !... J’en ai la bite pleine et ça coule sur mes couilles !
Elle se laissa posséder un moment puis se tourna vers moi et me dit :
- Prends moi derrière aussi !... J’aime ça !
Je sortis de son con et rentrai très doucement dans son anus. Elle gémit. Je la possédai longuement sans dire un mot. Lui me regardait faire. Je sentais ce que tous deux devaient penser et tout à coup elle dit :
- Salaud !... Tu as beaucoup eu l’anus du fils... Maintenant tu jouis dans l’anus de la mère !...
- Mais le plus merveilleux c’est qu’elle aime ça ! Pas vrai ?
- Oh oui ! Sentir ce qu’il a senti. Jouir sur la même bite que lui ! Mais … Prends le père maintenant !... Je veux le voir pris aussi !... Je veux qu’il connaisse aussi ta bite !... Lui aussi en a très envie !
Je sortis de son cul et me plaçai devant le cul de Michel. Je me penchai, l’embrassai et mouillai encore bien son rond, puis poussai ma grosse bite dedans. Il gémissait. Elle, comme folle, caressait le dos de son mari en regardant ma bite plonger dans son cul.
- Oh Chéri !... Vous êtes beaux comme ça !... Pat ? Tu aimes enculer Michel ?... Et toi chéri ?... C’est bon ?
- Oh oui !... Quelle bite !... Albert devait en être fou !...
- Oui !... Il adorait l’avoir dans son cul !... Oh je vais jouir !
- Vas-y ! Jouis dans le cul de Michel !... Gicles bien !... Il en rêve depuis longtemps !...
Je giclai puissamment dans son cul. On resta encore un moment accouplés puis je sortis de lui. Ils s'effondrèrent sur le lit et elle m'appela entre eux deux. Je m'étendis et, tout de suite sentis leurs mains sur moi. Parfois une main menue et douce prenait mon sexe, puis elle était remplacée par une main plus forte et plus exigeante.
J'avais retrouvé un couple! Je savais tout ce qui allait suivre et me jurais d'en profiter pleinement. Ma queue était dure dans leurs mains. Je montai sur elle et me glissai entre ses jambes. Elle se laissa faire, m’ouvrant les cuisses, toute accueillante. Michel me caressa les fesses. J'avais donc toutes les autorisations du couple et d'un coup je plongeai en gémissant ma bite en elle. Lui nous enserra à deux dans ses bras et referma une de ses cuisses nues sur mes fesses. Il me murmura à l'oreille:
- Petit salaud ! Tu t’accouples nu avec ma femme dans mes bras ! Tu promènes ta queue en elle dans tout mon sperme !... Et tu vas encore lui ajouter le tien ! Elle va jouir comme une folle autour de ta bite ! Je le sens ! Et en plus tu m’as mis tout ton jus de couilles dans le cul ! Tu as déchaîné des passions inavouables en moi !... Je te désire !... Je veux mettre ma bite dans ton cul ! Je rêve depuis des années d’amour entre hommes.
Je me tournai vers lui et lui répondis:
- Prends mon cul Michel !... Comme Albert !... Viens jouir dedans ! Mais embrasses moi un peu le cul d’abord !
L'instant d'après il écartait largement mes jambes et s'installait à genoux entre elles. Puis son baiser commença et sa langue entra en moi. Je gémissais de plaisir, planté dans le con exquis de Florence. Elle me regardait dans les yeux et semblait follement heureuse d'y lire mon excitation et mes vices homosexuels. Alors la belle bite de son mari glissa toute entière en moi.
- Ooohh Chéri il est vicieux !...Il est sensible là ! Il adore ça ! ... Albert et son copain t'ont aussi embrassé et enculé comme ça ?...Réponds ! Ca m'excite de tout savoir sur toi et eux !
- Oui ! Ils adoraient !... Ils l'ont beaucoup fait... Moi aussi j’ai beaucoup embrassé leurs deux anus !... Ils adoraient ça autant que moi ! Et je les ai moi aussi beaucoup enculé.
- Racontes nous tout !...Tout ce que vous faisiez ! Comment tu as fait pour les amener à coucher avec toi !... On veut tout savoir !... Les détails sur tous vos plaisirs ensemble. Racontes nous tout !
- Ils... Je les ai surpris il y a quinze jours dans le salon... Ils étaient nus,... se caressaient et se suçaient l'un l'autre... Puis Albert a offert ses fesses à Benoît qui a essayé de le prendre... J'ai enlevé mon maillot et me suis approché... Ils ont eu très peur puis ils m’ont accepté dans leurs jeux. Ils m'ont sucé à deux puis j'ai... Oohh vous m'excitez !
- Toi aussi tu nous excites ! Continue !
- Je suis tombé à genoux entre les cuisses d’Albert assis dans le divan... Je l’ai sucé longtemps. Benoît me caressait la bite... Puis j’ai relevé les cuisses d’Albert, ai embrassé son anus et… et je l’ai pris !... Il adorait !... Alors Benoît m’a pris... alors que j’étais accouplé à Albert... On a joui à trois très fort !...
- Donc c’est bien Albert qui a été ta première pute !... Tu en as une grosse ! Il n'a pas eu mal ?
- Non ! Il m’a accepté facilement !... Il adorait !... Il a un cul fait pour ça !... Et Benoît aussi !... Et puis Albert à une très belle queue. Il en bougeait une toute grosse dans mon cul !... Aussi belle que la tienne Michel ! Il a hérité de la tienne.
Et pendant notre accouplement à trois je leur racontai tout... Tous nos accouplements, nos caresses, nos baisers... Ils voulaient entendre tous les détails !
- Vicieux !... Sale vicieux !... Je t’adore déjà ! Mais maintenant fini les belles queues toutes jeunes ! Tu es à nous !
Je leur dis des choses follement crues à tous les deux et ils me le rendirent bien. Une folle jouissance s'empara de nous et c'est à trois, en une seule chair vibrante de plaisir, que l'orgasme nous surprit.
On resta longtemps accouplés l'un à l'autre, puis on roula tous sur le côté, tout essoufflés. Par dessus moi, elle prit la main de son mari et la serra.
- Ca t'a plut hein Chéri ? Il y a longtemps que tu rêvais de coucher avec un homme hein ?
- Oohh oui !... Aaaah c'était bon !...
- Alors tu recommenceras souvent mon amour !... Et il te prendra aussi comme il prenait ces deux jeunes ! On te garde Pat !... Pour çà !... Tu restes !... Mais maintenant on est seuls à nous trois et c'est avec nous que tu vas coucher !... A partir de maintenant le port du maillot t'est interdit dans la maison et sur la terrasse ! On vit tous trois à poils !... Tu sers à tous nos plaisirs... et tu satisfais notamment tous les désirs vicieux de Michel !... Il en rêvait depuis si longtemps !... Bien sûr tu dors ici entre nous !... Et on te paie double pour faire tout çà !... O.K.?
- Ca me fait tout drôle !... Je deviens votre pute ! Payée pour vos plaisirs !
Elle rit et ajouta:
- Penses ça si ça t’excite ! On te paie pour faire l'amour avec nous tout le temps et nous donner beaucoup de plaisir et de vraies vacances ! ... Tu peux aussi penser que tu jouis follement avec des amis... mais ce ne sont plus des jeunes gens, même vicieux ! C'est un couple cette fois !... Et plus vicieux encore !... Tu vas pouvoir être bi tout le temps !
Il y eut un silence puis elle reprit:
- Tu sais, nous voulons être honnêtes avec toi !... Pour nous il n'a jamais été question que tu partes !... Tu ne t'es pas réveillé tout de suite quand on vous a trouvés dormant nus à trois sur le lit d'Albert. On vous a même longtemps regardés... Tu avais une main sur le sexe d’Albert. Ca faisait preuve d’une telle intimité sexuelle. Et Benoît dormant nu tout contre toi… Ca en disait long sur vos rapports à trois... Vous étiez si beaux ! Ces trois queues et ces trois sacs sexuels entre vos jambes. Je n’avais jamais eu l’occasion de voir le sexe d’Albert depuis sa puberté.
- Vous voir comme ça nous a follement excités tous les deux. En vous regardant Michel me serrait dans ses bras et caressait mes seins... Il y avait longtemps qu’il désirait faire l’amour avec un homme ! L’occasion était unique !.. Tu aimais visiblement les garçons et ce que tu avais fait avec les jeunes dont tu avais la garde te faisait tomber dans nos filets... Tu étais la victime idéale des désirs vicieux de Michel et moi je me réjouissais de vous voir coucher ensemble entre hommes. Et puis j'étais certaine que je réussirais aussi à goûter ta bite dans mon con !... En plus... On était assurés de ton silence !... Alors, en vous regardant tous les trois tout nus, on a discuté tout bas entre nous le coup qu'on allait vous faire. Puis Michel a toussé volontairement pour vous réveiller.
- Il fallait seulement écarter les jeunes. Mais on n'avait pas le coeur de les séparer et de les priver de leurs plaisirs !.. Tu sais… deux mois avant les vacances, alors qu’ils se croyaient seuls à la maison, on les avait surpris tous deux dans le salon en train de se sucer mutuellement en 69. Ils n’en ont jamais rien su.
- Quand Albert nous a supplié de pouvoir inviter son copain en vacances on a bien compris évidemment et on a hésité un peu. Puis on s’est dit qu’ils avaient le droit de vivre leurs désirs même entre eux et on a accepté mais à la condition qu’un plus âgé soit là aussi pour les guider dans leurs découvertes. Quand on t’a rencontré on s’est dit que tu n’avais pas l’air coincé et que tu leur plairais certainement s’ils souhaitaient t’introduire dans leurs jeux.
Mais quand on vous a vu hier dormir tous les trois nus ensemble on s’est dit qu’ils n’avaient plus besoin de toi. Par contre nous deux avions fort envie de toi. Michel avait envie de faire l’amour avec homme depuis des années et je rêvais de le voir faire. Puis j’avais envie de coucher avec toi moi aussi. Je me disais que tu devais être très vicieux et très bi.
- Chez ma soeur nos deux jeunes seront bien !... Elle avait encore une chambre au grenier avec un grand lit... Je les imagine déjà ce soir, seuls à leur étage... Ils seront vite nus à deux dans le grand lit, occupés à faire l'amour ensemble en pensant à toi... Ils ne devineront jamais que pendant ce temps tu seras dans le nôtre... faisant l’amour avec nous !... Mais ça tu devras toujours le garder secret !... Maintenant couches toi sur Michel !... Le dos sur son ventre oui !... Comme ça j’ai vos deux queues !...
Elle se pencha sur nous et m’ouvrit les cuisses. Elle se mit à dévorer nos bites. Quand elle suçait l’une elle caressait l’autre.
- Vous allez encore coucher ensemble !... Il y a bien longtemps que Michel rêve de coucher avec un homme !... Tu vas encore lui donner ton cul mâle !
Nos deux bites se dressèrent sous sa langue et dans ses doigts. Alors elle prit la bite de son mari et la plaça devant mon anus.
- Vas-y Chéri !... Encules le !
Toute sa bite me rentra dans le cul. C’était exquis ce désir mâle sous les yeux de sa femelle !
Florence caressait nos corps et nos sexes et nous encourageait à bien jouir l’un de l’autre. Je me délectais de sentir son désir et son plaisir de moi. Il finit par jouir longuement en moi.
Je passai le restant du mois de juillet chez eux comme prévu. Ils me payaient pour leur tenir compagnie à eux, toujours nu. Ce fut une période de caresses et de baisers incessants envers Florence et entre hommes. Michel, très vicieux, avait beaucoup d'anciens désirs homosexuels à satisfaire. Tout mon corps y répondait constamment devant Florence. Il m'enculait dans toutes les positions et adorait que je l'encule. Toutes les pièces de la maison assistèrent à nos amours!
Mais Florence était gourmande aussi et elle adorait passer librement d’un homme à l’autre en fonction de ses désirs. Régulièrement même elle attirait ses deux mâles ensemble en elle.
Bien souvent en effet Michel et moi prenions Florence à deux. Elle dansait nue entre nous avec une grosse bite dans chaque trou. Elle adorait ça ! Nous aussi ! Nous la rendions folle de plaisir à deux. Nous nous sentions l’un l’autre en elle et formions un vrai trio de plaisir. Nous avons beaucoup joui à trois et si souvent !
Je restai chez eux, comme prévu, jusqu'au 31 juillet. Ils ne pouvaient me garder plus longtemps d'ailleurs car Albert revenait début août et ils étaient certains que leur fils devinerait immédiatement que je couchais avec eux deux. Ils ne voulaient pas non plus que je reprenne mes relations avec lui étant pourtant tout heureux que je les ai eues. Je fis donc mon sac et les quittai avec suffisamment d'argent pour voir venir le mois d'août.
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