EVEIL ET MATURITE (7) - Les amis de la plage

- Par l'auteur HDS Midou32 -
Récit érotique écrit par Midou32 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : EVEIL ET MATURITE (7) - Les amis de la plage Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2006 dans la catégorie Plus on est
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EVEIL ET MATURITE (7) - Les amis de la plage
EVEIL ET MATURITE (7)

CHAPITRE 7 - LES AMIS DE LA PLAGE

Nous vécûmes plusieurs jours en parfaite communauté à trois. Nous vivions nus et nos trois corps se caressaient et se retrouvaient sans cesse. Je me sentais changer en profondeur auprès de ces deux femmes. Avec les deux couples que j’avais connu j’avais beaucoup joui mais je sentais maintenant de plus en plus qu’il manquait une dimension fondamentale. Auprès de Clélia et sa Tantine courait maintenant une immense tendresse, et pour Clélia, même tout simplement de l’amour. C’était pour moi une formidable découverte. Je l’aimais !

Un soir, alors que nous nous apaisions à trois au lit après l'amour Tantine nous dit qu'elle partait le lendemain jusqu'à lundi. Elle était contente que je sois là pour veiller sur Clélia et la garder "occupée" à la maison ! Elle nous confia qu'elle allait chez son amant à Lyon et qu'elle nous laisserait son numéro de téléphone en cas de besoin.

Le lendemain Tantine partit et Clélia et moi on alla passer la journée sur la plage. On y rencontra un couple charmant, très beaux tous les deux et très BCBG. Le vrai couple comme il faut, lui 27 ans et elle 24. Le lendemain on les rencontra à nouveau et on les invita à déjeuner chez nous.

Je leur avais présenté Clélia comme ma fiancée et ne cachais pas devant eux mon grand amour pour elle. Je prenais doucement conscience par ailleurs que cet amour était réel et très profond. J'avais surpris les regards furtifs de Fabienne, et également ceux de Laurent, vers mon maillot de bain où ma bite gonflait parfois fort. Nos pelotages étaient communicatifs et les poussaient eux aussi à se caresser furtivement l'un l'autre.

On déjeuna sur la terrasse d'une salade niçoise et d’un petit beaujolais tout simple et la conversation devint vite très grivoise. On en vint tous à rire aux larmes en racontant des blagues de plus en plus vertes. Ce couple si B.C.B.G. nous étonnait.

Tout à coup, après une blague sur l'amour en groupe, Fabienne devint toute sérieuse et dit:

- Et dire qu'il y a des gens qui font cela !

- Quoi ?

- Ben... L'amour à plusieurs !

- Oui ! … C'est vrai !

Je restai pensif. Clélia ajouta :

- Je connais un couple comme cela. Ils invitent souvent un autre couple et ils font l'amour ensemble ! N'empêche que je comprends que ça puisse être formidable !... De temps en temps se libérer de tout... se retrouver tout nu à deux couples, jeter tous les tabous par la fenêtre et réaliser tous les phantasmes nus à quatre !... Quelle impression de liberté ça doit donner !

Il y eut un silence et je craignis que Clélia n'ait été trop loin. Mais Fabienne répondit pensive :

- C'est vrai !... Mais pour cela il faut que les quatre s'entendent bien !... Ca doit d'ailleurs créer une certaine tendresse et proximité entre les femmes et même entre les hommes de se partager comme cela ! Tu ne crois pas ?

Clélia répondit:

- Oui ! Ca certainement !

Elles demandèrent l'avis des deux hommes sur ce sujet et on les approuva tous deux. Il y eut un nouveau silence puis on se leva de table.

Les deux femmes s'installèrent au soleil côte à côte sur un grand essuie et j'attirai Laurent dans le salon pour lui offrir un cognac.

Clélia me rapporta plus tard sa conversation avec Fabienne :

- Vous êtes bien ici! Il n'y a aucun voisin !

- Oh ça oui ! On peut faire de l'intégral tant qu'on veut !

- Vous en faites tous les deux ?

- Oui bien sûr ! C'est si bon !... Fais en si tu veux !

- Tu es folle ? Ils vont sûrement revenir, et vis à vis de ton fiancé...

- Mais dis !... Il est habitué ! On fait même souvent l'amour ici !

- Ca je m'en doute ! Je suis même certaine qu'il le fait drôlement bien !

- Oui !... C'est un amant merveilleux !... Il cherche toujours à me faire jouir !

- Tu as de la chance tu sais ! Et il est très beau en plus !

- Laurent n'est pas comme ça ?

- Oh si ! Lui aussi fait merveilleusement l'amour !

- Il est bien armé en tout cas !

- Ah tu as vu ?

- Tu parles ! C'est difficile de ne pas le voir !

Et elles pouffèrent de rire à deux. Fabienne ajouta :

- Enlevons nos soutiens pour voir la tête qu'ils feront !

Toutes deux dégrafèrent leur soutien et leurs seins apparurent au soleil. Clélia regarda sa voisine et lui dit :

- Tu as de beaux seins !

- Toi aussi ! On voit que tu as un homme qui les entretient ! C'est vrai tu sais ! Il n'y a rien de meilleur pour les seins que de les donner à téter à un amant !

- Tais toi ! Tu vas faire dresser mes bouts !

- Ils le sont déjà !

- Les tiens aussi !

Pendant ce temps Laurent et moi dégustions un petit cognac assis au salon. Il se tourna vers moi et me dit :

- Eh bien... tu as de la chance ! Tu as une charmante fiancée !...Et elle est absolument ravissante en plus !

- C'est vrai ! On est très amoureux !

- Oui vous en avez l'air ! Nous aussi nous le sommes !

- Oui ! Et Fabienne est exquisément jolie elle aussi !

- Oui!... Elle est marrante Fabienne ! Elle a l'air d'une femme très sérieuse et réservée et en fait c'est une fille très sensuelle ! Et avec ça elle n'a jamais eu d'autre expérience qu'avec moi !

- Ca prouve pour toi !

- Pas tellement ! En fait c'est une femme très coquine mais tout reste dans sa tête ! Je suis certain qu'une aventure hors mariage lui plairait beaucoup !

- Clélia aussi ! Elle adore les hommes ! Tu serais furieux contre Fabienne si elle avait une aventure ?

- Non pas du tout ! J’aime qu’elle soit heureuse ! Tu serais fâché pour Clélia toi ?

- Non pas du tout non plus ! Et je ne suis pas jaloux. Je ne serais pas fâché non plus contre son amant.

- C’est pareil pour moi.

Il y eut un silence. Le message était passé. Nous étions chacun certain de la position de l'autre. On posa nos verres vides et on sorti sur la terrasse. Nous fûmes tous deux émerveillés d’être accueillis par les quatre seins nus. On s'assit à côté d'elles. Laurent leur dit qu'elles n'avaient peur de rien et Clélia lui répondit qu'on était entre nous et que c'était bon le regard des hommes. Fabienne en rougit, laissant mes regards traîner sur ses seins. Puis elle se leva, déclara qu'elle avait trop chaud et rentra dans le salon pour se mettre quelques minutes à l'ombre.

Dix minutes plus tard je me levai et déclarai que j'allais voir si Fabienne ne désirait rien à boire. J'entrai sans bruit dans le salon et l'y trouvai étendue sur le divan. Elle avait une main glissée dans son slip et de l'autre elle se caressait les seins nus. J'avançai doucement vers elle me délectant de ce joli corps de femme s'épanouissant dans une masturbation totale.

Malheureusement une latte du plancher grinça doucement sous mon pied. Elle sursauta et sorti sa main de son slip. Son visage se tourna vers moi.

- Oh! Qu'est ce que tu fais là ?

- Je te regarde !... Tu es belle !

Son regard descendit le long de mon ventre et s'arrêta sur mon maillot. Elle devait y voir tout le dessin de ma bite dressée. Son regard remonta le long de mon corps vers mon visage et elle me regarda dans les yeux. Je vis qu'elle compris que j'étais là depuis quelques minutes à la regarder. Alors, lentement sa main gauche rentra dans son slip et l'autre repris son mouvement sur ses seins. Me regardant dans les yeux elle me demanda doucement :

- Tu n'as pas peur que Clélia arrive ?

- On ne fait rien de mal ! Je te regarde et tu es belle !

Elle se tût et continua sa masturbation. Son regard retourna à mon maillot et dans un souffle elle me dit :

- Enlèves le... pour moi !

Je l'abaissai doucement et ma bite bondit dressée et grosse sur mon ventre.

- Que tu es beau !... C'est bon de te mettre dans cet état là... et de te regarder !

- Je voudrais te voir toute nue aussi !

Elle sembla hésiter, puis son slip glissa sur ses hanches. Je regardai apparaître la toison de son ventre puis sa vulve très gonflée et béante. Je vis son doigt s'y glisser et reprendre son activité précédente. Elle me parla tout bas :

- Ne bouges pas ! N'approches pas !... Laisses moi te dire ce qui court en moi ! Je suis heureuse ! Mon corps est heureux... tout nu sous tes yeux ! J'ai du plaisir là où mon doigt caresse ! Je regarde ta pine raide ! Elle est belle ! J'imagine qu'elle plonge entre mes jambes... qu'elle fouille mon ventre !... Elle bande pour moi... Je veux la sentir mieux.

Tout à coup elle se leva et se mit debout. Elle était belle toute nue. Elle se baissa vers la table basse devant le divan et prit une banane dans la coupe de fruits. Elle la porta vers son bas ventre, écartant un peu les jambes, se pencha un peu en avant, puis elle la plongea lentement sous mes yeux dans son con.

- Aaahh! Ta verge me fouille ! C'est bon ! Je la veux partout ! Partout en moi !

Elle la fit aller et venir un moment en elle. Quand la banane sortait de son con elle luisait de mouille. J’avais pris ma bite en main et me la caressais doucement. Elle me regardait faire avec passion. Alors elle la ressortit toute trempée hors de son con, se retourna, me montrant sa croupe féminine et, sidéré, je la regardai s'enfoncer la banane dans l'anus ! Quelle merveilleuse vicieuse ! Je bandais comme un cerf et elle se repaissait de mon érection.

- Là aussi je veux ta bite ! Je veux que tu désires tout mon corps !... Que tu me fouilles partout !...Ah c'est bon que tu me respectes ! Que tu n'approches pas ! Que tu te masturbes devant moi comme ça ! J'aime ton excitation de mâle pour moi ! J'aime t'exciter si fort ! J’adore te mettre dans cet état !... Et te voir !...

Pendant ce temps Laurent et Clélia étaient seuls sur la terrasse.

- Quelle chance il a Pat !

- Pourquoi ?

- Tu es tellement jolie !

Elle rit puis en souriant coquinement elle ajouta :

- Je crois que je ferais bien de remettre mon soutien !

- Oh non ! Sûrement pas !

Elle le regarda pensive puis lui dit :

- C'est bon que mes seins te plaisent ! Dire que j'avais envie de faire de l'intégral avec vous ! J'avais bien envie de vous le proposer !

- Tu aurais dû le faire !

- J'ai été intimidée par toi !

- C'est dommage !... Qu'est ce qui nous empêche de le faire maintenant ?

- Mais... Fabienne va revenir avec Pat !

- Eh bien ils nous verront nus et feront de même ! Faisons le !

Clélia le regarda dans les yeux. Il avait l'air excité par elle. Alors elle se souleva et fit glisser son slip de bikini sur ses cuisses. Du coin de l'oeil elle vit Laurent abaisser son slip et regarda son sexe. Elle prit alors la bouteille d'huile solaire et, le dos tourné à Laurent, s'enduisit les bras puis les seins.

Elle sentit la forte main de Laurent se poser sur son épaule. Il glissa ses jambes autour de sa croupe et l'attira doucement vers lui. Elle se laissa aller en arrière et son dos s’appuya sur la poitrine mâle. La main de Laurent se mit à glisser sur ses seins nus puis à étendre l'huile solaire sur son ventre. Lentement sa main glissa toujours plus bas, jusqu'à ce que ses doigts se perdent dans les poils de son pubis. Clélia sentit sa bite raide contre ses fesses et s'y frotta. Elle lui dit tout bas :

- Ca te mets en forme de faire de l'intégral !

Laurent n'hésita plus, et un de ses doigts glissa dans la vulve entrebâillée et trouva le petit clitoris tout dur.

- Oh Laurent ! Qu'est ce que tu fais ? Oh c'est bon !... Attention ! Fabienne peut venir !

- Alors ouvres bien les cuisses ! Qu'elle voie bien ton con et mon doigt dedans si elle vient ! Ca lui plairait !

Clélia s'abandonna totalement et toute nue à la caresse de Laurent. Elle se laissa mener par lui jusqu'à l'orgasme qu'elle vécut sous ses mains. Puis elle bondit sur ses pieds, l'attira debout en regardant sa bite raide sur son ventre et l'embrassa légèrement sur les lèvres. Elle l'attira vers la porte du salon.

- Viens ! Ils ne reviennent toujours pas ! Allons voir ce qu'ils font !

Ils s'arrêtèrent interdits à la porte du salon. Ils me virent nu, la main courant doucement sur ma bite dressée, et devant moi Fabienne nue et debout près du divan, me montrait son cul et faisant entrer et sortir une banane de son anus.

Ils me virent approcher d'elle et retirer doucement la banane de son anus. Fabienne, les yeux fermés, ne bougeait pas. Ils me virent mouiller ma bite de salive et faillirent crier tous deux quand je lui rentrai ma bite dans l'anus ouvert. Fabienne se laissait faire. Nous avions tous deux les yeux fermés et nos deux expressions disaient tout le plaisir que nous avions ensemble.

Ils s'approchèrent de nous. Tout à coup Fabienne ouvrit les yeux et cria en voyant Laurent et Clélia nus en face d'elle nous regardant. J'eu peur qu'elle se retire, vis les deux sexes gonflés de Laurent et Clélia et lui dis:

- Nous leur plaisons Fabienne ! Regarde leurs sexes ! C'est ça l'amour ensemble ! … à plusieurs !

Je glissai une main sur son con et deux doigts dedans. Elle sursauta de plaisir puis s'abandonna à ma possession jusqu'à l'orgasme qu'elle vécut en regardant toujours les deux sexes devant elle.

Je sortis doucement du cul de Fabienne. Elle titubait un peu. Clélia approcha d’elle, l'attira contre elle et posa tendrement un baiser sur son bout de sein, puis l'enlaça.

- Tu es si jolie ! Surtout quand tu jouis comme ça avec Pat !

- Peut-être… Mais je t'ai trahie !

- Oh non ! Je connais Pat !... Vous étiez tous deux à l’intérieur... Je m’en doutais... Et puis moi aussi je t’ai trahie !

- Toi ?

- Oui ! Je me suis mise à poils avec ton Laurent. Il m'a caressée partout. Ses doigts sont venus dans... dans mon ventre et j'ai joui follement nue dans ses bras... Contre sa bite nue et dressée !...

- Alors tu n'es pas fâchée ?

- Oh non ! Tu es belle ! Comme tu vas encore faire jouir Pat !

- Mais...

- Chût ! Ne dis rien ! Tu as tellement envie de t'accoupler encore à lui !... Je resterai près de vous. Pendant que tu goûteras encore à la bite de Pat ton mari fouillera mon con avec la sienne ! On va changer de partenaire et coucher comme des fous ! Nous aussi on a envie !... Comme c'est bon d'embrasser tes seins et de caresser ton corps !... Ton joli corps promis à mon fiancé... tout nu contre le mien promis à ton mari ! Comme ils vont nous sauter toutes les deux !

- Tu es une vraie pute !

- Et ça te plaît drôlement hein ? Tu as encore envie de danser sur la bite de mon Pat hein ?

- Oui !... Et je veux regarder celle de Laurent dans ton con !

Clélia posa sa bouche goulue sur un de ses seins et se mit à sucer. Fabienne avait l'air au paradis. Elle tremblait et se laissait faire. Puis Clélia lécha son sein et lui demanda :

- As tu déjà embrassé une fille ?

Fabienne fit non de la tête. Très lentement leurs bouches allèrent l'une vers l'autre, leurs lèvres se caressèrent, leurs langues se léchèrent, puis leurs bouches s'accouplèrent.

Sidérés les hommes regardaient les corps nus de leurs femmes s'enlacer. Leur baiser durait. Elles se donnaient totalement l'une à l'autre. Leurs sexes, leurs seins, leurs ventres se caressaient mutuellement. Puis Fabienne s'écarta légèrement et dit à Clélia:

- Laisses moi voir entre tes cuisses. Je n'ai jamais vu d'autre fille que moi !

- Oh petite garce ! Le cul d'une fille t'intéresse ! OK mais moi je veux le tien !

Fabienne poussa Clélia à genoux sur le divan, la fit tomber en avant et se glissa vers son cul. Elle le caressa, puis glissa ses doigts dans le con et l’anus.

- Oh Clélia ! Qu'il est gros ton con !... Et juteux !

Ce spectacle me rendait fou de sensualité. Je me tournai vers Laurent et laissai traîner mon regard sur son corps nu, sur ses couilles, et sur son énorme bite dressée entre ses cuisses. Il tremblait légèrement. Il avait les yeux rivés aux filles et au cul de ma Clélia où courait la langue de sa femme. Il regarda longuement la langue de Fabienne plonger dans le con de Clélia, puis dans son anus.

Trois bonnes minutes plus tard elles étaient en 69 et Fabienne dévorait littéralement le con de son amie et plongeait un doigt loin dans son anus. A ses réactions il était clair que Clélia lui faisait de même.

Je tombai à genoux, ne tenant plus sur mes jambes. Je sentis Laurent se glisser à genoux derrière moi et se coller nu à mon corps. Je le laissai faire, sentant sa grosse queue rouler sur mes fesses. Elles nous rendaient fous de sensualité et nous donnaient à tous deux cette puissante soif de contact physique. Il posa ses mains sur mes hanches et m'embrassa dans le cou. Ses lèvres étaient chaudes. Ses mains glissèrent sur ma poitrine, puis sur mon ventre et prirent doucement possession de tout mon sexe dressé. Je le laissais faire. C'était bon ! Il me triturait le sexe dans tous les sens. Après un court baiser passionné dans mon cou il me glissa à l'oreille :

- Pardon Pat ! Elles me rendent dingue ! Je n'avais jamais touché un homme ! Mais c'est bon ton corps nu ! Toi aussi tu as une bite énorme ! Quand je pense que je l'ai vue plantée dans l'anus de ma femme ! Et regardes maintenant ma gouine de femme aimer la tienne ! Elles sont belles à deux comme ça ! Elles me rendent fou !

En l'écoutant, j'arquai mes fesses en arrière et les frottai contre sa bite.

- C’est vrai qu’elles sont belles ! Et j'aime sentir ta bite nue contre mes fesses ! Elle est grosse et chaude ! Comme elle va plonger et jouir dans les deux trous de ma petite fiancée !

Sa grosse queue dressée se mit aussi à se frotter dans le sillon de mes fesses.

- Pat! Ca me rend fou de voir nos femmes se gouiner ! J'ai envie de les prendre ! Et tes fesses nues qui se frottent à ma bite ! Je... Tires toi sinon je vais t'enculer toi !

Frottant plus que jamais mes fesses à sa bite je lui répondis :

- Salaud ! T'es vicieux ! Moi aussi ça me rend fou ! Caresses moi la bite ! J'aime ta bite chaude entre mes fesses ! Regarde nos putes comme elles jouissent à deux ! Pourquoi nous on ne pourrait pas jouir aussi comme on a envie ? Encules moi salaud ! J'attends ta bite dans mon cul... et jusqu'aux couilles ! Moi aussi je te désire et je veux faire l'amour avec toi ! Pousses toi en moi et viens juter dans mon cul ! Viens ! On va jouir à deux comme ces deux gouines !

Cinq secondes plus tard il avait mouillé mon anus et je sentais la grosse tête de sa bite chaude m'ouvrir l'anus. Je gémis de plaisir et en réponse il poussa. Elle glissa toute entière en moi. Il me masturbait en plus. Ah c'était bon d'être possédé par un beau mâle en rut ! Notre double gémissement de plaisir arrêta les filles. Elles regardèrent vers nous, se levèrent et approchèrent. Laurent, comme effaré, resta planté en moi. Il dit à sa femme :

- Chérie ! Je te jure ! C'est la première fois ! Je ne suis pas homo !

Fabienne se mit à genoux près de lui et lui caressa rapidement les fesses, Puis sa main glissa entre le ventre de son mari et mon cul. Elle malaxa doucement ses couilles, caressa le membre bien engagé, puis son doigt glissa sur mon anus distendu.

- Oh Laurent ! C'est bon que tu le fasses ! C'est beau vos deux corps mâles accouplés ! Dans mes phantasmes je rêvais depuis longtemps de te voir faire ça ! Jouis vraiment avec lui ! J'adore ça ! Et après je veux voir sa bite dans ton cul ! Je veux te voir faire la fille, le cul ouvert pour un homme vicieux ! Faites l'amour entre hommes et jouissez vraiment à vous deux ! Moi je regarde en faisant l'amour à une fille ! C'est merveilleux l'homosexualité ! On va bien en profiter tous les deux de faire l'amour homosexuel avec eux !

Il me prit pleinement. Ses mains coururent sur ma poitrine et mon ventre. Il se mit à caresser mes couilles et ma bite dressée tout en me défonçant le cul. Sa femme se pencha tout à coup, l'embrassa sur la bouche et lui dit:

- Mais Laurent ! Arrêtez ! Ne jouissez pas encore ! Prends Clélia et laisses Pat me prendre ! On est toutes les deux en chaleur comme des petites chiennes et vos deux bites sont énormes ! On va coucher comme des bêtes ! Vous coucherez encore entre hommes après... et nous entre femmes ! Mais maintenant on veut vos bites ! Et chacune veut le mâle de l'autre ! Viens Pat !

Je les regardai comme fou, avec l'énorme queue de Laurent en moi. Je serrai mon anus dessus et lui demandai :

- Laurent, tu ne seras pas jaloux ? Je vais baiser plus que jamais avec ta Fabienne !

- Tu crois peut-être que je le ferai moins avec ta Clélia ! Je rêve de la sauter et de gicler en elle !

Il s'arracha à moi et les deux mâles se dressèrent, la queue en l'air, chacun devant la femelle désirée. Chacune d'elles se colla à nous et enlaça ce nouveau mâle sous lequel elles rêvaient d’être.

Trente secondes plus tard les deux filles étaient sur le dos, côte à côte dans le divan et, les cuisses relevées, recevaient profondément en elles les bites puissantes et excitées. Le salon était plein de bruits, de ahanements, de feulements, de cris de chattes en chaleur et de mâles en rut. Les couples ainsi formés se regardaient faire l'un l'autre. Nos regards traînaient sur les corps voisins et leurs sexes accouplés. Il y avait en chacun de nous le plaisir de découvrir nos partenaires et celui de leur montrer notre accouplement.

Le plaisir nous submergea tous les quatre puis les queues dégonflèrent et glissèrent lentement hors des cons. Clélia proposa :

- Venez au lit ! On sera mieux !

Trente secondes plus tard nous étions nus à quatre dans le grand lit de Tantine. Clélia proposa :

- Si on faisait maintenant l'amour homosexuel tous les quatre ? Ce serait exquis et ça nous remettrait en forme !

Elle n'obtint pas de réponse mais Fabienne monta nue sur elle et Laurent sur moi. Les lèvres de ces deux couples se joignirent, montrant un bel accord dans le désir vicieux. Puis les deux couples glissèrent avec un bel ensemble en 69. Laurent et moi on se téta alors mutuellement la bite pendant plusieurs minutes.

Puis il me coucha sur le ventre et reprit possession de mon cul dans lequel il déversa tout son sperme. Nous n'étions que partiellement conscients des filles qui s'aimaient à côté de nous et qui, elles aussi, nous regardaient par moments.

Puis ce fut lui qui se coucha sur le ventre et qui m'ouvrit ses fesses vierges, tendant son cul en arrière vers ma bite tendue de désir. Je glissai entre ses jambes et lui fit une délicieuse feuille de rose, ma langue allant loin dans son anus ouvert. Puis je remontai sur lui et plongeai ma bite entre ses fesses jusqu'aux couilles. Il adora cela et je giclai longuement en lui.

Après un moment de repos à quatre les deux mâles remontèrent sur les filles, se les échangeant sans cesse. On couchait vraiment à quatre avec passion. On se passait les filles et elles se refilaient leurs mâles. Parfois on était distraits et on se trompait de sexe pour glisser à nouveau à quatre dans les expériences homosexuelles. Mais c'était sans problème car les deux cons et les quatre anus avaient été bien ouverts !

Ils nous quittèrent définitivement transformés, cherchant déjà avec quels couples ils pourraient coucher, et qui, parmi leurs amis, pouvait être réellement bisexuel pour les rejoindre tous deux au lit.

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