excedptionnelle maso
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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excedptionnelle maso
Exceptionnelle Maso
Mon attrait pour la soumission féminine est assez ancien, j’ai découvert très tôt que fesser, ou, fouetter une femme qui appréciait m’excitais et me faisais bander comme un âne. J’ai tenté d’y initier mon épouse qui a accepté dans un premier temps quelques fessées douces mais pour s’y refuser ensuite, de même pour la sodomie, que j’affectionne particulièrement, elle s’y est refusée assez vite.
Heureusement un divorce en 1995 fut le bienvenu et je retro1058934uvais toute ma liberté pour rechercher ces femmes qui comme moi appréciaient ces excitations rares. A cette époque internet et les sites actuels de BDSM n’étaient pas encore très actifs le 1058934minitel restait encore le plus sûr moyen de faire des rencontres appropriées.
J’avais à l’époque une très belle situation qui me faisait voyager dans tout le sud de la France et j’en profitais pour parcourir les annonces de toutes ces régions. J’ai pu profiter des charmes et des dispositions de certaines belles femmes soumises, sans toutefois trouver celle qui me ferais trembler d’excitation. Souvent elles étaient mariées, non disponibles, et recherchaient un moment plus ou moins fort sexuellement, mais surtout n’avaient pas ce côté salope masochiste que j’appelais de mes vœux. Il me fallait une femme qui recherchait ces plaisirs, qui les amplifiaient par leur acceptation de la souffrance corporelle afin d’en jouir.
L’histoire qui va suivre est réelle, j’ai rencontré cette femme par une petite annonce sur le site minitel « fist » en vogue à l’époque et consacré aux SM en général.
Pour la discrétion nécessaire les lieux prénoms et date ont été modifiés.
Son pseudo était « Odesoie » le mien Guepard,
Elle répondit à mon annonce qui disait clairement ce que je recherchais, une femme appréciant la soumission, tendances masochistes recherchées, formes appréciées peu de tabous pratiquant la sodomie.
Elle me disait apprécier ma recherche et désirait que l’on se rencontrent mais ne disait rien sur ses goûts et ses envies, je doutais de la sincérité de cette réponse, beaucoup d’hommes se faisant passer pour des femmes écumaient ce réseau et je lui demandais de se dévoiler davantage. Elle proposa tout de suite une conversation téléphonique, je lui demandais son numéro et 5 minutes plus tard nous pûmes nous parler. Elle avait une voix douce et mature à la fois, une femme calme et décidée.
- Bonjour Odesoie,
- bonjour Monsieur me répondit elle.
- Ravi de vous entendre, vous avez bien lu ma recherche ?
- Oh oui Monsieur
- Et qu’en pensez-vous ?
- Beaucoup de bien Monsieur, vous me faites mouiller en ce moment
- Intéressant, vous allez vous branler ?
- Si vous me parlez durement avec des mots très crus, surement Monsieur.
- Salope ?
- Je le suis mais c’est un mot trop faible pour me définir Monsieur.
- Quel programme, êtes-vous réels ou justes fantasmes ?
- Oh bien réelle Monsieur, votre annonce m’intéresse beaucoup et j’aimerais aller plus loin avec vous.
- Je crois que nous sommes assez proches géographiquement, êtes-vous libre à déjeuner ce midi ?
- Avec plaisir Monsieur.
Je demeurais sceptique sur la réalité de ce dialogue, j’espérais que ce serait bien réel et que je ne sois pas déçu ainsi que je l’ai parfois été.
Nous nous sommes donné rendez-vous dans un restaurant assez chic du centre-ville, j’arrivais le premier elle devait porter un manteau de cuir assez court, je l’attendais avec un exemplaire de figaro.
Elle fut à l’heure, je vis arriver une femme élégante, brune, élancée mais avec des formes visibles sous le manteau. Elle devait mesurer 1.65m mais avec les escarpins elle en faisait 8cms de plus, pas très belle mais avec beaucoup de charme et d’allure, le regard pétillant mais une tenue réservée que je pris tout de suite pour de la soumission.
Je l’accueilli avec un grand sourire et lui enlevait le manteau, j’admirais les formes plus que épanouies de mon invitée : deux énormes seins relevés par un soutien-gorge pigeonnant laissant les tétons libres bien visibles sous le chemisier, j’estimais la taille des bonnets à E ou F, elle devait me confirmer plus tard la taille E, mais ce qui attirait le regard c’étaient surtout les très gros tétons de couleur sombre ainsi que les aréoles bien dessinées.
- Mes seins vous plaisent Monsieur me dit-elle ?
- J’adore les fortes poitrines, la vôtre est superbe, et j’admire les tétons que vous exhibez avec tant de facilité…
J’osais une caresse sur l’un deux, elle se cabra immédiatement en offrant davantage encore ses mamelles à la caresse.
- Mon point faible Monsieur, triturez-les et je jouis comme une chienne.
Sa croupe, moulée dans une courte jupe, était en tout point conforme à mon désir de formes féminines,
Elle avait un cul à damner un saint et elle le savait la salope. Nous prîmes places à une table que j’avais choisie à l’écart afin d’être plus tranquilles.
Je lui dis que j’étais un peu surpris de la rapidité à cette rencontre, elle me précisa qu’elle me connaissait depuis quelques temps, qu’elle m’avait déjà écrit, via le site sous d’autres pseudo, et qu’elle avait exploré mes gouts SM de sodomie de sexe crade et zoophile…je me rappelais en effet ces conversations très chaudes que j’avais, à l’époque, pris pour des pervers masculins avides de sexe masturbatoires.
Elle me rappela mes gouts pour le travail hard des mamelles, la dilatation anale, mon gout Uro et scato et l’attrait pour voir une femme saillie par un chien oui autre…et qu’elle était très consentante pour concrétiser toutes ces conversations.
Je restais ébahi devant une telle femme, c’était une vraie salope au sens le plus crade du terme, elle maniait les mots crus et salaces avec une délectation bien visible et jouissais de mon regard pervers et vicieux sur ses mamelles qu’elle avait bien mis en évidence en s’asseyant et des propos qu’elle tenait comme le plus vulgaire des charretiers.
- Je vous fais bander cher Monsieur Guépard ? sachez que je mouille comme une truie en chaleur.
Pour toute réponse j’avançais la main vers ses mamelles, elle me les offrit en précisant que les tétons supportaient tout traitements et sévices. Ce que je fis avec plaisir, mes doigts saisirent le téton droit et je pressais fortement entre le pouce et l’index. Le sourire qu’elle afficha ne laissait aucun doute sur le plaisir qu’elle ressentait.
Le garçon qui nous servait profitait du spectacle, il avait remarqué les mamelles exposées et les tétons sombres visibles sous le chemisier, ainsi que quelques brides de conversation de cette belle et plantureuse femme qui exposait sans complexe ses énormes seins. Je lui fis remarquer elle en souriait et me demanda si elle devait en montrer davantage ?
- Pourquoi pas lui dis-je, elle me précisa qu’elle ne portait pas de culotte mais que les lèvres de sa chatte étaient assez longues et charnues,
- Exhibez-vous chère Odesoie lui dis-je, et elle releva sa jupe et se tourna d’un quart de tour sur son siège en écartant les cuisses. Le garçon s’en aperçu et devint rouge pivoine,
- Vous aimez jeune homme lui dit-elle ? en bafouillant il dit que oui bien sûr et disparu rapidement.
- Exhibitionniste en plus lui dis-je ... Aucuns tabous alors ?
- Non je n’ai aucun tabou et j’aime toutes les saloperies que je peux faire avec mon cul me répondit elle avec un regard salace à souhait.
- Il faudrait ne pas laisser ce jeune garçon dans cet état lui dis-je,
- Voulez-vous que j’aille aux toilettes pour sucer cette belle bite et soulager ce jeune garçon demanda-t-elle ?
Elle se leva alors et discrètement fit signe au garçon qui compris le message, lors du déplacement beaucoup de clients s’aperçurent de la plantureuse plastique de cette chienne et les regards sur son cul large et rebondi furent nombreux.
Au retour elle avait ouvert deux boutons supplémentaires de son corsage, ce qui laissaient ses gros nichons presque visibles, en s’asseyant elle souriait, se passant la langue sur les lèvres avec délectation.
- Il m’a fortement trituré les mamelles ce jeune loup, et lâché une forte quantité de foutre dans la bouche, un régal dit-elle.
- Si nous allions profiter de vos charmes chère salope ? il y a un hôtel juste à côté et j’aimerais vous faire gémir sous mes doigts,
- Pas seulement gémir Monsieur me dit-elle à l’oreille faites-moi gueuler comme la bonne salope maso que je suis Me dis elle en me glissant sa langue dans l’oreille, en lui remettant son manteau j’attardais mes mains sur son cul et pelotais ses fesses sans gêne, quelques clients s’en aperçurent et leur adressa un sourire significatif.
Odesoie fit sensation en se levant et remettant son manteau de cuir, ses formes exposées surtout les tétons turgescents bien visibles sous le chemisier attirèrent tous les regards des personnes présentes au restaurant, le garçon vint nous saluer avec un grand sourire plein de reconnaissance. Odesoie lui fit un geste de la main sur la joue en remerciement du plaisir qu’elle avait ressenti. Le patron du restaurant, qui avait bien remarqué la gâterie du garçon, vint nous saluer en nous disant de revenir lorsque nous le souhaiterions, nous serions toujours les bienvenus.
Finalement nous primes la voiture et décidâmes de nous rendre dans un hôtel en périphérie de la ville avec des chambres bungalows, l’hôtel avec une enseigne verte, en extérieur, plus discrètes et tranquilles.
En montant en voiture je remarquais les belles jambes de ma compagne ainsi que ses escarpins avec des sangles de maintien sur les chevilles et aussi les bas noirs fumés avec couture, je devinais le porte jarretelles sous la jupe. Une allure altière et fière d’une femme mature sure de son charme et indiquant avec aplomb son statut de femme soumise et salope.
J’étais très curieux d’en savoir plus sur cette splendide salope et nous échangeâmes dans la voiture qui nous menai à l’hôtel :
Je suis ravi de vous avoir rencontrée chère Odesoie, mais comment puis-je vous appeler ?
- Béatrice me répondit elle
- Appelez-moi jacques lui dis-je J’entrevois les moments les plus pervers que je puisse imaginer avec vous et ce que vous m’avez laissé entendre, quand je vois vos superbes nichons et votre cul si rebondi…un cul de pute non ?
- C’est ce que disait ma grand-mère justement, un cul à faire de l’or, me répondit elle en s’esclaffant, Je vous en dirai un peu plus sur ma famille plus tard, je pense que cela vous intéressera mais dites m’en un peu plus sur vous et vos gouts Monsieur guépard.
- Bien sûr, au fait pourquoi votre pseudo Odesoie ? je comprends « O » mais de soie ???
- Humm je crois que vous allez aimer… O bien sûr en souvenir de Pauline Réage et son roman que j’ai adoré, je suis cette femme O mais le O désigne aussi mon trou du cul, mon gout très fort pour l’enculage et la défonce que j’apprécie m’oblige à préciser qu’il est de soie c’est-à-dire très accessible et très doux à enfoncer !!
- Bravo quelle subtilité, je vous félicite pour cette trouvaille très vicieuse et démonstrative de vos gouts, est ce que beaucoup de vos partenaires ont découvert le sens de ce pseudo ?
- Non un seul si je me souviens bien, et il en a profité à fond, il avait une très grosse bite et j’en ai profité le plus possible.
- Vous aimez les grosses défonces ? je n’ai pas une bite monstrueuse mais un poignet qui peut faire l’affaire non ?
- Touchée !! je prends le poing dans le con et dans le cul. J’adore et en redemande, mais le fist au cul après l’enculage car il ne se referme plus très vite, et si vous voulez profiter de sa souplesse ne me défoncez pas tout de suite.
- Je saurais m’en souvenir, répondis-je
J’avais un peu de mal à garder une conduite sérieuse avec une si belle salope à côté de moi, l’envie de la peloter était forte, je lui demandais de montrer un peu plus ses seins, ce qu’elle fit avec plaisir elle se tourna vers moi et ouvrit son manteau et un bouton de plus à son chemisier et je pu admirer deux belles miches bien charnues et surtout les énormes tétons,
- Les chauffeurs routiers vont se régaler, me dit-elle, j’en ai l’habitude et je les régale avec beaucoup de plaisir.
Cependant nous arrivâmes à l’hôtel avant que cette exhibition puisse avoir lieu, en allant réserver la chambre et prendre la clef à la réception de ces hôtels qui affichent une petite maison verte sur leur façade, je demandais à Béatrice de prendre la valise noire qui était dans le coffre.
La chambre était banale mais utile pour ce que nous allions en faire. De suite je l’enlaçais et pétris ses superbes nichons et triturais ses gros tétons…elle se pencha en arrière pour mieux me les offrir, je la déshabillais avec ferveur et découvris un corps plantureux avec un serre taille de cuir très ajusté avec porte jarretelles et des bas fins galbant de très jolies cuisses, elle ne portait pas de culotte, de grosses et longues lèvres pendaient entre ses cuisses, la chatte était épilée et maculée de mouille qui coulait sur ses cuisses. Le chemisier enlevé je découvris ces énormes seins soutenus par un soutien-gorge pigeonnant noir laissant libre accès aux gros bouchons de champagne qui lui servait de tétons, je le lui enlevais et les mamelles tombèrent un peu, des seins lourds et charnus, portant quelques traces de cravache assez anciennes, je repris les tétons en les serrant très fort entre mon pouce et l’index. Je soulevais les deux seins par les bouts très violement.
- Ouiii encore plus fort, dit-elle j’adore. N’hésitez pas allez y serrez et tirez ces mamelles de grosse vache.
- Une grosse vache ? ça mérite une bonne raclée non ? lui dis-je en lui prenant les cheveux à pleine main et en assenant une très forte gifle, puis une autre sur l’autre joue encore plus violente.
Sa tête virevolta de gauche à droite, elle souriait et me fixa droit dans les yeux,
- C’est tout ce que vous pouvez faire ? me gifler et me triturer les mamelles ? allons Jacques un peu de poigne s’il vous plait.
C’est avec un grand plaisir que je la giflais à nouveau, la gueule et les mamelles, deux allers-retours violents, elle chancela et me souriait en se redressant, je crachais au visage en la fixant dans les yeux, je vis une lueur de joie et de plaisir de dessiner sur ses lèvres.
- Vous aimez être humiliée comme une grosse merde lui dis-je,
- Oui une grosse merde, maso et pute me répondit elle, ne me ménagez, pas soyez dur et insultant, je me souviens de vos talents à ce sujet lorsque nous avons échangés au minitel, souvenez-vous j’avais le pseudo « à avilir » et vous m‘avez fait jouir comme une truie.
En effet je me souvenais, je pensais que j’avais affaire à un homme soumis avide d’insultes. Si j’avais su la femme qui était à l’écran. Je la jetai sur le lit elle m’ouvrit ses cuisses et je pu me régaler de sa grosse chatte entièrement rasée et de ses deux longues et grosses lèvres. Je remarquais un clitoris proéminent mais surmonté d’une colonne de chair tendue comme un petit doigt qui se prolongeait vers le pubis, mais surtout des traces de cravache ou de fouet, de belles lignes droites rougies et un peu boursouflées
- Un vrai clito de chienne que vous avez là ...et quelle chatte vous avez reçu le fouet ce matin ?
- Non hier soir la cravache, c’est encore assez douloureux
- Et vous en voulez encore lui dis-je ?
- Je ne suis jamais rassasiée vous savez, mais il n’y a pas que mon con, regardez ce trou du cul me dit elle en m’ouvrant son cul à deux mains …
Notre séance SM pouvait commencer.
Mon attrait pour la soumission féminine est assez ancien, j’ai découvert très tôt que fesser, ou, fouetter une femme qui appréciait m’excitais et me faisais bander comme un âne. J’ai tenté d’y initier mon épouse qui a accepté dans un premier temps quelques fessées douces mais pour s’y refuser ensuite, de même pour la sodomie, que j’affectionne particulièrement, elle s’y est refusée assez vite.
Heureusement un divorce en 1995 fut le bienvenu et je retro1058934uvais toute ma liberté pour rechercher ces femmes qui comme moi appréciaient ces excitations rares. A cette époque internet et les sites actuels de BDSM n’étaient pas encore très actifs le 1058934minitel restait encore le plus sûr moyen de faire des rencontres appropriées.
J’avais à l’époque une très belle situation qui me faisait voyager dans tout le sud de la France et j’en profitais pour parcourir les annonces de toutes ces régions. J’ai pu profiter des charmes et des dispositions de certaines belles femmes soumises, sans toutefois trouver celle qui me ferais trembler d’excitation. Souvent elles étaient mariées, non disponibles, et recherchaient un moment plus ou moins fort sexuellement, mais surtout n’avaient pas ce côté salope masochiste que j’appelais de mes vœux. Il me fallait une femme qui recherchait ces plaisirs, qui les amplifiaient par leur acceptation de la souffrance corporelle afin d’en jouir.
L’histoire qui va suivre est réelle, j’ai rencontré cette femme par une petite annonce sur le site minitel « fist » en vogue à l’époque et consacré aux SM en général.
Pour la discrétion nécessaire les lieux prénoms et date ont été modifiés.
Son pseudo était « Odesoie » le mien Guepard,
Elle répondit à mon annonce qui disait clairement ce que je recherchais, une femme appréciant la soumission, tendances masochistes recherchées, formes appréciées peu de tabous pratiquant la sodomie.
Elle me disait apprécier ma recherche et désirait que l’on se rencontrent mais ne disait rien sur ses goûts et ses envies, je doutais de la sincérité de cette réponse, beaucoup d’hommes se faisant passer pour des femmes écumaient ce réseau et je lui demandais de se dévoiler davantage. Elle proposa tout de suite une conversation téléphonique, je lui demandais son numéro et 5 minutes plus tard nous pûmes nous parler. Elle avait une voix douce et mature à la fois, une femme calme et décidée.
- Bonjour Odesoie,
- bonjour Monsieur me répondit elle.
- Ravi de vous entendre, vous avez bien lu ma recherche ?
- Oh oui Monsieur
- Et qu’en pensez-vous ?
- Beaucoup de bien Monsieur, vous me faites mouiller en ce moment
- Intéressant, vous allez vous branler ?
- Si vous me parlez durement avec des mots très crus, surement Monsieur.
- Salope ?
- Je le suis mais c’est un mot trop faible pour me définir Monsieur.
- Quel programme, êtes-vous réels ou justes fantasmes ?
- Oh bien réelle Monsieur, votre annonce m’intéresse beaucoup et j’aimerais aller plus loin avec vous.
- Je crois que nous sommes assez proches géographiquement, êtes-vous libre à déjeuner ce midi ?
- Avec plaisir Monsieur.
Je demeurais sceptique sur la réalité de ce dialogue, j’espérais que ce serait bien réel et que je ne sois pas déçu ainsi que je l’ai parfois été.
Nous nous sommes donné rendez-vous dans un restaurant assez chic du centre-ville, j’arrivais le premier elle devait porter un manteau de cuir assez court, je l’attendais avec un exemplaire de figaro.
Elle fut à l’heure, je vis arriver une femme élégante, brune, élancée mais avec des formes visibles sous le manteau. Elle devait mesurer 1.65m mais avec les escarpins elle en faisait 8cms de plus, pas très belle mais avec beaucoup de charme et d’allure, le regard pétillant mais une tenue réservée que je pris tout de suite pour de la soumission.
Je l’accueilli avec un grand sourire et lui enlevait le manteau, j’admirais les formes plus que épanouies de mon invitée : deux énormes seins relevés par un soutien-gorge pigeonnant laissant les tétons libres bien visibles sous le chemisier, j’estimais la taille des bonnets à E ou F, elle devait me confirmer plus tard la taille E, mais ce qui attirait le regard c’étaient surtout les très gros tétons de couleur sombre ainsi que les aréoles bien dessinées.
- Mes seins vous plaisent Monsieur me dit-elle ?
- J’adore les fortes poitrines, la vôtre est superbe, et j’admire les tétons que vous exhibez avec tant de facilité…
J’osais une caresse sur l’un deux, elle se cabra immédiatement en offrant davantage encore ses mamelles à la caresse.
- Mon point faible Monsieur, triturez-les et je jouis comme une chienne.
Sa croupe, moulée dans une courte jupe, était en tout point conforme à mon désir de formes féminines,
Elle avait un cul à damner un saint et elle le savait la salope. Nous prîmes places à une table que j’avais choisie à l’écart afin d’être plus tranquilles.
Je lui dis que j’étais un peu surpris de la rapidité à cette rencontre, elle me précisa qu’elle me connaissait depuis quelques temps, qu’elle m’avait déjà écrit, via le site sous d’autres pseudo, et qu’elle avait exploré mes gouts SM de sodomie de sexe crade et zoophile…je me rappelais en effet ces conversations très chaudes que j’avais, à l’époque, pris pour des pervers masculins avides de sexe masturbatoires.
Elle me rappela mes gouts pour le travail hard des mamelles, la dilatation anale, mon gout Uro et scato et l’attrait pour voir une femme saillie par un chien oui autre…et qu’elle était très consentante pour concrétiser toutes ces conversations.
Je restais ébahi devant une telle femme, c’était une vraie salope au sens le plus crade du terme, elle maniait les mots crus et salaces avec une délectation bien visible et jouissais de mon regard pervers et vicieux sur ses mamelles qu’elle avait bien mis en évidence en s’asseyant et des propos qu’elle tenait comme le plus vulgaire des charretiers.
- Je vous fais bander cher Monsieur Guépard ? sachez que je mouille comme une truie en chaleur.
Pour toute réponse j’avançais la main vers ses mamelles, elle me les offrit en précisant que les tétons supportaient tout traitements et sévices. Ce que je fis avec plaisir, mes doigts saisirent le téton droit et je pressais fortement entre le pouce et l’index. Le sourire qu’elle afficha ne laissait aucun doute sur le plaisir qu’elle ressentait.
Le garçon qui nous servait profitait du spectacle, il avait remarqué les mamelles exposées et les tétons sombres visibles sous le chemisier, ainsi que quelques brides de conversation de cette belle et plantureuse femme qui exposait sans complexe ses énormes seins. Je lui fis remarquer elle en souriait et me demanda si elle devait en montrer davantage ?
- Pourquoi pas lui dis-je, elle me précisa qu’elle ne portait pas de culotte mais que les lèvres de sa chatte étaient assez longues et charnues,
- Exhibez-vous chère Odesoie lui dis-je, et elle releva sa jupe et se tourna d’un quart de tour sur son siège en écartant les cuisses. Le garçon s’en aperçu et devint rouge pivoine,
- Vous aimez jeune homme lui dit-elle ? en bafouillant il dit que oui bien sûr et disparu rapidement.
- Exhibitionniste en plus lui dis-je ... Aucuns tabous alors ?
- Non je n’ai aucun tabou et j’aime toutes les saloperies que je peux faire avec mon cul me répondit elle avec un regard salace à souhait.
- Il faudrait ne pas laisser ce jeune garçon dans cet état lui dis-je,
- Voulez-vous que j’aille aux toilettes pour sucer cette belle bite et soulager ce jeune garçon demanda-t-elle ?
Elle se leva alors et discrètement fit signe au garçon qui compris le message, lors du déplacement beaucoup de clients s’aperçurent de la plantureuse plastique de cette chienne et les regards sur son cul large et rebondi furent nombreux.
Au retour elle avait ouvert deux boutons supplémentaires de son corsage, ce qui laissaient ses gros nichons presque visibles, en s’asseyant elle souriait, se passant la langue sur les lèvres avec délectation.
- Il m’a fortement trituré les mamelles ce jeune loup, et lâché une forte quantité de foutre dans la bouche, un régal dit-elle.
- Si nous allions profiter de vos charmes chère salope ? il y a un hôtel juste à côté et j’aimerais vous faire gémir sous mes doigts,
- Pas seulement gémir Monsieur me dit-elle à l’oreille faites-moi gueuler comme la bonne salope maso que je suis Me dis elle en me glissant sa langue dans l’oreille, en lui remettant son manteau j’attardais mes mains sur son cul et pelotais ses fesses sans gêne, quelques clients s’en aperçurent et leur adressa un sourire significatif.
Odesoie fit sensation en se levant et remettant son manteau de cuir, ses formes exposées surtout les tétons turgescents bien visibles sous le chemisier attirèrent tous les regards des personnes présentes au restaurant, le garçon vint nous saluer avec un grand sourire plein de reconnaissance. Odesoie lui fit un geste de la main sur la joue en remerciement du plaisir qu’elle avait ressenti. Le patron du restaurant, qui avait bien remarqué la gâterie du garçon, vint nous saluer en nous disant de revenir lorsque nous le souhaiterions, nous serions toujours les bienvenus.
Finalement nous primes la voiture et décidâmes de nous rendre dans un hôtel en périphérie de la ville avec des chambres bungalows, l’hôtel avec une enseigne verte, en extérieur, plus discrètes et tranquilles.
En montant en voiture je remarquais les belles jambes de ma compagne ainsi que ses escarpins avec des sangles de maintien sur les chevilles et aussi les bas noirs fumés avec couture, je devinais le porte jarretelles sous la jupe. Une allure altière et fière d’une femme mature sure de son charme et indiquant avec aplomb son statut de femme soumise et salope.
J’étais très curieux d’en savoir plus sur cette splendide salope et nous échangeâmes dans la voiture qui nous menai à l’hôtel :
Je suis ravi de vous avoir rencontrée chère Odesoie, mais comment puis-je vous appeler ?
- Béatrice me répondit elle
- Appelez-moi jacques lui dis-je J’entrevois les moments les plus pervers que je puisse imaginer avec vous et ce que vous m’avez laissé entendre, quand je vois vos superbes nichons et votre cul si rebondi…un cul de pute non ?
- C’est ce que disait ma grand-mère justement, un cul à faire de l’or, me répondit elle en s’esclaffant, Je vous en dirai un peu plus sur ma famille plus tard, je pense que cela vous intéressera mais dites m’en un peu plus sur vous et vos gouts Monsieur guépard.
- Bien sûr, au fait pourquoi votre pseudo Odesoie ? je comprends « O » mais de soie ???
- Humm je crois que vous allez aimer… O bien sûr en souvenir de Pauline Réage et son roman que j’ai adoré, je suis cette femme O mais le O désigne aussi mon trou du cul, mon gout très fort pour l’enculage et la défonce que j’apprécie m’oblige à préciser qu’il est de soie c’est-à-dire très accessible et très doux à enfoncer !!
- Bravo quelle subtilité, je vous félicite pour cette trouvaille très vicieuse et démonstrative de vos gouts, est ce que beaucoup de vos partenaires ont découvert le sens de ce pseudo ?
- Non un seul si je me souviens bien, et il en a profité à fond, il avait une très grosse bite et j’en ai profité le plus possible.
- Vous aimez les grosses défonces ? je n’ai pas une bite monstrueuse mais un poignet qui peut faire l’affaire non ?
- Touchée !! je prends le poing dans le con et dans le cul. J’adore et en redemande, mais le fist au cul après l’enculage car il ne se referme plus très vite, et si vous voulez profiter de sa souplesse ne me défoncez pas tout de suite.
- Je saurais m’en souvenir, répondis-je
J’avais un peu de mal à garder une conduite sérieuse avec une si belle salope à côté de moi, l’envie de la peloter était forte, je lui demandais de montrer un peu plus ses seins, ce qu’elle fit avec plaisir elle se tourna vers moi et ouvrit son manteau et un bouton de plus à son chemisier et je pu admirer deux belles miches bien charnues et surtout les énormes tétons,
- Les chauffeurs routiers vont se régaler, me dit-elle, j’en ai l’habitude et je les régale avec beaucoup de plaisir.
Cependant nous arrivâmes à l’hôtel avant que cette exhibition puisse avoir lieu, en allant réserver la chambre et prendre la clef à la réception de ces hôtels qui affichent une petite maison verte sur leur façade, je demandais à Béatrice de prendre la valise noire qui était dans le coffre.
La chambre était banale mais utile pour ce que nous allions en faire. De suite je l’enlaçais et pétris ses superbes nichons et triturais ses gros tétons…elle se pencha en arrière pour mieux me les offrir, je la déshabillais avec ferveur et découvris un corps plantureux avec un serre taille de cuir très ajusté avec porte jarretelles et des bas fins galbant de très jolies cuisses, elle ne portait pas de culotte, de grosses et longues lèvres pendaient entre ses cuisses, la chatte était épilée et maculée de mouille qui coulait sur ses cuisses. Le chemisier enlevé je découvris ces énormes seins soutenus par un soutien-gorge pigeonnant noir laissant libre accès aux gros bouchons de champagne qui lui servait de tétons, je le lui enlevais et les mamelles tombèrent un peu, des seins lourds et charnus, portant quelques traces de cravache assez anciennes, je repris les tétons en les serrant très fort entre mon pouce et l’index. Je soulevais les deux seins par les bouts très violement.
- Ouiii encore plus fort, dit-elle j’adore. N’hésitez pas allez y serrez et tirez ces mamelles de grosse vache.
- Une grosse vache ? ça mérite une bonne raclée non ? lui dis-je en lui prenant les cheveux à pleine main et en assenant une très forte gifle, puis une autre sur l’autre joue encore plus violente.
Sa tête virevolta de gauche à droite, elle souriait et me fixa droit dans les yeux,
- C’est tout ce que vous pouvez faire ? me gifler et me triturer les mamelles ? allons Jacques un peu de poigne s’il vous plait.
C’est avec un grand plaisir que je la giflais à nouveau, la gueule et les mamelles, deux allers-retours violents, elle chancela et me souriait en se redressant, je crachais au visage en la fixant dans les yeux, je vis une lueur de joie et de plaisir de dessiner sur ses lèvres.
- Vous aimez être humiliée comme une grosse merde lui dis-je,
- Oui une grosse merde, maso et pute me répondit elle, ne me ménagez, pas soyez dur et insultant, je me souviens de vos talents à ce sujet lorsque nous avons échangés au minitel, souvenez-vous j’avais le pseudo « à avilir » et vous m‘avez fait jouir comme une truie.
En effet je me souvenais, je pensais que j’avais affaire à un homme soumis avide d’insultes. Si j’avais su la femme qui était à l’écran. Je la jetai sur le lit elle m’ouvrit ses cuisses et je pu me régaler de sa grosse chatte entièrement rasée et de ses deux longues et grosses lèvres. Je remarquais un clitoris proéminent mais surmonté d’une colonne de chair tendue comme un petit doigt qui se prolongeait vers le pubis, mais surtout des traces de cravache ou de fouet, de belles lignes droites rougies et un peu boursouflées
- Un vrai clito de chienne que vous avez là ...et quelle chatte vous avez reçu le fouet ce matin ?
- Non hier soir la cravache, c’est encore assez douloureux
- Et vous en voulez encore lui dis-je ?
- Je ne suis jamais rassasiée vous savez, mais il n’y a pas que mon con, regardez ce trou du cul me dit elle en m’ouvrant son cul à deux mains …
Notre séance SM pouvait commencer.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Génial !
Rudy.
Rudy.
Ce premier recit me met l'eau à la bouche, je vais de suite prendre connaissance des autres.
très belle histoire, j'attends la suite...