Excellent choix.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Excellent choix.
Depuis peu, je sors avec Sylvie. Une jeune fille de mon âge. Elle et moi nous nous livrons à des jeux vicieux. Mais, je ne cherche aucunement de la baiser. Peur de me faire piéger comme l’a été mon frère, quelques années plus tôt. Et après tout, elle me fait très bien jouir avec sa bouche et ses mains. Et pour la baise j’ai Odile. Je pense que je n’ai pas à vous la présenter, à vous lecteurs !
D’ailleurs je me prépare à lui rendre une visite que je sais sexuelle, avant que je tombe en descendant les marches nez à nez avec la voisine du bas de chez moi, au nom de Brigitte. Femme mariée et mère de deux enfants, qui depuis des mois vide mes couilles.
-Tiens tu tombes bien toi ! Me lâche-t-elle.
Brigitte, c’est une vieille histoire. Elle date de l’époque où j’ai eu une envie folle de femme mariée. Je sortais depuis peu d’une relation sexuelle d’un mois avec ma tante Christiane. Elle m’a tout bonnement dépucelé, la sœur de ma mère. Et je gardais de cette relation un super souvenir. Ce qui m’a conduit de retour au quartier à la chasse d’une femme mature.
Ce n’est pas mon physique qui pose problème. 1,80m pour 64kg, un visage au trait fin qui me vaut des demoiselles à tout va, mais ce qui pêche chez moi, c’est sans doute ma grosse consommation de cul.
Surtout que ma dernière approche n’a pas été des plus fructueuses. C’était, je me rappelle comme si c’était hier, un dimanche après-midi, toute la famille a déserté les lieux pour se rendre chez une cousine pour le café, tous sans exception, à part ma belle-sœur, la femme de mon frère, qui souffrante, dormait dans ma chambre.
Je me suis alors dévoué pour la garder. Ce qui a réconforté mon frère, heureux de fuir le lieu, mais aussi sa femme.
Je profite d’être seul pour me rendre dans ma chambre. Ma belle-sœur se tient endormie. Elle respire doucement. La vision de sa forte poitrine, sans défense, m‘obnubile. Au point de m’approcher au plus près d’elle, et ainsi de profiter de l’occasion qui m’est donné. Je remarque très vite que dans son sommeil, elle a négligé de mettre de la décence dans sa tenue.
A en voir sa jupe retroussée. Mais qu’à cause du drap, je ne peux me rincer l’œil. Alors je prends le risque de l’écarter. Et cela pour le plus grand bonheur de mes yeux. Un beau tableau s’offre alors à moi. Celui de sa motte tapissée d’une grande quantité de poils. Cela m’excite au plus haut point. Ne pouvant me contenir, du doigt, j’effleure la toison. Ma belle-sœur soupire. Je me risque à promener une main sur son ventre puis à l’intérieur de ses cuisses. Comme elle semble apprécier, ou du moins, ne se dérobe pas, je prends l’initiative d’enfoncé mon index entre les lèvres de son sexe.
Elle pousse un râle. Je prends cela pour un encouragement et m’enhardis à poursuivre. Qui sait, elle veut peut-être me voir plus audacieux, va savoir ?
Peut-être même allait-elle jouir dans son sommeil ? Je glisse alors une phalange dans son vagin duveteux, tout en effleurant avec mon pouce la capuche saillante de son clitoris. Ses soupirs et les ondulations de ses hanches montrent à l’évidence, qu’elle apprécie mes caresses. J’enfonce mon index le plus loin possible.
Ma belle-sœur tremble en respirant plus vite. Je pense, par habitude qu’elle est proche de jouir. Mais la voilà qui s’étire, se réveille, et me murmure, en me fixant :
-Que…mais…qu’est-ce que tu fais ?
Pour toute réponse, je retire mon doigt entre ses lèvres intimes, mais c’est trop tard, le mal est fait.
-Qu’est-ce qui te prend ? Ça ne va pas, tas de merde. Tu mériterais que je le dise à tout le monde, ce soir à table.
-Non pas ça… Je t’en supplie…Je ne recommencerais pas, promis !
-Aller dégage de là ! Tache, oui, de ne plus recommencer. C’est compris ? File avant que je change d’avis…
Je n’ai pas besoin de vous dire que j’ai évité le regard de ma belle-sœur le soir même, voire pendant pas mal de semaines. Le temps a fait son travail, et tout est redevenu dans l’ordre.
Mais cela ne m’a pas démoralisé plus que ça. Mon entêtement de conclure avec une femme mariée est resté même d’actualité les jours suivants.
Jusqu’au jour, alors que je me rends, et pas de gaieté de cœur au lycée, j’ai l’agréable surprise de rencontrer la voisine du bas. Brigitte, la fameuse mère de deux filles mariée à un routier, mais aussi très portée sur le cul.
Je lui connais des relations avec le cantonnier du quartier, avec aussi le gardien de l’immeuble. Une chaudasse cette Brigitte ! La voilà qu’elle est en train de se déchausser devant la porte grande ouverte de son appartement, avant d’entrée. Les bottes souillées de poudreuse. Le quartier est enseveli depuis quelques jours, sous une belle couche de neige.
-Bonjour Madame ! Fais-je, en diminuant la vitesse de ma descente, m’arrêtant même à sa hauteur, ne me gênant pas à m’attarder sur ses pieds gainés de nylon blanc, dont je devine les essences qui doivent dégager.
-Salut jeune homme ! Me répond-t-elle. Tu as cours ? Ajoute-t-elle. -Bof…oui !
-Je sens que tu es loin d’être inspiré d’aller te rendre au lycée. Je me trompe, jeune homme ?
-Eh oui…
-Surtout que dehors, il fait frisquet. Tu serais mieux au chaud dans ta chambre en train d’écouter tes disques ? Pas vrai ?
-Je ne vous le fais pas dire !
-Moi aussi, mais devant ma télé. J’ai les pieds congelés d’avoir attendu une pige devant la grille de l’école.
-Vous désirez peut-être que je vous les masse pour vous les réchauffer.
-Rien que ça ! En voilà des manières. C’est bien tentant, mais je ne suis pas ta copine Muriel.
Pour info, c’est la fille de la voisine du haut, dont je ne me lasse pas de tripoter son corps bien en chair, sans modération. Et la coquine, sans me le dire ouvertement, ne s’en est jamais plainte. Et au dire de Brigitte, je constate que j’ai manqué de discrétion.
-Tu veux, ajoute-t-elle, que j’aille demander l’autorisation à ta mère, pour ce que tu viens de me proposer ?
-Si cela peu vous faire plaisir. Mais de vous à moi, je ne vois rien de mal dans ma proposition. C’était juste un service. D’ailleurs, il m’arrive d’en faire autant à maman quand elle revient de dehors, et qu’elle a les pieds froids.
-Bon…bon, disons que je suis d’accord, tu en fais quoi de tes cours ?
-Oh, vous savez, vu l’état des routes, je pense sans mal que les profs ne seront pas présents aux cours !
-Toujours une excuse, et résultats, on échoue aux examens. Et je sais de quoi je parle. J’ai faits l’amère expérience. L’école buissonnière !
-C’est pas pour un après-midi de cour en moins que je serais plus intelligent !
-Et imagine que cela se sache ?
-Oh, vous savez, je connais parfaitement le chef de classe. C’est un copain à moi.
-Je ne te parle pas de ça, mais si on te voyait sortir de chez moi.
-Je dirais que je vous ai remonté un vêtement tombé de votre balcon.
-Tu connais beaucoup de monde qui tend son linge sur un fil en
hiver ?
-Enfin une épingle !
-Tu as vraiment répondu à tout à ce que je vois. Aller entre, j’ai trop les pieds en souffrance. Je te préviens, bouche cousue.
-Promis madame.
Après m’avoir demandé de me déchausser, elle me guide jusqu’à son salon. Le même que chez moi, un étage plus bas. Elle s’assoit sur le divan et me tend son pied droit.
-Aller au boulot, jeune homme. Montre-moi de quoi tu es capable ! Dans la vie il ne suffit pas de promettre !
Je prends son pied gainé de nylon blanc entre mes mains et commence à le masser délicatement. Mes doigts s’insinuent entre les orteils de son pied, parcourent la cambrure du coup de pied sans jamais m’aventurer au-delà du mollet. Elle reste muette et s’abandonne mollement à ce nouveau jeu. Pris d’une inspiration soudaine, pas réfléchie du tout, je me penche en avant, pour poser mes lèvres sur le bout de ses orteils.
-Tu fais aussi ça à ta mère ?
-Bien sûr… fais-je. Ainsi que ça.
Et là je fis voyager ma langue sur le pied arqué.
-C’est ça… oui, tu vas me faire croire ça ! Répond-t-elle en respirant profondément, les yeux entrouverts tandis que mes doigts participent au ballet de caresse.
-Bon…bon ! Fait-elle en essayant de me reprendre son pied. Je pense qu’en va s’arrêter là !
-Non…non Madame, je vous en supplie !
-Si c’est ton souhait, allons-y !
Et la voilà, pour mon plus grand plaisir, elle se laisse tripoter les pieds. Une bonne demi-heure avant de m’inviter à prendre la porte.
Pas plus tard que le lendemain, elle me convie de nouveau à passer le pas de sa porte d’entrée. Je me suis, dans un premier temps, contenté de regarder avec envie ses pieds gainés cette après-midi là, encore de nylon blanc. Je reconnais qu’elle les entretienne bien ses petons.
Laquant ses ongles de vernis rouge. Ma queue se trouve de plus en plus comprimée dans mon slip. Heureusement mon pantalon couvre les preuves de mon excitation.
-Qu’est-ce que tu attends, pour te mettre au travail ?
-J’aimerais vous demander quelque chose… avant !
-Je t’écoute !
-Je ne sais pas si je dois…
-Je pense, jeune homme, que jusqu’alors tu t’es permis de tout… alors plus ou moins !
-J’aimerais humer vos pieds.
-Et pourquoi faire ça ?
-J’aime ça…
-T'aimes sentir l’odeur des pieds. En voilà une drôle de chose.
-C’est comme ça, je ne peux me l’expliquer !
-Et ceux de ta mère, tu les humes eux aussi ?
-Je n’ai pas honte de dire oui. Alors ? Vous me le permettez ?
-Si cela est ton souhait ! Me lâche-t-elle en m’offrant ses pieds. Tu ne vas pas être déçu, il sent plus fort encore qu'hier.
Je me saisis d’un pied moite qu'elle arche au maximum. Encouragé par son aval je le colle sur mon visage. J’inspire ses effluves le plus fort possible. À m’en faire péter les poumons. Elle force le passage de ma bouche pour y glisser ses orteils.
-Je sais que tu aimes ça ! Me fait-elle justifiant ainsi son geste.
Pour toute réponse, je les suçote délicatement, puis je me mets à lui lécher la plante. Râpée par le nylon et salée par la sueur.
-J’avoue que tu te débrouilles plutôt bien. Je dois le reconnaitre. Tu ne peux pas savoir dans quel état tu me mets avec tes caresses ! Je pense que ça doit aussi le cas pour ta mère !
J’ai fais celui qui n’a rien entendue.
Le surlendemain, le jeudi donc, je l’attends devant sa porte d’entrée qu’elle revienne d’avoir accompagné ses enfants à l’école. Une fois confortablement installé, Brigitte passe sa cheville gauche sous sa cuisse droite, dévoilant la semelle et le talon usé de sa mule, à quelques petits centimètres seulement de mon visage. Cette vision me procure une certaine excitation.
Elle entame des mouvements de pendule avec sa cheville. La mule danse maintenant, juste sous mes yeux. J’ai toutes les peines du monde à me concentrer, surtout à contenir l’érection qui se profile dans mon slip. Ses mouvements de pieds vont au rythme de ses paroles, tantôt lents, tantôt plus rapides. Au fur et à mesure, son pied s’échappe de la chaussure, au niveau du talon.
Je suis comme magnétisé par ces mouvements pendulaires. Un parfum délectable, assez corsé, mélange de vieux cuir et de transpiration, atteint mes narines. J’ai de plus en plus de mal à déglutir.
Un mouvement un peu plus brusque de sa cheville déchausse presque son pied. La mule se retrouve encore retenue que par son gros orteil. Les effluves qui s’en dégagent sont maintenant bien nets. Je me délecte de ce qui se trouve sous mon regard. Je respire à pleins poumons la délicieuse odeur. J’essaie de ne pas perdre une miette de ce spectacle visuel et olfactif, offert par la voisine. Aimanté, sentant mon cœur battre la chamade, le sexe maintenant bien dur, j’avance mon visage, la bouche bien ouverte. Elle enfourne promptement trois de ses orteils dans ma bouche. J’en profite pour la caresser à l’aide de ma langue. Le goût salé de ses orteils est un régal.
Je suis dans un état comateux, complètement sous l’ensorcèlement de cette situation insolite. D’un coup de pied dans l’air, elle déchausse sa seconde mule et la laisse choir au sol.
Je peux donc me délecter de la vision de ses magnifiques plantes, et compenser l’assaisonnement défaillant par ses effluves divins. Je ne sais pourquoi la voilà qui écarte par inadvertance ou non un peu ses jambes. M’offrant ainsi son entre-jambes. Je constate que la voisine a omis de se passer une culotte sous son collant.
-Petit effronté… me fait-elle, je vois que tu n’as pas les yeux dans la poche…
Je m’entends lui dire :
-J’aime tout ce qui est beau…
-Eh bien merci ! C’est le premier sexe que tu découvres ?
-Je ne dirais pas ça…
-Ça te dirait…de…enfin !
Là, elle enroule ses jambes autour de mon cou, me plaquant le visage contre sa fourche. Son cul ne touche plus le coussin du divan. Elle se maintient de tout son poids sur ma tête. La pression sur mon visage est telle que je ne peux quasi plus souffler.
Mais cela ne peut m’empêcher de contempler son buisson, aplati par la pression du nylon. L’odeur qui en émane est très forte, un peu acre, mélange d’urine et de transpiration, voire autre chose. Vue la situation, je n’hésite pas à me rapprocher pour embrasser goulûment cette friandise sous mes mailles, d’abord sur les côtés, dans les plis des cuisses, puis sur les lèvres.
-Eh bien, me fait-elle. Si je m’attendais à ça de ta part.
-Ce n’est pas pour vous déplaire ?
-Où vas-tu chercher cela… Mais pour l’instant continue, oui !
Je donne alors des petits coups de langue contre son clitoris sous le nylon, embrasse de nouveau ses lèvres. En quelque sorte, je mets toute mon expérience pour lui donner du plaisir. Et elle ne met pas longtemps à atteindre l’orgasme.
Sitôt la virée jouissive passée, elle me demande :
-Ce n’est pas avec Muriel que tu as appris ça ? Non ?
-Non, pas exactement…
-Avec sa mère alors ?
-Pourquoi vous dites cela ?
-Je trouve que tu passes pas mal de temps avec elle.
-C’est que je l’aide au potager…
-Oui…oui, je vais te croire. Surtout après ce que tu viens de me faire. Demain je peux compter sur toi.
-Pourquoi faire ?
-Et bien t’occuper de mon potager !
Et elle se met à rire.
D’ailleurs je me prépare à lui rendre une visite que je sais sexuelle, avant que je tombe en descendant les marches nez à nez avec la voisine du bas de chez moi, au nom de Brigitte. Femme mariée et mère de deux enfants, qui depuis des mois vide mes couilles.
-Tiens tu tombes bien toi ! Me lâche-t-elle.
Brigitte, c’est une vieille histoire. Elle date de l’époque où j’ai eu une envie folle de femme mariée. Je sortais depuis peu d’une relation sexuelle d’un mois avec ma tante Christiane. Elle m’a tout bonnement dépucelé, la sœur de ma mère. Et je gardais de cette relation un super souvenir. Ce qui m’a conduit de retour au quartier à la chasse d’une femme mature.
Ce n’est pas mon physique qui pose problème. 1,80m pour 64kg, un visage au trait fin qui me vaut des demoiselles à tout va, mais ce qui pêche chez moi, c’est sans doute ma grosse consommation de cul.
Surtout que ma dernière approche n’a pas été des plus fructueuses. C’était, je me rappelle comme si c’était hier, un dimanche après-midi, toute la famille a déserté les lieux pour se rendre chez une cousine pour le café, tous sans exception, à part ma belle-sœur, la femme de mon frère, qui souffrante, dormait dans ma chambre.
Je me suis alors dévoué pour la garder. Ce qui a réconforté mon frère, heureux de fuir le lieu, mais aussi sa femme.
Je profite d’être seul pour me rendre dans ma chambre. Ma belle-sœur se tient endormie. Elle respire doucement. La vision de sa forte poitrine, sans défense, m‘obnubile. Au point de m’approcher au plus près d’elle, et ainsi de profiter de l’occasion qui m’est donné. Je remarque très vite que dans son sommeil, elle a négligé de mettre de la décence dans sa tenue.
A en voir sa jupe retroussée. Mais qu’à cause du drap, je ne peux me rincer l’œil. Alors je prends le risque de l’écarter. Et cela pour le plus grand bonheur de mes yeux. Un beau tableau s’offre alors à moi. Celui de sa motte tapissée d’une grande quantité de poils. Cela m’excite au plus haut point. Ne pouvant me contenir, du doigt, j’effleure la toison. Ma belle-sœur soupire. Je me risque à promener une main sur son ventre puis à l’intérieur de ses cuisses. Comme elle semble apprécier, ou du moins, ne se dérobe pas, je prends l’initiative d’enfoncé mon index entre les lèvres de son sexe.
Elle pousse un râle. Je prends cela pour un encouragement et m’enhardis à poursuivre. Qui sait, elle veut peut-être me voir plus audacieux, va savoir ?
Peut-être même allait-elle jouir dans son sommeil ? Je glisse alors une phalange dans son vagin duveteux, tout en effleurant avec mon pouce la capuche saillante de son clitoris. Ses soupirs et les ondulations de ses hanches montrent à l’évidence, qu’elle apprécie mes caresses. J’enfonce mon index le plus loin possible.
Ma belle-sœur tremble en respirant plus vite. Je pense, par habitude qu’elle est proche de jouir. Mais la voilà qui s’étire, se réveille, et me murmure, en me fixant :
-Que…mais…qu’est-ce que tu fais ?
Pour toute réponse, je retire mon doigt entre ses lèvres intimes, mais c’est trop tard, le mal est fait.
-Qu’est-ce qui te prend ? Ça ne va pas, tas de merde. Tu mériterais que je le dise à tout le monde, ce soir à table.
-Non pas ça… Je t’en supplie…Je ne recommencerais pas, promis !
-Aller dégage de là ! Tache, oui, de ne plus recommencer. C’est compris ? File avant que je change d’avis…
Je n’ai pas besoin de vous dire que j’ai évité le regard de ma belle-sœur le soir même, voire pendant pas mal de semaines. Le temps a fait son travail, et tout est redevenu dans l’ordre.
Mais cela ne m’a pas démoralisé plus que ça. Mon entêtement de conclure avec une femme mariée est resté même d’actualité les jours suivants.
Jusqu’au jour, alors que je me rends, et pas de gaieté de cœur au lycée, j’ai l’agréable surprise de rencontrer la voisine du bas. Brigitte, la fameuse mère de deux filles mariée à un routier, mais aussi très portée sur le cul.
Je lui connais des relations avec le cantonnier du quartier, avec aussi le gardien de l’immeuble. Une chaudasse cette Brigitte ! La voilà qu’elle est en train de se déchausser devant la porte grande ouverte de son appartement, avant d’entrée. Les bottes souillées de poudreuse. Le quartier est enseveli depuis quelques jours, sous une belle couche de neige.
-Bonjour Madame ! Fais-je, en diminuant la vitesse de ma descente, m’arrêtant même à sa hauteur, ne me gênant pas à m’attarder sur ses pieds gainés de nylon blanc, dont je devine les essences qui doivent dégager.
-Salut jeune homme ! Me répond-t-elle. Tu as cours ? Ajoute-t-elle. -Bof…oui !
-Je sens que tu es loin d’être inspiré d’aller te rendre au lycée. Je me trompe, jeune homme ?
-Eh oui…
-Surtout que dehors, il fait frisquet. Tu serais mieux au chaud dans ta chambre en train d’écouter tes disques ? Pas vrai ?
-Je ne vous le fais pas dire !
-Moi aussi, mais devant ma télé. J’ai les pieds congelés d’avoir attendu une pige devant la grille de l’école.
-Vous désirez peut-être que je vous les masse pour vous les réchauffer.
-Rien que ça ! En voilà des manières. C’est bien tentant, mais je ne suis pas ta copine Muriel.
Pour info, c’est la fille de la voisine du haut, dont je ne me lasse pas de tripoter son corps bien en chair, sans modération. Et la coquine, sans me le dire ouvertement, ne s’en est jamais plainte. Et au dire de Brigitte, je constate que j’ai manqué de discrétion.
-Tu veux, ajoute-t-elle, que j’aille demander l’autorisation à ta mère, pour ce que tu viens de me proposer ?
-Si cela peu vous faire plaisir. Mais de vous à moi, je ne vois rien de mal dans ma proposition. C’était juste un service. D’ailleurs, il m’arrive d’en faire autant à maman quand elle revient de dehors, et qu’elle a les pieds froids.
-Bon…bon, disons que je suis d’accord, tu en fais quoi de tes cours ?
-Oh, vous savez, vu l’état des routes, je pense sans mal que les profs ne seront pas présents aux cours !
-Toujours une excuse, et résultats, on échoue aux examens. Et je sais de quoi je parle. J’ai faits l’amère expérience. L’école buissonnière !
-C’est pas pour un après-midi de cour en moins que je serais plus intelligent !
-Et imagine que cela se sache ?
-Oh, vous savez, je connais parfaitement le chef de classe. C’est un copain à moi.
-Je ne te parle pas de ça, mais si on te voyait sortir de chez moi.
-Je dirais que je vous ai remonté un vêtement tombé de votre balcon.
-Tu connais beaucoup de monde qui tend son linge sur un fil en
hiver ?
-Enfin une épingle !
-Tu as vraiment répondu à tout à ce que je vois. Aller entre, j’ai trop les pieds en souffrance. Je te préviens, bouche cousue.
-Promis madame.
Après m’avoir demandé de me déchausser, elle me guide jusqu’à son salon. Le même que chez moi, un étage plus bas. Elle s’assoit sur le divan et me tend son pied droit.
-Aller au boulot, jeune homme. Montre-moi de quoi tu es capable ! Dans la vie il ne suffit pas de promettre !
Je prends son pied gainé de nylon blanc entre mes mains et commence à le masser délicatement. Mes doigts s’insinuent entre les orteils de son pied, parcourent la cambrure du coup de pied sans jamais m’aventurer au-delà du mollet. Elle reste muette et s’abandonne mollement à ce nouveau jeu. Pris d’une inspiration soudaine, pas réfléchie du tout, je me penche en avant, pour poser mes lèvres sur le bout de ses orteils.
-Tu fais aussi ça à ta mère ?
-Bien sûr… fais-je. Ainsi que ça.
Et là je fis voyager ma langue sur le pied arqué.
-C’est ça… oui, tu vas me faire croire ça ! Répond-t-elle en respirant profondément, les yeux entrouverts tandis que mes doigts participent au ballet de caresse.
-Bon…bon ! Fait-elle en essayant de me reprendre son pied. Je pense qu’en va s’arrêter là !
-Non…non Madame, je vous en supplie !
-Si c’est ton souhait, allons-y !
Et la voilà, pour mon plus grand plaisir, elle se laisse tripoter les pieds. Une bonne demi-heure avant de m’inviter à prendre la porte.
Pas plus tard que le lendemain, elle me convie de nouveau à passer le pas de sa porte d’entrée. Je me suis, dans un premier temps, contenté de regarder avec envie ses pieds gainés cette après-midi là, encore de nylon blanc. Je reconnais qu’elle les entretienne bien ses petons.
Laquant ses ongles de vernis rouge. Ma queue se trouve de plus en plus comprimée dans mon slip. Heureusement mon pantalon couvre les preuves de mon excitation.
-Qu’est-ce que tu attends, pour te mettre au travail ?
-J’aimerais vous demander quelque chose… avant !
-Je t’écoute !
-Je ne sais pas si je dois…
-Je pense, jeune homme, que jusqu’alors tu t’es permis de tout… alors plus ou moins !
-J’aimerais humer vos pieds.
-Et pourquoi faire ça ?
-J’aime ça…
-T'aimes sentir l’odeur des pieds. En voilà une drôle de chose.
-C’est comme ça, je ne peux me l’expliquer !
-Et ceux de ta mère, tu les humes eux aussi ?
-Je n’ai pas honte de dire oui. Alors ? Vous me le permettez ?
-Si cela est ton souhait ! Me lâche-t-elle en m’offrant ses pieds. Tu ne vas pas être déçu, il sent plus fort encore qu'hier.
Je me saisis d’un pied moite qu'elle arche au maximum. Encouragé par son aval je le colle sur mon visage. J’inspire ses effluves le plus fort possible. À m’en faire péter les poumons. Elle force le passage de ma bouche pour y glisser ses orteils.
-Je sais que tu aimes ça ! Me fait-elle justifiant ainsi son geste.
Pour toute réponse, je les suçote délicatement, puis je me mets à lui lécher la plante. Râpée par le nylon et salée par la sueur.
-J’avoue que tu te débrouilles plutôt bien. Je dois le reconnaitre. Tu ne peux pas savoir dans quel état tu me mets avec tes caresses ! Je pense que ça doit aussi le cas pour ta mère !
J’ai fais celui qui n’a rien entendue.
Le surlendemain, le jeudi donc, je l’attends devant sa porte d’entrée qu’elle revienne d’avoir accompagné ses enfants à l’école. Une fois confortablement installé, Brigitte passe sa cheville gauche sous sa cuisse droite, dévoilant la semelle et le talon usé de sa mule, à quelques petits centimètres seulement de mon visage. Cette vision me procure une certaine excitation.
Elle entame des mouvements de pendule avec sa cheville. La mule danse maintenant, juste sous mes yeux. J’ai toutes les peines du monde à me concentrer, surtout à contenir l’érection qui se profile dans mon slip. Ses mouvements de pieds vont au rythme de ses paroles, tantôt lents, tantôt plus rapides. Au fur et à mesure, son pied s’échappe de la chaussure, au niveau du talon.
Je suis comme magnétisé par ces mouvements pendulaires. Un parfum délectable, assez corsé, mélange de vieux cuir et de transpiration, atteint mes narines. J’ai de plus en plus de mal à déglutir.
Un mouvement un peu plus brusque de sa cheville déchausse presque son pied. La mule se retrouve encore retenue que par son gros orteil. Les effluves qui s’en dégagent sont maintenant bien nets. Je me délecte de ce qui se trouve sous mon regard. Je respire à pleins poumons la délicieuse odeur. J’essaie de ne pas perdre une miette de ce spectacle visuel et olfactif, offert par la voisine. Aimanté, sentant mon cœur battre la chamade, le sexe maintenant bien dur, j’avance mon visage, la bouche bien ouverte. Elle enfourne promptement trois de ses orteils dans ma bouche. J’en profite pour la caresser à l’aide de ma langue. Le goût salé de ses orteils est un régal.
Je suis dans un état comateux, complètement sous l’ensorcèlement de cette situation insolite. D’un coup de pied dans l’air, elle déchausse sa seconde mule et la laisse choir au sol.
Je peux donc me délecter de la vision de ses magnifiques plantes, et compenser l’assaisonnement défaillant par ses effluves divins. Je ne sais pourquoi la voilà qui écarte par inadvertance ou non un peu ses jambes. M’offrant ainsi son entre-jambes. Je constate que la voisine a omis de se passer une culotte sous son collant.
-Petit effronté… me fait-elle, je vois que tu n’as pas les yeux dans la poche…
Je m’entends lui dire :
-J’aime tout ce qui est beau…
-Eh bien merci ! C’est le premier sexe que tu découvres ?
-Je ne dirais pas ça…
-Ça te dirait…de…enfin !
Là, elle enroule ses jambes autour de mon cou, me plaquant le visage contre sa fourche. Son cul ne touche plus le coussin du divan. Elle se maintient de tout son poids sur ma tête. La pression sur mon visage est telle que je ne peux quasi plus souffler.
Mais cela ne peut m’empêcher de contempler son buisson, aplati par la pression du nylon. L’odeur qui en émane est très forte, un peu acre, mélange d’urine et de transpiration, voire autre chose. Vue la situation, je n’hésite pas à me rapprocher pour embrasser goulûment cette friandise sous mes mailles, d’abord sur les côtés, dans les plis des cuisses, puis sur les lèvres.
-Eh bien, me fait-elle. Si je m’attendais à ça de ta part.
-Ce n’est pas pour vous déplaire ?
-Où vas-tu chercher cela… Mais pour l’instant continue, oui !
Je donne alors des petits coups de langue contre son clitoris sous le nylon, embrasse de nouveau ses lèvres. En quelque sorte, je mets toute mon expérience pour lui donner du plaisir. Et elle ne met pas longtemps à atteindre l’orgasme.
Sitôt la virée jouissive passée, elle me demande :
-Ce n’est pas avec Muriel que tu as appris ça ? Non ?
-Non, pas exactement…
-Avec sa mère alors ?
-Pourquoi vous dites cela ?
-Je trouve que tu passes pas mal de temps avec elle.
-C’est que je l’aide au potager…
-Oui…oui, je vais te croire. Surtout après ce que tu viens de me faire. Demain je peux compter sur toi.
-Pourquoi faire ?
-Et bien t’occuper de mon potager !
Et elle se met à rire.
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