Exfiltration - Chapitre 5

Récit érotique écrit par Pléonasme [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Exfiltration - Chapitre 5
Une réunion s’ajoute à mon agenda, aucun document attaché si ce n’est que le titre de Projet Exit. Dans le bureau de Yann à 12 h, je comprends qu’il ne s’agit pas d’un événement formel, sa pièce ne dispose pas du mobilier approprié pour les réunions, seulement de quelques canapés. Il me reste un peu de temps pour finir mon travail avant que l’heure ne pointe le bout de son nez. Je frappe à la porte avant d’entrer. Là, Yann est dans le canapé, ainsi que trois autres hommes plus âgés, des verres de whisky sur la table basse. Il n’y a pas de place pour moi. Yann s’adresse aux autres.
- Qu’en dites-vous ?
Leurs regards me déshabillent. Tour à tour, ils se mettent à poser une ribambelle de questions, auxquelles Yann continue de mener la conversation.
- Est-elle à plein temps ?
- Pas encore.
- Quand le sera-t-elle ?
- Quand vous aurez signé.
Ils se regardent entre eux, j’essaie de me faire petite. Je suis le sujet de la réunion et de leurs négociations.
- Nous demandons à tester le produit avant.
- Bien entendu.
Yann me lance un regard noir avant de se diriger vers moi.
- À quatre pattes, salope.
À ces mots, je suis déjà très humide et m'exécute. Il se lève, me passe un collier autour du cou relié à une laisse qu’il confie à l’un des hommes. Mes yeux se tournent vers le sol, il me remonte le visage par un doigt sur mon menton avant de le plonger dans ma bouche.
- Elle a déjà déjeuné ?
- Est-ce vraiment important ?
- Non, vous avez raison.
Il déboutonne son pantalon et le glisse avec son sous-vêtement jusqu’à ses chevilles, les deux autres hommes se lèvent pour faire de même. Le collier se resserre sur ma gorge, tiré vers la verge la plus proche, je me mets à genoux pour la prendre en bouche. Mes bras sont saisis et attachés dans mon dos avec du gros scotch. La pression sur ma gorge se relâche, une main saisit fermement mes cheveux pour pousser la verge jusque dans ma gorge, il me la baise un moment avant de me passer à quelqu’un d’autre. Ma salive coule contre mon corps, sur mes vêtements. Les paroles reprennent.
- Elle remplit le cahier des charges ?
- Oui. Le dressage a pris un peu de temps, il ne lui reste plus que la dernière partie.
- Nous nous en chargerons.
La verge se contracte, maintenue dans le fond de ma gorge, elle se déverse abondamment sans me laisser d’autre choix que d’avaler. J’adore ça. Mon visage est ensuite plaqué contre le sol, sous une chaussure, on me retire ensuite mon string suivi d’une très brutale fessée qui ne manque pas de me faire gémir.
- Ta gueule salope.
Quelqu’un me le met en bouche, suivi d'un ballgag. L’un d’eux me guide ensuite vers une grande valise, celles-là même qu’on met en soute des avions, l’ouvre en deux et deux des hommes me portent dedans, avant de refermer en laissant un petit trou pour l’air. Leurs discussions semblent continuer un moment, les mots sont partiellement étouffés, puis la valise bouge, je me sens bouger, prendre l’ascenseur, mise dans un coffre de voiture et partir.
Après un long moment, la voiture s’arrête, on déplace la valise de nouveau et elle s’ouvre finalement dans une sorte de cave, le visage de Vince m’apparaît. C’est plus qu’une surprise.
- Tu ne croyais quand même pas que j’étais sur ta route par hasard ?
Était-ce un test auquel j’avais misérablement échoué ? Très probablement, mais il était désormais trop tard pour y repenser. Il tire sur la laisse pour me faire sortir de la valise, pas facile avec les mains encore liées, une fois en dehors, ma tête repose contre le sol.
- Ton entrainement commence ici. Répond à nos attentes et tu retrouveras ta petite vie, à peu de choses près, avec un maitre comblé. Refuse et tu resteras ici dans un temps qui pourra parfois te sembler infini.
Avec un objet tranchant, il me détache les mains, puis me retire la ballgag, ce qui me permet de recracher mon sous-vêtement imbibé de salive sur le sol. S'ensuit une violente fessée qui me fait chanter en écho dans la pièce.
- Les lieux doivent être gardés propres, je ne veux rien qui traine. Tu peux poser tes anciens vêtements dans la corbeille, tu n’en auras plus besoin de toute façon.
Je le regarde, et m’avance à quatre pattes vers la corbeille pour y déposer mon string.
- Tous tes anciens vêtements.
Je comprends rapidement où il veut en venir et sans aucune hésitation, je retire mon haut, ma jupe, suivis de mes chaussures pour les ajouter. Il me retire le collier pour le remplacer par un autre en métal, accroché à une chaine, elle-même accrochée au mur.
- Pour la journée qu’il reste, nous te laissons te reposer. Demain, la journée sera longue. As-tu faim ?
- Oui.
À vrai dire pas tellement, mais il allait bien falloir que je mange. Il sort son téléphone pour envoyer un message.
- Là, c'est l’endroit où tu dormiras.
Il me montre un panier pour chien avant de me regarder dans les yeux.
- T’as de la chance, les punis dorment à même le sol, dans des cages dans lesquelles il n’est pas possible de s’allonger convenablement.
Je suis donc chanceuse, mais pour combien de temps ? La porte s’ouvre, un homme entre avec un plateau et dépose le contenu au sol. Deux gamelles en métal. L’une contenant de la soupe à l’oignon, avec ses croutons de pains et plusieurs jets blancs. L’autre est vide.
- T’appréciera l’assaisonnement maison, c’est pour les protéines.
- Merci maitre…
- T’apprends vite, tu iras loin. T’as soif ?
- Oui.
- Ouvre la bouche.
Il déboutonne son pantalon pour en sortir sa verge, à demi-mole. Je comprends où il veut en venir, loin seront donc les bouteilles d’eau pendant ce séjour. Je décide de prendre les devants et de mettre la gamelle à auteur de son engin, mon visage à l’autre bout avec la bouche ouverte.
- Il faut toujours goutter avant qu’un verre ne soit servi entier.
- Pardon…
- Les excuses, c'est juste aujourd’hui, demain chaque faute aura sa punition.
Je pose la gamelle au sol et je m’avance un peu plus pour prendre son bout en bouche. Après quelques secondes, le liquide chaud se déverse dans ma bouche. J’avale autant que possible, mais le débit est trop important et ça fini par sortir de ma bouche avant de couler sur mon menton et au sol. Il s’arrête.
- Les lieux doivent être gardés propres.
Au sol, il n’y a que quelques gouttes. Mes yeux vont vers les siens, je suis prête à essuyer avec mes jambes.
- Qu'attends-tu ? Utilise ta langue.
Je m’en vais de ce pas récolter les quelques gouttes qui n’ont pas vraiment de gout au final et je remonte avec ma gamelle.
- C’est succulent maitre, encore s’il vous plait.
- Si seulement elles pouvaient être toutes comme toi…
En un rien de temps, son urine remplit la gamelle au quart. Pas de quoi me déshydrater pour une journée, mais au moins pour une partie de la fin de journée.
- Ce soir, c'est moi qui te donne à boire, mais les autres jours, ce sera directement dans ta gamelle jusqu’à ce que tu passes à la suite de l’entrainement.
Il me regarde reposer la gamelle contre le sol.
- T’as le principal, je crois… Ah, j'allais oublier.
Il sort un moment de la pièce et revient avec plug anal en métal qu’il jette au sol, plutôt gros.
- Tâche de l’avoir toujours dans ton cul, sauf si on te demande de le retirer.
Puis, il s’approche de moi et se baisse pour me tenir le menton vers le haut avec deux doigts.
- T’as compris ?
Je fais oui de la tête avant de recevoir son crachat sur le visage.
- Parait, à demain salope.
La porte claque ainsi en me laissant seule dans la pièce qui ne comporte pas de fenêtres. Une lumière s’allume près d’une toilette, au moins j’avais ça, le reste de la pièce reste dans la pénombre. J’attrape le plug, le glisse dans ma bouche pour l’imprégner de salive, et même avec ça, je peine à le rentrer sans douleurs. Et je finis par manger la soupe avant d’aller me coucher dans l’espace réduit, ce n’était pas très confortable.
- Qu’en dites-vous ?
Leurs regards me déshabillent. Tour à tour, ils se mettent à poser une ribambelle de questions, auxquelles Yann continue de mener la conversation.
- Est-elle à plein temps ?
- Pas encore.
- Quand le sera-t-elle ?
- Quand vous aurez signé.
Ils se regardent entre eux, j’essaie de me faire petite. Je suis le sujet de la réunion et de leurs négociations.
- Nous demandons à tester le produit avant.
- Bien entendu.
Yann me lance un regard noir avant de se diriger vers moi.
- À quatre pattes, salope.
À ces mots, je suis déjà très humide et m'exécute. Il se lève, me passe un collier autour du cou relié à une laisse qu’il confie à l’un des hommes. Mes yeux se tournent vers le sol, il me remonte le visage par un doigt sur mon menton avant de le plonger dans ma bouche.
- Elle a déjà déjeuné ?
- Est-ce vraiment important ?
- Non, vous avez raison.
Il déboutonne son pantalon et le glisse avec son sous-vêtement jusqu’à ses chevilles, les deux autres hommes se lèvent pour faire de même. Le collier se resserre sur ma gorge, tiré vers la verge la plus proche, je me mets à genoux pour la prendre en bouche. Mes bras sont saisis et attachés dans mon dos avec du gros scotch. La pression sur ma gorge se relâche, une main saisit fermement mes cheveux pour pousser la verge jusque dans ma gorge, il me la baise un moment avant de me passer à quelqu’un d’autre. Ma salive coule contre mon corps, sur mes vêtements. Les paroles reprennent.
- Elle remplit le cahier des charges ?
- Oui. Le dressage a pris un peu de temps, il ne lui reste plus que la dernière partie.
- Nous nous en chargerons.
La verge se contracte, maintenue dans le fond de ma gorge, elle se déverse abondamment sans me laisser d’autre choix que d’avaler. J’adore ça. Mon visage est ensuite plaqué contre le sol, sous une chaussure, on me retire ensuite mon string suivi d’une très brutale fessée qui ne manque pas de me faire gémir.
- Ta gueule salope.
Quelqu’un me le met en bouche, suivi d'un ballgag. L’un d’eux me guide ensuite vers une grande valise, celles-là même qu’on met en soute des avions, l’ouvre en deux et deux des hommes me portent dedans, avant de refermer en laissant un petit trou pour l’air. Leurs discussions semblent continuer un moment, les mots sont partiellement étouffés, puis la valise bouge, je me sens bouger, prendre l’ascenseur, mise dans un coffre de voiture et partir.
Après un long moment, la voiture s’arrête, on déplace la valise de nouveau et elle s’ouvre finalement dans une sorte de cave, le visage de Vince m’apparaît. C’est plus qu’une surprise.
- Tu ne croyais quand même pas que j’étais sur ta route par hasard ?
Était-ce un test auquel j’avais misérablement échoué ? Très probablement, mais il était désormais trop tard pour y repenser. Il tire sur la laisse pour me faire sortir de la valise, pas facile avec les mains encore liées, une fois en dehors, ma tête repose contre le sol.
- Ton entrainement commence ici. Répond à nos attentes et tu retrouveras ta petite vie, à peu de choses près, avec un maitre comblé. Refuse et tu resteras ici dans un temps qui pourra parfois te sembler infini.
Avec un objet tranchant, il me détache les mains, puis me retire la ballgag, ce qui me permet de recracher mon sous-vêtement imbibé de salive sur le sol. S'ensuit une violente fessée qui me fait chanter en écho dans la pièce.
- Les lieux doivent être gardés propres, je ne veux rien qui traine. Tu peux poser tes anciens vêtements dans la corbeille, tu n’en auras plus besoin de toute façon.
Je le regarde, et m’avance à quatre pattes vers la corbeille pour y déposer mon string.
- Tous tes anciens vêtements.
Je comprends rapidement où il veut en venir et sans aucune hésitation, je retire mon haut, ma jupe, suivis de mes chaussures pour les ajouter. Il me retire le collier pour le remplacer par un autre en métal, accroché à une chaine, elle-même accrochée au mur.
- Pour la journée qu’il reste, nous te laissons te reposer. Demain, la journée sera longue. As-tu faim ?
- Oui.
À vrai dire pas tellement, mais il allait bien falloir que je mange. Il sort son téléphone pour envoyer un message.
- Là, c'est l’endroit où tu dormiras.
Il me montre un panier pour chien avant de me regarder dans les yeux.
- T’as de la chance, les punis dorment à même le sol, dans des cages dans lesquelles il n’est pas possible de s’allonger convenablement.
Je suis donc chanceuse, mais pour combien de temps ? La porte s’ouvre, un homme entre avec un plateau et dépose le contenu au sol. Deux gamelles en métal. L’une contenant de la soupe à l’oignon, avec ses croutons de pains et plusieurs jets blancs. L’autre est vide.
- T’appréciera l’assaisonnement maison, c’est pour les protéines.
- Merci maitre…
- T’apprends vite, tu iras loin. T’as soif ?
- Oui.
- Ouvre la bouche.
Il déboutonne son pantalon pour en sortir sa verge, à demi-mole. Je comprends où il veut en venir, loin seront donc les bouteilles d’eau pendant ce séjour. Je décide de prendre les devants et de mettre la gamelle à auteur de son engin, mon visage à l’autre bout avec la bouche ouverte.
- Il faut toujours goutter avant qu’un verre ne soit servi entier.
- Pardon…
- Les excuses, c'est juste aujourd’hui, demain chaque faute aura sa punition.
Je pose la gamelle au sol et je m’avance un peu plus pour prendre son bout en bouche. Après quelques secondes, le liquide chaud se déverse dans ma bouche. J’avale autant que possible, mais le débit est trop important et ça fini par sortir de ma bouche avant de couler sur mon menton et au sol. Il s’arrête.
- Les lieux doivent être gardés propres.
Au sol, il n’y a que quelques gouttes. Mes yeux vont vers les siens, je suis prête à essuyer avec mes jambes.
- Qu'attends-tu ? Utilise ta langue.
Je m’en vais de ce pas récolter les quelques gouttes qui n’ont pas vraiment de gout au final et je remonte avec ma gamelle.
- C’est succulent maitre, encore s’il vous plait.
- Si seulement elles pouvaient être toutes comme toi…
En un rien de temps, son urine remplit la gamelle au quart. Pas de quoi me déshydrater pour une journée, mais au moins pour une partie de la fin de journée.
- Ce soir, c'est moi qui te donne à boire, mais les autres jours, ce sera directement dans ta gamelle jusqu’à ce que tu passes à la suite de l’entrainement.
Il me regarde reposer la gamelle contre le sol.
- T’as le principal, je crois… Ah, j'allais oublier.
Il sort un moment de la pièce et revient avec plug anal en métal qu’il jette au sol, plutôt gros.
- Tâche de l’avoir toujours dans ton cul, sauf si on te demande de le retirer.
Puis, il s’approche de moi et se baisse pour me tenir le menton vers le haut avec deux doigts.
- T’as compris ?
Je fais oui de la tête avant de recevoir son crachat sur le visage.
- Parait, à demain salope.
La porte claque ainsi en me laissant seule dans la pièce qui ne comporte pas de fenêtres. Une lumière s’allume près d’une toilette, au moins j’avais ça, le reste de la pièce reste dans la pénombre. J’attrape le plug, le glisse dans ma bouche pour l’imprégner de salive, et même avec ça, je peine à le rentrer sans douleurs. Et je finis par manger la soupe avant d’aller me coucher dans l’espace réduit, ce n’était pas très confortable.
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