exhib imprévue en forêt
Récit érotique écrit par Salletaer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
exhib imprévue en forêt
Promenade imprévue en forêt
Petit après midi sans à priori de septembre, arrière saison très agréable, en retour
de lèche vitrine.
Pantalon et tee-shirt couleur jean pour moi et robe bleu marine style ancienne blouse
d’école à manches courtes, gros boutons et ceinture pour Léa.
Nous n’avons pas trouvé grand chose
En traversant le petit bout de forêt qui nous ramène à l’appartement…
‘’j’aimerais bien trouver quelques petites fougères pour mettre sur le balcon ‘’
Cela dit ma foi sans arrières pensées de la part de Léa
Parking donc et chemin forestier, bras dessus bras dessous évidemment.
C’est quand nous avons croisé ce promeneur que le déclic a eu lieu.
Non non … sérieux … avant nous n’y pensions sincèrement pas … avant … mais après … OH
QUE OUIIII ! ! !
Le regard de cet homme sur ma petite fée nous fait nous regarder en souriant.
‘’tu penses à la même chose que moi …’’
‘’ EVIDEMENT … ‘’ me confirme Léa en se blottissant un peu plus à mon bras.
Du coup, ma main qui était posée sur sa taille simplement amoureuse, devient
immédiatement kokine, et se met en ‘’devoir’’ de grignoter un peu le tissus de la
robe.
Ma main gauche, profitant que Léa est collée contre moi, compense de suite le tissus
du vêtement de l’autre côté.
La robe, qui sagement arrivait à mi cuisses, remonte doucement mais sûrement.
Je nous arrête, enlace ma petite fée, et sous prétexte de l’embrasser, me renseigne.
‘’nous avons un spectateur … discret … mais spectateur ‘’
Rassurés et surtout ravis, nous reprenons et pas seulement que notre promenade.
Mes doigts viennent doucement accumuler le tissus de la robe, qui rétrécit, sous la
ceinture.
Quand, à vu de doigts, je pense avoir raccourci de dix centimètres, je montre à Léa un
hypothétique plan de fougères de la main ‘’ fais moi voir … ‘’
Léa s’avance de quelques mètres pour me faire admirer que non seulement sa robe est
bien devenue une mini, mais aussi que ses cuisses sont vraiment toujours aussi sexy.
‘’ tu es franchement à croquer … petit chemin à droite ‘’
Nous nous y engageons doucement, sans pour autant oublier de continuer de raccourcir
sa robe.
Je me penche un peu devant Léa pour nous assurer que la robe devenue mini soit
effectivement toute mini, mais surtout à la limite extrême de la décence.
‘’ de derrière je suis certaine qu’il doit apercevoir la naissance de mes fesses … et
avec un peu de chance ma petite culotte ‘’ me roucoule très chatte Léa.
‘’ je préférerais qu’il ne puisse pas la voire ta petite culotte … ‘’ dis je amusé ,
amusé surtout par le regard incrédule qu’elle me fait.
‘’ bah … c’est tout simple ma fée … il faut simplement que je te l’enlève … ‘’
Un fou rire suit immédiatement cette évidence, pour le moins bien vue et bien venue.
Un regard alentour nous fait miroiter ce gros arbre la bas, sans pour autant oublier
notre promeneur … il nous suit avec discrétion, d’arbre en arbre.
Nous avons de la chance, un voyeur certes, mais un voyeur courtois et respectueux.
Nous quittons le petit chemin pour faire plus ample connaissance avec cet arbre.
Léa s’adosse à lui.
Je prends tranquillement le temps de l’embrasser en la pelotant, pour le plaisir, mais
aussi pour laisser le temps à notre voyeur de se trouver un endroit ou il puisse mater
non seulement sereinement mais aussi distinctement.
J’écarte doucement les bras de Léa pour les installer autour de notre complice, qui
sera le seul à rester de bois.
Je m’accroupi devant cette déesse de sensualité et remonte doucement une main sur
l’intérieur de sa cuisse, de l’autre, je fais signe à notre voyeur qu’il ne doit pas
faire de bruit ni trop se montrer, afin qu’il comprenne qu’il ne pourra qu’être voyeur
et uniquement voyeur.
Mater oui, se branler oui, mais pas s’imaginer pouvoir toucher, caresser et encore
moins sauter ce corps de rêve, cette femelle excitante et impudique.
Son signe de tête me conforte dans son respect de vrai voyeur.
Alors ma première main se trouve rejointe par la deuxième, et, ensemble, elles se
mettent à folâtrer, caresser, explorer ces cuisses fabuleuses, pour remonter doucement
vers ces convoitises merveilleuses que sont ses fesses et sa belle petite chatte.
Je glisse ces doigts fouineurs sous la micro robe, tatillonne pour attraper la petite
culotte et délicatement, la fait descendre religieusement sur ses cuisses jusqu’aux
pieds, sans oublier de regarder notre voyeur.
Braguette grande ouverte, son sexe rigide à l’air libre, il se branle les yeux rivés
sur ma petite fée lubrique.
‘’ ton admirateur apprécie grandement à ce que je vois … ‘’
Je me penche sur sa toison, enfouis ma bouche dans ce parfum humide, et les deux mains
lui attrapant les fesses, associe une langue chercheuse, complaisante et goulue.
Je me redresse pour m’occuper aussi un peu de cette merveilleuse poitrine bien à
l’étroit dans ce petit soutien gorge.
Un bouton, deux, trois puis quatre, les pans de la robe s’écartent par la magie de mes
doigts, laissant découvrir ce petit vêtement qui va devenir rapidement un souvenir.
Petites contorsions de complaisance, et la magie continue d’opérer en la ‘’personne’’
de ces deux divins petits globes d’érotisme.
Le soutien gorge rejoint la petite culotte au fond de ma poche.
Léa est somptueuse.
Les cuisses nues, légèrement écartées, les bras grands ouverts, exhibant, indécente,
sa poitrine soyeuse à nos regards gloutons et ‘’violeurs’’, la robe ne servant que
d’écrin complice et très sexe.
Une main sur cette poitrine avenante et l’autre pataugeant dans sa petite moule, je
malaxe, tripote, triture, viole, me goinfre de ce fabuleux fruit aux saveurs pimentées
et douces à la fois.
Notre voyeur, lui, s’active frénétiquement devant ce spectacle grandiose.
‘’ il ne va pas tarder à jouir pour toi … ‘’
J’ai à peine le temps de finir ma phrase que Léa se contracte violemment en resserrant
fortement ses cuisses sur ma main inquisitrice et m’attrapant le bras avec ses deux
mains, le souffle rauque accompagné d’un ‘’ huuummmm … ‘’ expiateur, elle se mord les
lèvres de plaisir laissant exploser sa jouissance.
Notre complice près de son arbre se laisse aller lui aussi, arc bouté, congestif en
lâchant son jet blanchâtre.
Léa, les yeux rêveurs, dans le vague, plane.
La quiétude de son visage tranche avec la tempête qui vient de la ‘’ravager’’ il y a
quelques instants, cette quiétude de ravissement lui donne un visage poupon et irréel.
Je la prend par le bras et nous nous re dirigeons sur le petit chemin.
Petit détail d’organisation ‘’pervers’’, je lui laisse volontairement sa robe
débraillée, lui exhibant les seins à tous vents, surtout à tous regards, et bien
évidemment toujours aussi mini-mini au ras de son cul et les poils de sa chatte
franchement visibles.
Si Léa est fourbue de jouissance, moi, par contre j’en ai mal à la queue tellement je
bande encore, et je compte bien continuer un peu à m’exciter de ma petite poupée
d’érotisme, surtout que, quand elle est dans cet état second, elle reste a-réactive
comme si elle avait fumé un joint trop fort ou abusé d’alcool.
Donc, j’en profite, pour mon plus grand plaisir, et avançons l’air de rien.
Le spectacle est vraiment fabuleux, avec un peu de chance, nous allons pouvoir aller
jusqu'à la voiture, et j’espère peut être même la faire mater ‘’ en passant’’.
Bien sur, je ne reste pas inactif.
J’ai les mains baladeuses, avec tendresse, tendresse oui, mais sur ses seins offerts,
sur son cul à l’air et sur sa chatte à demie exposée, je me régale de ces caresses
sensuelles et douces tout en avançant tendrement.
Notre voyeur a visiblement vu mon petit manège, et coupant à travers les taillis, se
retrouve à une vingtaine de mètre devant nous sur le bord de notre chemin et attend en
connaisseur notre passage, notre ‘’pas sage’’ je devrais plutôt dire .
Je ralentis, ravi.
Continuant à peloter Léa, j’en profite pour remonter encore un peu plus sa robe et
ouvrir béante l’échancrure sur ces petits seins adorables.
Léa à comme un sursaut ‘’ y’a quelqu’un … ‘’
‘’oui … je sais … c’est notre voyeur … laisses toi aller … ‘’
En arrivant à sa hauteur, Léa a les yeux pratiquement fermés et les pommettes bien
rouges, les seins totalement à l’air et la robe à la taille.
Ce que j’aimerais être à la place de notre voyeur en ce moment, mater une telle
inconnue, dénudée et offerte.
Les yeux la dévorant de partout, un ‘’merci ‘’ lui ponctue le résumé de ses pensées.
Une voiture vient de rentrer sur le parking au loin.
La robe reprend de suite son aspect vestimentaire conventionnel.
Le charme est rompu, dommage, j’avais espéré pouvoir me masturber devant Léa et lui
jouir dessus … pour qu’elle rentre jusque l’appartement maculée de foutre … ce sera
pour une prochaine fois.
Petit après midi sans à priori de septembre, arrière saison très agréable, en retour
de lèche vitrine.
Pantalon et tee-shirt couleur jean pour moi et robe bleu marine style ancienne blouse
d’école à manches courtes, gros boutons et ceinture pour Léa.
Nous n’avons pas trouvé grand chose
En traversant le petit bout de forêt qui nous ramène à l’appartement…
‘’j’aimerais bien trouver quelques petites fougères pour mettre sur le balcon ‘’
Cela dit ma foi sans arrières pensées de la part de Léa
Parking donc et chemin forestier, bras dessus bras dessous évidemment.
C’est quand nous avons croisé ce promeneur que le déclic a eu lieu.
Non non … sérieux … avant nous n’y pensions sincèrement pas … avant … mais après … OH
QUE OUIIII ! ! !
Le regard de cet homme sur ma petite fée nous fait nous regarder en souriant.
‘’tu penses à la même chose que moi …’’
‘’ EVIDEMENT … ‘’ me confirme Léa en se blottissant un peu plus à mon bras.
Du coup, ma main qui était posée sur sa taille simplement amoureuse, devient
immédiatement kokine, et se met en ‘’devoir’’ de grignoter un peu le tissus de la
robe.
Ma main gauche, profitant que Léa est collée contre moi, compense de suite le tissus
du vêtement de l’autre côté.
La robe, qui sagement arrivait à mi cuisses, remonte doucement mais sûrement.
Je nous arrête, enlace ma petite fée, et sous prétexte de l’embrasser, me renseigne.
‘’nous avons un spectateur … discret … mais spectateur ‘’
Rassurés et surtout ravis, nous reprenons et pas seulement que notre promenade.
Mes doigts viennent doucement accumuler le tissus de la robe, qui rétrécit, sous la
ceinture.
Quand, à vu de doigts, je pense avoir raccourci de dix centimètres, je montre à Léa un
hypothétique plan de fougères de la main ‘’ fais moi voir … ‘’
Léa s’avance de quelques mètres pour me faire admirer que non seulement sa robe est
bien devenue une mini, mais aussi que ses cuisses sont vraiment toujours aussi sexy.
‘’ tu es franchement à croquer … petit chemin à droite ‘’
Nous nous y engageons doucement, sans pour autant oublier de continuer de raccourcir
sa robe.
Je me penche un peu devant Léa pour nous assurer que la robe devenue mini soit
effectivement toute mini, mais surtout à la limite extrême de la décence.
‘’ de derrière je suis certaine qu’il doit apercevoir la naissance de mes fesses … et
avec un peu de chance ma petite culotte ‘’ me roucoule très chatte Léa.
‘’ je préférerais qu’il ne puisse pas la voire ta petite culotte … ‘’ dis je amusé ,
amusé surtout par le regard incrédule qu’elle me fait.
‘’ bah … c’est tout simple ma fée … il faut simplement que je te l’enlève … ‘’
Un fou rire suit immédiatement cette évidence, pour le moins bien vue et bien venue.
Un regard alentour nous fait miroiter ce gros arbre la bas, sans pour autant oublier
notre promeneur … il nous suit avec discrétion, d’arbre en arbre.
Nous avons de la chance, un voyeur certes, mais un voyeur courtois et respectueux.
Nous quittons le petit chemin pour faire plus ample connaissance avec cet arbre.
Léa s’adosse à lui.
Je prends tranquillement le temps de l’embrasser en la pelotant, pour le plaisir, mais
aussi pour laisser le temps à notre voyeur de se trouver un endroit ou il puisse mater
non seulement sereinement mais aussi distinctement.
J’écarte doucement les bras de Léa pour les installer autour de notre complice, qui
sera le seul à rester de bois.
Je m’accroupi devant cette déesse de sensualité et remonte doucement une main sur
l’intérieur de sa cuisse, de l’autre, je fais signe à notre voyeur qu’il ne doit pas
faire de bruit ni trop se montrer, afin qu’il comprenne qu’il ne pourra qu’être voyeur
et uniquement voyeur.
Mater oui, se branler oui, mais pas s’imaginer pouvoir toucher, caresser et encore
moins sauter ce corps de rêve, cette femelle excitante et impudique.
Son signe de tête me conforte dans son respect de vrai voyeur.
Alors ma première main se trouve rejointe par la deuxième, et, ensemble, elles se
mettent à folâtrer, caresser, explorer ces cuisses fabuleuses, pour remonter doucement
vers ces convoitises merveilleuses que sont ses fesses et sa belle petite chatte.
Je glisse ces doigts fouineurs sous la micro robe, tatillonne pour attraper la petite
culotte et délicatement, la fait descendre religieusement sur ses cuisses jusqu’aux
pieds, sans oublier de regarder notre voyeur.
Braguette grande ouverte, son sexe rigide à l’air libre, il se branle les yeux rivés
sur ma petite fée lubrique.
‘’ ton admirateur apprécie grandement à ce que je vois … ‘’
Je me penche sur sa toison, enfouis ma bouche dans ce parfum humide, et les deux mains
lui attrapant les fesses, associe une langue chercheuse, complaisante et goulue.
Je me redresse pour m’occuper aussi un peu de cette merveilleuse poitrine bien à
l’étroit dans ce petit soutien gorge.
Un bouton, deux, trois puis quatre, les pans de la robe s’écartent par la magie de mes
doigts, laissant découvrir ce petit vêtement qui va devenir rapidement un souvenir.
Petites contorsions de complaisance, et la magie continue d’opérer en la ‘’personne’’
de ces deux divins petits globes d’érotisme.
Le soutien gorge rejoint la petite culotte au fond de ma poche.
Léa est somptueuse.
Les cuisses nues, légèrement écartées, les bras grands ouverts, exhibant, indécente,
sa poitrine soyeuse à nos regards gloutons et ‘’violeurs’’, la robe ne servant que
d’écrin complice et très sexe.
Une main sur cette poitrine avenante et l’autre pataugeant dans sa petite moule, je
malaxe, tripote, triture, viole, me goinfre de ce fabuleux fruit aux saveurs pimentées
et douces à la fois.
Notre voyeur, lui, s’active frénétiquement devant ce spectacle grandiose.
‘’ il ne va pas tarder à jouir pour toi … ‘’
J’ai à peine le temps de finir ma phrase que Léa se contracte violemment en resserrant
fortement ses cuisses sur ma main inquisitrice et m’attrapant le bras avec ses deux
mains, le souffle rauque accompagné d’un ‘’ huuummmm … ‘’ expiateur, elle se mord les
lèvres de plaisir laissant exploser sa jouissance.
Notre complice près de son arbre se laisse aller lui aussi, arc bouté, congestif en
lâchant son jet blanchâtre.
Léa, les yeux rêveurs, dans le vague, plane.
La quiétude de son visage tranche avec la tempête qui vient de la ‘’ravager’’ il y a
quelques instants, cette quiétude de ravissement lui donne un visage poupon et irréel.
Je la prend par le bras et nous nous re dirigeons sur le petit chemin.
Petit détail d’organisation ‘’pervers’’, je lui laisse volontairement sa robe
débraillée, lui exhibant les seins à tous vents, surtout à tous regards, et bien
évidemment toujours aussi mini-mini au ras de son cul et les poils de sa chatte
franchement visibles.
Si Léa est fourbue de jouissance, moi, par contre j’en ai mal à la queue tellement je
bande encore, et je compte bien continuer un peu à m’exciter de ma petite poupée
d’érotisme, surtout que, quand elle est dans cet état second, elle reste a-réactive
comme si elle avait fumé un joint trop fort ou abusé d’alcool.
Donc, j’en profite, pour mon plus grand plaisir, et avançons l’air de rien.
Le spectacle est vraiment fabuleux, avec un peu de chance, nous allons pouvoir aller
jusqu'à la voiture, et j’espère peut être même la faire mater ‘’ en passant’’.
Bien sur, je ne reste pas inactif.
J’ai les mains baladeuses, avec tendresse, tendresse oui, mais sur ses seins offerts,
sur son cul à l’air et sur sa chatte à demie exposée, je me régale de ces caresses
sensuelles et douces tout en avançant tendrement.
Notre voyeur a visiblement vu mon petit manège, et coupant à travers les taillis, se
retrouve à une vingtaine de mètre devant nous sur le bord de notre chemin et attend en
connaisseur notre passage, notre ‘’pas sage’’ je devrais plutôt dire .
Je ralentis, ravi.
Continuant à peloter Léa, j’en profite pour remonter encore un peu plus sa robe et
ouvrir béante l’échancrure sur ces petits seins adorables.
Léa à comme un sursaut ‘’ y’a quelqu’un … ‘’
‘’oui … je sais … c’est notre voyeur … laisses toi aller … ‘’
En arrivant à sa hauteur, Léa a les yeux pratiquement fermés et les pommettes bien
rouges, les seins totalement à l’air et la robe à la taille.
Ce que j’aimerais être à la place de notre voyeur en ce moment, mater une telle
inconnue, dénudée et offerte.
Les yeux la dévorant de partout, un ‘’merci ‘’ lui ponctue le résumé de ses pensées.
Une voiture vient de rentrer sur le parking au loin.
La robe reprend de suite son aspect vestimentaire conventionnel.
Le charme est rompu, dommage, j’avais espéré pouvoir me masturber devant Léa et lui
jouir dessus … pour qu’elle rentre jusque l’appartement maculée de foutre … ce sera
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