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Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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On rentrant du boulot, je trouve la maison vide, excepté la présence de ma femme.
-J’ai réservé au restaurant !
Nous allons jusqu’à la voiture, et nous voilà partis. En s’asseyant, bien sûr sa minijupe remonte découvrant la bande de dentelle de ses bas. Je ne peux résister de poser ma main sur sa cuisse. Tout en conduisant, je lui caresse doucement en remontant. Elle croise et décroise ses jambes, afin de me laisser faire comme si rien n’était. Le haut de ses cuisses nues est visible, son string aussi.
-Qu’est-ce que tu fais des gens sur le trottoir ! Me lâche-t-elle.
-Qu’ils se rincent les yeux.
Ma main continue de lui caresser maintenant le minou. Elle est trempée.
Nous arrivons au restaurant. Ma femme remet de l’ordre dans sa tenue. Nous entrons dans la brasserie. Le maître d’hôtel nous dirige vers une table, il ne manque pas de mater les jambes de ma femme. Et cela semble à son goût. Cela me donne envie de jouer à un jeu. L’air de rien je laisse tomber à ma femme :
-Tu devrais remonter un peu ta mini-jupe.
Elle me sourit. Et joignant le geste à la parole, elle fait glisser sa jupe sur ses hanches. Puis elle boit une gorgée de champagne. Puis le maître d’hôtel vient prendre les commandes, je vois à ses yeux qui plongent son regard sur les jambes de ma femme.
Le repas, se déroule tranquillement. A un moment, je surprends alors, le regard du voisin de table mater les jambes de ma femme. Je murmure à ma femme :
-Croise et décroise tes jambes !
Elle me regarde effrontément.
-Tu veux quoi ?
-Que tu ailles aux toilettes et tu ôte ton string.
-Oh, toi tu veux jouer ?
Elle ne reste pas longtemps dans les toilettes. Une fois à table elle se penche et me donne son string, chaud et surtout moite. Je lui sers une coupe de champagne.
Le serveur se régale à chacune de ses venues. Je trouve même qu’il vient bien souvent. Je fais un clin d’œil à ma femme pendant que le serveur la servait. Il bande le salaud !
-Je veux que tu exposes ta chatte à qui veux la voir.
-Salaud ! C’est pour ça que tu n’arrête pas d’emplir mon verre. Tu sais que je mouille en ce moment.
-Raison de plus pour aérer ta chatte. Tu resteras les cuisses ouvertes jusqu’à ce que je te dise de les fermer.
-Tu es fou, je vais me faire arrêter pour atteinte à la pudeur ? Salaud, mais bon, mais pas trop longtemps.
Elle glisse sur sa chaise et décroise ses jambes. Immédiatement je sens les regards de type sur l’intimité de ma femme. Je fais durer le plaisir. Je bande de plus en plus, cela doit se voir. Je laisse tomber mes clés de voiture et me penche pour les ramasser. Mais là je n’ai pas prévu que le serveur qui était très proche, ne manque pas une telle occasion et se baisse accroupi pour ramasser le trousseau.
Ma femme ne bouge pas de sa position, les cuisses écartées, pour le plus grand plaisir des rétines du serveur. Une fois ce dernier éloigné, a femme me regarde dans les yeux, et me lâche un :
-Tu te rends compte de ce que tu me fais faire ?
-Je bande comme un taureau.
-Il est peut-être temps de rentrer à la maison alors ?
-Je crois, oui !
Nous nous levons. Arrivés sur le trottoir, j’embrasse ma femme avec fougue. Il bande comme un pendu. Je lui dis :
-Allons vite à la maison, j’ai comme une envie de viol !
Une fois à la maison, tout en reniflant son string, je m’avance d’un pas lent jusqu’à elle, alors qu’elle est assise sur le divan. Elle me parle mais je ne l’écoute pas. De ma main libre, d’une caresse légère, je suis la courbe de ses seins, l’arrondi de son ventre, à travers le vêtement.
Laissant tomber le string, je la débarrasse de son chemisier. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses deux globes dressés se soulèvent et frémirent. Je les prends dans mes mains. Les pétrit en tournant. Mes pouces frottent les aréoles sombres. Les bouts durcirent.
Je pince les tétons pointés. Les fais rouler entre mes doigts. Ma femme, devenue silencieuse, dégrafe l’attache de sa jupe. Et se presse à la faire tomber à terre en décollant ses fesses du cuir. Son ventre libéré. Sa touffe est à l’air.
Je caresse son corps maintenant nu. Puis elle pose ses talons en appuie sur le rebord du canapé. M’invitant ainsi, à enfuir mon visage dans son nid odorant. Pendant un long moment, je frotte ma bouche contre son intimité. Jusqu’à ce qu’un spasme lui fasse serrer les cuisses. L’odeur chaude de sa mouille monte jusqu’à mes narines.
Mes caresses sont douces, patientes, diaboliques. Mes doigts passent et repassent sur ses cuisses. Sur son pubis, partout. Sous les attouchements fugitifs, elle a des agacements à fleur de peau. Sa poitrine se gonfle. Dure comme du marbre. Elle halète, secoue la tête.
Inlassablement, ils vont et viennent sur le même rythme lent et obstiné. Des frissons courent sur tout son corps, elle se tend, mais mes doigts ne s’arrêtent jamais. Je lui souffle :
- Je vais bouffer ta chatte, comme tu aimes !
De la pointe de ma langue, je lèche sa raie. M’attardant sur le pourtour du sphincter pendant qu’elle se masturbe. Très proche l’un de l’autre, ses deux orifices bâillent. Je vois son doigt traversé les poils, les pénétrer tour à tour.
Au moment où je décolle mes lèvres gluantes de sa fente, la collerette mauve de son anus s’arrondie, avant de se rétracter. Dans les secondes suivantes, elle amplifie le mouvement, libérant les muqueuses écarlates. L’anus se retourne comme un gant, formant un entonnoir.
Je fais durcir le bout de ma langue que j’enfile dans son trou du cul. Pendant que je fais coulisser ma langue dans son rectum, ses grandes lèvres poisseuses se frottent à mon nez. Elle ne tarde pas à jouir comme une pucelle. En ahanant.
Se renversant avec un râle d’extase, elle me laisse lui soulever les jambes. Après mettre défait, et sans perdre de temps, je plie les genoux pour me présenter face à son sexe.
Ma bite s’écrase sur le pubis dont ses poils chatouillèrent mon gland. C’était très agréable ! Impatiente ma femme se saisie de ma queue et l’amène entre ses lèvres intimes. D’un coup de reins, ma verge glisse au plus profond du vagin. Je savoure cet instant. Où, les parois intimes, épouse pour mon plus grand bonheur mon gland. Je commence une cavalcade lente. Profitant pour plaquer son pied droit, contre mon nez. Dont l’odeur est aussi intense que celui de son cul.
C’est alors que j’aperçois dans le reflet du miroir, une silhouette du côté de la haie. Et tout ça accompagné d’un chant langoureux, sortant de la bouche de ma femme, qui se termine par des halètements, de plus en plus rapprochés.
Tout en me concentrant de ce qui se passe du côté de la haie, je monte et descend mon nez le long de sa plante de pied. Inspirant plus qu’expirant. Essayant de définir où l’odeur était la plus forte.
Je me sens grossir encore. Le talon me semble un bon candidat. Cependant, arrivé à la base des orteils, je faillis exploser sur-le-champ.
C’était bien là où l‘odeur était la plus forte. Là où la sueur, le vieux cuir ont fait des merveilles. Tout en la besognant, et en surveillant le voyeur, je pends délicatement deux orteils que j’écarte afin d’y enfoncer mon nez. Le visage de ma femme se met à remuer avec une régularité d’un métronome.
Sous mes ondulations habiles, elle se met à haleter de plus belle. Projetant son ventre en avant pour s’offrir davantage à ma queue frétillante qui la fouille.
Elle pousse des cris comme jamais, quand le plaisir la fauche. De mon côté je délire tant l’excitation me submergea. Tout en suçant ses orteils, je sorts ma queue souillée que j’empoigne dans ma main droite faisant aller et venir mon poignet jusqu’à l’éjaculation. Souillant la poitrine de ma belle, en espérant que le voyeur est assisté à cela.
Il est temps pour nous, de reprendre chacun nos occupations. C’est alors que ma femme m’apprend.
-Tu as vue le voisin ?
-C’était lui, du côté de la haie.
-Qui d’autre.
A SUIVRE
-J’ai réservé au restaurant !
Nous allons jusqu’à la voiture, et nous voilà partis. En s’asseyant, bien sûr sa minijupe remonte découvrant la bande de dentelle de ses bas. Je ne peux résister de poser ma main sur sa cuisse. Tout en conduisant, je lui caresse doucement en remontant. Elle croise et décroise ses jambes, afin de me laisser faire comme si rien n’était. Le haut de ses cuisses nues est visible, son string aussi.
-Qu’est-ce que tu fais des gens sur le trottoir ! Me lâche-t-elle.
-Qu’ils se rincent les yeux.
Ma main continue de lui caresser maintenant le minou. Elle est trempée.
Nous arrivons au restaurant. Ma femme remet de l’ordre dans sa tenue. Nous entrons dans la brasserie. Le maître d’hôtel nous dirige vers une table, il ne manque pas de mater les jambes de ma femme. Et cela semble à son goût. Cela me donne envie de jouer à un jeu. L’air de rien je laisse tomber à ma femme :
-Tu devrais remonter un peu ta mini-jupe.
Elle me sourit. Et joignant le geste à la parole, elle fait glisser sa jupe sur ses hanches. Puis elle boit une gorgée de champagne. Puis le maître d’hôtel vient prendre les commandes, je vois à ses yeux qui plongent son regard sur les jambes de ma femme.
Le repas, se déroule tranquillement. A un moment, je surprends alors, le regard du voisin de table mater les jambes de ma femme. Je murmure à ma femme :
-Croise et décroise tes jambes !
Elle me regarde effrontément.
-Tu veux quoi ?
-Que tu ailles aux toilettes et tu ôte ton string.
-Oh, toi tu veux jouer ?
Elle ne reste pas longtemps dans les toilettes. Une fois à table elle se penche et me donne son string, chaud et surtout moite. Je lui sers une coupe de champagne.
Le serveur se régale à chacune de ses venues. Je trouve même qu’il vient bien souvent. Je fais un clin d’œil à ma femme pendant que le serveur la servait. Il bande le salaud !
-Je veux que tu exposes ta chatte à qui veux la voir.
-Salaud ! C’est pour ça que tu n’arrête pas d’emplir mon verre. Tu sais que je mouille en ce moment.
-Raison de plus pour aérer ta chatte. Tu resteras les cuisses ouvertes jusqu’à ce que je te dise de les fermer.
-Tu es fou, je vais me faire arrêter pour atteinte à la pudeur ? Salaud, mais bon, mais pas trop longtemps.
Elle glisse sur sa chaise et décroise ses jambes. Immédiatement je sens les regards de type sur l’intimité de ma femme. Je fais durer le plaisir. Je bande de plus en plus, cela doit se voir. Je laisse tomber mes clés de voiture et me penche pour les ramasser. Mais là je n’ai pas prévu que le serveur qui était très proche, ne manque pas une telle occasion et se baisse accroupi pour ramasser le trousseau.
Ma femme ne bouge pas de sa position, les cuisses écartées, pour le plus grand plaisir des rétines du serveur. Une fois ce dernier éloigné, a femme me regarde dans les yeux, et me lâche un :
-Tu te rends compte de ce que tu me fais faire ?
-Je bande comme un taureau.
-Il est peut-être temps de rentrer à la maison alors ?
-Je crois, oui !
Nous nous levons. Arrivés sur le trottoir, j’embrasse ma femme avec fougue. Il bande comme un pendu. Je lui dis :
-Allons vite à la maison, j’ai comme une envie de viol !
Une fois à la maison, tout en reniflant son string, je m’avance d’un pas lent jusqu’à elle, alors qu’elle est assise sur le divan. Elle me parle mais je ne l’écoute pas. De ma main libre, d’une caresse légère, je suis la courbe de ses seins, l’arrondi de son ventre, à travers le vêtement.
Laissant tomber le string, je la débarrasse de son chemisier. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses deux globes dressés se soulèvent et frémirent. Je les prends dans mes mains. Les pétrit en tournant. Mes pouces frottent les aréoles sombres. Les bouts durcirent.
Je pince les tétons pointés. Les fais rouler entre mes doigts. Ma femme, devenue silencieuse, dégrafe l’attache de sa jupe. Et se presse à la faire tomber à terre en décollant ses fesses du cuir. Son ventre libéré. Sa touffe est à l’air.
Je caresse son corps maintenant nu. Puis elle pose ses talons en appuie sur le rebord du canapé. M’invitant ainsi, à enfuir mon visage dans son nid odorant. Pendant un long moment, je frotte ma bouche contre son intimité. Jusqu’à ce qu’un spasme lui fasse serrer les cuisses. L’odeur chaude de sa mouille monte jusqu’à mes narines.
Mes caresses sont douces, patientes, diaboliques. Mes doigts passent et repassent sur ses cuisses. Sur son pubis, partout. Sous les attouchements fugitifs, elle a des agacements à fleur de peau. Sa poitrine se gonfle. Dure comme du marbre. Elle halète, secoue la tête.
Inlassablement, ils vont et viennent sur le même rythme lent et obstiné. Des frissons courent sur tout son corps, elle se tend, mais mes doigts ne s’arrêtent jamais. Je lui souffle :
- Je vais bouffer ta chatte, comme tu aimes !
De la pointe de ma langue, je lèche sa raie. M’attardant sur le pourtour du sphincter pendant qu’elle se masturbe. Très proche l’un de l’autre, ses deux orifices bâillent. Je vois son doigt traversé les poils, les pénétrer tour à tour.
Au moment où je décolle mes lèvres gluantes de sa fente, la collerette mauve de son anus s’arrondie, avant de se rétracter. Dans les secondes suivantes, elle amplifie le mouvement, libérant les muqueuses écarlates. L’anus se retourne comme un gant, formant un entonnoir.
Je fais durcir le bout de ma langue que j’enfile dans son trou du cul. Pendant que je fais coulisser ma langue dans son rectum, ses grandes lèvres poisseuses se frottent à mon nez. Elle ne tarde pas à jouir comme une pucelle. En ahanant.
Se renversant avec un râle d’extase, elle me laisse lui soulever les jambes. Après mettre défait, et sans perdre de temps, je plie les genoux pour me présenter face à son sexe.
Ma bite s’écrase sur le pubis dont ses poils chatouillèrent mon gland. C’était très agréable ! Impatiente ma femme se saisie de ma queue et l’amène entre ses lèvres intimes. D’un coup de reins, ma verge glisse au plus profond du vagin. Je savoure cet instant. Où, les parois intimes, épouse pour mon plus grand bonheur mon gland. Je commence une cavalcade lente. Profitant pour plaquer son pied droit, contre mon nez. Dont l’odeur est aussi intense que celui de son cul.
C’est alors que j’aperçois dans le reflet du miroir, une silhouette du côté de la haie. Et tout ça accompagné d’un chant langoureux, sortant de la bouche de ma femme, qui se termine par des halètements, de plus en plus rapprochés.
Tout en me concentrant de ce qui se passe du côté de la haie, je monte et descend mon nez le long de sa plante de pied. Inspirant plus qu’expirant. Essayant de définir où l’odeur était la plus forte.
Je me sens grossir encore. Le talon me semble un bon candidat. Cependant, arrivé à la base des orteils, je faillis exploser sur-le-champ.
C’était bien là où l‘odeur était la plus forte. Là où la sueur, le vieux cuir ont fait des merveilles. Tout en la besognant, et en surveillant le voyeur, je pends délicatement deux orteils que j’écarte afin d’y enfoncer mon nez. Le visage de ma femme se met à remuer avec une régularité d’un métronome.
Sous mes ondulations habiles, elle se met à haleter de plus belle. Projetant son ventre en avant pour s’offrir davantage à ma queue frétillante qui la fouille.
Elle pousse des cris comme jamais, quand le plaisir la fauche. De mon côté je délire tant l’excitation me submergea. Tout en suçant ses orteils, je sorts ma queue souillée que j’empoigne dans ma main droite faisant aller et venir mon poignet jusqu’à l’éjaculation. Souillant la poitrine de ma belle, en espérant que le voyeur est assisté à cela.
Il est temps pour nous, de reprendre chacun nos occupations. C’est alors que ma femme m’apprend.
-Tu as vue le voisin ?
-C’était lui, du côté de la haie.
-Qui d’autre.
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