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Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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-Salut voisin, fais-je à l’intention du vieux monsieur en train de désherber son jardin.
Le même qui avait joué le voyeur la veille.
-Ça va Alain ? Me répondit-il, en s’avançant jusqu’au grillage.
-Oui, et vous ?
- Ma foie, oui ! J’ai eu du mal à trouver le sommeil.
-Rien de grave au moins ?
-Non, non !
Je pense, et cela sans mal que notre péripétie de la veille en est pour quelque chose. J’attends un certain temps avant de lui parler de la veille.
- Mais dite-moi ? C’était donc vous hier soir ?
-Tu parles de quoi ?
- Oui bien sûr ! Et du type qui jouer les voyeurs, hier soir alors que je faisais l’amour à ma femme.
-…
-Sachez, qu’entre-nous cela à donner du piquant à notre relation. J’ai trouvé cela des plus excitants. Vous savez avec ma femme ses derniers temps, ce n’est pas le pied au lit (Mentais-je). Alors, tout est bon à prendre, et un voyeur suffit pour mettre du grain à mon moulin, si vous voyez ce que je veux dire ?
-Oui ! J’avoue c’était bien moi. Mais cela c’est fait naturellement alors que j’allais chercher du bois. Dans un premier temps cela m’a fait sourire, et l’excitation m’a poussé à jouer le spectateur.
-Cela vous dit de remettre ça ce soir ?
-Alain ! Voyons, tu vas me prendre pour qui ?
-Aller George. Prenez cela pour un service pour moi.
-Je ne sais quoi dire. Tu me mets mal à l’aise, Alain.
-Mais il ne faut pas George. Croyez-moi, si je vous le propose c’est que j’ai le désir fortement. Vous ne pensez même pas le bien que vous me faite. Et je ne vous parle pas de ma femme !
L’invite est lancée ! Et sur ce dernier mot, je m’éloigne du grillage, laissant George pensif. Et sans prendre la peine de me retourner, je lui lance un avenant :
-A ce soir George, 21H30 donc du côté de la chambre ! Cela vous va ? Je compte sur votre présence, George.
Seul dans la journée, chez moi, je tourne en rond. Heureusement j’ai Internet, et ses sites de cul. Ces longues séances d’excitation et de masturbation me permette de me faire patienter, jusqu’à l’arrivé de ma femme et des enfants.
La soirée se déroule comme d’habitude, jusqu’au ce que l’horloge indique 21H25.
Il est temps. J’espère que George est au rendez-vous ! Là je prends la main de ma femme pour la délogé du divan, alors qu’elle regardait la télé. Sourire aux lèvres, ma femme devine mon intention. Sitôt la porte fermée dans notre chambre, elle se retrouve très vite sans vêtements. Je la fais prendre place sur le bureau. Prenant ce dernier pour un podium. Comme je l’avais longuement réfléchie, calculé dans l’après-midi. Pour donner un maximum d’atout à notre cher George
La malicieuse mouille comme une fontaine. Ses longues nymphes débordent de sa fente qui s’ouvre comme des pétales autour du vagin. Le clitoris pointe. Je me mets à la lécher d’une extrémité à l’autre de la vulve, m’attardant sur son bouton, ses petites lèvres, les bords de son vagin.
Elle me caresse les cheveux, alors que j’enfile ma langue dans l’entrée de son con. D’un mouvement convulsif, elle appuie fort son ventre contre ma figure et jouit à grand renfort de coups de reins accompagnés de soupirs bruyants.
Je me redresse, je me défroque. Exhibe fièrement ma queue bandée à bloc, et enfonce ma queue avec vigueur dans sa fente baveuse de ma femme. Elle suffoque la mouilleuse, avant de creuser les reins. Après m’être fiché en elle jusqu’à la garde. Je la prends dans mes bras. Mes mains sous ses fesses pour la maintenir à la bonne hauteur. Là, je me place au plus près de la fenêtre. Je veux que George assiste aux premières loges à ce coït.
Lui n’en faut pas plus à ma femme pour être rattrapé par un orgasme. Qu’elle manifeste fortement à qui veut l’entendre. Pousser par un tel déchaînement, je me mets à la pistonner sans ménagement, et cela pendant une bonne dizaine de minutes. A grands coups de boutoir cadencés. Sans que je ne ressente pourtant, un seul petit picotement, signe d’une arrivée prochaine d’un orgasme. Je dois cela à mes plaisirs solitaires de l’après-midi.
Ma femme quant à elle, est très vite emportée par un second orgasme.
-T’aime ça, salope jouir ?
-J’aime ta bite… Bon dieu, elle est dure, elle est bonne ! Vas-y, baise-moi encore, fort, baise ta femelle préférée ! Je suis ta salope, me hurle-t-elle.
Une forte odeur de sexe emplie la pièce. Tout en la besognant toujours debout, et près de la fenêtre, je fouille la raie. Vissant mon index dans l’anus copieusement lubrifier par sa tonne de mouille qui s‘est écoulé plus tôt de son con. Je fais tourner le doigt aisément, dans l’orifice dilaté.
A bout de souffle, et incapable de poursuivre mon coït debout, je pose ma femme sur le lit. Là, je sors ma queue de sa chatte. Elle est souillée de sécrétion épaisse. Je positionne les cuisses de ma femme en l’air, les genoux contre les seins. Elle se tient par cette posture, offerte à tous mes caprices. Je frotte mon sexe gluant entre ses fesses, puis contre l’anneau trié. De bas en haut, frottant mon gland contre la bague culier de ma femme, qui se fait de plus en plus accueillant. Palpitant, la cavité se fait plus évasée. Je pose mon gland contre l’anneau sombre. Je pèse contre le muscle qui, ne met pas longtemps à céder. J’ai le plaisir de voir mon membre écarteler son cul, s’enfonçant inexorablement.
Ma femme, les yeux mi-clos, savoure cette pénétration. Je crie, pour bien faire savoir au voyeur que j’encule ma femme :
- Tu aimes avoir ma queue dans le cul, salope !
- Oui… J’aime…
-Dis le plus fort !
Oui, oui, oui… défonce-moi le cul comme une garce, comme le mérite la truie en chaleur que je suis.
Elle escorte cette ardente supplique de féroces ruades du popotin, répondant ainsi avec enthousiasme à mon enculade. Un vrai délire s’empare d’elle qu’elle me communique. Je la sodomise avec fureur, me cramponnant à ses hanches.
-Tu aimes ça, pouffiasse, que je te branle le cul !
-Oh oui, j’adore, vas-y, encore plus fort !
Je me lance dans une chevauchée fantastique, la pistonnant à perdre mon souffle.
-Oui ! Vas-y ! Défonce-moi !
Durant ce temps, elle se masturbe furieusement, ses ongles égratignant parfois mes testicules ballottant qui passent juste à côté de ses doigts. Je rugie alors que ma femme gémit.
-Ah que c’est bon d’être dans ton cul, petite salope ! Ah que c’est bon de bon !
-Continue comme ça sale enculeur ! Encore ! Encore !
La cavalcade continue de longs instants. Le cul labouré, la chatte exacerbée, ma femme perd encore plus pied. Que c’est dur de se retenir, à ne pas lâcher ma jouissance. C’est trop bon ! C’est l’un des meilleurs coups de ma vie ! J’espère que George assiste à ça ! Soudain un long hululement fend le silence :
-Aaah oui ! Oui ! Oui ! Ouiii ! Ouiii ! Oh ouiii !
Ma femme jouit certainement comme une petite folle, le cul enflammé par mes va-et-vient. N’y tenant plus, je me laisse aller moi aussi, inondant son cul :
-Aaah oui ! Prends ça, et ça, et encore ça, salope ! Aaah, je vais te remplir le cul de mon foutre ! Aaah !
-Ah oui ! Remplis-moi le cul, encore ! Encore ! Aaah !
Le lendemain, une fois seul, je me mets à chercher George dans son jardin. Je le trouve du côté du verger. Après le salut d’usage, le voisin me fait alors, une drôle de confession.
-Je ne te cache pas que j’ai pris un pied d’enfer.
-Vous m’en voyez ravie, George.
-J’aurai bien maintenant, Alain, une suggestion à te dire.
-Allez-ci George je vous écoute.
-Eh bien, c’est que… c’est très compromettant…
-Lâchez-vous George, je suis ouvert à tout…
-Comme tu peux savoir, j’ai un âge qui fait que… enfin tu comprends ! Et j’aurais aimé donner un plaisir à ma femme. Pour la remercier de tout ce qu’elle m’a donné depuis toujours.
-Et c’est quoi ?
- C’est assez délicat. Mais je vais être direct ! Voilà, à plusieurs reprises, avec ma femme, nous avons imaginé qu’un tiers nous rejoignez lors de nos relations. Et cela nous a toujours eus pour effet de nous procurer un élan d’excitation important. Alors je me disais, enfin si cela te dit, je voudrais que ce tiers ce sois toi.
-C’est que ce n’est pas une mince affaire ce que tu me dis là. Et votre femme est au courant ?
-Pas du tout ! Mais je pense qu’elle ne serait pas contre. Surtout avec les temps qui cour.
-C’est-à-dire ?
-Je suis loin de la satisfaire sexuellement.
-Vous savez, de vous à moi, George, vous pouvez compenser votre manque d’érection par d’autre chose !
-Je sais bien fiston, mais chez moi non. Alors ma pauvre femme subit. Et c’est pourquoi que de temps en temps, un orgasme par-ci par-là ne serait pas pour lui déplaire.
-Ce n’est pas que je ne veux pas George tout au contraire, j’aime donner du plaisir. Mais le après me gêne, profondément.
-Je ne comprends pas là !
-Je vous explique. Je dis oui, on se donne un rendez-vous. J’arrive, je fais le pourquoi du rendez-vous, et après. Comment on vis cela, alors que nous sommes voisin.
-Tu veux sans doute parler de notre gêne réciproque une fois l’excitation passée.
-Voilà !
-Oui, c’est vrai, je n’avais pas pensé à cela. Oubliant ça, alors !
-A moins que…
-Vas-y… expose…
-Voilà ce que nous allons faire…
Et là je me mets à lui formuler mon idée. Cela prend un certain temps. Un temps où il reste silencieux, il m’écoute. Une fois ma pensée achevée, il réfléchi un moment avant de me répondre :
-Cela me va ! Oui je dirai même que c’est une excellente proposition.
-Alors quand ?
Une nouvelle fois, il réfléchi un moment. Il me regarde, amusé et dit :
-Le plus tôt possible.
Et très vite on accouche d’un rendez-vous. Pour la semaine suivante. Le jour J approchant, il me demande si je veux toujours qu’on tente cette expérience. Je réponds par l’affirmative. Il lâche, alors :
-Très bien. Alors, je vais tout faire pour qu’elle soit désirable. Tu sais Alain, elle me demande qui est l’éventuel invité-mystère. Et dès que je parle à quelqu’un, elle m’espionne, en se demandant sans doute si c’est lui à qui je viens de faire une proposition indécente. À chaque fois, je la regarde en lui faisant non de la tête… et elle rit.
La nuit vient de tomber alors que je pousse le portail de la maison de George. Il m’attend au pas le la porte d’entrée.
-Je l’ai fait de déshabillée. J’ai noué un foulard autour des yeux, attaché les mains dans le dos, et comme convenu allongée sur le lit. A toi de jouer.
Il me guide jusqu’à la chambre. Il m’ouvre la porte de la chambre. La pièce est copieusement éclairée par les deux lampes à chevet. Elle était superbe, Francine la femme à George, jambes repliées et ouvertes, avec son foulard sur les yeux et ses mains dans le dos qui font saillir ses seins. Elle a la mâchoire serrée, mais ses seins montent et descendent quand elle respire. Je regarde le mari qui me sourit. La situation m’excite au plus haut point.
Je m’approche jusqu’au lit, jusqu’à la toucher. Je me saisis de la cheville droite. Je déchausse son pied, que je porte à mes lèvres pour un baiser. Une envie chez moi, qui date de longtemps, et qu’enfin je réalise. J’en profite pour lui lécher le pied dans sa totalité.
Ceci réalisé, je lui lève les jambes et replié les cuisses de chaque côté de son ventre. Cette position exhibe son sexe, l’écarte encore plus et l’offre à ma vue. Je le contemple longtemps. Je suis sous le charme de son gazon poivre et sel. Je passe le gras de mon index le long de sa fente, pour l’ouvrir. Elle tremble, et pousse un petit cri. Son sexe rose brille. Cette toile me fait bander. Je fais filer le dos de ma main sur son sexe, sur l’intérieur de ses cuisses. Elle frissonne. Sa bouche est ouverte, son corps tendu.
Je pose le bout de ma langue sur sa fente, et la remonte comme pour l’ouvrir. Son réflexe est de gémir. Puis elle se cambre, ouvre encore un peu plus, le compas de ses cuisses. Elle s’offre complètement la coquine, et son clitoris est dur, autant que ma queue. Je devine fortement, qu’elle espère que ma langue se concentre sur cette zone. Alors je fais l’inverse, je pénètre son vagin, et remonte l’instant d’après ma langue jusqu’à son clitoris, et je recommence cet activité, qu’elle accompagne ma caresse buccale de son bassin.
George s’est approché au plus près du lit. Il est témoin, de l’accélération de la respiration de sa femme. Elle halète presque. Je poursuis mon mouvement ascendant de la langue, depuis son vagin jusqu’à son clitoris. Elle pousse sur ses pieds pour accompagner ma langue. Elle gémit de plus en plus fort.
C’est le signe précurseur d’une arrivée prochaine d’un orgasme. D’ailleurs pu de temps après elle jouit, dans une plainte très aiguë, tandis qu’avec son bassin, elle tente d’échapper à ma caresse buccale. Elle serre les jambes. Sa bouche est ouverte. Elle respire fortement. Je bande de plus en plus dur. Je ne sais pas ce qui me retient de la prendre, de la baiser. Sans doute la promesse donnée à George, pas de pénétration. Je suis frustré par ce désir inassouvi.
Alors, je profite de l’instant qui met donné pour offrir des caresses à Francine, qui en a un grand besoin. Je m’occupe alors de ses deux sphéricités. Ils sont potelés, lisse et rond. Je lui donne une petite fessée qui fait vibrer agréablement ses deux masses, tel un gâteau gélatineux.
L’instant d’après, j’écarte ses fesses et scrute son petit puits ourlé. Je m’autorise de donner quelques petits coups de langue. Outre la chaleur, c’est le goût âcre qui me surprend le plus. Cette flagrance emplit instantanément ma bouche avant même que je ne lui prodigue le moindre léchage. J’émets un petit râle d’appréciation qui m’encourage à profaner son cul. Encore quelques coups de langue, conséquence, Francine respire de plus en plus fort, pousse de longs soupirs entrecoupés de faibles gémissements, ce qui attire mon attention et je comprends que Francine désire vraiment que je m’occupe de son postérieur. Elle ne désire que ça la cochonne ! J’ose alors une caresse plus audacieuse, frôlant son anneau de mon index. Francine ronronne comme une chatte.
Cela m’électrise et me fait perdre patience, pressée de mieux faire connaissance avec sa croupe.
Je lance ma langue, partir à la découverte de plis odorants et moites. Elle se laisse totalement aller, lâchant de petits cris de plus en plus rapprochés. Ma langue s’enfonce un peu dans son petit trou qui me paraît trop souple pour être inexploré.
Je lui "bouffe le cul" comme un mort de faim, à m’en faire mal aux mâchoires. Tant je m’applique à vouloir la faire gémir, voir l’entendre crier son contentement. Francine jouit, cambrée, bouche grande ouverte. Je retire la mienne pour reprendre mon souffle, c’est alors que George m’interpelle :
-Vise ça ! Je bande ! Oui, je bande…
Effectivement il bande. Je m’écarte de Francine et par gestes précis, l’invite a fourrer sa femme.
-Pourquoi pas ! Lâche-t-il en ricanant. Ça fait bien longtemps.
Les yeux dans les siens je l’encourage silencieusement pour ne pas que Francine reconnaisse ma voix.
George me sourit et lentement se place entre les jambes de sa femme. C’est l’instant où je décide de quitter les lieux. Je ne suis plus à ma place dans cette pièce. Une minute plus tard je suis dans la rue, marchant comme un automate vers mon portail de jardin que je fais tourner sur ses gonds.
Ce que je retire de cette expérience ? Eh bien c’est que j’ai rendu heureux un couple formidable.
Et par la suite, j’ai eu la chance que George fasse de nouveau appel à mes services. Et cela pour le plaisir de tous le monde…
Le même qui avait joué le voyeur la veille.
-Ça va Alain ? Me répondit-il, en s’avançant jusqu’au grillage.
-Oui, et vous ?
- Ma foie, oui ! J’ai eu du mal à trouver le sommeil.
-Rien de grave au moins ?
-Non, non !
Je pense, et cela sans mal que notre péripétie de la veille en est pour quelque chose. J’attends un certain temps avant de lui parler de la veille.
- Mais dite-moi ? C’était donc vous hier soir ?
-Tu parles de quoi ?
- Oui bien sûr ! Et du type qui jouer les voyeurs, hier soir alors que je faisais l’amour à ma femme.
-…
-Sachez, qu’entre-nous cela à donner du piquant à notre relation. J’ai trouvé cela des plus excitants. Vous savez avec ma femme ses derniers temps, ce n’est pas le pied au lit (Mentais-je). Alors, tout est bon à prendre, et un voyeur suffit pour mettre du grain à mon moulin, si vous voyez ce que je veux dire ?
-Oui ! J’avoue c’était bien moi. Mais cela c’est fait naturellement alors que j’allais chercher du bois. Dans un premier temps cela m’a fait sourire, et l’excitation m’a poussé à jouer le spectateur.
-Cela vous dit de remettre ça ce soir ?
-Alain ! Voyons, tu vas me prendre pour qui ?
-Aller George. Prenez cela pour un service pour moi.
-Je ne sais quoi dire. Tu me mets mal à l’aise, Alain.
-Mais il ne faut pas George. Croyez-moi, si je vous le propose c’est que j’ai le désir fortement. Vous ne pensez même pas le bien que vous me faite. Et je ne vous parle pas de ma femme !
L’invite est lancée ! Et sur ce dernier mot, je m’éloigne du grillage, laissant George pensif. Et sans prendre la peine de me retourner, je lui lance un avenant :
-A ce soir George, 21H30 donc du côté de la chambre ! Cela vous va ? Je compte sur votre présence, George.
Seul dans la journée, chez moi, je tourne en rond. Heureusement j’ai Internet, et ses sites de cul. Ces longues séances d’excitation et de masturbation me permette de me faire patienter, jusqu’à l’arrivé de ma femme et des enfants.
La soirée se déroule comme d’habitude, jusqu’au ce que l’horloge indique 21H25.
Il est temps. J’espère que George est au rendez-vous ! Là je prends la main de ma femme pour la délogé du divan, alors qu’elle regardait la télé. Sourire aux lèvres, ma femme devine mon intention. Sitôt la porte fermée dans notre chambre, elle se retrouve très vite sans vêtements. Je la fais prendre place sur le bureau. Prenant ce dernier pour un podium. Comme je l’avais longuement réfléchie, calculé dans l’après-midi. Pour donner un maximum d’atout à notre cher George
La malicieuse mouille comme une fontaine. Ses longues nymphes débordent de sa fente qui s’ouvre comme des pétales autour du vagin. Le clitoris pointe. Je me mets à la lécher d’une extrémité à l’autre de la vulve, m’attardant sur son bouton, ses petites lèvres, les bords de son vagin.
Elle me caresse les cheveux, alors que j’enfile ma langue dans l’entrée de son con. D’un mouvement convulsif, elle appuie fort son ventre contre ma figure et jouit à grand renfort de coups de reins accompagnés de soupirs bruyants.
Je me redresse, je me défroque. Exhibe fièrement ma queue bandée à bloc, et enfonce ma queue avec vigueur dans sa fente baveuse de ma femme. Elle suffoque la mouilleuse, avant de creuser les reins. Après m’être fiché en elle jusqu’à la garde. Je la prends dans mes bras. Mes mains sous ses fesses pour la maintenir à la bonne hauteur. Là, je me place au plus près de la fenêtre. Je veux que George assiste aux premières loges à ce coït.
Lui n’en faut pas plus à ma femme pour être rattrapé par un orgasme. Qu’elle manifeste fortement à qui veut l’entendre. Pousser par un tel déchaînement, je me mets à la pistonner sans ménagement, et cela pendant une bonne dizaine de minutes. A grands coups de boutoir cadencés. Sans que je ne ressente pourtant, un seul petit picotement, signe d’une arrivée prochaine d’un orgasme. Je dois cela à mes plaisirs solitaires de l’après-midi.
Ma femme quant à elle, est très vite emportée par un second orgasme.
-T’aime ça, salope jouir ?
-J’aime ta bite… Bon dieu, elle est dure, elle est bonne ! Vas-y, baise-moi encore, fort, baise ta femelle préférée ! Je suis ta salope, me hurle-t-elle.
Une forte odeur de sexe emplie la pièce. Tout en la besognant toujours debout, et près de la fenêtre, je fouille la raie. Vissant mon index dans l’anus copieusement lubrifier par sa tonne de mouille qui s‘est écoulé plus tôt de son con. Je fais tourner le doigt aisément, dans l’orifice dilaté.
A bout de souffle, et incapable de poursuivre mon coït debout, je pose ma femme sur le lit. Là, je sors ma queue de sa chatte. Elle est souillée de sécrétion épaisse. Je positionne les cuisses de ma femme en l’air, les genoux contre les seins. Elle se tient par cette posture, offerte à tous mes caprices. Je frotte mon sexe gluant entre ses fesses, puis contre l’anneau trié. De bas en haut, frottant mon gland contre la bague culier de ma femme, qui se fait de plus en plus accueillant. Palpitant, la cavité se fait plus évasée. Je pose mon gland contre l’anneau sombre. Je pèse contre le muscle qui, ne met pas longtemps à céder. J’ai le plaisir de voir mon membre écarteler son cul, s’enfonçant inexorablement.
Ma femme, les yeux mi-clos, savoure cette pénétration. Je crie, pour bien faire savoir au voyeur que j’encule ma femme :
- Tu aimes avoir ma queue dans le cul, salope !
- Oui… J’aime…
-Dis le plus fort !
Oui, oui, oui… défonce-moi le cul comme une garce, comme le mérite la truie en chaleur que je suis.
Elle escorte cette ardente supplique de féroces ruades du popotin, répondant ainsi avec enthousiasme à mon enculade. Un vrai délire s’empare d’elle qu’elle me communique. Je la sodomise avec fureur, me cramponnant à ses hanches.
-Tu aimes ça, pouffiasse, que je te branle le cul !
-Oh oui, j’adore, vas-y, encore plus fort !
Je me lance dans une chevauchée fantastique, la pistonnant à perdre mon souffle.
-Oui ! Vas-y ! Défonce-moi !
Durant ce temps, elle se masturbe furieusement, ses ongles égratignant parfois mes testicules ballottant qui passent juste à côté de ses doigts. Je rugie alors que ma femme gémit.
-Ah que c’est bon d’être dans ton cul, petite salope ! Ah que c’est bon de bon !
-Continue comme ça sale enculeur ! Encore ! Encore !
La cavalcade continue de longs instants. Le cul labouré, la chatte exacerbée, ma femme perd encore plus pied. Que c’est dur de se retenir, à ne pas lâcher ma jouissance. C’est trop bon ! C’est l’un des meilleurs coups de ma vie ! J’espère que George assiste à ça ! Soudain un long hululement fend le silence :
-Aaah oui ! Oui ! Oui ! Ouiii ! Ouiii ! Oh ouiii !
Ma femme jouit certainement comme une petite folle, le cul enflammé par mes va-et-vient. N’y tenant plus, je me laisse aller moi aussi, inondant son cul :
-Aaah oui ! Prends ça, et ça, et encore ça, salope ! Aaah, je vais te remplir le cul de mon foutre ! Aaah !
-Ah oui ! Remplis-moi le cul, encore ! Encore ! Aaah !
Le lendemain, une fois seul, je me mets à chercher George dans son jardin. Je le trouve du côté du verger. Après le salut d’usage, le voisin me fait alors, une drôle de confession.
-Je ne te cache pas que j’ai pris un pied d’enfer.
-Vous m’en voyez ravie, George.
-J’aurai bien maintenant, Alain, une suggestion à te dire.
-Allez-ci George je vous écoute.
-Eh bien, c’est que… c’est très compromettant…
-Lâchez-vous George, je suis ouvert à tout…
-Comme tu peux savoir, j’ai un âge qui fait que… enfin tu comprends ! Et j’aurais aimé donner un plaisir à ma femme. Pour la remercier de tout ce qu’elle m’a donné depuis toujours.
-Et c’est quoi ?
- C’est assez délicat. Mais je vais être direct ! Voilà, à plusieurs reprises, avec ma femme, nous avons imaginé qu’un tiers nous rejoignez lors de nos relations. Et cela nous a toujours eus pour effet de nous procurer un élan d’excitation important. Alors je me disais, enfin si cela te dit, je voudrais que ce tiers ce sois toi.
-C’est que ce n’est pas une mince affaire ce que tu me dis là. Et votre femme est au courant ?
-Pas du tout ! Mais je pense qu’elle ne serait pas contre. Surtout avec les temps qui cour.
-C’est-à-dire ?
-Je suis loin de la satisfaire sexuellement.
-Vous savez, de vous à moi, George, vous pouvez compenser votre manque d’érection par d’autre chose !
-Je sais bien fiston, mais chez moi non. Alors ma pauvre femme subit. Et c’est pourquoi que de temps en temps, un orgasme par-ci par-là ne serait pas pour lui déplaire.
-Ce n’est pas que je ne veux pas George tout au contraire, j’aime donner du plaisir. Mais le après me gêne, profondément.
-Je ne comprends pas là !
-Je vous explique. Je dis oui, on se donne un rendez-vous. J’arrive, je fais le pourquoi du rendez-vous, et après. Comment on vis cela, alors que nous sommes voisin.
-Tu veux sans doute parler de notre gêne réciproque une fois l’excitation passée.
-Voilà !
-Oui, c’est vrai, je n’avais pas pensé à cela. Oubliant ça, alors !
-A moins que…
-Vas-y… expose…
-Voilà ce que nous allons faire…
Et là je me mets à lui formuler mon idée. Cela prend un certain temps. Un temps où il reste silencieux, il m’écoute. Une fois ma pensée achevée, il réfléchi un moment avant de me répondre :
-Cela me va ! Oui je dirai même que c’est une excellente proposition.
-Alors quand ?
Une nouvelle fois, il réfléchi un moment. Il me regarde, amusé et dit :
-Le plus tôt possible.
Et très vite on accouche d’un rendez-vous. Pour la semaine suivante. Le jour J approchant, il me demande si je veux toujours qu’on tente cette expérience. Je réponds par l’affirmative. Il lâche, alors :
-Très bien. Alors, je vais tout faire pour qu’elle soit désirable. Tu sais Alain, elle me demande qui est l’éventuel invité-mystère. Et dès que je parle à quelqu’un, elle m’espionne, en se demandant sans doute si c’est lui à qui je viens de faire une proposition indécente. À chaque fois, je la regarde en lui faisant non de la tête… et elle rit.
La nuit vient de tomber alors que je pousse le portail de la maison de George. Il m’attend au pas le la porte d’entrée.
-Je l’ai fait de déshabillée. J’ai noué un foulard autour des yeux, attaché les mains dans le dos, et comme convenu allongée sur le lit. A toi de jouer.
Il me guide jusqu’à la chambre. Il m’ouvre la porte de la chambre. La pièce est copieusement éclairée par les deux lampes à chevet. Elle était superbe, Francine la femme à George, jambes repliées et ouvertes, avec son foulard sur les yeux et ses mains dans le dos qui font saillir ses seins. Elle a la mâchoire serrée, mais ses seins montent et descendent quand elle respire. Je regarde le mari qui me sourit. La situation m’excite au plus haut point.
Je m’approche jusqu’au lit, jusqu’à la toucher. Je me saisis de la cheville droite. Je déchausse son pied, que je porte à mes lèvres pour un baiser. Une envie chez moi, qui date de longtemps, et qu’enfin je réalise. J’en profite pour lui lécher le pied dans sa totalité.
Ceci réalisé, je lui lève les jambes et replié les cuisses de chaque côté de son ventre. Cette position exhibe son sexe, l’écarte encore plus et l’offre à ma vue. Je le contemple longtemps. Je suis sous le charme de son gazon poivre et sel. Je passe le gras de mon index le long de sa fente, pour l’ouvrir. Elle tremble, et pousse un petit cri. Son sexe rose brille. Cette toile me fait bander. Je fais filer le dos de ma main sur son sexe, sur l’intérieur de ses cuisses. Elle frissonne. Sa bouche est ouverte, son corps tendu.
Je pose le bout de ma langue sur sa fente, et la remonte comme pour l’ouvrir. Son réflexe est de gémir. Puis elle se cambre, ouvre encore un peu plus, le compas de ses cuisses. Elle s’offre complètement la coquine, et son clitoris est dur, autant que ma queue. Je devine fortement, qu’elle espère que ma langue se concentre sur cette zone. Alors je fais l’inverse, je pénètre son vagin, et remonte l’instant d’après ma langue jusqu’à son clitoris, et je recommence cet activité, qu’elle accompagne ma caresse buccale de son bassin.
George s’est approché au plus près du lit. Il est témoin, de l’accélération de la respiration de sa femme. Elle halète presque. Je poursuis mon mouvement ascendant de la langue, depuis son vagin jusqu’à son clitoris. Elle pousse sur ses pieds pour accompagner ma langue. Elle gémit de plus en plus fort.
C’est le signe précurseur d’une arrivée prochaine d’un orgasme. D’ailleurs pu de temps après elle jouit, dans une plainte très aiguë, tandis qu’avec son bassin, elle tente d’échapper à ma caresse buccale. Elle serre les jambes. Sa bouche est ouverte. Elle respire fortement. Je bande de plus en plus dur. Je ne sais pas ce qui me retient de la prendre, de la baiser. Sans doute la promesse donnée à George, pas de pénétration. Je suis frustré par ce désir inassouvi.
Alors, je profite de l’instant qui met donné pour offrir des caresses à Francine, qui en a un grand besoin. Je m’occupe alors de ses deux sphéricités. Ils sont potelés, lisse et rond. Je lui donne une petite fessée qui fait vibrer agréablement ses deux masses, tel un gâteau gélatineux.
L’instant d’après, j’écarte ses fesses et scrute son petit puits ourlé. Je m’autorise de donner quelques petits coups de langue. Outre la chaleur, c’est le goût âcre qui me surprend le plus. Cette flagrance emplit instantanément ma bouche avant même que je ne lui prodigue le moindre léchage. J’émets un petit râle d’appréciation qui m’encourage à profaner son cul. Encore quelques coups de langue, conséquence, Francine respire de plus en plus fort, pousse de longs soupirs entrecoupés de faibles gémissements, ce qui attire mon attention et je comprends que Francine désire vraiment que je m’occupe de son postérieur. Elle ne désire que ça la cochonne ! J’ose alors une caresse plus audacieuse, frôlant son anneau de mon index. Francine ronronne comme une chatte.
Cela m’électrise et me fait perdre patience, pressée de mieux faire connaissance avec sa croupe.
Je lance ma langue, partir à la découverte de plis odorants et moites. Elle se laisse totalement aller, lâchant de petits cris de plus en plus rapprochés. Ma langue s’enfonce un peu dans son petit trou qui me paraît trop souple pour être inexploré.
Je lui "bouffe le cul" comme un mort de faim, à m’en faire mal aux mâchoires. Tant je m’applique à vouloir la faire gémir, voir l’entendre crier son contentement. Francine jouit, cambrée, bouche grande ouverte. Je retire la mienne pour reprendre mon souffle, c’est alors que George m’interpelle :
-Vise ça ! Je bande ! Oui, je bande…
Effectivement il bande. Je m’écarte de Francine et par gestes précis, l’invite a fourrer sa femme.
-Pourquoi pas ! Lâche-t-il en ricanant. Ça fait bien longtemps.
Les yeux dans les siens je l’encourage silencieusement pour ne pas que Francine reconnaisse ma voix.
George me sourit et lentement se place entre les jambes de sa femme. C’est l’instant où je décide de quitter les lieux. Je ne suis plus à ma place dans cette pièce. Une minute plus tard je suis dans la rue, marchant comme un automate vers mon portail de jardin que je fais tourner sur ses gonds.
Ce que je retire de cette expérience ? Eh bien c’est que j’ai rendu heureux un couple formidable.
Et par la suite, j’ai eu la chance que George fasse de nouveau appel à mes services. Et cela pour le plaisir de tous le monde…
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