Expérience au cinéma - histoire érotique

Nous en rêvions tous les deux.


J’étais en couple avec Louna depuis 1 an. C’était une jeune rousse de 20 ans, plutôt grande et mince aux longues jambes élancées. Elle avait un petit visage angélique, encore juvénile, caractéristique de ces jeunes filles devenues femmes.


Dès le début de notre relation, le sexe avait été matière à célébrations. Nous avions ce même amour pour l’exhibitionnisme, la même excitation du risque de se faire prendre. Elle m’avait attiré dans la cage d’escalier de son appartement pour la prendre sauvagement en revenant d’un concert. Une autre fois c’est moi qui l’avais prise à part dans une ruelle pour la doigter abondamment jusqu’à un orgasme étouffé de mon autre main libre. Notre dernière aventure remontait à un voyage en car, pendant lequel nous nous étions amusés à nous masturber l’un l’autre jusqu’à jouir au milieu des autres passagers endormis.


Depuis, nous nous étions restreints aux lieux plus communs, baptisant chaque pièce de notre appartement. Plusieurs fois par jour.
Après un de nos énième ébat, qui avait commencé dans la cuisine pendant la préparation d’un repas pour finir sur le canapé, fenêtre ouverte, nous nous questionnions sur nos fantasmes.

- Tu voudrais le faire à plusieurs je suis sûre, affirma-t-elle
- J’ai envie d’essayer pleins de choses. Ça ne me dérangerait pas avec une autre fille…
- Une fille ? Et si moi j’ai envie de me faire deux gars ? Je veux être égoïste et tout garder pour moi !
- On peut y réfléchir… retorquai-je avec le sourire aux lèvres. Avant d’avoir plus de monde, tu ne voudrais pas le faire ailleurs ? Dans un endroit… public ?
Les yeux de Louna étaient parsemés d’étoiles.
- Tu veux dire, comme dans l’escalier ? Hum… je crois que j’aimerai bien le faire…
- Dans un cinéma ?! Je la coupais, trop impatient de savoir si elle partageait ce fantasme.
- Oh oui…

Sa réponse sincère m’excita. Nous nous embrassâmes fougueusement jusqu’à refaire l’amour, finissant cette fois notre course dans un renfoncement du couloir des parties communes, pouvant être pris sur le fait à la moindre occasion.


Le jour suivant je regardai sur internet les séances, les prochaines sorties et surtout les petits cinémas qui pouvaient accueillir le fruit de nos envies. Louna repéra un film à la première séance du dimanche matin. Il fallait qu’il y ait suffisamment de monde pour nous exciter, mais pas trop pour avoir un recoin un peu sombre à nous deux.
La fin de semaine passa trop lentement. Chaque soir, je m’imaginais ce moment fatidique où nous serions assis dans la salle.


Dimanche matin. Je m’étais levé assez tôt, trop impatient pour dormir plus longtemps. Nous prîmes une douche séparée, chacun se préparant de son côté pour ce moment. Trente minutes plus tard, je la vis apparaître à l’entrée de la chambre. Elle portait une superbe robe sombre, très courte, qui laissait entrevoir, pour celui qui prêtait attention, le début de son intimité. Pas de culotte. Elle n’en avait pas besoin. Elle me regarda avec un sourire coquin tout en s’approchant de moi. Elle caressa de sa main mon torse pendant que je me préparais, glissa doucement jusqu’à mon sexe qui durcit immédiatement à son contact. Elle murmura.

- Je ne porte rien sous cette robe. Je n’en ai pas envie… Mais tu sais de quoi j’ai envie, là tout de suite ?

Je fis simplement non de la tête, le souffle rapide. Elle écarta doucement l’élastique de mon caleçon pour prendre ma queue dans sa main chaude, elle fit quelques mouvements de bas en haut, puis se baissa. En face, le miroir de l’armoire me projeta l’image sensuelle de ma compagne, à genoux, dégustant sensuellement mon membre dressé. J’aperçu même l’esquisse de ses doigts se dirigeant vers son sexe humide. Je fermais les yeux…

- Je n’en ai pas si envie que ça finalement.


En rouvrant les yeux, j’observai Louna qui s’était relevée, me regardant avec provocation. Elle me fit un petit baiser sur la joue avant de partir, prenant soin de bien balancer ses fesses sous mes yeux. Quelle allumeuse !


En marchant dans la rue côte à côte, nous nous lancions des petits regards coquins. Personne ne prêtait attention à nous. Nous allions réaliser notre petit fantasme, nous étions seuls au monde.


En arrivant devant le cinéma, je sentais l’excitation monter. Il n’y avait évidemment aucun client à l’accueil, ce qui me permis de caresser discrètement sa fesse lorsqu’elle payait nos tickets. Louna me sourit et continua comme si de rien n’était. Nous arrivâmes devant la porte de la salle. C’était le grand moment.


Comme prévu, il n’y avait personne. Un couple de quarantenaires au milieu, une petite mamie vers les premiers rangs. Et personne derrière. Parfait.


Louna s’assit dans le coin, bien éloignée de la porte le plus au fond possible du rang. Nous étions en place. J’étais déjà trop serré dans mon pantalon. Louna devait bien le sentir. Tout en regardant avec concentration l’écran géant, sa main glissa sur mon entrejambe. Je vis à son sourire qu’elle était très satisfaite de ce qu’elle y trouvait. Doucement, elle massa ma queue à travers mon jean. Je ne voulais pas qu’elle soit en reste, et je commençai à lui peloter délicatement les seins, zone très sensible chez elle. Je sentais ses tétons durcir à travers sa robe. Elle se mordait la lèvre inférieure en me regardant. Le film n’avait pas encore commencé que nous avions déjà décroché.
Soudain, elle m’embrassa fougueusement, me dévorant littéralement la lèvre. En passant une main dans mes cheveux, elle forçait pour attirer ma tête entre ses jambes.

- Lèche-moi…


Je ne me fis pas prier. Elle s’enfonça un peu plus dans son siège pour me laisser l’angle parfait face à sa vulve, toute humide, appelant ma langue par de légers mouvements de bassin. Sa main appuya sur ma tête jusqu’à lui prodiguer mon premier coup de langue. Elle tressaillit. Je voulu lever la tête pour voir sa réaction mais sa main m’en empêchait. Son corps ondulait au rythme de mes mouvements. Je la bouffai intégralement. Elle émit un tout petit gémissement. Mon cœur s’emballa. Si quelqu’un nous avait entendu ? Ma langue parcoura son intimité, son clitoris gonflé, même son petit trou qui réagissait positivement à mes initiatives. Son petit plaisir dura quelques minutes, jusqu’à ce que je sente ses jambes trembler. Elle allait jouir. Je lui glissai un doigt pour amplifier son plaisir. Sa main serra mes cheveux, et m’appuya plus fort contre son sexe.


Lorsqu’elle lâcha prise, je remontai jusqu’à ses lèvres pour l’embrasser. Louna lécha la mouille qui me tachait le visage et me sourit. Je voyais à ses yeux le démon.

- A mon tour maintenant.

Elle se mit à genoux devant moi. La voir ainsi, prête à me sucer au risque de se faire attraper dans cette posture m’excita à mort. Je voyais les gens regarder innocemment leurs divertissements pendant que le mien baissait mon pantalon. Elle saisit mon membre d’une main pour venir poser sa langue sur mes bourses, et effectua une longue remontée jusqu’à mon gland. Belle entrée en matière. Tout en me regardant droit dans les yeux, elle prit le temps de lécher, branler, aspirer. J’avais envie qu’elle m’avale… Elle lisait dans mes pensées. D’un seul coup, sa bouche qui léchait doucement mon gland vint engloutir toute ma queue. Je sentis sa langue qui tournait autour de mon membre. Elle resta quelques secondes immobiles avant de commencer une série de va-et-vient amples, avalant chaque fois un peu plus tout en malaxant mes testicules d’une main experte. Je n’allais pas tenir longtemps à ce rythme.


Au bout de quelques minutes d’une pipe divine, je décidai de la relever pour la prendre. Ma verge bien humidifiée par sa bouche n’eut aucune difficulté à rentrer. Elle vint s’empaler sur moi, sa robe relevée laissant l’accès à son intimité. Ses mains agrippées aux accoudoirs, elle glissa doucement sur moi, retenant quelques petits gémissements en baissant la tête. Je lui tenais les hanches pour rentrer totalement en elle. Que c’était bon. S’ils se retournaient, les gens pourraient voir une jeune femme se faire mettre sans aucune gêne. Son corps s’étendit sur moi, ce que me permis d’accéder à son clitoris et ses seins. Chaque main était occupée pendant que je bougeais doucement mon bassin. Sa bouche au niveau de mon oreille me permettait d’entendre son souffle s’accélérer, sa respiration se saccader sous mes coups de reins.

- C’est tellement bon… baise moi bien oui !

L’entendre demander plus me rendait fou. Je la levai subitement me retirant soudainement d’elle.

- Qu’est-ce que tu…


Louna n’eut pas le temps de terminer sa phrase. Je la penchai en avant, l’obligeant à poser les mains sur le fauteuil situé devant elle. Sa croupe m’était tout offerte. J’adorais la voir positionnée ainsi, prête à me recevoir en levrette devant tous les spectateurs. Le premier coup fut puissant. Je rentrais sans sommation. Elle voulait que je la baise ? Très bien. Les mouvements étaient presque violents. Une main bâillonnait sa bouche pendant que l’autre lui caressait doucement les fesses.


Le mouvement des sièges, le discret claquement, nous allions nous faire attraper. Il n’y avait plus de doutes. S’ils se retournaient, si un seul gémissement sortait de la bouche de ma chère et tendre, c’était terminé pour nous. Le risque me rendait dingue. Je crois que je voulais presque que le couple se retourne pour nous voir. Voir la belle Louna, cambrée en avant, ondulant sous les coups de boutoir, à la limite de l’orgasme.
Ses jambes tremblèrent à nouveau. J’allais jouir moi aussi. J’accéléra le mouvement. En prenant à deux mains ses hanches, je m’enfonçai aussi loin que possible. Elle tourna légèrement la tête pour me regarder. Ma main plaquée sur sa bouche, ses yeux se révulsèrent. Dans un ultime coup de rein, je sentis sa chatte se contracter. L’orgasme qui suivit fut parfaitement synchronisé. Je lui offris quelques giclées chaudes tout au fond de son sexe. Respirant rapidement tous les deux, nous nous rassîmes, toujours l’un dans l’autre.


Etalée sur moi, je voyais sa poitrine se soulever rapidement pendant que sa bouche tentait d’avaler de grandes bouffées d’air frais. Je transpirais et tentais de reprendre mes esprits, pendant mon sexe dégonflait doucement dans l’intérieur de ma dame.
Après quelques secondes durant lesquelles nous nous embrassâmes tendrement, Louna finit par se lever doucement, mouchoir en main, pour revenir à sa place sans dégouliner sur le siège. En jetant un rapide coup d’œil autour, je ne vis personne agir différemment. Ils étaient toujours focalisés sur le film sans se douter un seul instant de notre ébat. Louna me sourit. Je l’embrassai encore.


Le reste de la séance se déroula normalement. Nous décidâmes même de rester pour le film, qui avait eu l’air très intéressant malgré notre manque flagrant de concentration… Je l’enlaçai, la caressa, tout le long du film. J’avais besoin de sentir sa peau. Elle se laissait faire, câline. A la sortie du film, nous regardions chaque spectateur avec un sourire. S’ils pouvaient se douter.

- J’aurais aimé qu’ils nous voient en train de baiser comme des bêtes je crois…
- C’est vrai ?
- Un peu, j’aime bien le risque…
- T’es une vraie exhibitionniste toi !
- Peut-être… C’est où la prochaine fois ?