Expérience du plaisir et découvertes des vertus de certains accessoires - histoire érotique

Expérience du plaisir et découvertes des vertus de certains accessoires

Ma Femme venait de révéler une vraie personnalité d’affamée du sexe et j’avais laissés durant toutes ces années de vie commune, au long de rapports sexuels conventionnels, cette chatte, cet anus et cette bouche dans une relative tranquillité.

Je m’étais souvent contenté d’une multitudes de pensées érotiques qui alimentaient mes fantasmes et m’amenaient au moins une fois par jour à solliciter mon braquemart pour quelques secondes de plaisir solitaire.

Je n’avais pas pris la peine des les explorer vraiment, tous ces trous et je n’avais pas osé briser les conventions, je n’étais pas allé jusqu’au bout de mes désirs…..et de mon imagination.

Le week-end était terminé et ma nouvelle maîtresse qui venait de se faire ramoner durant ces deux derniers jours, je devais l’abandonner pour une longue semaine de travail.

En se séparant, elle me glissa dans le creux de l’oreille qu’elle aimerait assez introduire durant mes absences l’un de ces plugs anals que nous n’avions pas osé acquérir quelques mois plutôt lorsque nous avions visité le Musée de l’Erotisme dans le quartier de Montmartre à Paris, et ceci n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd………

Malgré ses appréhensions en ce qui concernait la sodomie, car la douleur était quand même encore présente à l’issue de nos ébats, elle admettait que c’était plus qu’un palliatif dans nos rapports et qu’elle en éprouvait un plaisir nouveau qui supplantait la réticence et qu’il fallait persévérer dans cette voie…….

Je mettais à profit ma condition de célibataires et je fit quelques emplettes dans un de ces Sexe Shop ou bien des hommes viennent s’approvisionner en accessoires, vidéos et autres produits destinés au plaisir………le plus souvent individuels.

Je décidais de rentrer le W.E. avec un plug anal, un DVD porno, un godemichet fait dans une texture qui rappelait à s’y méprendre la peau d’une bite et dont la taille semblait tout de même respectable et avec un petit vibro-masseur plutôt charmant et lui de petite taille

Dès mon retour, la soirée de retrouvaille fut agitée, je lui remettais le petit cadeau qu’elle m’avait demandé, et elle décréta que je devrais moi-même lui enfiler dans les plus brefs délais. Nous nous retrouvâmes dans la chambre et après avoir assez sauvagement dénudé la partie basse de mon épouse, je la retournais, la mettais en position de levrette et lui appliquais cette fois-ci délicatement le plug anal qui trouva naturellement et parfaitement sa place.
Je voyais par les petites contractions que ma petite salope imprimait à son anus que les effets de cette implantation se faisaient immédiatement sentir.

Pendant que je finissais de la mettre à poil, elle se retourna et baissa mon pantalon que je retirais aussitôt, puis ce fût au tour de mon boxer de voler dans la pièce libérant ma bite au garde à vous bien sûr, et c’est avec une langue goulue qui passait de part et d’autre de sa fine bouche qu’elle se mit à me défier tout en soupesant mes couilles et en caressant doucement mon entrecuisse.

Elle me prit en bouche, tournant autour de la base de ma bite avec sa main libre et me pratiquant une fellation appliquée et sensuelle à la fois. Mon sexe était tendu au maximum, le gland rougit par le désir et je décidais d’abandonner ce fourreau pourtant très actif pour m’introduire dans sa grotte.

Je la poussais sur le lit, empoignait ces jambes pour les balancer sur mes épaules et m’introduisais dans cette chatte déjà dégoulinante de cyprine, je l’enfilais sans ménagement, j’en oubliais le plug anal qui finit par partir de son logement et c’est à ce moment là que dans une contraction de ses jambes le long de mon bassin qu’elle s’abandonna dans un orgasme d’une rare intensité qui me surprit autant qu’il me mit dans une joie suprême. Qui de moi ou de notre nouveau jouet avait été le plus actif dans le déclenchement de cette jouissance, je m’en moquais, l’important c’était de continuer à alimenter cette libido décuplée.

Ma petite bombe que je n’avais su satisfaire tout au long de trop longues années qu’avec des cunnilingus appliqués, venait de jouir sous mes coups de boutoir et en plus il me restait encore toute ma vigueur.

Je la laissais savourer son plaisir et comme je m’apprêtais à terminer le travail tout seul, elle me présenta son cul et m’invita à visiter à nouveau son petit trou laissé bien détendu par le court séjour cependant efficace de ce petit accessoire implanté plus tôt.

J’attrapais le gel intime, car il était hors de question de déchirer cet accès étroit, j’en appliquais délicatement l’entrée avec mon majeur et enduisais par la même ma bite toujours aussi tendue vers le désir. J’empoignais mon sexe et l’enfilais tout en douceur dans ce nouveau logement maintenant si accueillant.

J’allais au bout de la sodomisation de ma partenaire, je sentais mes couilles ballotter sur son intimité et mes mains agrippées sur ses hanches, malaxant ses petites fesses bien fermes, imprimaient un rythme lent mais soutenu à ce coït anal.
J’avais le sentiment que ma partenaire s’abandonnait comme jamais jusqu’alors, ouverte et détendue et ce sont ses soupirs de plaisir puis la montée de son nouvel orgasme, qui déclenchèrent chez moi une éjaculation comme un point final à notre jouissance commune.

Longtemps j’eus l’impression de rester dans son conduit, affalé sur elle, sa chaleur contre ma chaleur et lorsque je me retirais, un filet de sperme perla au bord de son anneau qui après s’être dilaté, se resserrait telle une grotte inviolée mais aussi finalement inassouvie….

Je n’avais pas utilisé les autres accessoires et je m’empressais de replacer le plug qui fut englouti sans difficulté par son petit trou……..ce début de soirée aurait une suite et nous décidâmes dans un premier temps d’aller prendre une petite pause en regardant la vidéo porno que j’avais acquis dans la semaine.

Bonne fin de soirée en perspective……