Expérience échangiste pour Florence. 3 - histoire érotique

EXPERIENCE ECHANGISTE POUR FLORENCE. 3

Nous avons en face de nos yeux écarquillés un cul qui se trémousse au dessus du pal. Tex la prend par la nuque et l’embrasse, lui caresse les seins. La femme tient héroïquement la verge monstrueuse et commence à s’empaler dessus. Mais son mari ferme le rideau, nous entendons sa femme geindre puis gueuler franchement à l’abri des regards lubriques des curieux. . Je ne voudrais pas être à sa place…
Suite :Nous sommes enfin dans un box libre pour réellement entamer nos ébats. Maxime commence à me caresser en m’embrassant, introduisant sa langue dans ma bouche. Je respire un peu plus fort, nous sommes assis face à face sur un banc, il a les jambes largement ouvertes qui encadrent les miennes. Il remue la paume de sa main à toute vitesse sur mon clito. Je commence à gémir, il ne sait pas ce qui l’attend…Maxime est surpris et arrête quand je gicle à grandes eaux. Il sourit enfin, aux anges mas complètement trempé par la femme fontaine que je suis. Mais moi aussi je veux faire ma part, je caresse son sexe dressé entre nous pendant qu’il me pétrit ma généreuse poitrine. Mais Maxime reprend l’initiative, il me fait allonger sur le banc et entreprend de me lécher la fente de sa langue pointue, il me titille le clito avec son majeur et je recommence à gémir doucement, en remuant mon bassin pour l’encourager.
Il s’étend sur moi, tête-bêche, me présentant sa belle queue bien épaisse. Je masse le gland doucement dans le creux de ma paume, puis je me mets à branler lentement son engin en prenant mon temps. Sa langue a pris le relais de son majeur sur mon clito pendant que plusieurs doigts écartent et plongent entre mes lèvres intimes. Ma main gauche accélère sur son engin palpitant, lui rendant la pareille. Je soulève légèrement ma tête et gobe sa verge tendue, la suçant, la pompant au même rythme que lui. Mon excitation est à son comble quand Maxime enfonce sa paume dans ma chatte et s’active sur mon point G.
Il déchaine immédiatement mon plaisir. Je suis obligée de stopper ma branlette tellement l’action de sa main me met en transe, je me vide à nouveau d’une cyprine abondante qu’il boit directement à la source. Je veux mois aussi le faire gicler, je le branle de toutes mes forces comme une folle, puis suce bien son gland, pompant ensuite sa lance que je fais disparaître peu à peu dans ma bouche. Je sens ses lèvres se crisper sur ma chatte. J’expulse l’engin de ma bouche ne gardant que me méat au contact des mes lèvres. Il gicle presque immédiatement et son foutre gicle dans ma gorge, ma langue est poisseuse de son sperme.

Je n’ai pas encore récupérée que le couple du début de la soirée entre dans notre box et nous propose un plan à quatre. Maxime me demande si ça me plairait. Au point où j’en suis…Eric est déjà en érection depuis un bon moment et passe un préservatif, il me demande de me mettre en levrette et une fois que je suis en place, il me pénètre sans ménagement d’une seule poussée. Sa queue rentre comme dans du beurre tellement ma chatte est déjà bien irriguée. Delphine, elle, se fait prendre par mon amant d’une nuit. Je me rends compte que j’adore le voir prendre une autre femme pendant que son mari me culbute. Maxime se positionne à l’entrée de sa fente et c’est elle qui s’empale sur le pieu qui lui taraude les entrailles avant qu’il ne la pistonne fermement. Je sens Eric qui me besogne, je n’ai pas la plus mauvaise place car Eric est beaucoup mieux monté que Maxime.
Il accélère ses mouvements, respirant un peu plus fort, à l’approche de l’orgasme. Mon regard et celui de Delphine ne peuvent se détacher de cette vision, de ces teubs profondément rentrées en nous dont le gland touche déjà le fond du vagin.
Eric sent qu’il va jouir et me fesse plusieurs fois. Je sens son jus inonder mes fesses, il passe sa queue dans ma raie du cul, puis s’essuie le poireau sur mes fesses.
L’autre couple a enfin pris son allure de '' croisière ''. Le pieu de chair glisse sans effort dans la chatte largement dilatée, les grandes lèvres toutes gluantes d'une mouille épaisse et abondante vont et viennent au rythme de la queue.

La main de Maxime s'aventure alors vers une destination moins connue. Il lui écarte bien la raie des fesses, découvrant son œillet foncé, il tâtonne un peu, vérifiant que cela va bien coulisser, mais son gland est visqueux à souhait....alors il l'embroche d'un seul coup de reins. Delphine sous la poussée, s’est retrouvée la tête dans les draps et commence à gémir doucement, il ressort alors sa queue qu’un filet relit à son objectif et replonge à nouveau.
Delphine est encore pire que moi, elle émet déjà un long jet qui sort de son ventre, et qui mouille tout autour d’elle. Maxime la pénètre vigoureusement, lui imposant son chibre. Il s’est maintenant assis et je la regarde, la bouche ouverte, se démener furieusement sur sa lance, à ce rythme, il ne va plus tenir longtemps. Delphine n’arrête pas de gicler avec de petits couinements.
La cyprine s’échappe et va se perdre dans les draps de bains. Maxime ne peut plus se retenir,sentant monter son sperme. Elle sent qu’il va gicler à son tour alors dans un dernier effort, elle se lève encore plus haut pour retomber bien à fond sur le membre déjà bien malmené. Elle s’affale dessus … sauvagement, avec un feulement de tigresse.
Maxime gicle en elle en longues saccades de sperme tiède, heureux et épuisé par la ‘’ violence ‘’ de cette femme. Quand elle se retire un véritable flot de sperme coule de son anneau fripée qui se contracte comme douée d’une vie propre. Il n’avait pas mis de préservatif !

La soirée s’écoule, nous expérimentons toutes les possibilités possibles à quatre. Je suis fourbue, le cul en chou fleur, la chatte en feu. Je suis obligée de soutenir Delphine qui ne se contrôle plus.
Nous savons que le dénouement approche, entendant les derniers gémissements de Delphine et la dernière éjaculation en grosses saccades de liquide épais et blanchâtre d’Eric. Un sacré couple de baiseurs…
Nous nous quittons enfin. Je ne sais pas si j’aurais encore le courage de vivre une telle soirée, Je suis sur les genoux. Mais PUTAIN QUE C’ETAIT BON !!!!!