EXPERIENE LESBIENNE - histoire érotique

Expérience lesbienne


Notre vie est riche et joyeuse. Nous sommes un couple discret, participant à de nombreuses activités Associatives et nous connaissons pratiquement tout le monde dans notre village.

Néanmoins. Nous avons aussi, une vie cachée et beaucoup plus légère. Nous sommes des libertins, candaulistes, voyeur(e)s et pour ce qui me concerne, bisexuelle et exhibitionniste.

En ce début d’après midi - j’attends avec impatience mon Amie Françoise que j’aie invitée pour profiter de la piscine.

Elle arrive chez moi à l'heure dite. Malheureusement. Elle n'a pas pu passer chez elle pour prendre son maillot de bain. Pas de problème lui dis-je. Je vais t'en prêter un. Nous partons bras dessus dessous dans ma penderie afin de nous changer..

Nous montons l’escalier en riant comme 2 jeunes filles. Arrivés dans ma chambre. Je prend l'initiative de me déshabiller en ôtant mon petit top sans soutif. Françoise me suivit et ôta son haut - et son soutien gorge rose.

Je lui fis remarquer qu'elle avait une belle poitrine avec de belles auréoles. J'ai nettement vue son trouble par le rosissement de ses joues. M'approchant elle ne recula pas. Je lui pris un sein naturellement dans la main et le soupesa tendrement. Connaissant, depuis quelques temps, ma passion Bi, elle frissonna un peu. Par contre, Moi, je ne savais pas ses appétences sexuelles.

Elle se cabra comme pour m'inviter à aller plus loin. Ce simple geste, nous fit monter la douce chaleur de 2 corps qui réagissent aux mêmes désirs.

Nous nous remettons un peu de notre audace, nous finissons de nous changer.

Enlevant mon short. Elle remarqua que je n'avais pas de petite culotte et me regarda le sexe vierge malgré mon age.

De mon coté. je la regardais enlever son pantalon avec gourmandise et je ne fus pas déçue de voir qu'elle portait un petit string rose fin qu'elle fit tomber à ses pieds. Comme ma petite Françoise était une petite blonde. Elle n'avait qu'un petit duvet.

Nue comme deux gamines. Nous partons dans mon dressing afin de couvrir nos 2 corps d'un maillot destinés à cacher notre petite pudeur.

Je fis express de lui présenter quelques modèles les plus fins et surtout, le plus clair possible. Le sien était un petit Gallus Bikini String blanc dont le haut pouvait à peine cacher sa poitrine. Le mien était un micro maillot dont le string ficelle ne cachait pas grand-chose de mon intimité puisque celui-ci s’acharnait à rentrer dans ma fente d’amour qu’adore mon mari et les voyeurs quand je l’utilise lors de nos baignades loin de chez nous.

Après les avoir enfilés, sans une certaine appréhension de Françoise. Nous entamâmes  notre descente vers la piscine en souhaitant que l'eau, nous remettrait de cette sensation divine de l'excitation.

Arrivé sur le bord. Nous plongeons dans l'azur bleu.

On fit quelques brasses. Puis je me mets un moment sur le dos à faire la planche.


J’offre ainsi tout mon corps à la vue Françoise dans mon petit maillot minimaliste.

Celle-ci me dit alors : Coline, tu te rase le sexe depuis quand ? Pourquoi tu fais ça ?

Surprise par la question, je me redresse et me mets debout dans l’eau face à elle.

A cet endroit de la piscine - Nous avons de l’eau jusqu’à la taille mais on devine nos sexes dans l’eau claire.

Je lui souris.

- Je trouve ça joli. Et … c’est plus agréable pour …
- Pourquoi ?
- Et bien … je souris à nouveau …. pour les caresses ….
- Moi je trouve que les poils c’est doux aussi à caresser me dit Françoise en souriant.
- Oui c’est vrai, mais quand c’est fraîchement rasé c’est tout doux, dis-je ne m’approchant doucement d’elle.

Françoise ne bouge pas et ne dit rien. Je sens mes tétons se tendre encore plus. Je vois les siens pointer aussi malgré leur taille.

Je suis devant elle.
 
Doucement, je lui prend une main et je la pose sur mon sexe.

- Tu peux toucher si tu veux pour te rendre compte.
- Mais que fais tu ? dit-elle en retirant sa main
- Ne crains rien, c’est juste pour le plaisir.


Je reprends sa main et me caresse avec pour qu’elle sente comme c’est doux. Puis, bravement, je la plaque contre moi et à mon tour, je caresse doucement sa petite toison blonde au travers de son petit slip. 

- Tu sens comme c’est doux lui dis je d’une voix douce et tendre.
- Oh, ça fait bizarre, mais c’est agréable me dit-elle en souriant.

Je n’avais jamais osée avec mon Amie Françoise. Mais là, j’avais envie. Je voulais sentir ses mains, ses doigts sur moi…
 
Je m’approchais tout près d’elle. Je posais ma bouche sur la sienne. Elle ne bougeait pas, comme tétanisée. J’entamais un baiser tendre. Avec ma langue, je forçai sa bouche. Elle ne résista pas longtemps, et répondit à mon baiser en roulant sa langue avec la mienne.

Je l'a serrai contre moi - seins contre seins, sexe contre sexe. Puis je la poussai vers l’escalier de la piscine et lui dit de s’asseoir sur le bord de la margelle. Moi je m’asseyais sur une marche de l’escalier pour avoir la tête à la hauteur de son sexe.

Je lui ai écartée son maillot afin d’accéder à son petit sexe. Je lissais ses poils pour écarter ses lèvres et atteindre sa grotte d’amour. Je déposai un baiser sur sa fente. Elle soupira de plaisir. Elle était assise, les bras en appui, la tête rejetée en arrière. Je léchai son sexe humide. Le goût des produits de piscine fut vite remplacé par celui de sa liqueur. 

Elle gémissait. Oh oui ! Coline ! Oui c’est bon ! Continue !

Je passais mes mains sous ses fesses pour les caresser pendant que je léchais son minou. Ma langue vint titiller son clito gonflé de désir. Elle poussa un cri en soulevant son bassin comme pour venir à la rencontre de ma bouche.

Mes mains flattaient ses fesses, écartaient sa raie. Puis je vins mettre un doigt sur son anus. Elle apprécia cette caresse car elle gémit encore plus fort au contact de mon doigt sur son petit trou.

Je me délectai de sa cyprine qui coulait sur ma bouche. J’avais du mal à maintenir ma bouche sur son sexe tellement ses mouvements de bassin étaient amples.

Je sentais qu’elle n’allait pas tarder à crier sa jouissance …

quand ….

On entendit une voix masculine dire :

- Eh bien les filles ! On se fait du bien ?

Je levais la tête et vis mon Mari Alain, à quelques mètres de nous.

Affolée, Françoise se précipita dans l’eau pour essayer de cacher son intimité.

Alain, nous dit alors :

- Ne vous cachez pas, c’est dommage …. Et puis j’ai déjà vu de bien belles choses !

Françoise, paniquée, essayait de se cacher un peu derrière moi, et elle me murmurait : Qu’est ce qu’on va faire ? J’essayais de la calmer.

Je portais mon regard sur son boxer de bain et vis une sacrée bosse déjà bien formée. Il devait nous observait depuis un moment. Il s’avança doucement de la piscine. Puis arrivé au bord de l’escalier, il enleva son boxer.

- Voilà, comme ça nous sommes à égalité.

J’étais incapable de faire quoi que ce soit. Hypnotisée par son sexe dressé vers le ciel.

Je commençais à être amusée de la situation et d ’un autre côté, son sexe me tentait.

Il descendit dans l’eau et s’approcha de nous.

La situation m’excitait en fait. Je me sentais couler. Alain me regarda amusé par la situation, et dit :

- Vous pouvez reprendre ce que vous faisiez tout à l’heure. Vous n’avez pas finies de vous faire plaisir.

Françoise me regarda interrogative et inquiète. J’avais confiance en Alain et dit à Françoise de ne pas s’inquiéter et que j’avais envie de finir un travail si bien entamé

J’eus un peu de mal à la convaincre de s’asseoir de nouveau sur le bord de la piscine, dévoilant ainsi son intimité.

Françoise se remit sur le bord de la piscine, tout en guettant ce qu’Alain faisait. Je me mis à nouveau entre les cuisses de Françoise forçant un peu le passage et recommençais à lui faire minette.

De temps en temps, je jetais un œil à mon Mari. Il se masturbait lentement en nous observant et en souriant appuyé contre le bord de la piscine à deux mètres de nous.

Françoise gémissait à nouveau. Elle se laissait aller. Les bras et la tête en arrière, son ventre s’activait. Elle soulevait son bassin.

Soudain je sentis une main se poser sur mes fesses, caresser ma raie pour descendre jusqu’entre mes cuisses sans oublier de flatter mon anus au passage. Je poussais un peu mes fesses en arrière avec un grognement de plaisir pour montrer que j’approuvais. De toute manière rien ne pouvait plus m’arrêter, j’en avais trop envie et j’étais vraiment excitée par la situation.

Alain s’assit sur la dernière marche de l’escalier face à mes fesses proposée, de façon à pouvoir s’occuper de ma furtive offrande volontaire.

Il posa sa langue sur mon intimité lisse et humide (pas que d’eau de la piscine !).
Ho Oui ! soupirais-je.

Excitée par ces caresses buccales, je me mis à lécher de plus belle le sexe de Françoise. Je titillais son clito, le suçais, le mordillais. Françoise gémissait de plus en plus.

Alain, passant d’un trou à l’autre, me lécha les lèvres juteuses de mon abricot, puis décalotta mon clito pour le sucer, lécher, mordiller. Hmmm quel bonheur !

Il me faisait ça si bien que je ne tardai pas à jouir une première fois très rapidement. Françoise en fit de même en m’envoyant un puissant jet de cyprine sur le visage !

Je sentis alors les mains d’Alain me caressaient les fesses pendant que sa langue s’activait toujours entre mes cuisses. Ses doigts écartaient ma raie.

Je fis de même à Françoise. Elle souleva son bassin pour me faciliter le passage.

Mon Mari titilla ma petite rosette (très sensible) car il savait depuis bien longtemps que j‘appréciais particulièrement cette caresse. Je gloussais de plaisir, lui montrant ainsi que j’aimais. Il vint alors me lécher l’anus. Hmmm quel délice !

J’étais de plus en plus excitée. Françoise en profita. Je lui soulevais les jambes en lui demandant de les plier et de tirer dessus en passant ses bras derrière ses genoux. Cela eu pour effet, vous l’avez deviné, d’ouvrir complètement son entrejambe, m’offrant ainsi une vue incroyable et un accès aisé de son sexe à son petit trou.

De voir Françoise totalement offerte de façon impudique, et la langue d’Alain posée entre mes fesses me déclenchèrent un nouvel orgasme.

Alain profita de ce moment pour se lever et présenta son sexe à l’entrée de mon minou trempé. Il le frotta pour bien le lubrifier, encore que bien que la situation m‘avait suffisamment excitée pour mouiller comme une femme normalement constituée. Puis il me pénétra tout doucement, lentement mais complètement. Il resta un moment bien au fond sans bouger. J’en profitais pour passer mes mains entre mes cuisses et caresser ses bourses.

J’avais stoppé net toute activité, et Françoise me regarda interrogative, se demandant pourquoi j’avais arrêté. Elle pu lire la réponse sur mon visage. Je savourais cette sensation du sexe qui vous emplit tout doucement.

Alain commença doucement ses va et vient. Il sortait presque complètement de mon sexe avant de replonger tout en douceur.

Je me remis à l’oeuvre entre les cuisses de Françoise. Ma langue allait du haut de son pubis jusqu’à son anus. Je vis de par ses gémissements et ses mouvements de bassin qu’elle appréciait que je m’occupe de son petit trou. Elle me disait des « Oh oui » qui montrait combien cela l’excitait.

L’excitation de se faire lécher intimement par une femme et/ou associé au fait d’être caressée et matée par son Homme ?.

Alain accéléra ses mouvements. Je haletais de plus en plus fort. Je sentais le plaisir monter en moi. Je sentis alors son doigt titiller mon anus. Je poussais mes fesses en arrière pour lui montrer que j’appréciais. Cela l’encouragea. Il me caressa le sexe pour recueillir ma mouille et barbouilla mon anus avec.
Je fis de même avec Françoise qui appréciait aussi, tirant le plus possible sur ses jambes pour mieux ouvrir son cul. ( cela m’excite vraiment d’écrire ça …)

Je salivais sur son anus. Puis je mettais un doigt dans son sexe avant de le pointer sur son antre le plus intime. La vision de son petit trou qui palpitait sous mes yeux m’excita au plus haut point.

Je sentis un doigt d’Alain s’enfonçait dans le mien, touchant son sexe au travers de ma paroi. La sensation fut terrible. D’un coup. J’ai enfoncée d’un seul coup mon doigt dans le cul de Françoise.

Celle-ci cria sa jouissance et me déversa encore un flot de cyprine sur la bouche.

Je fis de même en criant mon bonheur avec le sexe d’Alain au fond de ma grotte et son doigt au fond de mon fondement entrouvert.

Il se retira et éjacula sur mes fesses en criant à son tour.

Après quelques minutes pour retrouver nos esprits, je me levais et sortais de l’eau pour aller me rincer sous la douche extérieure. Puis, je remis mon mini maillot que je couvris d‘un paréo. Françoise se sécha et se rhabilla en tenue de ville.

Alain sorti à son tour, nu, et après s’être rincé sous la douche, il remit son maillot en disant :

Laure - notre Fille - ne va pas tarder à arriver, soyez discrètes.

Effectivement. Un quart d’heure plus tard Laure est arrivée.

A suivre .....