Eyes wide shut
Récit érotique écrit par Sarah0103 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Eyes wide shut
Alexis ne disait rien de ce qu’il organisait depuis bientôt une quinzaine de jours. Il semblait pourtant bel et bien occupé à me concocter quelque chose dont il m’avait seulement averti que ce serait « sur mesure » et bien sûr « inoubliable »… Je n’avais donc aucune idée de ce qu’il nous préparait et encore moins du moment auquel cela se déroulerait. Cependant, quelques longs week-ends du mois de Mai approchaient et je sentais que ça ne tarderait plus.
Rien que d’imaginer ce qu’il nous mijotait me faisait souvent partir dans de longues rêveries érotiques dont je me réveillais toujours le corps embrasé et le sexe détrempé. Je me voyais dans chacun des scénarios de cette liste que je connaissais par cœur. Plus que jamais, j’avais très envie de plaisirs intenses, d’extases. Je voulais tout découvrir, tout ressentir.
Nous venions à peine de finir le lunch et j’avais prévu d’aller faire un peu de shopping ce samedi lorsqu’Alexis me tendit une enveloppe.
- Tiens mon cœur, c’est pour toi.
- Merci, qu’est-ce donc ?
En ouvrant l’enveloppe, j’y découvris sa carte de crédit.
- Tu m’offres mon shopping ! Tu es un amour.
- Je sais…mais à la condition que tu en reviennes avec une très belle robe. Elle doit obligatoirement être noire car ce soir, nous sommes invités à une soirée « Black & White ».
- Tu parles d’une soirée « sur mesure » ?
- Oui, en effet. Tu dois donc mettre le paquet pour être la plus désirable possible. On ne doit avoir d’yeux que pour toi et tu peux tout oser. Achète évidemment la lingerie coquine que tu porteras dessous. On passera nous prendre à 19h30 précise. Je ne t’en dis pas plus.
Très émoustillée par cette nouvelle surprise qui se profilait, je vis l’après-midi filer à toute allure. Connaissant heureusement quelques bonnes adresses, je n’eus aucun mal à dénicher une magnifique robe de soirée tout en transparence. Troublante, aguichante et subtilement indécente, elle plairait certainement à Alexis. Quant à la lingerie, ce fut encore plus facile. J’allais être irrésistible, chic et provocante à la fois. L’idée de connaître de nouvelles expériences me rendait frénétique. Qu’était-il prévu pour ce soir ? Qu’allais-je découvrir ? Serais-je actrice ou spectatrice ? Seule ou accompagnée ? Alexis participerait-il ? Je n’avais aucune réponse à mes questions, mais les orgasmes fulgurants des fois précédentes étaient à jamais gravés dans ma mémoire et je me sentais prête à entièrement lâcher prise. C’était trop bon, trop enivrant.
De retour à la maison, je vis qu’Alexis n’était pas là et décidai donc de m’apprêter pour cette soirée qui s’annonçait aussi énigmatique qu’alléchante. Mon bas ventre était resté en ébullition tout l’après-midi et je pris donc une longue douche afin de me remettre les esprits en place… J’étais incorrigible et devenue très accroc au plaisir.
Une fois maquillée avec soin, j’enfilai un le magnifique tanga que je m’étais offert. Celui-ci était ouvert sur mon entre jambes et une partie de mes fesses. Il faisait également office de porte-jarretelles auquel je fixai délicatement une paire de bas noirs. Je terminai le tout par un tout nouveau redresse seins assortit. Je me plaisais, j’étais belle.
La robe était toute en échancrure et en transparence. Contrairement à mes habitudes, j’avais choisis une longue robe dont le bas était entièrement opaque. Fendue des deux côtés jusqu’à la taille, elle laissait apparaitre mes longues jambes ainsi que mes bas et les attaches qui les reliaient à mon tanga. Le haut, assez ample afin de ne pas écraser la poitrine, était 100% mousseline et agrémenté d’un profond décolleté. Cette robe ne cachait rien. Mes seins dénudés et fièrement soutenus apparaissaient clairement à la vue de tous alors que mes tétons déjà érectiles se manifestaient avec netteté. Aujourd’hui, dévoiler mon corps me plaisait et je savais que j’attirerais des regards admiratifs d’hommes et de femmes qui souhaiteraient en profiter sous le regard ou les caresses complices d’Alexis. Je rêvais d’être touchée, léchée et bien plus encore. Seule devant mon miroir, j’étais troublée de me voir aussi affriolante.
Ce n’est qu’en sortant de la chambre, que je me rendis compte qu’il était rentré. Assis dans le salon, vêtu d’un nouveau costume noir très élégant, il m’attendait avec une flûte de Champagne qu’il vint m’offrir.
- Tu es sublime mon amour ! Ta robe te va merveilleusement bien. A ta santé.
- Merci mon cœur, pas trop provocante ? Je suis presque seins nus sous ce léger voile, mais comme tu m’avais dit d’oser….c’est ce que j’ai fait.
- Tu es parfaite, j’adore ! Ta poitrine est somptueuse et fait très envie.
Joignant le geste à la parole, collé contre moi, il prit mes seins à pleines mains et commença à les malaxer. L’effet fut immédiat et je sentis son sexe se raidir contre mon pubis. Mes tétons qui pointaient au travers du voile lui montrèrent qu’il n’était pas le seul à apprécier. D’humeur très allumeuse, je m’écartai de lui et en profitai pour poser une jambe sur le bord du canapé afin de lui dévoiler le bas de ma robe fendue.
- Waouh, tu es vraiment aussi irrésistible que désirable. C’est tout ce que j’aime.
Revenant près de moi, il ne lui fallut pas plus de 5 secondes pour y glisser sa main et commencer à me caresser la jambe.
- J’aime quand tu portes des porte-jarretelles.
- Et tu n’as pas encore tout découvert.
Ecartant les cuisses, je lui indiquais le chemin à suivre. Ses doigts se faufilèrent délicatement vers mon entre-jambe et y découvrirent mon tanga subtilement ouvert sur mes lèvres vaginales… Deux doigts s’insinuaient déjà sans mal dans ma vulve tiède.
- J’avais très envie qu’il me masturbe, là comme ça, debout à ses côtés. De mon bassin, j’accompagnais le mouvement de ses doigts afin de le sentir profondément en moi. Je tressaillais et n’aurais pas pu me retenir très longtemps tant le désir était fort, mais l’arrivée d’un sms sur son portable me priva de ce plaisir.
- Nous devons malheureusement arrêter ici mon cœur, on nous attend en bas. Mets un imper sinon les voisins vont devenir fous en te voyant…
Une véritable limousine était garée devant la porte et Alexis m’y fit monter rapidement. Il y avait de la place pour six, quel luxe !
La voiture démarra et le chauffeur nous tendit une petite boite avec deux loups en dentelle qu’on nous intima de mettre immédiatement. Ainsi vêtus, presque sans se parler, nous roulâmes environ 45 minutes avant d’arriver aux portes d’une grande propriété quelque part près de Namur. Le mystère était entier. Bien qu’un peu nerveuse et impressionnée par la situation, j’avais toute confiance. Je savais que la soirée serait extraordinaire et je me surpris une nouvelle fois à imaginer des choses très obscènes.
Toujours muet, le chauffeur vint nous ouvrir la porte et nous fit pénétrer dans une immense bâtisse entourée d’un parc. Nous pénétrâmes dans un immense hall et y furent accueilli par un majordome.
- Madame, Monsieur, bienvenu au Château ! Je vais vous débarrasser.
Je déboutonnai mon imper et lui tendis. Il n’eut même pas un regard sur la poitrine nue que je lui dévoilais.
- Si vous voulez bien vous donner la peine de me suivre…
Il nous fit pénétrer dans une grande salle ornée de milles bougies où se trouvait déjà une trentaine de couples qui tout comme nous, portaient un masque. Tous les hommes étaient vêtus de costumes noirs, tirés à quatre épingles. Plus sexy les unes que les autres, les femmes portaient tout comme moi des tenues qui les « déshabillaient ». Elles y exhibaient leurs seins, leurs fesses, voire l’entièreté de leur corps. J’avais bien fait de choisir cette robe !
- La soirée est à vous, cela débutera par un apéritif suivi d’un cocktail dinatoire.
L’homme se retira et fit place à plusieurs serveurs qui s’approchèrent afin de nous présenter Champagne et zakouskis. Alexis me pris alors par la main et m’emmena vers une table déjà occupée par deux couples. Pareils au reste de l’assemblée, ils devaient avoir entre 35 et 50 ans. Les présentations faites, ils nous demandèrent si nous étions les « nouveaux »…
- Vous avez de la chance, ce cercle d’amis est extrêmement fermé. Vous avez certainement des parrains influents ayant très envie de vous y voir…
Sans répondre, Alexis me fit un clin d’œil complice que je ne compris pas. Peu importe, les discussions s’engagèrent et nous furent rapidement en confiance. N’ayant d’yeux que pour mon imposante poitrine, des couples passaient, se présentaient, discutaient quelques instants avant de changer de table. Ils venaient voir qui était « la petite nouvelle » et me complimentaient sur le choix de ma robe. Aucune jalousie, que de l’envie.
Imperceptiblement, les gens commençaient à se frôler, laissant leurs mains caresser un sein, une hanche, une croupe,… Ils faisaient de même avec moi et cela m’enchantait. Frémissante à chaque attouchement, j’étais détendue et me pliais au jeu. Ces mains inconnues sur mes cuisses ou me palpant délicatement la poitrine me mettaient en émoi. Je rendais les caresses et effleurais à mon tour les couples qui se présentaient à nous. Alexis faisait de même avec quelques femmes. Nous étions envoutés par cette ambiance de film érotique, par ces tenues incroyables, ces corps dévoilés et disponibles. Nous nous laissions faire autant que nous en profitions. Je sentais que je plaisais beaucoup, que mon corps affolait les sens. Les tétons tendus par le désir et le sexe moite, j’étais sur un nuage. J’en voulais davantage, obsédée par l’envie de jouissance, d’orgasmes intenses et ravageurs. Je rêvais de langues écartant ma vulve, de pénétrations longues et profondes…
Ce manège sensuel et voluptueux dura tout le temps du repas et nous permit de faire la connaissance de la plupart des invités. Plus aucunes mains n’ignoraient mon anatomie…
Le majordome qui nous avait accueilli refit son apparition. C’était en fait le maître de lieu ! Il entra accompagné de deux femmes sculpturales. Entièrement nues et perchées sur d’immenses cuissardes lassées, elles arboraient une gorge opulente et un sexe entièrement épilé.
- Mes Chers amis, bonsoir ! Comme à l ‘accoutumée, nous allons procéder au tirage au sort. Nous avons aujourd’hui la chance d’accueillir Salomé et Alexis que je salue et à qui sera attribué d’office un numéro. C’est le privilège des nouveaux ! Vous avez pour la plupart fait leur connaissance et ils semblent déjà beaucoup vous plaire... Je suis certain qu’ils auront un franc succès. Merci de leur faire honneur.
De quoi parlait-il ? Je ne comprenais pas vraiment ce qui allait se passer, mais j’écoutais avec attention, le corps avide de sensations.
- Par tirage au sort, deux autres couples se verront comme à chaque fois attribuer une des « chambres à thème » où ils se tiendront à la disposition de tous. Nous nous retrouverons ici dès minuit pour notre soirée Black & White….
Amusez-vous…et profitez bien de nos nouveaux amis !
Les deux femmes en cuissardes se dirigèrent alors chacune vers un couple choisi au hasard et leur remirent une clé portant un numéro. Ceux-ci s’éclipsèrent immédiatement vers l’étage. Elles vinrent ensuite vers nous et nous accompagnèrent vers notre chambre… Je découvris la première une très grande suite magnifiquement meublée. Une véritable galerie de miroirs y entourait l’immense lit rond disposé en son centre. Impressionnée, le corps vide de sensations, je ne savais toujours pas à quoi m’en tenir.
- Tu sais ce qu’ils attendent de nous ?
- Oui, bien sûr…
- Et tu ne me dis rien ?
- Tu voulais une surprise, non ?
- Oui, mais c’est tellement mystérieux !
Alexis s’approcha de moi, ouvrit le zip de ma robe et la fit glisser au sol. Puis dégrafant mon redresse-seins, il s’empara de ma poitrine ainsi offerte et s’attarda sur les aréoles qu’il léchait avec délectation. Je sentis l’excitation m’envahir. Il me coucha ensuite sur le lit et enfui sa tête entre mes cuisses. Sa langue en moi, ma vulve mouillée se gonflait de désir. Je commençais à gémir et à me tortiller. Le visage trempé, il arrêta au bout de quelques minutes afin d’éviter que je ne jouisse dans sa bouche. C’est à ce moment précis qu’on frappa à la porte.
- Mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit et ne bouge pas, j’arrive…
J’obéis en pensant qu’il avait commandé du Champagne, mais il revint accompagné d’un couple qui me découvrit ainsi offerte dans cette position de soumission totale. Mon sexe trempé et mes fesses leur faisaient face alors que mes seins lourds balançaient légèrement. Je rêvais de débauche.
- Chers amis, Salomé est à vous pour quelques minutes, elle n’a pas de tabous.
Tous deux s’approchèrent de moi et la femme commença à me lécher la chatte et l’anus par l’ouverture béante de mon tanga. Son mari s’était couché à mes côtés et observait la scène tout en me pétrissant la poitrine.
- J’adore tes seins, ils sont magnifiques et me font bander très durs. Tu inspires le sexe.
Haletante, je n’avais pas envie de parler, juste d’en profiter… Sa femme était experte en cunnilingus, j’en frissonnais de plaisir. J’aimais être touchée et caressée par d’autres sous le regard de mon homme.
- Je crois qu’Salomé est prête, je te la laisse. Elle va s’occuper un peu de moi aussi…
Son mari s’était relevé et m’avait délicatement couché sur le bord du lit, les jambes bien écartées. Il sortit son sexe et me pénétra sans difficultés. Son va et vient doux et langoureux me faisait planer. Sa femme avait relevé sa mini-jupe et ne portait aucun sous-vêtement. Elle vint s’assoir sur ma bouche. Je la léchais tout en me faisant pénétrer, c’était aussi doux qu’agréable. Nous étions tous les trois au bord de l’extase lorsque son mari se retira. Il prit mes chevilles et les posa sur ses épaules avant de s’introduire profondément dans mon anus. Il devint plus animal et grognait de plaisir, moi aussi. Très excitée, je sentais ma chatte dégouliner le long de mes cuisses ouvertes. Je fis jouir ma partenaire de jeu sur mes lèvres un peu avant qu’il ne se lâche en moi. Il n’aurait fallu que quelques minutes de plus pour qu’à mon tour j’atteigne l’orgasme.
L’homme retira délicatement son pénis et sa femme se coucha sur moi et m’embrassant voluptueusement sur la bouche puis sur les seins. Enfin, glissant entre mes jambes, elle releva mes genoux et vint me nettoyer l’anus de sa langue.
- J’adore lécher le sperme …surtout quand il sort d’un petit cul comme le tien. Tu nous as bien fait jouir Salomé… à très bientôt.
Ils sortirent et me laissèrent là, pantelante, les jambes écartées, le sexe dégoulinant. Follement excitée et dévorée par l’envie de jouir, j’en voulais davantage.
Je ne m’étais pas encore rendu compte que Alexis avait quitté la pièce qu’il y revenait déjà avec un autre couple. Ils se déshabillèrent entièrement et se couchèrent à mes côtés. Ils m’embrassaient à tour de rôle, me caressaient chaque centimètre carré de peau, introduisaient l’un et l’autre leurs doigts agiles dans ma chatte, me titillaient le clitoris et me léchaient les tétons. A nouveau bouillonnante, j’étais leur chose et ils en profitaient, moi aussi. Mon souffle était court, mon corps se tortillait sous leurs attouchements. Je devenais folle… L’homme était très bien membré et son érection impressionnante. Dégoulinante, je me mis à califourchon sur lui et d’une main habile, introduisit son énorme sexe en moi. Je sentis ma chatte se dilater centimètre par centimètre ; que du bonheur ! Il était très profondément en moi lorsque je me mis à bouger d’avant en arrière. Il en profitait pour me pétrir les seins qui se balançaient sous ses yeux. La femme s’était relevée et était partie s’occuper d’Alexis dont elle avait déjà le sexe en bouche. Il semblait beaucoup apprécier cette fellation. Ils s’approchèrent ensuite du lit et elle se mit à quatre pattes à mes côtés. Alexis entra en elle comme dans du beurre et commença à lui faire l’amour.
- Sodomise-moi !
Il ne se fit pas prier et je vis son pénis déflorer son intimité, là, à quelques centimètres de moi. Ça m’excita énormément. Je me frottais de plus en plus rapidement, voulant jouir sur cet énorme pieu planté en moi. La tête penchée en arrière, le corps brûlant, je sentais l’orgasme se profiler. Alexis qui me connaissait par cœur accéléra lui aussi ses mouvements, il devenait bestial et arrachait à sa compagne des cris de plus en plus intenses. Il se lâcha dans son cul, noyant son anus de sperme. Cette vision finit par m’emporter au septième ciel…très haut. Je connu une fois de plus une véritable éjaculation, inondant tout autour de moi. Je gémissais, criais, me tordais de plaisir. C’était terriblement puissant. Ce n’est qu’en me retirant que je me rendis compte que mon partenaire avait lui aussi éjaculé au fond de moi. Sa semence coulait entre mes cuisses. Couchée sur ce grand lit rond, j’étais radieuse, je me sentais incroyablement bien.
Le couple quitta discrètement la chambre et Alexis vint s’allonger près de moi.
- Ça a eu l’air de te satisfaire…tu as aimé ?
- C’était génial, j’en tremble encore. Et toi ?
- Très bon également. J’ai adoré sodomiser cette femme devant toi alors que tu te faisais défoncer la chatte…
- Moi aussi cela m’a beaucoup plu et le pire, c’est que j’ai encore envie de jouir, je ne suis pas rassasiée.
- Cela tombe bien, la soirée est loin d’être terminée…
Cette soirée me rendait dingue, je n’étais plus qu’un sexe affamé attendant qu’on s’occupe de lui. J’allais être servie !
Ne laissant jamais retomber mon excitation ni mes envies, trois autres couples se relayèrent dans la suite où à chaque fois, ils disposaient de moi comme ils le souhaitaient. Tout y passa : amour lesbien devant un mari passif, fellation, sodomie, 69, levrette, … Langues, doigts et sexe comblèrent tous mes orifices pendant plus d’une heure. Charnelle et insatiable, je mis un point d’honneur à tous les faire jouir; hommes et femmes.
Le dernier couple me masturba avec un gros gode. Alors que la femme l’entrait et le sortait de ma chatte imprégnée de semence, l’homme se caressait au-dessus de mes seins qu’il malaxait, léchait et pinçait délicatement. Il éjacula sur mon torse alors que sa femme, sachant s’y prendre, me fit rapidement jouir pour la deuxième fois de la soirée avant de venir me caresser la poitrine enduite du sperme de son mari. Dévorée par cet orgasme, nue et toujours offerte, je profitais de ces dernières caresses… En guise d’au revoir, ils m’embrassèrent le sexe détrempé par la jouissance avant de s’éclipser poliment. J’étais repue.
Alexis me laissa récupérer quelques minutes avant de s’approcher. Il avait préféré rester spectateur et semblait encore plein de ressources...
- Ça va mon cœur, tu récupères ? Tu étais déchaînée !
- J’ai joui comme une malade et j’ai du sperme partout.
- Profites des quelques minutes qu’il nous reste avant le début de la soirée pour aller te rafraichir…
- J’en ai grand besoin, on ne sait jamais…
J’avais prononcé ces derniers mots avec un petit clin d’œil de circonstance. Cinq couples m’avaient déjà fait l’amour et bien qu’un peu groggy, je me doutais qu’il y avait une suite à ce premier épisode. Alexis ne faisait jamais les choses à moitié... J’avais attendu cette nouvelle expérience pendant plusieurs semaines et voulais en profiter un maximum.
Il ne me fallut que quelques minutes dans la salle de bains pour me retaper. En sortant, exclusivement vêtue de mon tanga, de mes bas et de mes escarpins à hauts talons, je me dirigeai vers Alexis et l’embrassai fougueusement, mes seins collés contre lui.
- Tu es l’homme de ma vie, tu m’as tout fait découvrir, je t’aime à la folie.
- Je t’aime aussi, plus que tout. Tu es une femme exceptionnelle et tu as été incroyable. J’aime te voir prendre ton pied. Tu étais très excitée !
- J’ai tellement changé grâce à toi, je n’imaginais pas à quel point ça pouvait être bon…
…Tu m’aide à enfiler ma robe ?
- Ce n’est pas nécessaire, c’est dans cette tenue qu’on nous attend en bas. Tu es magnifique, ne t’inquiète pas.
- Je ne m’inquiète pas… 
Une nouvelle fois, je me serrai contre lui pour un baiser long et profond…Il bandait et mon pubis se remit à frissonner.
Nous rejoignîmes les autres convives dans la pièce principale. Comme nous, tous avaient ôté leurs masques. Tout comme moi, sans aucune gêne, les femmes en lingerie affriolante exhibaient leur nudité à l’ensemble des invités. Reconnaissant sans mal ceux qui avaient déjà profité de mon corps, j’aperçu également quelques « nouveaux » qui venaient vraisemblablement d’arriver. On nous apporta du Champagne et le Maître des lieux prit la parole.
- Mes chers amis, merci à tous d’être présents. Il est minuit et grand temps que la fête commence ! Cette fois-ci, les femmes qui le souhaitent seront d’abord mises à l’honneur dans notre Galerie des Glaces et ensuite, l’ensemble du Château sera ouvert à tous. Bonne soirée à tous.
Une fois de plus, je ne saisissais rien de ce qui allait se passer jusqu’à ce que deux immenses portes s’ouvrent sur un magnifique salon tapissé de miroirs et meublé de fauteuils et de canapés profonds.
Alexis et moi nous approchèrent et je compris enfin le thème de la soirée… Une quinzaine de blacks complètements nus s’y trouvaient. Taillés dans le roc, ils étaient musclés et affichaient des verges complètement hors normes. Comme hypnotisée, je les détaillais un par un sans pouvoir détourner les yeux de leurs superbes phallus.
Une ou deux femmes avaient déjà pénétré dans la pièce lorsqu’Alexis me demanda si cela me tentait. En guise de réponse, je pris sa main et lui fis sentir mon entre-jambes. Plus mouillée que jamais, j’avais envie d’essayer ce qu’on pouvait ressentir avec des blacks biens membrés.
- Vas-y mon amour, tu me raconteras.
- Cela ne te dérange pas de me voir aussi excitée par d’autres ?
- Pas du tout, j’aime ça.
- Tu as fait de moi une vraie débauchée …
- Fais ce que ton corps réclame et profites-en bien, ce n’est pas tous les jours que cette occasion se présente.
Il me prit par la main et me fit pénétrer dans la pièce sous le regard attentif et gourmand des autres invités. Cinq couples m’avaient déjà fait l’amour, mais mon envie de sexe semblait intarissable.
J’avais à peine fait quelques pas que deux hommes m’entouraient déjà. Ils m’emmenèrent vers un canapé où je m’assis immédiatement. Ils firent de même et commencèrent à me caresser les cuisses et les seins avec délicatesse. Ecartant les jambes un peu plus à chaque effleurement, je permettais ainsi à leurs mains robustes d’atteindre mon intimité. Leurs doigts jouaient avec ma vulve détrempée et ces deux étalons affichèrent rapidement une incroyable érection. J’étais en feu et pris leur sexe à pleine mains. Je n’avais jamais rien masturbé d’aussi impressionnant et cela attisait en moi des désirs obscènes. Se laissant faire, ils m’embrassaient et me caressaient le corps à tours de rôle. Alors qu’ils me suçaient les tétons, un troisième tout aussi viril vint se mettre à genou entre mes cuisses et commença à se délecter de ma cyprine. Chaque coup de langue me faisait frissonner de plaisir et j’avais maintenant très envie de les sentir profondément en moi…
Après plusieurs minutes, surexcitées par ce cunnilingus et ces phallus que je masturbais, je m’assis sur celui qui était le plus imposant. Me pénétrant, chaque centimètre écartelait mon vagin de plaisir. Jamais je n’avais éprouvé telle sensation. Il était tellement long et large qu’il m’était impossible de l’engloutir au fond de moi. Cela importait peu, c’était puissant et je mouillais à flots.
Mon corps tout entier se tordait déjà de plaisir lorsque je sentis un doigt s’introduire dans mon cul, c’était divin ! Une fois dilaté, un deuxième y pénétra aussi et je me mis à gémir. Ils me branlaient l’anus avec beaucoup de douceur et je m’en délectais. Presque incapable de bouger, je sentis ces doigts laisser la place à un sexe tendu. Conscient de la taille et du diamètre de son pénis, il me déflorait millimètre par millimètre. Il était dur comme l’acier mais parvint à introduire la moitié de sa queue au creux de mes reins. Il commença un très léger va et vient qui me fit grogner de plus en plus fort, c’était animal.
Sentir ces deux membres en moi me mit en transe, j’étais complètement frénétique. Trop excitée, l’orgasme arriva à toute vitesse et se propagea de la tête aux pieds, m’arrachant des véritables cris. Véritable chienne en rut, mon corps tout entier tremblait. En pleine extase, comme ivre, je n’étais plus que plaisir et jouissance.
Ils se lâchèrent à leur tour et m’inondèrent la chatte et l’anus de sperme. J’en étais gorgée et ne pouvais le retenir en moi, je dégoulinais…Ils se retirèrent délicatement de mes orifices, me procurant une dernière fois cette sensation de plénitude. Me caressant les seins à pleines mains, ils me dirent « qu’ils n’avaient jamais baisé une blanche aussi bonne que moi » puis, entrant leur langue dans ma bouche, ils s’éclipsèrent.
Revenant à moi après de longues minutes, je m’aperçus que cinq autres femmes profitaient des mêmes plaisirs. Certaines avec un seul homme, d’autres avec plusieurs. Se faisant caresser, masturber, pénétrer ou sodomiser, toutes y prenaient un plaisir non dissimulé. Ces phallus en érection dans leur bouche, leur sexe ou leur cul les faisaient rugir. Les regarder se faire prendre me plut beaucoup. Elles étaient voraces et jouirent les unes après les autres sur ces belles queues noires.
M’étant rafraichie, j’allai rejoindre Alexis dans le Salon du Château qui s’était lui aussi transformé en lieu de débauche, une véritable orgie y débutait.
- Ça va mon amour, tu as l’air épuisée.
- Je le suis, ils m’ont fait jouir comme une chienne…Je ne savais même pas qu’il existait des sexes aussi démesurés et encore moins qu’ils pouvaient entrer en moi.
- Raconte…
Les yeux fixés sur ce qui se passait devant nous, une flûte de Champagne à la main, je fis le récit fidèle de ce qui s’était passé. Passant du tendre cunnilingus à la double pénétration et à cet orgasme phénoménal, je n’oubliais rien. Alexis, toujours vêtu, ne perdait pas une miette de mes paroles et était visiblement aussi excité par ce qu’il entendait que par ce qu’il voyait.
- Et toi mon cœur, tu as déjà profité de la soirée
- Pas encore, je t’attendais.
- Je crois qu’il est grand temps que tu en profites aussi…
Prenant Alexis par la main, je décidai d’aller faire mon shopping. Le spectacle était total ! Hommes et femmes s’offraient l’un à l’autre, s’embrassaient, se masturbaient devant quelques spectateurs, faisaient l’amour en groupe, se pénétraient dans toutes les positions, puis bougeant de quelques mètres, allaient rejoindre d’autres corps tout aussi accueillants.
Je m’arrêtai près de deux femmes occupées à se lécher goulument la chatte. Elles me demandèrent si je voulais me joindre à elles.
- Plus tard peut-être, mais j’aimerais que vous vous occupiez de mon mari, cela l’exciterait beaucoup d’explorer vos anatomies…Vous êtes tout à fait à son goût.
- Il nous plait aussi et ça peut être très érotique à trois….
Elles se levèrent et embrassèrent Alexis à pleine bouche alors qu’elles portaient déjà leurs mains sur son sexe tendu. Une fois déshabillé, elles se mirent à lui laper le bout du gland avant de débuter une magnifique fellation. Assises devant lui, elles l’avalaient à tour de rôle tout en lui massant les testicules. Il gémissait.
Elles le couchèrent sur les coussins disposés à même le sol et une des deux s’empala sur lui.
- Ma chatte mouillée est tout à toi, j’espère que je te ferai jouir.
- J’en suis sûr, tu es très excitante… j’adore tes seins.
- Alors caresse-les bien…
Il ne se fit évidemment pas prier et les malaxait tendrement tandis que sa partenaire d’un soir, le pénis de mon homme en elle, avait déjà commencé à frotter son pubis contre le sien. L’autre femme l’enjamba, s’accroupi sur sa bouche et y déposa sa vulve qu’il lécha à grand coups de langue. Son visage était trempé de cyprine et j’avoue que le voir faire l’amour à ces deux femmes m’excitait aussi.
A mes côtés, quelques spectateurs nous avaient rejoints et profitaient du spectacle. Je sentis soudain un corps d’homme se coller contre mon dos.
- Bonsoir Salomé, très heureux de vous voir parmi nous…
- François ?
Je me retournai et découvris notre partenaire de Saint-Valentin. Il m’expliqua qu’il faisait partie de ce groupe depuis plusieurs années et qu’avec Caroline, à la demande d’Alexis, ils nous avaient parrainés.
- Elle est là ?
- Oui, elle profite de la Galerie des glaces et nous rejoindra plus tard.
- Je la comprends, ils m’ont rendue folle.
Notre trio changea de position et celle qui se faisait pénétrer était maintenant couchée par terre, les jambes écartées. À quatre pattes, sa compagne lui léchait la vulve avec délectation alors que mon mec la prenait en levrette. Ses seins volumineux balançaient d’avant en arrière et elle gémissait à chaque coup de boutoir. Partager mon homme m’excitait.
François, toujours collé contre moi, commença à me peloter les seins et je sentis son sexe se raidir contre mes fesses.
- J’ai très envie de te pénétrer.
- Je te dois bien ça, mais avec la soirée que j’ai eu, lâche-toi quand tu veux, je ne crois pas que je pourrai encore jouir…
De mes mains, je pris appui sur un fauteuil et me penchai en avant afin de lui faciliter l’accès. Encore trempée des expériences précédentes…et échauffée par ce qui se passait devant moi, il s’introduisit d’une seule traite et commença à me faire l’amour. Une fois bien excité, il sortit son pénis et le posa à l’entrée de ma corole. Par un signe de la tête, je lui fis comprendre qu’il pouvait me déflorer l’anus et il y entra son membre tout entier.
Alexis me regardait alors que lui aussi, sodomisait maintenant sa partenaire. Dans un long râle, ils se rependirent en nous presque au même moment.
Nous passèrent le reste de la soirée avec Caroline et François qui nous firent découvrir Le Château. Il y en avait pour tous les goûts. Un donjon SM, une chambre pour voyeurs, une autre pour la domination/soumission,… Il était impossible de ne pas y trouver son bonheur.
J’avais offert mon corps sans aucune retenue et découvert des plaisirs inconnus. Jamais mon sexe n’avait été autant pénétré, jamais aucun orgasme n’avait été si puissant…
Nous faisions aujourd’hui partie de ce cercle très fermé et comptions bien renouveler l’expérience au plus vite.
Notre limousine nous attendait, nous étions épuisés.
Rien que d’imaginer ce qu’il nous mijotait me faisait souvent partir dans de longues rêveries érotiques dont je me réveillais toujours le corps embrasé et le sexe détrempé. Je me voyais dans chacun des scénarios de cette liste que je connaissais par cœur. Plus que jamais, j’avais très envie de plaisirs intenses, d’extases. Je voulais tout découvrir, tout ressentir.
Nous venions à peine de finir le lunch et j’avais prévu d’aller faire un peu de shopping ce samedi lorsqu’Alexis me tendit une enveloppe.
- Tiens mon cœur, c’est pour toi.
- Merci, qu’est-ce donc ?
En ouvrant l’enveloppe, j’y découvris sa carte de crédit.
- Tu m’offres mon shopping ! Tu es un amour.
- Je sais…mais à la condition que tu en reviennes avec une très belle robe. Elle doit obligatoirement être noire car ce soir, nous sommes invités à une soirée « Black & White ».
- Tu parles d’une soirée « sur mesure » ?
- Oui, en effet. Tu dois donc mettre le paquet pour être la plus désirable possible. On ne doit avoir d’yeux que pour toi et tu peux tout oser. Achète évidemment la lingerie coquine que tu porteras dessous. On passera nous prendre à 19h30 précise. Je ne t’en dis pas plus.
Très émoustillée par cette nouvelle surprise qui se profilait, je vis l’après-midi filer à toute allure. Connaissant heureusement quelques bonnes adresses, je n’eus aucun mal à dénicher une magnifique robe de soirée tout en transparence. Troublante, aguichante et subtilement indécente, elle plairait certainement à Alexis. Quant à la lingerie, ce fut encore plus facile. J’allais être irrésistible, chic et provocante à la fois. L’idée de connaître de nouvelles expériences me rendait frénétique. Qu’était-il prévu pour ce soir ? Qu’allais-je découvrir ? Serais-je actrice ou spectatrice ? Seule ou accompagnée ? Alexis participerait-il ? Je n’avais aucune réponse à mes questions, mais les orgasmes fulgurants des fois précédentes étaient à jamais gravés dans ma mémoire et je me sentais prête à entièrement lâcher prise. C’était trop bon, trop enivrant.
De retour à la maison, je vis qu’Alexis n’était pas là et décidai donc de m’apprêter pour cette soirée qui s’annonçait aussi énigmatique qu’alléchante. Mon bas ventre était resté en ébullition tout l’après-midi et je pris donc une longue douche afin de me remettre les esprits en place… J’étais incorrigible et devenue très accroc au plaisir.
Une fois maquillée avec soin, j’enfilai un le magnifique tanga que je m’étais offert. Celui-ci était ouvert sur mon entre jambes et une partie de mes fesses. Il faisait également office de porte-jarretelles auquel je fixai délicatement une paire de bas noirs. Je terminai le tout par un tout nouveau redresse seins assortit. Je me plaisais, j’étais belle.
La robe était toute en échancrure et en transparence. Contrairement à mes habitudes, j’avais choisis une longue robe dont le bas était entièrement opaque. Fendue des deux côtés jusqu’à la taille, elle laissait apparaitre mes longues jambes ainsi que mes bas et les attaches qui les reliaient à mon tanga. Le haut, assez ample afin de ne pas écraser la poitrine, était 100% mousseline et agrémenté d’un profond décolleté. Cette robe ne cachait rien. Mes seins dénudés et fièrement soutenus apparaissaient clairement à la vue de tous alors que mes tétons déjà érectiles se manifestaient avec netteté. Aujourd’hui, dévoiler mon corps me plaisait et je savais que j’attirerais des regards admiratifs d’hommes et de femmes qui souhaiteraient en profiter sous le regard ou les caresses complices d’Alexis. Je rêvais d’être touchée, léchée et bien plus encore. Seule devant mon miroir, j’étais troublée de me voir aussi affriolante.
Ce n’est qu’en sortant de la chambre, que je me rendis compte qu’il était rentré. Assis dans le salon, vêtu d’un nouveau costume noir très élégant, il m’attendait avec une flûte de Champagne qu’il vint m’offrir.
- Tu es sublime mon amour ! Ta robe te va merveilleusement bien. A ta santé.
- Merci mon cœur, pas trop provocante ? Je suis presque seins nus sous ce léger voile, mais comme tu m’avais dit d’oser….c’est ce que j’ai fait.
- Tu es parfaite, j’adore ! Ta poitrine est somptueuse et fait très envie.
Joignant le geste à la parole, collé contre moi, il prit mes seins à pleines mains et commença à les malaxer. L’effet fut immédiat et je sentis son sexe se raidir contre mon pubis. Mes tétons qui pointaient au travers du voile lui montrèrent qu’il n’était pas le seul à apprécier. D’humeur très allumeuse, je m’écartai de lui et en profitai pour poser une jambe sur le bord du canapé afin de lui dévoiler le bas de ma robe fendue.
- Waouh, tu es vraiment aussi irrésistible que désirable. C’est tout ce que j’aime.
Revenant près de moi, il ne lui fallut pas plus de 5 secondes pour y glisser sa main et commencer à me caresser la jambe.
- J’aime quand tu portes des porte-jarretelles.
- Et tu n’as pas encore tout découvert.
Ecartant les cuisses, je lui indiquais le chemin à suivre. Ses doigts se faufilèrent délicatement vers mon entre-jambe et y découvrirent mon tanga subtilement ouvert sur mes lèvres vaginales… Deux doigts s’insinuaient déjà sans mal dans ma vulve tiède.
- J’avais très envie qu’il me masturbe, là comme ça, debout à ses côtés. De mon bassin, j’accompagnais le mouvement de ses doigts afin de le sentir profondément en moi. Je tressaillais et n’aurais pas pu me retenir très longtemps tant le désir était fort, mais l’arrivée d’un sms sur son portable me priva de ce plaisir.
- Nous devons malheureusement arrêter ici mon cœur, on nous attend en bas. Mets un imper sinon les voisins vont devenir fous en te voyant…
Une véritable limousine était garée devant la porte et Alexis m’y fit monter rapidement. Il y avait de la place pour six, quel luxe !
La voiture démarra et le chauffeur nous tendit une petite boite avec deux loups en dentelle qu’on nous intima de mettre immédiatement. Ainsi vêtus, presque sans se parler, nous roulâmes environ 45 minutes avant d’arriver aux portes d’une grande propriété quelque part près de Namur. Le mystère était entier. Bien qu’un peu nerveuse et impressionnée par la situation, j’avais toute confiance. Je savais que la soirée serait extraordinaire et je me surpris une nouvelle fois à imaginer des choses très obscènes.
Toujours muet, le chauffeur vint nous ouvrir la porte et nous fit pénétrer dans une immense bâtisse entourée d’un parc. Nous pénétrâmes dans un immense hall et y furent accueilli par un majordome.
- Madame, Monsieur, bienvenu au Château ! Je vais vous débarrasser.
Je déboutonnai mon imper et lui tendis. Il n’eut même pas un regard sur la poitrine nue que je lui dévoilais.
- Si vous voulez bien vous donner la peine de me suivre…
Il nous fit pénétrer dans une grande salle ornée de milles bougies où se trouvait déjà une trentaine de couples qui tout comme nous, portaient un masque. Tous les hommes étaient vêtus de costumes noirs, tirés à quatre épingles. Plus sexy les unes que les autres, les femmes portaient tout comme moi des tenues qui les « déshabillaient ». Elles y exhibaient leurs seins, leurs fesses, voire l’entièreté de leur corps. J’avais bien fait de choisir cette robe !
- La soirée est à vous, cela débutera par un apéritif suivi d’un cocktail dinatoire.
L’homme se retira et fit place à plusieurs serveurs qui s’approchèrent afin de nous présenter Champagne et zakouskis. Alexis me pris alors par la main et m’emmena vers une table déjà occupée par deux couples. Pareils au reste de l’assemblée, ils devaient avoir entre 35 et 50 ans. Les présentations faites, ils nous demandèrent si nous étions les « nouveaux »…
- Vous avez de la chance, ce cercle d’amis est extrêmement fermé. Vous avez certainement des parrains influents ayant très envie de vous y voir…
Sans répondre, Alexis me fit un clin d’œil complice que je ne compris pas. Peu importe, les discussions s’engagèrent et nous furent rapidement en confiance. N’ayant d’yeux que pour mon imposante poitrine, des couples passaient, se présentaient, discutaient quelques instants avant de changer de table. Ils venaient voir qui était « la petite nouvelle » et me complimentaient sur le choix de ma robe. Aucune jalousie, que de l’envie.
Imperceptiblement, les gens commençaient à se frôler, laissant leurs mains caresser un sein, une hanche, une croupe,… Ils faisaient de même avec moi et cela m’enchantait. Frémissante à chaque attouchement, j’étais détendue et me pliais au jeu. Ces mains inconnues sur mes cuisses ou me palpant délicatement la poitrine me mettaient en émoi. Je rendais les caresses et effleurais à mon tour les couples qui se présentaient à nous. Alexis faisait de même avec quelques femmes. Nous étions envoutés par cette ambiance de film érotique, par ces tenues incroyables, ces corps dévoilés et disponibles. Nous nous laissions faire autant que nous en profitions. Je sentais que je plaisais beaucoup, que mon corps affolait les sens. Les tétons tendus par le désir et le sexe moite, j’étais sur un nuage. J’en voulais davantage, obsédée par l’envie de jouissance, d’orgasmes intenses et ravageurs. Je rêvais de langues écartant ma vulve, de pénétrations longues et profondes…
Ce manège sensuel et voluptueux dura tout le temps du repas et nous permit de faire la connaissance de la plupart des invités. Plus aucunes mains n’ignoraient mon anatomie…
Le majordome qui nous avait accueilli refit son apparition. C’était en fait le maître de lieu ! Il entra accompagné de deux femmes sculpturales. Entièrement nues et perchées sur d’immenses cuissardes lassées, elles arboraient une gorge opulente et un sexe entièrement épilé.
- Mes Chers amis, bonsoir ! Comme à l ‘accoutumée, nous allons procéder au tirage au sort. Nous avons aujourd’hui la chance d’accueillir Salomé et Alexis que je salue et à qui sera attribué d’office un numéro. C’est le privilège des nouveaux ! Vous avez pour la plupart fait leur connaissance et ils semblent déjà beaucoup vous plaire... Je suis certain qu’ils auront un franc succès. Merci de leur faire honneur.
De quoi parlait-il ? Je ne comprenais pas vraiment ce qui allait se passer, mais j’écoutais avec attention, le corps avide de sensations.
- Par tirage au sort, deux autres couples se verront comme à chaque fois attribuer une des « chambres à thème » où ils se tiendront à la disposition de tous. Nous nous retrouverons ici dès minuit pour notre soirée Black & White….
Amusez-vous…et profitez bien de nos nouveaux amis !
Les deux femmes en cuissardes se dirigèrent alors chacune vers un couple choisi au hasard et leur remirent une clé portant un numéro. Ceux-ci s’éclipsèrent immédiatement vers l’étage. Elles vinrent ensuite vers nous et nous accompagnèrent vers notre chambre… Je découvris la première une très grande suite magnifiquement meublée. Une véritable galerie de miroirs y entourait l’immense lit rond disposé en son centre. Impressionnée, le corps vide de sensations, je ne savais toujours pas à quoi m’en tenir.
- Tu sais ce qu’ils attendent de nous ?
- Oui, bien sûr…
- Et tu ne me dis rien ?
- Tu voulais une surprise, non ?
- Oui, mais c’est tellement mystérieux !
Alexis s’approcha de moi, ouvrit le zip de ma robe et la fit glisser au sol. Puis dégrafant mon redresse-seins, il s’empara de ma poitrine ainsi offerte et s’attarda sur les aréoles qu’il léchait avec délectation. Je sentis l’excitation m’envahir. Il me coucha ensuite sur le lit et enfui sa tête entre mes cuisses. Sa langue en moi, ma vulve mouillée se gonflait de désir. Je commençais à gémir et à me tortiller. Le visage trempé, il arrêta au bout de quelques minutes afin d’éviter que je ne jouisse dans sa bouche. C’est à ce moment précis qu’on frappa à la porte.
- Mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit et ne bouge pas, j’arrive…
J’obéis en pensant qu’il avait commandé du Champagne, mais il revint accompagné d’un couple qui me découvrit ainsi offerte dans cette position de soumission totale. Mon sexe trempé et mes fesses leur faisaient face alors que mes seins lourds balançaient légèrement. Je rêvais de débauche.
- Chers amis, Salomé est à vous pour quelques minutes, elle n’a pas de tabous.
Tous deux s’approchèrent de moi et la femme commença à me lécher la chatte et l’anus par l’ouverture béante de mon tanga. Son mari s’était couché à mes côtés et observait la scène tout en me pétrissant la poitrine.
- J’adore tes seins, ils sont magnifiques et me font bander très durs. Tu inspires le sexe.
Haletante, je n’avais pas envie de parler, juste d’en profiter… Sa femme était experte en cunnilingus, j’en frissonnais de plaisir. J’aimais être touchée et caressée par d’autres sous le regard de mon homme.
- Je crois qu’Salomé est prête, je te la laisse. Elle va s’occuper un peu de moi aussi…
Son mari s’était relevé et m’avait délicatement couché sur le bord du lit, les jambes bien écartées. Il sortit son sexe et me pénétra sans difficultés. Son va et vient doux et langoureux me faisait planer. Sa femme avait relevé sa mini-jupe et ne portait aucun sous-vêtement. Elle vint s’assoir sur ma bouche. Je la léchais tout en me faisant pénétrer, c’était aussi doux qu’agréable. Nous étions tous les trois au bord de l’extase lorsque son mari se retira. Il prit mes chevilles et les posa sur ses épaules avant de s’introduire profondément dans mon anus. Il devint plus animal et grognait de plaisir, moi aussi. Très excitée, je sentais ma chatte dégouliner le long de mes cuisses ouvertes. Je fis jouir ma partenaire de jeu sur mes lèvres un peu avant qu’il ne se lâche en moi. Il n’aurait fallu que quelques minutes de plus pour qu’à mon tour j’atteigne l’orgasme.
L’homme retira délicatement son pénis et sa femme se coucha sur moi et m’embrassant voluptueusement sur la bouche puis sur les seins. Enfin, glissant entre mes jambes, elle releva mes genoux et vint me nettoyer l’anus de sa langue.
- J’adore lécher le sperme …surtout quand il sort d’un petit cul comme le tien. Tu nous as bien fait jouir Salomé… à très bientôt.
Ils sortirent et me laissèrent là, pantelante, les jambes écartées, le sexe dégoulinant. Follement excitée et dévorée par l’envie de jouir, j’en voulais davantage.
Je ne m’étais pas encore rendu compte que Alexis avait quitté la pièce qu’il y revenait déjà avec un autre couple. Ils se déshabillèrent entièrement et se couchèrent à mes côtés. Ils m’embrassaient à tour de rôle, me caressaient chaque centimètre carré de peau, introduisaient l’un et l’autre leurs doigts agiles dans ma chatte, me titillaient le clitoris et me léchaient les tétons. A nouveau bouillonnante, j’étais leur chose et ils en profitaient, moi aussi. Mon souffle était court, mon corps se tortillait sous leurs attouchements. Je devenais folle… L’homme était très bien membré et son érection impressionnante. Dégoulinante, je me mis à califourchon sur lui et d’une main habile, introduisit son énorme sexe en moi. Je sentis ma chatte se dilater centimètre par centimètre ; que du bonheur ! Il était très profondément en moi lorsque je me mis à bouger d’avant en arrière. Il en profitait pour me pétrir les seins qui se balançaient sous ses yeux. La femme s’était relevée et était partie s’occuper d’Alexis dont elle avait déjà le sexe en bouche. Il semblait beaucoup apprécier cette fellation. Ils s’approchèrent ensuite du lit et elle se mit à quatre pattes à mes côtés. Alexis entra en elle comme dans du beurre et commença à lui faire l’amour.
- Sodomise-moi !
Il ne se fit pas prier et je vis son pénis déflorer son intimité, là, à quelques centimètres de moi. Ça m’excita énormément. Je me frottais de plus en plus rapidement, voulant jouir sur cet énorme pieu planté en moi. La tête penchée en arrière, le corps brûlant, je sentais l’orgasme se profiler. Alexis qui me connaissait par cœur accéléra lui aussi ses mouvements, il devenait bestial et arrachait à sa compagne des cris de plus en plus intenses. Il se lâcha dans son cul, noyant son anus de sperme. Cette vision finit par m’emporter au septième ciel…très haut. Je connu une fois de plus une véritable éjaculation, inondant tout autour de moi. Je gémissais, criais, me tordais de plaisir. C’était terriblement puissant. Ce n’est qu’en me retirant que je me rendis compte que mon partenaire avait lui aussi éjaculé au fond de moi. Sa semence coulait entre mes cuisses. Couchée sur ce grand lit rond, j’étais radieuse, je me sentais incroyablement bien.
Le couple quitta discrètement la chambre et Alexis vint s’allonger près de moi.
- Ça a eu l’air de te satisfaire…tu as aimé ?
- C’était génial, j’en tremble encore. Et toi ?
- Très bon également. J’ai adoré sodomiser cette femme devant toi alors que tu te faisais défoncer la chatte…
- Moi aussi cela m’a beaucoup plu et le pire, c’est que j’ai encore envie de jouir, je ne suis pas rassasiée.
- Cela tombe bien, la soirée est loin d’être terminée…
Cette soirée me rendait dingue, je n’étais plus qu’un sexe affamé attendant qu’on s’occupe de lui. J’allais être servie !
Ne laissant jamais retomber mon excitation ni mes envies, trois autres couples se relayèrent dans la suite où à chaque fois, ils disposaient de moi comme ils le souhaitaient. Tout y passa : amour lesbien devant un mari passif, fellation, sodomie, 69, levrette, … Langues, doigts et sexe comblèrent tous mes orifices pendant plus d’une heure. Charnelle et insatiable, je mis un point d’honneur à tous les faire jouir; hommes et femmes.
Le dernier couple me masturba avec un gros gode. Alors que la femme l’entrait et le sortait de ma chatte imprégnée de semence, l’homme se caressait au-dessus de mes seins qu’il malaxait, léchait et pinçait délicatement. Il éjacula sur mon torse alors que sa femme, sachant s’y prendre, me fit rapidement jouir pour la deuxième fois de la soirée avant de venir me caresser la poitrine enduite du sperme de son mari. Dévorée par cet orgasme, nue et toujours offerte, je profitais de ces dernières caresses… En guise d’au revoir, ils m’embrassèrent le sexe détrempé par la jouissance avant de s’éclipser poliment. J’étais repue.
Alexis me laissa récupérer quelques minutes avant de s’approcher. Il avait préféré rester spectateur et semblait encore plein de ressources...
- Ça va mon cœur, tu récupères ? Tu étais déchaînée !
- J’ai joui comme une malade et j’ai du sperme partout.
- Profites des quelques minutes qu’il nous reste avant le début de la soirée pour aller te rafraichir…
- J’en ai grand besoin, on ne sait jamais…
J’avais prononcé ces derniers mots avec un petit clin d’œil de circonstance. Cinq couples m’avaient déjà fait l’amour et bien qu’un peu groggy, je me doutais qu’il y avait une suite à ce premier épisode. Alexis ne faisait jamais les choses à moitié... J’avais attendu cette nouvelle expérience pendant plusieurs semaines et voulais en profiter un maximum.
Il ne me fallut que quelques minutes dans la salle de bains pour me retaper. En sortant, exclusivement vêtue de mon tanga, de mes bas et de mes escarpins à hauts talons, je me dirigeai vers Alexis et l’embrassai fougueusement, mes seins collés contre lui.
- Tu es l’homme de ma vie, tu m’as tout fait découvrir, je t’aime à la folie.
- Je t’aime aussi, plus que tout. Tu es une femme exceptionnelle et tu as été incroyable. J’aime te voir prendre ton pied. Tu étais très excitée !
- J’ai tellement changé grâce à toi, je n’imaginais pas à quel point ça pouvait être bon…
…Tu m’aide à enfiler ma robe ?
- Ce n’est pas nécessaire, c’est dans cette tenue qu’on nous attend en bas. Tu es magnifique, ne t’inquiète pas.
- Je ne m’inquiète pas… 
Une nouvelle fois, je me serrai contre lui pour un baiser long et profond…Il bandait et mon pubis se remit à frissonner.
Nous rejoignîmes les autres convives dans la pièce principale. Comme nous, tous avaient ôté leurs masques. Tout comme moi, sans aucune gêne, les femmes en lingerie affriolante exhibaient leur nudité à l’ensemble des invités. Reconnaissant sans mal ceux qui avaient déjà profité de mon corps, j’aperçu également quelques « nouveaux » qui venaient vraisemblablement d’arriver. On nous apporta du Champagne et le Maître des lieux prit la parole.
- Mes chers amis, merci à tous d’être présents. Il est minuit et grand temps que la fête commence ! Cette fois-ci, les femmes qui le souhaitent seront d’abord mises à l’honneur dans notre Galerie des Glaces et ensuite, l’ensemble du Château sera ouvert à tous. Bonne soirée à tous.
Une fois de plus, je ne saisissais rien de ce qui allait se passer jusqu’à ce que deux immenses portes s’ouvrent sur un magnifique salon tapissé de miroirs et meublé de fauteuils et de canapés profonds.
Alexis et moi nous approchèrent et je compris enfin le thème de la soirée… Une quinzaine de blacks complètements nus s’y trouvaient. Taillés dans le roc, ils étaient musclés et affichaient des verges complètement hors normes. Comme hypnotisée, je les détaillais un par un sans pouvoir détourner les yeux de leurs superbes phallus.
Une ou deux femmes avaient déjà pénétré dans la pièce lorsqu’Alexis me demanda si cela me tentait. En guise de réponse, je pris sa main et lui fis sentir mon entre-jambes. Plus mouillée que jamais, j’avais envie d’essayer ce qu’on pouvait ressentir avec des blacks biens membrés.
- Vas-y mon amour, tu me raconteras.
- Cela ne te dérange pas de me voir aussi excitée par d’autres ?
- Pas du tout, j’aime ça.
- Tu as fait de moi une vraie débauchée …
- Fais ce que ton corps réclame et profites-en bien, ce n’est pas tous les jours que cette occasion se présente.
Il me prit par la main et me fit pénétrer dans la pièce sous le regard attentif et gourmand des autres invités. Cinq couples m’avaient déjà fait l’amour, mais mon envie de sexe semblait intarissable.
J’avais à peine fait quelques pas que deux hommes m’entouraient déjà. Ils m’emmenèrent vers un canapé où je m’assis immédiatement. Ils firent de même et commencèrent à me caresser les cuisses et les seins avec délicatesse. Ecartant les jambes un peu plus à chaque effleurement, je permettais ainsi à leurs mains robustes d’atteindre mon intimité. Leurs doigts jouaient avec ma vulve détrempée et ces deux étalons affichèrent rapidement une incroyable érection. J’étais en feu et pris leur sexe à pleine mains. Je n’avais jamais rien masturbé d’aussi impressionnant et cela attisait en moi des désirs obscènes. Se laissant faire, ils m’embrassaient et me caressaient le corps à tours de rôle. Alors qu’ils me suçaient les tétons, un troisième tout aussi viril vint se mettre à genou entre mes cuisses et commença à se délecter de ma cyprine. Chaque coup de langue me faisait frissonner de plaisir et j’avais maintenant très envie de les sentir profondément en moi…
Après plusieurs minutes, surexcitées par ce cunnilingus et ces phallus que je masturbais, je m’assis sur celui qui était le plus imposant. Me pénétrant, chaque centimètre écartelait mon vagin de plaisir. Jamais je n’avais éprouvé telle sensation. Il était tellement long et large qu’il m’était impossible de l’engloutir au fond de moi. Cela importait peu, c’était puissant et je mouillais à flots.
Mon corps tout entier se tordait déjà de plaisir lorsque je sentis un doigt s’introduire dans mon cul, c’était divin ! Une fois dilaté, un deuxième y pénétra aussi et je me mis à gémir. Ils me branlaient l’anus avec beaucoup de douceur et je m’en délectais. Presque incapable de bouger, je sentis ces doigts laisser la place à un sexe tendu. Conscient de la taille et du diamètre de son pénis, il me déflorait millimètre par millimètre. Il était dur comme l’acier mais parvint à introduire la moitié de sa queue au creux de mes reins. Il commença un très léger va et vient qui me fit grogner de plus en plus fort, c’était animal.
Sentir ces deux membres en moi me mit en transe, j’étais complètement frénétique. Trop excitée, l’orgasme arriva à toute vitesse et se propagea de la tête aux pieds, m’arrachant des véritables cris. Véritable chienne en rut, mon corps tout entier tremblait. En pleine extase, comme ivre, je n’étais plus que plaisir et jouissance.
Ils se lâchèrent à leur tour et m’inondèrent la chatte et l’anus de sperme. J’en étais gorgée et ne pouvais le retenir en moi, je dégoulinais…Ils se retirèrent délicatement de mes orifices, me procurant une dernière fois cette sensation de plénitude. Me caressant les seins à pleines mains, ils me dirent « qu’ils n’avaient jamais baisé une blanche aussi bonne que moi » puis, entrant leur langue dans ma bouche, ils s’éclipsèrent.
Revenant à moi après de longues minutes, je m’aperçus que cinq autres femmes profitaient des mêmes plaisirs. Certaines avec un seul homme, d’autres avec plusieurs. Se faisant caresser, masturber, pénétrer ou sodomiser, toutes y prenaient un plaisir non dissimulé. Ces phallus en érection dans leur bouche, leur sexe ou leur cul les faisaient rugir. Les regarder se faire prendre me plut beaucoup. Elles étaient voraces et jouirent les unes après les autres sur ces belles queues noires.
M’étant rafraichie, j’allai rejoindre Alexis dans le Salon du Château qui s’était lui aussi transformé en lieu de débauche, une véritable orgie y débutait.
- Ça va mon amour, tu as l’air épuisée.
- Je le suis, ils m’ont fait jouir comme une chienne…Je ne savais même pas qu’il existait des sexes aussi démesurés et encore moins qu’ils pouvaient entrer en moi.
- Raconte…
Les yeux fixés sur ce qui se passait devant nous, une flûte de Champagne à la main, je fis le récit fidèle de ce qui s’était passé. Passant du tendre cunnilingus à la double pénétration et à cet orgasme phénoménal, je n’oubliais rien. Alexis, toujours vêtu, ne perdait pas une miette de mes paroles et était visiblement aussi excité par ce qu’il entendait que par ce qu’il voyait.
- Et toi mon cœur, tu as déjà profité de la soirée
- Pas encore, je t’attendais.
- Je crois qu’il est grand temps que tu en profites aussi…
Prenant Alexis par la main, je décidai d’aller faire mon shopping. Le spectacle était total ! Hommes et femmes s’offraient l’un à l’autre, s’embrassaient, se masturbaient devant quelques spectateurs, faisaient l’amour en groupe, se pénétraient dans toutes les positions, puis bougeant de quelques mètres, allaient rejoindre d’autres corps tout aussi accueillants.
Je m’arrêtai près de deux femmes occupées à se lécher goulument la chatte. Elles me demandèrent si je voulais me joindre à elles.
- Plus tard peut-être, mais j’aimerais que vous vous occupiez de mon mari, cela l’exciterait beaucoup d’explorer vos anatomies…Vous êtes tout à fait à son goût.
- Il nous plait aussi et ça peut être très érotique à trois….
Elles se levèrent et embrassèrent Alexis à pleine bouche alors qu’elles portaient déjà leurs mains sur son sexe tendu. Une fois déshabillé, elles se mirent à lui laper le bout du gland avant de débuter une magnifique fellation. Assises devant lui, elles l’avalaient à tour de rôle tout en lui massant les testicules. Il gémissait.
Elles le couchèrent sur les coussins disposés à même le sol et une des deux s’empala sur lui.
- Ma chatte mouillée est tout à toi, j’espère que je te ferai jouir.
- J’en suis sûr, tu es très excitante… j’adore tes seins.
- Alors caresse-les bien…
Il ne se fit évidemment pas prier et les malaxait tendrement tandis que sa partenaire d’un soir, le pénis de mon homme en elle, avait déjà commencé à frotter son pubis contre le sien. L’autre femme l’enjamba, s’accroupi sur sa bouche et y déposa sa vulve qu’il lécha à grand coups de langue. Son visage était trempé de cyprine et j’avoue que le voir faire l’amour à ces deux femmes m’excitait aussi.
A mes côtés, quelques spectateurs nous avaient rejoints et profitaient du spectacle. Je sentis soudain un corps d’homme se coller contre mon dos.
- Bonsoir Salomé, très heureux de vous voir parmi nous…
- François ?
Je me retournai et découvris notre partenaire de Saint-Valentin. Il m’expliqua qu’il faisait partie de ce groupe depuis plusieurs années et qu’avec Caroline, à la demande d’Alexis, ils nous avaient parrainés.
- Elle est là ?
- Oui, elle profite de la Galerie des glaces et nous rejoindra plus tard.
- Je la comprends, ils m’ont rendue folle.
Notre trio changea de position et celle qui se faisait pénétrer était maintenant couchée par terre, les jambes écartées. À quatre pattes, sa compagne lui léchait la vulve avec délectation alors que mon mec la prenait en levrette. Ses seins volumineux balançaient d’avant en arrière et elle gémissait à chaque coup de boutoir. Partager mon homme m’excitait.
François, toujours collé contre moi, commença à me peloter les seins et je sentis son sexe se raidir contre mes fesses.
- J’ai très envie de te pénétrer.
- Je te dois bien ça, mais avec la soirée que j’ai eu, lâche-toi quand tu veux, je ne crois pas que je pourrai encore jouir…
De mes mains, je pris appui sur un fauteuil et me penchai en avant afin de lui faciliter l’accès. Encore trempée des expériences précédentes…et échauffée par ce qui se passait devant moi, il s’introduisit d’une seule traite et commença à me faire l’amour. Une fois bien excité, il sortit son pénis et le posa à l’entrée de ma corole. Par un signe de la tête, je lui fis comprendre qu’il pouvait me déflorer l’anus et il y entra son membre tout entier.
Alexis me regardait alors que lui aussi, sodomisait maintenant sa partenaire. Dans un long râle, ils se rependirent en nous presque au même moment.
Nous passèrent le reste de la soirée avec Caroline et François qui nous firent découvrir Le Château. Il y en avait pour tous les goûts. Un donjon SM, une chambre pour voyeurs, une autre pour la domination/soumission,… Il était impossible de ne pas y trouver son bonheur.
J’avais offert mon corps sans aucune retenue et découvert des plaisirs inconnus. Jamais mon sexe n’avait été autant pénétré, jamais aucun orgasme n’avait été si puissant…
Nous faisions aujourd’hui partie de ce cercle très fermé et comptions bien renouveler l’expérience au plus vite.
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Les avis des lecteurs
Merci pour cette lecture, je m'en suis délecté...
Ça faisait longtemps que je n'avais pas lu une histoire aussi excitante que la vôtre.
Ça faisait longtemps que je n'avais pas lu une histoire aussi excitante que la vôtre.
Un seul mot: SUPERBE !